28 Changements de l'information professionelle Xolair 75 mg/0.5 ml |
-Arginini hydrochloridum, Histidini hydrochloridum monohydricum, Histidinum, Polysorbatum 20, Aqua ad injectabilia q.s. ad solutionum.
- +Arganini hydrochloridum, Histidini hydrochloridum monohydricum, Histidinum, Polysorbatum 20, Aqua ad injectabilia q.s. ad solutionum.
- 75 mga 150 mgb
- +75 mga 150 mgb
-> 100–200
- +> 100–200
-> 600–700 225 375
- +> 600–700 225 375
-Urticaire chronique spontanée (UCS): La sécurité et l'efficacité pour les patients âgés de moins de 12 ans n'ont pas été étudiées. L'utilisation de Xolair chez ces patients n'est donc pas recommandée.
- +Urticaire chronique spontanée (UCS)
- +La sécurité et l'efficacité pour les patients âgés de moins de 12 ans n'ont pas été étudiées. L'utilisation de Xolair chez ces patients n'est donc pas recommandée.
- +Les patients ne présentant pas d'antécédents connus d'anaphylaxie peuvent s'injecter eux-mêmes Xolair dès la quatrième administration ou se le faire injecter par un soignant si un médecin l'estime approprié (voir «Mises en garde et précautions»). Le patient ou le soignant doit avoir été formé à la technique d'injection correcte et à l'identification des premiers signes et symptômes de réactions allergiques graves.
- +Les patients ou soignants doivent être informés de la nécessité d'injecter la totalité du contenu de la seringue préremplie Xolair conformément au mode d'emploi figurant dans la notice.
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-Lors de l'utilisation d'omalizumab, des réactions allergiques locales ou systémiques, y compris réaction anaphylactique mettant en jeu le pronostic vital et choc anaphylactique, peuvent apparaître. De telles réactions peuvent aussi apparaître après une durée de traitement prolongée. La plupart de ces réactions sont survenues dans les 2 heures suivant la première injection et les injections suivantes de Xolair, mais certaines se sont produites plus de 2 heures après et même plus de 24 heures après l'injection. Par conséquent, des médicaments utilisés pour traiter une réaction anaphylactique devront toujours être disponibles sur-le-champ après administration de Xolair. Les patients doivent être informés que de telles réactions peuvent survenir et qu'elles nécessitent dans ce cas un traitement médical d'urgence. En cas de réactions sévères, le traitement par Xolair doit être arrêté immédiatement (voir «Effets indésirables»).
- +Lors de l'utilisation d'omalizumab, des réactions allergiques locales ou systémiques, y compris réaction anaphylactique mettant en jeu le pronostic vital et choc anaphylactique, peuvent apparaître. De telles réactions peuvent aussi apparaître après une durée de traitement prolongée. La plupart de ces réactions sont survenues dans les 2 heures suivant la première injection et les injections suivantes de Xolair, mais certaines se sont produites plus de 2 heures après et même plus de 24 heures après l'injection. La plupart des réactions anaphylactiques sont survenues après les 3 premières injections de Xolair. Les 3 premières injections doivent donc être pratiquées par un membre du personnel soignant ou sous sa supervision. Des antécédents d'anaphylaxie non liée à l'omalizumab peuvent constituer un facteur de risque de survenue d'une anaphylaxie après l'administration de Xolair. Xolair doit donc être administré par un membre du personnel soignant aux patients présentant des antécédents connus d'anaphylaxie. Par conséquent, des médicaments utilisés pour traiter une réaction anaphylactique devront toujours être disponibles sur-le-champ après administration de Xolair. Les patients doivent être informés que de telles réactions peuvent survenir et qu'elles nécessitent dans ce cas un traitement médical d'urgence. En cas de réactions sévères, le traitement par Xolair doit être arrêté immédiatement (voir «Effets indésirables»).
