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Accueil - Information professionnelle sur Pemazyre 4,5 mg - Changements - 14.12.2022
38 Changements de l'information professionelle Pemazyre 4,5 mg
  • -Les recommandations pour la prise en charge de l’hyperphosphatémie comprennent la restriction du phosphate alimentaire, l’administration d’un traitement hypophosphatémiant et la modification de la dose, si nécessaire (voir la rubrique «Posologie/Mode d’emploi»). Un traitement hypophosphatémiant a été utilisé par 28,5 % des patients au cours du traitement par le pemigatinib (voir la rubrique «Effets indésirables»).
  • +Les recommandations pour la prise en charge de l’hyperphosphatémie comprennent la restriction du phosphate alimentaire, l’administration d’un traitement hypophosphatémiant et la modification de la dose, si nécessaire (voir la rubrique «Posologie/Mode d’emploi»). Un traitement hypophosphatémiant a été utilisé par 19% des patients au cours du traitement par le pemigatinib (voir la rubrique «Effets indésirables»).
  • -Les effets indésirables les plus fréquents identifiés sur 147 patients participant à l’étude FIGHT-202 et qui ont reçu au moins une dose de pemigatinib étaient l’hyperphosphatémie (60,5%), l’alopécie (49,7%), la diarrhée (46,9%), la toxicité unguéale (44,9%), la fatigue (43,5%), les nausées (41,5%), la dysgueusie (40,8%), la stomatite (37,4%), la constipation (36,7%), la sécheresse buccale (34,0%), la sécheresse oculaire (27,9%), l’arthralgie (25,9%), l’hypophosphatémie (23,1%), la sécheresse cutanée (21,8%) et le syndrome d’érythrodysesthésie palmo-plantaire (16,3%).
  • +Les effets indésirables les plus fréquents identifiés sur 147 patients participant à l’étude FIGHT-202 et qui ont reçu au moins une dose de pemigatinib étaient l’hyperphosphatémie (60,5%), l’alopécie (49,7%), la diarrhée (47,6%), la toxicité unguéale (44,9%), la fatigue (43,5%), les nausées (41,5%), la stomatite (38,1%), la constipation (36,7%), la dysgueusie (36,1%), la sécheresse buccale (34,0%), l’arthralgie (29,9%), la sécheresse oculaire (27,9%), l’hypophosphatémie (23,8%), la sécheresse cutanée (21,8%) et le syndrome d’érythrodysesthésie palmo-plantaire (16,3%).
  • -List des effets indésirables
  • +Liste des effets indésirables
  • -Très fréquent: Hyperphosphatémiea (60,5%), Hypophosphatémieb (23,1%), Hyponatrémie (10,9%)
  • +Très fréquent: Hyperphosphatémiea (60,5%), Hypophosphatémieb (23,8%), Hyponatrémie (10,9%)
  • -Très fréquent: Dysgueusie (40,8%)
  • +Très fréquent: Dysgueusie (36,1%)
  • -Très fréquent: Diarrhée (46,9%), Nausées (41,5%), Stomatite (37,4%), Constipation (36,7%), Sécheresse buccale (34%)
  • +Très fréquent: Diarrhée (47,6%), Nausées (41,5%), Stomatite (38,1%), Constipation (36,7%), Sécheresse buccale (34,0%)
  • -Très fréquent : Arthralgie (25,9%)
  • +Très fréquent : Arthralgie (29,9%)
  • -Une hyperphosphatémie a été rapportée chez 60,5% de tous les patients traités par le pemigatinib. Une hyperphosphatémie supérieure à 7 mg/dl et 10 mg/dl a été observée respectivement chez 27% et 0% des patients. L’hyperphosphatémie se développe généralement dans les 15 premiers jours.
  • +Une hyperphosphatémie a été rapportée chez 60,5% de tous les patients traités par le pemigatinib. Une hyperphosphatémie supérieure à 7 mg/dl et 10 mg/dl a été observée respectivement chez 27,2% et 0,7% des patients. L’hyperphosphatémie se développe généralement dans les 15 premiers jours.
  • -Les réactions d’hypophosphatémie étaient de grade ≥ 3 chez 12,3% des participants. Aucun des événements n’était grave, n’a entraîné l’arrêt du traitement ou une réduction de la dose. Une interruption de l'administration a eu lieu chez 1,4% des participants.
