ch.oddb.org
 
Apotheken | Hôpital | Interactions | LiMA | Médecin | Médicaments | Services | T. de l'Autorisation
Accueil - Information professionnelle sur Jemperli 500 mg/10 ml - Changements - 24.03.2023
66 Changements de l'information professionelle Jemperli 500 mg/10 ml
  • -(image)
  • -L'administration de Jemperli doit être poursuivie selon le schéma recommandé jusqu'à la progression de la maladie ou jusqu'à une toxicité inacceptable, ou jusqu'à deux ans au maximum.
  • + 500 mg une fois toutes les 3 semaines (1 cycle = 3 semaines) 1000 mg une fois toutes les 6 semaines jusqu'à progression de la maladie ou toxicité inacceptable (1 cycle = 6 semaines)
  • +Cycle Cycle 1 Cycle 2 Cycle 3 Cycle 4 Cycle 5 Cycle 6 Cycle 7 Poursuivre le traitement toutes les 6 semaines
  • +Semaine 1 4 7 10 13 19 25
  • + (image) 3 semaines entre le cycle 4 et le cycle 5
  • +
  • +L'administration de Jemperli doit être poursuivie selon la dose recommandée et le schéma recommandé jusqu'à la progression de la maladie ou jusqu'à une toxicité inacceptable, ou jusqu'à deux ans au maximum.
  • -Colite 2 à 3 Suspendre l'administration. Reprendre le traitement lorsque la toxicité est revenue à un grade 0-1.
  • +Colite 2 ou 3 Suspendre l'administration. Reprendre le traitement lorsque la toxicité est revenue à un grade 0 ou 1.
  • -Hépatite Grade 2 (ASATb ou ALATc >3-5x LSNd ou bilirubine totale >1,5-3x LSNd) Suspendre l'administration. Reprendre le traitement lorsque la toxicité est revenue à un grade 0-1.
  • +Hépatite Grade 2 (ASATb ou ALATc >3-5x LSNd ou bilirubine totale >1,5-3x LSNd) Suspendre l'administration. Reprendre le traitement lorsque la toxicité est revenue à un grade 0 ou 1.
  • -Diabète sucré de type 1 (DT1) 3 à 4 (hyperglycémie) Suspendre l'administration. Reprendre le traitement chez les patientes bien contrôlées et stables sur le plan clinique et métabolique.
  • -Hypophysite ou insuffisance surrénalienne 2 à 3 Suspendre l'administration. Reprendre le traitement lorsque la toxicité est revenue à un grade 0-1. Arrêter définitivement le traitement en cas de récidive ou d'aggravation sous une hormonothérapie adéquate.
  • -4 Arrêter définitivement le traitement.
  • -Hypothyroïdie ou hyperthyroïdie 3 à 4 Suspendre l'administration. Reprendre le traitement lorsque la toxicité s'est améliorée à un grade 0-1 ou en cas de stabilité clinique.
  • -Pneumopathie inflammatoire 2 Suspendre l'administration. Reprendre le traitement lorsque la toxicité est revenue à un grade 0-1.
  • -3 à 4 ou récidive au grade 2 Arrêter définitivement le traitement.
  • -Néphrite 2 Suspendre l'administration. Reprendre le traitement lorsque la toxicité est revenue à un grade 0-1.
  • -3 à 4 Arrêter définitivement le traitement.
  • -Dermatoses exfoliatives (p.ex. SSJ, NET, DRESS) suspectées Suspendre l'administration pour tous les grades. Reprendre le traitement si non confirmées et lorsque la toxicité est revenue à un grade 0-1.
  • +Diabète sucré de type 1 (DT1) 3 ou 4 (hyperglycémie) Suspendre l'administration. Reprendre le traitement chez les patientes bien contrôlées et stables sur le plan clinique et métabolique.
  • +Hypophysite ou insuffisance surrénalienne 2, 3 ou 4 Suspendre l'administration. Reprendre le traitement lorsque la toxicité est revenue à un grade 0 ou 1. Arrêter définitivement le traitement en cas de récidive ou d'aggravation sous une hormonothérapie adéquate.
  • +Hypothyroïdie ou hyperthyroïdie 3 ou 4 Suspendre l'administration. Reprendre le traitement lorsque la toxicité s'est améliorée à un grade 0 ou 1 ou en cas de stabilité clinique.
  • +Pneumopathie inflammatoire 2 Suspendre l'administration. Reprendre le traitement lorsque la toxicité est revenue à un grade 0 ou 1.
  • +3 ou 4 ou récidive au grade 2 Arrêter définitivement le traitement.
  • +Néphrite 2 Suspendre l'administration. Reprendre le traitement lorsque la toxicité est revenue à un grade 0 ou 1.
  • +3 ou 4 Arrêter définitivement le traitement.
