48 Changements de l'information professionelle Sunitinib Viatris 12.5 mg |
-Contenu de la gélule: Cellulosum microcristallinum, Mannitolum, Carmellosum natricum conexum, Povidonum, Magnesii stearas.
-L'enveloppe de la gélule: Gelatinum, Titanii dioxidum, Ferri oxidum nigrum (gélule de 25 mg et 50 mg uniquement), Ferri oxidum flavum (gélule de 25 mg et 50 mg uniquement), Ferri oxidum rubrum.
-L'encre d'impression: Lacca, Titanii dioxidum, Propylenglycolum.
- +Contenu de la gélule: cellulosum microcristallinum, mannitolum, carmellosum natricum conexum, povidonum, magnesii stearas.
- +L'enveloppe de la gélule: gelatinum, titanii dioxidum, ferri oxidum nigrum (gélule de 25 mg et 50 mg uniquement), ferri oxidum flavum (gélule de 25 mg et 50 mg uniquement), ferri oxidum rubrum.
- +L'encre d'impression: lacca, titanii dioxidum, propylenglycolum.
-Sunitinib Mylan peut être pris avec ou indépendamment des repas. Les gélules ne doivent pas être sucées, croquées ou mâchées ni ouvertes.
- +Sunitinib Viatris peut être pris avec ou indépendamment des repas. Les gélules ne doivent pas être sucées, croquées ou mâchées ni ouvertes.
-La sécurité d'emploi et l'efficacité de Sunitinib Mylan n'ont pas été suffisamment étudiées chez les patients de <18 ans. Les données actuellement disponibles sont rapportées dans les rubriques «Effets indésirables» et «Propriétés/Effets» mais aucune recommandation sur la posologie ne peut être donnée.
- +La sécurité d'emploi et l'efficacité de Sunitinib Viatris n'ont pas été suffisamment étudiées chez les patients de <18 ans. Les données actuellement disponibles sont rapportées dans les rubriques «Effets indésirables» et «Propriétés/Effets» mais aucune recommandation sur la posologie ne peut être donnée.
-Ajustement de la dose, voir «Interactions»
- +Ajustement de la dose, voir «Interactions».
-Chez les patients avec ou sans hypertension, l'utilisation d'inhibiteurs de la voie du VEGF peut favoriser la formation d'anévrismes et/ou de dissections artérielles. Avant le début du traitement par Sunitinib Mylan, il convient d'évaluer ce risque avec précaution chez les patients présentant des facteurs de risque tels que de l'hypertension ou des antécédents d'anévrisme.
- +Chez les patients avec ou sans hypertension, l'utilisation d'inhibiteurs de la voie du VEGF peut favoriser la formation d'anévrismes et/ou de dissections artérielles. Avant le début du traitement par Sunitinib Viatris, il convient d'évaluer ce risque avec précaution chez les patients présentant des facteurs de risque tels que de l'hypertension ou des antécédents d'anévrisme.
-Sous traitement par sunitinib, des convulsions ont été rapportées chez des patients présentant des métastases cérébrales documentées radiologiquement. En outre, quelques cas de convulsions (<1%), dont certains fatals, associées à des signes radiologiques d'un syndrome de leucoencéphalopathie postérieure réversible (RPLS) ont été rapportés. Les patients présentant des crises convulsives et des signes ou des symptômes suggérant un RPLS (par ex. hypertension, céphalées, diminution de l'attention, altération des fonctions mentales et perte de la vision y compris cécité corticale) doivent être placés sous surveillance médicale, notamment sous surveillance de l'hypertension. Un arrêt passager du sunitinib est recommandé. Après la disparition des troubles, la reprise du traitement pourra être laissée à l'appréciation du médecin traitant.
- +Sous traitement par sunitinib, des convulsions ont été rapportées chez des patients présentant des métastases cérébrales documentées radiologiquement. En outre, quelques cas de convulsions (<1%), dont certains fatals, associées à des signes radiologiques d'un syndrome de leucoencéphalopathie postérieure réversible (RPLS) ont été rapportés. Les patients présentant des crises convulsives et des signes ou des symptômes suggérant un RPLS (p.ex. hypertension, céphalées, diminution de l'attention, altération des fonctions mentales et perte de la vision y compris cécité corticale) doivent être placés sous surveillance médicale, notamment sous surveillance de l'hypertension. Un arrêt passager du sunitinib est recommandé. Après la disparition des troubles, la reprise du traitement pourra être laissée à l'appréciation du médecin traitant.
