92 Changements de l'information professionelle Xolair 75 mg/0.5 ml |
-Arginini hydrochloridum, Histidini hydrochloridum monohydricum, Histidinum, Polysorbatum 80, Aqua ad injectabilia q.s. ad solutionum.
- +Arginini hydrochloridum, Histidini hydrochloridum monohydricum, Histidinum, Polysorbatum 20, Aqua ad injectabilia q.s. ad solutionum.
-Xolair est indiqué, en traitement additionnel, pour améliorer le contrôle de l'asthme chez les adultes et les enfants (à partir de 6 ans) atteints d'asthme allergique persistant sévère (ayant un test cutané positif ou une réactivité in vitro contre un pneumallergène perannuel), et qui, malgré un traitement quotidien par un corticostéroïde inhalé à forte dose et un bêta2agoniste inhalé à longue durée d'action, présentent non seulement une réduction de la fonction pulmonaire (VEMS < 80%) mais aussi des symptômes diurnes fréquents ou des réveils nocturnes et des exacerbations de l'asthme.
- +Xolair est indiqué, en combinaison avec d'autres traitements anti-asthmatiques, pour améliorer le contrôle de l'asthme chez les adultes et les enfants (à partir de 6 ans) atteints d'asthme allergique persistant sévère (ayant un test cutané positif ou une réactivité in vitro contre un pneumallergène perannuel), et qui, malgré un traitement quotidien par un corticostéroïde inhalé à forte dose et un bêta2agoniste inhalé à longue durée d'action, présentent non seulement une réduction de la fonction pulmonaire (VEMS < 80%) mais aussi des symptômes diurnes fréquents ou des réveils nocturnes et des exacerbations de l'asthme.
- +Polypes nasaux
- +Xolair (omalizumab) est indiqué chez l'adulte (à partir de 18 ans) dans le traitement des polypes nasaux qui ne répondent pas de manière suffisante aux corticostéroïdes intranasaux.
- +
-(* Les études d'enregistrement ont porté sur des patients atteints d'une UCS évoluant depuis 6 mois à 66 ans, en moyenne depuis 6 ans)
- +(*Les études d'enregistrement ont porté sur des patients atteints d'une UCS évoluant depuis 6 mois à 66 ans, en moyenne depuis 6 ans)
-La dose et la fréquence d'administration adaptées de Xolair sont déterminées en fonction du taux sérique initial d'immunoglobulines E (IgE) (UI/ml), mesuré avant le début du traitement, et du poids corporel (kg). Le taux des IgE sériques du patient devra être déterminé avant la mise en route du traitement par l'une des méthodes disponibles commercialement de dosage des IgE sériques totales afin de définir la dose de Xolair à administrer. Sur la base de ces mesures, une dose de 75 à 600 mg de Xolair en 1 à 4 injections pourra être nécessaire lors de chaque administration.
-Les patients avec un taux d'IgE inférieur à 76 UI/ml étaient moins susceptibles de tirer bénéfice du traitement (cf. «Pharmacodynamique»). Les médecins prescripteurs devront s'assurer que les patients chez qui le taux d'IgE est inférieur à 76 UI/ml ont une réactivité significative in vitro (RAST) à un pneumallergène perannuel avant de débuter le traitement.
-Voir le tableau 1 pour la table de conversion et les tableaux 2 et 3 pour les tables de détermination de la dose chez les enfants (de 6 ans à moins de 12 ans) et chez les adultes et les adolescents (à partir de 12 ans). Pour des doses de 225 ou 375 mg, Xolair 150 mg peut être utilisé en combinaison avec Xolair 75 mg.
-Les patients dont le taux initial d'IgE ou le poids corporel en kg sont en dehors des valeurs limites figurant dans la table de détermination de la dose (≤20 ou > 150 kg poids corporel) ne doivent pas être traités par Xolair.
- +La dose et la fréquence d'administration adaptées de Xolair sont déterminées en fonction du taux sérique initial d'immunoglobulines E (IgE) (UI/ml), mesuré avant le début du traitement, et du poids corporel (kg). Le taux des IgE sériques du patient devra être déterminé avant la mise en route du traitement par l'une des méthodes de dosage des IgE sériques totales disponibles dans le commerce afin de définir la dose de Xolair à administrer. Sur la base de ces mesures, une dose de 75 à 600 mg de Xolair en 1 à 4 injections pourra être nécessaire lors de chaque administration.
- +Les patients avec un taux d'IgE inférieur à 76 UI/ml étaient moins susceptibles de tirer bénéfice du traitement (voir «Pharmacodynamique»). Les médecins prescripteurs devront s'assurer que les patients chez qui le taux d'IgE est inférieur à 76 UI/ml ont une réactivité significative in vitro (RAST) à un pneumallergène perannuel avant de débuter le traitement.
- +Voir le tableau 1 pour la table de conversion et les tableaux 2 et 3 pour les tables de détermination de la dose. Pour des doses de 225 ou 375 mg, Xolair 150 mg peut être utilisé en combinaison avec Xolair 75 mg.
- +Les patients dont le taux initial d'IgE ou le poids corporel en kg sont en dehors des valeurs limites figurant dans la table de détermination de la dose (≤20 ou > 150 kg de poids corporel) ne doivent pas être traités par Xolair.
-a0.5 ml = volume maximal de produit par seringue préremplie de Xolair 75 mg.b 1.0 ml = volume maximal de produit par seringue préremplie de Xolair 150 mg.
- +a0.5 ml = volume maximal de produit par seringue préremplie de Xolair 75 mg. b 1.0 ml = volume maximal de produit par seringue préremplie de Xolair 150 mg.
-Une réduction des exacerbations de l'asthme et de la nécessité d'utiliser des médicaments à la demande ainsi qu'une amélioration de la symptomatologie ont été observées dans les études cliniques au cours des 16 premières semaines du traitement. Après 16 semaines de traitement avec Xolair, le médecin doit réévaluer l'efficacité du traitement avant de poursuivre les injections.
-La décision de continuer le traitement avec Xolair doit se baser sur l'observation d'une amélioration sensible du contrôle général de l'asthme (voir «Pharmacodynamique»).
- +Une réduction des exacerbations de l'asthme et de la nécessité d'utiliser des médicaments à la demande ainsi qu'une amélioration de la symptomatologie ont été observées dans les études cliniques sur l'asthme allergique au cours des 16 premières semaines du traitement. Après 16 semaines de traitement avec Xolair, le médecin doit réévaluer l'efficacité du traitement avant de poursuivre les injections. La décision de continuer le traitement avec Xolair doit se baser sur l'observation d'une amélioration sensible du contrôle général de l'asthme (voir «Pharmacodynamique»).
-La posologie devra être ajustée en cas de modification significative du poids corporel(voir tableaux 2 et 3).
-Tableau 2: ADMINISTRATION TOUTES LES 4 SEMAINES. Doses de Xolair (mg par dose) administrées par injection sous-cutanée toutes les 4 semaines
- +La posologie devra être ajustée en cas de modification significative du poids corporel (voir tableaux 2 et 3).
