106 Changements de l'information professionelle Etoricoxib Viatris 30 mg |
-Etoricoxib Mylan est indiqué dans le traitement symptomatique des inflammations et douleurs chez les patients souffrant d'arthrose.
- +Etoricoxib Viatris est indiqué dans le traitement symptomatique des inflammations et douleurs chez les patients souffrant d'arthrose.
-En raison de l'augmentation possible des risques cardiovasculaires du traitement par Etoricoxib Mylan avec la dose et la durée de traitement, Etoricoxib Mylan doit être utilisé à la dose minimale efficace pendant la période la plus courte possible. La nécessité et l'efficacité du traitement devront être évaluées régulièrement, en particulier chez les patients souffrant d'arthrose (voir «Mises en garde et précautions»).
-Etoricoxib Mylan est pris par voie orale. Etoricoxib Mylan peut être pris indépendamment des repas.
- +En raison de l'augmentation possible des risques cardiovasculaires du traitement par Etoricoxib Viatris avec la dose et la durée de traitement, Etoricoxib Viatris doit être utilisé à la dose minimale efficace pendant la période la plus courte possible. La nécessité et l'efficacité du traitement devront être évaluées régulièrement, en particulier chez les patients souffrant d'arthrose (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Etoricoxib Viatris est pris par voie orale. Etoricoxib Viatris peut être pris indépendamment des repas.
-Etoricoxib Mylan est contre-indiqué chez l'enfant et l'adolescent de moins de 16 ans.
- +Etoricoxib Viatris est contre-indiqué chez l'enfant et l'adolescent de moins de 16 ans.
-Etoricoxib Mylan est contre-indiqué dans les cas suivants:
- +Etoricoxib Viatris est contre-indiqué dans les cas suivants:
-·en cas de troubles sévères de la fonction hépatique (cirrhose hépatique et ascite) (albumine sérique < 25 g/l ou score de Child-Pugh ≥10);
- +·en cas de troubles sévères de la fonction hépatique (cirrhose hépatique et ascite) (albumine sérique <25 g/l ou score de Child-Pugh ≥10);
-·en cas de cardiopathie coronarienne connue, maladie vasculaire périphérique, maladie cérébrovasculaire ou traitement des douleurs postopératoires chez des patients ayant récemment subi un pontage coronarien (ou recours à la circulation extra-corporelle) ou une angioplastie;
- +·en cas de cardiopathie coronarienne connue, maladie cérébrovasculaire, d'artériopathie oblitérante des membres inférieurs ou traitement des douleurs postopératoires chez des patients ayant récemment subi un pontage coronarien (ou recours à la circulation extra-corporelle) ou une angioplastie;
-Pour certains inhibiteurs sélectifs de la COX-2, des études contrôlées versus placebo ont mis en évidence un risque accru de complications cardio-vasculaires et cérébrovasculaires. On ignore encore si ce risque est en corrélation directe avec la sélectivité des différents AINS envers COX-1/COX-2. Étant donné qu'on ne dispose actuellement pas de données d'études comparables pour l'étoricoxib utilisé à des doses maximales lors d'un traitement au long cours, l'éventualité d'un tel risque accru ne peut pas être exclue. Chez les patients présentant des facteurs de risque importants (par exemple hypertension artérielle, hyperlipidémie, diabète sucré, tabagisme), l'étoricoxib ne doit être utilisé qu'après une évaluation soigneuse du rapport bénéfice/risque. Afin de réduire ce risque, la dose minimale efficace pendant la période de traitement la plus courte possible doit être utilisée.
-Les effets rénaux des AINS englobent une rétention hydrique associée à des oedèmes et/ou une hypertension artérielle. Des précautions doivent par conséquent être prises lors de l'utilisation de l'étoricoxib chez les patients insuffisants cardiaques ou présentant d'autres états prédisposant à une rétention hydrique. De même, la prudence est de mise chez les patients traités de façon concomitante par diurétiques, inhibiteurs de l'enzyme de conversion (IEC) ou antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II (ARA-II) et chez les patients présentant un risque accru d'hypovolémie.
-Mise en garde concernant plus spécialement Etoricoxib Mylan
- +Pour certains inhibiteurs sélectifs de la COX-2, des études contrôlées versus placebo ont mis en évidence un risque accru de complications cardio-vasculaires et cérébro-vasculaires. On ignore encore si ce risque est en corrélation directe avec la sélectivité des différents AINS envers COX-1/COX-2. Étant donné qu'on ne dispose actuellement pas de données d'études comparables pour l'étoricoxib utilisé à des doses maximales lors d'un traitement au long cours, l'éventualité d'un tel risque accru ne peut pas être exclue. Chez les patients présentant des facteurs de risque importants (p.ex. hypertension artérielle, hyperlipidémie, diabète sucré, tabagisme), l'étoricoxib ne doit être utilisé qu'après une évaluation soigneuse du rapport bénéfice/risque. Afin de réduire ce risque, la dose minimale efficace pendant la période de traitement la plus courte possible doit être utilisée.
- +Des cas de syndrome de Kounis chez des patients traités par AINS ont été signalés. Le syndrome de Kounis comprend des symptômes cardiovasculaires apparaissant à la suite d'une réaction allergique ou d'une réaction d'hypersensibilité. Il est associé à un rétrécissement des artères coronaires et peut provoquer un infarctus du myocarde.
- +Les effets rénaux des AINS englobent une rétention hydrique associée à des œdèmes et/ou une hypertension artérielle. Des précautions doivent par conséquent être prises lors de l'utilisation de l'étoricoxib chez les patients insuffisants cardiaques ou présentant d'autres états prédisposant à une rétention hydrique. De même, la prudence est de mise chez les patients traités de façon concomitante par diurétiques, inhibiteurs de l'enzyme de conversion (IEC) ou antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II (ARA-II) et chez les patients présentant un risque accru d'hypovolémie.
- +Mise en garde concernant plus spécialement Etoricoxib Viatris
-Chez les patients présentant une déshydratation importante, l'instauration du traitement par Etoricoxib Mylan se fera avec prudence. Il est recommandé de réhydrater les patients avant de commencer le traitement par Etoricoxib Mylan.
-Comme avec d'autres inhibiteurs de la synthèse de prostaglandines, des cas de rétention hydrique, d'oedèmes et d'hypertension ont été observés chez certains patients traités par étoricoxib. La possibilité d'apparition d'une rétention hydrique, d'oedèmes et d'une hypertension doit être prise en compte lors d'une utilisation de l'étoricoxib chez des patients présentant déjà des oedèmes, une hypertension ou une insuffisance cardiaque. Les anti-inflammatoires non-stéroïdiens (AINS), y compris l'étoricoxib, peuvent être associés avec le développement ou la réapparition d'une insuffisance cardiaque congestive (voir «Propriétés/Effets, Sécurité»). L'étoricoxib, surtout aux doses élevées, est associé à un risque d'hypertension plus élevé et à une hypertension plus sévère que d'autres AINS et inhibiteurs de la COX-2. Par conséquent, on surveillera spécialement la pression artérielle au cours du traitement par étoricoxib. Si la pression artérielle augmente fortement, un changement de traitement sera envisagé.
- +Chez les patients présentant une déshydratation importante, l'instauration du traitement par Etoricoxib Viatris se fera avec prudence. Il est recommandé de réhydrater les patients avant de commencer le traitement par Etoricoxib Viatris.
- +Comme avec d'autres inhibiteurs de la synthèse de prostaglandines, des cas de rétention hydrique, d'œdèmes et d'hypertension ont été observés chez certains patients traités par étoricoxib. La possibilité d'apparition d'une rétention hydrique, d'œdèmes et d'une hypertension doit être prise en compte lors d'une utilisation de l'étoricoxib chez des patients présentant déjà des œdèmes, une hypertension ou une insuffisance cardiaque. Les anti-inflammatoires non-stéroïdiens (AINS), y compris l'étoricoxib, peuvent être associés avec le développement ou la réapparition d'une insuffisance cardiaque congestive (voir «Propriétés/Effets, Sécurité»). L'étoricoxib, surtout aux doses élevées, est associé à un risque d'hypertension plus élevé et à une hypertension plus sévère que d'autres AINS et inhibiteurs de la COX-2. Par conséquent, on surveillera spécialement la pression artérielle au cours du traitement par étoricoxib. Si la pression artérielle augmente fortement, un changement de traitement sera envisagé.