-Immunogénicité:
- +Immunogénicité
-Maladies cérébrovasculaires:
- +Maladies cérébrovasculaires
- Placebo N = 242 150 mg N = 175 300 mg N = 412
- +Placebo N = 242 150 mg N = 175 300 mg N = 412
-Les améliorations les plus importantes du NPS et du NCS dans le groupe traité par Xolair par rapport au groupe placebo ont déjà été observées, dans les deux études, lors de la première évaluation à la semaine 4, comme le montre la figure 8. À la semaine 4, la différence des moyennes des moindres carrés (LS) pour la variation du NPS par rapport à la valeur initiale dans le groupe traité par Xolair en comparaison avec le groupe placebo était de -0.92 (IC à 95%: -1.37, -0.48) dans l'étude 1 et de -0.52 (IC à 95%: -0.94, -0.11) dans l'étude 2. Pour le NCS, la différence des moyennes des LS pour la variation par rapport à la valeur initiale à la semaine 4 dans le groupe traité par Xolair en comparaison avec le groupe placebo était de -0.25 (IC à 95%: -0.46, -0.04) dans l'étude 1 et de -0.26 (IC à 95%: -0.45, -0.07) dans l'étude 2. Toutefois, les tests statistiques n'étaient pas pré-spécifiés à ce moment-là.
- +Les améliorations les plus importantes du NPS et du NCS dans le groupe traité par Xolair par rapport au groupe placebo ont déjà été observées, dans les deux études, lors de la première évaluation à la semaine 4, comme le montre la figure 1. À la semaine 4, la différence des moyennes des moindres carrés (LS) pour la variation du NPS par rapport à la valeur initiale dans le groupe traité par Xolair en comparaison avec le groupe placebo était de -0.92 (IC à 95%: -1.37, -0.48) dans l'étude 1 et de -0.52 (IC à 95%: -0.94, -0.11) dans l'étude 2. Pour le NCS, la différence des moyennes des LS pour la variation par rapport à la valeur initiale à la semaine 4 dans le groupe traité par Xolair en comparaison avec le groupe placebo était de -0.25 (IC à 95%: -0.46, -0.04) dans l'étude 1 et de -0.26 (IC à 95%: -0.45, -0.07) dans l'étude 2. Toutefois, les tests statistiques n'étaient pas pré-spécifiés à ce moment-là.
-Variation du score d'activité de l'urticaire (UAS7 b, fourchette 0–42) mesuré sur une période de 7 jours à la semaine 12 par rapport à la valeur initiale
-Proportion de patients avec un score d'activité de l'urticaire ≤6 (UAS7 b ≤6) mesuré sur 7 jours à la semaine 12
-Proportion de patients avec un score d'activité de l'urticaire = 0 (UAS7 b = 0) mesuré sur 7 jours à la semaine 12 c
-Variation du score hebdomadaire des papules à la semaine 12 par rapport à la valeur initiale
-Variation du score global de l'indice de qualité de vie dermatologique (DLQI) à la semaine 12 par rapport à la valeur initiale
-Proportion des patients avec journées sans angio-œdème entre la semaine 4 et la semaine 12 d
- +Variation du score d'activité de l'urticaire (UAS7 b, fourchette 0–42) mesuré sur une période de 7 jours à la semaine 12 par rapport à la valeur initiale
- +Proportion de patients avec un score d'activité de l'urticaire ≤6 (UAS7 b ≤6) mesuré sur 7 jours à la semaine 12
- +Proportion de patients avec un score d'activité de l'urticaire = 0 (UAS7 b = 0) mesuré sur 7 jours à la semaine 12 c
- +Variation du score hebdomadaire des papules à la semaine 12 par rapport à la valeur initiale
- +Variation du score global de l'indice de qualité de vie dermatologique (DLQI) à la semaine 12 par rapport à la valeur initiale
- +Proportion des patients avec journées sans angio-œdème entre la semaine 4 et la semaine 12 d
-Dans les essais de phase III, les groupes traités par 150 mg et 300 mg d'omalizumab différaient de manière statistiquement significative du groupe placebo en termes de variation moyenne de l'UAS7 à la semaine 12 par rapport à la valeur initiale (figure 2 pour l'étude Q4881g). Le seuil de signification statistique (p < 0.0001) a été atteint dans les trois études pour le groupe recevant 300 mg et dans les études Q4881g (p = 0.0008) et Q4882g (p = 0.0001) dans le groupe recevant 150 mg.
