48 Ã„nderungen an Fachinfo Buvidal 8 mg |
-Zusammensetzung
-Wirkstoffe
-Buprenorphin.
-Hilfsstoffe
-Wöchentliches Buvidal: Phosphatidylcholin aus Soja, Glyceroldioleat, wasserfreies Ethanol (15.31 mg pro 8 mg Dosis; 30.62 mg pro 16 mg Dosis; 45.94 mg pro 24 mg Dosis; 61.25 mg pro 32 mg Dosis).
-Monatliches Buvidal: Phosphatidylcholin aus Soja, Glyceroldioleat, N-Methylpyrrolidon.
- +Composition
- +Principes actifs
- +Buprénorphine.
- +Excipients
- +Buvidal hebdomadaire: phosphatidylcholine de soja, dioléate de glycérol, éthanol anhydre (15.31 mg par 8 mg dose; 30.62 mg par 16 mg dose; 45.94 mg par 24 mg dose; 61.25 mg par 32 mg dose).
- +Buvidal mensuel: phosphatidylcholine de soja, dioléate de glycérol, N-méthylpyrrolidone.
-Indikationen/Anwendungsmöglichkeiten
-Behandlung von Opioidabhängigkeit im Rahmen medizinischer, sozialer und psychotherapeutischer Maßnahmen. Die Behandlung ist für Erwachsene und Jugendliche ab 16 Jahren bestimmt.
-Dosierung/Anwendung
-Buvidal darf nur durch medizinisches Fachpersonal angewendet werden. Bei der Verordnung und Ausgabe von Buprenorphin müssen geeignete Vorsichtsmaßnahmen ergriffen werden; so sollte der Patient etwa Nachsorgebesuche wahrnehmen, bei denen entsprechend den Bedürfnissen des Patienten eine klinische Überwachung stattfindet. Eine Anwendung zu Hause oder eine Selbstinjektion des Arzneimittels durch den Patienten sind nicht zulässig.
-Besondere Vorsichtsmaßnahmen vor Einleitung der Behandlung
-Um die Auslösung von Entzugssymptomen zu vermeiden, sollte die Behandlung mit Buvidal beginnen, wenn objektive und eindeutige Anzeichen für einen leichten bis mittelschweren Entzug vorliegen (siehe «Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen»). Die Art des angewendeten Opioids (d. h. lang- oder kurzwirksames Opioid), der Zeitraum seit der letzten Opioidanwendung und der Grad der Opioidabhängigkeit sollten berücksichtigt werden.
-·Bei Patienten, die Heroin oder kurzwirksame Opioide anwenden, darf die Initialdosis von Buvidal frühestens 6 Stunden nach der letzten Opioidanwendung angewendet werden.
-·Bei Patienten unter Methadon muss die Methadon-Dosis vor Beginn der Behandlung mit Buvidal auf maximal 30 mg/Tag reduziert werden. Buvidal darf frühestens 24 Stunden nach Erhalt der letzten Methadon-Dosis angewendet werden. Buvidal kann bei methadonabhängigen Patienten das Auftreten von Entzugssymptomen auslösen.
-Dosierung
-Therapieeinleitung bei Patienten, die noch kein Buprenorphin erhalten
-Patienten, die zuvor noch kein Buprenorphin erhalten haben, sollten eine 4 mg Dosis Buprenorphin sublingual erhalten und eine Stunde lang beobachtet werden, bevor erstmalig wöchentliches Buvidal angewendet wird, um die Verträglichkeit von Buprenorphin zu bestätigen.
-Die empfohlene Startdosis von Buvidal beträgt 16 mg und ein oder zwei zusätzliche 8 mg Dosen im Abstand von mindestens 1 Tag, um eine Zieldosis von 24 mg oder 32 mg während der ersten Behandlungswoche zu erreichen. Die empfohlene Dosis für die zweite Behandlungswoche ist die Gesamtdosis, die während der Woche der Behandlungseinleitung angewendet wurde.
-Die Behandlung mit monatlichem Buvidal kann nach Einleitung der Behandlung mit wöchentlichem Buvidal und wenn die Patienten auf eine wöchentliche Behandlung stabilisiert sind (nach vier oder mehr Wochen, wo es geeignet ist), gemäß der Dosisumrechnung in Tabelle 2 begonnen werden.
-Umstellung von sublingualen Buprenorphin-Arzneimitteln auf Buvidal
-Patienten, die mit sublingualem Buprenorphin behandelt wurden, können direkt auf wöchentliches oder monatliches Buvidal umgestellt werden, beginnend am Tag nach der letzten täglichen Behandlungsdosis mit sublingualem Buprenorphin (gemäß den Dosierungsempfehlungen in Tabelle 1). Während des Dosierungszeitraums nach der Umstellung wird eine engmaschigere Überwachung der Patienten empfohlen.
-Tabelle 1. Übliche tägliche Behandlungsdosen mit sublingualem Buprenorphin und entsprechende empfohlene wöchentliche und monatliche Dosen von Buvidal
-Tägliche Dosis sublinguales Buprenorphin Wöchentliche Dosis Buvidal Monatliche Dosis Buvidal
- +Indications/Possibilités d’emploi
- +Traitement de la dépendance aux opioïdes, dans le cadre d’une prise en charge médicale, sociale et psychologique. Le traitement est réservé aux adultes et aux adolescents âgés de16 ans ou plus.
- +Posologie/Mode d’emploi
- +L’administration de Buvidal est exclusivement réservée aux professionnels de santé. Les précautions adéquates, telles qu’effectuer des visites de suivi avec surveillance clinique selon les besoins du patient, doivent être prises lors de la prescription et de la délivrance de buprénorphine. L’utilisation à domicile ou l’auto-administration du produit par les patients n’est pas autorisée.
- +Précautions à prendre avant l’instauration du traitement
- +Afin d’éviter de précipiter l’apparition d’un syndrome de sevrage, le traitement par Buvidal doit être instauré dès que des signes objectifs et manifestes de sevrage sont présents (voir « Mises en garde et précautions »). Il convient de prendre en compte le type d’opioïdes consommés (opioïdes à durée d’action longue ou courte), l’intervalle de temps écoulé depuis la dernière prise d’opioïdes et le niveau de dépendance aux opioïdes.
- +·Pour les patients dépendants à l’héroïne ou aux opioïdes à courte durée d’action, la dose initiale de Buvidal doit être administrée après un délai d’au moins 6 heures après la dernière prise d’opioïdes par le patient.
- +·Pour les patients recevant de la méthadone, la dose de méthadone doit être diminuée à une posologie maximum de 30 mg/jour, avant d’instaurer le traitement par Buvidal. La première dose de Buvidal ne doit être administrée qu’après un délai d’au moins 24 heures depuis la dernière prise de méthadone du patient. Buvidal peut induire l’apparition des symptômes de sevrage chez les patients dépendants à la méthadone.
- +Posologie
- +Instauration du traitement chez les patients non préalablement traités par la buprénorphine
- +Les patients qui n’ont jamais été traités par la buprénorphine doivent au préalable recevoir une dose de 4 mg de buprénorphine sublinguale et rester sous observation pendant une heure avant la première administration de Buvidal hebdomadaire afin de confirmer leur tolérance à la buprénorphine.
- +La dose initiale recommandée de Buvidal est de 16 mg, avec la possibilité d’ajouter au cours de la première semaine de traitement une ou deux doses supplémentaires de 8 mg à au moins 1 jour d’intervalle, jusqu’à une dose cible de 24 mg ou 32 mg. La dose recommandée pour la deuxième semaine de traitement est la dose totale administrée au cours de la semaine d’instauration du traitement.
- +Le traitement par Buvidal mensuel peut être débuté après l’instauration du traitement par Buvidal hebdomadaire, conformément à la conversion de doses indiquée dans le Tableau 2, et dès que les patients ont été stabilisés avec le traitement hebdomadaire (quatre semaines ou plus si besoin).
- +Passage de la buprénorphine sublinguale à Buvidal
- +Les patients traités par la buprénorphine sublinguale peuvent recevoir directement Buvidal hebdomadaire ou mensuel, à compter du lendemain de la prise de la dernière dose de buprénorphine sublinguale, conformément aux recommandations posologiques indiquées dans la Tableau 1. Une surveillance plus étroite des patients est recommandée au cours de la période de changement.
- +Tableau 1. Doses de buprénorphine sublinguale quotidiennes et doses correspondantes recommandées de Buvidal hebdomadaire et mensuel
- +Dose de buprénorphine sublinguale quotidienne Dose de Buvidal hebdomadaire Dose de Buvidal mensuelle
-Die Buprenorphin-Dosis in mg kann zwischen sublingualen Arzneimitteln variieren, was für jedes einzelne Arzneimittel gesondert zu berücksichtigen ist. Die pharmakokinetischen Eigenschaften von Buvidal werden in «Pharmakokinetik» beschrieben.
-Erhaltungstherapie und Dosisanpassung
-Buvidal kann wöchentlich oder monatlich angewendet werden. Die Dosen können erhöht oder verringert werden und die Patienten können zwischen wöchentlicher und monatlicher Anwendung wechseln, entsprechend den Bedürfnissen des einzelnen Patienten und der klinischen Beurteilung durch den behandelnden Arzt, gemäß den Empfehlungen in Tabelle 2. Nach einer Umstellung kann eine engmaschigere Überwachung der Patienten erforderlich sein. Die Beurteilung der Langzeit-Behandlung beruht auf Daten über 48 Wochen.
-Tabelle 2. Empfohlene Dosisumrechnung bei der Umstellung von wöchentlicher auf monatliche Dosierung oder von monatlicher auf wöchentliche Dosierung
-Wöchentliche Dosis Buvidal Monatliche Dosis Buvidal
- +La différence de dose en mg de buprénorphine d’un médicament sublingual à l’autre doit être prise en considération. Les propriétés pharmacocinétiques de Buvidal sont décrites à «Pharmacocinétique».
- +Traitement d’entretien et ajustements posologiques
- +Buvidal peut être administré chaque semaine ou chaque mois. Les doses peuvent être augmentées ou diminuées, et le traitement peut être interchangable entre une administration hebdomadaire et mensuelle, en fonction des besoins du patient et de l’avis clinique du médecin, conformément aux recommandations indiquées dans le Tableau 2. Après un changement, une surveillance plus étroite des patients peut être nécessaire. L’évaluation du traitement à long terme est basée sur les données à 48 semaines.
- +Tableau 2. Conversion de dose recommandée lors du passage d’une posologie hebdomadaire à mensuelle, ou d’une posologie mensuelle à hebdomadaire
- +Dose de Buvidal hebdomadaire Dose de Buvidal mensuelle
-Zusätzliche Dosen
-Maximal eine zusätzliche Dosis Buvidal 8 mg kann bei einem außerplanmäßigen Termin zwischen den regulären wöchentlichen bzw. monatlichen Dosen angewendet werden, basierend auf dem individuellen temporären Bedarf des Patienten. Die wöchentliche Höchstdosis für Patienten, die eine wöchentliche Buvidal-Behandlung erhalten, beträgt 32 mg mit einer zusätzlichen Dosis in der Höhe von 8 mg. Die monatliche Höchstdosis für Patienten, die eine monatliche Buvidal-Behandlung erhalten, beträgt 128 mg mit einer zusätzlichen Dosis in der Höhe von 8 mg.
-Versäumte Dosen
-Zur Vermeidung versäumter Dosen kann die wöchentliche Dosis bis zu 2 Tage vor oder nach dem wöchentlichen Zeitpunkt und die monatliche Dosis bis zu 1 Woche vor oder nach dem monatlichen Zeitpunkt angewendet werden.
-Wenn eine Dosis versäumt wird, sollte die nächste Dosis, sobald dies möglich ist, angewendet werden.
-Beendigung der Behandlung
-Wenn die Buvidal-Behandlung beendet wird, müssen die Depot-Eigenschaften und beim Patienten aufgetretene Entzugssymtome berücksichtigt werden, siehe «Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen». Wenn der Patient auf sublinguales Buprenorphin umgestellt wird, sollte dies eine Woche nach der letzten wöchentlichen bzw. einen Monat nach der letzten monatlichen Dosis Buvidal erfolgen, gemäß den Empfehlungen in Tabelle 1.
-Spezielle Dosierungsanweisungen
-Ältere Patienten
-Die Sicherheit und Wirksamkeit von Buprenorphin bei Patienten im Alter > 65 Jahre ist nicht erwiesen. Eine Dosierungsempfehlung kann nicht gegeben werden.
-Die empfohlene Dosierung für ältere Patienten mit normaler Nierenfunktion ist im Allgemeinen dieselbe wie für jüngere Patienten mit normaler Nierenfunktion. Da jedoch ältere Patienten eine verminderte Nieren-/Leberfunktion haben können, kann eine Dosisanpassung erforderlich sein (siehe Leberfunktionsstörung und Nierenfunktionsstörung unten).
-Patienten mit Leberfunktionsstörungen
-Buprenorphin sollte bei Patienten mit mittelschwerer Leberfunktionsstörung mit Vorsicht angewendet werden (siehe «Pharmakokinetik»). Buprenorphin ist bei Patienten mit schwerer Leberfunktionsstörung kontraindiziert (siehe «Kontraindikationen»).
-Patienten mit Nierenfunktionsstörungen
-Bei Patienten mit Nierenfunktionsstörung ist keine Änderung der Buprenorphin-Dosis erforderlich. Bei der Anwendung bei Patienten mit schwerer Niereninsuffizienz (Kreatinin-Clearance < 30 ml/min) ist Vorsicht geboten (siehe «Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen» und «Pharmakokinetik»).
-Kinder und Jugendliche
-Die Sicherheit und Wirksamkeit von Buprenorphin bei Kindern und Jugendlichen unter 16 Jahren ist nicht erwiesen (siehe «Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen»). Es liegen keine Daten vor.
-Art der Anwendung
-Buvidal ist nur zur subkutanen Anwendung bestimmt. Es sollte langsam und vollständig in das subkutane Gewebe verschiedener Bereiche (Gesäß, Oberschenkel, Bauch oder Oberarm) injiziert werden, sofern ausreichend subkutanes Gewebe vorhanden ist. Jeder Bereich kann mehrere Injektionsstellen aufweisen. Sowohl bei wöchentlichen als auch bei monatlichen Injektionen sollte eine Rotation der Injektionsstellen erfolgen. Es sollten mindestens 8 Wochen vor einer erneuten Injektion einer wöchentlichen Dosis in eine der zuvor verwendeten Injektionsstellen vergehen. Es liegen keine klinischen Daten vor, die für eine erneute Injektion der monatlichen Dosis in dieselbe Injektionsstelle sprechen. Wahrscheinlich besteht kein Grund für Sicherheitsbedenken. Die Entscheidung, eine erneute Injektion an derselben Stelle vorzunehmen, sollte auch auf dem klinischen Urteil der behandelnden Ärzte basieren. Die Dosis sollte als Einzelinjektion und nicht geteilt angewendet werden. Die Dosis darf nicht intravaskulär (intravenös), intramuskulär oder intradermal (in die Haut) angewendet werden (siehe «Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen»). Hinweise zur Anwendung, siehe «Sonstige Hinweise».