- +Tableau 2: ADMINISTRATION TOUTES LES 4 SEMAINES. Asthme allergique et polypes nasaux. Doses de Xolair (mg par dose) administrées par injection sous-cutanée toutes les 4 semaines
-> 600–700 300 450 600 ADMINISTRATION TOUTES LES 2 SEMAINES, VOIR TABLEAU 4
- +> 600–700 300 450 600 ADMINISTRATION TOUTES LES 2 SEMAINES, VOIR TABLEAU 3
-Tableau 3: ADMINISTRATION TOUTES LES 2 SEMAINES. Doses de Xolair (mg par dose) administrées par injection sous-cutanée toutes les 2 semaines
- +Tableau 3: ADMINISTRATION TOUTES LES 2 SEMAINES. Asthme allergique et polypes nasaux. Doses de Xolair (mg par dose) administrées par injection sous-cutanée toutes les 2 semaines
-≥ 30–100 ADMINISTRATION TOUTES LES 4 SEMAINES, VOIR TABLEAU 3
- +≥ 30–100 ADMINISTRATION TOUTES LES 4 SEMAINES, VOIR TABLEAU 2
- +Polypes nasaux (à partir de 18 ans)
- +Dans les études sur les polypes nasaux menées en vue de l'autorisation, le même schéma posologique dépendant des IgE et du poids que celui décrit pour l'asthme allergique a été examiné chez des patients âgés de 18 ans ou plus ayant un poids corporel de 30 kg à 150 kg pour prouver l'efficacité du traitement. Le schéma posologique recommandé pour le traitement de l'urticaire chronique spontanée n'a pas été examiné pour le traitement de la polypose. Par conséquent, le même schéma posologique dépendant des IgE et du poids que celui utilisé chez les patients souffrant d'asthme allergique est recommandé chez les patients atteints de polypes nasaux (âgés de 18 ans ou plus et ayant un poids corporel de 30 kg à 150 kg) (voir ci-dessus).
-Asthme allergique:
-La sécurité et l'efficacité pour les enfants de moins de 6 ans ne sont pas établies. L'utilisation de Xolair chez ces patients n'est donc pas recommandée.
-Urticaire chronique spontanée (UCS):
-La sécurité et l'efficacité pour les enfants de moins de 12 ans ne sont pas établies. L'utilisation de Xolair chez ces patients n'est donc pas recommandée.
- +La sécurité et l'efficacité pour les patients âgés de moins de 6 ans en cas d'asthme allergique n'ont pas été étudiées. L'utilisation de Xolair chez ces patients n'est donc pas recommandée.
- +La sécurité et l'efficacité pour les patients âgés de moins de 18 ans en cas de polypes nasaux n'ont pas été étudiées.
- +Urticaire chronique spontanée (UCS): La sécurité et l'efficacité pour les patients âgés de moins de 12 ans n'ont pas été étudiées. L'utilisation de Xolair chez ces patients n'est donc pas recommandée.
-Il existe peu d'expérience sur l'auto-injection de Xolair. Aussi, le médicament doit être administré par un personnel médical spécialisé.
-Lors de l'utilisation d'omalizumab, des réactions allergiques locales ou systémiques, y compris réaction anaphylactique mettant en jeu le pronostic vital et choc anaphylactique, peuvent apparaître. De telles réactions peuvent aussi apparaître après une durée de traitement prolongée. La plupart de ces réactions sont survenues dans les 2 heures suivant la première injection et les injections suivantes de Xolair, mais certaines se sont produites plus de 2 heures après et même plus de 24 heures après l'injection. Par conséquent, des médicaments utilisés pour traiter une réaction anaphylactique devront toujours être disponibles sur-le-champ après administration de Xolair. Les patients doivent être informés que de telles réactions peuvent survenir et qu'elles nécessitent dans ce cas un traitement médical d'urgence. En cas de réactions sévères, le traitement par Xolair doit être arrêté immédiatement (voir «Effets indésirables»). Selon l'expérience post-marketing, une réaction anaphylactique et des réactions anaphylactoïdes ont été rapportées aussi bien après la première administration de Xolair qu'après les suivantes. Même si la plupart de ces réactions sont survenues dans les 2 heures suivant l'injection, certaines se sont produites seulement après plus de 2 heures.
- +Lors de l'utilisation d'omalizumab, des réactions allergiques locales ou systémiques, y compris réaction anaphylactique mettant en jeu le pronostic vital et choc anaphylactique, peuvent apparaître. De telles réactions peuvent aussi apparaître après une durée de traitement prolongée. La plupart de ces réactions sont survenues dans les 2 heures suivant la première injection et les injections suivantes de Xolair, mais certaines se sont produites plus de 2 heures après et même plus de 24 heures après l'injection. Par conséquent, des médicaments utilisés pour traiter une réaction anaphylactique devront toujours être disponibles sur-le-champ après administration de Xolair. Les patients doivent être informés que de telles réactions peuvent survenir et qu'elles nécessitent dans ce cas un traitement médical d'urgence. En cas de réactions sévères, le traitement par Xolair doit être arrêté immédiatement (voir «Effets indésirables»).
-Les IgE pourraient être impliquées dans la réponse immunologique à certaines infestations par les helminthes. Dans une étude réalisée au Brésil, des patients ont été traités par l'omalizumab pendant 1 an dans une région à haut risque d'helminthiases. 53% (36/68) des patients traités par l'omalizumab et 42% (29/69) des patients sous placebo ont souffert d'une helminthiase, diagnostiquée par l'examen des selles. Il n'y a pas eu de différence statistiquement significative entre les deux groupes quant aux helminthiases. L'évolution, le degré de sévérité de la maladie et la réponse au traitement de l'infection ont été inchangés. Le taux d'helminthiases dans le programme clinique qui n'était pas conçu pour diagnostiquer de telles maladies, a été inférieur à 1 infection pour 1000 patients. La prudence est cependant de rigueur chez les patients présentant un risque élevé d'helminthiases, spécialement en cas de voyages dans des régions où les helminthiases sont endémiques. Si les patients ne répondent pas au traitement antihelminthique recommandé, l'arrêt de Xolair devra être envisagé.
- +Les IgE pourraient être impliquées dans la réponse immunologique à certaines infestations par les helminthes. Dans une étude réalisée au Brésil, des patients ont été traités par l'omalizumab pendant 1 an dans une région à haut risque d'helminthiases. 53% (36/68) des patients traités par l'omalizumab et 42% (29/69) des patients sous placebo ont souffert d'une helminthiase, diagnostiquée par l'examen des selles. Il n'y a pas eu de différence statistiquement significative entre les deux groupes quant aux helminthiases. L'évolution, le degré de sévérité de la maladie et la réponse au traitement de l'infection ont été inchangés. Le taux d'helminthiases dans le programme clinique, qui n'était pas conçu pour diagnostiquer de telles maladies, a été inférieur à 1 infection pour 1000 patients. La prudence est cependant de rigueur chez les patients présentant un risque élevé d'helminthiases, spécialement en cas de voyages dans des régions où les helminthiases sont endémiques. Si les patients ne répondent pas au traitement antihelminthique recommandé, l'arrêt de Xolair devra être envisagé.
-L'arrêt brutal de la corticothérapie systémique ou inhalée après l'initiation du traitement avec Xolair n'est pas recommandé. La diminution de la posologie des corticoïdes doit se faire sous surveillance médicale et, le cas échéant, progressivement.
- +L'arrêt brutal de la corticothérapie systémique ou inhalée en cas d'asthme allergique ou de polypes nasaux après l'initiation du traitement avec Xolair n'est pas recommandé. La diminution de la posologie des corticoïdes doit se faire sous surveillance médicale et, le cas échéant, progressivement.
-Les enzymes du cytochrome P450, les pompes à efflux et les mécanismes liés à la fixation protéique n'interviennent pas dans la clearance de l'omalizumab; le risque d'interactions médicamenteuses est donc faible. Aucune étude d'interactions spéciale entre Xolair et des médicaments ou des vaccins n'a été effectuée. Du point de vue pharmacologique, aucun risque d'interactions entre l'omalizumab et les médicaments habituellement prescrits dans le traitement de l'asthme n'est attendu.
- +Les enzymes du cytochrome P450, les pompes à efflux et les mécanismes liés à la fixation protéique n'interviennent pas dans la clearance de l'omalizumab; le risque d'interactions médicamenteuses est donc faible. Aucune étude d'interactions spéciale entre Xolair et des médicaments ou des vaccins n'a été effectuée. Du point de vue pharmacologique, aucun risque d'interactions entre l'omalizumab et les médicaments habituellement prescrits dans le traitement de l'asthme, des polypes nasaux ou de l'urticaire chronique spontanée (UCS) n'est attendu.