  • +Dermatoses exfoliatives (p.ex. SSJ, NET, DRESS) suspectées Suspendre l'administration pour tous les grades. Reprendre le traitement si non confirmées et lorsque la toxicité est revenue à un grade 0 ou 1.
  • -Autres effets indésirables d'origine immunologique touchant un organe important 3 Suspendre l'administration. Reprendre le traitement lorsque la toxicité est revenue à un grade 0-1.
  • +Myocardite 2, 3 ou 4 Arrêter définitivement le traitement.
  • +Toxicités neurologiques sévères (syndrome myasthénique/myasthénie grave, syndrome de Guillain-Barré, encéphalite, myélite transverse) 2, 3 ou 4 Arrêter définitivement le traitement.
  • +Autres effets indésirables d'origine immunologique touchant un organe important 3 Suspendre l'administration. Reprendre le traitement lorsque la toxicité est revenue à un grade 0 ou 1.
  • -Réapparition d'effets indésirables d'origine immunologique après leur retour à un grade ≤1 3 à 4 Arrêter définitivement le traitement.
  • +Réapparition d'effets indésirables d'origine immunologique après leur retour à un grade ≤1 (sauf pneumopathie inflammatoire, voir ci-dessus) 3 ou 4 Arrêter définitivement le traitement.
  • -3 à 4 Arrêter définitivement le traitement.
  • +3 ou 4 Arrêter définitivement le traitement.
  • -e Chez les patientes présentant des métastases hépatiques et une augmentation des taux d'ASAT ou d'ALAT de grade 2 au début du traitement, le traitement doit être suspendu si une augmentation des taux d'ASAT ou l'ALAT ≥50% par rapport à la valeur initiale persiste pendant au moins 1 semaine.
  • +e Chez les patientes présentant des métastases hépatiques et une augmentation des taux d'ASAT ou d'ALAT de grade 2 au début du traitement, le traitement doit être suspendu si une augmentation des taux d'ASAT ou d'ALAT ≥50% par rapport à la valeur initiale persiste pendant au moins 1 semaine.
  • -Patients âgés
  • +Patientes âgées
  • -Les données décrites dans cette section proviennent de 568 patientes et patients atteints de tumeurs solides récidivantes ou avancées qui ont reçu Jemperli en monothérapie dans le cadre d'une étude multicohorte ouverte, à un bras (GARNET).
  • +Les données décrites dans cette section proviennent de plus de 600 patientes et patients atteints de tumeurs solides récidivantes ou avancées qui ont reçu Jemperli en monothérapie dans le cadre d'une étude multicohorte ouverte, à un bras (GARNET).
  • -Le dépistage et le traitement précoces des effets indésirables d'origine immunologique sont essentiels pour garantir la sécurité de l'utilisation des anticorps anti-PD-1/PD-L1. Une surveillance est donc nécessaire afin de détecter les signes et symptômes d'effets indésirables d'origine immunologique. Les paramètres biologiques cliniques, notamment les valeurs de la fonction hépatique, de la fonction rénale et de la fonction thyroïdienne, doivent être évalués lors de l'instauration du traitement et régulièrement pendant le traitement. Toute suspicion d'effets indésirables d'origine immunologique doit faire l'objet d'une évaluation adéquate, incluant une consultation auprès d'un spécialiste.
  • +Le dépistage et le traitement précoces des effets indésirables d'origine immunologique sont essentiels pour garantir la sécurité de l'utilisation des anticorps anti-PD-1/PD-L1. Une surveillance est donc nécessaire afin de détecter les signes et symptômes d'effets indésirables d'origine immunologique. Les paramètres hématologiques et biologiques cliniques, notamment les valeurs de la fonction hépatique, de la fonction rénale et de la fonction thyroïdienne, doivent être évalués lors de l'instauration du traitement et régulièrement pendant le traitement. Toute suspicion d'effets indésirables d'origine immunologique doit faire l'objet d'une évaluation adéquate, incluant une consultation auprès d'un spécialiste.
  • -Des endocrinopathies d'origine immunologique (incluant hypothyroïdie, hyperthyroïdie, thyroïdite et insuffisance surrénalienne) ont été rapportées chez des patientes traitées par le dostarlimab (voir «Effets indésirables»).
  • +Des endocrinopathies d'origine immunologique (incluant hypothyroïdie, hyperthyroïdie, thyroïdite, hypophysite, diabète sucré de type 1, acidocétose diabétique et insuffisance surrénalienne) ont été rapportées chez des patientes traitées par le dostarlimab (voir «Effets indésirables»).
  • -Une hypothyroïdie et une hyperthyroïdie (y compris une thyroïdite) d'origine immunologique ont été rapportées chez des patientes recevant Jemperli, et une hypothyroïdie peut être consécutive à une hyperthyroïdie. En cas d'indication clinique, les patientes doivent être surveillées avant le traitement, puis régulièrement pendant le traitement, afin de détecter toute anomalie dans les tests de la fonction thyroïdienne. Une hypothyroïdie et une hyperthyroïdie (y compris une thyroïdite) d'origine immunologique doivent être traitées selon les recommandations figurant sous «Posologie/Mode d'emploi». En cas d'indication clinique, un traitement hormonal substitutif de l'hypothyroïdie ou un traitement médical de l'hyperthyroïdie doivent être instaurés.
