ch.oddb.org
 
Apotheken | Hôpital | Interactions | LiMA | Médecin | Médicaments | Services | T. de l'Autorisation
Accueil - Information professionnelle sur Tibolon Spirig HC 2.5 mg - Changements - 15.04.2025
20 Changements de l'information professionelle Tibolon Spirig HC 2.5 mg
  • -Non seulement les études randomisées contrôlées mais aussi les études épidémiologiques ont montré une augmentation du risque de cancer du sein chez les femmes utilisant un THS pendant plusieurs années. C'est pourquoi, chez toutes les femmes, le médecin doit examiner les seins avant le début d'un THS et ensuite tous les ans et les patientes doivent pratiquer des auto-examens mammaires mensuels. Selon l'âge et les facteurs de risque individuels, il faut aussi réaliser le cas échéant une mammographie. Les femmes doivent être informées de la nécessité de signaler immédiatement à leur médecin toute modification de leurs seins.
  • -Une méta-analyse de 51 études épidémiologiques a montré que le risque de développement d'un cancer du sein augmente en fonction de la durée du THS et diminue après l'arrêt du THS. Chez les femmes qui avaient utilisé un THS pendant 5 ans ou plus, le risque relatif de développement d'un cancer du sein était de 1,35 (IC à 95%: 1,21-1,49).
  • +Non seulement les études randomisées contrôlées mais aussi les études épidémiologiques ont montré une augmentation du risque de cancer du sein chez les femmes utilisant un THS pendant plusieurs années. Ce risque est surtout accru en cas d'utilisation d'une durée supérieure à 5 ans. Dans une méta-analyse d'études épidémiologiques, le risque relatif (RR) chez les femmes ayant utilisé un THS pendant 5 ans ou plus était de 1,35 (IC à 95%: 1,21; 1,49). Dans des études individuelles, on a même observé une augmentation du risque pour des durées de traitement plus courtes (de 1 à 4 ans). En général, l'augmentation du risque était plus importante avec un traitement œstroprogestatif combiné qu'avec une monothérapie par œstrogènes.
  • +C'est pourquoi, chez toutes les femmes, le médecin doit examiner les seins avant le début d'un THS, et ensuite tous les ans, et les patientes doivent pratiquer des auto-examens mammaires mensuels. Selon l'âge et les facteurs de risque individuels, une mammographie peut aussi être indiquée. Les femmes doivent être informées de la nécessité de signaler immédiatement à leur médecin toute modification de leurs seins.
  • +Deux grandes méta-analyses d'études épidémiologiques ont montré que le risque de développement d'un cancer du sein augmente en fonction de la durée du THS et diminue après l'arrêt du THS. Le temps nécessaire pour revenir au risque de base correspondant à l'âge dépend de la durée de l'utilisation précédente du THS. Si la durée d'utilisation est supérieure à 5 ans, le risque peut encore être augmenté pendant 10 ans ou plus après l'arrêt.
  • +Pour la tibolone, on ne dispose d'aucune donnée concernant la persistance du risque accru après l'arrêt, mais un schéma similaire ne peut être exclu.
  • -L'étude Million Women Study (MWS), une étude de cohortes non randomisée (âge moyen des femmes au moment de l'inclusion dans l'étude de 55,9 ans) a mis en évidence une augmentation significative du risque de cancer du sein à la posologie de 2,5 mg de tibolone. Dans cette étude, la moitié des femmes recevait un THS avant et/ou au moment de l'inclusion dans l'étude, tandis que l'autre moitié n'avait jamais reçu de THS. Avec tous les types de THS, le risque augmentait avec la durée d'utilisation. Après l'arrêt du traitement, le risque diminuait. Le risque maximal a été observé sous le traitement combiné œstrogéno-progestatif (2,00 [IC à 95%: 1,88-2,12]). Pour la monothérapie par œstrogènes, le risque relatif se situait à 1,30 (IC à 95%: 1,21-1,40) et pour la tibolone à 1,45 (IC à 95%: 1,25-1,68). Une étude épidémiologique utilisant la General Practice Research Database (GPRD) n'a pas pu confirmer ces résultats.
  • -Chez les utilisatrices de tibolone, il faut s'attendre à 3 cas supplémentaires (IC à 95%: 0-6) pour 1000 femmes.
  • +L'étude Million Women Study (MWS), une étude de cohortes non randomisée (âge moyen des femmes au moment de l'inclusion dans l'étude de 55,9 ans) a mis en évidence une augmentation significative du risque de cancer du sein à la posologie de 2,5 mg de tibolone. Dans cette étude, la moitié des femmes recevait un THS avant et/ou au moment de l'inclusion dans l'étude, tandis que l'autre moitié n'avait jamais reçu de THS. Avec tous les types de THS, le risque augmentait avec la durée d'utilisation. Le risque maximal a été observé sous le traitement combiné œstrogéno-progestatif (2,00 [IC à 95%: 1,88-2,12]). Pour la monothérapie par œstrogènes, le risque relatif se situait à 1,30 (IC à 95%: 1,21-1,40) et pour la tibolone à 1,45 (IC à 95%: 1,25-1,68). Une étude épidémiologique utilisant la General Practice Research Database (GPRD) n'a pas pu confirmer ces résultats.
  • +Chez les utilisatrices de tibolone, il faut s'attendre à 3 cas supplémentaires (IC à 95%: 0-6) pour 1000 femmes pour une durée de traitement de 5 ans.