- +Polypes nasaux
- +Lors des études cliniques, Xolair a été utilisé en association avec la mométasone en pulvérisation nasale conformément au plan d'essai. Les autres médicaments concomitants utilisés fréquemment ont inclus d'autres corticostéroïdes administrés par voie intranasale, des bronchodilatateurs, des antihistaminiques, des antagonistes des récepteurs des leucotriènes, des substances adrénergiques/sympathomimétiques et des anesthésiques locaux administrés par voie intranasale. Il n'y a eu aucun signe indiquant que la sécurité de Xolair était compromise en cas d'utilisation concomitante de ces autres médicaments fréquemment utilisés dans le traitement de polypes nasaux.
- +Effets indésirables issus des études cliniques sur l'asthme allergique
- +
-Occasionnels: gain pondéral, fatigue, gonflement au niveau des bras, symptômes grippaux.
- +Occasionnels: gain pondéral, fatigue, gonflement des bras, symptômes grippaux.
-** très fréquent chez les enfants de 6 ans à moins de 12 ans
-Effets indésirables identifiés après la mise sur le marché
-Les annonces spontanées ont permis en premier lieu d'identifier les réactions suivantes:
-Système immunitaire: une réaction anaphylactique et des réactions anaphylactoïdes ont été rapportées aussi bien après la première administration qu'après les suivantes (voir «Mises en garde et précautions»). Des antécédents d'anaphylaxie non associée à l'omalizumab peuvent constituer un facteur de risque d'anaphylaxie en cas d'utilisation de Xolair. Maladie sérique (voir «Mises en garde et précautions»).
-Troubles cutanés: alopécie.
-Circulation sanguine et lymphatique: thrombopénie idiopathique sévère.
-Organes respiratoires: syndrome de Churg-Strauss (c.-à-d. granulomatose éosinophilique avec polyangéite).
-Troubles musculosquelettiques: arthralgie, myalgie, gonflement articulaire.
- +** très fréquentes chez les enfants de 6 ans à moins de 12 ans
- +Polypes nasaux
- +Résumé du profil de sécurité
- +Les données décrites ci-dessous sont issues de deux études contrôlées contre placebo menées auprès de patients âgés de 18 ans ou plus. Dans ces études, les patients ont reçu soit 150 à 600 mg de Xolair toutes les 2 ou 4 semaines, soit le placebo. Tous les patients ont reçu de la mométasone par voie intranasale comme traitement de fond; le profil de sécurité chez les patients atteints de polypes nasaux correspondait à celui observé chez les patients souffrant d'asthme allergique ou d'UCS. Les effets secondaires les plus fréquemment indiqués (> 3%), qui sont survenus plus fréquemment que dans le traitement par placebo sont représentés dans le tableau 4.
- +Dans le tableau 4, les effets indésirables qui sont survenus lors des études cliniques dans la population atteinte de polypes nasaux traitée par Xolair et surveillée dans son ensemble sont répertoriés par classe d'organes et par fréquence. Les catégories de fréquence sont définies de la manière suivante: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à < 1/10), occasionnels (≥1/1000 à < 1/100), rares (≥1/10 000 à < 1/1000) et très rares (< 1/10 000).
- +Tableau 4: Effets indésirables issus des études cliniques menées auprès de patients atteints de polypes nasaux
- +Effets indésirables (désignés par le terme privilégié selon la classification MedDRA) Études 1 et 2 sur les polypes nasaux avec l'omalizumab Données groupées Catégorie de fréquence
- + Placebo N = 130 Omalizumab N = 135
- +Affections du système nerveux
- +Céphalées 7 (5.4%) 11 (8.1%) Fréquents
- +Sensation vertigineuse 1 (0.8%) 4 (3.0%) Fréquents
- +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
- +Arthralgie 2 (1.5%) 4 (3.0%) Fréquents
- +Affections gastro-intestinales
- +Douleur abdominale 1 (0.8%) 4 (3.0%) Fréquents
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
- +Réactions au site d'injection (réactions au site d'injection, réaction liée à l'injection, douleurs au site d'injection) 2 (1.5%) 7 (5.2%) Fréquents
- +
-Résumé de profil de sécurité
- +Résumé du profil de sécurité
-Tableau 4: Résumé tabellaire des effets indésirables rapportés au cours des essais de phase III cumulés avec les doses recommandées de 150 mg et 300 mg (jour 1 à semaine 12).
- +Tableau 5: Résumé tabellaire des effets indésirables rapportés au cours des essais de phase III cumulés avec les doses recommandées de 150 mg et 300 mg (jour 1 à semaine 12).
-Descriptions d'effets indésirables spécifiques dans l'asthme allergique et l'UCS
- +Effets indésirables après la commercialisation
- +Les réactions suivantes ont été principalement identifiées grâce à des rapports spontanés:
- +Système immunitaire: Une anaphylaxie et des réactions anaphylactoïdes ont été rapportées après la première administration ainsi qu'après les administrations ultérieures, maladie sérique (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Peau: Alopécie.
- +Sang et système lymphatique: Thrombopénie idiopathique sévère.
- +Organes respiratoires: Syndrome de Churg-Strauss (c.-à-d. granulomatose éosinophilique avec polyangéite).
- +Système musculosquelettique: Arthralgie, myalgie, gonflement articulaire.
- +Descriptions d'effets indésirables spécifiques
-Lors des premiers essais cliniques chez les adultes et les adolescents âgés d'au moins 12 ans, un déséquilibre du nombre de cancers dans le groupe traité par Xolair a été observé par rapport au groupe témoin. Des cas de cancer sont survenus occasionnellement (< 1/100) aussi bien dans le groupe actif que dans le groupe témoin. Dans une étude observationnelle ultérieure sur 5 ans ayant comparé 5007 patients traités par Xolair et 2829 patients non traités par Xolair, le risque relatif de cancers sous Xolair n'était pas accru. Le taux d'incidence de cancers primaires pour 1000 années-patients était respectivement de 16.01 (295/18426 années-patients) et de 19.07 (190/9963 années-patients), ce qui correspond à un rapport des risques de 0.84 (intervalle de confiance à 95%, 0.62–1.13). Dans une analyse prospective des études cliniques randomisées en double aveugle, contrôlées versus placebo et menées chez 4254 patients traités par Xolair et 3178 patients sous placebo, il a été conclu sur la base des taux d'incidence pour 1000 années-patients de 4.14 (14/3382 années-patients) chez les patients sous Xolair et de 4.45 (11/2474 années-patients) chez les patients sous placebo, que le traitement par Xolair n'est pas associé à un risque accru de cancer (rapport des risques de 0.93, intervalle de confiance à 95%, 0.39–2.27). Cependant, l'ensemble des données actuellement disponibles ne permet pas encore d'exclure complètement l'éventualité d'un léger déséquilibre.
- +Lors des premiers essais cliniques chez les adultes et les adolescents âgés d'au moins 12 ans, un déséquilibre du nombre de cancers dans le groupe traité par Xolair a été observé par rapport au groupe témoin. Des cas de cancer sont survenus occasionnellement (< 1/100) aussi bien dans le groupe actif que dans le groupe témoin. Dans une étude observationnelle ultérieure sur 5 ans ayant comparé 5007 patients traités par Xolair et 2829 patients non traités par Xolair, le risque relatif de cancers sous Xolair n'était pas accru. Le taux d'incidence de cancers primaires pour 1000 annéespatients était respectivement de 16.01 (295/18426 annéespatients) et de 19.07 (190/9963 annéespatients), ce qui correspond à un rapport des risques de 0.84 (intervalle de confiance à 95%, 0.62–1.13). Dans une analyse prospective des études cliniques randomisées en double aveugle, contrôlées versus placebo et menées chez 4254 patients traités par Xolair et 3178 patients sous placebo, il a été conclu sur la base des taux d'incidence pour 1000 annéespatients de 4.14 (14/3382 annéespatients) chez les patients sous Xolair et de 4.45 (11/2474 annéespatients) chez les patients sous placebo, que le traitement par Xolair n'est pas associé à un risque accru de cancer (rapport des risques de 0.93, intervalle de confiance à 95%, 0.39–2.27). Cependant, l'ensemble des données actuellement disponibles ne permet pas encore d'exclure complètement l'éventualité d'un léger déséquilibre.