-Kontraindikationen
-·Überempfindlichkeit gegen den Wirkstoff oder einen der Hilfsstoffe.
-·Schwere respiratorische Insuffizienz
-·Schwere Leberfunktionsstörung
-·Akuter Alkoholismus oder Delirium tremens
-Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen
-Anwendung
-Vorsicht ist geboten, um eine versehentliche Injektion von Buvidal zu vermeiden. Die Dosis darf nicht intravaskulär (intravenös), intramuskulär oder intradermal angewendet werden.
-Intravaskuläre wie zum Beispiel intravenöse Injektion würde ein Risiko für einen ernsthaften Schaden darstellen, da Buvidal bei Kontakt mit Körperflüssigkeiten eine feste Masse bildet, was potenziell zu Verletzungen von Blutgefäßen, Verschluss oder thromboembolischen Ereignissen führen könnte.
-Um das Risiko eines nicht bestimmungsgemäßen Gebrauchs und Missbrauchs zu minimieren, sollten bei der Verordnung und Ausgabe von Buprenorphin geeignete Vorsichtsmaßnahmen ergriffen werden. Medizinisches Fachpersonal muss Buvidal direkt beim Patienten anwenden. Eine Anwendung zu Hause oder eine Selbstinjektion des Arzneimittels durch den Patienten sind nicht zulässig. Jeder Versuch, das Depot zu entfernen, sollte im gesamten Verlauf der Behandlung überwacht werden.
-Depoteigenschaften
-Die Depoteigenschaften des Arzneimittels müssen während der Behandlung, einschließlich Einleitung und Beendigung, berücksichtigt werden. Insbesondere Patienten mit Begleitmedikationen und/oder Begleiterkrankungen müssen auf Anzeichen und Symptome von Toxizität, Überdosierung oder Entzug, verursacht durch höhere oder niedrigere Buprenorphinspiegel, überwacht werden.
-Zu pharmakokinetischen Eigenschaften, siehe «Pharmakokinetik» und zu Beendigung der Behandlung, siehe «Dosierung/Anwendung».
-Atemdepression
-Es wurden einige Todesfälle infolge von Atemdepression bei Patienten berichtet, die mit Buprenorphin behandelt wurden, insbesondere bei kombinierter Anwendung mit Benzodiazepinen (siehe «Interaktionen») oder wenn Buprenorphin nicht gemäß der Produktinformation angewendet wurde. Todesfälle wurden auch in Zusammenhang mit der gleichzeitigen Anwendung von Buprenorphin und anderen zentral dämpfenden Mitteln, z. B. Alkohol, Gabapentinoiden (wie Pregabalin und Gabapentin) (siehe «Interaktionen») und anderen Opioiden, berichtet.
-Buprenorphin sollte bei Patienten mit respiratorischer Insuffizienz (z. B. chronisch obstruktive Lungenerkrankung, Asthma, Cor pulmonale, eingeschränkte Atemreserve, Hypoxie, Hyperkapnie, vorbestehende Atemdepression oder Kyphoskoliose) mit Vorsicht angewendet werden.
-Buprenorphin kann bei Kindern und nicht opioidabhängigen Personen bei versehentlicher oder absichtlicher Anwendung zu einer schweren, möglicherweise tödlichen Atemdepression führen.
-ZNS-dämpfende Wirkung
-Buprenorphin kann Benommenheit hervorrufen, insbesondere wenn es zusammen mit Alkohol oder Mitteln, die das zentrale Nervensystem dämpfen (z. B. Benzodiazepine, Tranquilizer, Sedativa, Gabapentinoide oder Hypnotika), angewendet wird (siehe «Interaktionen» und «Wirkung auf die Fahrtüchtigkeit und auf das Bedienen von Maschinen»).
-Abhängigkeit
-Buprenorphin wirkt am µ-Opioidrezeptor partiell agonistisch. Eine Dauertherapie kann zu Opioidabhängigkeit führen.
-Serotoninsyndrom
-Die gleichzeitige Anwendung von Buvidal mit anderen serotonergen Arzneimitteln wie Monoaminoxidase (MAO)-Hemmern, selektiven Serotonin-Wiederaufnahmehemmern (Selective Serotonin Re-Uptake Inhibitors, SSRI), Serotonin-Noradrenalin-Wiederaufnahmehemmern (Serotonin Norepinephrine Re-Uptake Inhibitors, SNRI) oder trizyklischen Antidepressiva kann zu einem Serotoninsyndrom, einer potenziell lebensbedrohlichen Erkrankung, führen (siehe «Interaktionen»). Wenn eine gleichzeitige Behandlung mit anderen serotonergen Arzneimitteln klinisch angezeigt ist, wird eine sorgfältige Beobachtung des Patienten empfohlen, insbesondere bei Behandlungsbeginn und Dosiserhöhungen.
-Die Symptome des Serotoninsyndroms umfassen unter anderem Veränderungen des Geisteszustandes, autonome Instabilität, neuromuskuläre Auffälligkeiten und/oder gastrointestinale Symptome.
-Wenn ein Serotoninsyndrom vermutet wird, sind je nach der Schwere der Symptome eine Dosisverringerung oder das Absetzen der Behandlung in Erwägung zu ziehen.
-Hepatitis und hepatische Ereignisse
-Es wird empfohlen, vor Beginn der Therapie Ausgangswerte der Leberfunktionswerte und den Virushepatitis-Status zu bestimmen. Bei Patienten mit positivem Virushepatitisbefund, bei Patienten, die bestimmte Begleitmedikationen erhalten (siehe «Interaktionen»), und/oder bei Patienten, bei denen eine Leberfunktionsstörung vorliegt, besteht ein höheres Risiko für eine Leberschädigung. Eine regelmäßige Kontrolle der Leberfunktion wird empfohlen.
-In klinischen Studien und in Berichten zu Nebenwirkungen nach der Markteinführung wurden Fälle von akuter Leberschädigung mit Buprenorphin-haltigen Arzneimitteln bei opioidabhängigen Patienten berichtet. Das Spektrum der abnormen Veränderungen reicht von passageren asymptomatischen Erhöhungen der Lebertransaminasen bis hin zu Fallberichten über zytolytische Hepatitis, Leberversagen, Lebernekrose, hepatorenales Syndrom, hepatische Enzephalopathie und Tod. In vielen Fällen können vorbestehende abnorme Veränderungen der Leberenzymwerte, genetische Erkrankung, Infektionen mit dem Hepatitis-B- oder Hepatitis-C-Virus, Alkoholmissbrauch, Anorexie, die gleichzeitige Anwendung von anderen potenziell hepatotoxischen Arzneimitteln oder ein fortbestehender intravenöser Drogenmissbrauch ursächlich sein oder dazu beitragen. Vor der Verordnung von Buprenorphin und während der Behandlung müssen diese zugrunde liegenden Faktoren berücksichtigt werden. Bei Verdacht auf ein hepatisches Ereignis ist eine weitergehende biologische und ätiologische Evaluierung erforderlich. In Abhängigkeit von den Befunden kann Buvidal abgesetzt werden. Eine Überwachung über den wöchentlichen und monatlichen Behandlungszeitraum hinaus kann erforderlich sein. Bei Fortführung der Therapie ist die Leberfunktion engmaschig zu überwachen.
-Beschleunigt einsetzendes Opioidentzugssyndrom
-Es ist wichtig, sich zu Beginn der Behandlung mit Buprenorphin über das partiell agonistische Wirkungsprofil von Buprenorphin im Klaren zu sein. Buprenorphin hat bei opioidabhängigen Patienten zum beschleunigten Eintreten von Entzugssymptomen geführt, wenn es vor dem Abklingen agonistischer Wirkungen aufgrund von kürzlicher Opioidanwendung oder kürzlichem Opioidmissbrauch angewendet wurde. Zur Vermeidung eines beschleunigten Entzugs sollte die Einleitung der Behandlung erfolgen, wenn objektive Anzeichen und Symptome eines leichten bis mäßigen Entzugs vorliegen (siehe «Dosierung/Anwendung»).
-Absetzen der Behandlung kann zu einem Entzugssyndrom mit verzögertem Eintreten führen.
-Leberfunktionsstörung
-Buprenorphin wird extensiv in der Leber metabolisiert. Patienten mit mittelschwerer Leberfunktionsstörung sollten auf Anzeichen und Symptome von beschleunigtem Opioidentzug, Toxizität oder Überdosierung, verursacht durch erhöhte Buprenorphinspiegel, überwacht werden. Buprenorphin sollte bei Patienten mit mittelschwerer Leberfunktionsstörung mit Vorsicht angewendet werden (siehe «Dosierung/Anwendung» und «Pharmakokinetik»). Die Leberfunktion sollte während der Behandlung regelmäßig überwacht werden. Die Anwendung von Buprenorphin ist bei Patienten mit schwerer Leberfunktionsstörung kontraindiziert (siehe «Kontraindikationen»).
-Nierenfunktionsstörung
-Metaboliten von Buprenorphin akkumulieren bei Patienten mit Niereninsuffizienz. Bei der Anwendung bei Patienten mit schwerer Nierenfunktionsstörung (Kreatinin-Clearance < 30 ml/min) ist Vorsicht geboten, siehe «Dosierung/Anwendung» und «Pharmakokinetik».
-QT-Verlängerung
-Bei gleichzeitiger Anwendung von Buvidal mit anderen Arzneimitteln, die das QT-Intervall verlängern, und bei Patienten mit einem QT-Syndrom in der Vorgeschichte oder anderen Risikofaktoren für eine QT-Verlängerung ist Vorsicht geboten.
-Behandlung akuter Schmerzen
-Zur Behandlung akuter Schmerzen während der fortgesetzten Anwendung von Buvidal kann eine kombinierte Anwendung von Opioiden mit hoher Affinität für den µ-Opioidrezeptor (z. B. Fentanyl), nicht-opioiden Analgetika und Regionalanästhesie erforderlich sein. Bei der Titration oraler oder intravenöser kurzwirksamer schmerzstillender Opioide (Morphin mit sofortiger Freisetzung, Oxycodon oder Fentanyl) bis zur gewünschten analgetischen Wirkung könnten bei Patienten, die mit Buvidal behandelt werden, höhere Dosen erforderlich sein. Patienten sollten während der Behandlung überwacht werden.
-Anwendung bei Kindern und Jugendlichen
-Die Sicherheit und Wirksamkeit von Buprenorphin bei Kindern und Jugendlichen unter 16 Jahren ist nicht erwiesen (siehe «Dosierung/Anwendung»). Aufgrund begrenzter Daten für Jugendliche (Alter 16 oder 17 Jahre) sollten Patienten dieser Altersgruppe während der Behandlung engmaschig überwacht werden.
-Klasseneffekte
-Opioide können orthostatische Hypotonie verursachen.
-Opioide können zu einem erhöhten Liquordruck führen, der Krampfanfälle verursachen kann. Daher sollten Opioide bei Patienten mit Kopfverletzungen, intrakraniellen Läsionen, anderen Zuständen mit möglicher Erhöhung des Liquordrucks oder Krampfanfällen in der Vorgeschichte mit Vorsicht angewendet werden.
-Vorsicht ist geboten, wenn Opioide bei Patienten mit Hypotonie, Prostatahypertrophie oder Urethralstenose angewendet werden.
-Eine durch Opioide verursachte Miosis, Veränderungen des Bewusstseinszustands oder Veränderungen der Schmerzwahrnehmung als Symptom einer Krankheit können die Patientenbeurteilung beeinträchtigen und die Diagnose oder den klinischen Verlauf einer Begleiterkrankung verschleiern.
-Opioide sollten bei Patienten mit Myxödem, Hypothyreose oder Nebenniereninsuffizienz (z. B. Morbus Addison) mit Vorsicht angewendet werden.
-Es hat sich gezeigt, dass Opioide den Druck im Gallengang erhöhen und bei Patienten mit Dysfunktion der Gallenwege mit Vorsicht angewendet werden sollten.
-Wöchentliches Buvidal
-Dieses Arzneimittel enthält 61,25 mg Alkohol (Ethanol) pro 32 mg Dosis entsprechend 95,7 mg/ml (9.57% w/v). Die Menge in einer 32 mg Dosis dieses Arzneimittels entspricht weniger als 2 ml Bier oder 1 ml Wein.
-Die geringe Alkoholmenge in diesem Arzneimittel hat keine wahrnehmbaren Auswirkungen.
-Interaktionen
-Mit Buvidal wurden keine Studien zur Erfassung von Wechselwirkungen durchgeführt.
-Es ist Vorsicht geboten bei der Anwendung von Buprenorphin zusammen mit:
-·Benzodiazepinen: Diese Kombination kann eine zentrale Atemdepression auslösen, die zum Tode führt. Daher müssen die Dosen engmaschig überwacht werden und diese Kombination in Fällen vermieden werden, bei denen ein Missbrauchsrisiko besteht. Die Patienten sind zu warnen, dass es extrem gefährlich ist, nicht verordnete Benzodiazepine gleichzeitig mit diesem Arzneimittel einzunehmen. Die Patienten sind außerdem darauf hinzuweisen, dass Benzodiazepine zusammen mit diesem Arzneimittel nur auf Anweisung ihres Arztes eingenommen werden dürfen (siehe «Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen»).
-·Gabapentinoiden: Diese Kombination kann eine Atemdepression auslösen, die zum Tode führt. Daher müssen die Dosen engmaschig überwacht werden und diese Kombination muss in Fällen vermieden werden, bei denen ein Missbrauchsrisiko besteht. Die Patienten sind zu warnen, Gabapentinoide (wie Pregabalin und Gabapentin) zusammen mit diesem Arzneimittel nur wie von Ihrem Arzt verordnet einzunehmen (siehe «Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen»).
-·alkoholischen Getränken oder alkoholhaltigen Arzneimitteln, da Alkohol die sedierende Wirkung von Buprenorphin verstärkt (siehe «Wirkung auf die Fahrtüchtigkeit und auf das Bedienen von Maschinen»).
