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Accueil - Information professionnelle sur Enhertu 100 mg - Changements - 20.03.2023
67 Changements de l'information professionelle Enhertu 100 mg
  • +Cancer du sein HER2 positif
  • +Cancer du sein HER2 faible (HER2 low breast cancer)
  • +Enhertu en monothérapie est indiqué dans le traitement des patients adultes présentant un cancer du sein HER2 faible (score 1+ par immunohistochimie [IHC] ou score 2+ par immunohistochimie [IHC]/statut négatif par hybridation in situ [HIS]), non résécable ou métastatique ayant reçu préalablement une chimiothérapie au stade métastatique ou ayant présenté une récidive de la maladie pendant la chimiothérapie adjuvante ou dans les 6 mois suivant la fin de la chimiothérapie adjuvante.
  • +Les patients présentant un cancer du sein à récepteurs hormonaux positifs (RH+) doivent, en outre, avoir reçu une hormonothérapie et être inéligibles à une autre hormonothérapie (voir la rubrique «Propriétés/Effets»).
  • +Sélection des patients pour le cancer du sein HER2 faible métastatique
  • +Pour recevoir un traitement du cancer du sein HER2 faible non résécable ou métastatique, les patients doivent avoir un statut tumoral défini comme un score 1+ par immunohistochimie (ICH) ou un score 2+ par immunohistochimie (ICH)/statut négatif par hybridation in situ (HIS), déterminé à l'aide d'un test validé (voir la rubrique «Propriétés/Effets»).
  • -Les grades de toxicité sont définis selon les Critères de terminologie communs pour les événements indésirables du National Cancer Institute version 5.0 (NCI-CTCAE v.5.0).
  • +Les grades de toxicité sont définis selon les critères de terminologie communs pour les événements indésirables du National Cancer Institute version 5.0 (NCI-CTCAE v.5.0).
  • -Aucun ajustement de la posologie n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance rénale légère (clairance de la créatinine [ClCr] ≥60 et < 90 ml/min) ou modérée (ClCr ≥30 et < 60 ml/min) (voir la rubrique «Pharmacocinétique»). Aucune donnée n'est disponible pour les patients présentant une insuffisance rénale sévère. Une incidence accrue de PID/pneumopathie inflammatoire a été observée chez les patients présentant une insuffisance rénale modérée. Les patients atteints d'insuffisance rénale modérée ou sévère doivent être étroitement surveillés (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Aucun ajustement de la posologie n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance rénale légère (clairance de la créatinine [ClCr] ≥60 et < 90 ml/min) ou modérée (ClCr ≥30 et < 60 ml/min) (voir la rubrique «Pharmacocinétique»). Les données disponibles chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère sont limitées. Une incidence accrue de PID/pneumopathie inflammatoire a été observée chez les patients présentant une insuffisance rénale modérée. Les patients atteints d'insuffisance rénale modérée ou sévère doivent être étroitement surveillés (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Des cas de pneumopathie interstitielle diffuse (PID)/pneumopathie inflammatoire ont été rapportés avec Enhertu (voir la rubrique «Effets indésirables»). Des issues fatales ont été observées. Les patients doivent être informés qu'ils doivent signaler immédiatement toute toux, dyspnée, fièvre et/ou toute apparition ou aggravation de symptômes respiratoires. Les patients doivent être surveillés afin que les signes et symptômes de PID/pneumopathie inflammatoire puissent être détectés. Des investigations doivent être réalisées rapidement en cas de signes de PID/pneumopathie inflammatoire. Des examens plus approfondis du poumon par des techniques d'imagerie doivent être réalisés en cas de suspicion de PID/pneumopathie inflammatoire. La consultation auprès d'un pneumologue doit être envisagée. En cas de PID/pneumopathie inflammatoire asymptomatique (grade 1), une corticothérapie (par exemple ≥0.5 mg/kg/jour de prednisolone ou équivalent) doit être envisagée. Le traitement par Enhertu doit être interrompu jusqu'à la résolution au grade 0 et peut être repris conformément aux instructions figurant dans le tableau 2 (voir la rubrique «Posologie/Mode d'emploi»). En cas de PID/pneumopathie inflammatoire symptomatique (grade ≥2), une corticothérapie systémique (par exemple ≥1 mg/kg/jour de prednisolone ou équivalent) doit être instaurée rapidement et poursuivie pendant au moins 14 jours. Ensuite la dose doit être diminuée progressivement sur 4 semaines au moins. Le traitement par Enhertu doit être arrêté définitivement chez les patients chez lesquels une PID/pneumopathie inflammatoire symptomatique (grade ≥2) est diagnostiquée (voir la rubrique «Posologie/Mode d'emploi»). Les patients ayant des antécédents de PID/pneumopathie inflammatoire ou patients présentant une insuffisance rénale modérée ou sévère peuvent présenter un risque accru de développer une PID/pneumopathie inflammatoire et doivent être étroitement surveillés.
  • +Des cas de pneumopathie interstitielle diffuse (PID)/pneumopathie inflammatoire ont été rapportés avec Enhertu (voir la rubrique «Effets indésirables»). Des issues fatales ont été observées.
  • +Les patients ayant des antécédents connus de PID/pneumopathie inflammatoire ayant nécessité une corticothérapie ou présentant une PID/pneumopathie inflammatoire avérée ou présumée au moment de la sélection et les patients présentant une atteinte pulmonaire cliniquement sévère ont été exclus des études réalisées avec Enhertu.
  • +Les patients doivent être informés qu'ils doivent signaler immédiatement toute toux, dyspnée, fièvre et/ou toute apparition ou aggravation de symptômes respiratoires. Les patients doivent être surveillés afin que les signes et symptômes de PID/pneumopathie inflammatoire puissent être détectés. Des investigations doivent être réalisées rapidement en cas de signes de PID/pneumopathie inflammatoire. Des examens plus approfondis du poumon par des techniques d'imagerie doivent être réalisés en cas de suspicion de PID/pneumopathie inflammatoire. La consultation auprès d'un pneumologue doit être envisagée. En cas de PID/pneumopathie inflammatoire asymptomatique (grade 1), une corticothérapie (par exemple ≥0.5 mg/kg/jour de prednisolone ou équivalent) doit être envisagée. Le traitement par Enhertu doit être interrompu jusqu'à la résolution au grade 0 et peut être repris conformément aux instructions figurant dans le tableau 2 (voir la rubrique «Posologie/Mode d'emploi»). En cas de PID/pneumopathie inflammatoire symptomatique (grade ≥2), une corticothérapie systémique (par exemple ≥1 mg/kg/jour de prednisolone ou équivalent) doit être instaurée rapidement et poursuivie pendant au moins 14 jours. Ensuite la dose doit être diminuée progressivement sur 4 semaines au moins. Le traitement par Enhertu doit être arrêté définitivement chez les patients chez lesquels une PID/pneumopathie inflammatoire symptomatique (grade ≥2) est diagnostiquée (voir la rubrique «Posologie/Mode d'emploi»). Les patients ayant des antécédents de PID/pneumopathie inflammatoire ou les patients présentant une insuffisance rénale modérée ou sévère peuvent présenter un risque accru de développer une PID/pneumopathie inflammatoire et doivent être étroitement surveillés (voir la rubrique «Propriétés/Effets»).
