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Accueil - Information professionnelle sur Buvidal 8 mg - Changements - 21.12.2024
50 Changements de l'information professionelle Buvidal 8 mg
  • -·Hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipients.
  • +·Hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipients
  • +Comme pour tous les opioïdes, l’utilisation de Buvidal comporte un risque de dépression respiratoire cliniquement significative. Si elle n’est pas détectée et traitée immédiatement, une dépression respiratoire peut conduire à un arrêt respiratoire et au décès. En fonction de l’état clinique du patient, le traitement d’une dépression respiratoire peut inclure une surveillance étroite, des mesures de soutien et l’administration d’antagonistes des opioïdes. Une dépression respiratoire grave, engageant le pronostic vital ou d’issue fatale peut survenir à tout moment du traitement, mais le risque est maximal au début du traitement et après une augmentation posologique.
  • -La buprénorphine peut provoquer une dépression respiratoire grave, potentiellement mortelle, chez les enfants et les personnes non dépendantes aux opioïdes en cas d’ingestion accidentelle ou volontaire.
  • -Dépression du SNC
  • -La buprénorphine peut provoquer une somnolence, particulièrement lorsqu’elle est prise avec de l’alcool ou des dépresseurs du système nerveux central (tels que les benzodiazépines, tranquillisants, sédatifs, gabapentinoïdes ou hypnotiques) (voir « Interactions » et « Effet sur l’aptitude à la conduite et l’utilisation de machines »).
  • -Dépendance
  • -La buprénorphine est un agoniste partiel du récepteur opioïde µ, et son administration chronique peut entrainer une dépendance aux opioïdes.
  • +Exposition accidentelle
  • +L’administration de Buvidal est exclusivement réservée aux professionnels de santé. Buvidal contient un principe actif dans une concentration qui peut être fatale, notamment pour les enfants.
  • +Utilisation concomitante de substances ayant un effet dépresseur sur le système nerveux central
  • +L’utilisation concomitante d’opioïdes et de benzodiazépines ou d’autres substances ayant un effet dépresseur sur le système nerveux central (SNC) peut entraîner une sédation importante, une dépression respiratoire, un coma ou le décès. Étant donné ces risques, il ne faut administrer de manière concomitante des opioïdes et des benzodiazépines ou d’autres médicaments ayant un effet dépresseur sur le SNC que chez les patients pour lesquels aucune autre option de traitement n’est envisageable. Si l’on décide de prescrire Buvidal en même temps que des benzodiazépines ou d’autres médicaments ayant un effet dépresseur sur le SNC, il convient d’opter pour la posologie minimale efficace et la plus courte durée possible de traitements concomitants. Les patients doivent faire l’objet d’une surveillance étroite afin de détecter les signes et symptômes de dépression respiratoire et de sédation (voir rubrique « Interactions »).
  • +Dépendance médicamenteuse et potentiel d’abus
  • +La buprénorphine est un agoniste partiel du récepteur opioïde µ. L’utilisation répétée d’opioïdes peut entraîner le développement d’une tolérance et d’une dépendance physique et/ou psychique. On peut observer l’apparition d’une dépendance iatrogène après l’utilisation d’opioïdes. Comme d’autres opioïdes, Buvidal peut faire l’objet d’abus et il convient de surveiller les signes d’abus et de dépendance chez tous les patients recevant des opioïdes. Les patients présentant un risque accru d’abus d’opioïdes peuvent cependant être adéquatement traités par des opioïdes, mais doivent faire l’objet d’une surveillance complémentaire pour détecter les signes de mésusage, d’abus ou de dépendance. L’utilisation répétée de Buvidal peut induire un trouble de l’usage d’opioïdes (TUO). L’abus ou le mésusage intentionnel de Buvidal peut conduire à un surdosage et/ou au décès. Le risque de développer un TUO est accru chez les patients ayant des antécédents personnels ou familiaux (parents ou frères et sœurs) de troubles de l’usage de substances (y compris l’alcool), chez les fumeurs ou chez les patients présentant d’autres affections psychiques (p. ex. dépression majeure, troubles anxieux et troubles de la personnalité) dans l’anamnèse. Il convient de surveiller les signes d’un comportement addictif (drug-seeking behaviour) (p. ex. demandes prématurées de renouvellement d’ordonnance). Cela inclut le contrôle de l’utilisation concomitante d’opioïdes et de médicaments psychoactifs (comme les benzodiazépines). Pour les patients présentant des signes et symptômes de troubles de l’usage d’opioïdes, la consultation d’un spécialiste des addictions doit être envisagée.