  • +Une hypothyroïdie et une hyperthyroïdie (y compris une thyroïdite) d'origine immunologique ont été rapportées chez des patientes recevant Jemperli, et une hypothyroïdie peut être consécutive à une hyperthyroïdie. En cas d'indication clinique, les patientes doivent être surveillées avant le traitement, puis régulièrement pendant le traitement, afin de détecter toute anomalie dans les tests de la fonction thyroïdienne. Une hypothyroïdie et une hyperthyroïdie (y compris une thyroïdite) d'origine immunologique doivent être traitées selon les recommandations figurant sous «Posologie/Mode d'emploi». En cas d'indication clinique, un traitement hormonal substitutif de l'hypothyroïdie ou un traitement médical de l'hyperthyroïdie doit être instauré.
  • -Une éruption cutanée d'origine immunologique a été observée chez des patientes recevant le dostarlimab (voir «Effets indésirables»). Les patientes doivent faire l'objet d'une surveillance afin de détecter tout signe ou symptôme d'une éruption cutanée. Une éruption cutanée d'origine immunologique doit être traitée selon les recommandations (voir «Posologie/Mode d'emploi»). Des cas de syndrome de Stevens-Johnson et de nécrolyse épidermique toxique ont été rapportés chez des patientes traitées par des inhibiteurs de PD-1.
  • -La prudence est recommandée lorsque l'on envisage l'administration de Jemperli chez une patiente ayant présenté une intolérance cutanée sévère ou menaçant le pronostic vital lors d'un traitement antérieur par d'autres agents anticancéreux immunostimulants.
  • +Une éruption cutanée d'origine immunologique incluant une pemphigoïde a été observée chez des patientes recevant le dostarlimab (voir «Effets indésirables»). Les patientes doivent faire l'objet d'une surveillance afin de détecter tout signe ou symptôme d'une éruption cutanée. Les affections dermatologiques exfoliatives doivent être traitées selon les recommandations (voir «Posologie/Mode d'emploi»). Des cas de syndrome de Stevens-Johnson et de nécrolyse épidermique toxique ont été rapportés chez des patientes traitées par des inhibiteurs de PD-1.
  • +La prudence est de mise lorsque l'on envisage l'administration de Jemperli chez une patiente ayant présenté une intolérance cutanée sévère ou menaçant le pronostic vital lors d'un traitement antérieur par d'autres agents anticancéreux immunostimulants.
  • -Étant donné le mécanisme d'action du dostarlimab, d'autres effets indésirables éventuels d'origine immunologique peuvent survenir. Les effets indésirables d'origine immunologique cliniquement significatifs et rapportés chez moins de 1% des patientes traitées par Jemperli en monothérapie au cours d'études cliniques incluaient: anémie hémolytique auto-immune, uvéite, iridocyclite, pemphigoïde, hypophysite et diabète sucré de type 1. Les patientes doivent faire l'objet d'une surveillance afin de détecter tout signe ou symptôme d'effets indésirables d'origine immunologique et être traitées comme décrit sous «Posologie/Mode d'emploi».
  • +Étant donné le mécanisme d'action du dostarlimab, d'autres effets indésirables éventuels d'origine immunologique peuvent survenir. Les effets indésirables d'origine immunologique cliniquement significatifs et rapportés chez moins de 1% des patientes traitées par Jemperli en monothérapie au cours d'études cliniques incluaient: anémie hémolytique auto-immune, uvéite et iridocyclite. Les patientes doivent faire l'objet d'une surveillance afin de détecter tout signe ou symptôme d'effets indésirables d'origine immunologique et être traitées comme décrit sous «Posologie/Mode d'emploi».
  • +Chez les patients traités par des inhibiteurs de PD-1, des réactions de rejet lors de transplantations d'organes solides ont été rapportées après la mise sur le marché. Le traitement par le dostarlimab peut augmenter le risque de rejet chez les receveurs de greffes d'organes solides. Chez ces patients, le bénéfice du traitement par le dostarlimab doit être évalué par rapport au risque d'un éventuel rejet d'organe.
  • +
  • -Les femmes en âge de procréer doivent utiliser des méthodes de contraception fiables dès le début du traitement et jusqu'à 4 mois après l'administration de la dernière dose de Jemperli.
  • +Les femmes en âge de procréer doivent utiliser des méthodes de contraception très efficaces et fiables dès le début du traitement et jusqu'à 4 mois après l'administration de la dernière dose de Jemperli.