  • -Des cas de diminution de la fraction d'éjection ventriculaire gauche (FEVG) ont été observés avec les traitements anti-HER2. La FEVG doit être évaluée avant l'instauration du traitement par Enhertu puis à intervalles réguliers pendant le traitement si le tableau clinique le justifie. Le traitement doit être interrompu en cas de diminution de la FEVG. Le traitement par Enhertu doit être arrêté définitivement en cas de confirmation de FEVG < 40 % ou de diminution absolue > 20 % par rapport à la valeur initiale. Le traitement par Enhertu doit être arrêté définitivement chez les patients présentant une insuffisance cardiaque congestive (ICC) symptomatique (voir la rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Des cas de diminution de la fraction d'éjection ventriculaire gauche (FEVG) ont été observés avec les traitements anti-HER2. La FEVG doit être évaluée avant l'instauration du traitement par Enhertu puis à intervalles réguliers pendant le traitement si le tableau clinique le justifie. Le traitement doit être interrompu en cas de diminution de la FEVG. Le traitement par Enhertu doit être arrêté définitivement en cas de confirmation de FEVG < 40 % ou de diminution absolue > 20 % par rapport à la valeur initiale. Enhertu n'a pas été étudié chez les patients ayant une FEVG inférieure à 50 % avant l'instauration du traitement. Le traitement par Enhertu doit être arrêté définitivement chez les patients présentant une insuffisance cardiaque congestive (ICC) symptomatique (voir la rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -La population cumulée d'analyse de la sécurité d'emploi a été évaluée dans le cadre des études cliniques réalisées chez des patients présentant différents types de tumeurs qui avaient reçu au moins une dose d'Enhertu de 5.4 mg/kg ou une dose supérieure (n = 1219). La durée médiane de traitement dans cette population était de 7.7 mois (plage: 0.7 à 41.0 mois).
  • -·Les effets indésirables les plus fréquents étaient: nausées (73.7 %), fatigue (58.2 %), diminution de l'appétit (43.8 %), vomissements (42.5 %), neutropénie (39.0 %), anémie (38.2 %), alopécie (36.8 %), constipation (33.1 %), diarrhée (33.1 %), thrombopénie (27.3 %), leucopénie (26.8 %), augmentation des transaminases (24.4 %) et douleurs musculo-squelettiques (22.5 %).
  • -·Les effets indésirables graves les plus fréquents étaient pneumopathie interstitielle diffuse (PID, 4.9 %), pneumonie (2.7 %), diminution de l'appétit (2.3 %), vomissements (1.7 %), nausées (1.3 %), anémie (1.3 %) et thrombopénie (1.1 %).
  • -·Les effets indésirables de grade 3 ou 4 des Critères communs de terminologie pour les effets indésirables du National Cancer Institute (NCI-CTCAE v.5.0) étaient: neutropénie (23.0 %), anémie (16.1 %), leucopénie (9.7 %), thrombopénie (7.7 %), fatigue (7.6 %), nausées (6.1 %), lymphopénie (6.1 %), diminution de l'appétit (4.7 %), hypokaliémie (4.1 %), augmentation des transaminases (3.9 %), vomissements (2.5 %), pneumonie (2.2 %), neutropénie fébrile (2.2 %), diarrhée (2.1 %), perte de poids (1.3 %), augmentation de la phosphatase alcaline sanguine (1.3 %), PID (1.2%), et dyspnée (1.2 %).Des effets indésirables de grade 5, dont également des PID (1.8 %), sont survenus chez 2.2 % des patients.
  • -·Des interruptions du traitement en raison d'effets indésirables ont été rapportées chez 36.9 % des patients traités par Enhertu. Les effets indésirables les plus fréquents ayant entraîné l'interruption du traitement étaient: neutropénie (15.1 %), anémie (5.8 %), fatigue (4.8 %), leucopénie (3.9 %), infection des voies respiratoires supérieures (3.4 %), PID (3.1 %), pneumonie (3.0 %), thrombopénie (3.0 %), diminution de l'appétit (2.5 %) et vomissements (2.0 %). Des réductions de dose ont été rapportées chez 25.7 % des patients traités par Enhertu. Les effets indésirables les plus fréquents ayant entraîné une réduction de dose étaient: fatigue (7.5 %), nausées (5.7 %), neutropénie (4.6 %), diminution de l'appétit (3.2 %) et thrombopénie (2.1 %). Le traitement par Enhertu a été arrêté en raison d'un effet indésirable chez 15.1 % des patients. La PID était l'effet indésirable le plus fréquent ayant entraîné l'arrêt définitif du traitement (11.0 %).
  • +La population cumulée d'analyse de la sécurité d'emploi a été évaluée dans le cadre des études cliniques réalisées chez des patients présentant différents types de tumeurs qui avaient reçu au moins une dose d'Enhertu de 5.4 mg/kg ou une dose supérieure (n = 1590). La durée médiane de traitement dans cette population était de 7.8 mois (plage: 0.2 à 41.0 mois).
  • +·Les effets indésirables les plus fréquents étaient: nausées (74.3 %), fatigue (57.4 %), vomissements (42.2 %), diminution de l'appétit (41.1 %), anémie (38.5 %), neutropénie (37.9 %), alopécie (37.7 %), constipation (33.5 %), diarrhée (31.8 %), thrombopénie (27.0 %), leucopénie (26.3 %), augmentation des transaminases (26.3 %) et douleurs musculosquelettiques (23.6 %).
  • +·Les effets indésirables graves les plus fréquents étaient: pneumopathie interstitielle diffuse (PID)/pneumopathie inflammatoire (4.8 %), pneumonie (2.5 %), diminution de l'appétit (1.8 %), vomissements (1.6 %), nausées (1.3 %) et anémie (1.3 %).
  • +·Les effets indésirables de grade 3 ou 4 des critères communs de terminologie pour les effets indésirables du National Cancer Institute (NCI-CTCAE v.5.0) les plus fréquents étaient: neutropénie (21.1 %), anémie (14.8 %), leucopénie (9.0 %), fatigue (8.1 %), thrombopénie (7.4 %), lymphopénie (5.9 %), nausées (5.7 %), augmentation des transaminases (4.3 %), diminution de l'appétit (4.2 %), hypokaliémie (3.8 %), vomissements (2.3 %), pneumonie (2.3 %), neutropénie fébrile (1.9 %), diarrhée (1.9 %), PID/pneumopathie inflammatoire (1.3%), dyspnée (1.3 %), perte de poids (1.1 %), augmentation de la phosphatase alcaline sanguine (1.1 %), et diminution de la fraction d'éjection (1.1 %).Des effets indésirables de grade 5, dont également des PID (1.6 %), sont survenus chez 2.0 % des patients.