  • -Lors de l’instauration d’un traitement par buprénorphine, il est important de prendre en compte le profil agoniste partiel de la buprénorphine. La buprénorphine peuvent précipiter l’apparition des symptômes de sevrage chez les patients dépendants aux opioïdes lorsqu’ils sont administrés avant la disparition des effets agonistes dus à un récent usage ou mesusage d’opioïdes. Afin d’éviter la précipitation des symptômes de sevrage, le traitement doit être instauré lorsque des signes et symptômes objectifs de sevrage léger à modéré sont évidents (voir « Posologie/Mode d’emploi »).
  • +Lors de l’instauration d’un traitement par buprénorphine, il est important de prendre en compte le profil agoniste partiel de la buprénorphine. La buprénorphine peut précipiter l’apparition des symptômes de sevrage chez les patients dépendants aux opioïdes lorsqu’elle est administrée avant la disparition des effets agonistes dus à un récent usage ou mésusage d’opioïdes. Afin d’éviter la précipitation des symptômes de sevrage, le traitement doit être instauré lorsque des signes et symptômes objectifs de sevrage léger à modéré sont évidents (voir « Posologie/Mode d’emploi »).
  • +Syndrome de sevrage des opioïdes chez le nouveau-né
  • +L’utilisation prolongée de Buvidal pendant la grossesse peut entraîner un syndrome de sevrage des opioïdes chez le nouveau-né qui peut engager le pronostic vital s’il n’est pas détecté et traité en temps opportun. Le traitement doit être mené selon les protocoles mis en place par les spécialistes de néonatologie. S’il est nécessaire d’utiliser des opioïdes chez une femme enceinte pendant une période prolongée, il convient d’informer la patiente du risque de syndrome de sevrage des opioïdes chez le nouveau-né et de s’assurer que le traitement adapté est disponible, le cas échéant.
  • +
  • -Les opioïdes doivent être utilisés avec précaution chez les patients atteints de myxœdème, d’hypothyroïdie ou d’insuffisance corticosurrénale (par exemple, la maladie d’Addison).
  • +Les opioïdes doivent être utilisés avec précaution chez les patients atteints de myxœdème, d’hypothyroïdie ou d’insuffisance corticosurrénale (p. ex., la maladie d’Addison).
  • +Insuffisance surrénale
  • +Les opioïdes peuvent provoquer une insuffisance surrénale réversible nécessitant une surveillance et un traitement de substitution par glucocorticoïdes. Les symptômes d’une insuffisance surrénale peuvent notamment inclure des nausées, des vomissements, une perte d’appétit, de la fatigue, une faiblesse, des vertiges ou une pression artérielle basse.
  • +Troubles respiratoires liés au sommeil
  • +Les opioïdes peuvent provoquer des troubles respiratoires liés au sommeil, notamment une apnée centrale du sommeil (ACS) et une hypoxémie liée au sommeil. L’utilisation d’opioïdes majore le risque d’ACS de façon dose-dépendante. Chez les patients souffrant d’ACS, une réduction de la dose totale d’opioïdes doit être envisagée.
  • +Diminution des hormones sexuelles et augmentation de la prolactine
  • +L’utilisation à long terme d’opioïdes peut être associée à une diminution des taux d’hormones sexuelles et à une augmentation du taux de prolactine. Les symptômes incluent une baisse de la libido, une impuissance ou une aménorrhée.
  • +L’utilisation concomitante d’autres médicaments ayant un effet sur le SNC, p. ex. d’autres opioïdes, les sédatifs comme les benzodiazépines ou les hypnotiques, les anesthésiques généraux, la phénothiazine, les tranquillisants, les myorelaxants, les antihistaminiques avec effet sédatif, les gabapentinoïdes (gabapentine et prégabaline) et l’alcool, peut avoir des effets dépresseurs additifs qui peuvent conduire à une dépression respiratoire, une hypotension, une sédation importante ou un coma, et même parfois être d’issue fatale (voir rubrique « Mises en garde et précautions »).