  • -Il n'existe aucune donnée concernant l'emploi du dostarlimab chez la femme enceinte. Aucune étude de toxicité pour la reproduction n'a été réalisée chez l'animal avec le dostarlimab afin d'évaluer les effets de celui-ci sur la reproduction et sur le développement du fœtus. Étant donné son mécanisme d'action, le dostarlimab peut porter atteinte au fœtus lorsqu'il est administré pendant la grossesse (voir «Données précliniques»). Il est connu que les immunoglobulines humaines G4 (IgG4) traversent la barrière placentaire; par conséquent, le dostarlimab peut éventuellement être transmis de la mère au fœtus en développement. Jemperli ne doit pas être utilisé pendant la grossesse, sauf si l'état clinique de la femme justifie un traitement par le dostarlimab. Les femmes doivent être informées du risque potentiel pour le fœtus.
  • +Il n'existe aucune donnée concernant l'emploi du dostarlimab chez la femme enceinte. Aucune étude de toxicité pour la reproduction n'a été réalisée chez l'animal avec le dostarlimab afin d'évaluer les effets de celui-ci sur la reproduction et sur le développement du fœtus. Étant donné son mécanisme d'action, le dostarlimab peut porter atteinte au fœtus lorsqu'il est administré pendant la grossesse (voir «Données précliniques»). Il est connu que les immunoglobulines humaines G4 (IgG4) traversent la barrière placentaire; par conséquent, le dostarlimab peut éventuellement être transmis de la mère au fœtus en développement.
  • +Jemperli ne doit pas être utilisé pendant la grossesse, sauf si l'état clinique de la femme justifie un traitement par le dostarlimab. Les femmes doivent être informées du risque potentiel pour le fœtus.
  • -La sécurité du dostarlimab a été évaluée chez 568 patientes et patients atteints de tumeurs solides récidivantes ou avancées, dont 307 patientes atteintes d'un cancer de l'endomètre et 261 patientes et patients atteints d'autres tumeurs solides avancées, qui ont reçu le dostarlimab en monothérapie dans le cadre de l'étude GARNET, multicohorte et ouverte. Les patientes et patients ont reçu des doses de 500 mg toutes les 3 semaines pour les 4 premières doses, puis de 1000 mg toutes les 6 semaines lors de tous les cycles suivants.
  • -Les effets indésirables observés chez 568 patientes atteintes de tumeurs solides récidivantes ou avancées qui ont été traitées par le dostarlimab dans l'étude GARNET sont présentés dans le Tableau 3.
  • -Ces effets indésirables sont présentés par classe de systèmes d'organes et par fréquence. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100 à <1/10); occasionnels (≥1/1000 à <1/100), rares (≥1/10 000 à <1000); très rares (< 1/10 000) et fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles). Au sein de chaque catégorie de fréquence, les effets indésirables sont indiqués par ordre décroissant de sévérité.
  • +Les effets indésirables observés chez plus de 600 patientes atteintes de tumeurs solides récidivantes ou avancées qui ont été traitées par le dostarlimab en monothérapie dans l'étude multicohorte ouverte GARNET sont présentés dans le Tableau 3.
  • +D'autres effets indésirables d'origine immunologique, identifiés sur la base de données regroupées d'autres études cliniques menées chez des patients atteints de tumeurs solides qui avaient reçu le dostarlimab en association avec différents types de traitements anticancéreux, sont également présentés dans le Tableau 3.
  • +Ces effets indésirables sont présentés par classe de systèmes d'organes et par fréquence. Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100 à <1/10); occasionnels (≥1/1000 à <1/100); rares (≥1/10 000 à <1000); très rares (<1/10 000) et fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles). Au sein de chaque catégorie de fréquence, les effets indésirables sont indiqués par ordre décroissant de sévérité.