-·anderen zentral dämpfenden Arzneimitteln: andere Opioidderivate (z. B. Methadon, Analgetika und Antitussiva), bestimmte Antidepressiva, sedative H1-Rezeptorantagonisten, Barbiturate, andere Anxiolytika als Benzodiazepine, Antipsychotika, Clonidin und verwandte Substanzen. Diese Kombinationen verstärken die dämpfende Wirkung auf das zentrale Nervensystem. Aufgrund der herabgesetzten Aufmerksamkeit kann es gefährlich sein, Fahrzeuge zu führen und Maschinen zu bedienen (siehe «Wirkung auf die Fahrtüchtigkeit und auf das Bedienen von Maschinen»).
-·Opioidanalgetika: Es kann schwierig sein, eine ausreichende Analgesie zu erreichen, wenn Patienten, die Buprenorphin erhalten, ein Opioid-Vollagonist verabreicht wird. Die Möglichkeit der Überdosierung besteht auch mit einem Vollagonisten, insbesondere wenn versucht wird, die partiell agonistische Wirkung von Buprenorphin zu überwinden oder wenn die Plasmaspiegel von Buprenorphin sinken (siehe «Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen»).
-·Naltrexon und Nalmefen: Hierbei handelt es sich um Opioid-Antagonisten, die die pharmakologischen Wirkungen von Buprenorphin blockieren können. Bei opoidabhängigen Patienten, die derzeit eine Buprenorphin-Behandlung erhalten, kann Naltrexon ein plötzliches Auftreten von anhaltenden und starken Symptomen eines Opioidentzugs auslösen. Bei Patienten, die derzeit eine Naltrexon-Behandlung erhalten, kann die gewünschte therapeutische Wirkung der Anwendung von Buprenorphin durch Naltrexon blockiert werden.
-·Buprenorphin wird primär durch CYP3A4 zu Norbuprenorphin metabolisiert. Die Wirkungen auf die Buprenorphin-Exposition bei Patienten, die mit Buvidal behandelt werden, wurden nicht untersucht. Wechselwirkungen mit gleichzeitig angewendeten Induktoren oder Inhibitoren wurden in Untersuchungen mit transmukosalem und transdermalem Buprenorphin nachgewiesen. Buprenorphin wird auch durch UGT1A1 zu Buprenorphin-3β-Glucuronid metabolisiert.
-oCYP3A4-Inhibitoren können den Metabolismus von Buprenorphin hemmen, was zu einer erhöhten Cmax und AUC von Buprenorphin und Norbuprenorphin führt. Buvidal unterliegt keinem First-Pass-Effekt und für CYP3A4-Inhibitoren (z. B. Proteaseinhibitoren wie Ritonavir, Nelfinavir oder Indinavir oder Antimykotika vom Azol-Typ, z. B. Ketoconazol oder Itraconazol, oder Makrolidantibiotika) werden bei der gleichzeitigen Anwendung mit Buvidal geringere Auswirkungen auf den Buprenorphin-Metabolismus erwartet als bei der gleichzeitigen Anwendung mit sublingualem Buprenorphin. Bei Umstellung von sublingualem Buprenorphin auf Buvidal kann eine Überwachung der Patienten erforderlich sein, um sicherzustellen, dass die Plasmaspiegel von Buprenorphin angemessen sind.
-Patienten, die bereits Buvidal erhalten und eine Behandlung mit CYP3A4-Inhibitoren beginnen, sollten mit wöchentlichem Buvidal behandelt und auf Anzeichen und Symptome einer Überbehandlung überwacht werden. Im Gegenzug sollte ein Patient, der gleichzeitig mit Buvidal und einem CPY3A4-Inhibitor behandelt wird und die Behandlung mit dem CYP3A4-Inhibitor abbricht, auf Entzugssymptome überwacht werden.
-oCYP3A4-Induktoren können den Metabolismus von Buprenorphin anregen, was zu geringeren Buprenorphin-Konzentrationen führt. Buvidal unterliegt keinem First-Pass-Effekt und für CYP3A4-Induktoren (z. B. Phenobarbital, Carbamazepin, Phenytoin oder Rifampicin) werden bei der gleichzeitigen Anwendung mit Buvidal geringere Auswirkungen auf den Buprenorphin-Metabolismus erwartet als bei der gleichzeitigen Anwendung mit sublingualem Buprenorphin. Bei Umstellung von sublingualem Buprenorphin auf Buvidal kann eine Überwachung der Patienten erforderlich sein, um sicherzustellen, dass die Plasmaspiegel von Buprenorphin angemessen sind. Patienten, die bereits Buvidal erhalten und eine Behandlung mit CYP3A4-Induktoren beginnen, sollten mit wöchentlichem Buvidal behandelt und auf Anzeichen und Symptome eines Entzugs überwacht werden. Im Gegenzug sollte ein Patient, der gleichzeitig mit Buvidal und einem CPY3A4-Induktor behandelt wird und die Behandlung mit dem CYP3A4-Induktor abbricht, auf Symptome einer Überbehandlung überwacht werden.
-oUGT1A1-Inhibitoren können die systemische Buprenorphin-Exposition beeinflussen.
-·Monoaminoxidase-Hemmer (Monoaminoxidase Inhibitors, MAOI): Verstärkung der Wirkung von Opioiden, basierend auf der Erfahrung mit Morphin.
-·Serotonerge Arzneimittel wie MAO-Hemmer, selektive Serotonin-Wiederaufnahmehemmer (Selective Serotonin Re-Uptake Inhibitors, SSRI), Serotonin-Noradrenalin-Wiederaufnahmehemmer (Serotonin Norepinephrine Re-Uptake Inhibitors, SNRI) oder trizyklische Antidepressiva, da das Risiko eines Serotoninsyndroms, einer potenziell lebensbedrohlichen Erkrankung, erhöht ist (siehe «Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen»).
-Schwangerschaft, Stillzeit
-Schwangerschaft
-Bisher liegen keine oder nur sehr begrenzte Daten zur Anwendung von Buprenorphin bei Schwangeren vor. Tierexperimentelle Studien haben keine Reproduktionstoxizität gezeigt (siehe «Präklinische Daten»). Buprenorphin sollte während der Schwangerschaft nur angewendet werden, wenn der potenzielle Nutzen das potenzielle Risiko für den Fötus überwiegt.
-Gegen Ende der Schwangerschaft kann Buprenorphin auch nach kurzer Anwendungsdauer eine Atemdepression beim Neugeborenen hervorrufen. Eine Langzeitanwendung während der letzten drei Schwangerschaftsmonate kann zu einem Entzugssyndrom beim Neugeborenen führen (z. B. Hypertonus, neonataler Tremor, neonatale Agitation, Myoklonus oder Konvulsionen). Das Syndrom tritt im Allgemeinen mit einer Verzögerung von einigen Stunden bis einigen Tagen nach der Geburt auf.
-Wegen der langen Halbwertszeit von Buprenorphin sollte das Neugeborene nach der Geburt mehrere Tage lang überwacht werden, um dem Risiko einer Atemdepression oder eines Entzugssyndroms beim Neugeborenen vorzubeugen.
-Stillzeit
-Buprenorphin und seine Metabolite werden in die Muttermilch ausgeschieden. Buvidal sollte während der Stillzeit mit Vorsicht angewendet werden.
-Fertilität
-Es liegen keine oder begrenzte Daten zu den Auswirkungen von Buprenorphin auf die menschliche Fertilität vor.
-Auswirkungen auf die Fertilität bei Tieren wurden nicht beobachtet (siehe «Präklinische Daten»).
-Wirkung auf die Fahrtüchtigkeit und auf das Bedienen von Maschinen
-Buprenorphin hat geringen bis mäßigen Einfluss auf die Verkehrstüchtigkeit und die Fähigkeit zum Bedienen von Maschinen, wenn es bei opioidabhängigen Patienten angewendet wird. Buprenorphin kann Benommenheit, Schwindel oder eine Beeinträchtigung des Denkens verursachen, insbesondere bei Einleitung der Behandlung und Dosisanpassung. Diese Wirkung kann sich verstärken, wenn es gleichzeitig mit Alkohol oder Arzneimitteln angewendet wird, die eine dämpfende Wirkung auf das zentrale Nervensystem ausüben (siehe «Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen» und «Interaktionen»).
-Der Patient sollte davor gewarnt werden, Fahrzeuge zu führen oder gefährliche Maschinen zu bedienen, während er dieses Arzneimittel erhält, bis bekannt ist, welche Auswirkungen dieses Arzneimittel auf den Patienten hat. Der behandelnde Arzt sollte jeweils eine individuelle Empfehlung erteilen.
-Unerwünschte Wirkungen
-Zusammenfassung des Sicherheitsprofils
-Die am häufigsten berichteten Nebenwirkungen von Buprenorphin sind Kopfschmerzen, Übelkeit, Hyperhidrosis, Schlaflosigkeit, Arzneimittelentzugssyndrom und Schmerzen.
-Auflistung der Nebenwirkungen
-Die folgenden Begriffe und Häufigkeiten finden Anwendung: Sehr häufig (≥ 1/10), häufig (≥ 1/100 bis < 1/10), gelegentlich (≥ 1/1.000 bis < 1/100), nicht bekannt (Häufigkeit auf Grundlage der verfügbaren Daten nicht abschätzbar).
-Die für Buprenorphin, einschließlich Buvidal, berichteten unerwünschten Wirkungen sind:
-Infektionen und parasitäre Erkrankungen
-Häufig: Infektion, Influenza, Pharyngitis, Rhinitis
-Gelegentlich: Zellulitis an der Injektionsstelle
-Erkrankungen des Blutes und des Lymphsystems
-Häufig: Lymphadenopathie
-Erkrankungen des Immunsystems
-Häufig: Überempfindlichkeit
-Stoffwechsel- und Ernährungsstörungen
-Häufig: Verminderter Appetit
-Psychiatrische Erkrankungen
-Sehr häufig: Schlaflosigkeit
-Häufig: Angstgefühl, Agitiertheit, Depressionen, Feindseligkeit, Nervosität, Abnormes Denken, Paranoia, Medizinische Abhängigkeit
-Nicht bekannt: Halluzinationen, Euphorische Stimmung
-Erkrankungen des Nervensystems
-Sehr häufig: Kopfschmerzen
-Häufig: Somnolenz, Schwindel, Migräne, Parästhesie, Synkope, Tremor, Hypertonie, Sprachstörungen
-Augenerkrankungen
-Häufig: Tränenflussstörung, Mydriasis, Miosis
-Erkrankungen des Ohrs und des Labyrinths
-Gelegentlich: Vertigo
-Herzerkrankungen
-Häufig: Palpitationen
-Gefässerkrankungen
-Häufig: Vasodilatation, Hypotonie
-Erkrankungen der Atemwege, des Brustraums und Mediastinums
-Häufig: Husten, Dyspnoe, Gähnen, Asthma, Bronchitis
-Erkrankungen des Gastrointestinaltrakts
-Sehr häufig: Übelkeit
-Häufig: Verstopfung, Erbrechen, Abdominalschmerzen, Flatulenz, Dyspepsie, Mundtrockenheit, Durchfall, Erkrankung des Gastrointestinaltrakts
-Leber- und Gallenerkrankungen
-Gelegentlich: Erhöhte Alanin-Aminotransferase, erhöhte Aspartat-Aminotransferase, erhöhte Leberenzyme
-Erkrankungen der Haut und des Unterhautgewebes
-Häufig: Hautausschlag, Pruritus, Urtikaria
-Gelegentlich: Makulöser Ausschlag
-Nicht bekannt: Erythem
-Skelettmuskulatur-, Bindegewebs- und Knochenerkrankungen
-Häufig: Arthralgie, Rückenschmerzen, Myalgie, Muskelspasmen, Nackenschmerzen, Knochenschmerzen
-Erkrankungen der Nieren und Harnwege
-Nicht bekannt: Harnretention
-Erkrankungen der Geschlechtsorgane und der Brustdrüse
-Häufig: Dysmenorrhoe
-Allgemeine Erkrankungen und Beschwerden am Verabreichungsort
-Sehr häufig: Hyperhidrosis, Arzneimittelentzugssyndrom, Schmerzen
-Häufig: Schmerzen an der Injektionsstelle, Juckreiz an der Injektionsstelle, Erythem an der Injektionsstelle, Schwellung an der Injektionsstelle, Reaktionen an der Injektionsstelle, Verhärtung an der Injektionsstelle, Raumforderung an der Injektionsstelle, Peripheres Ödem, Asthenie, Unwohlsein, Fieber, Schüttelfrost, Neonatales Arzneimittelentzugssyndrom, Schmerzen im Brustkorb
-Gelegentlich: Entzündung an der Injektionsstelle, Bluterguss an der Injektionsstelle, Urtikaria an der Injektionsstelle
-Untersuchungen
-Häufig: Abnorme Leberfunktionstests
-Verletzung, Vergiftung und durch Eingriffe bedingte Komplikationen
-Gelegentlich: Durch Eingriff bedingter Schwindel
-Beschreibung ausgewählter Nebenwirkungen
-Reaktionen an der Injektionsstelle
-In einer doppelblinden Wirksamkeitsstudie der Phase 3 wurden bei 36 (16,9 %) der 213 Patienten (5 % der verabreichten Injektionen) in der Behandlungsgruppe mit Buvidal Nebenwirkungen an der Injektionsstelle beobachtet. Die häufigsten Nebenwirkungen waren Schmerzen an der Injektionsstelle (8,9 %), Pruritus an der Injektionsstelle (6,1 %) und Erythem an der Injektionsstelle (4,7 %). Die Reaktionen an der Injektionsstelle waren alle von leichter oder mittelschwerer Ausprägung und die meisten Ereignisse waren vorübergehend.
-Die Meldung des Verdachts auf Nebenwirkungen nach der Zulassung ist von grosser Wichtigkeit. Sie ermöglicht eine kontinuierliche Überwachung des Nutzen-Risiko-Verhältnisses des Arzneimittels. Angehörige von Gesundheitsberufen sind aufgefordert, jeden Verdacht einer neuen oder schwerwiegenden Nebenwirkung über das Online-Portal ElViS (Electronic Vigilance System) anzuzeigen. Informationen dazu finden Sie unter www.swissmedic.ch.
-Überdosierung
-Anzeichen und Symptome
-Das primäre Symptom einer Überdosierung von Buprenorphin, das eine Intervention erforderlich macht, ist eine Atemdepression in Folge einer Depression des Zentralnervensystems, da diese zum Atemstillstand und zum Tod führen könnte. Frühe Symptome einer Überdosierung können unter anderem übermäßiges Schwitzen, Somnolenz, Amblyopie, Miosis, Hypotonie, Übelkeit, Erbrechen und/oder Sprachstörungen sein.