  • +·Des interruptions du traitement en raison d'effets indésirables ont été rapportées chez 35.2 % des patients traités par Enhertu. Les effets indésirables les plus fréquents ayant entraîné l'interruption du traitement étaient: neutropénie (13.8 %), anémie (5.6 %), fatigue (5.0 %), leucopénie (3.8 %), infection des voies respiratoires supérieures (3.0 %), PID (3.1 %), pneumonie (2.7 %), thrombopénie (2.7 %) et diminution de l'appétit (2.0 %). Des réductions de dose ont été rapportées chez 24.7 % des patients traités par Enhertu. Les effets indésirables les plus fréquents ayant entraîné une réduction de dose étaient: nausées (5.5 %), fatigue (6.8 %), neutropénie (4.2 %), diminution de l'appétit (2.9 %) et thrombopénie (2.5 %). Le traitement par Enhertu a été arrêté en raison d'un effet indésirable chez 14.6 % des patients. La PID/pneumopathie inflammatoire était l'effet indésirable le plus fréquent ayant entraîné l'arrêt définitif du traitement (10.4 %).
  • -Infection des voies respiratoires supérieuresa Très fréquents 19.9 0.3
  • -Pneumonie Fréquents 8.5 2.2
  • +Infection des voies respiratoires supérieuresa Très fréquents 18.5 0.3
  • +Pneumonie Fréquents 7.5 2.3
  • -Neutropénieb Très fréquents 39.0 23.0
  • -Anémiec Très fréquents 38.2 16.1
  • -Leukopénied Très fréquents 26.8 9.7
  • -Lymphopéniee Très fréquents 11.9 6.1
  • -Thrombopénief Très fréquents 27.3 7.7
  • -Neutropénie fébrile Fréquents 2.3 2.2
  • +Anémieb Très fréquents 38.5 14.8
  • +Neutropéniec Très fréquents 37.9 21.1
  • +Thrombopénied Très fréquents 27.0 7.4
  • +Leucopéniee Très fréquents 26.3 9.0
  • +Lymphopénief Très fréquents 11.3 5.9
  • +Neutropénie fébrile Fréquents 2.0 1.9
  • -Hypokaliémieg Très fréquents 12.9 4.1
  • -Diminution de l'appétit Très fréquents 43.8 4.7
  • -Déshydratation Fréquents 3.9 0.6
  • +Diminution de l'appétit Très fréquents 41.1 4.2
  • +Hypokaliémieg Très fréquents 12.6 3.8
  • +Déshydratation Fréquents 3.5 0.5
  • -Céphaléesh Très fréquents 14.4 0.2
  • +Céphaléesh Très fréquents 14.7 0.3
  • -Sensations vertigineuses Fréquents 9.8 0.3
  • -Dysgueusie Fréquents 8.4 0
  • +Sensations vertigineuses Fréquents 9.6 0.4
  • +Dysgueusie Fréquents 8.8 0
  • -Vision trouble Fréquents 2.5 0
  • -Sécheresse oculaire Fréquents 5.9 0.1
  • +Vision troublej Fréquents 3.8 0
  • +Sécheresse oculaire Fréquents 5.2 0.1
  • -Diminution de la fraction d'éjectionj Très fréquents 15.3 0.8
  • +Diminution de la fraction d'éjectionk Très fréquents 15.6 1.1
  • -Pneumopathie interstitielle diffusek Très fréquents 14.8 1.2
  • -Dyspnée Très fréquents 10.8 1.2
  • -Toux Très fréquents 14.5 0.2
  • -Épistaxis Fréquents 9.5 0.1
  • +Pneumopathie interstitielle diffusel Très fréquents 14.3 1.3
  • +Toux Très fréquents 13.5 0.2
  • +Dyspnée Très fréquents 10.7 1.3
  • +Épistaxis Fréquents 9.8 0.1
  • -Nausées Très fréquents 73.7 6.1
  • -Vomissements Très fréquents 42.5 2.5
  • -Diarrhée Très fréquents 33.1 2.1
  • -Douleurs abdominalesl Très fréquents 16.5 0.9
  • -Constipation Très fréquents 33.1 0.2
  • -Stomatitem Très fréquents 15.8 0.7
  • -Dyspepsie Fréquents 8.5 0
  • +Nausées Très fréquents 74.3 5.7
  • +Vomissements Très fréquents 42.2 2.3
  • +Constipation Très fréquents 33.5 0.3
  • +Diarrhée Très fréquents 31.8 1.9
  • +Douleurs abdominalesm Très fréquents 16.9 0.8
  • +Stomatiten Très fréquents 15.2 0.6
  • +Dyspepsie Fréquents 8.7 0
  • +Distension abdominale Fréquents 4.1 0.1
  • +Flatulences Fréquents 1.9 0
  • +Gastrite Fréquents 1.6 0.1
  • -Augmentation des transaminasesn Très fréquents 24.4 3.9
  • -Augmentation de la bilirubine sanguineo Fréquents 6.9 0.7
  • -Augmentation de la phosphatase alcaline sanguine Fréquents 9.4 1.3
  • +Augmentation des transaminaseso Très fréquents 26.3 4.3
  • +Augmentation de la phosphatase alcaline sanguine Fréquents 9.7 1.1
  • +Augmentation de la bilirubine sanguinep Fréquents 7.4 1.0
  • -Alopécie Très fréquents 36.8 0.2
  • -Rashp Fréquents 8.8 0.1
  • -Prurit Fréquents 6.1 0
  • -Hyperpigmentation de la peauq Fréquents 4.6 0
  • -Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
  • -Douleurs musculo-squelettiquesr Très fréquents 22.5 0.7
  • +Alopécie Très fréquents 37.7 0.1
  • +Éruption cutanéeq Fréquents 9.4 0.1
  • +Prurit Fréquents 5.4 0.1
  • +Hyperpigmentation de la peaur Fréquents 4.2 0
  • +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
  • +Douleurs musculosquelettiquess Très fréquents 23.6 0.9
  • -Augmentation de la créatinine sanguine Fréquents 3.9 0.1
  • +Augmentation de la créatinine sanguine Fréquents 3.9 0.2
  • -Fatigues Très fréquents 58.2 7.6
  • -Perte de poids Très fréquents 16.8 1.4
  • -Pyrexie Très fréquents 15.6 0.5
  • -Œdème périphérique Très fréquents 10.1 0.2
  • +Fatiguet Très fréquents 57.4 8.1
  • +Perte de poids Très fréquents 16.8 1.1
  • +Pyrexie Très fréquents 15.1 0.4
  • +Œdème périphérique Fréquents 9.6 0.2
  • -Réactions à la perfusiont Fréquents 2.2 0