  • -Classe de systèmes d'organes Fréquence tous grades confondus Grade 3-4
  • -Affections hématologiques et du système lymphatique Très fréquents Anémiea (28,0%) Fréquents Anémie
  • -Affections endocriniennes Très fréquents Hypothyroïdieb (10,6%) Fréquents Hyperthyroïdie, insuffisance surrénalienne Occasionnels Hypophysitec, thyroïdited Occasionnels Insuffisance surrénalienne, hyperthyroïdie
  • +Classe de systèmes d'organes Fréquence tous grades confondus Fréquence de grade 3-4
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique Très fréquents Anémie (28,0%) Occasionnels Anémie hémolytique auto-immune Fréquents Anémie Occasionnels Anémie hémolytique auto-immune
  • +Affections endocriniennes Très fréquents Hypothyroïdiea (10,6%) Fréquents Hyperthyroïdie, insuffisance surrénalienne Occasionnels Hypophysiteb, thyroïditec Occasionnels Insuffisance surrénalienne, hyperthyroïdie
  • +Affections du système nerveux Occasionnels Myasthénie grave, syndrome myasthéniqued
  • +
  • -Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales Fréquents Pneumopathie inflammatoiref Occasionnels Pneumopathie inflammatoiref
  • -Affections gastro-intestinales Très fréquents Nausées (25,0%), diarrhée (23,9%), vomissements (18,5%) Fréquents Coliteg, pancréatiteh Fréquents Nausées, vomissements, diarrhée, pancréatiteh Occasionnels Colitei
  • -Affections hépatobiliaires Très fréquents Augmentation des transaminasesj (14,1%) Occasionnels Hépatitek Fréquents Augmentation des transaminasesl Occasionnels Hépatitem
  • -Affections de la peau et du tissu sous-cutané Très fréquents Prurit (12,5%), éruption cutanéen (19,5%) Fréquents Éruption cutanéeo Occasionnels Prurit
  • -Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif Fréquents Myalgies Occasionnels Arthrite d'origine immunologique, pseudo-polyarthrite rhizomélique
  • +Affections cardiaques Occasionnels Myocardited, f Occasionnels Myocardited, f
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales Fréquents Pneumopathie inflammatoireg Occasionnels Pneumopathie inflammatoireg
  • +Affections gastro-intestinales Très fréquents Nausées (25,0%), diarrhée (23,9%), vomissements (18,5%) Fréquents Coliteh, pancréatitei Fréquents Nausées, vomissements, diarrhée Occasionnels Colitej, pancréatitei
  • +Affections hépatobiliaires Très fréquents Augmentation des transaminasesk (14,1%) Occasionnels Hépatitel Fréquents Augmentation des transaminasesk Occasionnels Hépatitel
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané Très fréquents Prurit (12,5%), éruption cutanéem (19,5%) Fréquents Éruption cutanéen Occasionnels Prurit
  • +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif Fréquents Myalgies Occasionnels Arthrite d'origine immunologique, pseudo-polyarthrite rhizomélique, myositen Occasionnels Myositen
  • -Troubles généraux et anomalies au site d'administration Très fréquents Fatigueq (44,9%), fièvre (11,3%) Fréquents Frissons Occasionnels Fièvre, frissons, fatigueq
  • -Lésions, intoxications et complications d'interventions Fréquents Réactions liées à la perfusion Occasionnels Réactions liées à la perfusion
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration Très fréquents Fatigueq (44,9%), fièvre (11,3%) Fréquents Frissons Occasionnels Syndrome de réponse inflammatoire généraliséeo Occasionnels Fièvre, frissons, fatigueq, syndrome de réponse inflammatoire généraliséeo
  • +Lésions, intoxications et complications d'interventions Fréquents Réactions liées à la perfusionr Occasionnels Réactions liées à la perfusionr
  • -a Inclut anémie et anémie hémolytique auto-immune
  • -b Inclut hypothyroïdie et hypothyroïdie auto-immune
  • -c Inclut hypophysite et hypophysite lymphocytaire
  • -d Inclut thyroïdite et thyroïdite auto-immune
  • +a Inclut hypothyroïdie et hypothyroïdie auto-immune
  • +b Inclut hypophysite et hypophysite lymphocytaire
  • +c Inclut thyroïdite et thyroïdite auto-immune
  • +d Rapporté dans des études en aveugle en cours, menées avec le dostarlimab en association; catégorie de fréquence estimée
  • +
  • -f Inclut pneumopathie inflammatoire et pneumopathie interstitielle
  • -g Inclut colite, entérocolite et entérocolite hémorragique
  • -h Inclut pancréatite et pancréatite aiguë
  • -i Inclut colite et entérocolite hémorragique
  • -j Inclut augmentation des transaminases, augmentation de l'alanine aminotransférase, augmentation de l'aspartate aminotransférase et hypertransaminasémie
  • -k Inclut hépatite, hépatite auto-immune et lésion hépatocellulaire
  • -l Inclut augmentation des transaminases, augmentation de l'alanine aminotransférase, augmentation de l'aspartate aminotransférase
  • -m Inclut hépatite et hépatite auto-immune
  • -n Inclut éruption cutanée, éruption cutanée maculo-papuleuse, érythème, éruption cutanée maculeuse, éruption cutanée prurigineuse, éruption cutanée érythémateuse, éruption cutanée papuleuse, éruption cutanée toxique, éruption cutanée exfoliative, toxicité cutanée, éruption cutanée médicamenteuse et pemphigoïde
  • -o Inclut éruption cutanée, éruption cutanée médicamenteuse et éruption cutanée maculo-papuleuse
  • +f Inclut myocardite et myocardite d'origine immunologique
  • +g Inclut pneumopathie inflammatoire et pneumopathie interstitielle