-Behandlung
-Es sollten allgemeine supportive Maßnahmen eingeleitet werden, u. a. eine engmaschige Kontrolle der Atem- und Herzfunktionen des Patienten. Eine symptomatische Behandlung der Atemdepression, die intensivmedizinischen Standardmaßnahmen folgt, ist einzuleiten. Freie Atemwege und eine unterstützende oder kontrollierte Beatmung müssen sichergestellt werden. Der Patient sollte in eine Umgebung gebracht werden, die mit einer kompletten Ausstattung zur Wiederbelebung ausgerüstet ist. Bei Erbrechen sind Vorkehrungen zur Vermeidung einer Aspiration zu treffen. Die Anwendung eines Opioid-Antagonisten (d. h. Naloxon) wird, trotz des im Vergleich zur Wirkung bei Opioid-Vollagonisten möglicherweise mäßigen Effekts bei der Behebung der Atemsymptome durch Buprenorphin, empfohlen.
-Bei der Festlegung der Behandlungsdauer, die zur Behebung der Wirkungen einer Überdosis erforderlich ist, sollte die lange Wirkdauer von Buprenorphin und die verlängerte Freisetzung von Buvidal berücksichtigt werden (siehe «Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen»). Naloxon kann schneller als Buprenorphin ausgeschieden werden, was zu einem erneuten Auftreten der zuvor kontrollierten Symptome der Buprenorphin-Überdosis führen kann.
-Eigenschaften/Wirkungen
-ATC-Code
- +Dose supplémentaire
- +Une dose supplémentaire de 8 mg de Buvidal au maximum peut être administrée lors d’une visite non prévue entre les doses habituelles hebdomadaires et mensuelles, en fonction des besoins du patient. La dose hebdomadaire maximale pour les patients traités par Buvidal hebdomadaire est de 32 mg avec une dose supplémentaire de 8 mg. La dose mensuelle maximale pour les patients traités par Buvidal mensuel est de 128 mg avec une dose supplémentaire de 8 mg.
- +Doses manquées
- +Pour éviter les doses manquées, la dose hebdomadaire peut être administrée au maximum 2 jours avant ou après la date habituelle d’administration ; et la dose mensuelle peut être administrée au maximum 1 semaine avant ou après la date habituelle d’administration.
- +En cas d’oubli d’une dose, la dose suivante doit être administrée dès que possible.
- +Arrêt du traitement
- +Si le traitement par Buvidal est arrêté, ses propriétés à libération prolongée et tout symptôme de sevrage présenté par le patient doivent être pris en compte, voir « Mises en garde et précautions ». Un changement de traitement pour la buprénorphine sublinguale doit se faire une semaine après la dernière dose hebdomadaire ou un mois après la dernière dose mensuelle de Buvidal conformément aux recommandations indiquées dans le Tableau 1.
- +Instructions posologiques particulières
- +Patients âgés
- +La sécurité et l’efficacité de la buprénorphine chez les patients âgés de plus de 65 ans n’ont pas été établies. Aucune recommandation sur la posologie ne peut être donnée.
- +De façon générale, la posologie recommandée pour les personnes âgées ayant une fonction rénale normale est la même que pour les patients adultes plus jeunes ayant une fonction rénale normale. Toutefois, les personnes âgées pouvant avoir une fonction rénale/hépatique diminuée, un ajustement posologique peut être nécessaire (voir « Patients présentant des troubles de la fonction hépatique » et « Patients présentant des troubles de la fonction rénale », ci-dessous).
- +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
- +La buprénorphine doit être utilisée avec précaution chez les patients présentant d’insuffisance hépatique modérée (voir « Pharmacocinétique »). Chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère, l’utilisation de buprénorphine est contre-indiquée (voir « Contre-indications »).
- +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
- +La modification de la dose de buprénorphine n’est pas nécessaire chez les patients présentant une insuffisance rénale. La prudence est recommandée lors de l’administration aux patients présentant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine < 30 ml/min) (voir « Mises en garde et précautions » et « Pharmacocinétique »).
- +Enfants et adolescents
- +La sécurité et l’efficacité de la buprénorphine chez les enfants et adolescents âgés de moins de 16 ans n’ont pas été établies (voir « Mises en garde et précautions »). Aucune donnée n’est disponible.
- +Mode d’administration
- +Buvidal s’administre par voie sous-cutanée exclusivement. Il doit être injecté lentement et intégralement dans le tissu sous-cutané de différentes régions (fesse, cuisse, abdomen ou bras), à condition qu’il y ait suffisamment de tissu sous-cutané. Chacune de ces régions peut avoir plusieurs sites d’injection. Il convient d’alterner les sites des injections, qu’elles soient mensuelles ou hebdomadaires. Un minimum de 8 semaines doit s’écouler avant de réinjecter dans un site préalablement utilisé pour la dose hebdomadaire. Il n’y a pas de données cliniques étayant la reinjection de la dose mensuelle au même site. Il est peu probable que la réinjection du produit mensuel au même site pose un problème de sécurité. La décision de réinjecter au même site doit également être guidée par le jugement clinique du médecin traitant. Chaque injection doit être administrée par un professionnel de santé. La dose doit être administrée en une seule injection et ne doit pas être fractionnée. La dose ne doit pas être administrée par voie intravasculaire (intraveineuse), intramusculaire ou intradermique (dans la peau) (voir « Mises en garde et précautions »). Voir « Remarques particulières » pour les consignes d’administration.
- +Contre-indications
- +·Hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipients.
- +·Insuffisance respiratoire sévère
- +·Insuffisance hépatique sévère
- +·Alcoolisme aigu ou delirium tremens
- +Mises en garde et précautions
- +Administration
- +Des précautions doivent être prises pour éviter toute injection accidentelle de Buvidal. La dose ne doit pas être administrée par voie intravasculaire (intraveineuse), intramusculaire ou intradermique.
- +Une injection par voie intravasculaire, par exemple intraveineuse, présente un risque grave du fait qu’au contact avec les fluides corporels Buvidal forme localement une masse solide qui potentiellement pourrait entrainer au niveau des vaisseaux sanguins une lésion ou une occlusion ou des événements thromboemboliques.
- +Afin de réduire le risque de mésusage, d’abus ou de détournement, les précautions adéquates doivent être prises lors de la prescription et de la délivrance de buprénorphine. Les professionnels de santé doivent administrer Buvidal directement au patient. L’utilisation à domicile ou l’auto-administration du produit par les patients n’est pas autorisée. Il convient de s’assurer pendant toute la durée du traitement que le patient n’essaie pas d’extraire le dépôt.
- +Propriétés à libération prolongée
- +Les propriétés de libération prolongée du médicament doivent être prises en compte pendant le traitement, y compris à l’instauration et lors de l’arrêt du traitement. En particulier, les patients recevant des médicaments concomitants et/ou qui présentent des comorbidités doivent faire l’objet d’une surveillance des signes et symptômes de toxicité, de surdosage ou de sevrage causés par une augmentation ou une diminution des concentrations en buprénorphine.
- +Pour les propriétés pharmacocinétiques, voir « Pharmacocinétique », et pour l’arrêt du traitement, voir « Posologie/Mode d’emploi ».
- +Dépression respiratoire
- +Des cas de décès en raison d’une dépression respiratoire ont été rapportés chez des patients traités par la buprénorphine, en particulier lorsque la buprénorphine a été utilisée en association avec des benzodiazépines (voir « Interactions ») ou lorsqu’elle n’avait pas été utilisée conformément à la prescription. Des décès ont également été rapportés après la prise concomitante de buprénorphine et d’autres dépresseurs du système nerveux central, tels que l’alcool, les gabapentinoïdes (prégabaline et gabapentine) (voir « Interactions ») ou d’autres opioïdes.
- +La buprénorphine doit être utilisée avec précaution chez les patients présentant d’insuffisance respiratoire (telle qu’une maladie pulmonaire obstructive chronique, asthme, cœur pulmonaire, diminution de la capacité respiratoire, hypoxie, hypercapnie, dépression respiratoire préexistante ou cyphoscoliose).
- +La buprénorphine peut provoquer une dépression respiratoire grave, potentiellement mortelle, chez les enfants et les personnes non dépendantes aux opioïdes en cas d’ingestion accidentelle ou volontaire.
- +Dépression du SNC
- +La buprénorphine peut provoquer une somnolence, particulièrement lorsqu’elle est prise avec de l’alcool ou des dépresseurs du système nerveux central (tels que les benzodiazépines, tranquillisants, sédatifs, gabapentinoïdes ou hypnotiques) (voir « Interactions » et « Effet sur l’aptitude à la conduite et l’utilisation de machines »).
- +Dépendance
- +La buprénorphine est un agoniste partiel du récepteur opioïde µ, et son administration chronique peut entrainer une dépendance aux opioïdes.
- +Syndrome sérotoninergique
- +L’administration concomitante de Buvidal et d’autres agents sérotoninergiques, tels que les inhibiteurs de la monoamine oxydase (MAO), les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (IRSN) ou les antidépresseurs tricycliques, peut engendrer un syndrome sérotoninergique, qui est une maladie potentiellement mortelle (voir « Interactions »). Si un traitement concomitant avec d’autres agents sérotoninergiques est justifié sur le plan clinique, il est conseillé d’observer attentivement le patient, tout particulièrement pendant l’instauration du traitement et les augmentations de dose.
- +Les symptômes du syndrome sérotoninergique peuvent comprendre des modifications de l’état mental, une instabilité autonome, des anomalies neuromusculaires et/ou des symptômes gastro-intestinaux.
- +En cas de suspicion de syndrome sérotoninergique, une réduction de dose ou un arrêt du traitement devra être envisagé(e) en fonction de la gravité des symptômes.
- +Hépatite et atteintes hépatiques
- +Un bilan hépatique et la recherche d’hépatite virale sont recommandés avant l’instauration du traitement. Les patients atteints d’hépatite virale, sous traitement médical concomitant (voir « Interactions ») et/ou qui présentent une altération de la fonction hépatique ont un risque accru d’atteinte du foie. Une surveillance régulière de la fonction hépatique est recommandée.
- +Des cas d’atteinte hépatique aiguë ont été signalés chez des patients dépendants aux opioïdes prenant des médicaments contenant de la buprénorphine, tant dans les études cliniques que dans des rapports d’effets indésirables de pharmacovigilance. Les anomalies observées vont d’une élévation transitoire asymptomatique des transaminases hépatiques à des cas d’hépatite cytolytique, d’insuffisance hépatique, de nécrose hépatique, de syndrome hépatorénal, d’encéphalopathie hépatique et de décès. Dans de nombreux cas, la présence préexistante d’anomalies enzymatiques hépatiques, de maladie génétique, d’infection par le virus de l’hépatite B ou de l’hépatite C, d’abus d’alcool, d’anorexie, d’utilisation concomitante d’autres médicaments potentiellement hépatotoxiques et la persistance d’injection de drogues pourraient être responsables d’atteinte hépatique ou y contribuer. Ces facteurs sous-jacents doivent être pris en compte avant la prescription de buprénorphine et pendant le traitement. En cas de suspicion d’atteinte hépatique, une évaluation biologique et étiologique est nécessaire. En fonction des résultats, il peut être nécessaire d’arrêter le traitement par Buvidal. La surveillance au-delà de la période de traitement hebdomadaire ou mensuel peut être nécessaire. Si le traitement est poursuivi, la fonction hépatique doit être étroitement surveillée.
- +Précipitation du syndrome de sevrage aux opioïdes
- +Lors de l’instauration d’un traitement par buprénorphine, il est important de prendre en compte le profil agoniste partiel de la buprénorphine. La buprénorphine peuvent précipiter l’apparition des symptômes de sevrage chez les patients dépendants aux opioïdes lorsqu’ils sont administrés avant la disparition des effets agonistes dus à un récent usage ou mesusage d’opioïdes. Afin d’éviter la précipitation des symptômes de sevrage, le traitement doit être instauré lorsque des signes et symptômes objectifs de sevrage léger à modéré sont évidents (voir « Posologie/Mode d’emploi »).
- +L’arrêt du traitement peut entraîner un syndrome de sevrage d’apparition tardive.
- +Insuffisance hépatique
- +La buprénorphine est largement métabolisée par le foie. Les patients présentant une insuffisance hépatique modérée doivent faire l’objet d’une surveillance pour détecter des signes et symptômes de sevrage d’opioïdes, de toxicité ou de surdosage causé par une augmentation des taux de buprénorphine. La buprénorphine doit être utilisée avec précaution chez les patients atteints d’insuffisance hépatique modérée (voir « Posologie/Mode d’emploi » et « Pharmacocinétique »). La fonction hépatique doit être contrôlée régulièrement au cours du traitement. L’utilisation de buprénorphine est contre-indiquée chez les patients présentant d’insuffisance hépatique sévère (voir « Contre-indications »).
- +Insuffisance rénale
- +Les métabolites de la buprénorphine s’accumulent chez les patients présentant d’insuffisance rénale. La prudence est recommandée chez les patients présentant d’insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine < 30 ml/min), voir rubriques « Posologie/Mode d’emploi » et « Pharmacocinétique ».
- +Allongement de l’intervalle QT
- +La prudence est recommandée en cas d’administration conjointe de Buvidal et d’autres médicaments qui allongent l’intervalle QT, ainsi que chez les patients ayant des antécédents de syndrome du QT long ou d’autres facteurs de risque d’allongement du QT.
- +Prise en charge de la douleur aiguë
- +Pour la prise en charge de la douleur aiguë pendant l’utilisation continue de Buvidal, l’utilisation d’antalgiques opioïdes forts avec une haute affinité au récepteur opioïde µ (p. ex. fentanyl), d’antalgiques non opioïdes et d’anesthésie loco-régionale peut être nécessaire. Une augmentation posologique des antalgiques opioïdes de durée d’action courte (morphine à libération immédiate, oxycodone ou fentanyl), par voie orale ou intraveineuse, jusqu’à l’obtention de l’effet antalgique souhaité chez les patients traités par Buvidal, peut être nécessaire. Les patients doivent faire l’objet d’une surveillance pendant le traitement.
- +Utilisation chez les enfants et adolescents
- +La sécurité et l’efficacité de la buprénorphine chez les enfants et adolescents âgés de moins de 16 ans n’ont pas été établies (voir « Posologie/Mode d’emploi »). En raison du manque de données chez les adolescents (âgés de 16 ou 17 ans), les patients de cette tranche d’âge doivent être étroitement surveillés durant le traitement.