  • -a Inclut grippe, syndrome grippal, rhinopharyngite, pharyngite, sinusite, rhinite et infections des voies respiratoires supérieures. b Inclut neutropénie et diminution du nombre de neutrophiles. c Inclut anémie, diminution de l'hémoglobine, diminution du nombre d'érythrocytes et diminution de l'hématocrite. d Inclut leucopénie et diminution du nombre de leucocytes. e Inclut lymphopénie et diminution du nombre de lymphocytes. f Inclut thrombopénie et diminution du nombre de plaquettes. g Inclut hypokaliémie et diminution du potassium sanguin. h Inclut céphalées, céphalée d'origine sinusienne et migraine. i Inclut neuropathie périphérique, neuropathie périphérique sensitive et paresthésie. j Inclut les paramètres paracliniques de diminution de la FEVG (n = 181) et/ou les termes préférentiels diminution de la fraction d'éjection (n = 22), insuffisance cardiaque (n = 1), insuffisance cardiaque congestive (n = 1) et dysfonction ventriculaire gauche (n = 2). k Le terme «pneumopathie interstitielle diffuse» inclut les événements ayant été évalués comme constituant une pneumopathie interstitielle diffuse: pneumopathie inflammatoire (n = 103), pneumopathie interstitielle diffuse (n = 61), pneumonie organisée (n = 8), pneumonie (n = 2), masse pulmonaire (n = 1), insuffisance respiratoire aiguë (n = 1), infiltration pulmonaire (n = 1), lymphangite (n = 1), fibrose pulmonaire (n = 1), pneumopathie inflammatoire d'irradiation (n = 1), insuffisance respiratoire (n = 9), opacité pulmonaire (n = 1) et alvéolite (n = 2). l Inclut gêne abdominale, douleurs gastrointestinales, douleurs abdominales, douleur abdominale basse et douleur abdominale haute. m Inclut stomatite, aphtes, ulcération buccale, érosion de la muqueuse buccale, vésication de la muqueuse buccale et inflammation de la muqueuse buccale. n Inclut augmentation des transaminases, augmentation de l'aspartate aminotransférase, augmentation de l'alanine aminotransférase, augmentation de la gamma-glutamyltransférase, anomalies des tests de la fonction hépatique et anomalies de la fonction hépatique. o Inclut augmentation de la bilirubine sanguine, hyperbilirubinémie, augmentation de la bilirubine sanguine conjuguée et augmentation de la bilirubine sanguine non conjuguée. p Inclut rash, rash pustuleux et rash maculopapuleux. q Inclut hyperpigmentation de la peau, coloration de la peau et troubles de la pigmentation. r Inclut dorsalgies, myalgie, douleurs des extrémités, douleurs musculo-squelettiques, spasmes musculaires, douleurs osseuses, douleurs de la nuque, douleurs thoraciques musculo-squelettiques et douleurs des membres. s Inclut asthénie, fatigue, malaise et léthargie. t Les cas de réactions à la perfusion incluent: réaction à la perfusion (n = 17), hypersensibilité (n = 3), extravasation au site de perfusion (n = 1), rash (n = 1), respiration sifflante (n = 1), hypotension (n = 1) et bouffées congestives (n = 3).
  • +Réactions à la perfusionu Fréquents 1.8 0
  • +a Inclut grippe, syndrome grippal, rhinopharyngite, pharyngite, sinusite, rhinite et infections des voies respiratoires supérieures. b Inclut anémie, diminution de l'hémoglobine, diminution du nombre d'érythrocytes et diminution de l'hématocrite. c Inclut neutropénie et diminution du nombre de neutrophiles. d Inclut thrombopénie et diminution du nombre de plaquettes. e Inclut leucopénie et diminution du nombre de leucocytes. f Inclut lymphopénie et diminution du nombre de lymphocytes. g Inclut hypokaliémie et diminution du potassium sanguin. h Inclut céphalées, céphalée d'origine sinusienne et migraine. i Inclut neuropathie périphérique, neuropathie périphérique sensitive et paresthésie. j Vision trouble (terme groupé) inclut les termes préférentiels vision trouble et altération de la vision. k Inclut les paramètres paracliniques de diminution de la FEVG (n = 241) et/ou les termes préférentiels diminution de la fraction d'éjection (n = 42), insuffisance cardiaque (n = 3), insuffisance cardiaque congestive (n = 1) et dysfonction ventriculaire gauche (n = 2). l Le terme «pneumopathie interstitielle diffuse» inclut les événements ayant été évalués comme constituant une pneumopathie interstitielle diffuse: pneumopathie inflammatoire (n = 125), pneumopathie interstitielle diffuse (n = 83), pneumonie organisée (n = 9), pneumonie (n = 4), masse pulmonaire (n = 1), insuffisance respiratoire aiguë (n = 1), infiltration pulmonaire (n = 1), lymphangite (n = 1), fibrose pulmonaire (n = 1), pneumopathie inflammatoire d'irradiation (n = 2), insuffisance respiratoire (n = 9), opacité pulmonaire (n = 1) et alvéolite (n = 2). m Inclut gêne abdominale, douleurs gastrointestinales, douleurs abdominales, douleur abdominale basse et douleur abdominale haute. n Inclut stomatite, aphtes, ulcération buccale, érosion de la muqueuse buccale, vésication de la muqueuse buccale et inflammation de la muqueuse buccale. o Inclut augmentation des transaminases, augmentation de l'aspartate aminotransférase, augmentation de l'alanine aminotransférase, augmentation de la gamma-glutamyltransférase, anomalies des tests de la fonction hépatique et anomalies de la fonction hépatique. p Inclut augmentation de la bilirubine sanguine, hyperbilirubinémie, augmentation de la bilirubine sanguine conjuguée et augmentation de la bilirubine sanguine non conjuguée. q Inclut rash, rash pustuleux, rash maculopapuleux, rash papuleux, rash maculeux et rash prurigineux. r Inclut hyperpigmentation de la peau, coloration de la peau et troubles de la pigmentation. s Inclut dorsalgies, myalgie, douleurs des extrémités, douleurs musculosquelettiques, spasmes musculaires, douleurs osseuses, douleurs de la nuque, douleurs thoraciques musculosquelettiques et douleurs des membres. t Inclut asthénie, fatigue, malaise et léthargie. u Les cas de réactions à la perfusion incluent: réaction à la perfusion (n = 17), hypersensibilité (n = 3), extravasation au site de perfusion (n = 1), rash (n = 1), respiration sifflante (n = 1), hypotension (n = 1), réaction au site d'injection (n = 1), frissons (n = 1) et bouffées congestives (n = 3).