-Dans des études cliniques contrôlées et au cours des analyses intermédiaires d'une étude observationnelle, un déséquilibre numérique des événements thromboemboliques artériels a été observé. Les événements thromboemboliques artériels ont compris les accidents vasculaires cérébraux, les accidents ischémiques transitoires, les infarctus du myocarde, l'angor instable et les décès d'origine cardiovasculaire (y compris les décès de cause inconnue). Dans l'analyse finale de l'étude observationnelle, l'incidence des événements thromboemboliques artériels pour 1000 années-patients était de 7.52 (115/15286 années-patients) pour les patients traités par Xolair et de 5.12 (51/9963 années-patients) pour les patients du groupe témoin. Dans une analyse multivariée avec rectification tenant compte des facteurs de risque cardiovasculaires associés au niveau de base, le rapport des risques (hazard ratio) était de 1.32 (intervalle de confiance à 95%, 0.91–1.91).
-Dans une analyse prospective des études cliniques regroupées, incluant toutes les études cliniques randomisées en double aveugle, contrôlées contre placebo et d'une durée de 8 semaines ou plus, l'incidence des événements thromboemboliques artériels pour 1000 années-patients était de 2.69 (5/1856 années-patients) pour les patients traités par Xolair et de 2.38 (4/1680 années-patients) pour les patients du groupe placebo (rapport des risques de 1.13, intervalle de confiance à 95%, 0.24–5.71).
- +Dans des études cliniques contrôlées et au cours des analyses intermédiaires d'une étude observationnelle, un déséquilibre numérique des événements thromboemboliques artériels a été observé. Les événements thromboemboliques artériels ont compris les accidents vasculaires cérébraux, les accidents ischémiques transitoires, les infarctus du myocarde, l'angor instable et les décès d'origine cardiovasculaire (y compris les décès de cause inconnue). Dans l'analyse finale de l'étude observationnelle, l'incidence des événements thromboemboliques artériels pour 1000 annéespatients était de 7.52 (115/15286 annéespatients) pour les patients traités par Xolair et de 5.12 (51/9963 annéespatients) pour les patients du groupe témoin. Dans une analyse multivariée avec rectification tenant compte des facteurs de risque cardiovasculaires associés au niveau de base, le rapport des risques (hazard ratio) était de 1.32 (intervalle de confiance à 95%, 0.91–1.91).
- +Dans une analyse prospective des études cliniques regroupées, incluant toutes les études cliniques randomisées en double aveugle, contrôlées contre placebo et d'une durée de 8 semaines ou plus, l'incidence des événements thromboemboliques artériels pour 1000 annéespatients était de 2.69 (5/1856 annéespatients) pour les patients traités par Xolair et de 2.38 (4/1680 annéespatients) pour les patients du groupe placebo (rapport des risques de 1.13, intervalle de confiance à 95%, 0.24–5.71).
-L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch
- +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
-Dans les études cliniques, les taux sériques d'IgE libres ont subi une diminution dose-dépendante dans l'heure suivant la première dose et se sont maintenus entre les différentes doses.
- +Le traitement par Xolair entraîne une réduction du nombre d'éosinophiles dans le sang et les tissus ainsi qu'une diminution des médiateurs de l'inflammation dont les interleukines (IL-4, IL-5 und IL-13) font également partie. Dans les études cliniques, les taux sériques d'IgE libres ont subi une diminution dose-dépendante dans l'heure suivant la première dose et se sont maintenus entre les différentes doses.
- +Patients atteints de polypes nasaux
- +Dans les études cliniques menées auprès de patients atteints de polypes nasaux, le traitement par Xolair a entraîné une réduction des taux sériques d'IgE libres et une augmentation des taux sériques d'IgE totales; ces effets sont similaires à ceux observés chez les patients souffrant d'asthme allergique.
- +
-Plusieurs théories sont proposées à propos de l'étiologie de l'UCS. L'une d'entre elles postule l'existence d'un mécanisme auto-immun. Des auto-anticorps anti-IgE et contre le récepteur FcεRI de ceux-ci ont été isolés dans le sérum. Ces auto-anticorps sont capables d'activer des granulocytes basophiles ou des mastocytes avec pour effet une libération d'histamine.
- +Plusieurs théories sont proposées concernant l'étiologie de l'UCS. L'une d'entre elles postule l'existence d'un mécanisme auto-immun. Des auto-anticorps anti-IgE et contre le récepteur FcεRI de ceux-ci ont été isolés dans le sérum. Ces auto-anticorps sont capables d'activer des granulocytes basophiles ou des mastocytes avec pour effet une libération d'histamine.
-Tableau 5: résultats de l'étude
- +Tableau 6: résultats de l'étude
-Urticaire chronique spontanée (UCS):
- +Polypes nasaux
- +La sécurité et l'efficacité de Xolair ont été évaluées dans le cadre de deux études cliniques randomisées, multicentriques, en double aveugle et contrôlées contre placebo (étude 1, N = 138; étude 2, N = 127) menées auprès de patients atteints de rhinosinusite chronique et de polypes nasaux. Les patients ont reçu Xolair ou le placebo par voie sous-cutanée toutes les 2 ou 4 semaines, la posologie et la fréquence d'utilisation correspondant aux données indiquées dans les tableaux 7 et 8 (voir «Posologie/Mode d'emploi»). Par ailleurs, tous les patients ont reçu tout au long de l'étude un traitement de fond par mométasone administrée par voie intranasale. Une chirurgie naso-sinusienne antérieure ou un traitement systémique préalable par des corticostéroïdes ne constituaient pas une nécessité pour être admis dans les études. Les participants à l'étude ont reçu Xolair ou le placebo pendant 24 semaines, avant une phase de suivi sans traitement d'une durée de 4 semaines. Les données démographiques et les caractéristiques à l'inclusion, y compris les comorbidités allergiques, sont représentées dans le tableau 7.
- +Tableau 7: Données démographiques et caractéristiques à l'inclusion dans les études sur les polypes nasaux
- +Paramètres Étude 1 sur les polypes nasaux N = 138 Étude 2 sur les polypes nasaux N = 127
- +Âge moyen (années) (SD) 51.0 (13.2) 50.1 (11.9)
- +% de patients de sexe masculin 63.8 65.4
- +Patients ayant utilisé des corticostéroïdes systémiques l'année précédente (%) 18.8 26.0
- +Score NPS endoscopique bilatéral moyen* (SD), fourchette: 0 à 8 6.2 (1.0) 6.3 (0.9)
- +Score de congestion nasale (NCS) moyen* (SD), fourchette: 0 à 3 2.4 (0.6) 2.3 (0.7)
- +Score olfactif moyen* (SD) fourchette: 0 à 3 2.7 (0.7) 2.7 (0.7)
- +Score total SNOT-22 moyen* (SD) fourchette: 0 à 110 60.1 (17.7) 59.5 (19.3)
- +Nombre moyen d'éosinophiles dans le sang (cellules/µl) (SD) 346.1 (284.1) 334.6 (187.6)
- +IgE totales moyennes en UI/ml (SD) 160.9 (139.6) 190.2 (200.5)
- +Asthme (%) 53.6 60.6
- +Léger (%) 37.8 32.5
- +Modéré (%) 58.1 58.4
- +Sévère (%) 4.1 9.1
- +Affection respiratoire exacerbée par l'aspirine (%) 19.6 35.4
- +Rhinite allergique 43.5 42.5
- +
- +SD = écart type (standard deviation); NPS = score des polypes nasaux; SNOT-22 = questionnaire d'évaluation des symptômes naso-sinusiens à 22 items; IgE = immunoglobuline E; UI = unités internationales.