- +Effets de classe
- +Les opioïdes peuvent provoquer une hypotension orthostatique.
- +Les opioïdes peuvent augmenter la pression du liquide céphalorachidien, ce qui peut être à l’origine de crises d’épilepsie. Par conséquent, ils doivent être utilisés avec précaution chez les patients atteints de traumatisme crânien, de lésions intracrâniennes, dans d’autres circonstances où la pression du liquide céphalorachidien peut être augmentée, ou en cas d’antécédents de crise d’épilepsie.
- +Les opioïdes doivent être utilisés avec précaution chez les patients atteints d’hypotension, d’hypertrophie prostatique ou de sténose urétrale.
- +Un myosis induit par les opioïdes, des altérations du niveau de conscience ou de la perception de la douleur en tant que symptôme d’une maladie peuvent interférer avec l’évaluation des patients ou compliquer le diagnostic ou l’évolution clinique d’une maladie concomitante.
- +Les opioïdes doivent être utilisés avec précaution chez les patients atteints de myxœdème, d’hypothyroïdie ou d’insuffisance corticosurrénale (par exemple, la maladie d’Addison).
- +Il a été démontré que les opioïdes augmentent la pression du canal cholédoque et doivent être utilisés avec précaution chez les patients présentant un dysfonctionnement des voies biliaires.
- +Buvidal hebdomadaire
- +Ce médicament contient 61,25 mg d'alcool (éthanol) par 32 mg dose équivalent à 95,7 mg/ml (9.75% p/v). La quantité en 32 mg dose de ce médicament équivaut à moins de 2 ml de bière ou 1 ml de vin.
- +La faible quantité d'alcool contenue dans ce médicament n'est pas susceptible d'entraîner d'effet notable.
- +Interactions
- +Aucune étude d’interaction n’a été réalisée avec Buvidal.
- +La buprénorphine doit être utilisée avec précaution en cas d’administration concomitante avec :
- +·Benzodiazépines: cette association peut provoquer le décès par dépression respiratoire d’origine centrale. Par conséquent, les posologies doivent être étroitement surveillées, et cette association doit être évitée dans les cas où il existe un risque d’abus. Les patients doivent être avertis qu’il est extrêmement dangereux de s’auto-administrer des benzodiazépines non prescrites tout en prenant ce produit, et doivent également être avertis que l’utilisation de benzodiazépines en concomitance avec ce produit doit se faire uniquement selon les indications de leur médecin (voir « Mises en garde et précautions »).
- +·Gabapentinoïdes: cette association peut provoquer le décès par dépression respiratoire. Par conséquent, les posologies doivent être étroitement surveillées, et cette association doit être évitée dans les cas où il existe un risque d’abus. Les patients doivent être avertis que l’utilisation de gabapentinoïdes (par ex. prégabaline et gabapentine) en concomitance avec ce produit doit se faire exclusivement selon les indications de leur médecin (voir « Mises en garde et précautions »).
- +·Boissons alcoolisées ou médicaments contenant de l’alcool, puisque l’alcool augmente l’effet sédatif de la buprénorphine (voir « Effet sur l’aptitude à la conduite et l’utilisation de machines »).
- +·Autres dépresseurs du système nerveux central: autres dérivés opioïdes (p. ex. méthadone, antalgiques et antitussifs), certains antidépresseurs, les antihistaminiques H1 sédatifs, les barbituriques, les anxiolytiques autres que les benzodiazépines, les antipsychotiques, la clonidine et les substances apparentées. Ces associations augmentent la dépression du système nerveux central. La baisse du niveau de vigilance peut rendre dangereuse la conduite et l’utilisation de machines (voir « Effet sur l’aptitude à la conduite et l’utilisation de machines »).
- +·Antalgiques opioïdes: une antalgie adéquate peut être difficile à atteindre lorsque l’on administre un agoniste opioïde complet à des patients recevant de la buprénorphine. Le risque de surdosage existe également avec un agoniste complet, en particulier lorsque l’on essaye de surmonter les effets agonistes partiels de la buprénorphine, ou lorsque les concentrations plasmatiques de la buprénorphine diminuent (voir « Mises en garde et précautions »).
- +·Naltrexone et nalméfène: ce sont des antagonistes opioïdes suceptibles de bloquer les effets pharmacologiques de la buprénorphine. Pour les patients dépendants aux opioïdes recevant un traitement par la buprénorphine, la naltrexone peut précipiter l’apparition soudain de symptômes prolongés et intenses de sevrage aux opioïdes. Pour les patients qui reçoivent un traitement par naltrexone, les effets thérapeutiques souhaités de l’administration de buprénorphine peuvent être bloqués par la naltrexone.
- +·La buprénorphine est métabolisée en norbuprénorphine essentiellement par le CYP3A4. Les effets de l’exposition à la buprénorphine des patients traités par Buvidal n’ont pas été étudiés. Des interactions ont été établies lors de l’administration conjointe avec des inducteurs ou des inhibiteurs, dans des études utilisant la buprénorphine par voie transmuqueuse ou transdermique. La buprénorphine est aussi métabolisée en buprénorphine-3β-glucuronide par UGT1A1.
- +oLes inhibiteurs du CYP3A4 peuvent inhiber le métabolisme de la buprénorphine entraînant une augmentation de la Cmax et de l’ASC de la buprénorphine et de la norbuprénorphine. Buvidal évite les effets du premier passage hépatique, donc les inhibiteurs du CYP3A4 (p. ex. les inhibiteurs de la protéase tels que ritonavir, nelfinavir ou indinavir, ou les antifongiques azolés tels que kétoconazole ou itraconazole, ou les antibiotiques macrolides) devraient avoir moins d’effets sur le métabolisme de la buprénorphine lorsqu’ils sont administrés avec Buvidal que lorsqu’ils sont administrés avec la buprénorphine sublinguale. Lors du passage de la buprénorphine sublinguale à Buvidal, il peut être nécessaire de surveiller les patients afin de s’assurer que les concentrations plasmatiques de buprénorphine sont correctes.
- +Les patients qui reçoivent déjà Buvidal et commencent un traitement par inhibiteurs du CYP3A4 doivent être traités par Buvidal hebdomadaire et être surveillés pour détecter d’éventuels signes et symptômes de surtraitmement. À l’inverse, si un patient qui est traité en même temps par Buvidal et par un inhibiteur du CYP3A4 arrête le traitement par inhibiteur du CYP3A4, il devra être surveillé pour détecter des symptômes de sevrage.
- +oLes inducteurs du CYP3A4 peuvent induire le métabolisme de la buprénorphine entraînant une diminution des taux de buprénorphine. Buvidal évite les effets du premier passage hépatique, donc les inducteurs du CYP3A4 (p. ex., phénobarbital, carbamazépine, phénytoïne, ou rifampicine) devraient avoir moins d’effets sur le métabolisme de la buprénorphine lorsqu’ils sont administrés avec Buvidal que lorsqu’ils sont administrés avec la buprénorphine sublinguale. Lors du passage de la buprénorphine sublinguale à Buvidal, il peut être nécessaire de surveiller les patients afin de s’assurer que les concentrations plasmatiques de buprénorphine sont correctes. Les patients qui reçoivent déjà Buvidal et commencent un traitement par inducteurs du CYP3A4 doivent être traités par Buvidal hebdomadaire et être surveillés pour détecter d’éventuels signes et symptômes de sevrage. A l’inverse, si un patient qui est traité en même temps par Buvidal et par un inducteur du CYP3A4 arrête le traitement par inducteur du CYP3A4, il devra être surveillé pour détecter des symptômes de surdosage.
- +oLes inhibiteurs de UGT1A1 peuvent influencer l’exposition systémique à la buprénorphine.
- +·Inhibiteurs de la monoamine oxydase (IMAO): renforcement de l'effet des opioïdes, sur la base de l'expérience avec la morphine.
- +·Des médicaments sérotoninergiques, tels que les inhibiteurs de la MAO, les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (IRSN) ou les antidépresseurs tricycliques, puisque le risque de syndrome sérotoninergique, qui est une maladie potentiellement mortelle, est accru (voir « Mises en garde et précautions »).
- +Grossesse, Allaitement
- +Grossesse
- +Il n’existe pas de données ou il existe des données limitées sur l’utilisation de la buprénorphine chez la femme enceinte. Les études effectuées chez l’animal n’ont pas mis en évidence de toxicité sur la reproduction (voir « Données précliniques »). La buprénorphine ne doit être utilisée pendant la grossesse que si le bénéfice potentiel est supérieur au risque potentiel pour le fœtus.
- +En fin de grossesse, la buprénorphine peut provoquer une dépression respiratoire chez le nouveau-né même après une courte période d’administration. L’administration à long terme au cours des trois derniers mois de la grossesse peut provoquer un syndrome de sevrage chez le nouveau-né (p. ex. hypertonie, tremblements du nouveau-né, agitation néonatale, myoclonie ou convulsions). Le syndrome est généralement retardé de plusieurs heures à plusieurs jours après la naissance.
- +En raison de la longue demi-vie de la buprénorphine, une surveillance néonatale pendant plusieurs jours après la naissance doit être envisagée pour prévenir le risque de dépression respiratoire ou le syndrome de sevrage chez le nouveau-né.
- +Allaitement
- +La buprénorphine et ses métabolites sont excrétés dans le lait maternel. Buvidal doit être utilisé avec précaution pendant l’allaitement.
- +Fertilité
- +Il n’existe pas de données ou il existe des données limitées sur les effets de la buprénorphine sur la fertilité humaine.
- +Les études effectuées chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effets délétères de la buprénorphine sur la fertilité (voir « Données précliniques »).
- +Effet sur l’aptitude à la conduite et l’utilisation de machines
- +La buprénorphine a une influence mineure à modérée sur l’aptitude à la conduite des véhicules et à l’utilisation de machines lorsqu’elle est administrée à des patients dépendants aux opioïdes. La buprénorphine peut provoquer une somnolence, des vertiges ou une confusion mentale, en particulier pendant l’induction du traitement et l’adaptation posologique. En cas d’utilisation concomitante avec de l’alcool ou des dépresseurs du système nerveux central, l’effet risque d’être majoré (voir « Mises en garde et précautions » et « Interactions »).
- +Il faut recommander au patient de ne pas conduire et de ne pas utiliser de machine dangereuse pendant qu’il prend ce médicament tant que l’effet du médicament sur le patient n’est pas connu. Une recommandation individuelle doit être faite par le professionnel de santé en charge du traitement.
- +Effets indésirables
- +Résumé du profil de sécurité
- +Les effets indésirables signalés le plus fréquemment avec la buprénorphine sont les céphalées, les nausées, l’hyperhidrose, l’insomnie, le syndrome de sevrage et la douleur.
- +Liste des effets indésirables
- +Les termes et les fréquences ci-dessous sont utilisés : très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionels (≥1/1 000 à <1/100) et inconnus (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
- +Les effets indésirables signalés avec la buprénorphine, y compris le Buvidal, sont les suivants :
- +Infections et infestations
- +Fréquents: infection, grippe, pharyngite, rhinite
- +Occasionels: cellulite au site d’injection
- +Affections hématologiques et du système lymphatique
- +Fréquents: lymphadénopathie
- +Affections du système immunitaire
- +Fréquents: hypersensibilité
- +Troubles du métabolisme et de la nutrition
- +Fréquents: diminution de l’appétit
- +Troubles psychiatriques
- +Très fréquents: insomnie
- +Fréquents: anxiété, agitation, dépression, hostilité, nervosité, pensées anormales, paranoïa, pharmacodépendance
- +Inconnus: hallucinations, euphorie
- +Affections du système nerveux
- +Très fréquents: céphalées
- +Fréquents: somnolence, étourdissements, migraine, paresthésie, syncope, tremblement, hypertonie, trouble de l’élocution
- +Affections oculaires
- +Fréquents: trouble lacrymal, mydriase, myosis
- +Affections de l’oreille et du labyrinthe
- +Occasionels: vertiges
- +Affections cardiaques
- +Fréquents: palpitations
- +Affections vasculaires
- +Fréquents: vasodilatation, hypotension
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
- +Fréquents: toux, dyspnée, bâillement, asthme, bronchite
- +Affections gastro-intestinales
- +Très fréquents: nausées
- +Fréquents: constipation, vomissements, douleurs abdominales, flatulence, dyspepsie, sécheresse buccale, diarrhée, affection gastro-intestinale
- +Affections hépatobiliaires
- +Occasionels: élévation de l’alanine aminotransférase, élévation de l’aspartate aminotransférase, élévation des enzymes hépatiques
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
- +Fréquents: éruption cutanée, prurit, urticaire
- +Occasionels: éruption maculaire
- +Inconnus: érythème
- +Affections musculo-squelettiques et systémiques
- +Fréquents: arthralgie, dorsalgie, myalgie, spasmes musculaires, douleur cervicale, douleur osseuse
- +Affections du rein et des voies urinaires
- +Inconnus: rétention urinaire
- +Affections des organes de reproduction et du sein
- +Fréquents: dysménorrhée
- +Troubles généraux et anomalies au site d’administration
- +Très fréquents: hyperhidrose, syndrome de sevrage de drogue ou de médicament, douleur
- +Fréquents: douleur au site d’injection, prurit au site d’injection, érythème au site d’injection, œdème au site d’injection, réaction au site d’injection, induration au site d’injection, masse au site d’injection, œdème périphérique, asthénie, malaise, fièvre, frissons, syndrome de sevrage néonatal, douleur thoracique
- +Occasionels: inflammation au site d’injection, hématome au site d’injection, urticaire au site d’injection
- +Investigations
- +Fréquents: tests hépatiques anormaux
- +Lésions, intoxications et complications liées aux procédures
- +Occasionels: étourdissements lors des injections
- +Description de certains effets indésirables
- +Réactions au site d’injection
- +Dans l’étude d’efficacité de phase 3, en double aveugle, des effets indésirables au site d’injection ont été observés chez 36 (16.9%) des 213 patients (5% des injections administrées) dans le groupe de traitement par Buvidal. Les effets indésirables les plus fréquents étaient la douleur au site d’injection (8.9%), le prurit au site d’injection (6.1%) et l’érythème au site d’injection (4.7%). Les réactions au site d’injection étaient toutes d’intensité légère à modérée, et la majorité des événements étaient transitoires.