  • -Dans les études cliniques portant sur différents type de tumeur (n = 1219), une PID est survenue chez 14.8 % des patients traités par une dose d'Enhertu de 5.4 mg/kg ou par une dose supérieure. Dans la majorité de cas, la PID était de grade 1 (3.8 %) et de grade 2 (8.0 %). 1.1 % des cas étaient de grade 3 et 0.1 % de grade 4. Des événements de grade 5 sont survenus chez 1.8 % des patients. Un patient souffrait d'une PID préexistante qui s'est aggravée après le traitement et a évolué en PID de grade 5. Le délai médian d'apparition était de 5.4 mois (plage: -0.5 à 21.0).
  • -Cancer du sein
  • -Dans les études cliniques (n = 491), une pneumopathie interstitielle diffuse est survenue chez 12.6 % des patients traités par une dose d'Enhertu de 5.4 mg/kg. Dans la majorité des cas, la PID était de grade 1 (2.9 %), de grade 2 (7.7 %) ou de grade 3 (0.6 %). Des événements de grade 5 sont survenus chez 1.4 % des patients. Le délai médian d'apparition était de 5.5 mois (plage: 1.1 à 20.8 mois) (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Dans les études cliniques portant sur différents types de tumeur (n = 1590), une PID est survenue chez 14.3 % des patients traités par une dose d'Enhertu de 5.4 mg/kg ou par une dose supérieure. Dans la majorité des cas, la PID était de grade 1 (3.7 %) et de grade 2 (7.7 %). 1.2 % des cas étaient de grade 3 et 0.1 % de grade 4. Des événements de grade 5 sont survenus chez 1.6 % des patients. Un patient souffrait d'une PID préexistante qui s'est aggravée après le traitement et a évolué en PID de grade 5. Le délai médian d'apparition était de 5.4 mois (plage: -0.5 à 23.3).
  • +Dans les études cliniques incluant des patients traités par Enhertu 5.4 mg/kg pour un cancer du sein, il a été observé une incidence plus élevée de PID chez les patients présentant une insuffisance rénale modérée (27.7 %) que chez les patients ayant une fonction rénale normale (10.5 %).
  • -Dans les études cliniques (n = 1219) portant sur différents types de tumeur, une diminution du nombre de neutrophiles a été rapportée chez 39.0 % des patients traités par une dose d'Enhertu de 5.4 mg/kg ou par une dose supérieure, et les événements étaient de grade 3 ou 4 chez 23.0 % des patients. Le délai médian d'apparition était de 22 jours (plage: 1 jour à 24.8 mois) et la durée médiane du premier événement était de 14 jours (plage: 2 jours à 17.2 mois). Une neutropénie fébrile a été rapportée chez 2.3 % des patients (voir la rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Dans les études cliniques (n = 1590) portant sur différents types de tumeur, une diminution du nombre de neutrophiles a été rapportée chez 37.9 % des patients traités par une dose d'Enhertu de 5.4 mg/kg ou par une dose supérieure, et les événements étaient de grade 3 ou 4 chez 21.1.0 % des patients. Le délai médian d'apparition était de 22 jours (plage: 1 jour à 24.8 mois) et la durée médiane du premier événement était de 15 jours (plage: 1 jour à 17.2 mois). Une neutropénie fébrile a été rapportée chez 2.0 % des patients (voir la rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Sur les 1219 patients présentant différents types de tumeurs recevant dans le cadre des études cliniques une dose d'Enhertu de 5.4 mg/kg ou une dose supérieure, une diminution de la FEVG dont 18 (1.5 %) étaient de grade 2 et 5 (0.4 %) de grade 3, a été rapportée chez 26 patients (2.1 %). La fréquence observée de diminution de la FEVG sur la base des paramètres paracliniques (échocardiographie ou ventriculographie isotopique) était de 173/1123 cas (15.4 %) de grade 2 et de 8 (0.7 %) de grade 3. Enhertu n'a pas été étudié chez les patients ayant une FEVG inférieure à 50 % avant l'instauration du traitement.
  • +Sur les 1590 patients présentant différents types de tumeurs recevant dans le cadre des études cliniques une dose d'Enhertu de 5.4 mg/kg ou une dose supérieure, une diminution de la FEVG dont 34 (2.1 %) étaient de grade 2 et 8 (0.5 %) de grade 3, a été rapportée chez 47 patients (3.0 %). La fréquence observée de diminution de la FEVG sur la base des paramètres paracliniques (échocardiographie ou ventriculographie isotopique) était de 227/1590 cas (15.6 %) de grade 2 et de 14/1590 (1.0 %) de grade 3. Enhertu n'a pas été étudié chez les patients ayant une FEVG inférieure à 50 % avant l'instauration du traitement.
  • -Comme avec toutes les protéines thérapeutiques, il existe une possibilité d'immunogénicité. Le dosage des anticorps dépend de la sensibilité et de la spécificité des tests. Le taux de positivité des anticorps détectés dépend d'un nombre important de facteurs; par conséquent, une comparaison des taux avec ceux d'autres traitements peut être trompeuse. Pour l'ensemble des doses testées dans les études cliniques, 2.1 % des patients évaluables (27/1311) avaient développé des anticorps contre le trastuzumab déruxtécan après le traitement par Enhertu. L'incidence d'anticorps neutralisants contre le trastuzumab déruxtécan était de 0.1 % (1/1311). Il n'a pas été observé d'association entre le développement d'anticorps et les réactions de type allergique.
  • +Comme avec toutes les protéines thérapeutiques, il existe une possibilité d'immunogénicité. Le dosage des anticorps dépend de la sensibilité et de la spécificité des tests. Le taux de positivité des anticorps détectés dépend d'un nombre important de facteurs; par conséquent, une comparaison des taux avec ceux d'autres traitements peut être trompeuse. Pour l'ensemble des doses testées dans les études cliniques, 2.0 % des patients évaluables (34/1668) avaient développé des anticorps contre le trastuzumab déruxtécan après le traitement par Enhertu.
  • +L'incidence d'anticorps neutralisants dirigés contre le trastuzumab déruxtécan apparus sous traitement était de 0.1 % (1/1668). En raison du nombre limité de patients testés positifs aux AAM, l'effet des AAM sur la sécurité et l'efficacité d'Enhertu est inconnu.
  • -Sur les 1219 patients, présentant différents types de tumeurs, traités dans les études cliniques par une dose d'Enhertu de 5.4 mg/kg ou par une dose supérieure, 32.7 % étaient âgés de 65 ans et plus et 5.7 % étaient âgés de 75 ans et plus. L'incidence des effets secondaires de grade 3 à 4 était comparable chez les patients de 65 ans et plus (56.6 %) et chez les patients plus jeunes (51.3 %).
  • +Sur les 1590 patients, présentant différents types de tumeurs, traités dans les études cliniques par une dose d'Enhertu de 5.4 mg/kg ou par une dose supérieure, 30.3 % étaient âgés de 65 ans et plus et 5.3 % étaient âgés de 75 ans et plus. L'incidence des effets secondaires de grade 3 à 4 était comparable chez les patients de 65 ans et plus (55.1 %) et chez les patients plus jeunes (48.9 %).