-En présence de signes et/ou symptômes de troubles de la fonction hépatique ou en cas de valeurs fonctionnelles hépatiques pathologiques, l'évolution doit être surveillée. Si les valeurs hépatiques restent élevées (à 3 fois la valeur normale supérieure), le traitement par Etoricoxib Mylan doit être interrompu.
- +En présence de signes et/ou symptômes de troubles de la fonction hépatique ou en cas de valeurs fonctionnelles hépatiques pathologiques, l'évolution doit être surveillée. Si les valeurs hépatiques restent élevées (à 3 fois la valeur normale supérieure), le traitement par Etoricoxib Viatris doit être interrompu.
-Après la commercialisation, des réactions cutanées graves, dont certaines d'issue fatale, incluant la dermatite exfoliative, le syndrome de Stevens-Johnson et la nécrolyse épidermique toxique, ont été rapportées dans de très rares cas en association avec l'utilisation d'AINS et de certains inhibiteurs sélectifs de la COX-2 (voir «Effets indésirables»). Ces événements graves peuvent se produire sans signes avant-coureurs. Il semble que le risque d'apparition de tels effets indésirables soit le plus élevé au début du traitement: dans la majorité des cas ils sont survenus au cours du premier mois de traitement. De graves réactions d'hypersensibilité (telles qu'anaphylaxie et angio-oedème) ont été rapportées chez des patients sous étoricoxib (voir «Effets indésirables»). Certains inhibiteurs sélectifs de la COX-2 ont été associés à un risque accru de réactions cutanées chez les patients ayant des antécédents d'allergie médicamenteuse. L'administration d'étoricoxib doit être interrompue dès les premières manifestations d'une éruption cutanée, de lésions des muqueuses ou de tout autre signe d'hypersensibilité.
-L'étoricoxib peut masquer une fièvre (symptôme d'une infection). Le médecin doit prendre en compte cette particularité lors du traitement par Etoricoxib Mylan chez un patient traité pour une infection.
-Comme d'autres médicaments agissant sur la COX-2, l'étoricoxib n'est pas recommandé chez les femmes envisageant une grossesse (voir «Grossesse/Allaitement» et «Propriétés/Effets»).
- +Après la commercialisation, des réactions cutanées graves, dont certaines d'issue fatale, incluant la dermatite exfoliative, le syndrome de Stevens-Johnson, la nécrolyse épidermique toxique (syndrome de Lyell) et le syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse (Drug reaction with eosinophilia and systemic symptoms, DRESS), ont été rapportées dans de très rares cas en association avec l'utilisation d'AINS et de certains inhibiteurs sélectifs de la COX-2 (voir «Effets indésirables»). Ces événements graves peuvent se produire sans signes avant-coureurs. Il semble que le risque d'apparition de tels effets indésirables soit le plus élevé au début du traitement, dans la majorité des cas ils sont survenus au cours du premier mois de traitement. De graves réactions d'hypersensibilité (telles qu'anaphylaxie et angio-œdème) ont été rapportées chez des patients sous étoricoxib (voir «Effets indésirables»). Certains inhibiteurs sélectifs de la COX-2 ont été associés à un risque accru de réactions cutanées chez les patients ayant des antécédents d'allergie médicamenteuse. L'administration d'étoricoxib doit être interrompue dès les premières manifestations d'une éruption cutanée, de lésions des muqueuses ou de tout autre signe d'hypersensibilité.
- +L'étoricoxib peut masquer une fièvre (symptôme d'une infection). Le médecin doit prendre en compte cette particularité lors du traitement par Etoricoxib Viatris chez un patient traité pour une infection.
- +Comme d'autres médicaments agissant sur la COX-2, l'étoricoxib n'est pas recommandé chez les femmes envisageant une grossesse (voir «Grossesse, Allaitement» et «Propriétés/Effets»).
-Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé pelliculé, c.-à-d. qu'il est pratiquement« sans sodium».
-Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies hérditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.
- +Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé pelliculé, c.-à-d. qu'il est pratiquement «sans sodium».
- +Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.
-Anticoagulants oraux: chez des sujets stabilisés traités au long cours par la warfarine, l'administration de 120 mg/jour d'étoricoxib s'est accompagnée d'une augmentation d'environ 13% du temps de Quick exprimé en INR. Par conséquent, le temps de Quick exprimé en INR des patients recevant des anticoagulants oraux sera étroitement surveillé, particulièrement pendant les tout premiers jours de l'instauration du traitement par l'étoricoxib ou lors d'un changement de posologie.
-Aucune étude d'interaction n'a été réalisée avec l'acénocoumarol et la phenprocoumone. En raison d'une possible augmentation de l'effet pharmacodynamique de l'anticoagulant oral (prolongation du temps de Quick) liée à la co-administration, une surveillance étroite de l'anticoagulation est requise en cas de traitement concomitant ainsi qu'après l'arrêt d'Etoricoxib Mylan.
-Diurétiques, IEC et antagonistes de l'angiotensine II: les AINS peuvent réduire l'effet des diurétiques et des médicaments antihypertenseurs. Chez certains patients ayant une fonction rénale altérée (par exemple, patients déshydratés ou sujets âgés présentant une insuffisance rénale), la co-administration d'un IEC ou d'un antagoniste de l'angiotensine II et d'un inhibiteur de la cyclo-oxygénase peut entraîner une augmentation de la détérioration de la fonction rénale pouvant aller jusqu'à une éventuelle insuffisance rénale aiguë, habituellement réversible. Ces interactions seront prises en compte chez les patients traités de façon concomitante par étoricoxib et IEC ou antagoniste de l'angiotensine II. Par conséquent, ces traitements seront associés avec prudence, surtout chez le sujet âgé. Les patients devront être correctement hydratés et la fonction rénale devra être surveillée après l'instauration du traitement concomitant, puis de façon périodique.
-Acide acétylsalicylique: dans une étude chez des sujets sains, à l'état d'équilibre, l'administration de 120 mg d'étoricoxib par jour n'a pas eu d'effet sur l'activité antiplaquettaire de l'acide acétylsalicylique (81 mg une fois par jour). L'étoricoxib peut être administré en même temps que l'acide acétylsalicylique aux doses utilisées en prévention cardiovasculaire (faibles doses d'acide acétylsalicylique). Cependant, l'administration concomitante de faibles doses d'acide acétylsalicylique et d'étoricoxib peut entraîner une fréquence accrue d'ulcérations gastro-intestinales ou d'autres complications, comparée à l'utilisation d'étoricoxib seul. L'administration concomitante d'étoricoxib et de doses d'acide acétylsalicylique supérieure à celles utilisées en prévention cardiovasculaire ou avec d'autres AINS est déconseillée (voir «Mises en garde et précautions» et «Propriétés/Effets»).
-Ciclosporine et tacrolimus: bien que cette interaction n'ait pas été étudiée avec l'étoricoxib, la co-administration de ciclosporine ou de tacrolimus avec tout AINS peut augmenter l'effet néphrotoxique de la ciclosporine ou du tacrolimus. La fonction rénale sera surveillée en cas d'utilisation concomitante de l'étoricoxib avec l'un de ces médicaments.
- +Anticoagulants oraux: Chez des sujets stabilisés traités au long cours par la warfarine, l'administration de 120 mg/jour d'étoricoxib s'est accompagnée d'une augmentation d'environ 13% du temps de Quick exprimé en INR. Par conséquent, le temps de Quick exprimé en INR des patients recevant des anticoagulants oraux sera étroitement surveillé, particulièrement pendant les tout premiers jours de l'instauration du traitement par l'étoricoxib ou lors d'un changement de posologie.