- +L’annonce d’effets secondaires présumés après l’autorisation est d’une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d’effet secondaire nouveau ou grave via le portail d’annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
- +Surdosage
- +Signes et symptômes
- +Le principal symptôme nécessitant une intervention médicale en cas de surdosage par la buprénorphine est la dépression respiratoire consécutive à une dépression du système nerveux central, puisqu’elle peut conduire à un arrêt respiratoire et au décès. Les autres signes précoces de surdosage peuvent être une transpiration excessive, une somnolence, une amblyopie, un myosis, une hypotension, des nausées, des vomissements et/ou des troubles de l’élocution.
- +Traitement
- +Une prise en charge globale, comprenant notamment une surveillance étroite de la fonction respiratoire et cardiaque du patient, doit être instaurée. Un traitement symptomatique de la dépression respiratoire après les mesures habituelles de soins intensifs doit être mis en place. Des voies respiratoires libres et une ventilation assistée ou contrôlée doit être assurée. Le patient doit être transféré dans une unité disposant de tous les moyens de réanimation nécessaires. Si le patient vomit, des précautions doivent être prises pour éviter l’aspiration. L’utilisation d’un antagoniste opioïde (c.-à -d., la naloxone) est recommandée, malgré l’effet modeste qu’elle peut avoir dans la suppresion des symptômes respiratoires induits par la buprénorphine comparé à ses effets sur les opioïdes agonistes complets.
- +La longue durée d’action de la buprénorphine et la libération prolongée de Buvidal doivent être prises en considération lors de la détermination de la durée du traitement nécessaire pour neutraliser les effets du surdosage (voir « Mises en garde et précautions »). La naloxone peut être éliminée plus rapidement que la buprénorphine, de ce fait les symptômes du surdosage de la buprénorphine préalablement contrôlés par la naloxone peuvent réapparaître.
- +Propriétés/Effets
- +Code ATC
-Wirkungsmechanismus
-Buprenorphin ist ein partieller Opioid-Agonist/Antagonist, der an die μ (My) und κ (Kappa)-Opioidrezeptoren des Gehirns bindet. Seine Wirksamkeit in der Erhaltungstherapie mit Opioiden beruht auf seiner Fähigkeit, sich langsam reversibel an die μ-Opioidrezeptoren zu binden, wodurch das Bedürfnis von Patienten mit Opioid-Abhängigkeit nach illegalen Opioiden über einen längeren Zeitraum minimiert werden kann.
-Opioid-agonistische Ceiling-Effekte wurden im Rahmen klinisch-pharmakologischer Studien bei opioidabhängigen Personen beschrieben.
-Pharmakodynamik
-Siehe «Wirkungsmechanismus».
-Klinische Wirksamkeit
-Die Wirksamkeit und Sicherheit von Buvidal bei der Behandlung von Opioid-Abhängigkeit wurden in einer randomisierten, doppelblinden, aktiv kontrollierten Doppel- Dummy-Zulassungsstudie der Phase 3 mit flexibler Dosis bei Patienten mit mittelschwerer bis schwerer Opioid-Abhängigkeit nachgewiesen. In dieser Studie wurden 428 Patienten in eine von zwei Behandlungsgruppen randomisiert. Patienten in der Buvidal-Gruppe (n = 213) erhielten während der ersten 12 Wochen wöchentliche Injektionen (16 mg bis 32 mg), gefolgt von monatlichen Injektionen (64 mg bis 160 mg) während der letzten 12 Wochen sowie tägliche Dosen von sublingualen Placebotabletten während des gesamten Behandlungszeitraums. Patienten in der sublingualen Buprenorphin/Naloxon-Gruppe (n = 215) erhielten während der ersten 12 Wochen wöchentliche Placebo-Injektionen, gefolgt von monatlichen Placebo-Injektionen während der letzten 12 Wochen sowie tägliche Dosen von sublingualen Buprenorphin/Naloxon-Tabletten während des gesamten Behandlungszeitraums (8 mg bis 24 mg während der ersten 12 Wochen und 8 mg bis 32 mg während der letzten 12 Wochen). Während der 12 Wochen mit monatlichen Injektionen konnten die Patienten in beiden Gruppen, falls erforderlich, eine zusätzliche wöchentliche Dosis Buvidal 8 mg pro Monat erhalten. Patienten nahmen während der ersten 12 Wochen 12 wöchentliche Termine und während der letzten 12 Wochen 6 Termine wahr (3 geplante monatliche Termine und 3 zufällige Termine zur toxikologischen Urinuntersuchung). Bei jedem Termin wurden die Wirksamkeits- und Sicherheitsmessgrößen beurteilt.
-Von den 428 randomisierten Patienten schlossen 69,0 % (147/213) der Patienten in der Buvidal-Behandlungsgruppe und 72,6 % (156/215) der Patienten in der sublingualen Buprenorphin/Naloxon-Behandlungsgruppe den 24wöchigen Behandlungszeitraum ab.
-Die Studie erreichte den primären Endpunkt der Nichtunterlegenheit, dem mittleren prozentualen Anteil von Urinproben, die während den Behandlungswochen 1 bis 24 in der Buvidal-Behandlungsgruppe im Vergleich zur sublingualen Buprenorphin/Naloxon-Gruppe negativ für illegale Opioide waren (Tabelle 3).
-Überlegenheit von Buvidal im Vergleich zu sublingualem Buprenorphin/Naloxon (vorab festgelegte Testfolge) wurde für den sekundären Endpunkt (kumulative Verteilungsfunktion (CDF) von Opioid-negativen Proben während der Behandlungswochen 4 bis 24) erreicht (Tabelle 3).
-Tabelle 3. Wirksamkeitsvariablen in einer randomisierten, doppelblinden, aktiv-kontrollierten Doppel-Dummy-Zulassungsstudie der Phase 3 mit flexibler Dosis bei Patienten mit mittelschwerer bis schwerer Opioid-Abhängigkeit
-Wirksamkeitsvariable Statistik Buvidal SL-BPN/NX Behandlungsunterschied (%)a (95 % KI) p-Wert
-Prozentualer Anteil der Urinproben, die negativ für illegale Opioide sind N 213 215
-LS-Mittelwert (%) (SF) 35,1 (2,48) 28,4 (2,47) 6,7 < 0,001
-(95 % KI) 30,3-40,0 23,5-33,3 -0,1-13,6
-CDF des prozentualen Anteils der Urinproben, die in den Wochen 4-24 negativ für illegale Opioide sind N 213 215
-Median 26,7 6,7 - 0,008b
- +Mécanisme d’action
- +La buprénorphine est un opioïde agoniste partiel/antagoniste partiel qui se lie aux récepteurs opioïdes cérébraux μ (mu) et κ (kappa). Son activité dans le traitement de substitution aux opioïdes est attribuée à sa liaison lentement réversible aux récepteurs opioïdes μ qui, sur une période prolongée, peut minimiser le besoin en opioïdes illicites chez les patients dépendants aux opioïdes.
- +Les effets plafond de l’agoniste opioïde ont été observés au cours des études de pharmacologie clinique chez des personnes dépendantes aux opioïdes.
- +Pharmacodynamique
- +Voir « Mécanisme d'action ».
- +Efficacité clinique
- +L’efficacité et la sécurité d’emploi de Buvidal dans le traitement de substitution aux opioïdes ont été démontrés dans une étude pivot de phase 3, randomisée, en double aveugle, double placebo, avec comparateur actif, à dose flexible, menée chez des patients présentant une dépendance aux opioïdes modérée à sévère. Dans cette étude, 428 patients ont été randomisés dans l’un des deux groupes de traitement. Les patients dans le groupe Buvidal (n = 213) ont reçu des injections hebdomadaires (16 mg à 32 mg) pendant les 12 premières semaines, suivies d’injections mensuelles (64 mg à 160 mg) pendant les 12 dernières semaines, plus des doses quotidiennes de comprimés placebo sublinguaux pendant l’ensemble de la période de traitement. Les patients dans le groupe buprénorphine/naloxone sublinguale (n = 215) ont reçu des injections hebdomadaires de placebo pendant les 12 premières semaines et des injections mensuelles de placebo pendant les 12 dernières semaines, plus des comprimés sublinguaux de buprénorphine/naloxone chaque jour pendant l’ensemble de la période de traitement (8 mg à 24 mg pendant les 12 premières semaines et 8 mg à 32 mg pendant les 12 dernières semaines). Au cours des 12 semaines d’injections mensuelles, les patients des deux groupes pouvaient recevoir, mensuellement, une dose supplémentaire de 8 mg de Buvidal hebdomadaire, si nécessaire. Les patients ont eu 12 visites hebdomadaires pendant les 12 premières semaines et 6 visites pendant les 12 dernières semaines (3 visites mensuelles prévues et 3 visites pour toxicologie urinaire aléatoires). À chaque visite, des mesures des résultats d’efficacité et de sécurité d’emploi ont été réalisées.
- +Sur les 428 patients randomisés, 69.0% (147/213) des patients dans le groupe de traitement par Buvidal et 72.6% (156/215) des patients dans le groupe de traitement par buprénorphine/naloxone sublinguale ont achevé la période de traitement de 24 semaines.
- +L’étude a atteint le critère d’évaluation principal de non-infériorité mesuré en pourcentage moyen d’échantillons urinaires négatifs aux opioïdes illicites pendant les semaines de traitement 1 à 24 pour le groupe Buvidal par rapport au groupe buprénorphine/naloxone sublinguale (Tableau 3).
- +La supériorité de Buvidal par rapport à buprénorphine/naloxone sublinguale a été démontrée (analyse définie à priori) pour le critère d’évaluation secondaire de fonction de distribution cumulative (cumulative distribution function, CDF) par le pourcentage d’échantillons urinaires négatifs aux opioïdes pendant les semaines de traitement 4 à 24 (Tableau 3).
- +Tableau 3. Variables d’efficacité dans l’étude pivot de phase 3, randomisée, en double aveugle, à double placebo, avec comparateur actif, à dose flexible, menée chez des patients présentant une dépendance aux opioïdes modérée à sévère
- +Variable d’efficacité Statistique Buvidal BPN/NX SL Différence entre les traitements (%)a (IC à 95 %) Valeur de p
- +Pourcentage d’échantillons urinaires négatifs aux opioïdes illicites N 213 215
- +Moyenne des MM (%) (ET) 35.1 (2.48) 28.4 (2.47) 6.7 < 0.001
- +IC Ã 95 % 30.3-40.0 23.5-33.3 -0.1-13.6
- +CDF du pourcentage d’échantillons urinaires négatifs aux opioïdes illicites sur les semaines 4 à 24 N 213 215
- +Médiane 26.7 6.7 - 0.008b
-CDF = kumulative Verteilungsfunktion, KI = Konfidenzintervall, LS = kleinste Quadrate, SF = Standardfehler, SL-BPN/NX = sublinguales Buprenorphin/Naloxon
-a Differenz = Buvidal – SL-BPN/NX.
-b Der p-Wert galt für Überlegenheit
-Es wurde eine offene Langzeit-Sicherheitsstudie der Phase 3 mit flexibler Dosierung von wöchentlichem und monatlichem Buvidal über 48 Wochen durchgeführt. In die Studie wurden insgesamt 227 Patienten mit mittelschwerer bis schwerer Opioid-Abhängigkeit aufgenommen, von denen 190 Patienten von sublingualem Buprenorphin (mit oder ohne Naloxon) umgestellt wurden und 37 Patienten, die erstmalig mit Buprenorphin behandelt wurden. Während des 48-wöchigen Behandlungszeitraums konnten Patienten zwischen wöchentlichen und monatlichen Injektionen von Buvidal sowie zwischen den Dosen (8 mg bis 32 mg wöchentlichen Buvidals und 64 mg bis 160 mg monatlichen Buvidals-) gemäß klinischer Beurteilung durch den Arzt wechseln.
-Bei Patienten, die von sublingualem Buprenorphin umgestellt wurden, betrug der prozentuale Anteil der Patienten, deren Urinproben negativ für illegale Opioide waren, 78,8 % bei Baseline und 84,0 % am Ende des 48wöchigen Behandlungszeitraums. Bei den erstmalig behandelten Patienten betrug der prozentuale Anteil der Patienten, deren Urinproben negativ für illegale Opioide waren, 0,0 % bei Baseline und 63,0 % am Ende des 48wöchigen Behandlungszeitraums. Insgesamt schlossen 156 Patienten (68,7 %) den 48wöchigen Behandlungszeitraum ab.
-Pharmakokinetik
-Wöchentliches Buvidal
- +CDF = fonction de distribution cumulative, IC = intervalle de confiance, MM = moindres carrés, ET = erreur type, BPN/NX SL = buprénorphine/naloxone sublinguale
- +a Différence = Buvidal – BPN/NX SL.
- +b La valeur de p concernait la supériorité
- +Une étude de phase 3, à long terme, en ouvert, avec dose flexible, évaluant la sécurité d’emploi de Buvidal hebdomadaire et mensuel pendant 48 semaines a été menée. L’étude a recruté un total de 227 patients présentant une dépendance aux opioïdes modérée à sévère, dont 190 étaient sous buprénorphine sublinguale (avec ou sans naloxone) et 37 patients étaient naïfs de traitement par buprénorphine. Pendant la période de traitement de 48 semaines, les patients pouvaient changer de modalité de traitement entre des injections hebdomadaires et des injections mensuelles de Buvidal et entre différentes doses (8 mg à 32 mg pour Buvidal hebdomadaire et 64 mg à 160 mg pour Buvidal mensuel), selon l’avis clinique du médecin.
- +Pour les patients traités auparavant par la buprénorphine sublinguale, la valeur initiale du pourcentage de patients ayant des échantillons urinaires négatifs aux opioïdes illicites était de 78,8% et de 84,0% à la fin de la période de traitement de 48 semaines. Pour les patients naïfs de traitement, la valeur initiale du pourcentage de patients ayant des échantillons urinaires négatifs aux opioïdes illicites était de 0,0% et de 63,0% à la fin de la période de traitement de 48 semaines. Dans l’ensemble des groupes, 156 patients (68,7%) ont achevé la période de traitement de 48 semaines.
- +Pharmacocinétique
- +Buvidal hebdomadaire
-Nach Injektion erhöht sich die Plasmakonzentration von Buprenorphin mit einer medianen Dauer von ca. 24 Stunden bis zum Erreichen der maximalen Plasmakonzentration (tmax). Buvidal hat eine vollständige absolute Bioverfügbarkeit. Die Steady-State-Exposition wird mit der vierten wöchentlichen Dosis erreicht.
-Im Dosisintervall 8 mg bis 32 mg wird ein dosisproportionaler Anstieg der Exposition beobachtet.