  • -·Gabapentinoïdes: cette association peut provoquer le décès par dépression respiratoire. Par conséquent, les posologies doivent être étroitement surveillées, et cette association doit être évitée dans les cas où il existe un risque d’abus. Les patients doivent être avertis que l’utilisation de gabapentinoïdes (par ex. prégabaline et gabapentine) en concomitance avec ce produit doit se faire exclusivement selon les indications de leur médecin (voir « Mises en garde et précautions »).
  • +·Gabapentinoïdes: cette association peut provoquer le décès par dépression respiratoire. Par conséquent, les posologies doivent être étroitement surveillées, et cette association doit être évitée dans les cas où il existe un risque d’abus. Les patients doivent être avertis que l’utilisation de gabapentinoïdes (p. ex. prégabaline et gabapentine) en concomitance avec ce produit doit se faire exclusivement selon les indications de leur médecin (voir « Mises en garde et précautions »).
  • -·Des médicaments sérotoninergiques, tels que les inhibiteurs de la MAO, les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (IRSN) ou les antidépresseurs tricycliques, puisque le risque de syndrome sérotoninergique, qui est une maladie potentiellement mortelle, est accru (voir « Mises en garde et précautions »).
  • +·Un syndrome sérotoninergique peut survenir en cas d’administration concomitante d’opioïdes avec des inhibiteurs de la monoamine oxydase (IMAO) ou des principes actifs sérotoninergiques comme les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS), les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline (IRSN) ou les antidépresseurs tricycliques. Parmi les symptômes d’un syndrome sérotoninergique figurent les modifications de l’état de conscience, l’instabilité du système nerveux autonome, les anomalies neuromusculaires et/ou les symptômes gastro-intestinaux. (voir « Mises en garde et précautions »).
  • -En fin de grossesse, la buprénorphine peut provoquer une dépression respiratoire chez le nouveau-né même après une courte période d’administration. L’administration à long terme au cours des trois derniers mois de la grossesse peut provoquer un syndrome de sevrage chez le nouveau-né (p. ex. hypertonie, tremblements du nouveau-né, agitation néonatale, myoclonie ou convulsions). Le syndrome est généralement retardé de plusieurs heures à plusieurs jours après la naissance.
  • +L’utilisation prolongée de Buvidal pendant la grossesse peut entraîner un syndrome de sevrage des opioïdes chez le nouveau-né qui peut engager le pronostic vital s’il n’est pas détecté et traité en temps opportun. Le traitement doit être mené selon les protocoles mis en place par les spécialistes de néonatologie. S’il est nécessaire d’utiliser des opioïdes chez une femme enceinte pendant une période prolongée, il convient d’informer la patiente du risque de syndrome de sevrage des opioïdes chez le nouveau-né et de s’assurer que le traitement adapté est disponible, le cas échéant (voir également rubrique « Mises en garde et précautions »).
  • +En fin de grossesse, la buprénorphine peut provoquer une dépression respiratoire chez le nouveau-né même après une courte période d’administration.
  • -Les termes et les fréquences ci-dessous sont utilisés : très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionels (≥1/1 000 à <1/100) et inconnus (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • +Les termes et les fréquences ci-dessous sont utilisés : très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1000 à <1/100) et inconnus (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • -Occasionels: cellulite au site d’injection
  • +Occasionnels: cellulite au site d’injection
  • -Fréquents: anxiété, agitation, dépression, hostilité, nervosité, pensées anormales, paranoïa, pharmacodépendance
  • +Fréquents: anxiété, agitation, dépression, hostilité, nervosité, pensées anormales, paranoïa, dépendance
  • -Occasionels: vertiges
  • +Occasionnels: vertiges
  • +Fréquence inconnue : dépression respiratoire, syndrome d’apnée centrale du sommeil
  • +
  • -Occasionels: élévation de l’alanine aminotransférase, élévation de l’aspartate aminotransférase, élévation des enzymes hépatiques
  • +Occasionnels: élévation de l’alanine aminotransférase, élévation de l’aspartate aminotransférase, élévation des enzymes hépatiques
  • -Occasionels: éruption maculaire
  • +Occasionnels: éruption maculaire
  • -Occasionels: inflammation au site d’injection, hématome au site d’injection, urticaire au site d’injection
  • +Occasionnels: inflammation au site d’injection, hématome au site d’injection, urticaire au site d’injection
  • +Inconnus: abcès au site d’injection, ulcération au site d’injection, nécrose au site d’injection
  • +
  • -Occasionels: étourdissements lors des injections
  • +Occasionnels: étourdissements lors des injections
  • -Dans l’étude d’efficacité de phase 3, en double aveugle, des effets indésirables au site d’injection ont été observés chez 36 (16.9%) des 213 patients (5% des injections administrées) dans le groupe de traitement par Buvidal. Les effets indésirables les plus fréquents étaient la douleur au site d’injection (8.9%), le prurit au site d’injection (6.1%) et l’érythème au site d’injection (4.7%). Les réactions au site d’injection étaient toutes d’intensité légère à modérée, et la majorité des événements étaient transitoires.