  • -L'étude Women's Health Initiative (WHI), vaste étude prospective, randomisée, menée comparativement à un placebo, a porté sur plus de 8000 femmes assez âgées (âge au début de l'étude compris entre 50 et 79 ans, âge moyen de 63 ans), qui ont reçu un traitement hormonal substitutif (THS) oral comportant des œstrogènes conjugués et de l'acétate de médroxyprogestérone pendant une durée moyenne de 5,2 ans. Cette étude a montré une augmentation du risque d'événements cardiovasculaires, comparativement au placebo (risque relatif de 1,24 [IC à 95%: 1,00-1,54], une augmentation absolue du risque de 6 cas pour 10'000 années-femmes). Le risque était maximal pendant la première année suivant le début du THS (risque relatif de 1,81 [IC à 95%: 1,09-3,01]). Plus la ménopause était ancienne, plus le risque augmentait (ménopause datant de moins de 10 ans: risque relatif de 0,89; ménopause datant de 10 à 19 ans: risque relatif de 1,22; ménopause datant de 20 ans ou plus: risque relatif de 1,71). Dans le bras ayant reçu les œstrogènes en monothérapie, aucun effet significatif sur le risque cardio-vasculaire n'a été observé (risque relatif de 0,91 [IC à 95%: 0,75-1,12]).
  • +L'étude Women's Health Initiative (WHI), vaste étude prospective, randomisée, menée comparativement à un placebo, a porté sur plus de 8000 femmes âgées (âge au début de l'étude compris entre 50 et 79 ans, âge moyen de 63 ans), qui ont reçu un traitement hormonal substitutif (THS) oral comportant des œstrogènes conjugués et de l'acétate de médroxyprogestérone pendant une durée moyenne de 5,2 ans. Cette étude a montré une augmentation du risque d'événements cardiovasculaires, comparativement au placebo (risque relatif de 1,24 [IC à 95%: 1,00-1,54], une augmentation absolue du risque de 6 cas pour 10'000 années-femmes). Le risque était maximal pendant la première année suivant le début du THS (risque relatif de 1,81 [IC à 95%: 1,09-3,01]). Plus la ménopause était ancienne, plus le risque augmentait (ménopause datant de moins de 10 ans: risque relatif de 0,89; ménopause datant de 10 à 19 ans: risque relatif de 1,22; ménopause datant de 20 ans ou plus: risque relatif de 1,71). Dans le bras ayant reçu les œstrogènes en monothérapie, aucun effet significatif sur le risque cardio-vasculaire n'a été observé (risque relatif de 0,91 [IC à 95%: 0,75-1,12]).
  • +Les hormones sexuelles peuvent abaisser la concentration plasmatique d'autres principes actifs. Ainsi, à la suite d'une induction de la glucuronidation, une augmentation cliniquement pertinente de la clairance de la lamotrigine associée une diminution significative correspondante de la concentration plasmatique de lamotrigine a été observée après une administration simultanée de lamotrigine et d'un contraceptif hormonal combiné contenant de l'éthinylestradiol. Une telle diminution des concentrations plasmatiques peut être associée à une réduction du contrôle des crises. Aucune étude d'interactions avec la tibolone n'a été menée. Le risque d'interactions est probablement limité du fait de la faible activité œstrogénique des métabolites de la tibolone, mais ne peut pas être totalement exclu.
  • +
  • -Les fréquences des effets indésirables sont définies comme suit:
  • -Fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1000 à <1/100), rares (≥1/10 000 à <1/1000), fréquence inconnue (basée essentiellement sur des rapports spontanés issus de la surveillance post-commercialisation (PMS), la fréquence exacte ne peut donc pas être estimée).
  • +Les effets indésirables sont rangés par classe de système d'organes de la classification MedDRA et par fréquence selon la convention suivante:
  • +«fréquents» (≥1/100 à <1/10),
  • +«occasionnels» (≥1/1000 à <1/100),
  • +«rares» (≥1/10'000 à <1/1000),
  • +«fréquence inconnue» (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • -Troubles musculosquelettiques et du tissu conjonctif
  • +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
  • -Parmi les effets indésirables susmentionnés, les hémorragies vaginales ou du spotting, les douleurs abdominales, les sensations de tensions dans les seins surviennent principalement durant les premiers mois du traitement et disparaissent ensuite.
  • +Parmi les effets indésirables susmentionnés, les hémorragies vaginales ou le spotting, les douleurs abdominales et les sensations de tensions dans les seins surviennent principalement durant les premiers mois du traitement et disparaissent ensuite.
  • -Après administration orale, la tibolone est rapidement et quasiment complètement absorbée. La prise d'aliments ne modifie pas l'absorption.
  • +Après administration orale, la tibolone est rapidement et quasiment complètement absorbée.
  • -T1/2 (h) -- -- 5,78 7,71 5,87 -- -- --
  • +T½ (h) -- -- 5,78 7,71 5,87 -- -- --
  • +La prise d'aliments ne modifie pas l'absorption.
  • +
  • -Spirig HealthCare SA, 4622 Egerkingen.
  • +Spirig HealthCare AG; 4622 Egerkingen.
  • -Mai 2017.
  • +Octobre 2024.
2025 ©ywesee GmbH
Einstellungen | Aide | FAQ | Identification | Contact | Home