- +Après injection, la concentration plasmatique de buprénorphine augmente avec un délai médian pour atteindre la concentration plasmatique maximale (tmax) d’environ 24 heures. Buvidal a une biodisponibilité absolue complète. L’exposition à l’état d’équilibre est atteinte à la quatrième dose hebdomadaire.
- +On observe des augmentations de l’exposition proportionnelles à l’intervalle de dose de 8 mg à 32 mg.
-Das scheinbare Verteilungsvolumen von Buprenorphin beträgt ca. 1900 l. Buprenorphin liegt zu ca. 96 % proteingebunden vor, primär an Alpha- und Betaglobulin.
-Metabolismus
-Buprenorphin wird oxidativ durch 14-N-Dealkylierung zu N-Dealkylbuprenorphin (auch bekannt als Norbuprenorphin) über Cytochrom P450 CYP3A4 und durch Glukuronidierung des Stammmoleküls und des dealkylierten Metaboliten metabolisiert. Norbuprenorphin ist ein μ-Opioidagonist mit einer schwachen intrinsischen Aktivität.
-Subkutane Anwendung von Buvidal führt aufgrund der Vermeidung eines First-Pass-Metabolismus zu signifikant geringeren Plasmakonzentrationen des Norbuprenorphin-Metaboliten im Vergleich zur Anwendung von sublingualem Buprenorphin.
-Elimination
-Die Elimination von Buprenorphin aus Buvidal wird durch die Freisetzungsrate begrenzt, mit einer terminalen Halbwertszeit von 3 bis 5 Tagen.
-Buprenorphin wird nach biliärer Exkretion der glukuronidierten Metaboliten (zu 70 %) über die Fäzes ausgeschieden. Der Rest wird über den Urin ausgeschieden. Die Gesamt-Clearance von Buprenorphin beträgt ca. 68 l/h.
-Monatliches Buvidal
- +Le volume de distribution apparent de la buprénorphine est d’environ 1900 l. La buprénorphine se lie aux protéines à environ 96%, principalement aux globulines alpha et bêta.
- +Métabolisme
- +La buprénorphine est métabolisée par oxydation par 14-N-désalkylation en N-désalkyl-buprénorphine (également appelée norbuprénorphine) via le cytochrome P450 CYP3A4 et par glucuronoconjugaison de la molécule parente et du métabolite désalkylé. La norbuprénorphine est un agoniste opioïde μ ayant une faible activité intrinsèque.
- +L’administration sous-cutanée de Buvidal donne des concentrations plasmatiques du métabolite norbuprénorphine significativement plus basses que l’administration de buprénorphine sublinguale, du fait que le métabolisme du premier passage hépatique a été évité.
- +Élimination
- +L’élimination de la buprénorphine de Buvidal est limitée par la vitesse de libération, avec une demi-vie terminale allant de 3 à 5 jours.
- +La buprénorphine est principalement éliminée dans les selles par excrétion biliaire des métabolites glucuronoconjugués (70%), le reste étant éliminé dans l’urine. La clairance totale de buprénorphine est d’environ 68 l/h.
- +Buvidal mensuel
-Nach Injektion erhöht sich die Plasmakonzentration von Buprenorphin mit einer medianen Dauer von ca. 6–10 Stunden bis zum Erreichen der maximalen Plasmakonzentration (tmax). Buvidal hat eine vollständige absolute Bioverfügbarkeit. Die Steady-State-Exposition wird mit der vierten monatlichen Dosis erreicht.
-Im Dosisintervall 64 mg bis 128 mg wird ein dosisproportionaler Anstieg der Exposition beobachtet.
- +Après injection, la concentration plasmatique de buprénorphine augmente avec un délai médian pour atteindre la concentration plasmatique maximale (tmax) de 6 à 10 heures. Buvidal a une biodisponibilité absolue complète. L’exposition à l’état d’équilibre est atteinte à la quatrième dose mensuelle.
- +On observe des augmentations de l’exposition proportionnelles à l’intervalle de dose de 64 mg à 128 mg.
-Das scheinbare Verteilungsvolumen von Buprenorphin beträgt ca. 1900 l. Buprenorphin liegt zu ca. 96 % proteingebunden vor, primär an Alpha- und Betaglobulin.
-Metabolismus
-Buprenorphin wird oxidativ durch 14-N-Dealkylierung zu N-Dealkylbuprenorphin (auch bekannt als Norbuprenorphin) über Cytochrom P450 CYP3A4 und durch Glukuronidierung des Stammmoleküls und des dealkylierten Metaboliten metabolisiert. Norbuprenorphin ist ein μ-Opioidagonist mit einer schwachen intrinsischen Aktivität.
-Subkutane Anwendung von Buvidal führt aufgrund der Vermeidung eines First-Pass-Metabolismus zu signifikant geringeren Plasmakonzentrationen des Norbuprenorphin-Metaboliten im Vergleich zur Anwendung von sublingualem Buprenorphin.
-Elimination
-Die Elimination von Buprenorphin aus Buvidal wird durch die Freisetzungsrate begrenzt, mit einer terminalen Halbwertszeit von 19 bis 25 Tagen.
-Buprenorphin wird nach biliärer Exkretion der glukuronidierten Metaboliten (zu 70 %) über die Fäzes ausgeschieden. Der Rest wird über den Urin ausgeschieden. Die Gesamt-Clearance von Buprenorphin beträgt ca. 68 l/h.
-Kinetik spezieller Patientengruppen
-Ältere Patienten
-Es liegen keine pharmakokinetischen Daten zu älteren Patienten (> 65 Jahre) vor.
-Nierenfunktionsstörungen
-Die renale Elimination spielt bei der Gesamt-Clearance von Buprenorphin eine relativ geringe Rolle (≈30%). Ausgehend von der Nierenfunktion ist keine Dosismodifikation erforderlich. Vorsicht ist jedoch bei Patienten mit schwerer Nierenfunktionsstörung geboten (siehe «Dosierung/Anwendung» und «Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen»).
-Leberfunktionsstörungen
-Tabelle 4 fasst die Ergebnisse einer klinischen Studie zusammen, bei der die Exposition zu Buprenorphin nach Anwendung von Buprenorphin/Naloxon 2,0/0,5 mg als Sublingualtablette an gesunde Probanden und an Probanden mit unterschiedlich ausgeprägten Leberfunktionsstörungen bestimmt wurde.
-Tabelle 4. Auswirkungen von Leberfunktionsstörungen (Veränderung im Vergleich zu gesunden Probanden) auf die Pharmakokinetik nach sublingualer Anwendung von Buprenorphin und Naloxon (2,0/0,5 mg) bei gesunden Probanden und bei Probanden mit unterschiedlich ausgeprägten Leberfunktionsstörungen
-Pharmakokinetische Parameter Leichte Leberfunktionsstörung (Child-Pugh-Klasse A) (n = 9) Mittelschwere Leberfunktionsstörung (Child-Pugh-Klasse B) (n = 8) Schwere Leberfunktionsstörung (Child-Pugh-Klasse C) (n = 8)
-Buprenorphin
-Cmax 1,2-fache Erhöhung 1,1-fache Erhöhung 1,7-fache Erhöhung
-AUClast Vergleichbar mit gesunder Kontrollgruppe 1,6-fache Erhöhung 2,8-fache Erhöhung
- +Le volume de distribution apparent de la buprénorphine est d’environ 1900 l. La buprénorphine se lie aux protéines à environ 96%, principalement aux globulines alpha et bêta.
- +Métabolisme
- +La buprénorphine est métabolisée par oxydation par 14-N-désalkylation en N-désalkyl-buprénorphine (également appelée norbuprénorphine) via le cytochrome P450 CYP3A4 et par glucuronoconjugaison de la molécule parente et du métabolite désalkylé. La norbuprénorphine est un agoniste opioïde μ ayant une faible activité intrinsèque.
- +L’administration sous-cutanée de Buvidal donne des concentrations plasmatiques du métabolite norbuprénorphine significativement plus basses que l’administration de buprénorphine sublinguale, du fait que le métabolisme du premier passage hépatique a été évité.
- +Élimination
- +L’élimination de la buprénorphine de Buvidal est limitée par la vitesse de libération, avec une demi-vie terminale allant de 19 à 25 jours.
- +La buprénorphine est principalement éliminée dans les selles par excrétion biliaire des métabolites glucuronoconjugués (70%), le reste étant éliminé dans l’urine. La clairance totale de buprénorphine est d’environ 68 l/h.
- +Cinétique pour certains groupes de patients
- +Patients âgés
- +Aucune donnée pharmacocinétique chez les patients âgés (> 65 ans) n’est disponible.
- +Troubles de la fonction rénale
- +L’élimination rénale joue un rôle relativement faible (»30 %) dans l’ensemble de la clairance de la buprénorphine. Aucune modification de la posologie basée sur la fonction rénale n’est requise, mais la prudence est recommandée lors de l’administration du produit à des patients présentant une insuffisance rénale sévère (voir « Posologie/Mode d’emploi » et « Mises en garde et précautions »).
- +Troubles de la fonction hépatique
- +Le Tableau 4 résume les résultats d’une étude clinique dans laquelle l’exposition à la buprénorphine a été déterminée après l’administration de buprénorphine/naloxone à 2.0/0.5 mg en comprimé sublingual, chez des sujets sains et chez les sujets atteints de divers degrés d’insuffisance hépatique.
- +Tableau 4. Effet de l’insuffisance hépatique (variation par rapport aux sujets sains) sur les paramètres pharmacocinétiques de la buprénorphine après administration sublinguale de buprénorphine/naloxone (2.0/0.5 mg) à des sujets sains et à des sujets atteints de divers degrés d’insuffisance hépatique
- +Paramètre pharmacocinétique Insuffisance hépatique légère (Child-Pugh de Classe A) (n=9) Insuffisance hépatique modéré (Child-Pugh de Classe B) (n=8) Insuffisance hépatique sévère (Child-Pugh de Classe C) (n=8)
- +Buprénorphine
- +Cmax Augmentation de 1.2 fois Augmentation de 1.1 fois Augmentation de 1.7 fois
- +ASCdéfinie Identique à la valeur de contrôle Augmentation de 1.6 fois Augmentation de 2.8 fois
-Insgesamt wurde bei Patienten mit schwerer Leberfunktionsstörung ein Buprenorphin-Anstieg im Blutplasma um das Dreifache verzeichnet (siehe «Dosierung/Anwendung», «Kontraindikationen» und «Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen»).
-Kinder und Jugendliche
-Es liegen keine pharmakokinetischen Daten zu Kindern und Jugendlichen (unter 18 Jahren) vor. Simulierte Daten zur Buprenorphin-Exposition bei Jugendlichen im Alter von 16 Jahren zeigen sowohl mit wöchentlich als auch mit monatlich angewendetem Buvidal eine geringere Cmax und AUC im Vergleich zu den Werten bei Erwachsenen.
-Präklinische Daten
-Die akute Toxizität von Buprenorphin wurde bei Mäusen und Ratten nach oraler und parenteraler (intravenös, intraperitoneal) Anwendung bestimmt. Nebenwirkungen beruhten auf der bekannten pharmakologischen Aktivität von Buprenorphin.
-Buprenorphin zeigte geringe Gewebe- und biochemische Toxizitäten, wenn es für einen Monat subkutan an Beagle, für einen Monat oral an Rhesusaffen und für sechs Monate intramuskulär an Ratten und Paviane verabreicht wurde.
-Studien zur Teratogenität und zur Reproduktionstoxikologie an Ratten und Kaninchen mit intramuskulärer Anwendung kamen zu dem Schluss, dass Buprenorphin nicht embryotoxisch oder teratogen ist und keine ausgeprägten Auswirkungen auf das Entwöhnungspotential hat. Bei Ratten traten keine unerwünschten Wirkungen auf die Fertilität und allgemeine Reproduktionsfunktion auf.
-Untersuchungen zur chronischen Toxizität des für Buvidal verwendeten Vehikels bei Ratten und Hunden ließen keine besonderen Gefahren für den Menschen erkennen.
-Sonstige Hinweise
- +Globalement, l’exposition plasmatique à la buprénorphine a été multipliée par environ 3 chez les sujets ayant une insuffisance hépatique sévère (voir « Posologie/Mode d’emploi », « Contre-indications » et « Mises en garde et précautions »).
- +Enfants et adolescents
- +Aucune donnée pharmacocinétique n’est disponible chez les enfants et adolescents (âgés de moins de 18 ans). Les données de simulation d’exposition à la buprénorphine chez des adolescents âgés de 16 ans montrent une Cmax et une ASC plus faibles que les valeurs observées chez l’adulte traités par Buvidal hebdomadaire et mensuel.
- +Données précliniques
- +La toxicité aiguë de la buprénorphine a été déterminée chez la souris et le rat après une administration orale et parentérale (intraveineuse, intrapéritonéale). Les effets indésirables étaient basés sur l’activité pharmacologique connue de la buprénorphine.
- +La buprénorphine a montré une faible toxicité tissulaire et biologique chez des chiens qui ont reçu le produit par voie sous-cutanée pendant un mois, chez des macaques rhésus qui l’ont reçu par voie orale pendant un mois et chez des rats et des babouins qui l’ont reçu par voie intramusculaire pendant six mois.
- +Des études de tératologie et de toxicité sur la reproduction menées chez le rat et le lapin en administration intramusculaire ont conclu que la buprénorphine n’est pas embryotoxique et n’a pas d’effet sensible sur le potentiel de sevrage de la progéniture. Chez le rat, aucun effet indésirable n’a été observé sur la fertilité de la fonction reproductrice générale.
- +Des études de toxicité chronique chez le rat et le chien de l’excipient utilisé pour Buvidal n’ont révélé aucun risque particulier pour l’homme.
- +Remarques particulières
-Buprenorphin wird mit den gegenwärtig durchgeführten Urin-Tests nicht erfasst, es kann aber mit einem im Handel erhältlichen Buprenorphin-Urin-Test erfasst werden.
-Inkompatibilitäten
-Das Arzneimittel darf nicht mit anderen Arzneimitteln gemischt werden.
-Haltbarkeit
-Das Arzneimittel darf nur bis zu dem auf dem Behälter mit „EXP“ bezeichneten Datum verwendet werden.
-Besondere Lagerungshinweise
-Nicht über 30°C lagern.
-Nicht im Kühlschrank lagern.
-Nicht einfrieren.
-Ausser Reichweite von Kindern aufbewahren.
-Hinweise für die Handhabung
-Wichtige Informationen
-·Die Injektion muss in subkutanes Gewebe erfolgen.