-La figure 2 représente l'évolution moyenne de l'UAS7 dans le temps dans l'étude Q4881g. Celle-ci était marquée par une diminution significative par rapport à la valeur initiale dans les deux groupes de traitement avec un effet maximal aux alentours de la semaine 12. Cet effet est resté constant durant toute la période de traitement de 24 semaines. Dans les études Q4882g (150 mg et 300 mg au cours d'une période de traitement de 12 semaines) et Q4883g (300 mg au cours d'une phase de traitement de 24 semaines), les résultats étaient comparables à ceux observés dans l'étude Q4881g.
- +Dans les essais de phase III, les groupes traités par 150 mg et 300 mg d'omalizumab différaient de manière statistiquement significative du groupe placebo en termes de variation moyenne de l'UAS7 à la semaine 12 par rapport à la valeur initiale (figure 3 pour l'étude Q4881g). Le seuil de signification statistique (p < 0.0001) a été atteint dans les trois études pour le groupe recevant 300 mg et dans les études Q4881g (p = 0.0008) et Q4882g (p = 0.0001) dans le groupe recevant 150 mg.
- +La figure 3 représente l'évolution moyenne de l'UAS7 dans le temps dans l'étude Q4881g. Celle-ci était marquée par une diminution significative par rapport à la valeur initiale dans les deux groupes de traitement avec un effet maximal aux alentours de la semaine 12. Cet effet est resté constant durant toute la période de traitement de 24 semaines. Dans les études Q4882g (150 mg et 300 mg au cours d'une période de traitement de 12 semaines) et Q4883g (300 mg au cours d'une phase de traitement de 24 semaines), les résultats étaient comparables à ceux observés dans l'étude Q4881g.
-Chez les singes (aussi bien adultes que juvéniles), l'administration à long terme de l'omalizumab à des doses allant jusqu'à 250 mg/kg (dose clinique maximale autorisée pour l'asthme ou l'UCS selon les recommandations: 15 mg/kg) a été bien tolérée, à l'exception d'une diminution dose-dépendante des plaquettes chez plusieurs primates ayant une concentration sérique généralement supérieure à la dose maximale d'exposition chez l'homme lors d'études cliniques pivots. Les singes juvéniles ont été plus sensibles aux effets sur les thrombocytes que les singes adultes. Par ailleurs, une hémorragie aiguë et une inflammation ont été observées au site d'injection chez le singe Cynomolgus. Ces événements sont liés à une réponse immunitaire localisée en réponse à des administrations répétées d'une protéine hétérologue par voie sous-cutanée.
- +Chez les singes (aussi bien adultes que juvéniles), l'administration à long terme de l'omalizumab à des doses allant jusqu'à 250 mg/kg (dose clinique maximale autorisée pour l'asthme ou l'UCS selon les recommandations: 15 mg/kg) a été bien tolérée, à l'exception d'une diminution dosedépendante des plaquettes chez plusieurs primates ayant une concentration sérique généralement supérieure à la dose maximale d'exposition chez l'homme lors d'études cliniques pivots. Les singes juvéniles ont été plus sensibles aux effets sur les thrombocytes que les singes adultes. Par ailleurs, une hémorragie aiguë et une inflammation ont été observées au site d'injection chez le singe Cynomolgus. Ces événements sont liés à une réponse immunitaire localisée en réponse à des administrations répétées d'une protéine hétérologue par voie sous-cutanée.
-Attention: évitez le contact avec les clips d'activation (figure 1) jusqu'à ce que l'injection soit terminée afin d'empêcher que l'aiguille ne soit recouverte plus tôt que prévu par le dispositif de protection de l'aiguille.
- +Attention: évitez le contact avec les ailettes de protection de l'aiguille (figure 1) jusqu'à ce que l'injection soit terminée afin d'empêcher que l'aiguille ne soit recouverte plus tôt que prévu par le dispositif de protection de l'aiguille.
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