  • +Dans l’étude d’efficacité de phase 3, en double aveugle, des effets indésirables au site d’injection ont été observés chez 36 (16,9%) des 213 patients (5% des injections administrées) dans le groupe de traitement par Buvidal. Les effets indésirables les plus fréquents étaient la douleur au site d’injection (8,9%), le prurit au site d’injection (6,1%) et l’érythème au site d’injection (4,7%). Les réactions au site d’injection étaient toutes d’intensité légère à modérée, et la majorité des événements étaient transitoires.
  • +Dans le cadre de l’application postmarketing de Buvidal des abscès, des ulcérations et des nécroses au site d’injection ont été observés.
  • +
  • -Une prise en charge globale, comprenant notamment une surveillance étroite de la fonction respiratoire et cardiaque du patient, doit être instaurée. Un traitement symptomatique de la dépression respiratoire après les mesures habituelles de soins intensifs doit être mis en place. Des voies respiratoires libres et une ventilation assistée ou contrôlée doit être assurée. Le patient doit être transféré dans une unité disposant de tous les moyens de réanimation nécessaires. Si le patient vomit, des précautions doivent être prises pour éviter l’aspiration. L’utilisation d’un antagoniste opioïde (c.-à-d., la naloxone) est recommandée, malgré l’effet modeste qu’elle peut avoir dans la suppresion des symptômes respiratoires induits par la buprénorphine comparé à ses effets sur les opioïdes agonistes complets.
  • +Une prise en charge globale, comprenant notamment une surveillance étroite de la fonction respiratoire et cardiaque du patient, doit être instaurée. Un traitement symptomatique de la dépression respiratoire après les mesures habituelles de soins intensifs doit être mis en place. Des voies respiratoires libres et une ventilation assistée ou contrôlée doit être assurée. Le patient doit être transféré dans une unité disposant de tous les moyens de réanimation nécessaires. Si le patient vomit, des précautions doivent être prises pour éviter l’aspiration. L’utilisation d’un antagoniste opioïde (c.-à-d., la naloxone) est recommandée, malgré l’effet modeste qu’elle peut avoir dans la suppression des symptômes respiratoires induits par la buprénorphine comparé à ses effets sur les opioïdes agonistes complets.
  • +Des cas de leucoencéphalopathie toxique ont été observés en cas de surdosage d’opioïdes.
  • +
  • -Sur les 428 patients randomisés, 69.0% (147/213) des patients dans le groupe de traitement par Buvidal et 72.6% (156/215) des patients dans le groupe de traitement par buprénorphine/naloxone sublinguale ont achevé la période de traitement de 24 semaines.
  • +Sur les 428 patients randomisés, 69,0% (147/213) des patients dans le groupe de traitement par Buvidal et 72,6% (156/215) des patients dans le groupe de traitement par buprénorphine/naloxone sublinguale ont achevé la période de traitement de 24 semaines.
  • -Moyenne des MM (%) (ET) 35.1 (2.48) 28.4 (2.47) 6.7 < 0.001
  • -IC à 95 % 30.3-40.0 23.5-33.3 -0.1-13.6
  • +Moyenne des MM (%) (ET) 35,1 (2,48) 28,4 (2,47) 6,7 < 0,001
  • +IC à 95 % 30,3-40,0 23,5-33,3 -0,1-13,6
  • -Médiane 26.7 6.7 - 0.008b
  • +Médiane 26,7 6.7 - 0,008b
  • -a Différence = Buvidal – BPN/NX SL.