-·Intravaskuläre, intramuskuläre und intradermale Anwendung muss vermieden werden.
-·Darf nicht verwendet werden, wenn die Sicherheitsspritze oder die Verpackung beschädigt ist.
-·Die Kanülenschutzkappe der Spritze kann Kautschuklatex enthalten, der bei latexempfindlichen Personen allergische Reaktionen hervorrufen kann.
-·Handhaben Sie die Sicherheitsspritze mit Vorsicht, um einen Kanülenstich zu vermeiden. Die Sicherheitsspritze verfügt über einen Kanülenschutzmechanismus, der am Ende der Injektion aktiviert wird. Entfernen Sie die Kanülenschutzkappe nicht von der Sicherheitsspritze, ehe Sie zur Injektion bereit sind. Stecken Sie die Kanülenschutzkappe niemals wieder auf die Kanüle, nachdem sie einmal entfernt wurde.
-·Entsorgen Sie die Sicherheitsspritze sofort nach dem Gebrauch. Verwenden Sie die Sicherheitsspritze nicht nochmals.
-Vor der Anwendung
-Teile der Sicherheitsspritze:
- +La buprénorphine ne peut pas être décelée dans l'urine avec les tests habituels. Il est cependant possible d'obtenir dans le commerce un kit de test urinaire spécifique pour la buprénorphine.
- +Incompatibilités
- +Ce médicament ne doit pas être mélangé avec d’autres médicaments.
- +Stabilité
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
- +Remarques particulières concernant le stockage
- +Ne pas conserver au-dessus de 30°C.
- +Ne pas conserver au réfrigérateur.
- +Ne pas congeler.
- +Conserver hors de portée des enfants.
- +Remarques concernant la manipulation
- +Informations importantes
- +·L’administration doit se faire dans le tissu sous-cutané.
- +·Toute administration intravasculaire, intramusculaire et intradermique doit être évitée.
- +·Le produit ne doit pas être utilisé si la seringue sécurisée est cassée ou si l’emballage est endommagé.
- +·Le protège-aiguille de la seringue peut contenir du latex qui peut provoquer des réactions allergiques chez les personnes sensibles au latex.
- +·Manipuler la seringue sécurisée avec précaution afin d’éviter toute piqûre accidentelle. La seringue sécurisée comprend un dispositif de sécurité de protection de l’aiguille, qui s’active à la fin de l’injection. Ne pas retirer le bouchon de la seringue sécurisée tant que vous n’êtes pas prêt à réaliser l’injection. Une fois le bouchon retiré, n’essayez jamais de le replacer sur l’aiguille.
- +·Jeter la seringue sécurisée usagée immédiatement après utilisation. Ne pas réutiliser la seringue sécurisée.
- +Avant l’administration
- +Éléments de la seringue sécurisée :
-Abbildung 1: Sicherheitsspritze: Vor der Anwendung a) Kanülenschutzkappe, b) Spritzenschutzkörper, c) Spritzenschutzflügel, d) Kolben, e) Kolbenkopf Sicherheitsspritze: Nach der Anwendung (mit aktiviertem Kanülenschutzmechanismus)
- +Figure 1 : Seringue sécurisée : Avant utilisation a) protège-aiguille, b) corps de protection de la seringue, c) ailettes de protection de la seringue, d) piston, e) tête du piston Seringue sécurisée : Après utilisation (avec le mécanisme de protection de l’aiguille activé)
-Beachten Sie, dass das kleinste Injektionsvolumen im Sichtfenster kaum noch sichtbar ist, da die Feder der Sicherheitsvorrichtung einen Teil des Glaszylinders in der Nähe der Kanüle „abdeckt“.
-
-Anwendung (siehe auch «Dosierung/Anwendung»)
--Nehmen Sie die Spritze aus dem Umkarton: Halten Sie die Spritze beim Herausnehmen am Spritzenschutzkörper.
--Während Sie die Spritze an der Kanülenschutzkappe festhalten, führen Sie die Kolbenstange in den Kolbenstopfen, indem Sie die Kolbenstange vorsichtig im Uhrzeigersinn drehen, bis diese fest sitzt (siehe Abbildung 2).
- +Veuillez noter que le plus petit volume d’injection est à peine visible dans la fenêtre de visualisation, puisque le ressort du dispositif de sécurité « masque » une partie du cylindre en verre près de l’aiguille.
- +Administration (voir aussi « Posologie/Mode d’emploi »)
- +-Sortez la seringue de la boîte en carton : saisissez la seringue par son corps de protection.
- +-Pendant que vous tenez la seringue par le protège-aiguille, insérez la tige du piston dans le bouchon de piston en faisant tourner délicatement la tige du piston dans le sens des aiguilles d’une montre jusqu’à ce qu’elle soit bien fixée (voir Figure 2).
-Abbildung 2: Vorher Nachher
- +Figure 2 : Avant Après
--Untersuchen Sie die Sicherheitsspritze genau:
-§Verwenden Sie die Sicherheitsspritze nach dem auf dem Umkarton oder dem Spritzenetikett angegebenen Verfalldatum nicht mehr.
-§Eine kleine Luftblase kann sichtbar sein, das ist normal.
-§Die Flüssigkeit muss klar sein. Verwenden Sie die Sicherheitsspritze nicht, wenn die Flüssigkeit sichtbare Partikel enthält oder trübe ist.
--Wählen Sie die Injektionsstelle aus. Es sollte eine Rotation der Injektionen zwischen den Bereichen am Gesäß, Oberschenkel, Bauch oder Oberarm erfolgen (siehe Abbildung 3), mit mindestens 8 Wochen vor erneuter Injektion in eine zuvor verwendete Injektionsstelle. Vermeiden Sie Injektionen in die Taille oder innerhalb von 5 cm um den Nabel.
- +-Inspectez attentivement la seringue sécurisée :
- +§N’utilisez pas la seringue sécuriseé au-delà de la date de péremption indiquée sur le carton ou sur l’étiquette de la seringue.
- +§Une petite bulle d’air peut être visible. C’est normal.
- +§Le liquide doit être limpide. N’utilisez pas la seringue sécuriseé si le liquide contient des particules visibles ou s’il est trouble.
- +-Choisissez le site d’injection. Il convient d’alterner les sites d’injection, entre la fesse, la cuisse, l’abdomen et le bras (voir Figure 3), avec un intervalle minimum de 8 semaines avant de réinjecter dans un site d’injection déjà utilisé au préalable. Les injections au niveau de la taille ou à moins de 5 cm du nombril doivent être évitées.
-Abbildung 3:
--Ziehen Sie Handschuhe an und reinigen Sie die Injektionsstelle in einer kreisförmigen Bewegung mit einem Alkoholtupfer (nicht in der Packung enthalten). Berühren Sie vor der Injektion den gereinigten Bereich nicht mehr.
--Während Sie die Sicherheitsspritze am Spritzenschutzkörper festhalten (siehe Abbildung 4), ziehen Sie die Kanülenschutzkappe vorsichtig gerade ab. Entsorgen Sie die Kanülenschutzkappe sofort (niemals eine Kanülenschutzkappe wieder aufsetzen). Ein Flüssigkeitstropfen kann am Ende der Kanüle sichtbar sein. Das ist normal.
- +Figure 3 :
- +-Mettez des gants et nettoyez le site d’injection en mouvements circulaires à l’aide d’une lingette imbibée d’alcool (non fournie dans le carton). Ne touchez plus la peau nettoyée avant de réaliser l’injection.
- +-Tout en maintenant la seringue sécurisée par le corps de protection de la seringue, comme indiqué (voir Figure 4), retirez délicatement le protège-aiguille. Jetez immédiatement le protège-aiguille (n’essayez jamais de le replacer sur l’aiguille). Il se peut qu’une goutte de liquide apparaisse au bout de l’aiguille. C’est normal.
-Abbildung 4:
--Drücken Sie die Haut an der Injektionsstelle zwischen Daumen und Finger zusammen wie gezeigt (Abbildung 5).
--Halten Sie die Sicherheitsspritze wie gezeigt und führen Sie die Kanüle in einem Winkel von ca. 90° sanft ein (siehe Abbildung 5). Drücken Sie die Kanüle vollständig hinein.
- +Figure 4 :
- +-Pincez la peau au site d’injection entre le pouce et l’index, comme indiqué (voir Figure 5).
- +-Tenez la seringue sécurisée comme indiqué et introduisez doucement l’aiguille à un angle d’environ 90° (voir Figure 5). Enfoncez l’aiguille jusqu’au bout.
-Abbildung 5:
--Während Sie die Spritze halten wie gezeigt (siehe Abbildung 6), drücken Sie den Kolben langsam herunter, bis der Kolbenkopf zwischen den Spritzenflügeln einhakt und die Lösung vollständig injiziert ist.
- +Figure 5 :
- +-Tout en tenant la seringue comme indiqué (voir Figure 6), enfoncez lentement le piston jusqu’à ce que sa tête soit bloquée entre les ailettes de protection de la seringue et que la solution soit intégralement injectée.
-Abbildung 6:
--Ziehen Sie die Kanüle behutsam aus der Haut. Es wird empfohlen, den Kolben vollständig gedrückt zu halten, während die Kanüle vorsichtig, gerade aus der Injektionsstelle herausgezogen wird (siehe Abbildung 7).
- +Figure 6 :
- +-Retirez délicatement l’aiguille de la peau. Il est recommandé que le piston reste entièrement enfoncé lorsque vous retirez délicatement l’aiguille du site d’injection (voir Figure 7).
-Abbildung 7:
--Sobald die Kanüle vollständig herausgezogen wurde, nehmen Sie langsam den Daumen vom Kolben und lassen Sie den Spritzenschutz die herausstehende Kanüle automatisch abdecken (siehe Abbildung 8). An der Injektionsstelle kann sich eine kleine Menge Blut befinden, wischen Sie diese ggf. mit einem Wattebausch oder Verbandmull ab.
- +Figure 7 :
- +-Dès que l’aiguille est entièrement retirée de la peau, soulevez lentement votre pouce du piston et laissez la protection de seringue recouvrir automatiquement l’aiguille exposée (voir Figure 8). Il peut y avoir une petite quantité de sang au site d’injection. Si nécessaire, essuyez à l’aide d’un tampon de coton ou d’une compresse.
-Abbildung 8:
-Entsorgung der Spritze
-Nicht verwendetes Arzneimittel oder Abfallmaterial ist entsprechend den lokalen Anforderungen zu beseitigen.
-Zulassungsnummer
- +Figure 8 :
- +Élimination de la seringue
- +Tout médicament non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation locales.
- +Numéro d’autorisation
-Packungen
-8 mg Buvidal: 1 Fertigspritze (0,16 ml) mit Stopfen, Kanüle, Kanülenschutzkappe, Sicherheitsvorrichtung und 1 Kolbenstange [A].
-16 mg Buvidal: 1 Fertigspritze (0,32 ml) mit Stopfen, Kanüle, Kanülenschutzkappe, Sicherheitsvorrichtung und 1 Kolbenstange [A].
-24 mg Buvidal: 1 Fertigspritze (0,48 ml) mit Stopfen, Kanüle, Kanülenschutzkappe, Sicherheitsvorrichtung und 1 Kolbenstange [A].
-32 mg Buvidal: 1 Fertigspritze (0,64 ml) mit Stopfen, Kanüle, Kanülenschutzkappe, Sicherheitsvorrichtung und 1 Kolbenstange [A].
-64 mg Buvidal: 1 Fertigspritze (0,18 ml) mit Stopfen, Kanüle, Kanülenschutzkappe, Sicherheitsvorrichtung und 1 Kolbenstange [A].
-96 mg Buvidal: 1 Fertigspritze (0,27 ml) mit Stopfen, Kanüle, Kanülenschutzkappe, Sicherheitsvorrichtung und 1 Kolbenstange [A].
-128 mg Buvidal: 1 Fertigspritze (0,36 ml) mit Stopfen, Kanüle, Kanülenschutzkappe, Sicherheitsvorrichtung und 1 Kolbenstange [A].
-1 ml-Fertigspritze (Typ-I-Glas) mit Kolbenstopfen (Fluorpolymer-beschichteter Bromobutyl-Kautschuk) mit Kanüle (1/2-Inch, 23-G, 12 mm) und Kanülenschutzkappe (Styrol-Butadien-Kautschuk). Die Fertigspritze ist in einer Sicherheitsvorrichtung zum Schutz vor Kanülenstichen nach der Injektion montiert. Die Kanülenschutzkappe der Sicherheitsspritze kann Kautschuklatex enthalten, der bei latexempfindlichen Personen allergische Reaktionen hervorrufen kann.
-Zulassungsinhaberin
- +Présentation
- +8 mg Buvidal: 1 seringue préremplie (0.16 ml) avec un bouchon, une aiguille, un protège-aiguille, un dispositif de sécurité et 1 tige de piston [A].
- +16 mg Buvidal: 1 seringue préremplie (0.32 ml) avec un bouchon, une aiguille, un protège-aiguille, un dispositif de sécurité et 1 tige de piston [A].
- +24 mg Buvidal: 1 seringue préremplie (0.48 ml) avec un bouchon, une aiguille, un protège-aiguille, un dispositif de sécurité et 1 tige de piston [A].
- +32 mg Buvidal: 1 seringue préremplie (0.64 ml) avec un bouchon, une aiguille, un protège-aiguille, un dispositif de sécurité et 1 tige de piston [A].
- +64 mg Buvidal: 1 seringue préremplie (0.18 ml) avec un bouchon, une aiguille, un protège-aiguille, un dispositif de sécurité et 1 tige de piston [A].
- +96 mg Buvidal: 1 seringue préremplie (0.27 ml) avec un bouchon, une aiguille, un protège-aiguille, un dispositif de sécurité et 1 tige de piston e [A].
- +128 mg Buvidal: 1 seringue préremplie (0.36 ml) avec un bouchon, une aiguille, un protège-aiguille, un dispositif de sécurité et 1 tige de piston [A].
- +Une seringue préremplie d’1 ml (verre de type I) avec bouchon de piston (caoutchouc bromobutyle revêtu de fluoropolymère) avec aiguille (½ pouce, 23 G, 12 mm) et protège-aiguille (caoutchouc styrène-butadiène). La seringue préremplie est assemblée dans un dispositif de sécurité en prévention des piqûres d’aiguille post-injection. Le protège-aiguille de la seringue sécurisée peut contenir du latex qui peut provoquer des réactions allergiques chez les personnes sensibles au latex.
- +Titulaire de l’autorisation
-Stand der Information
-Dezember 2020
- +Mise à jour de l’information
- +Décembre 2020
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