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Accueil - Information professionnelle sur Jemperli 500 mg/10 ml - Changements - 13.06.2023
26 Changements de l'information professionelle Jemperli 500 mg/10 ml
  • -Aucun ajustement posologique n'est recommandé pour les patientes présentant des troubles légers à modérés de la fonction rénale. Uniquement des données limitées sont disponibles chez les patientes présentant des troubles sévères de la fonction rénale ou une insuffisance rénale terminale sous dialyse (voir «Pharmacocinétique»).
  • +Aucun ajustement posologique n'est recommandé pour les patientes présentant des troubles légers à modérés de la fonction rénale. Seules des données limitées sont disponibles chez les patientes présentant des troubles sévères de la fonction rénale ou une insuffisance rénale terminale sous dialyse (voir «Pharmacocinétique»).
  • -Aucun ajustement posologique n'est recommandé chez les patientes âgées de 65 ans et plus. Uniquement des données cliniques limitées sur Jemperli sont disponibles chez les patientes âgées de 75 ans et plus (voir «Efficacité clinique»).
  • +Aucun ajustement posologique n'est recommandé chez les patientes âgées de 65 ans et plus. Seules des données cliniques limitées sur Jemperli sont disponibles chez les patientes âgées de 75 ans et plus (voir «Efficacité clinique»).
  • -Étant donné le mécanisme d'action du dostarlimab, d'autres effets indésirables éventuels d'origine immunologique peuvent survenir. Les effets indésirables d'origine immunologique cliniquement significatifs et rapportés chez moins de 1% des patientes traitées par Jemperli en monothérapie au cours d'études cliniques incluaient: anémie hémolytique auto-immune, uvéite et iridocyclite. Les patientes doivent faire l'objet d'une surveillance afin de détecter tout signe ou symptôme d'effets indésirables d'origine immunologique et être traitées comme décrit sous «Posologie/Mode d'emploi».
  • -Chez les patients traités par des inhibiteurs de PD-1, des réactions de rejet lors de transplantations d'organes solides ont été rapportées après la mise sur le marché. Le traitement par le dostarlimab peut augmenter le risque de rejet chez les receveurs de greffes d'organes solides. Chez ces patients, le bénéfice du traitement par le dostarlimab doit être évalué par rapport au risque d'un éventuel rejet d'organe.
  • -Des complications graves, voire mortelles, peuvent survenir chez des patientes ayant reçu une greffe allogénique de cellules souches hématopoïétiques (GCSH) avant ou après le traitement par un anticorps anti-PD-1 ou PD-L1. Les complications liées à la greffe incluent des formes suraigües, aiguës ou chroniques de réaction du greffon contre l'hôte (GVH), une maladie veino-occlusive hépatique après un conditionnement à intensité réduite et des syndromes fébriles nécessitant la prise de stéroïdes (sans cause infectieuse identifiée). Ces complications peuvent survenir malgré un traitement interventionnel entre l'administration d'un anticorps anti-PD-1/PD-L1 et la GCSH allogénique.
  • +Étant donné le mécanisme d'action du dostarlimab, d'autres effets indésirables éventuels d'origine immunologique peuvent survenir. Les effets indésirables d'origine immunologique cliniquement significatifs et rapportés chez moins de 1% des patientes traitées par Jemperli en monothérapie au cours d'études cliniques incluaient: encéphalite, anémie hémolytique auto-immune, uvéite et iridocyclite. Les patientes doivent faire l'objet d'une surveillance afin de détecter tout signe ou symptôme d'effets indésirables d'origine immunologique et être traitées comme décrit sous «Posologie/Mode d'emploi».