- +Dans le NPS, le NCS et les scores olfactifs, de syndrome de rhinorrhée postérieure et d'écoulement nasal, ainsi que dans le score SNOT-22, des valeurs plus élevées indiquent une sévérité plus grande de la maladie.
- +Les co-critères d'évaluation principaux étaient le score bilatéral des polypes nasaux (NPS) et le score de congestion nasale (NCS) quotidien moyen, respectivement déterminés à la semaine 24. Le NPS a été déterminé par endoscopie à l'inclusion et à des dates définies au préalable (fourchette: 0 à 4 par narine) et le NPS total a été calculé à partir de ces valeurs (fourchette: 0 = meilleure valeur à 8 = valeur la plus mauvaise). La congestion nasale a été évaluée chaque jour au moyen de l'échelle NCS (fourchette: 0 = meilleure valeur à 3 = valeur la plus mauvaise). Avant d'être randomisés, les patients devaient présenter un NPS ≥5 et un NCS hebdomadaire moyen > 1 malgré l'utilisation de mométasone par voie intranasale. Dans les deux études, les NPS moyens des deux groupes de traitement au début de l'étude étaient équilibrés.
- +Dans l'étude 1 comme dans l'étude 2 sur les polypes nasaux, les patients ayant reçu Xolair ont présenté à la semaine 24 une amélioration significativement plus importante d'un point de vue statistique du NPS comme de la moyenne du NCS sur la semaine par rapport à la valeur initiale que les patients ayant reçu le placebo (voir tableau 8).
- +Les améliorations les plus importantes du NPS et du NCS dans le groupe traité par Xolair par rapport au groupe placebo ont déjà été observées, dans les deux études, lors de la première évaluation à la semaine 4, comme le montre la figure 8. À la semaine 4, la différence des moyennes des moindres carrés (LS) pour la variation du NPS par rapport à la valeur initiale dans le groupe traité par Xolair en comparaison avec le groupe placebo était de -0.92 (IC à 95%: -1.37, -0.48) dans l'étude 1 et de -0.52 (IC à 95%: -0.94, -0.11) dans l'étude 2. Pour le NCS, la différence des moyennes des LS pour la variation par rapport à la valeur initiale à la semaine 4 dans le groupe traité par Xolair en comparaison avec le groupe placebo était de -0.25 (IC à 95%: -0.46, -0.04) dans l'étude 1 et de -0.26 (IC à 95%: -0.45, -0.07) dans l'étude 2. Toutefois, les tests statistiques n'étaient pas pré-spécifiés à ce moment-là.
- +Tableau 8: Variation du score de polypes nasaux et du score moyen de congestion nasale sur 7 jours à la semaine 24 par rapport à la valeur initiale dans les études 1 et 2 sur les polypes nasaux
- + Étude 1 des polypes nasaux Étude 2 des polypes nasaux
- + Placebo Xolair Placebo Xolair
- +N 66 72 65 62
- +Score de polypes nasaux
- +Moyenne en situation initiale 6.32 6.19 6.09 6.44
- +Moyenne des LS pour la variation jusqu'à la semaine 24 par rapport à la valeur initiale 0.06 -1.08 -0.31 -0.90
- +Différence des moyennes des LS par rapport au placebo -1.14 -0.59
- +IC à 95% de la différence -1.59, -0.69 -1.05, -0.12
- +Valeur de p < 0.0001 0.0140
- +Valeur moyenne sur 7 jours du score quotidien de congestion nasale
- +Moyenne en situation initiale 2.46 2.40 2.29 2.26
- +Moyenne des LS pour la variation jusqu'à la semaine 24 par rapport à la valeur initiale -0.35 -0.89 -0.20 -0.70
- +Différence des moyennes des LS par rapport au placebo -0.55 -0.50
- +IC à 95% de la différence -0.84, -0.25 -0.80, -0.19
- +Valeur de p 0.0004 0.0017
- +
- +LS = moindres carrés (détermination de la moyenne selon la méthode des Least Squares = moindres carrés)
- +Figure 1 Variation moyenne par rapport à la valeur initiale des scores de congestion nasale et de polypes nasaux en fonction du groupe de traitement dans les études 1 et 2 des polypes nasaux
- +(image)
- +Un critère d'évaluation principal secondaire a été l'évaluation de la variation du score total des symptômes nasaux (total nasal symptom score, TNSS) à la semaine 24 par rapport à la valeur initiale. Le TNSS rapporté par les patients était un score qui correspondait à la somme de 4 scores de symptômes quotidiens équipondérés. Ceux-ci étaient: le NCS, le score olfactif, le score de rhinorrhée postérieure et le score de rhinorrhée antérieure. La fourchette du TNSS allait de 0 = meilleure valeur à 12 = valeur la plus mauvaise. Sous traitement par Xolair, il y a eu une amélioration significative du TNSS quotidien moyen par rapport au placebo. La différence des moyennes des LS pour la variation par rapport à la valeur initiale jusqu'à la semaine 24 était de -1.91 points (IC à 95%: -2.85, -0.96; p = 0.0001) dans l'étude 1 et de -2.09 points (IC à 95%: -3.00, -1.18; p < 0.0001) dans l'étude 2.
- +Sous traitement par Xolair, il y a eu une amélioration significative dans le SNOT-22 (Sino-Nasal OutcomeTest) qui combine des questions ayant attrait aux symptômes sino-nasaux, à la psychologie et à la qualité du sommeil. Le SNOT-22 était compris entre 0 et 110 (0 = meilleure valeur, 110 = valeur la plus mauvaise). La différence des moyennes des LS pour la variation dans le SNOT-22 par rapport à la valeur initiale jusqu'à la semaine 24 sous traitement par Xolair, en comparaison avec le placebo, était de -16.12 (IC à 95%: -21.86, -10.38; p < 0.0001) dans l'étude 1 et de -15.04 (IC à 95%: -21.26, -8.82; p < 0.0001) dans l'étude 2.
- +Sous traitement par Xolair, il y a également eu une amélioration significative du score UPSIT (University of Pennsylvania Smell Identification Test) quotidien moyen par rapport au placebo. Le score UPSIT était compris entre 0 et 40 (0 = valeur la plus mauvaise, 40 = meilleure valeur). La différence des moyennes des LS pour la variation par rapport à la valeur initiale jusqu'à la semaine 24 sous Xolair, en comparaison avec le placebo, était de 3.81 points (IC à 95%: 1.38, 6.24; p = 0.0024) dans l'étude 1 et de 3.86 points (IC à 95%: 1.57, 6.15; p = 0.0011) dans l'étude 2.
- +Dans les deux études, l'effet sur le TNSS et le SNOT-22 a déjà été observé lors de la première évaluation à la semaine 4. En outre, l'effet sur le score UPSIT a été observé dans les deux études lors de la première évaluation à la semaine 8.
