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Accueil - Information professionnelle sur Celecoxib axapharm 100 mg - Changements - 15.01.2025
25 Changements de l'information professionelle Celecoxib axapharm 100 mg
  • +Des cas de syndrome de Kounis ont été rapportés chez des patients traités par AINS. Le syndrome de Kounis inclut des symptômes cardiovasculaires liés à une réaction allergique ou à une réaction d’hypersensibilité avec un rétrécissement des artères coronaires et peut potentiellement provoquer un infarctus du myocarde.
  • --Rétention hydrique/œdèmes: chez les patients présentant une fonction cardiaque réduite et une prédisposition à la rétention hydrique, Célécoxib axapharm devrait être utilisé avec précaution, car l’inhibition de la synthèse des prostaglandines peut péjorer la fonction rénale et entraîner une rétention liquidienne plus importante. La prudence est également de rigueur chez les patients qui prennent simultanément des diurétiques ou des inhibiteurs de l’ECA ainsi qu’en cas de risque accru d’hypovolémie.
  • --Hypertension: comme tous les AINS, le célécoxib peut aussi provoquer la survenue ou l’aggravation d’une hypertension existante. Chacun d’entre eux peut contribuer à augmenter la fréquence des événements cardiovasculaires (voir «Effets sur le système cardiovasculaire»). Les AINS, y compris le célécoxib, doivent donc être utilisés avec prudence chez les patients hypertendus. La pression artérielle devra être étroitement surveillée au début et au cours du traitement par le célécoxib (voir «Propriétés/Effets, Pharmacodynamique»).
  • --Néphrotoxicité: les AINS, y compris le célécoxib, peuvent s’avérer néphrotoxiques. Le risque de survenue d’une néphrotoxicité est maximal chez les patients présentant une altération de la fonction rénale, une insuffisance cardiaque ou des affections hépatiques ainsi que chez les patients âgés. Ces patients doivent être étroitement surveillés pendant le traitement par le célécoxib.
  • +-Rétention hydrique/œdèmes: Chez les patients présentant une fonction cardiaque réduite et une prédisposition à la rétention hydrique, Célécoxib axapharm devrait être utilisé avec précaution, car l’inhibition de la synthèse des prostaglandines peut péjorer la fonction rénale et entraîner une rétention liquidienne plus importante. La prudence est également de rigueur chez les patients qui prennent simultanément des diurétiques ou des inhibiteurs de l’ECA ainsi qu’en cas de risque accru d’hypovolémie.
  • +-Hypertension: Comme tous les AINS, le célécoxib peut aussi provoquer la survenue ou l’aggravation d’une hypertension existante. Chacun d’entre eux peut contribuer à augmenter la fréquence des événements cardiovasculaires (voir «Effets sur le système cardiovasculaire»). Les AINS, y compris le célécoxib, doivent donc être utilisés avec prudence chez les patients hypertendus. La pression artérielle devra être étroitement surveillée au début et au cours du traitement par le célécoxib (voir «Propriétés/Effets, Pharmacodynamique»).
  • +-Néphrotoxicité: Les AINS, y compris le célécoxib, peuvent s’avérer néphrotoxiques. Le risque de survenue d’une néphrotoxicité est maximal chez les patients présentant une altération de la fonction rénale, une insuffisance cardiaque ou des affections hépatiques ainsi que chez les patients âgés. Ces patients doivent être étroitement surveillés pendant le traitement par le célécoxib.
  • -Les gélules à 100 mg et 200 mg de Célécoxib axapharm contient du lactose. Les patients atteints de la rare intolérance héréditaire au galactose, d’un déficit en lactase de Lapp ou d’une malabsorption du glucose et du galactose ne doivent pas prendre ce médicament.
  • +Les gélules à 100 mg et à 200 mg de Célécoxib axapharm contiennent du lactose. Les patients atteints de la rare intolérance héréditaire au galactose, d’un déficit en lactase ou d’une malabsorption du glucose et du galactose ne doivent pas prendre ce médicament.
  • -Cytochrome P450 CYP 2C9
  • +Cytochrome P450 CYP2C9
  • -Ciclosporine et tacrolimus: en raison de leur effet sur les prostaglandines rénales, les AINS en association avec la ciclosporine peuvent augmenter le risque de néphrotoxicité. L’administration simultanée d’AINS et de cyclosporine ou de tacrolimus est supposée augmenter l’effet néphrotoxique de la cyclosporine et du tacrolimus. La fonction rénale doit être contrôlée lorsque du célécoxib est prescrit en combinaison avec ces substances.