- +Aucune étude d'interaction n'a été réalisée avec l'acénocoumarol et la phenprocoumone. En raison d'une possible augmentation de l'effet pharmacodynamique de l'anticoagulant oral (prolongation du temps de Quick) liée à la co-administration, une surveillance étroite de l'anticoagulation est requise en cas de traitement concomitant ainsi qu'après l'arrêt d'Etoricoxib Viatris.
- +Diurétiques, IEC et antagonistes de l'angiotensine II: Les AINS peuvent réduire l'effet des diurétiques et des médicaments antihypertenseurs. Chez certains patients ayant une fonction rénale altérée (p.ex. patients déshydratés ou sujets âgés), la co-administration d'un IEC ou d'un antagoniste de l'angiotensine II et d'un inhibiteur de la cyclo-oxygénase peut entraîner une augmentation de la détérioration de la fonction rénale pouvant aller jusqu'à une éventuelle insuffisance rénale aiguë, habituellement réversible. Ces interactions seront prises en compte chez les patients traités de façon concomitante par étoricoxib et IEC ou antagoniste de l'angiotensine II. Par conséquent, ces traitements seront associés avec prudence, surtout chez le sujet âgé. Les patients devront être correctement hydratés et la fonction rénale devra être surveillée après l'instauration du traitement concomitant, puis de façon périodique.
- +Acide acétylsalicylique: Dans une étude chez des sujets sains, à l'état d'équilibre, l'administration de 120 mg d'étoricoxib par jour n'a pas eu d'effet sur l'activité antiplaquettaire de l'acide acétylsalicylique (81 mg une fois par jour). L'étoricoxib peut être administré en même temps que l'acide acétylsalicylique aux doses utilisées en prévention cardiovasculaire (faibles doses d'acide acétylsalicylique). Cependant, l'administration concomitante de faibles doses d'acide acétylsalicylique et d'étoricoxib peut entraîner une fréquence accrue d'ulcérations gastro-intestinales ou d'autres complications, comparée à l'utilisation d'étoricoxib seul. L'administration concomitante d'étoricoxib et de doses d'acide acétylsalicylique supérieures à celles utilisées en prévention cardiovasculaire ou avec d'autres AINS est déconseillée (voir «Mises en garde et précautions» et «Propriétés/Effets»).
- +Ciclosporine et tacrolimus: Bien que cette interaction n'ait pas été étudiée avec l'étoricoxib, la co-administration de ciclosporine ou de tacrolimus avec tout AINS peut augmenter l'effet néphrotoxique de la ciclosporine ou du tacrolimus. La fonction rénale sera surveillée en cas d'utilisation concomitante de l'étoricoxib avec l'un de ces médicaments.
-Lithium: les AINS diminuent l'excrétion rénale du lithium et par conséquent augmentent les taux plasmatiques du lithium. Si nécessaire, contrôler étroitement la lithémie et adapter la posologie du lithium pendant l'association et à l'arrêt de l'AINS.
-Méthotrexate: deux études ont évalué les effets de 60, 90 ou 120 mg d'étoricoxib administré une fois par jour pendant sept jours chez des patients atteints de polyarthrite rhumatoïde recevant des doses de méthotrexate de 7,5 à 20 mg une fois par semaine. L'étoricoxib aux doses de 60 mg et 90 mg n'a pas eu d'effet sur les concentrations plasmatiques du méthotrexate ou sur la clairance rénale. Dans une étude, l'étoricoxib à la dose de 120 mg n'a pas eu d'effet sur les concentrations plasmatiques de méthotrexate, ni sur la clairance rénale alors que dans une autre étude, l'étoricoxib à la dose de 120 mg a entraîné une augmentation des concentrations plasmatiques du méthotrexate de 28% et a diminué la clairance rénale du méthotrexate de 13%. Une surveillance adéquate de la toxicité du méthotrexate est recommandée lorsque l'étoricoxib et le méthotrexate sont administrés de façon concomitante.
-Contraceptifs oraux: l'étoricoxib 60 mg, administré pendant 21 jours avec un contraceptif oral contenant 35 µg d'éthinyl-estradiol (EE) et 0,5 à 1 mg de noréthindrone, a augmenté l'ASC0–24 h à l'état d'équilibre de l'EE de 37%. L'étoricoxib 120 mg administré avec le même contraceptif oral, de manière concomitante, ou avec un intervalle de 12 heures, a augmenté l'ASC0–24 h à l'état d'équilibre de l'EE de 50 à 60%. Cette augmentation de la concentration d'EE doit être prise en compte lors du choix d'un contraceptif oral approprié, en cas de traitement par l'étoricoxib. L'exposition plus importante à l'EE peut augmenter l'incidence d'événements indésirables associés aux contraceptifs oraux (par exemple, événements thromboemboliques veineux chez les patientes à risque).
-Traitement Hormonal Substitutif (THS): l'administration d'étoricoxib 120 mg et d'un traitement hormonal substitutif avec des oestrogènes conjugués (Premarin™ 0,625 mg, un médicament commercialisé aux Etats-Unis) pendant 28 jours a augmenté la moyenne de l'ASC0–24 hr à l'état d'équilibre de l'estrone non conjugué (41%), du composé équin (76%), et du 17-β-estradiol (22%). L'effet des doses recommandées d'étoricoxib (30 et 60 mg) n'a pas été étudié au long cours. Les effets d'étoricoxib 120 mg sur l'exposition (ASC0–24 h) de ces composés oestrogéniques de Premarin ont représenté moins de la moitié de ceux observés lors d'une augmentation de la dose de Premarin seule de 0,625 mg à 1,25 mg. La conséquence clinique de ces augmentations est inconnue, et des doses supérieures de Premarin n'ont pas été étudiées en association avec l'étoricoxib. Ces augmentations de la concentration en oestrogènes doivent être prises en considération lors du choix d'un traitement hormonal de la ménopause en cas de traitement par l'étoricoxib, car l'augmentation de l'exposition aux oestrogènes pourrait accroître le risque d'effets indésirables associés au THS.
-Prednisone/prednisolone: dans des études d'interactions médicamenteuses, l'étoricoxib n'a pas eu d'effet cliniquement significatif sur les paramètres pharmacocinétiques de la prednisone/prednisolone.
-Digoxine: l'étoricoxib 120 mg administré une fois par jour pendant 10 jours à des volontaires sains n'a pas modifié l'ASC0–24 h à l'état d'équilibre, ni l'élimination rénale de la digoxine. Une augmentation de la Cmax de la digoxine (environ 33%) a été observée. Cette augmentation n'est généralement pas importante pour la plupart des patients. Cependant, les patients ayant des facteurs de risque favorisant la toxicité de la digoxine seront surveillés pour cette raison lorsque l'étoricoxib et la digoxine sont administrés de façon concomitante.
-Effets d'autres médicaments sur Etoricoxib Mylan
- +Lithium: Les AINS diminuent l'excrétion rénale du lithium et par conséquent augmentent les taux plasmatiques du lithium. Si nécessaire, contrôler étroitement la lithémie et adapter la posologie du lithium pendant l'association et à l'arrêt de l'AINS.
- +Méthotrexate: Deux études ont évalué les effets de 60, 90 ou 120 mg d'étoricoxib administré une fois par jour pendant sept jours chez des patients atteints de polyarthrite rhumatoïde recevant des doses de méthotrexate de 7,5 à 20 mg une fois par semaine. L'étoricoxib aux doses de 60 mg et 90 mg n'a pas eu d'effet sur les concentrations plasmatiques du méthotrexate ou sur la clairance rénale. Dans une étude, l'étoricoxib à la dose de 120 mg n'a pas eu d'effet sur les concentrations plasmatiques de méthotrexate, ni sur la clairance rénale alors que dans une autre étude, l'étoricoxib à la dose de 120 mg a entraîné une augmentation des concentrations plasmatiques du méthotrexate de 28% et a diminué la clairance rénale du méthotrexate de 13%. Une surveillance adéquate de la toxicité du méthotrexate est recommandée lorsque l'étoricoxib et le méthotrexate sont administrés de façon concomitante.