- +Des analyses supplémentaires des critères d'évaluation secondaires ont inclus les évaluations du NPS et du NCS à la semaine 16. Sous traitement par Xolair, il y a eu une amélioration significative du NPS à la semaine 16 (0 = valeur la plus mauvaise, 8 = meilleure valeur) par rapport au placebo. La différence des moyennes des LS pour la variation par rapport à la valeur initiale jusqu'à la semaine 16 sous traitement par Xolair, en comparaison avec le placebo, était de -1.01 (IC à 95%:-1.43, -0.60; p < 0.0001) dans l'étude 1 et de -0.91 (IC à 95%: -1.39, -0.44; p = 0.0002) dans l'étude 2 [XX]. Sous traitement par Xolair, il y a eu une amélioration significative du NCS à la semaine 16 (0 = meilleure valeur, 3 = valeur la plus mauvaise) par rapport au placebo. La différence des moyennes des LS pour la variation du NCS quotidien moyen par rapport à la valeur initiale jusqu'à la semaine 16 sous traitement par Xolair, en comparaison avec le placebo, était de -0.57 (IC à 95%: -0.83, -0.31; p < 0.0001) dans l'étude 1 et de -0.59 (IC à 95%: -0.87, -0.30; p < 0.0001) dans l'étude 2.
- +Urticaire chronique spontanée (UCS)
-Tableau 6 Critères d'efficacité
-Modification de l'Itch Severity Score (ISS, échelle 0–21) hebdomadaire à la semaine 12 versus valeur initiale Principal critère d'évaluation des études Q4881g et Q4882g Critère d'évaluation secondaire de l'étude de sécurité Q4883g
-Délai jusqu'à une réponse MID a (diminution de ≥5 points versus valeurs initiales) du score ISS hebdomadaire jusqu'à la semaine 12 Critères d'évaluation secondaires des trois essais Q4881g, Q4882g et Q4883g
-Modification du score d'activité de l'urticaire (UAS7 b, échelle 0–42) mesuré sur une période de 7 jours à la semaine 12 versus valeur initiale
-Proportion des patients avec un score d'activité de l'urticaire ≤6 (UAS7 b ≤6) mesuré sur 7 jours à la semaine 12
-Proportion des patients avec un score d'activité de l'urticaire = 0 (UAS7 b = 0) mesuré sur 7 jours à la semaine 12 c
-Modification du score hebdomadaire des papules à la semaine 12 versus valeur initiale
-Modification du score global de l'indice de qualité de vie dermatologique (DLQI) à la semaine 12 versus valeur initiale
- +Tableau 9 Critères d'efficacité
- +Variation de l'Itch Severity Score (ISS, échelle 0–21) hebdomadaire à la semaine 12 par rapport à la valeur initiale Principal critère d'évaluation des études Q4881g et Q4882g Critère d'évaluation secondaire de l'étude de sécurité Q4883g
- +Délai jusqu'à une réponse MID a (diminution de ≥5 points par rapport à la valeur initiale) du score ISS hebdomadaire jusqu'à la semaine 12 Critères d'évaluation secondaires des trois essais Q4881g, Q4882g et Q4883g
- +Variation du score d'activité de l'urticaire (UAS7 b, fourchette 0–42) mesuré sur une période de 7 jours à la semaine 12 par rapport à la valeur initiale
- +Proportion de patients avec un score d'activité de l'urticaire ≤6 (UAS7 b ≤6) mesuré sur 7 jours à la semaine 12
- +Proportion de patients avec un score d'activité de l'urticaire = 0 (UAS7 b = 0) mesuré sur 7 jours à la semaine 12 c
- +Variation du score hebdomadaire des papules à la semaine 12 par rapport à la valeur initiale
- +Variation du score global de l'indice de qualité de vie dermatologique (DLQI) à la semaine 12 par rapport à la valeur initiale
-Dans les essais Q4881g et Q4882g, la dose de 75 mg n'a atteint de manière consistante ni le principal critère d'efficacité [modification de l'Itch Severity Score (ISS) hebdomadaire à la semaine 12 versus valeur initiale] ni plusieurs des critères secondaires. Cette dose a par conséquent été considérée comme non efficace et ces résultats ne sont pas présentés ci-dessous.
-Le principal critère d'efficacité, la modification de l'Itch Severity Score hebdomadaire de la semaine 12 versus valeur initiale, a été atteint aussi bien avec la dose de 150 mg qu'avec la dose de 300 mg dans les études Q4881g et Q4882g et il a été atteint avec la dose de 300 mg dans l'étude Q4883g (critère d'évaluation secondaire; voir Tableau 7).
-Tableau 7: Modification de l'Itch Severity Score hebdomadaire à la semaine 12 versus valeur initiale, études Q4881g, Q4882g et Q4883g (population mITT*)
- +Dans les essais Q4881g et Q4882g, la dose de 75 mg n'a atteint de manière consistante ni le principal critère d'efficacité [variation de l'Itch Severity Score (ISS) hebdomadaire à la semaine 12 par rapport à la valeur initiale] ni plusieurs des critères secondaires. Cette dose a par conséquent été considérée comme non efficace et ces résultats ne sont pas présentés ci-dessous.
- +Le principal critère d'efficacité, la variation de l'Itch Severity Score hebdomadaire à la semaine 12 par rapport à la valeur initiale, a été atteint aussi bien avec la dose de 150 mg qu'avec la dose de 300 mg dans les études Q4881g et Q4882g et il a été atteint avec la dose de 300 mg dans l'étude Q4883g (critère d'évaluation secondaire; voir Tableau 10).
- +Tableau 10: Variation de l'Itch Severity Score hebdomadaire à la semaine 12 par rapport à la valeur initiale, études Q4881g, Q4882g et Q4883g (population mITT*)
-La figure 1 illustre l'évolution temporelle de l'ISS hebdomadaire moyen au cours de l'étude Q4881g. L'Itch Severity Score hebdomadaire moyen a significativement diminué dans les deux groupes de traitement. L'effet maximal a été atteint environ à la semaine 12, puis est resté constant durant la phase de traitement de 24 semaines. Dans les études Q4883g (300 mg durant une période de traitement de 24 semaines) et Q4882g (150 mg ou 300 mg durant une période de traitement de 12 semaines), les résultats étaient semblables à ceux de l'étude Q4881g.
-Dans les trois essais (voir figure 1 pour l'étude Q4881g), l'Itch Severity Score hebdomadaire moyen a augmenté dans les deux groupes de dosage de manière progressive et parallèlement aux symptômes au cours de la phase de suivi de 16 semaines. À l'issue de la phase de suivi, les valeurs moyennes étaient comparables à celles du groupe placebo, mais inférieures aux valeurs moyennes initiales correspondantes.
-Figure 1: Évolution temporelle de l'Itch Severity Score hebdomadaire moyen dans l'étude Q4881g (BOCF, population mITT)
- +La figure 2 illustre l'évolution temporelle de l'ISS hebdomadaire moyen au cours de l'étude Q4881g. L'Itch Severity Score hebdomadaire moyen a significativement diminué dans les deux groupes de traitement. L'effet maximal a été atteint environ à la semaine 12, puis est resté constant durant la phase de traitement de 24 semaines. Dans les études Q4883g (300 mg durant une période de traitement de 24 semaines) et Q4882g (150 mg ou 300 mg durant une période de traitement de 12 semaines), les résultats étaient semblables à ceux de l'étude Q4881g.
- +Dans les trois essais (voir figure 2 pour l'étude Q4881g), l'Itch Severity Score hebdomadaire moyen a augmenté dans les deux groupes de dosage de manière progressive et parallèlement aux symptômes au cours de la phase de suivi de 16 semaines. À l'issue de la phase de suivi, les valeurs moyennes étaient comparables à celles du groupe placebo, mais inférieures aux valeurs moyennes initiales correspondantes.