-Foie
- +Hépatotoxicité
- +Encéphalopathie hyperammoniémique
- +Une encéphalopathie hyperammoniémique a été observée avec sunitinib (voir «Effets indésirables»). Le taux d'ammoniaque doit être mesuré et une prise en charge clinique appropriée doit être mise en place chez les patients présentant une léthargie inexpliquée ou des changements dans leur état mental.
-Affections musculo-squelettiques et systémiques
- +Affections musculosquelettiques et systémiques
-Quelques rares cas de pyoderma gangraenosum généralement réversibles à l'arrêt du médicament ont été rapportés. Des rares cas de réactions cutanées sévères ont été rapportés, notamment des cas d'érythème polymorphe (EP) et des cas suggérant un syndrome de Stevens-Johnson (SSJ, dont certains cas d'issue fatale) ou une nécrolyse épidermique toxique (NET). En cas d'apparition de signes ou de symptômes de SSJ, de NET ou d'EP (par ex. rash cutané évolutive, souvent accompagné d'ampoules ou de lésions muqueuses), le traitement par sunitinib doit être interrompu. Si le diagnostic de SSJ ou de NET est confirmé, le traitement ne doit pas être réintroduit. Dans certains cas de suspicion d'EP, la réintroduction du sunitinib à dose plus faible après la disparition de la réaction a été bien tolérée. Certains de ces patients ont également reçu un traitement concomitante par corticostéroïdes ou antihistaminiques.
- +Quelques rares cas de pyoderma gangraenosum généralement réversibles à l'arrêt du médicament ont été rapportés. Des rares cas de réactions cutanées sévères ont été rapportés, notamment des cas d'érythème polymorphe (EP) et des cas suggérant un syndrome de Stevens-Johnson (SSJ, dont certains cas d'issue fatale) ou une nécrolyse épidermique toxique (NET). En cas d'apparition de signes ou de symptômes de SSJ, de NET ou d'EP (p.ex. rash cutané évolutive, souvent accompagné d'ampoules ou de lésions muqueuses), le traitement par sunitinib doit être interrompu. Si le diagnostic de SSJ ou de NET est confirmé, le traitement ne doit pas être réintroduit. Dans certains cas de suspicion d'EP, la réintroduction du sunitinib à dose plus faible après la disparition de la réaction a été bien tolérée. Certains de ces patients ont également reçu un traitement concomitant par corticostéroïdes ou antihistaminiques.
-L'administration d'une dose unique de sunitinib simultanément à du kétoconazole, un inhibiteur du CYP3A4, a provoqué chez les volontaires sains une augmentation de la Cmax du sunitinib de 59% et de son AUC0-∞ de 74%. L'administration concomitante de sunitinib et d'autres inhibiteurs du CYP3A4 tels que l'itraconazole, le voriconazole, l'érythromycine, la clarithromycine, les inhibiteurs de la protéase, la cimétidine, le diltiazem, les antidépresseurs (par ex. sertraline, paroxétine, venlafaxine) et le jus de pamplemousse pourrait également augmenter les concentrations de sunitinib et doit donc être évitée. Si une telle comédication s'avère nécessaire, la dose de Sunitinib Mylan sera réduite respectivement à 37.5 mg (GIST et RCC) et à 25 mg (pancreatic NET).
- +L'administration d'une dose unique de sunitinib simultanément à du kétoconazole, un inhibiteur du CYP3A4, a provoqué chez les volontaires sains une augmentation de la Cmax du sunitinib de 59% et de son AUC0-∞ de 74%. L'administration concomitante de sunitinib et d'autres inhibiteurs du CYP3A4 tels que l'itraconazole, le voriconazole, l'érythromycine, la clarithromycine, les inhibiteurs de la protéase, la cimétidine, le diltiazem, les antidépresseurs (p.ex. sertraline, paroxétine, venlafaxine) et le jus de pamplemousse pourrait également augmenter les concentrations de sunitinib et doit donc être évitée. Si une telle comédication s'avère nécessaire, la dose de Sunitinib Viatris sera réduite respectivement à 37.5 mg (GIST et RCC) et à 25 mg (pancreatic NET).