- +Contraceptifs oraux: L'étoricoxib 60 mg, administré pendant 21 jours avec un contraceptif oral contenant 35 µg d'éthinyl-estradiol (EE) et 0,5 à 1 mg de noréthindrone, a augmenté l'ASC0–24 h à l'état d'équilibre de l'EE de 37%. L'étoricoxib 120 mg administré avec le même contraceptif oral, de manière concomitante, ou avec un intervalle de 12 heures, a augmenté l'ASC0–24 h à l'état d'équilibre de l'EE de 50 à 60%. Cette augmentation de la concentration d'EE doit être prise en compte lors du choix d'un contraceptif oral approprié, en cas de traitement par l'étoricoxib. L'exposition plus importante à l'EE peut augmenter l'incidence d'événements indésirables associés aux contraceptifs oraux (p.ex. événements thromboemboliques veineux chez les patientes à risque).
- +Traitement Hormonal Substitutif (THS): L'administration d'étoricoxib 120 mg et d'un traitement hormonal substitutif avec des œstrogènes conjugués (Premarin™ 0,625 mg, un médicament commercialisé aux Etats-Unis) pendant 28 jours a augmenté la moyenne de l'ASC0–24 h à l'état d'équilibre de l'estrone non conjugué (41%), du composé équin (76%), et du 17-β-estradiol (22%). L'effet des doses recommandées d'étoricoxib (30 et 60 mg) n'a pas été étudié au long cours. Les effets d'étoricoxib 120 mg sur l'exposition (ASC0–24 h) de ces composés oestrogéniques de Premarin™ ont représenté moins de la moitié de ceux observés lors d'une augmentation de la dose de Premarin™ seule de 0,625 mg à 1,25 mg. La conséquence clinique de ces augmentations est inconnue, et des doses supérieures de Premarin™ n'ont pas été étudiées en association avec l'étoricoxib. Ces augmentations de la concentration en œstrogènes doivent être prises en considération lors du choix d'un traitement hormonal de la ménopause en cas de traitement par l'étoricoxib, car l'augmentation de l'exposition aux œstrogènes pourrait accroître le risque d'effets indésirables associés au THS.
- +Prednisone/prednisolone: Dans des études d'interactions médicamenteuses, l'étoricoxib n'a pas eu d'effet cliniquement significatif sur les paramètres pharmacocinétiques de la prednisone/prednisolone.
- +Digoxine: L'étoricoxib 120 mg administré une fois par jour pendant 10 jours à des volontaires sains n'a pas modifié l'ASC0–24 h à l'état d'équilibre, ni l'élimination rénale de la digoxine. Une augmentation de la Cmax de la digoxine (environ 33%) a été observée. Cette augmentation n'est généralement pas importante pour la plupart des patients. Cependant, les patients ayant des facteurs de risque favorisant la toxicité de la digoxine seront surveillés pour cette raison lorsque l'étoricoxib et la digoxine sont administrés de façon concomitante.
- +Effets d'autres médicaments sur Etoricoxib Viatris
-L'étoricoxib est un inhibiteur de l'activité des sulfotransférases humaines, en particulier SULT1E1, et a entraîné une augmentation des concentrations plasmatiques sériques de l'éthinyl estradiol. Comme les connaissances sur les effets de multiples sulfotransférases sont actuellement limitées et que les conséquences cliniques pour de nombreux médicaments sont encore en cours d'évaluation, il peut être prudent de prendre des précautions lorsque l'étoricoxib est administré de façon simultanée avec d'autres médicaments métabolisés principalement par des sulfotransférases humaines (par exemple, salbutamol par voie orale et minoxidil).
- +L'étoricoxib est un inhibiteur de l'activité des sulfotransférases humaines, en particulier SULT1E1, et a entraîné une augmentation des concentrations plasmatiques sériques de l'éthinyl estradiol. Comme les connaissances sur les effets de multiples sulfotransférases sont actuellement limitées et que les conséquences cliniques pour de nombreux médicaments sont encore en cours d'évaluation, il peut être prudent de prendre des précautions lorsque l'étoricoxib est administré de façon simultanée avec d'autres médicaments métabolisés principalement par des sulfotransférases humaines (p.ex. salbutamol par voie orale et minoxidil).
-Kétoconazole: le kétoconazole, un puissant inhibiteur du CYP3A4, administré à 400 mg une fois par jour pendant 11 jours à des volontaires sains n'a pas eu d'effet cliniquement important sur les paramètres pharmacocinétiques d'une dose unique de 60 mg d'étoricoxib (augmentation de 43% de l'ASC).
-Rifampicine: la co-administration d'étoricoxib et de rifampicine, un puissant inducteur des enzymes du CYP, a entraîné une diminution de 65% des concentrations plasmatiques de l'étoricoxib. Cette interaction peut entraîner une récurrence des symptômes en cas de co-administration avec la rifampicine. Bien que cette information puisse suggérer l'intérêt d'augmenter la dose, des doses d'étoricoxib plus élevées que celle mentionnée pour l'indication correspondante n'ont pas été étudiées en association avec la rifampicine; par conséquent, elles ne sont pas recommandées.
-Anti-acides: les anti-acides n'entraînent pas de modifications cliniquement significatives des paramètres pharmacocinétiques de l'étoricoxib.
- +Kétoconazole: Le kétoconazole, un puissant inhibiteur du CYP3A4, administré à 400 mg une fois par jour pendant 11 jours à des volontaires sains n'a pas eu d'effet cliniquement important sur les paramètres pharmacocinétiques d'une dose unique de 60 mg d'étoricoxib (augmentation de 43% de l'ASC).
- +Rifampicine: La co-administration d'étoricoxib et de rifampicine, un puissant inducteur des enzymes du CYP, a entraîné une diminution de 65% des concentrations plasmatiques de l'étoricoxib. Cette interaction peut entraîner une récurrence des symptômes en cas de co-administration avec la rifampicine. Bien que cette information puisse suggérer l'intérêt d'augmenter la dose, des doses d'étoricoxib plus élevées que celle mentionnée pour l'indication correspondante n'ont pas été étudiées en association avec la rifampicine; par conséquent, elles ne sont pas recommandées.
- +Anti-acides: Les anti-acides n'entraînent pas de modifications cliniquement significatives des paramètres pharmacocinétiques de l'étoricoxib.
-L'inhibition de la synthèse de la prostaglandine peut avoir une incidence négative sur la grossesse ainsi que sur le développement embryonnaire et foetal. Selon certaines données tirées d'études épidémiologiques, l'administration d'inhibiteurs de la synthèse de la prostaglandine au début de la grossesse accroît en effet le risque de fausses couches, de malformations cardiaques et de gastroschisis. On présume que ce risque est proportionnel à la dose administrée et à la durée du traitement.
-Oligohydramnios / insuffisance rénale néonatale
- +L'inhibition de la synthèse de la prostaglandine peut avoir une incidence négative sur la grossesse ainsi que sur le développement embryonnaire et fœtal. Selon certaines données tirées d'études épidémiologiques, l'administration d'inhibiteurs de la synthèse de la prostaglandine au début de la grossesse accroît en effet le risque de fausses couches, de malformations cardiaques et de gastroschisis. On présume que ce risque est proportionnel à la dose administrée et à la durée du traitement.
- +Oligohydramnios/insuffisance rénale néonatale/rétrécissement du canal artériel
-Chez les animaux, il est prouvé que l'administration d'inhibiteurs de la synthèse de la prostaglandine entraîne une augmentation des pertes pré- et post-implantatoires ainsi que de la létalité embryo-foetale. En outre, une incidence accrue de différentes malformations, notamment cardiovasculaires, a été rapportée chez les animaux qui avaient reçu un inhibiteur de la synthèse de la prostaglandine pendant la phase de l'organogenèse.
-Tous les inhibiteurs de la synthèse de la prostaglandine peuvent:
- +En outre, un rétrécissement du canal artériel a été rapporté après le traitement au cours du deuxième trimestre, lequel s'est résolu dans la plupart des cas à l'arrêt du traitement.