  • +Dans l'étude DESTINY-Breast04, un allongement de QTcF de >30 ms par rapport à la valeur initiale a été observé chez 21.6 % des patients, un allongement de QTcF de >60 ms par rapport à la valeur initiale chez 5.7 % des patients et une mesure de >500 ms chez 1.9 % des patients.
  • -L'efficacité et la sécurité d'Enhertu ont été évaluées dans l'étude DESTINY Breast03, une étude de phase III multicentrique en ouvert, randomisée, contrôlée contre comparateur actif, en deux bras, menée chez des patients présentant un cancer du sein HER2 positif non résécable ou métastatique qui avaient reçu un traitement antérieur par trastuzumab et taxane pour la maladie métastatique ou qui avaient présenté une récidive de la maladie pendant un traitement adjuvant ou dans les six mois suivant la fin de celui-ci.
  • -Des échantillons de tissu tumoral archivés étaient requis pour confirmer la positivité HER2, définie comme un score 3+ par immunohistochimie (IHC) ou un statut positif par hybridation in situ (HIS). Les patients ayant des antécédents de PID/pneumopathie inflammatoire (non infectieuse) ayant nécessité une corticothérapie ou présentant une PID/pneumopathie inflammatoire lors de la sélection, les patients présentant des métastases cérébrales non traitées ou symptomatiques, les patients ayant des antécédents de cardiopathie cliniquement significative, les patients présentant un indice de performance ECOG (Eastern Cooperative Oncology Group) (ECOG) ≥2 et les patients ayant reçu un traitement antérieur par un anticorps conjugué anti HER2 pour la maladie métastatique étaient exclus de l'étude. Les patients ont été randomisés selon un rapport 1:1 pour recevoir Enhertu 5.4 mg/kg (N = 261) ou le trastuzumab emtansine 3.6 mg/kg (N = 263) en perfusion intraveineuse toutes les trois semaines. La randomisation était stratifiée en fonction du statut des récepteurs hormonaux, d'un traitement antérieur par le pertuzumab et de la présence d'un envahissement viscéral. Le traitement était administré jusqu'à progression de la maladie, décès, retrait du consentement ou survenue d'une toxicité inacceptable.
  • +L'efficacité et la sécurité d'Enhertu ont été évaluées dans l'étude DESTINY-Breast03, une étude de phase III multicentrique en ouvert, randomisée, contrôlée contre comparateur actif, en deux bras, menée chez des patients présentant un cancer du sein HER2 positif non résécable ou métastatique qui avaient reçu un traitement antérieur par trastuzumab et taxane pour la maladie métastatique ou qui avaient présenté une récidive de la maladie dans les six mois suivant la fin d'un traitement adjuvant.
  • +Des échantillons de tissu tumoral archivés étaient requis pour confirmer la positivité HER2, définie comme un score 3+ par immunohistochimie (IHC) ou un statut positif par hybridation in situ (HIS). Les patients ayant des antécédents de PID/pneumopathie inflammatoire (non infectieuse) ayant nécessité une corticothérapie ou présentant une PID/pneumopathie inflammatoire lors de la sélection, les patients présentant des métastases cérébrales non traitées ou symptomatiques, les patients ayant des antécédents de cardiopathie cliniquement significative, les patients présentant un indice de performance ECOG (Eastern Cooperative Oncology Group) (ECOG) ≥2 et les patients ayant reçu un traitement antérieur par un anticorps conjugué anti HER2 pour la maladie métastatique étaient exclus de l'étude. Les patients ont été randomisés selon un rapport 1:1 pour recevoir Enhertu 5.4 mg/kg (N = 261) ou le trastuzumab emtansine 3.6 mg/kg (N = 263) en perfusion intraveineuse toutes les trois semaines. La randomisation était stratifiée en fonction du statut des récepteurs hormonaux, d'un traitement antérieur par le pertuzumab et de la présence d'antécédents d'un envahissement viscéral. Le traitement était administré jusqu'à progression de la maladie, décès, retrait du consentement ou survenue d'une toxicité inacceptable.
  • -Les caractéristiques démographiques des patients à l'inclusion étaient équilibrées entre les bras de traitement. Chez les 524 patients randomisés, les caractéristiques démographiques et cliniques à l'inclusion étaient les suivantes: âge médian de 54 ans (plage: 20 à 83 ans), 65 ans et plus (20.2 %), 75 ans et plus (3.1 %), femmes (99.6 %), asiatiques (59.9 %), blancs (27.3 %), noirs ou afro-américains (3.6 %), indice de performance ECOG de 0 (62.8 %) ou de 1 (36.8 %), statut des récepteurs hormonaux (positif: 51.9 %), présence d'un envahissement viscéral (73.3 %), antécédents de métastases cérébrales (21.8 %) et administration antérieure d'une ligne de traitement systémique pour la maladie métastatique (48.3 %). Le pourcentage de patients préalablement traités par pertuzumab était de 61.1 %. Le pourcentage de patients qui n'avaient pas reçu de traitement antérieur pour la maladie métastatique était de 9.5 % et 6.7 % des patients avaient reçu exactement une ligne de traitement anti-HER2 destinée à un traitement néoadjuvant ou adjuvant et présentaient une progression de la maladie pendant le traitement ou dans les 6 mois suivant la fin du traitement (12 mois pour le pertuzumab).
  • +Les caractéristiques démographiques des patients étaient équilibrées entre les bras de traitement. Chez les 524 patients randomisés, les caractéristiques démographiques et cliniques à l'inclusion étaient les suivantes: âge médian de 54 ans (plage: 20 à 83 ans), 65 ans et plus (20.2 %), 75 ans et plus (3.1 %), femmes (99.6 %), asiatiques (59.9 %), blancs (27.3 %), noirs ou afro-américains (3.6 %), indice de performance ECOG de 0 (62.8 %) ou de 1 (36.8 %), statut des récepteurs hormonaux (positif: 51.9 %), présence d'un envahissement viscéral (73.3 %), antécédents de métastases cérébrales (21.8 %) et administration antérieure d'une ligne de traitement systémique pour la maladie métastatique (48.3 %). Le pourcentage de patients préalablement traités par pertuzumab était de 61.1 %. Le pourcentage de patients qui n'avaient pas reçu de traitement antérieur pour la maladie métastatique était de 9.5 % et 6.7 % des patients avaient reçu exactement une ligne de traitement anti-HER2 destinée à un traitement néoadjuvant ou adjuvant et présentaient une progression de la maladie pendant le traitement ou dans les 6 mois suivant la fin du traitement (12 mois pour le pertuzumab).