  • -Acide acétylsalicylique: le célécoxib peut être administré en association avec de faibles doses d’acide acétylsalicylique, mais il ne peut se substituer à l’acide acétylsalicylique pour la prévention cardiovasculaire. Des études cliniques ont démontré une potentialisation du risque d’ulcérations et d’autres complications gastro-intestinales lors de l’administration simultanée de célécoxib ou d’un autre AINS et d’acide acétylsalicylique, même à faibles doses, par rapport au célécoxib seul (voir «Propriétés/Effets»).
  • +Ciclosporine et tacrolimus: En raison de leur effet sur les prostaglandines rénales, les AINS en association avec la ciclosporine peuvent augmenter le risque de néphrotoxicité. L’administration simultanée d’AINS et de cyclosporine ou de tacrolimus est supposée augmenter l’effet néphrotoxique de la cyclosporine et du tacrolimus. La fonction rénale doit être contrôlée lorsque du célécoxib est prescrit en combinaison avec ces substances.
  • +Acide acétylsalicylique: Le célécoxib peut être administré en association avec de faibles doses d’acide acétylsalicylique, mais il ne peut se substituer à l’acide acétylsalicylique pour la prévention cardiovasculaire. Des études cliniques ont démontré une potentialisation du risque d’ulcérations et d’autres complications gastro-intestinales lors de l’administration simultanée de célécoxib ou d’un autre AINS et d’acide acétylsalicylique, même à faibles doses, par rapport au célécoxib seul (voir «Propriétés/Effets»).
  • -Chez les animaux, il est prouvé que l’administration d’inhibiteurs de la synthèse de la prostaglandine entraîne une augmentation des pertes pré- et post-implantatoires ainsi que de la létalité embryofœtale. En outre, une incidence accrue de différentes malformations, y compris cardiovasculaires, a été rapportée chez les animaux qui avaient reçu un inhibiteur de la synthèse de la prostaglandine pendant la phase de l’organogenèse.
  • +Chez les animaux, il est prouvé que l’administration d’inhibiteurs de la synthèse de la prostaglandine entraîne une augmentation des pertes pré- et post-implantatoires ainsi que de la létalité embryo-fœtale. En outre, une incidence accrue de différentes malformations, y compris cardiovasculaires, a été rapportée chez les animaux qui avaient reçu un inhibiteur de la synthèse de la prostaglandine pendant la phase de l’organogenèse.
  • -Premier et deuxième trimestres: des études chez l’animal (rats et lapins) ont mis en évidence une toxicité sur les fonctions de reproduction y compris des malformations (voir «Données précliniques»). Il n’existe pas de données cliniques pour les femmes enceintes. On ignore quel est le risque potentiel pendant la grossesse pour l’espèce humaine, même s’il ne peut être totalement exclu. Voir aussi ci-après.
  • -Deuxième et troisième trimestres: les AINS peuvent provoquer une insuffisance rénale fœtale qui, dans les cas graves, peut entraîner une diminution du volume de liquide amniotique voire un oligohydramnios. Une constriction du canal artériel a également été rapportée après le traitement au cours du deuxième trimestre. Ces effets peuvent survenir peu après le début du traitement et sont en règle générale réversibles après l’arrêt du traitement. Le volume de liquide amniotique et le cœur du fœtus doivent être surveillés étroitement chez les femmes enceintes traitées accidentellement par le célécoxib.
  • -Troisième trimestre: tous les inhibiteurs de la synthèse de la prostaglandine peuvent:
  • +Premier et deuxième trimestres: Des études chez l’animal (rats et lapins) ont mis en évidence une toxicité sur les fonctions de reproduction y compris des malformations (voir «Données précliniques»). Il n’existe pas de données cliniques pour les femmes enceintes. On ignore quel est le risque potentiel pendant la grossesse pour l’espèce humaine, même s’il ne peut être totalement exclu. Voir aussi ci-après.
  • +Deuxième et troisième trimestres: Les AINS peuvent provoquer une insuffisance rénale fœtale qui, dans les cas graves, peut entraîner une diminution du volume de liquide amniotique voire un oligohydramnios. Une constriction du canal artériel a également été rapportée après le traitement au cours du deuxième trimestre. Ces effets peuvent survenir peu après le début du traitement et sont en règle générale réversibles après l’arrêt du traitement. Le volume de liquide amniotique et le cœur du fœtus doivent être surveillés étroitement chez les femmes enceintes traitées accidentellement par le célécoxib.
  • +Troisième trimestre: Tous les inhibiteurs de la synthèse de la prostaglandine peuvent:
  • +Fréquence inconnue: syndrome de Kounis.