-L'administration d'une dose unique de sunitinib simultanément à de la rifampicine, un inducteur du CYP3A4, a provoqué chez des volontaires sains une baisse de la Cmax du sunitinib de plus de 56% et de son AUC0-∞ de 78%. L'administration concomitante de sunitinib et de rifampicine ou d'autres inducteurs du CYP3A4 comme la dexaméthasone, la phénytoïne, la carbamazépine, le phénobarbital ou les produits à base de millepertuis (Hypericum perforatum) pourrait annuler l'effet du sunitinib et doit donc être évitée. Si une telle comédication s'avère nécessaire, la dose de Sunitinib Mylan sera augmentée par paliers de 12.5 mg jusqu'à respectivement 75 mg (GIST et RCC) et 62.5 mg (pancreatic NET) après évaluation soigneuse du rapport bénéfice/risque. La dose de Sunitinib Mylan sera réduite lors de l'arrêt de la comédication.
- +L'administration d'une dose unique de sunitinib simultanément à de la rifampicine, un inducteur du CYP3A4, a provoqué chez des volontaires sains une baisse de la Cmax du sunitinib de plus de 56% et de son AUC0-∞ de 78%. L'administration concomitante de sunitinib et de rifampicine ou d'autres inducteurs du CYP3A4 comme la dexaméthasone, la phénytoïne, la carbamazépine, le phénobarbital ou les produits à base de millepertuis (Hypericum perforatum) pourrait annuler l'effet du sunitinib et doit donc être évitée. Si une telle comédication s'avère nécessaire, la dose de Sunitinib Viatris sera augmentée par paliers de 12.5 mg jusqu'à respectivement 75 mg (GIST et RCC) et 62.5 mg (pancreatic NET) après évaluation soigneuse du rapport bénéfice/risque. La dose de Sunitinib Viatris sera réduite lors de l'arrêt de la comédication.
-La prudence est de rigueur lors de l'association de Sunitinib Mylan et d'autres médicaments présentant un potentiel proarythmique, tels que quinidine, disopyramide, sotalol, halopéridol, rispéridone, indapamide et flécaïnide.
- +La prudence est de rigueur lors de l'association de Sunitinib Viatris et d'autres médicaments présentant un potentiel proarythmique, tels que quinidine, disopyramide, sotalol, halopéridol, rispéridone, indapamide et flécaïnide.
-Les effets indésirables suivants proviennent d'études cliniques menées chez plus de 7'000 patients (RCC, GIST, pancreatic NET) ainsi que de l'expérience post-marketing.
-Les effets indésirables graves les plus importants (dans certains cas d'évolution fatale) sous traitement par le sunitinib sont: infections, insuffisance cardiaque, hémorragies (par ex. des voies respiratoires, du tractus gastro-intestinal, des tumeurs, des voies urinaires ou du cerveau), embolie pulmonaire, perforation gastro-intestinale, insuffisance hépatique, insuffisance rénale et fistule. Une torsade de pointes est apparue chez un patient.
-Les effets indésirables les plus fréquents sont: fatigue, affections gastro-intestinales (par ex. diarrhée, nausée, stomatite, dyspepsie et vomissements), infections, appétit diminué, dysgueusie, hypertension, érythrodysesthésie palmo-plantaire, inflammation muqueuse, altération de la couleur cutanée, œdème, rash.
- +Les effets indésirables suivants proviennent d'études cliniques menées chez plus de 7000 patients (RCC, GIST, pancreatic NET) ainsi que de l'expérience post-marketing.
- +Les effets indésirables graves les plus importants (dans certains cas d'évolution fatale) sous traitement par le sunitinib sont: infections, insuffisance cardiaque, hémorragies (p.ex. des voies respiratoires, du tractus gastro-intestinal, des tumeurs, des voies urinaires ou du cerveau), embolie pulmonaire, perforation gastro-intestinale, insuffisance hépatique, insuffisance rénale et fistule. Une torsade de pointes est apparue chez un patient.