  • +h Inclut colite, entérocolite et entérocolite hémorragique
  • +i Inclut pancréatite et pancréatite aiguë
  • +j Inclut colite et entérocolite hémorragique
  • +k Inclut augmentation des transaminases, augmentation de l'alanine aminotransférase, augmentation de l'aspartate aminotransférase et hypertransaminasémie
  • +l Inclut hépatite, hépatite auto-immune et lésion hépatocellulaire
  • +m Inclut éruption cutanée, éruption cutanée maculo-papuleuse, érythème, éruption cutanée maculeuse, éruption cutanée prurigineuse, éruption cutanée érythémateuse, éruption cutanée papuleuse, érythème polymorphe, éruption cutanée toxique, éruption cutanée exfoliative, toxicité cutanée, éruption cutanée médicamenteuse et pemphigoïde
  • +n Inclut éruption cutanée, éruption cutanée médicamenteuse et éruption cutanée maculo-papuleuse
  • +o Rapporté à partir de données regroupées d'études sur le dostarlimab en association avec différents types de traitements anticancéreux
  • +r Inclut réaction liée à la perfusion et hypersensibilité
  • +
  • -Comme pour toutes les protéines thérapeutiques, il existe un risque potentiel d'immunogénicité. La détection de la formation d'anticorps dépend fortement de la sensibilité et de la spécificité du test. L'incidence de la positivité des anticorps (y compris les anticorps neutralisants) observée dans un test peut également être influencée par plusieurs facteurs, p.ex. la méthode de test, la manipulation des échantillons, le moment du prélèvement des échantillons, les traitements concomitants et la maladie sous-jacente. Pour ces raisons, la comparaison de l'incidence des anticorps anti-dostarlimab obtenue dans les études décrites ci-dessous, avec l'incidence observée dans d'autres études ou avec des anticorps dirigés contre d'autres produits peut être trompeuse.
  • -Une recherche d'anticorps anti-médicaments (ADA) a été réalisée chez 384 patients traités par la dose thérapeutique recommandée de dostarlimab. L'incidence des ADA apparus au cours du traitement par la dose thérapeutique recommandée de dostarlimab était de 2,1%. Des anticorps neutralisants ont été détectés chez 1,0% des patients qui recevaient la dose thérapeutique recommandée de dostarlimab. Aucune modification de l'efficacité ou de la sécurité du dostarlimab n'a été mise en évidence chez les patients ayant développé des anticorps anti-dostarlimab.
  • +Comme pour toutes les protéines thérapeutiques, il existe un potentiel d'immunogénicité. La détection de la formation d'anticorps dépend fortement de la sensibilité et de la spécificité du test. L'incidence de la positivité des anticorps (y compris les anticorps neutralisants) observée dans un test peut également être influencée par plusieurs facteurs, p.ex. la méthode de test, la manipulation des échantillons, le moment du prélèvement des échantillons, les traitements concomitants et la maladie sous-jacente. Pour ces raisons, la comparaison de l'incidence des anticorps anti-dostarlimab obtenue dans les études décrites ci-dessous, avec l'incidence observée dans d'autres études ou avec des anticorps dirigés contre d'autres produits peut être trompeuse.
  • +Dans l'étude Garnet, une recherche d'anticorps anti-médicaments (ADA) a été réalisée chez 384 patients traités par la dose thérapeutique recommandée de dostarlimab. L'incidence des ADA apparus au cours du traitement par la dose thérapeutique recommandée de dostarlimab était de 2,1%. Des anticorps neutralisants ont été détectés chez 1,0% des patients qui recevaient la dose thérapeutique recommandée de dostarlimab. Aucune modification de l'efficacité ou de la sécurité du dostarlimab n'a été mise en évidence chez les patients ayant développé des anticorps anti-dostarlimab.
  • -Les patientes ont reçu 500 mg de dostarlimab toutes les 3 semaines pendant 4 cycles, puis 1000 mg toutes les 6 semaines. Le traitement a été poursuivi jusqu'à l'apparition d'une toxicité inacceptable ou d'une progression de la maladie, qu'elle soit symptomatique, rapidement progressive, qu'elle exige une intervention urgente ou s'accompagne d'une dégradation de l'indice de performance. Le traitement par le dostarlimab a été poursuivi conformément au protocole pendant un maximum de 105 semaines (24 mois). Dans l'étude, 10 patients (7,8 %) ont reçu le dostarlimab pendant plus de 105 semaines et jusqu'à un maximum de 139 semaines (32 mois). Les principaux critères d'efficacité étaient le taux de réponse objective (ORR) et la durée de la réponse (DOR), évaluées par un comité de revue radiologique indépendant centralisé en aveugle (BICR) selon les critères RECIST v1.1.
  • -Chez toutes les patientes incluses dans les analyses primaire et secondaire de l'efficacité, la durée d'observation a été d'au moins 24 semaines à compter de la première dose, qu'elles aient eu ou non un examen d'imagerie après le traitement. La population évaluée dans l'analyse primaire de l'efficacité a été définie comme suit: patientes présentant une maladie mesurable au début du traitement selon le BICR, ayant reçu le médicament de l'étude dans une quantité quelconque et ayant la possibilité d'être suivies pendant au moins 24 semaines à partir de la première dose.