  • +Chez les patients traités par des inhibiteurs de PD-1, des réactions de rejet lors de transplantations d'organes solides ont été rapportées après la mise sur le marché. Le traitement par le dostarlimab peut augmenter le risque de rejet chez les receveurs de greffes d'organes solides. Chez ces patients, le bénéfice du traitement par le dostarlimab doit être évalué par rapport au risque d'un éventuel rejet d'organe. Des complications graves, voire mortelles, peuvent survenir chez des patientes ayant reçu une greffe allogénique de cellules souches hématopoïétiques (GCSH) avant ou après le traitement par un anticorps anti-PD-1 ou PD-L1. Les complications liées à la greffe incluent des formes suraigües, aiguës ou chroniques de réaction du greffon contre l'hôte (GVH), une maladie veino-occlusive hépatique après un conditionnement à intensité réduite et des syndromes fébriles nécessitant la prise de stéroïdes (sans cause infectieuse identifiée). Ces complications peuvent survenir malgré un traitement interventionnel entre l'administration d'un anticorps anti-PD-1/PD-L1 et la GCSH allogénique.
  • -Ces effets indésirables sont présentés par classe de systèmes d'organes et par fréquence. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100 à <1/10); occasionnels (≥1/1000 à <1/100); rares (≥1/10 000 à <1000); très rares (<1/10 000) et fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles). Au sein de chaque catégorie de fréquence, les effets indésirables sont indiqués par ordre décroissant de sévérité.
  • +Ces effets indésirables sont présentés par classe de systèmes d'organes et par fréquence. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100 à <1/10); occasionnels (≥1/1000 à <1/100); rares (≥1/10 000 à <1/1000); très rares (<1/10 000) et fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • -Affections hématologiques et du système lymphatique Très fréquents Anémie (28,0%) Occasionnels Anémie hémolytique auto-immune Fréquents Anémie Occasionnels Anémie hémolytique auto-immune
  • -Affections endocriniennes Très fréquents Hypothyroïdiea (10,6%) Fréquents Hyperthyroïdie, insuffisance surrénalienne Occasionnels Hypophysiteb, thyroïditec Occasionnels Insuffisance surrénalienne, hyperthyroïdie
  • -Troubles du métabolisme et de la nutrition Très fréquents Diminution de l'appétit (17,8%) Occasionnels Diabète sucré de type 1, acidocétose diabétique Occasionnels Diminution de l'appétit
  • -Affections du système nerveux Occasionnels Myasthénie grave, syndrome myasthéniqued
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique Très fréquents Anémie (28,6%) Occasionnels Anémie hémolytique auto-immune Fréquents Anémie Occasionnels Anémie hémolytique auto-immune
  • +Affections endocriniennes Très fréquents Hypothyroïdiea (11,2%) Fréquents Hyperthyroïdie, insuffisance surrénalienne Occasionnels Thyroïditeb, hypophysitec Occasionnels Insuffisance surrénalienne, hyperthyroïdie
  • +Troubles du métabolisme et de la nutrition Très fréquents Diminution de l'appétit (17,8%) Occasionnels Diabète sucré de type 1, acidocétose diabétique Occasionnels Diminution de l'appétit, diabète sucré de type 1, acidocétose diabétique
  • +Affections du système nerveux Occasionnels Encéphalite, myasthénie grave, syndrome myasthéniqued Occasionnels Encéphalite, syndrome myasthéniqued
  • -Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales Fréquents Pneumopathie inflammatoireg Occasionnels Pneumopathie inflammatoireg
  • -Affections gastro-intestinales Très fréquents Nausées (25,0%), diarrhée (23,9%), vomissements (18,5%) Fréquents Coliteh, pancréatitei Fréquents Nausées, vomissements, diarrhée Occasionnels Colitej, pancréatitei
  • -Affections hépatobiliaires Très fréquents Augmentation des transaminasesk (14,1%) Occasionnels Hépatitel Fréquents Augmentation des transaminasesk Occasionnels Hépatitel