  • +a Différence = Buvidal – BPN/NX SL
  • -Pour les patients traités auparavant par la buprénorphine sublinguale, la valeur initiale du pourcentage de patients ayant des échantillons urinaires négatifs aux opioïdes illicites était de 78,8% et de 84,0% à la fin de la période de traitement de 48 semaines. Pour les patients naïfs de traitement, la valeur initiale du pourcentage de patients ayant des échantillons urinaires négatifs aux opioïdes illicites était de 0,0% et de 63,0% à la fin de la période de traitement de 48 semaines. Dans l’ensemble des groupes, 156 patients (68,7%) ont achevé la période de traitement de 48 semaines.
  • +Pour les patients traités auparavant par la buprénorphine sublinguale, la valeur initiale du pourcentage de patients ayant des échantillons urinaires négatifs aux opioïdes illicites était de 78,8% et de 84,0% à la fin de la période de traitement de 48 semaines. Pour les patients naïfs de traitement, la valeur initiale du pourcentage de patients ayant des échantillons urinaires négatifs aux opioïdes illicites était de 0,0% et de 63,0% à la fin de la période de traitement de 48 semaines. Dans l’ensemble des groupes, 156 patients (68,7%) ont achevé la période de traitement de 48 semaines.
  • -Cmax Augmentation de 1.2 fois Augmentation de 1.1 fois Augmentation de 1.7 fois
  • -ASCdéfinie Identique à la valeur de contrôle Augmentation de 1.6 fois Augmentation de 2.8 fois
  • +Cmax Augmentation de 1,2 fois Augmentation de 1,1 fois Augmentation de 1,7 fois
  • +ASCdéfinie Identique à la valeur de contrôle Augmentation de 1,6 fois Augmentation de 2,8 fois
  • -8 mg Buvidal: 1 seringue préremplie (0.16 ml) avec un bouchon, une aiguille, un protège-aiguille, un dispositif de sécurité et 1 tige de piston [A].
  • -16 mg Buvidal: 1 seringue préremplie (0.32 ml) avec un bouchon, une aiguille, un protège-aiguille, un dispositif de sécurité et 1 tige de piston [A].
  • -24 mg Buvidal: 1 seringue préremplie (0.48 ml) avec un bouchon, une aiguille, un protège-aiguille, un dispositif de sécurité et 1 tige de piston [A].
  • -32 mg Buvidal: 1 seringue préremplie (0.64 ml) avec un bouchon, une aiguille, un protège-aiguille, un dispositif de sécurité et 1 tige de piston [A].
  • -64 mg Buvidal: 1 seringue préremplie (0.18 ml) avec un bouchon, une aiguille, un protège-aiguille, un dispositif de sécurité et 1 tige de piston [A].
  • -96 mg Buvidal: 1 seringue préremplie (0.27 ml) avec un bouchon, une aiguille, un protège-aiguille, un dispositif de sécurité et 1 tige de piston e [A].
  • -128 mg Buvidal: 1 seringue préremplie (0.36 ml) avec un bouchon, une aiguille, un protège-aiguille, un dispositif de sécurité et 1 tige de piston [A].
  • +8 mg Buvidal: 1 seringue préremplie (0,16 ml) avec un bouchon, une aiguille, un protège-aiguille, un dispositif de sécurité et 1 tige de piston [A].
  • +16 mg Buvidal: 1 seringue préremplie (0,32 ml) avec un bouchon, une aiguille, un protège-aiguille, un dispositif de sécurité et 1 tige de piston [A].
  • +24 mg Buvidal: 1 seringue préremplie (0,48 ml) avec un bouchon, une aiguille, un protège-aiguille, un dispositif de sécurité et 1 tige de piston [A].
  • +32 mg Buvidal: 1 seringue préremplie (0,64 ml) avec un bouchon, une aiguille, un protège-aiguille, un dispositif de sécurité et 1 tige de piston [A].
  • +64 mg Buvidal: 1 seringue préremplie (0,18 ml) avec un bouchon, une aiguille, un protège-aiguille, un dispositif de sécurité et 1 tige de piston [A].
  • +96 mg Buvidal: 1 seringue préremplie (0,27 ml) avec un bouchon, une aiguille, un protège-aiguille, un dispositif de sécurité et 1 tige de piston e [A].
  • +128 mg Buvidal: 1 seringue préremplie (0,36 ml) avec un bouchon, une aiguille, un protège-aiguille, un dispositif de sécurité et 1 tige de piston [A].
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