  • +
  • -2) En outre, les effets indésirables suivants inconnus auparavant sont survenus dans les études de prévention des polypes. Dans deux de ces études, les participants ont reçu 400 mg de célécoxib par jour pendant une durée pouvant aller jusqu’à 3 ans (études APC et PreSAP): Fréquent: angor, syndrome du côlon irritable, lithiase rénale, créatinine sanguine augmentée, hypertrophie bénigne de la prostate, prise de poids. Occasionnel: infection à Helicobacter, zona, érysipèle, bronchopneumonie, labyrinthite, infection gingivale, lipome, mouches volantes, hémorragie conjonctivale, thrombose veineuse profonde, dysphonie, saignement hémorroïdale, défécation fréquente, ulcération buccale, dermatite allergique, ganglion synovial, nycturie, saignement vaginal, mamelon endolori, fracture de membre inférieur, sodium sanguin augmenté.
  • +2) En outre, les effets indésirables suivants inconnus auparavant sont survenus dans les études de prévention des polypes. Dans deux de ces études, les participants ont reçu 400 mg de célécoxib par jour pendant une durée pouvant aller jusqu’à 3 ans (études APC et PreSAP):
  • +Fréquent: angor, syndrome du côlon irritable, lithiase rénale, créatinine sanguine augmentée, hypertrophie bénigne de la prostate, prise de poids.
  • +Occasionnel: infection à Helicobacter, zona, érysipèle, bronchopneumonie, labyrinthite, infection gingivale, lipome, mouches volantes, hémorragie conjonctivale, thrombose veineuse profonde, dysphonie, saignement hémorroïdale, défécation fréquente, ulcération buccale, dermatite allergique, ganglion synovial, nycturie, saignement vaginal, mamelon endolori, fracture de membre inférieur, sodium sanguin augmenté.
  • -Dans une étude multicentrique de non infériorité, randomisée, en double aveugle, contrôlée contre un traitement actif, d’une durée de 12 semaines, en groupes parallèles, 242 patients âgés de 2 à 17 ans et présentant une AJI avec une évolution oligoarticulaire, oligoarticulaire étendue ou polyarticulaire (facteur rhumatoïde positif ou négatif) ou une AJI systémique (avec une symptomatologie actuellement non active) ont reçu les traitements suivants: 3 mg/kg (jusqu’à 150 mg au maximum) de célécoxib deux fois par jour; 6 mg/kg (jusqu’à 300 mg au maximum) de célécoxib deux fois par jour; 7.5 mg/kg (jusqu’à 500 mg au maximum) de naproxène deux fois par jour. Les taux de réponse ont été mesurés à l’aide du critère de l’American College of Rheumatology (ACR) Pediatric 30 qui se compose de paramètres cliniques, biologiques et fonctionnels de l’AJI. Dans la semaine 12, les taux de réponse ACR Pediatric 30 ont été respectivement de 69%, 80% et 67% lors de l’administration de 3 mg/kg de célécoxib, de 6 mg/kg de célécoxib et de naproxène, et ont ainsi démontré la non infériorité (Noninferiority) des deux doses par rapport au naproxène. Un effet thérapeutique persistant a été observé pendant la prolongation ouverte de 12 semaines de l’étude en double aveugle d’une durée de 12 semaines, dans laquelle 202 patients ont reçu de 6 mg/kg à 300 mg maximum de célécoxib deux fois par jour.
  • +Dans une étude multicentrique de non infériorité, randomisée, en double aveugle, contrôlée contre un traitement actif, d’une durée de 12 semaines, en groupes parallèles, 242 patients âgés de 2 à 17 ans et présentant une AJI avec une évolution oligoarticulaire, oligoarticulaire étendue ou polyarticulaire (facteur rhumatoïde positif ou négatif) ou une AJI systémique (avec une symptomatologie actuellement non active) ont reçu les traitements suivants: 3 mg/kg (jusqu’à 150 mg au maximum) de célécoxib deux fois par jour; 6 mg/kg (jusqu’à 300 mg au maximum) de célécoxib deux fois par jour; 7.5 mg/kg (jusqu’à 500 mg au maximum) de naproxène deux fois par jour. Les taux de réponse ont été mesurés à l’aide du critère de l’American College of Rheumatology (ACR) Pediatric 30 qui se compose de paramètres cliniques, biologiques et fonctionnels de l’AJI. Dans la semaine 12, les taux de réponse ACR Pediatric 30 ont été respectivement de 69%, 80% et 67% lors de l’administration de 3 mg/kg de célécoxib, de 6 mg/kg de célécoxib et de naproxène, et ont ainsi démontré la non infériorité (Non-inferiority) des deux doses par rapport au naproxène. Un effet thérapeutique persistant a été observé pendant la prolongation ouverte de 12 semaines de l’étude en double aveugle d’une durée de 12 semaines, dans laquelle 202 patients ont reçu de 6 mg/kg à 300 mg maximum de célécoxib deux fois par jour.