  • -Affections de la peau et du tissu sous-cutané Très fréquents Prurit (12,5%), éruption cutanéem (19,5%) Fréquents Éruption cutanéen Occasionnels Prurit
  • -Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif Fréquents Myalgies Occasionnels Arthrite d'origine immunologique, pseudo-polyarthrite rhizomélique, myositen Occasionnels Myositen
  • -Affections du rein et des voies urinaires Occasionnels Néphritep
  • -Troubles généraux et anomalies au site d'administration Très fréquents Fatigueq (44,9%), fièvre (11,3%) Fréquents Frissons Occasionnels Syndrome de réponse inflammatoire généraliséeo Occasionnels Fièvre, frissons, fatigueq, syndrome de réponse inflammatoire généraliséeo
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales Fréquents Pneumopathie inflammatoireg Occasionnels Pneumopathie inflammatoireh
  • +Affections gastro-intestinales Très fréquents Diarrhée (26,0%), nausées (25,8%), vomissements (19,0%) Fréquents Colitei, pancréatitej, gastritek Occasionnels Œsophagite Fréquents Nausées, vomissements, diarrhée Occasionnels Pancréatitei, colitel, gastritek, œsophagite
  • +Affections hépatobiliaires Très fréquents Augmentation des transaminasesm (14,9%) Occasionnels Hépatiteo Fréquents Augmentation des transaminasesn Occasionnels Hépatiteo
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané Très fréquents Éruption cutanéeq (20,8%), prurit (14,2%) Fréquents Éruption cutanéeq Occasionnels Prurit
  • +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif Fréquents Myalgies Occasionnels Arthrite d'origine immunologique, pseudo-polyarthrite rhizomélique, myositer Occasionnels Arthrite d'origine immunologique, myositer
  • +Affections du rein et des voies urinaires Occasionnels Néphrites
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration Très fréquents Fatiguet (44,9%), fièvre (12,4%) Fréquents Frissons Occasionnels Syndrome de réponse inflammatoire généraliséeu Occasionnels Fièvre, frissons, fatiguet, syndrome de réponse inflammatoire généraliséeu
  • -b Inclut hypophysite et hypophysite lymphocytaire
  • -c Inclut thyroïdite et thyroïdite auto-immune
  • +b Inclut thyroïdite et thyroïdite auto-immune
  • +c Inclut hypophysite et hypophysite lymphocytaire
  • -g Inclut pneumopathie inflammatoire et pneumopathie interstitielle
  • -h Inclut colite, entérocolite et entérocolite hémorragique
  • -i Inclut pancréatite et pancréatite aiguë
  • -j Inclut colite et entérocolite hémorragique
  • -k Inclut augmentation des transaminases, augmentation de l'alanine aminotransférase, augmentation de l'aspartate aminotransférase et hypertransaminasémie
  • -l Inclut hépatite, hépatite auto-immune et lésion hépatocellulaire
  • -m Inclut éruption cutanée, éruption cutanée maculo-papuleuse, érythème, éruption cutanée maculeuse, éruption cutanée prurigineuse, éruption cutanée érythémateuse, éruption cutanée papuleuse, érythème polymorphe, éruption cutanée toxique, éruption cutanée exfoliative, toxicité cutanée, éruption cutanée médicamenteuse et pemphigoïde
  • -n Inclut éruption cutanée, éruption cutanée médicamenteuse et éruption cutanée maculo-papuleuse
  • -o Rapporté à partir de données regroupées d'études sur le dostarlimab en association avec différents types de traitements anticancéreux
  • -p Inclut néphrite et néphrite tubulo-interstitielle
  • -q Inclut fatigue et asthénie
  • -r Inclut réaction liée à la perfusion et hypersensibilité
  • +g Inclut pneumopathie inflammatoire, pneumopathie interstitielle et pneumopathie d'origine immunologique
  • +h Inclut pneumopathie inflammatoire et pneumopathie interstitielle
  • +i Inclut colite, entérocolite et entérocolite d'origine immunologique (pool monothérapie) et entérite, rapportées dans l'étude en aveugle en cours, menée avec le dostarlimab en association; catégorie de fréquence estimée