- +Les effets indésirables les plus fréquents sont: fatigue, affections gastro-intestinales (p.ex. diarrhée, nausée, stomatite, dyspepsie et vomissements), infections, appétit diminué, dysgueusie, hypertension, érythrodysesthésie palmo-plantaire, inflammation muqueuse, altération de la couleur cutanée, œdème, rash.
-Les effets indésirables apparus au cours des programmes d'études cliniques RCC, GIST et pancreatic NET (en monothérapie) sont répertoriées ci-dessous, indépendamment de leur cause, selon les classes d'organes et la fréquence, en tenant compte des définitions suivantes: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 à <1/10), «occasionnels» (≥1/1'000 à <1/100), «rares» (≥1/10'000 à <1/1'000), «très rares» (<1/10'000).
- +Les effets indésirables apparus au cours des programmes d'études cliniques RCC, GIST et pancreatic NET (en monothérapie) sont répertoriées ci-dessous, indépendamment de leur cause, selon les classes d'organes et la fréquence, en tenant compte des définitions suivantes: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 à <1/10), «occasionnels» (≥1/1000 à <1/100), «rares» (≥1/10'000 à <1/1000), «très rares» (<1/10'000).
-Très fréquents: Infections graves (41.5%, 7.4% de grade 3, 1.2% de grade 4, avec ou sans neutropénie), dans quelques cas d'évolution fatale. Les infections le plus fréquemment observées étaient similaires à celles qu'on observe typiquement chez les patients atteints d'un cancer, par ex. des infections respiratoires (par ex. pneumonie, bronchite), urinaires, cutanées (par ex. cellulite), des abcès (par ex. oraux, génitaux, ano-rectaux, cutanés, des extrémités, viscéraux) et une septicémie/un choc septique. Les infections peuvent être bactériennes (par ex. intra-abdominales, ostéomyélite), virales (par ex. nasopharyngite, herpès oral) ou fongiques (par ex. candidose orale ou œsophagienne).
- +Très fréquents: infections graves (41.5%, 7.4% de grade 3, 1.2% de grade 4, avec ou sans neutropénie), dans quelques cas d'évolution fatale. Les infections le plus fréquemment observées étaient similaires à celles qu'on observe typiquement chez les patients atteints d'un cancer, p.ex. des infections respiratoires (p.ex. pneumonie, bronchite), urinaires, cutanées (p.ex. cellulite), des abcès (p.ex. oraux, génitaux, ano-rectaux, cutanés, des extrémités, viscéraux) et une septicémie/un choc septique. Les infections peuvent être bactériennes (p.ex. intra-abdominales, ostéomyélite), virales (p.ex. nasopharyngite, herpès oral) ou fongiques (p.ex. candidose orale ou œsophagienne).
-Expérience post-marketing: cas d'agueusie.
- +Expérience post-marketing: cas d'agueusie et d'encéphalopathie hyperammoniémique.
-Occasionnels: créatinine phosphokinase sanguine augmentée, ostéonécrose de la mâchoire (ONJ). (La plupart de ces patients présentaient des facteurs de risque d'ONJ, notamment une exposition à des bisphosphonates par voie i.v. et/ou des antécédents d'affections dentaires qui avaient nécessité une intervention dentaire invasive (voir «Mises en garde et précautions»), fistule (y compris des cas d'évolution fatale).
-Rares: cas de myopathie et/ou de rhabdomyolyse, dans certains cas associés à une insuffisance rénale aiguë, dans certains cas d'évolution fatale. (La plupart de ces patients présentaient des facteurs de risque préexistants et/ou recevaient une médication associée mise en rapport avec ces effets indésirables.)
- +Occasionnels: créatinine phosphokinase sanguine augmentée, ostéonécrose de la mâchoire (ONJ; la plupart de ces patients présentaient des facteurs de risque d'ONJ, notamment une exposition à des bisphosphonates par voie i.v. et/ou des antécédents d'affections dentaires qui avaient nécessité une intervention dentaire invasive (voir «Mises en garde et précautions»)), fistule (y compris des cas d'évolution fatale).