  • -L'efficacité et la sécurité d'Enhertu ont été évaluées dans l'étude DESTINY-Breast01, une étude de phase II multicentrique en ouvert en un seul bras, menée chez des patientes présentant un cancer du sein HER2 positif non résécable et/ou métastatique qui avaient reçu préalablement au moins deux lignes de traitement comportant un agent anti-HER2, dont le trastuzumab emtansine (100%), le trastuzumab (100%) et le pertuzumab (65.8%). Des échantillons de tissu tumoral archivés étaient requis pour confirmer la positivité HER2, définie comme un score 3+ par immunohistochimie (IHC) ou un statut positif par hybridation in situ (HIS). Les patientes ayant des antécédents de PID ou présentant une PID lors de la sélection, les patientes ayant des antécédents de cardiopathie cliniquement significative et les patientes présentant des métastases cérébrales cliniquement instables étaient exclues de l'étude. Enhertu était administré en perfusion intraveineuse à la dose de 5.4 mg/kg toutes les trois semaines jusqu'à progression de la maladie ou survenue d'une toxicité inacceptable. Le critère d'évaluation principal de l'efficacité était le taux de réponse objective (TRO) confirmée selon les critères RECIST v1.1 dans la population en intention de traiter, évaluée par revue centralisée indépendante. Le critère d'efficacité secondaire de l'efficacité était la durée de la réponse (DR) et la survie sans progression (SSP).
  • +L'efficacité et la sécurité d'Enhertu ont été évaluées dans l'étude DESTINY-Breast01, une étude de phase II multicentrique en ouvert en un seul bras, menée chez des patientes présentant un cancer du sein HER2 positif non résécable et/ou métastatique qui avaient reçu préalablement au moins deux lignes de traitement comportant un agent anti-HER2, dont le trastuzumab emtansine (100 %), le trastuzumab (100 %) et le pertuzumab (65.8 %). Des échantillons de tissu tumoral archivés étaient requis pour confirmer la positivité HER2, définie comme un score 3+ par immunohistochimie (IHC) ou un statut positif par hybridation in situ (HIS). Les patientes ayant des antécédents de PID ou présentant une PID lors de la sélection, les patientes ayant des antécédents de cardiopathie cliniquement significative et les patientes présentant des métastases cérébrales cliniquement instables étaient exclues de l'étude. Enhertu était administré en perfusion intraveineuse à la dose de 5.4 mg/kg toutes les trois semaines jusqu'à progression de la maladie ou survenue d'une toxicité inacceptable. Le critère d'évaluation principal de l'efficacité était le taux de réponse objective (TRO) confirmée selon les critères RECIST v1.1 dans la population en intention de traiter, évaluée par revue centralisée indépendante. Le critère d'efficacité secondaire de l'efficacité était la durée de la réponse (DR) et la survie sans progression (SSP).
  • -IC à 95 % du TRO calculé selon la méthode de Clopper-Pearson IC = intervalle de confiance IC à 95 % calculés selon la méthode de Brookmeyer-Crowley ‡ Inclut 73 patients dont les données ont été censurées § Selon une estimation de Kaplan-Meier NE = non atteinte
  • +IC à 95 % du TRO calculé selon la méthode de Clopper-Pearson IC = intervalle de confiance IC à 95 % calculés selon la méthode de Brookmeyer-Crowley ‡Inclut 73 patients dont les données ont été censurées §Selon une estimation de Kaplan-Meier NE = non atteinte
  • +DESTINY-Breast04
  • +L'efficacité d'Enhertu a été évaluée dans l'étude DESTINY-Breast04, une étude de phase III multicentrique, randomisée, en ouvert, menée chez 557 patients adultes présentant un cancer du sein HER2 faible (HER2 low) non résécable ou métastatique. L'étude comportait deux cohortes: 494 patients avec un statut positif pour les récepteurs hormonaux (RH+) et 63 patients avec un statut négatif pour les récepteurs hormonaux (RH-). L'expression faible d'HER2 était définie comme un score 1+ par immunohistochimie (IHC) ou un score 2+ par immunohistochimie (IHC)/statut négatif par hybridation in situ (HIS), déterminé par un laboratoire central à l'aide de l'anticorps anti-HER2/neu (4B5) PATHWAY/VENTANA et, le cas échéant, par double hybridation in situ (HIS) à l'aide du kit INFORM HER2 Dual ISH Assay. Les patients devaient avoir reçu une chimiothérapie au stade métastatique ou avoir présenté une récidive de la maladie pendant la chimiothérapie adjuvante ou dans les 6 mois suivant la fin de la chimiothérapie adjuvante. Les patients ayant un statut positif pour les récepteurs hormonaux (RH+) devaient avoir reçu au moins une hormonothérapie et être inéligibles à une autre hormonothérapie. Les patients ont été randomisés selon un rapport 2:1 pour recevoir Enhertu 5.4 mg/kg (N = 373) en perfusion intraveineuse toutes les trois semaines ou la chimiothérapie choisie par le médecin (N = 184, éribuline 51.1 %, capécitabine 20.1 %, gemcitabine 10.3 %, nab-paclitaxel 10.3 % ou paclitaxel 8.2 %). La randomisation était stratifiée en fonction du statut HER2 déterminé par immunohistochimie (IHC) sur des échantillons de tissu tumoral (score 1+ par immunohistochimie [IHC] ou score 2+ par immunohistochimie [IHC]/statut négatif par hybridation in situ [HIS]), du nombre de lignes de chimiothérapie antérieures au stade métastatique (1 ou 2) et du statut des récepteurs hormonaux (RH)/du traitement antérieur par un inhibiteur de CDK4/6 (RH+ avec traitement anti-CDK4/6 antérieur, RH+ sans traitement anti-CDK4/6 antérieur ou RH-). Le traitement était administré jusqu'à la survenue des événements suivants: progression de la maladie, décès du patient, retrait du consentement ou toxicité inacceptable. Les patients présentant une FEVG ≥50 % ont été inclus dans l'étude. Les patients ayant des antécédents connus de PID/pneumopathie inflammatoire ayant nécessité une corticothérapie ou présentant une PID/pneumopathie inflammatoire avérée ou présumée au moment de la sélection et les patients présentant une atteinte pulmonaire cliniquement sévère en raison de pneumopathies survenues entretemps ont été exclus de l'étude. Les patients présentant une cardiopathie cliniquement significative, y compris un allongement de l'intervalle QT corrigé (QTc) > 470 ms chez les femmes ou > 450 ms chez les hommes, les patients présentant des métastases cérébrales non traitées ou symptomatiques ou les patients ayant un indice de performance ECOG > 1 ont été également exclus.