  • +Les patientes ont reçu 500 mg de dostarlimab toutes les 3 semaines pendant 4 cycles, puis 1000 mg toutes les 6 semaines. Le traitement a été poursuivi jusqu'à l'apparition d'une toxicité inacceptable ou d'une progression de la maladie, qu'elle soit symptomatique, rapidement progressive, qu'elle exige une intervention urgente ou s'accompagne d'une dégradation de l'indice de performance. Le traitement par le dostarlimab a été poursuivi conformément au protocole pendant un maximum de 105 semaines (24 mois). Dans l'étude, 10 patients (7,8%) ont reçu le dostarlimab pendant plus de 105 semaines et jusqu'à un maximum de 139 semaines (32 mois). Les principaux critères d'efficacité étaient le taux de réponse objective (ORR) et la durée de la réponse (DOR), évaluées par un comité de revue radiologique indépendant centralisé en aveugle (BICR) selon les critères RECIST v1.1.
  • +Chez toutes les patientes incluses dans les analyses primaire et secondaire de l'efficacité, la durée d'observation a été d'au moins 24 semaines à compter de la première dose, qu'elles aient eu ou non un examen d'imagerie après le traitement. La population évaluée dans l'analyse primaire de l'efficacité a été définie comme suit: patientes présentant une maladie mesurable au début du traitement selon le BICR, ayant reçu le médicament de l'étude dans une quantité quelconque et ayant eu la possibilité d'être suivies pendant au moins 24 semaines à partir de la première dose.
  • -La durée d'observation médiane à la date limite de collecte des données (date limite: 1er mars 2020) pour la population n=105 était de 16,3 mois.
  • +La durée d'observation médiane à la date limite de collecte des données (date limite: 1er mars 2020) était de 16,3 mois.
  • -Autorisation à une durée limitée
  • +Autorisation à durée limitée
  • -La pharmacocinétique du dostarlimab a été caractérisée à l'aide d'une analyse pharmacocinétique de population réalisée chez 546 patients atteints de différentes tumeurs solides, dont 150 patientes atteintes d'un cancer de l'endomètre. La pharmacocinétique du dostarlimab est approximativement proportionnelle à la dose dans la fourchette posologique comprise entre 1 mg/kg et 10 mg/kg. Lorsqu'il est administré à la dose thérapeutique recommandée (500 mg par voie intraveineuse toutes les 3 semaines pour les 4 premières doses, puis 1000 mg toutes les 6 semaines), le dostarlimab présente un quasi-doublement de l'accumulation (AUC0-tau et Cmax) lorsque l'on compare l'exposition après la première dose de 500 mg (cycle 1) avec l'exposition à l'état d'équilibre, atteinte soit après les deux doses de 500 mg toutes les 3 semaines, soit après la dose de 1000 mg toutes les 6 semaines.
  • +La pharmacocinétique du dostarlimab a été caractérisée à l'aide d'une analyse pharmacocinétique de population réalisée chez 546 patients atteints de différentes tumeurs solides, dont 267 patientes atteintes d'un cancer de l'endomètre. La pharmacocinétique du dostarlimab est approximativement proportionnelle à la dose dans la fourchette posologique comprise entre 1 mg/kg et 10 mg/kg. Lorsqu'il est administré à la dose thérapeutique recommandée (500 mg par voie intraveineuse toutes les 3 semaines pour les 4 premières doses, puis 1000 mg toutes les 6 semaines), le dostarlimab présente un quasi-doublement de l'accumulation (AUC0-tau et Cmax) lorsque l'on compare l'exposition après la première dose de 500 mg (cycle 1) avec l'exposition à l'état d'équilibre, atteinte soit après les deux doses de 500 mg toutes les 3 semaines, soit après la dose de 1000 mg toutes les 6 semaines.
  • -Une analyse pharmacocinétique de population des données des patients ne montre pas d'effet cliniquement significatif de l'âge (extrêmes: 24 à 86 ans), du sexe (77% de femmes), de la couleur de la peau, de l'origine ethnique (75% de Caucasiens, 2% d'Asiatiques, 4% de Noirs, 19% d'autres groupes) ou du type de tumeur sur la clairance du dostarlimab. De plus, ce modèle pharmacocinétique de population indique qu'une altération de la fonction rénale (normale à modérée) et de la fonction hépatique (normale à légère) ne modifient pas la distribution et l'élimination du dostarlimab.
  • +Une analyse pharmacocinétique de population des données des patients ne montre pas d'effet cliniquement significatif de l'âge (extrêmes: 24 à 86 ans), du sexe (77% de femmes), de la couleur de la peau, de l'origine ethnique (75% de Caucasiens, 2% d'Asiatiques, 4% de Noirs, 19% d'autres groupes) ou du type de tumeur sur la clairance du dostarlimab. De plus, ce modèle pharmacocinétique de population indique qu'une altération de la fonction rénale (normale à modérée) et de la fonction hépatique (normale à légère) ne modifie pas la distribution et l'élimination du dostarlimab.