- +Chez les animaux, il est prouvé que l'administration d'inhibiteurs de la synthèse de la prostaglandine entraîne une augmentation des pertes pré- et post-implantatoires ainsi que de la létalité embryofœtale. En outre, une incidence accrue de différentes malformations, notamment cardiovasculaires, a été rapportée chez les animaux qui avaient reçu un inhibiteur de la synthèse de la prostaglandine pendant la phase de l'organogenèse.
- +Tous les inhibiteurs de la synthèse de la prostaglandine peuvent
-·toxicité cardio-pulmonaire (avec fermeture prématurée du canal artériel et hypertension pulmonaire);
- +·toxicité cardio-pulmonaire (avec rétrécissement prématuré/fermeture prématurée du canal artériel et hypertension pulmonaire);
-L'utilisation d'Etoricoxib Mylan peut avoir un impact négatif sur la fécondité féminine et n'est dès lors pas recommandé aux femmes qui envisagent une grossesse. L'arrêt du traitement par Etoricoxib Mylan doit également être envisagé chez les femmes qui ne parviennent pas à débuter une grossesse ou qui subissent des tests de fécondité.
- +L'utilisation d'Etoricoxib Viatris peut avoir un impact négatif sur la fertilité féminine et n'est dès lors pas recommandé aux femmes qui envisagent une grossesse. L'arrêt du traitement par Etoricoxib Viatris doit également être envisagé chez les femmes qui ne parviennent pas à débuter une grossesse ou qui subissent des tests de fertilité.
-Certains AINS passent dans le lait maternel. Par mesure de précaution, Etoricoxib Mylan ne doit donc pas être administré aux femmes qui allaitent. Si le traitement s'avère indispensable, l'enfant doit être nourri au biberon.
- +Certains AINS passent dans le lait maternel. Par mesure de précaution, Etoricoxib Viatris ne doit donc pas être administré aux femmes qui allaitent. Si le traitement s'avère indispensable, l'enfant doit être nourri au biberon.
-Rien n'indique à ce jour que l'aptitude à la conduite ou la capacité à utiliser des machines puissent être affectées par la prise d'Etoricoxib Mylan.
- +Rien n'indique à ce jour que l'aptitude à la conduite ou la capacité à utiliser des machines puissent être affectées par la prise d'Etoricoxib Viatris.
-Les événements indésirables suivants de l'étoricoxib ont été rapportés après la commercialisation ou avec une incidence supérieure à celle sous placebo dans le programme d'études MEDAL et dans les études cliniques sur l'administration d'étoricoxib 30 mg, 60 mg ou 90 mg pendant une période allant jusqu'à 12 semaines, chez des patients atteints d'arthrose, de polyarthrite rhumatoïde, de lombalgie chronique ou de spondylarthrite ankylosante:
-(Très fréquents [≥1/10], fréquents [≥1/100, <1/10], occasionnels [≥1/1000, <1/100], rares [≥1/10'000, <1/1000], très rares [<1/10'000], fréquence inconnue [ne peut être estimée sur la base des données disponibles].)
- +Les événements indésirables suivants de l'étoricoxib ont été rapportés après la commercialisation ou avec une incidence supérieure à celle sous placebo dans le programme d'études MEDAL et dans les études cliniques sur l'administration d'étoricoxib 30 mg, 60 mg ou 90 mg pendant une période allant jusqu'à 12 semaines, chez des patients atteints d'arthrose, de polyarthrite rhumatoïde, de lombalgie chronique ou de spondylarthrite ankylosante: très fréquent (≥1/10); fréquent (≥1/100 à <1/10); occasionnel (≥1/1000 à <1/100); rare (≥1/10'000 à <1/1000); très rare (<1/10'000); fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
-Occasionnels: gastro-entérite, infection des voies respiratoires supérieures, infection des voies urinaires.
-Troubles du système sanguin et lymphatique
-Occasionnels: anémie (essentiellement en rapport avec des hémorragies gastrointestinales), leucopénie, thrombocytopénie, baisse de l'hématocrite.
-Troubles du système immunitaire
-Très rares: réactions d'hypersensibilité dont angio-oedème, réactions anaphylactiques/anaphylactoïdes, y compris choc.
- +Occasionnel: gastro-entérite, infection des voies respiratoires supérieures, infection des voies urinaires.
- +Affections hématologiques et du système lymphatique
- +Occasionnel: anémie (essentiellement en rapport avec des hémorragies gastrointestinales), leucopénie, thrombocytopénie, baisse de l'hématocrite.
- +Affections du système immunitaire
- +Très rare: réactions d'hypersensibilité dont angio-œdème, réactions anaphylactiques/anaphylactoïdes, y compris choc.
-Fréquents: oedème/rétention hydrique.
-Occasionnels: augmentation ou diminution de l'appétit, prise de poids.
-Troubles psychiatriques
-Occasionnels: anxiété, dépression, problèmes de concentration.
-Très rares: confusion, hallucinations.
- +Fréquent: œdème/rétention hydrique.
- +Occasionnel: augmentation ou diminution de l'appétit, prise de poids.
- +Affections psychiatriques
- +Occasionnel: anxiété, dépression, problèmes de concentration.
- +Très rare: confusion, hallucinations.
-Troubles du système nerveux
-Fréquents: étourdissements, céphalées.
-Occasionnels: dysgueusie, insomnie, paresthésie/hypoesthésie, somnolence.
-Troubles oculaires
-Occasionnels: vision trouble, conjonctivite.
-Troubles de l'oreille et du conduit auditif
-Occasionnels: acouphènes, vertiges.
-Troubles cardiaques
- +Affections du système nerveux
- +Fréquent: étourdissements, céphalées.
- +Occasionnel: dysgueusie, insomnie, paresthésie/hypoesthésie, somnolence.
- +Affections oculaires
- +Occasionnel: vision trouble, conjonctivite.
- +Affections de l'oreille et du labyrinthe
- +Occasionnel: acouphènes, vertiges.
- +Affections cardiaques
-Occasionnels: fibrillation auriculaire, insuffisance cardiaque, modifications non spécifiques de l'ECG, angine de poitrine, infarctus du myocarde.
- +Occasionnel: fibrillation auriculaire, insuffisance cardiaque, modifications non spécifiques de l'ECG, angine de poitrine, infarctus du myocarde.
-Troubles vasculaires
- +Affections vasculaires
-Occasionnels: bouffées vasomotrices, accident vasculaire cérébral, accident ischémique transitoire (AIT).
- +Occasionnel: bouffées vasomotrices, accident vasculaire cérébral, accident ischémique transitoire (AIT).
-Organes respiratoires (Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux)
-Occasionnels: toux, dyspnée, épistaxis.
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
- +Occasionnel: toux, dyspnée, épistaxis.
-Troubles gastro-intestinaux
-Fréquents: troubles gastro-intestinaux (par exemple douleurs abdominales, flatulences, brûlures d'estomac), diarrhée, dyspepsie, gêne épigastrique, nausées.
-Occasionnels: ballonnement abdominal, reflux acide, modification du péristaltisme, constipation, sécheresse buccale, gastrite, ulcère gastroduodénal, syndrome du côlon irritable, oesophagite, ulcération de la muqueuse buccale, vomissements.
-Très rares: ulcères peptiques parfois compliqués de perforation gastro-intestinale et d'hémorragie gastro-intestinale (en particulier chez les patients âgés).
-Troubles hépatobiliaires
-Fréquents: taux accru d'ALAT, taux accru d'ASAT.
- +Affections gastro-intestinales
- +Fréquent: troubles gastro-intestinaux (p.ex. douleurs abdominales, flatulences, brûlures d'estomac), diarrhée, dyspepsie, gêne épigastrique, nausées.
- +Occasionnel: ballonnement abdominal, reflux acide, modification du péristaltisme, constipation, sécheresse buccale, gastrite, ulcère gastroduodénal, syndrome du côlon irritable, œsophagite, ulcération de la muqueuse buccale, vomissements.
- +Très rare: ulcères peptiques parfois compliqués de perforation gastro-intestinale et d'hémorragie gastro-intestinale (en particulier chez les patients âgés).
- +Affections hépatobiliaires
- +Fréquent: taux accru d'ALAT, taux accru d'ASAT.
-Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
- +Troubles de la peau et du tissu sous-cutané
-Occasionnels: oedème facial, prurit, éruption cutanée.
- +Occasionnel: œdème facial, prurit, éruption cutanée.
-Très rares: urticaire, syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyse épidermique toxique.
-Fréquence inconnue: érythème pigmenté fixe.
-Troubles musculosquelettiques, du tissu conjonctif et des os
-Occasionnels: crampes/spasmes musculaires, douleurs/raideur musculo-squelettique.
-Troubles rénaux et urinaires
-Occasionnels: protéinurie, taux accru de créatinine sérique.
- +Très rare: urticaire, syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyse épidermique toxique.
- +Fréquence inconnue: érythème pigmenté fixe, syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse (Drug reaction with eosinophilia and systemic symptoms, DRESS).
- +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
- +Occasionnel: crampes/spasmes musculaires, douleurs/raideur musculo-squelettique.
- +Affections du rein et des voies urinaires
- +Occasionnel: protéinurie, taux accru de créatinine sérique.
-Troubles généraux et accidents liés au site d'administration
-Fréquents: asthénie/fatigue, syndrome pseudo-grippal.
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
- +Fréquent: asthénie/fatigue, syndrome pseudo-grippal.
-Occasionnels: augmentation du taux d'azote uréique sanguin (BUN), augmentation du taux de créatine phosphokinase, hyperkaliémie, augmentation du taux d'acide urique.
- +Occasionnel: augmentation du taux d'azote uréique sanguin (BUN), augmentation du taux de créatine phosphokinase, hyperkaliémie, augmentation du taux d'acide urique.
- +* Dans le cadre de l'analyse d'études cliniques à long terme contrôlées contre placebo et témoin actif, des inhibiteurs sélectifs de COX-2 ont été associés à un risque accru d'événements thrombotiques artériels graves, y compris l'infarctus du myocarde et l'accident vasculaire cérébral. Sur la base des données disponibles, il est peu probable que l'augmentation absolue du risque d'un tel événement soit supérieure à 1% par an (occasionnels).
- +
-Dans les études cliniques, l'administration de doses uniques d'étoricoxib allant jusqu'à 500 mg et de doses multiples allant jusqu'à 150 mg par jour pendant 21 jours n'a pas entraîné d'effets toxiques significatifs. Des cas de surdosage aigu ont été rapportés, qui n'ont cependant pas été associés à des effets indésirables. Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés ont correspondu au profil de sécurité de l'étoricoxib (par exemple effets gastro-intestinaux et rénaux).
-En cas de surdosage, il est raisonnable de recourir aux mesures de prise en charge habituelles telles que, par exemple, évacuation gastrique de la substance non absorbée, surveillance clinique et, si nécessaire, traitement symptomatique.
- +Dans les études cliniques, l'administration de doses uniques d'étoricoxib allant jusqu'à 500 mg et de doses multiples allant jusqu'à 150 mg par jour pendant 21 jours n'a pas entraîné d'effets toxiques significatifs. Des cas de surdosage aigu ont été rapportés, qui n'ont cependant pas été associés à des effets indésirables. Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés ont correspondu au profil de sécurité de l'étoricoxib (p.ex. effets gastro-intestinaux et rénaux).
- +En cas de surdosage, il est raisonnable de recourir aux mesures de prise en charge habituelles telles que, p.ex. évacuation gastrique de la substance non absorbée, surveillance clinique et, si nécessaire, traitement symptomatique.
-Le Programme MEDAL représente l'évaluation prospective de la tolérance cardiovasculaire (CV) à partir des résultats poolés de trois études randomisées, en double-aveugle, contrôlées versus comparateur actif, que sont les études MEDAL, EDGE et EDGE II.
-L'étude MEDAL était une étude ayant comme critère d'évaluation le suivi de la sécurité CV, menée chez 17'804 patients atteints d'arthrose et 5'700 patients atteints de polyarthrite rhumatoïde (PR), traités par l'étoricoxib 60 mg (arthrose) ou 90 mg (arthrose et PR), ou le diclofénac 150 mg par jour sur une période moyenne de 20,3 mois (maximum 42,3 mois, médiane 21,3 mois). Dans cette étude à grande-échelle, seuls les événements indésirables graves et les arrêts de traitement pour événements indésirables étaient rapportés.
- +Le programme MEDAL représente l'évaluation prospective de la tolérance cardiovasculaire (CV) à partir des résultats poolés de trois études randomisées, en double-aveugle, contrôlées versus comparateur actif, que sont les études MEDAL, EDGE et EDGE II.
- +L'étude MEDAL était une étude ayant comme critère d'évaluation le suivi de la sécurité CV, menée chez 17'804 patients atteints d'arthrose et 5700 patients atteints de polyarthrite rhumatoïde (PR), traités par l'étoricoxib 60 mg (arthrose) ou 90 mg (arthrose et PR), ou le diclofénac 150 mg par jour sur une période moyenne de 20,3 mois (maximum 42,3 mois, médiane 21,3 mois). Dans cette étude à grande-échelle, seuls les événements indésirables graves et les arrêts de traitement pour événements indésirables étaient rapportés.
-Dans le Programme MEDAL poolé, 34'701 patients atteints d'arthrose ou de PR ont été traités pendant une période moyenne de 17,9 mois (maximum 42,3 mois, médiane 16,3 mois), avec environ 12'800 patients traités pendant plus de 24 mois. Les patients inclus dans le programme présentaient à l'inclusion de nombreux facteurs de risque cardiovasculaires et gastro-intestinaux. Les patients présentant un infarctus du myocarde récent, un pontage aorto-coronarien ou une intervention coronaire percutanée au cours des 6 mois précédant l'inclusion étaient exclus. L'utilisation de médicaments gastroprotecteurs et d'aspirine à faible dose était autorisée pendant les études.
- +Dans le programme MEDAL poolé, 34'701 patients atteints d'arthrose ou de PR ont été traités pendant une période moyenne de 17,9 mois (maximum 42,3 mois, médiane 16,3 mois), avec environ 12'800 patients traités pendant plus de 24 mois. Les patients inclus dans le programme présentaient à l'inclusion de nombreux facteurs de risque cardiovasculaires et gastro-intestinaux. Les patients présentant un infarctus du myocarde récent, un pontage aorto-coronarien ou une intervention coronaire percutanée au cours des 6 mois précédant l'inclusion étaient exclus. L'utilisation de médicaments gastroprotecteurs et d'aspirine à faible dose était autorisée pendant les études.
-Tableau 1: Taux des événements CV thrombotiques confirmés (Progamme MEDAL poolé)
- Etoricoxib (n= 16'819) 25'836 patient-années Diclofenac (n= 16'483) 24'766 patient-années Comparaison entre traitements
- +Tableau 1: Taux des événements CV thrombotiques confirmés (progamme MEDAL poolé)
- + Etoricoxib (n=16'819) 25'836 patient-années Diclofenac (n=16'483) 24'766 patient-années Comparaison entre traitements
-Per-protocole: tout événement survenu pendant le traitement ou dans les 14 jours suivant l'arrêt de celui-ci (ont été exclus les patients qui ont pris moins de 75% du traitement à l'étude ou qui ont pris des AINS non prévus dans le protocole pendant plus de 10% du temps).
-En intention de traiter: tous les événements confirmés jusqu'à la fin de l'étude (y compris les patients potentiellement exposés à des interventions non prévues dans l'étude suite à un arrêt du traitement). Nombre total de patients randomisés, n= 17'412 dans le groupe étoricoxib et 17'289 dans le groupe diclofénac.
- +Per-protocole: Tout événement survenu pendant le traitement ou dans les 14 jours suivant l'arrêt de celui-ci (ont été exclus les patients qui ont pris moins de 75% du traitement à l'étude ou qui ont pris des AINS non prévus dans le protocole pendant plus de 10% du temps).
- +En intention de traiter: Tous les événements confirmés jusqu'à la fin de l'étude (y compris les patients potentiellement exposés à des interventions non prévues dans l'étude suite à un arrêt du traitement). Nombre total de patients randomisés, n=17'412 dans le groupe étoricoxib et 17'289 dans le groupe diclofénac.