  • +Le critère d'évaluation principal de l'efficacité était la survie sans progression (SSP) chez les patients présentant un cancer du sein avec un statut positif pour les récepteurs hormonaux (RH+), évaluée par revue centralisée indépendante en aveugle (RCIA) selon les critères RECIST v1.1. Les principaux critères d'évaluation secondaires de l'efficacité étaient la SSP évaluée par RCIA selon les critères RECIST v1.1 dans la population totale (ensemble des patients avec un statut positif pour les récepteurs hormonaux [RH+] ou un statut négatif pour les récepteurs hormonaux [RH-] randomisés), la survie globale (SG) chez les patients avec un statut positif pour les récepteurs hormonaux (RH+) et la SG dans la population totale.
  • +Les caractéristiques démographiques et cliniques des patients étaient comparables dans les deux bras de traitement. Chez les 557 patients randomisés, l'âge médian était de 57 ans (plage: 28 à 81 ans), 23.5 % étaient âgés de 65 ans et plus, 4.1 % étaient âgés de 75 ans et plus, 99.6 % étaient des femmes et 0.4 % étaient des hommes, 47.9 % étaient blancs, 40.0 % étaient asiatiques et 1.8 % étaient noirs ou afro-américains. Les patients avaient un indice de performance ECOG de 0 (54.8 %) ou 1 (45.2 %) à l'inclusion, 57.6 % avaient un score 1+ par immunohistochimie (IHC), 42.4 % un score 2+ par immunohistochimie (IHC)/statut négatif par hybridation in situ (HIS), 69.8 % présentaient des métastases hépatiques, 32.9 % des métastases pulmonaires et 5.7 % des métastases cérébrales. Au stade métastatique, les patients avaient reçu un nombre médian de 3 lignes de traitement systémique antérieures (plage: 1 à 9), 57.6 % des patients ayant reçu un protocole de chimiothérapie antérieur et 40.9 % des patients en ayant reçu deux et 3.9 % des patients présentaient une progression rapide de la maladie («early progressors», progression en situation néo/adjuvante). Chez les patients ayant un statut positif pour les récepteurs hormonaux (RH+), le nombre médian de lignes d'hormonothérapie antérieures étaient de 2 (plage: 0 à 9) et 70 % des patients avaient reçu un traitement antérieur par un inhibiteur de CDK4/6.
  • +L'étude a mis en évidence une amélioration statistiquement et cliniquement significative de la SG et de la SSP chez les patients randomisés pour recevoir Enhertu par rapport aux patients recevant une chimiothérapie dans la cohorte RH+ et dans la population totale. Les résultats d'efficacité sont présentés dans le tableau 6.
  • +Tableau 6: Résultats d'efficacité dans l'étude DESTINY-Breast04
  • +Critère d'efficacité Cohorte RH+
  • +Enhertu (N = 331) Chimiothérapie (N = 163)
  • +Survie globale
  • +Nombre d'événements (%) 126 (38.1) 73 (44.8)
  • +Médiane, mois (IC à 95 %) 23.9 (20.8, 24.8) 17.5 (15.2, 22.4)
  • +Hazard ratio (IC à 95 %) 0.64 (0.48, 0.86)
  • +Valeur p 0.0028
  • +Survie sans progression déterminée par RCIA
  • +Nombre d'événements (%) 211 (63.7) 110 (67.5)
  • +Médiane, mois (IC à 95 %) 10.1 (9.5, 11.5) 5.4 (4.4, 7.1)
  • +Hazard ratio (IC à 95 %) 0.51 (0.40, 0.64)
  • +Valeur p < 0.0001
  • +
  • +IC = intervalle de confiance
  • +Les résultats étaient homogènes dans la cohorte RH négatif et dans la cohorte RH positif. Dans l'échantillon complet d'analyse (FAS), la survie globale (SG) médiane était de 23.4 mois (IC à 95 %: 20.0, 24.8) chez les patients randomisés pour recevoir Enhertu contre 16.8 mois (IC à 95 %: 14.5, 20.0) chez les patients randomisés pour recevoir la chimiothérapie, avec un hazard ratio de 0,64 (IC à 95 %: 0.49, 0.84). La SSP médiane était de 9.9 mois (IC à 95 %: 9.0; 11.3) chez les patients randomisés pour recevoir Enhertu et de 5.1 mois (IC à 95 %: 4.2; 6.8) chez les patients randomisés pour recevoir la chimiothérapie, avec un hazard ratio de 0.50 (IC à 95 %: 0.40, 0.63).
  • +
  • -Selon des analyses pharmacocinétiques de population, à la dose recommandée de trastuzumab déruxtécan, la moyenne géométrique (coefficient de variation [CV]%) de la Cmax du trastuzumab déruxtécan et du DXd était respectivement de 131 µg/ml (20 %) et 4.4 ng/ml (41 %), et l'ASC du trastuzumab déruxtécan et du DXd était respectivement de 770 µg·jour/ml (28 %) et 27 ng·jour/ml (40 %).
  • +Selon des analyses pharmacocinétiques de population, chez des patients présentant un cancer du sein métastatique, à la dose recommandée de trastuzumab déruxtécan, la moyenne géométrique (coefficient de variation [CV]%) de la Cmax du trastuzumab déruxtécan et du DXd était respectivement de 133 µg/ml (19 %) et 4.7 ng/ml (43 %), et l'ASC du trastuzumab déruxtécan et du DXd était respectivement de 780 µg·jour/ml (27 %) et 29 ng·jour/ml (42 %).
  • -Selon une analyse pharmacocinétique de population, les volumes de distribution centraux (Vc) estimés du trastuzumab déruxtécan et de l'inhibiteur de la topoisomérase I, le DXd, sont respectivement de 2.71 litres et 27.0 litres.
  • +Selon une analyse pharmacocinétique de population, les volumes de distribution centraux (Vc) estimés du trastuzumab déruxtécan et de l'inhibiteur de la topoisomérase I, le DXd, sont respectivement de 2.68 litres et 27.0 litres.
  • -Selon l'analyse pharmacocinétique de population, après administration par voie intraveineuse de trastuzumab déruxtécan chez des patients présentant un cancer du sein HER2+, la clairance estimée du trastuzumab déruxtécan est de 0.42 l/jour et celle du DXd est de 19.4 l/heure. La demivie d'élimination apparente (t1/2) du trastuzumab déruxtécan et du DXd libéré est d'environ 5.7 jours.
  • +Selon une analyse pharmacocinétique de population, après administration par voie intraveineuse du trastuzumab déruxtécan chez des patients présentant un cancer du sein HER2 positif ou HER2 faible métastatique ou présentant un adénocarcinome de l'estomac ou de la jonction gastro-œsophagienne (JGO) localement avancé ou métastatique, la clairance du trastuzumab déruxtécan est de 0.42 l/jour et celle du DXd de 19.6 l/heure. La demi-vie d'élimination apparente (t1/2) du trastuzumab déruxtécan était de 5.7 à 5.8 jours et celle du DXd libéré est d'environ 5.5 à 5.8 jours.
  • -67 967 (Swissmedic)
  • +67967 (Swissmedic)
  • -Novembre 2022
  • +Février 2023
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