28 Changements de l'information professionelle MyLoop |
-Etonogestrel; éthinylestradiol.
- +Étonogestrel; éthinylestradiol.
-Pour les mères qui allaitent (voir «Grossesse/Allaitement»).
- +Pour les mères qui allaitent (voir «Grossesse, Allaitement»).
-Cas particuliers
-Enfants et adolescentes: l'efficacité et la sécurité d'emploi de MyLoop ont été étudiées chez des femmes âgées de 18 à 40 ans. Si MyLoop est indiqué pour des adolescentes, on recommande la même posologie que chez l'adulte.
-Patientes âgées: il n'y a pas d'indication pour MyLoop après la ménopause.
-Insuffisance rénale: comme MyLoop n'a pas été étudié chez des femmes souffrant d'insuffisance rénale, il est impossible de formuler des recommandations posologiques.
-Insuffisance hépatique: il ne faut pas utiliser MyLoop chez les femmes qui présentent une insuffisance hépatique.
- +Instructions spéciales de dosage
- +Patientes souffrant de troubles de la fonction hépatique
- +MyLoop ne doit pas être utilisé chez les femmes souffrant d'insuffisance hépatique.
- +Patientes présentant des troubles de la fonction rénale
- +MyLoop n'a pas été étudié chez les femmes souffrant d'insuffisance rénale et aucune recommandation posologique ne peut être formulée.
- +Patientes âgées
- +Après la ménopause, il n'y a pas d'indication pour MyLoop.
- +Enfants et adolescentes
- +L'efficacité et la sécurité d'emploi de MyLoop ont été étudiées chez des femmes âgées de 18 à 40 ans. Si MyLoop est indiqué pour des adolescentes, on recommande la même posologie que chez l'adulte.
-·Utilisation concomitante de l'association de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir (médicaments pour le traitement de l'hépatite C) et jusqu'à 2 semaines après l'arrêt de la prise de ces médicaments (voir «Mises en garde et précautions» et «Interactions»);
-·Utilisation concomitante de l'association de principes actifs glécaprévir/pibrentasvir (médicaments pour le traitement de l'hépatite C);
-·Tumeur hépatique (bénigne ou maligne) ou antécédent de tumeur hépatique;
- +·Utilisation concomitante de l'association de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir, avec ou sans dasabuvir, glécaprévir/pibrentasvir et sofosbuvir/velpatasvir/voxilaprévir (médicaments pour le traitement de l'hépatite C) (voir «Mises en garde et précautions» et «Interactions»); Tumeur hépatique (bénigne ou maligne) ou antécédent de tumeur hépatique;
-Autres affections médicales associées à un risque accru de TEA. Hyperhomocystéinémie, Lupus érythémateux disséminé, drépanocytose, cancer.
- +Autres affections médicales associées à un risque accru de TEA. Hyperhomocystéinémie, lupus érythémateux disséminé, drépanocytose, cancer.
-Chez des patientes atteintes d'hépatite C qui utilisaient simultanément un CHC contenant de l'éthinylestradiol, on a observé, pendant l'utilisation de l'association de principes actifs employée dans les infections par le VHC ombitasvir/paritaprévir/ritonavir, une élévation significativement plus fréquente de l'ALAT (y compris des cas d'élévation à des valeurs plus de cinq fois plus élevées que la limite supérieure de la normale) que chez des patientes qui étaient traitées exclusivement avec les principes actifs antiviraux (voir «Interactions»).
-L'utilisation de MyLoop doit donc être suspendue avant le début d'un traitement avec cette association de principes actifs. En présence de valeurs hépatiques normales, MyLoop peut à nouveau être utilisé 2 à 4 semaines après l'arrêt de l'association de principes actifs. Toutefois, lors d'une période de moins de 4 semaines, l'efficacité du CHC peut encore être compromise en raison des propriétés d'induction enzymatique du ritonavir. Une méthode barrière supplémentaire devrait donc être utilisée pendant 28 jours (voir ci-après sous «Interactions, Inducteurs enzymatiques»). Cela vaut en particulier lorsque l'association ombitasvir/paritaprévir/ritonavir est co-administrée avec la ribavirine, un principe actif potentiellement tératogène.