-Environ 50% des patients inclus dans l'étude MEDAL avaient un antécédent d'hypertension artérielle à l'inclusion. Au cours de l'étude, l'incidence des arrêts de traitement en raison d'événements indésirables dus à une hypertension artérielle a été statistiquement significativement plus élevée avec l'étoricoxib qu'avec le diclofénac. L'incidence des événements indésirables dus à une insuffisance cardiaque congestive (arrêts de traitement et événements graves) a été similaire avec l'étoricoxib 60 mg comparée au diclofénac 150 mg mais a été supérieure avec l'étoricoxib 90 mg comparée au diclofénac 150 mg (statistiquement significative pour l'étoricoxib 90 mg par rapport au diclofénac 150 mg dans le groupe de patients atteints d'arthrose de MEDAL). L'incidence des événements indésirables dus à une insuffisance cardiaque congestive confirmée (événements graves et ayant entraîné une hospitalisation ou une consultation dans un service d'urgence) n'a pas été significativement plus élevée avec l'étoricoxib qu'avec le diclofénac 150 mg, et cet effet était dose-dépendant. L'incidence des arrêts de traitement en raison d'événements indésirables dus à un oedème a été plus élevée avec l'étoricoxib qu'avec le diclofénac 150 mg et cet effet était dose-dépendant (statistiquement significatif pour l'étoricoxib 90 mg mais pas pour l'étoricoxib 60 mg).
- +Environ 50% des patients inclus dans l'étude MEDAL avaient un antécédent d'hypertension artérielle à l'inclusion. Au cours de l'étude, l'incidence des arrêts de traitement en raison d'événements indésirables dus à une hypertension artérielle a été statistiquement significativement plus élevée avec l'étoricoxib qu'avec le diclofénac. L'incidence des événements indésirables dus à une insuffisance cardiaque congestive (arrêts de traitement et événements graves) a été similaire avec l'étoricoxib 60 mg comparée au diclofénac 150 mg mais a été supérieure avec l'étoricoxib 90 mg comparée au diclofénac 150 mg (statistiquement significative pour l'étoricoxib 90 mg par rapport au diclofénac 150 mg dans le groupe de patients atteints d'arthrose de MEDAL). L'incidence des événements indésirables dus à une insuffisance cardiaque congestive confirmée (événements graves et ayant entraîné une hospitalisation ou une consultation dans un service d'urgence) n'a pas été significativement plus élevée avec l'étoricoxib qu'avec le diclofénac 150 mg, et cet effet était dose-dépendant. L'incidence des arrêts de traitement en raison d'événements indésirables dus à un œdème a été plus élevée avec l'étoricoxib qu'avec le diclofénac 150 mg et cet effet était dose-dépendant (statistiquement significatif pour l'étoricoxib 90 mg mais pas pour l'étoricoxib 60 mg).
-Dans les études individuelles du Programme MEDAL, concernant l'étoricoxib (60 mg ou 90 mg), l'incidence absolue d'arrêts de traitement dans chaque groupe de traitement était au plus de 2,6% pour l'hypertension artérielle, 1,9% pour l'oedème et 1,1% pour l'insuffisance cardiaque congestive, avec des taux d'arrêts de traitement plus élevés avec l'étoricoxib 90 mg qu'avec l'étoricoxib 60 mg.
-Résultats de tolérance gastro-intestinale du Programme MEDAL
-Un taux significativement plus faible d'arrêts de traitement pour événement clinique indésirable gastro-intestinal (par exemple, dyspepsie, douleurs abdominales, ulcère) a été observé avec l'étoricoxib comparé au diclofénac dans chacune des études individuelles composant le Programme MEDAL. Les taux d'arrêts de traitement en raison d'événements indésirables gastro-intestinaux pour 100 patient-années sur la période totale de l'étude ont été les suivants: 3,23 pour l'étoricoxib et 4,96 pour le diclofénac dans l'étude MEDAL; 9,12 pour l'étoricoxib et 12,28 pour le diclofénac dans l'étude EDGE; et 3,71 pour l'étoricoxib et 4,81 pour le diclofénac dans l'étude EDGE II.
-Résultats de sécurité gastro-intestinale du Programme MEDAL
- +Dans les études individuelles du programme MEDAL, concernant l'étoricoxib (60 mg ou 90 mg), l'incidence absolue d'arrêts de traitement dans chaque groupe de traitement était au plus de 2,6% pour l'hypertension artérielle, 1,9% pour l'œdème et 1,1% pour l'insuffisance cardiaque congestive, avec des taux d'arrêts de traitement plus élevés avec l'étoricoxib 90 mg qu'avec l'étoricoxib 60 mg.
- +Résultats de tolérance gastro-intestinale (GI) du programme MEDAL
- +Un taux significativement plus faible d'arrêts de traitement pour événement clinique indésirable gastro-intestinal (p.ex. dyspepsie, douleurs abdominales, ulcère) a été observé avec l'étoricoxib comparé au diclofénac dans chacune des études individuelles composant le programme MEDAL. Les taux d'arrêts de traitement en raison d'événements indésirables gastro-intestinaux pour 100 patient-années sur la période totale de l'étude ont été les suivants: 3,23 pour l'étoricoxib et 4,96 pour le diclofénac dans l'étude MEDAL; 9,12 pour l'étoricoxib et 12,28 pour le diclofénac dans l'étude EDGE; et 3,71 pour l'étoricoxib et 4,81 pour le diclofénac dans l'étude EDGE II.
- +Résultats de sécurité gastro-intestinale du programme MEDAL
-Les taux pour 100 patient-années d'événements indésirables digestifs hauts confirmés compliqués et non compliqués (perforations, ulcères et saignement – PUS) ont été de 0,67 (IC à 95% 0,57; 0,77) avec l'étoricoxib et 0,97 (IC à 95% 0,85; 1,10) avec le diclofénac, soit un risque relatif de 0,69 (IC à 95% 0,57; 0,83).
- +Les taux pour 100 patient-années d'événements indésirables digestifs hauts confirmés compliqués et non compliqués (perforations, ulcères et saignement [PUS]) ont été de 0,67 (IC à 95% 0,57; 0,77) avec l'étoricoxib et 0,97 (IC à 95% 0,85; 1,10) avec le diclofénac, soit un risque relatif de 0,69 (IC à 95% 0,57; 0,83).
-Résultats de sécurité hépatique du Programme MEDAL
-En ce qui concerne les arrêts de traitement en raison d'événements indésirables hépatiques, l'étoricoxib a été associé à un taux statistiquement significativement plus faible que le diclofénac. Dans le Programme MEDAL poolé, 0,3% des patients sous étoricoxib et 2,7% des patients sous diclofénac ont arrêté le traitement en raison d'événements indésirables hépatiques. Le taux pour 100 patient-années a été de 0,22 pour l'étoricoxib et de 1,84 pour le diclofénac (valeur de p <0,001 pour l'étoricoxib versus le diclofénac). Cependant, la plupart des événements indésirables hépatiques dans le Programme MEDAL n'étaient pas graves.
- +Résultats de sécurité hépatique du programme MEDAL
- +En ce qui concerne les arrêts de traitement en raison d'événements indésirables hépatiques, l'étoricoxib a été associé à un taux statistiquement significativement plus faible que le diclofénac. Dans le programme MEDAL poolé, 0,3% des patients sous étoricoxib et 2,7% des patients sous diclofénac ont arrêté le traitement en raison d'événements indésirables hépatiques. Le taux pour 100 patient-années a été de 0,22 pour l'étoricoxib et de 1,84 pour le diclofénac (valeur de p <0,001 pour l'étoricoxib versus le diclofénac). Cependant, la plupart des événements indésirables hépatiques dans le programme MEDAL n'étaient pas graves.