- +Figure 2: Évolution temporelle de l'Itch Severity Score hebdomadaire moyen dans l'étude Q4881g (BOCF, population mITT)
-Modification de l'UAS7 à la semaine 12 versus valeur initiale:
-Dans les essais de phase III, les groupes traités par 150 mg et 300 mg d'omalizumab différaient de manière statistiquement significative du groupe placebo en termes de modification moyenne de l'UAS7 à la semaine 12 versus valeur initiale (figure 2 pour l'étude Q4881g). Le seuil de signification statistique (p < 0.0001) a été atteint dans les trois études pour le groupe recevant 300 mg et dans les études Q4881g (p = 0.0008) et Q4882g (p = 0.0001) dans le groupe recevant 150 mg.
-La figure 2 représente l'évolution temporelle moyenne de l'UAS7 dans l'étude Q4881g. Celle-ci était marquée par une diminution significative par rapport à la valeur initiale dans les deux groupes de traitement avec un effet maximal aux alentours de la semaine 12. Cet effet est resté constant durant toute la période de traitement de 24 semaines. Dans les études Q4882g (150 mg et 300 mg au cours d'une période de traitement de 12 semaines) et Q4883g (300 mg au cours d'une phase de traitement de 24 semaines), les résultats étaient comparables à ceux observés dans l'étude Q4881g.
-Dans les trois études (voir figure 2 pour l'étude Q4881g), l'UAS7 a progressivement augmenté au cours des 16 semaines de suivi sans traitement dans les deux groupes sous omalizumab avec une réapparition parallèle des symptômes. À la fin de la phase de suivi, les valeurs moyennes étaient comparables à celles sous placebo, mais inférieures aux valeurs initiales correspondantes.
-Figure 2: Évolution temporelle moyenne de l'UAS7, étude Q4881g (BOCF, population mITT)
- +Variation de l'UAS7 à la semaine 12 par rapport à la valeur initiale:
- +Dans les essais de phase III, les groupes traités par 150 mg et 300 mg d'omalizumab différaient de manière statistiquement significative du groupe placebo en termes de variation moyenne de l'UAS7 à la semaine 12 par rapport à la valeur initiale (figure 2 pour l'étude Q4881g). Le seuil de signification statistique (p < 0.0001) a été atteint dans les trois études pour le groupe recevant 300 mg et dans les études Q4881g (p = 0.0008) et Q4882g (p = 0.0001) dans le groupe recevant 150 mg.
- +La figure 2 représente l'évolution moyenne de l'UAS7 dans le temps dans l'étude Q4881g. Celle-ci était marquée par une diminution significative par rapport à la valeur initiale dans les deux groupes de traitement avec un effet maximal aux alentours de la semaine 12. Cet effet est resté constant durant toute la période de traitement de 24 semaines. Dans les études Q4882g (150 mg et 300 mg au cours d'une période de traitement de 12 semaines) et Q4883g (300 mg au cours d'une phase de traitement de 24 semaines), les résultats étaient comparables à ceux observés dans l'étude Q4881g.
- +Dans les trois études (voir figure 3 pour l'étude Q4881g), l'UAS7 a progressivement augmenté au cours des 16 semaines de suivi sans traitement dans les deux groupes sous omalizumab avec une réapparition parallèle des symptômes. À la fin de la phase de suivi, les valeurs moyennes étaient comparables à celles sous placebo, mais inférieures aux valeurs initiales correspondantes.
- +Figure 3: Évolution moyenne de l'UAS7 dans le temps, étude Q4881g (BOCF, population mITT)
-BOCF = Baseline Observation Carried Forward; mITT = population Intent-to-Treat modifiée;UAS7 = score d'activité de l'urticaire sur une période de 7 jours
- +BOCF = Baseline Observation Carried Forward; mITT = population Intent-to-Treat modifiée;
- +UAS7 = score d'activité de l'urticaire sur une période de 7 jours
-La proportion des patients ayant un UAS7 ≤6 à la semaine 12 est représentée dans la figure 3. Les taux de réponse étaient tous statistiquement significatifs, se situant entre 52% et 66% (dose de 300 mg; p < 0.0001), ou entre 40% et 43% (dose de 150 mg; p < 0.001) contre 11–19% dans le groupe placebo.
-Figure 3: Proportion des patients avec UAS7 ≤6 à la semaine 12, études Q4881g, Q4882g et Q4883g
- +La proportion de patients ayant un UAS7 ≤6 à la semaine 12 est représentée dans la figure 4. Les taux de réponse étaient tous statistiquement significatifs, se situant entre 52% et 66% (dose de 300 mg; p < 0.0001), ou entre 40% et 43% (dose de 150 mg; p < 0.001) contre 11–19% dans le groupe placebo.
- +Figure 4: Proportion de patients avec UAS7 ≤6 à la semaine 12, études Q4881g, Q4882g et Q4883g
-Proportion des patients avec un UAS7 = 0 à la semaine 12
-La proportion des patients ayant présenté une réponse complète, autrement dit un UAS7 = 0 à la semaine 12 était de 34–44% (dose de 300 mg, statistiquement significatif, tous p < 0.0001), ou 15–22% (dose de 150 mg) versus 5–9% dans le groupe placebo (figure 4).
-Figure 4: Proportion des patients avec un UAS7 = 0 à la semaine 12, études Q4881g, Q4882g et Q4883g
- +Valeurs de p correspondant aux groupes omalizumab vs placebo
- +Proportion de patients avec un UAS7 = 0 à la semaine 12
- +La proportion de patients ayant présenté une réponse complète, autrement dit un UAS7 = 0 à la semaine 12 était de 34–44% (dose de 300 mg, statistiquement significatif, tous p < 0.0001), ou 15–22% (dose de 150 mg) versus 5–9% dans le groupe placebo (figure 5).
- +Figure 5: Proportion de patients avec un UAS7 = 0 à la semaine 12, études Q4881g, Q4882g et Q4883g
- +Valeurs de p correspondant aux groupes omalizumab vs placebo
- +
-Modification du score hebdomadaire relatif au nombre de papules à la semaine 12 versus valeur initiale
-Dans les trois essais de phase III, le changement moyen du score hebdomadaire relatif au nombre de papules à la semaine 12 versus valeur initiale était statistiquement significatif dans le groupe traité par 300 mg (p < 0.001) avec une diminution du nombre de papules par rapport au placebo (-11.35 dans Q4881g, -11.97 dans Q4882g et -10.46 dans Q4883g versus respectivement -4.37, -5.22 et -4.49 dans les groupes placebo correspondants). Dans le groupe traité par 150 mg, le changement moyen était de -7.78 (p = 0.0017) dans Q4881g et de -9.75 (p < 0.001) dans Q4882g.
-Proportion des jours sans angio-œdème de la semaine 4 à la semaine 12
-Les groupes traités par 300 mg ont bénéficié dans les trois essais de phase III de la plus grande proportion moyenne de jours sans angio-œdème entre les semaines 4 et 12 (91–96%). L'augmentation de la proportion de jours sans angio-œdème était statistiquement significative par rapport au placebo (p < 0.001) (fig. 5). Dans le groupe traité par 150 mg, la proportion moyenne de jours sans angio-œdème pendant le même laps de temps était de 89.6% dans l'étude Q4881g et de 91.6% dans l'étude Q4882g. Les valeurs correspondantes sous placebo étaient de 88.2% et 89.2% dans les deux essais concernés. Les différences entre les groupes sous 150 mg et sous placebo n'ont atteint le seuil de signification statistique dans aucune de ces deux études.
-Figure 5: Proportion des jours sans angio-œdème de la semaine 4 à la semaine 12, études Q4881g, Q4882g et Q4883g
- +Variation du score hebdomadaire relatif au nombre de papules à la semaine 12 par rapport à la valeur initiale
- +Dans les trois essais de phase III, le variation moyenne du score hebdomadaire relatif au nombre de papules à la semaine 12 par rapport à la valeur initiale était statistiquement significative dans le groupe traité par 300 mg (p < 0.001) avec une diminution du nombre de papules par rapport au placebo (-11.35 dans Q4881g, -11.97 dans Q4882g et -10.46 dans Q4883g versus respectivement -4.37, -5.22 et -4.49 dans les groupes placebo correspondants). Dans le groupe traité par 150 mg, le changement moyen était de -7.78 (p = 0.0017) dans Q4881g et de -9.75 (p < 0.001) dans Q4882g.