- +Rares: cas de myopathie et/ou de rhabdomyolyse, dans certains cas associés à une insuffisance rénale aiguë, dans certains cas d'évolution fatale (la plupart de ces patients présentaient des facteurs de risque préexistants et/ou recevaient une médication associée mise en rapport avec ces effets indésirables.)
-La sécurité à long terme du sunitinib chez les patients atteints d'un RCC métastatique a été analysée dans plusieurs études cliniques. L'analyse finale a pris en compte 5'739 patients, parmi lesquels 807 (14%) avaient reçu le traitement pendant ≥2 à 6 ans. La prolongation du traitement par sunitinib n'était pas associée à des effets indésirables liés au traitement d'un nouveau type ou plus sévères et, sauf en cas d'hypothyroïdie, la toxicité n'était pas cumulative.
- +La sécurité à long terme du sunitinib chez les patients atteints d'un RCC métastatique a été analysée dans plusieurs études cliniques. L'analyse finale a pris en compte 5739 patients, parmi lesquels 807 (14%) avaient reçu le traitement pendant ≥2 à 6 ans. La prolongation du traitement par sunitinib n'était pas associée à des effets indésirables liés au traitement d'un nouveau type ou plus sévères et, sauf en cas d'hypothyroïdie, la toxicité n'était pas cumulative.
-La liaison aux protéines plasmatiques est de 95% pour le sunitinib et de 90% pour son métabolite primaire actif. Le sunitinib a un grand volume apparent de distribution (V/F) de 2'230 l. Aucune donnée concernant le passage dans le liquide céphalo-rachidien n'est disponible.
- +La liaison aux protéines plasmatiques est de 95% pour le sunitinib et de 90% pour son métabolite primaire actif. Le sunitinib a un grand volume apparent de distribution (V/F) de 2230 l. Aucune donnée concernant le passage dans le liquide céphalo-rachidien n'est disponible.
-Le potentiel carcinogène du sunitinib a été étudié chez des souris transgéniques rasH2. Des carcinomes gastroduodénaux, une augmentation de l'incidence des hémangiosarcomes de la rate et de l'utérus et/ou des hyperplasies de la muqueuse gastrique ont été observés à des doses orales ≥25 mg/kg/j après une durée d'un ou de six mois (7.3 fois l'AUC (aire sous la courbe, area under the curve) chez les patients auxquels la dose quotidienne recommandée de 50 mg a été administrée). Aucune modification proliférative n'a été observée chez les souris transgéniques rasH2 à la posologie de 8 mg/kg/j (0.7 fois l' AUC chez les patients auxquels la dose quotidienne recommandée a été administrée).
- +Le potentiel carcinogène du sunitinib a été étudié chez des souris transgéniques rasH2. Des carcinomes gastroduodénaux, une augmentation de l'incidence des hémangiosarcomes de la rate et de l'utérus et/ou des hyperplasies de la muqueuse gastrique ont été observés à des doses orales ≥25 mg/kg/j après une durée d'un ou de six mois (7.3 fois l'AUC (aire sous la courbe, area under the curve) chez les patients auxquels la dose quotidienne recommandée de 50 mg a été administrée). Aucune modification proliférative n'a été observée chez les souris transgéniques rasH2 à la posologie de 8 mg/kg/j (0.7 fois l'AUC chez les patients auxquels la dose quotidienne recommandée a été administrée).
-Ne pas conserver au dessus de 25 °C.
- +Ne pas conserver au-dessus de 25 °C.
-Sunitinib Mylan gélules à 12.5 mg: 28. [A]
-Sunitinib Mylan gélules à 25 mg: 28. [A]
-Sunitinib Mylan gélules à 50 mg: 28. [A]
- +Sunitinib Viatris gélules à 12.5 mg: 28. [A]
- +Sunitinib Viatris gélules à 25 mg: 28. [A]
- +Sunitinib Viatris gélules à 50 mg: 28. [A]
-Viatris Pharma GmbH, 6312 Steinhausen
- +Viatris Pharma GmbH, 6312 Steinhausen.
-Mai 2021
- +Juillet 2024.
- +[Version 103 F]
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