  • +j Inclut pancréatite et pancréatite aiguë
  • +k Inclut gastrite (pool monothérapie) ainsi que gastrite d'origine immunologique et vasculite gastro-intestinale, rapportées dans l'étude en aveugle en cours, menée avec le dostarlimab en association; catégorie de fréquence estimée
  • +l Inclut colite et entérocolite d'origine immunologique (pool monothérapie) et entérite, rapportées dans l'étude en aveugle en cours, menée avec le dostarlimab en association; catégorie de fréquence estimée
  • +m Inclut augmentation des transaminases, augmentation de l'alanine aminotransférase, augmentation de l'aspartate aminotransférase et hypertransaminasémie
  • +n Inclut augmentation des transaminases, augmentation de l'alanine aminotransférase, augmentation de l'aspartate aminotransférase
  • +o Inclut hépatite, hépatite auto-immune et cytolyse hépatique
  • +p Inclut éruption cutanée, éruption cutanée maculo-papuleuse, érythème, éruption cutanée maculeuse, éruption cutanée prurigineuse, éruption cutanée érythémateuse, éruption cutanée papuleuse, érythème polymorphe, toxicité cutanée, éruption cutanée médicamenteuse, éruption cutanée toxique, éruption cutanée exfoliative et pemphigoïde
  • +q Inclut éruption cutanée, éruption cutanée maculo-papuleuse et éruption cutanée médicamenteuse
  • +r Inclut myosite, qui a été déclarée dans le cadre d'une étude en aveugle en cours, menée avec le dostarlimab en association, ainsi que myosite d'origine immunologique (pool monothérapie); catégorie de fréquence estimée
  • +s Inclut néphrite et néphrite tubulo-interstitielle
  • +t Inclut fatigue et asthénie
  • +u Inclut réaction liée à la perfusion et hypersensibilité
  • -Sur la base des relations entre l'efficacité et la sécurité de l'exposition, le doublement de l'exposition au dostarlimab n'entraîne aucune différence cliniquement significative en termes d'efficacité et de sécurité. La pleine occupation du récepteur, mesurée par la liaison directe au PD-1ainsi que par le test fonctionnel de la production d'IL-2, s'est maintenue sur tout l'intervalle des doses, avec le schéma posologique thérapeutique recommandé.
  • +Sur la base des relations entre l'efficacité et la sécurité de l'exposition, le doublement de l'exposition au dostarlimab n'entraîne aucune différence cliniquement significative en termes d'efficacité et de sécurité. La pleine occupation du récepteur, mesurée par la liaison directe au PD-1 ainsi que par le test fonctionnel de la production d'IL-2, s'est maintenue sur tout l'intervalle des doses, avec le schéma posologique thérapeutique recommandé.
  • -L'étude GARNET a inclus des cohortes d'expansion incluant des patients atteints de tumeurs solides récidivantes ou avancées, pour lesquels seules des options thérapeutiques limitées étaient disponibles. La cohorte A1 a inclus des patientes atteintes d'un cancer de l'endomètre dMMR/MSI-H ayant progressé pendant ou après un schéma de traitement à base de platine.
  • -Les patientes ont reçu 500 mg de dostarlimab toutes les 3 semaines pendant 4 cycles, puis 1000 mg toutes les 6 semaines. Le traitement a été poursuivi jusqu'à l'apparition d'une toxicité inacceptable ou d'une progression de la maladie, qu'elle soit symptomatique, rapidement progressive, qu'elle exige une intervention urgente ou s'accompagne d'une dégradation de l'indice de performance. Le traitement par le dostarlimab a été poursuivi conformément au protocole pendant un maximum de 105 semaines (24 mois). Dans l'étude, 10 patients (7,8%) ont reçu le dostarlimab pendant plus de 105 semaines et jusqu'à un maximum de 139 semaines (32 mois). Les principaux critères d'efficacité étaient le taux de réponse objective (ORR) et la durée de la réponse (DOR), évaluées par un comité de revue radiologique indépendant centralisé en aveugle (BICR) selon les critères RECIST v1.1.