- +Chez des patientes atteintes d'hépatite C qui utilisaient simultanément un CHC contenant de l'éthinylestradiol, on a observé, pendant l'utilisation de l'association de principes actifs employée dans les infections par le VHC ombitasvir/paritaprévir/ritonavir, avec ou sans dasabuvir, une élévation significativement plus fréquente de l'ALAT (y compris des cas d'élévation à des valeurs plus de cinq fois plus élevées, et dans des cas isolés, plus de vingt fois plus élevées que la limite supérieure de la normale) que chez des patientes qui étaient traitées exclusivement avec les principes actifs antiviraux (voir «Interactions»). Des élévations similaires de l'ALAT ont également été observées sous médicaments anti-VHC contenant du glécaprévir/pibrentasvir ou du sofosbuvir/velpatasvir/voxilaprévir. L'utilisation de MyLoop doit donc être suspendue avant le début d'un traitement avec ces associations de principes actifs. À condition que les valeurs hépatiques soient normales, MyLoop peut à nouveau être utilisé au plus tôt 2 semaines ou, mieux encore, 4 semaines après l'arrêt des associations de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir, avec ou sans dasabuvir, glécaprévir/pibrentasvir ou sofosbuvir/velpatasvir/voxilaprévir. Toutefois, lors d'une période de moins de 4 semaines, l'efficacité du CHC peut encore être compromise en raison des propriétés d'induction enzymatique du ritonavir. Une méthode barrière supplémentaire devrait donc être utilisée pendant 28 jours (voir ci-après sous «Interactions, Inducteurs enzymatiques»). Cela vaut en particulier lorsque l'association ombitasvir/paritaprévir/ritonavir est co-administrée avec la ribavirine, un principe actif potentiellement tératogène.
-Dans des études cliniques, on a observé lors de l'administration concomitante d'un CHC contenant de l'éthinylestradiol et de l'association des principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir, utilisés contre les infections par le VHC, une élévation significativement plus fréquente de l'ALAT (y compris des cas d'élévation à des valeurs plus de cinq fois, dans des cas isolés, plus de 20 fois plus élevées que la limite supérieure de la normale [LSN]) que chez des patientes qui étaient traitées exclusivement avec les principes actifs antiviraux. L'utilisation de MyLoop doit donc être suspendue avant le début d'un traitement avec une telle association antivirale (voir «Mises en garde et précautions»).
-Des élévations plus fréquentes de l'ALAT ont également été observées en cas d'utilisation concomitante d'un CHC contenant de l'éthinylestradiol avec l'association des principes actifs glécaprévir/pibrentasvir, et MyLoop doit aussi être arrêté avant le début de la thérapie par cette association anti-VHC (voir «Contre-indications»).
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- +Dans des études cliniques, on a observé lors de l'utilisation concomitante d'un CHC contenant de l'éthinylestradiol et de l'association des principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir, utilisés pour traiter les infections par le VHC, une élévation significativement plus fréquente de l'ALAT (y compris des cas d'élévation à des valeurs plus de cinq fois, dans des cas isolés, plus de 20 fois plus élevées que la limite supérieure de la normale [LSN]) que chez des patientes qui étaient traitées exclusivement avec les principes actifs antiviraux. Des élévations similaires de l'ALAT ont également été observées sous médicaments anti-VHC contenant du glécaprévir/pibrentasvir ou du sofosbuvir/velpatasvir/voxilaprévir. L'utilisation de MyLoop doit donc être suspendue avant le début d'un traitement avec une telle association antivirale (voir aussi «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
- +Grossesse
- +Allaitement
- +
-Occasionnels: exanthème, alopécie, eczéma, prurit.
-Rares: urticaire.
- +Occasionnels: exanthème, alopécie, eczéma, prurit, urticaire.
- +Pharmacodynamique
- +Aucune indication.
- +Efficacité clinique
- +Des études cliniques ont été menées chez des femmes âgées de 18 à 40 ans dans le monde entier. Dans ces études, l'indice de Pearl (IP) moyen s'élève, compte tenu des erreurs d'utilisation et des erreurs de méthode, à 0,96 (IC à 95%: 0,64-1,39). Compte tenu uniquement des erreurs de méthode, l'IP est de 0,64 (IC à 95%: 0,35-1,07). L'indice de Pearl d'étonogestrel 0.120 mg / éthinylestradiol 0.015 mg, par 24 heures sous forme d'anneau vaginal est donc comparable à celui des contraceptifs oraux combinés.
-Efficacité clinique
-Des études cliniques ont été menées chez des femmes âgées de 18 à 40 ans dans le monde entier. Dans ces études, l'indice de Pearl (IP) moyen s'élève, compte tenu des erreurs d'utilisation et des erreurs de méthode, à 0,96 (IC à 95%: 0,64-1,39). Compte tenu uniquement des erreurs de méthode, l'IP est de 0,64 (IC à 95%: 0,35-1,07). L'indice de Pearl d'étonogestrel 0.120 mg / éthinylestradiol 0.015 mg, par 24 heures sous forme d'anneau vaginal est donc comparable à celui des contraceptifs oraux combinés.
-Etonogestrel (ENG)
- +Étonogestrel (ENG)
-Distribution
-L'ENG se lie à la sérumalbumine et à la SHBG (globuline fixant les hormones sexuelles). Seuls 2 à 4% de la concentration sérique totale se trouvent sous forme de stéroïde libre, 40-70% sont spécifiquement liés à la SHBG, avec une forte affinité. L'augmentation de la concentration de SHBG induite par l'éthinylestradiol modifie le taux relatif de liaison aux protéines sériques, ce qui conduit à une augmentation de la liaison à la SHBG, à une diminution de la liaison à l'albumine et à une diminution de la fraction libre. Le volume de distribution apparent de l'ENG est de 2,3 l/kg.