  • -En raison d'absence de conservateurs, le médicament ne doit pas être utilisé au-delà du délai de conservation.
  • +En raison de l'absence de conservateurs, le médicament ne doit pas être utilisé au-delà du délai de conservation.
  • -Pour la dose de 500 mg, prélever 10 ml de dostarlimab d'un flacon et les transférer dans une poche de perfusion contenant une solution injectable de chlorure de sodium à 0,9% (9 mg/mL) ou une solution injectable de glucose à 5% (50 mg/mL). La concentration finale de la solution diluée doit être comprise entre 2 mg/mL et 10 mg/mL.
  • -Pour la dose de 1000 mg, prélever 10 ml de dostarlimab de deux flacons (au total 20 mL) et les transférer dans une poche de perfusion contenant une solution injectable de chlorure de sodium à 0,9% (9 mg/mL) ou une solution injectable de glucose à 5% (50 mg/mL). La concentration finale de la solution diluée doit être comprise entre 4 mg/ml et 10 mg/mL.
  • -Mélanger la solution diluée en la retournant délicatement la poche. Ne pas secouer la poche de perfusion finale. Jeter tout liquide restant dans le flacon.
  • -Jemperli doit être administré en perfusion intraveineuse de 30 minutes à l'aide d'une pompe à perfusion intraveineuse par un professionnel de santé.
  • -Jemperli ne doit pas être administré sous forme d'injection intraveineuse directe ni d'injection en bolus . Ne pas administrer d'autres médicaments dans la même ligne de perfusion.
  • +Le dostarlimab est compatible avec une poche de perfusion en polychlorure de vinyle (PVC) avec ou sans phtalate de bis(2-éthylhexyle) (DEHP), éthylène-acétate de vinyle (EVA), polyéthylène (PE), polypropylène (PP) ou un mélange de polyoléfines (PP+PE) avec ou sans polychlorure de vinyle (PVC), et avec une seringue en PP.
  • +Pour la dose de 500 mg, prélever 10 ml de dostarlimab d'un flacon et les transférer dans une poche de perfusion contenant une solution injectable de chlorure de sodium à 0,9% (9 mg/mL) ou une solution injectable de glucose à 5% (50 mg/mL). La concentration finale de la solution diluée doit être comprise entre 2 mg/mL et 10 mg/mL. Cela peut nécessiter de retirer un volume de diluant de la poche de perfusion avant d'ajouter un volume de dostarlimab dans la poche de perfusion.
  • +·Par exemple, lorsque l'on prépare une dose de 500 mg dans une poche de diluant de 250 mL, 10 mL de diluant doivent être retirés de la poche de 250 ml pour obtenir une concentration de 2 mg/mL. Il convient ensuite de prélever 10 mL de dostarlimab du flacon et de les transférer dans la poche de perfusion.
  • +Pour la dose de 1000 mg, prélever 10 ml de dostarlimab de deux flacons (au total 20 mL) et les transférer dans une poche de perfusion contenant une solution injectable de chlorure de sodium à 0,9% (9 mg/mL) ou une solution injectable de glucose à 5% (50 mg/mL). La concentration finale de la solution diluée doit être comprise entre 2 mg/ml et 10 mg/mL. Cela peut nécessiter de retirer un volume de diluant de la poche de perfusion avant d'ajouter un volume de dostarlimab dans la poche de perfusion.
  • +·Par exemple, lorsque l'on prépare une dose de 1000 mg dans une poche de diluant de 500 mL, 20 mL de diluant doivent être retirés de la poche de 500 mL pour obtenir une concentration de 2 mg/mL. Il convient ensuite de prélever respectivement 10 mL de dostarlimab de deux flacons (20 mL au total) et de les transférer dans la poche de perfusion.
  • +Mélanger la solution diluée en retournant délicatement la poche. Ne pas secouer la poche de perfusion finale. Jeter tout liquide restant dans le flacon.
  • +Le dostarlimab doit être administré en perfusion intraveineuse de 30 minutes à l'aide d'une pompe à perfusion intraveineuse par un professionnel de santé. Les tubulures doivent être en PVC, en silicone durci au platine ou en PP, les raccords en PVC ou en polycarbonate et les aiguilles en acier inoxydable. Un filtre en ligne en polyéthersulfone (PES) de 0,2 ou 0,22 micromètre doit être utilisé pendant l'administration du dostarlimab.
  • +Le dostarlimab ne doit pas être administré sous forme d'injection intraveineuse directe ni d'injection en bolus. Ne pas administrer d'autres médicaments dans la même ligne de perfusion.
  • -68023 (swissmedic)
  • +68023 (Swissmedic)
  • -Février 2022
  • +Février 2023
2024 ©ywesee GmbH
Einstellungen | Aide | FAQ | Identification | Contact | Home