  • +L'étude GARNET a inclus des cohortes d'expansion incluant des patients atteints de tumeurs solides récidivantes ou avancées, pour lesquels seules des options thérapeutiques limitées étaient disponibles. La cohorte A1 incluait des patientes atteintes d'un cancer de l'endomètre dMMR/MSI-H ayant progressé pendant ou après un schéma de traitement à base de platine.
  • +Les patientes ont reçu 500 mg de dostarlimab toutes les 3 semaines pendant 4 cycles, puis 1000 mg toutes les 6 semaines. Le traitement a été poursuivi jusqu'à l'apparition d'une toxicité inacceptable ou d'une progression de la maladie, qu'elle soit symptomatique, rapidement progressive, qu'elle exige une intervention urgente ou s'accompagne d'une dégradation de l'indice de performance. Le traitement par le dostarlimab a été poursuivi conformément au protocole pendant un maximum de 105 semaines (24 mois). Dans l'étude, 10 patients (7,8%) ont reçu le dostarlimab pendant plus de 105 semaines et jusqu'à un maximum de 139 semaines (32 mois). Les critères d'efficacité primaires étaient le taux de réponse objective (ORR) et la durée de la réponse (DOR), évaluées par un comité de revue radiologique indépendant centralisé en aveugle (BICR) selon les critères RECIST v1.1.
  • -Les principaux critères secondaires d'efficacité étaient le taux de contrôle de la maladie (DCR) et la survie sans progression (PFS).
  • -La pharmacocinétique du dostarlimab a été caractérisée à l'aide d'une analyse pharmacocinétique de population réalisée chez 546 patients atteints de différentes tumeurs solides, dont 267 patientes atteintes d'un cancer de l'endomètre. La pharmacocinétique du dostarlimab est approximativement proportionnelle à la dose dans la fourchette posologique comprise entre 1 mg/kg et 10 mg/kg. Lorsqu'il est administré à la dose thérapeutique recommandée (500 mg par voie intraveineuse toutes les 3 semaines pour les 4 premières doses, puis 1000 mg toutes les 6 semaines), le dostarlimab présente un quasi-doublement de l'accumulation (AUC0-tau et Cmax) lorsque l'on compare l'exposition après la première dose de 500 mg (cycle 1) avec l'exposition à l'état d'équilibre, atteinte soit après les deux doses de 500 mg toutes les 3 semaines, soit après la dose de 1000 mg toutes les 6 semaines.
  • +La pharmacocinétique du dostarlimab a été caractérisée à l'aide d'une analyse pharmacocinétique de population réalisée chez 546 patients atteints de différentes tumeurs solides, dont 288 patientes atteintes d'un cancer de l'endomètre. La pharmacocinétique du dostarlimab est approximativement proportionnelle à la dose dans la fourchette posologique comprise entre 1 mg/kg et 10 mg/kg. Lorsqu'il est administré à la dose thérapeutique recommandée (500 mg par voie intraveineuse toutes les 3 semaines pour les 4 premières doses, puis 1000 mg toutes les 6 semaines), le dostarlimab présente un quasi-doublement de l'accumulation (AUC0-tau et Cmax) lorsque l'on compare l'exposition après la première dose de 500 mg (cycle 1) avec l'exposition à l'état d'équilibre, atteinte soit après les deux doses de 500 mg toutes les 3 semaines, soit après la dose de 1000 mg toutes les 6 semaines.
  • -Jusqu'à présent aucune étude n'a été réalisée pour évaluer le potentiel carcinogène ou génotoxique du dostarlimab.
  • +Jusqu'à présent, aucune étude n'a été réalisée pour évaluer le potentiel carcinogène ou génotoxique du dostarlimab.
  • -Jemperli flacons de 500 mg/10 mL: 1 [A]
  • +Jemperli flacon de 500 mg/10 mL: 1 [A]
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