-Métabolisme
-Dans le foie, l'étonogestrel est hydroxylé et réduit par l'iso-enzyme CYP3A4 et conjugué à des sulfates et des glucuronides. Les métabolites sont inactifs. Aucune interaction métabolique n'a été observée lors de l'administration concomitante d'éthinylestradiol (EE).
-Elimination
-Les taux sériques d'ENG diminuent selon un processus biphasique, avec une demi-vie terminale d'environ 29 heures. La clairance plasmatique apparente est d'environ 3,5 l/h. L'ENG et ses métabolites sont excrétés dans les urines et les selles dans une proportion d'environ 1,7:1. La demi-vie d'élimination des métabolites est d'environ 6 jours.
-Ethinylestradiol (EE)
-Absorption
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- +Éthinylestradiol (EE)
- +Étonogestrel (ENG)
- +L'ENG se lie à la sérumalbumine et à la SHBG (globuline fixant les hormones sexuelles). Seuls 2 à 4% de la concentration sérique totale se trouvent sous forme de stéroïde libre, 40-70% sont spécifiquement liés à la SHBG, avec une forte affinité. L'augmentation de la concentration de SHBG induite par l'éthinylestradiol modifie le taux relatif de liaison aux protéines sériques, ce qui conduit à une augmentation de la liaison à la SHBG, à une diminution de la liaison à l'albumine et à une diminution de la fraction libre. Le volume de distribution apparent de l'ENG est de 2,3 l/kg.
- +Éthinylestradiol (EE)
- +Étonogestrel (ENG)
- +Dans le foie, l'étonogestrel est hydroxylé et réduit par l'iso-enzyme CYP3A4 et conjugué à des sulfates et des glucuronides. Les métabolites sont inactifs. Aucune interaction métabolique n'a été observée lors de l'administration concomitante d'éthinylestradiol (EE).
- +Éthinylestradiol (EE)
- +Étonogestrel (ENG)
- +Les taux sériques d'ENG diminuent selon un processus biphasique, avec une demi-vie terminale d'environ 29 heures. La clairance plasmatique apparente est d'environ 3,5 l/h. L'ENG et ses métabolites sont excrétés dans les urines et les selles dans une proportion d'environ 1,7:1. La demi-vie d'élimination des métabolites est d'environ 6 jours.
- +Éthinylestradiol (EE)
-Groupes de patients particuliers
-Population pédiatrique
-La pharmacocinétique de MyLoop a été étudiée uniquement chez l'adulte.
-Insuffisance rénale
-Aucune étude n'a été effectuée sur les répercussions éventuelles d'une insuffisance rénale sur la pharmacocinétique de MyLoop.
-Insuffisance hépatique
- +Cinétique pour certains groupes de patients
- +Troubles de la fonction hépatique
- +Troubles de la fonction rénale
- +Aucune étude n'a été effectuée sur les répercussions éventuelles d'une insuffisance rénale sur la pharmacocinétique de MyLoop.
- +Enfants et adolescents
- +La pharmacocinétique de MyLoop a été étudiée uniquement chez l'adulte.
-Chez l'animal, l'éthinylestradiol a eu un effet embryolétal, même à des doses relativement faibles; on a observé des malformations urogénitales et une féminisation des fœtus mâles. Chez l'animal, les substances de type progestatif ont un effet embryolétal; à fortes doses, elles ont un effet virilisant sur les fœtus femelles. Les études de toxicité sur la reproduction menées chez le rat, la souris et le lapin n'ont montré aucun signe d'effet tératogène. Pour les risques dans l'espèce humaine, voir le paragraphe «Grossesse/Allaitement».
- +Chez l'animal, l'éthinylestradiol a eu un effet embryolétal, même à des doses relativement faibles; on a observé des malformations urogénitales et une féminisation des fœtus mâles. Chez l'animal, les substances de type progestatif ont un effet embryolétal; à fortes doses, elles ont un effet virilisant sur les fœtus femelles. Les études de toxicité sur la reproduction menées chez le rat, la souris et le lapin n'ont montré aucun signe d'effet tératogène. Pour les risques dans l'espèce humaine, voir le paragraphe «Grossesse, Allaitement».
-Ne pas conserver au-dessus de 30°C. À conserver dans l'emballage d'origine pour protéger l'anneau de la lumière et de l'humidité. Tenir hors de portée des enfants.
- +Ne pas conserver au-dessus de 25°C. À conserver dans l'emballage d'origine pour protéger l'anneau de la lumière et de l'humidité. Tenir hors de portée des enfants.
-Juin 2019.
- +Novembre 2021.
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