-Dans les études cliniques, à l'exception des études du Programme MEDAL, environ 3100 patients ont été traités par l'étoricoxib à une posologie ≥60 mg par jour, pendant 12 semaines ou plus. Aucune différence notable n'a été observée dans l'incidence des événements cardiovasculaires thrombotiques graves confirmés entre les patients recevant de l'étoricoxib à une posologie ≥60 mg, un placebo, ou des AINS autres que le naproxène. Cependant, l'incidence de ces événements a été plus élevée chez les patients recevant l'étoricoxib que chez ceux recevant le naproxène 500 mg deux fois par jour. La différence d'activité antiplaquettaire entre certains AINS inhibiteurs de la COX-1 et les inhibiteurs sélectifs de la COX-2 peut avoir une conséquence clinique chez des patients ayant un risque de réactions thromboemboliques. Les inhibiteurs de la COX-2 réduisent la formation de prostacycline systémique (et par conséquent possiblement endothéliale) sans altérer le thromboxane plaquettaire. La pertinence clinique de ces observations n'a pas été établie.
- +Dans les études cliniques, à l'exception des études du programme MEDAL, environ 3100 patients ont été traités par l'étoricoxib à une posologie ≥60 mg par jour, pendant 12 semaines ou plus. Aucune différence notable n'a été observée dans l'incidence des événements cardiovasculaires thrombotiques graves confirmés entre les patients recevant de l'étoricoxib à une posologie ≥60 mg, un placebo, ou des AINS autres que le naproxène. Cependant, l'incidence de ces événements a été plus élevée chez les patients recevant l'étoricoxib que chez ceux recevant le naproxène 500 mg deux fois par jour. La différence d'activité antiplaquettaire entre certains AINS inhibiteurs de la COX-1 et les inhibiteurs sélectifs de la COX-2 peut avoir une conséquence clinique chez des patients ayant un risque de réactions thromboemboliques. Les inhibiteurs de la COX-2 réduisent la formation de prostacycline systémique (et par conséquent possiblement endothéliale) sans altérer le thromboxane plaquettaire. La pertinence clinique de ces observations n'a pas été établie.
-L'étoricoxib administré par voie orale est bien absorbé. La biodisponibilité orale moyenne est d'environ 100%. Après administration à jeun d'une dose quotidienne de 120 mg jusqu'à l'obtention de l'état stationnaire chez l'adulte, le pic de concentration plasmatique (moyenne géométrique de Cmax = 3,6 µg/ml) a été observé au bout d'une heure environ (Tmax). La moyenne géométrique de l'aire sous la courbe (ASC0–24 h) a été de 37,8 µg × h/ml. L'étoricoxib a une pharmacocinétique linéaire à toutes les doses thérapeutiques utilisées.
- +L'étoricoxib administré par voie orale est bien absorbé. La biodisponibilité orale moyenne est d'environ 100%. Après administration à jeun d'une dose quotidienne de 120 mg jusqu'à l'obtention de l'état stationnaire chez l'adulte, le pic de concentration plasmatique (moyenne géométrique de Cmax = 3,6 µg/ml) a été observé au bout d'une heure environ (Tmax). La moyenne géométrique de l'aire sous la courbe (ASC0–24 h) a été de 37,8 µg•h /ml. L'étoricoxib a une pharmacocinétique linéaire à toutes les doses thérapeutiques utilisées.
-Dans une étude pharmacocinétique (n= 16) auprès d'adolescents de 12 à 17 ans, la pharmacocinétique observée chez des adolescents de 40 à 60 kg ayant reçu 60 mg d'étoricoxib une fois par jour et chez des adolescents de >60 kg ayant reçu 90 mg d'étoricoxib une fois par jour a été comparable à la pharmacocinétique observée chez l'adulte ayant reçu 90 mg d'étoricoxib une fois par jour. La sécurité d'emploi et l'efficacité de l'étoricoxib n'ont pas été examinées chez les patients pédiatriques (voir «Posologie/Mode d'emploi, Pédiatrie»).
- +Dans une étude pharmacocinétique (n=16) auprès d'adolescents de 12 à 17 ans, la pharmacocinétique observée chez des adolescents de 40 à 60 kg ayant reçu 60 mg d'étoricoxib une fois par jour et chez des adolescents de >60 kg ayant reçu 90 mg d'étoricoxib une fois par jour a été comparable à la pharmacocinétique observée chez l'adulte ayant reçu 90 mg d'étoricoxib une fois par jour. La sécurité d'emploi et l'efficacité de l'étoricoxib n'ont pas été examinées chez les patients pédiatriques (voir «Posologie/Mode d'emploi, Pédiatrie»).
-Les études précliniques n'ont révélé aucune propriété génotoxique ou mutagène de l'étoricoxib. L'étoricoxib ne s'est pas révélé carcinogène chez la souris. Des rats ont développé des adénomes hépatocellulaires et folliculaires thyroïdiens à des doses supérieures à 6 fois la dose thérapeutique quotidienne chez l'homme (90 mg) – sur la base d'une exposition systémique – pendant environ 2 ans. Ces types de tumeurs sont une conséquence spécifique à l'espèce, due à l'induction des enzymes hépatiques du CYP chez le rat. Ces résultats sont en accord avec les observations faites pour d'autres agents actifs associés à une telle induction. L'étoricoxib n'a pas entraîné d'induction des enzymes hépatiques du CYP chez l'homme.
- +Les études précliniques n'ont révélé aucune propriété génotoxique ou mutagène de l'étoricoxib. L'étoricoxib ne s'est pas révélé carcinogène chez la souris. Des rats ont développé des adénomes hépatocellulaires et folliculaires thyroïdiens à des doses supérieures à 6 fois la dose thérapeutique quotidienne chez l'homme [90 mg] (sur la base d'une exposition systémique) pendant environ 2 ans. Ces types de tumeurs sont une conséquence spécifique à l'espèce, due à l'induction des enzymes hépatiques du CYP chez le rat. Ces résultats sont en accord avec les observations faites pour d'autres agents actifs associés à une telle induction. L'étoricoxib n'a pas entraîné d'induction des enzymes hépatiques du CYP chez l'homme.
-L'étoricoxib n'a pas été tératogène dans les études de reproduction effectuées chez le rat à 15 mg/kg/jour (ce qui représente environ 1,5 fois la dose quotidienne chez l'homme [90 mg] sur la base d'une exposition systémique). Chez le lapin, une augmentation des malformations cardiovasculaires liée au traitement a été observée pour des niveaux d'exposition inférieurs à l'exposition clinique à la dose thérapeutique quotidienne chez l'homme (90 mg). Cependant, aucune malformation foetale externe ou du squelette liée au traitement n'a été observée. Chez le rat et le lapin, il y a eu une augmentation liée à la dose des pertes embryonnaires après la nidation pour des expositions supérieures ou égales à 1,5 fois l'exposition chez l'homme (voir «Contre-indications» et «Grossesse, Allaitement»).
- +L'étoricoxib n'a pas été tératogène dans les études de reproduction effectuées chez le rat à 15 mg/kg/jour (ce qui représente environ 1,5 fois la dose quotidienne chez l'homme [90 mg] sur la base d'une exposition systémique). Chez le lapin, une augmentation des malformations cardiovasculaires liée au traitement a été observée pour des niveaux d'exposition inférieurs à l'exposition clinique à la dose thérapeutique quotidienne chez l'homme (90 mg). Cependant, aucune malformation fœtale externe ou du squelette liée au traitement n'a été observée. Chez le rat et le lapin, il y a eu une augmentation liée à la dose des pertes embryonnaires après la nidation pour des expositions supérieures ou égales à 1,5 fois l'exposition chez l'homme (voir «Contre-indications» et «Grossesse, Allaitement»).
-68091 (Swissmedic)
- +68091 (Swissmedic).
-Etoricoxib Mylan 30 mg comprimés pelliculés: 28 [B]
-Etoricoxib Mylan 60 mg comprimés pelliculés: 7 et 28 [B]
- +Etoricoxib Viatris 30 mg, comprimés pelliculés: 28. [B]
- +Etoricoxib Viatris 60 mg, comprimés pelliculés: 7 et 28. [B]
-Viatris Pharma GmbH, 6312 Steinhausen
- +Viatris Pharma GmbH, 6312 Steinhausen.
-Février 2022.
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- +Octobre 2024.
- +[Version 103 F]
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