- +Proportion de jours sans angio-œdème de la semaine 4 à la semaine 12
- +Les groupes traités par 300 mg ont bénéficié dans les trois essais de phase III de la plus grande proportion moyenne de jours sans angio-œdème entre les semaines 4 et 12 (91–96%). L'augmentation de la proportion de jours sans angio-œdème était statistiquement significative par rapport au placebo (p < 0.001) (fig. 6). Dans le groupe traité par 150 mg, la proportion moyenne de jours sans angio-œdème pendant le même laps de temps était de 89.6% dans l'étude Q4881g et de 91.6% dans l'étude Q4882g. Les valeurs correspondantes sous placebo étaient de 88.2% et 89.2% dans les deux essais concernés. Les différences entre les groupes sous 150 mg et sous placebo n'ont atteint le seuil de signification statistique dans aucune de ces deux études.
- +Figure 6: Proportion de jours sans angio-œdème de la semaine 4 à la semaine 12, études Q4881g, Q4882g et Q4883g
-Modification du score global de l'indice de la qualité de vie dermatologique (DLQI) à la semaine 12 versus valeur initiale
-Dans les trois essais de phase III, le changement moyen du score global DLQI entre la semaine 12 et la valeur initiale était statistiquement significativement supérieur dans le groupe traité par 300 mg (p < 0.001) à celui du groupe placebo. Dans l'étude Q4882g, le groupe traité par 150 mg d'omalizumab présentait une différence statistiquement significative (p = 0.022) versus placebo (figure 6).
-Figure 6: Modification du score global de l'indice de la qualité de vie dermatologique à la semaine 12 versus valeur initiale dans les études Q4881g, Q4882g et Q4883g
- +Valeurs de p correspondant aux groupes omalizumab vs placebo
- +a Not evaluated for statistical significance in accordance with the type I error control plan
- +La proportion moyenne de jours sans angio-œdème de la semaine 4 à la semaine 12 a été calculée pour l’ensemble de la population de l’étude, y compris les patients sans symptômes d’angio-œdème.
- +Variation du score global de l'indice de la qualité de vie dermatologique (DLQI) à la semaine 12 par rapport à la valeur initiale
- +Dans les trois essais de phase III, la variation moyenne du score global DLQI entre la semaine 12 et la valeur initiale était statistiquement significativement supérieure dans le groupe traité par 300 mg (p < 0.001) à celui du groupe placebo. Dans l'étude Q4882g, le groupe traité par 150 mg d'omalizumab présentait une différence statistiquement significative (p = 0.022) versus placebo (figure 7).
- +Figure 7: Variation du score global de l'indice de la qualité de vie dermatologique à la semaine 12 par rapport à la valeur initiale dans les études Q4881g, Q4882g et Q4883g
- +Valeurs de p correspondant aux groupes omalizumab vs placebo
- +DLQI = Dermatology Life Quality Index (indice de la qualité de vie dermatologique)
- +
-Le tableau 8 présente les résultats après 24 semaines de traitement. Les ordres de grandeur de la réponse sont comparables à ceux observés après 12 semaines de traitement.
-Tableau 8: Efficacité après 24 semaines de traitement dans les études Q4881g et Q4883g (population mITT *)
- +Le tableau 11 présente les résultats après 24 semaines de traitement. Les ordres de grandeur de la réponse sont comparables à ceux observés après 12 semaines de traitement.
- +Tableau 11: Efficacité après 24 semaines de traitement dans les études Q4881g et Q4883g (population mITT*)
-Changement vs ligne de base du Severity Score (BOCF) hebdomadaire, valeur moyenne
- +Variation vs ligne de base du Severity Score (BOCF) hebdomadaire, valeur moyenne
-Changement vs ligne de base de l'UAS7 (BOCF), valeur moyenne
- +Variation vs ligne de base de l'UAS7 (BOCF), valeur moyenne
-Proportion des patients avec UAS7 ≤6, % de patients
- +Proportion de patients avec UAS7 ≤6, % de patients
-Proportion des patients avec UAS7 = 0, % de patients
- +Proportion de patients avec UAS7 = 0, % de patients
- +Patients atteints de polypes nasaux
- +Les analyses pharmacocinétiques de population pour l'omalizumab ont indiqué que la pharmacocinétique de l'omalizumab dans le cas des polypes nasaux coïncide avec celle obtenue dans le cas de l'asthme. Des analyses graphiques de covariables ont été réalisées afin d'évaluer les effets de caractéristiques démographiques et d'autres facteurs sur l'exposition à l'omalizumab et la réponse clinique. Ces analyses montrent qu'aucun ajustement de la posologie sur la base de l'âge (18 à 75 ans) ou du sexe n'est nécessaire. Les données disponibles concernant la race et l'appartenance ethnique sont trop limitées pour les patients atteints de polypes nasaux et ne permettent pas d'émettre des affirmations quant à la nécessité éventuelle d'ajuster la posologie.
- +
-Des anticorps dirigés contre l'omalizumab ont été détectés chez certains singes après administration sous-cutanée ou intraveineuse réitérée. Après l'administration d'une protéine hétérologue, on pouvait s'attendre à un tel effet. Certains animaux n'ont pas pu être évalués à cause de concentrations sériques d'omalizumab trop élevées, de taux d'IgE élevés, ou les deux à la fois. Pendant toute la durée du traitement lors de l'étude, les animaux ont présenté des concentrations sériques d'omalizumab élevées, et il n'y a pas eu de toxicité manifeste suite à la présence des anticorps anti-omalizumab.
- +Des anticorps dirigés contre l'omalizumab ont été détectés chez certains singes après administration sous-cutanée ou intraveineuse réitérée. Après l'administration d'une protéine hétérologue, on pouvait s'attendre à un tel effet. Certains animaux n'ont pas pu être évalués à cause de concentrations sériques d'omalizumab trop élevées, de taux d'IgE élevés, ou les deux à la fois. Pendant toute la durée du traitement lors de l'étude, les animaux ont présenté cependant des concentrations sériques d'omalizumab élevées, et il n'y a pas eu de toxicité manifeste suite à la présence des anticorps antiomalizumab.
-En fait, aucune étude conventionnelle de carcinogénicité n'a été conduite avec l'omalizumab.
- +Aucune étude conventionnelle de carcinogénicité n'a été conduite avec l'omalizumab.
- +Seringue préremplie de Xolair à 75 mg
- +(image)
- +Seringue préremplie de Xolair à 150 mg
- +
-4.Regardez attentivement la seringue. NE PAS UTILISER si la seringue est endommagée ou si le liquide a l'air visqueux ou trouble ou s'il contient des particules.
- +4.Regardez attentivement la seringue. NE PAS UTILISER la seringue si elle est endommagée ou si le liquide a l'air visqueux ou trouble ou s'il contient des particules.
-Figure 3
-(image)
-6.Tenez la seringue en position verticale avec le piston vers le haut et tapotez sur le côté de la seringue avec le doigt pour faire remonter la bulle d'air.
-7.Vérifiez que le niveau du liquide se trouve sur ou au-dessus de la ligne indiquant la quantité minimale de remplissage (figure 3). Si le niveau du liquide se trouve en dessous de la ligne de remplissage, la seringue préremplie ne doit pas être utilisée.
-1 solution injectable en seringue préremplie de 75 mg d'omalizumab dans 1.0 ml [B]
- +1 solution injectable en seringue préremplie de 150 mg d'omalizumab dans 1.0 ml [B]
-Mars 2021
- +Mars 2022
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