  • -Cinq essais contrôlés randomisés en double aveugle avec des examens endoscopiques du tractus gastro-intestinal supérieur à des moments déterminés ont été effectués chez environ 4500 patients sans ulcères (doses quotidiennes de célécoxib deux fois 50 mg à 400 mg par jour). Lors d’études endoscopiques sur 12 semaines, le célécoxib (100 mg à 800 mg par jour) s’est avéré présenter un risque d’ulcérations gastroduodénales significativement moindre que le naproxène (1000 mg par jour) ou l’ibuprofène (2400 mg par jour). Lors de comparaisons avec le diclofénac (150 mg par jour), les données manquaient de cohérence. Dans deux des études réalisées sur 12 semaines, il n’y avait pas de différence significative du pourcentage de patients présentant un ulcère gastro-duodénal détecté par endoscopie entre les groupes traités par placebo ou par célécoxib 200 mg 2 fois, respectivement 2 fois 400 mg par jour.
  • +Cinq essais contrôlés randomisés en double aveugle avec des examens endoscopiques du tractus gastro-intestinal supérieur à des moments déterminés ont été effectués chez environ 4500 patients sans ulcères (doses quotidiennes de célécoxib deux fois 50 mg à 400 mg par jour). Lors d’études endoscopiques sur 12 semaines, le célécoxib (100 mg à 800 mg par jour) s’est avéré présenter un risque d’ulcérations gastroduodénales significativement moindre que le naproxène (1000 mg par jour) ou l’ibuprofène (2400 mg par jour). Lors de comparaisons avec le diclofénac (150 mg par jour), les données manquaient de cohérence. Dans deux des études réalisées sur 12 semaines, il n’y avait pas de différence significative du pourcentage de patients présentant un ulcère gastro-duodénal détecté par endoscopie entre les groupes traités par placebo ou par célécoxib deux fois 200 mg par jour, respectivement deux fois 400 mg par jour.
  • -Deux études ont été réalisées avec le célécoxib chez des patients présentant des polypes adénomateux sporadiques: l’étude APC (Adenoma Prevention with Clecoxib) et l’étude PreSAP (Prevention of Sporadic Adenomatous Polyps). Durant la période de traitement de trois ans de l’étude APC, une augmentation dose-dépendante de la fréquence du critère d’évaluation combiné (défaillance cardiovasculaire fatale, infarctus du myocarde ou AVC) est survenue sous célécoxib en comparaison du placebo. L’étude PreSAP n’a révélé aucune augmentation statistiquement significative du risque du même critère d’évaluation combiné.
  • +Deux études ont été réalisées avec le célécoxib chez des patients présentant des polypes adénomateux sporadiques: l’étude APC (Adenoma Prevention with Celecoxib) et l’étude PreSAP (Prevention of Sporadic Adenomatous Polyps). Durant la période de traitement de trois ans de l’étude APC, une augmentation dose-dépendante de la fréquence du critère d’évaluation combiné (défaillance cardiovasculaire fatale, infarctus du myocarde ou AVC) est survenue sous célécoxib en comparaison du placebo. L’étude PreSAP n’a révélé aucune augmentation statistiquement significative du risque du même critère d’évaluation combiné.
  • -Les données d’une autre étude à long terme (ADAPT, Alzheimer’s Disease Antiinflammatory Prevention Trial) ont montré que 200 mg de célécoxib deux fois par jour n’entraînent aucune élévation significative du risque cardiovasculaire par rapport au placebo. Le risque relatif par rapport au placebo pour un critère d’évaluation combiné similaire ((arrêt cardiaque, infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral fatals) a été de 1.14 (IC à 95% 0.61-2.15) avec 200 mg de célécoxib deux fois par jour.
  • +Les données d’une autre étude à long terme (ADAPT, Alzheimer’s Disease Anti-inflammatory Prevention Trial) ont montré que 200 mg de célécoxib deux fois par jour n’entraînent aucune élévation significative du risque cardiovasculaire par rapport au placebo. Le risque relatif par rapport au placebo pour un critère d’évaluation combiné similaire ((arrêt cardiaque, infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral fatals) a été de 1.14 (IC à 95% 0.61-2.15) avec 200 mg de célécoxib deux fois par jour.
  • -Efficacité clinique
  • -Aucune indication.
  • -
  • -Novembre 2022.
  • +Septembre 2024.
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