  • +Les réactions d’hypophosphatémie étaient de grade ≥ 3 chez 14,3% des participants. Aucun des événements n’était grave, n’a entraîné l’arrêt du traitement ou une réduction de la dose. Une interruption de l'administration a eu lieu chez 1,4% des participants.
  • -Un décollement séreux rétinien est survenu chez 4,8% de tous les patients traités par pemigatinib. Les réactions étaient en général d’une sévérité de grade 1 ou 2 (3,4 %); les réactions de grade ≥ 3 et les réactions graves incluaient le décollement de la rétine chez 1 patient (0,7%). Deux effets indésirables de décollement de la rétine (0,7%) et de décollement de l’épithélium pigmentaire de la rétine (0,7%) ont entraîné une interruption de l’administration. Aucun des effets n’a entraîné de réduction de la dose ou d’arrêt du traitement.
  • +Un décollement séreux rétinien est survenu chez 4,8% de tous les patients traités par pemigatinib. Les réactions étaient en général d’une sévérité de grade 1 ou 2 (4,1%); les réactions de grade ≥ 3 et les réactions graves incluaient le décollement de la rétine chez 1 patient (0,7%). Deux effets indésirables de décollement de la rétine (0,7%) et de décollement de l’épithélium pigmentaire de la rétine (0,7%) ont entraîné une interruption de l’administration. Aucun des effets n’a entraîné de réduction de la dose ou d’arrêt du traitement.
  • -Une augmentation par rapport à la valeur initiale des taux moyens de créatinine d'environ 16 μmol / L s'est produite aux jours 8 et 15 du 1er cycle. Ces taux plus élevés sont généralement revenus proches de la valeur initiale au jour 1 du cycle 2. Des valeurs de créatinine supérieures à la normale se sont produites chez 13% des patients au départ, ont augmenté à 33,6% le jour 15 du cycle 1 et ont été observées chez environ 20% à 30% des participants le jour 1 des cycles suivants.
  • +Une augmentation par rapport à la valeur initiale des taux moyens de créatinine d'environ 16 μmol / L s'est produite aux jours 8 et 15 du 1er cycle. Ces taux plus élevés sont généralement revenus proches de la valeur initiale au jour 1 du cycle 2. Des valeurs de créatinine supérieures à la normale se sont produites chez 12,9% des patients au départ, ont augmenté à 34,0% le jour 15 du cycle 1 et ont été observées chez environ 20% à 30% des participants le jour 1 des cycles suivants.
  • -L’étude FIGHT-202 était une étude multicentrique, en ouvert, à bras unique, visant à évaluer l’efficacité et la sécurité d’emploi de PEMAZYRE chez des patients précédemment traités atteints d’un cholangiocarcinome localement avancé/métastatique ou chirurgicalement non résécable. La population d’efficacité est composée de 108 patients (105 patients atteints d’une maladie intrahépatique) ayant enregistré une progression de la maladie après au moins 1 traitement antérieur et qui présentaient une fusion ou un réarrangement du FGFR2, tel que déterminé par le test effectué dans un laboratoire central.
  • +L’étude FIGHT-202 était une étude multicentrique, en ouvert, à bras unique, visant à évaluer l’efficacité et la sécurité d’emploi de PEMAZYRE chez des patients précédemment traités atteints d’un cholangiocarcinome localement avancé/métastatique ou chirurgicalement non résécable. La population d’efficacité est composée de 108 patients (107 patients atteints d’une maladie intrahépatique) ayant enregistré une progression de la maladie après au moins 1 traitement antérieur et qui présentaient une fusion ou un réarrangement du FGFR2, tel que déterminé par le test effectué dans un laboratoire central.
  • -L’âge médian était de 56 ans (tranche d’âge: 26 à 77 ans), 31,5% étaient âgés de ≥ 65 ans, 60,7 % étaient des femmes et 73,8% étaient de race blanche. Nonante-huit pour cent (98%) des patients avaient un cholangiocarcinome intrahépatique. Quatre-vingt-six pour cent (86%) des patients avaient des fusions du gène FGFR2 et le plus souvent la fusion de FGFR2 identifiée était FGFR2-BICC1 (34%). Quatorze pour cent (14%) des patients avaient d'autres réarrangements FGFR2 dont la fusion de FGFR2 ne peut être prédite avec certitude. La plupart (95,4%) des patients avaient un indice fonctionnel ECOG (Eastern Cooperative Oncology Group) de 0 (42,1%) ou 1 (53,3%). Tous les patients avaient reçu au moins 1 ligne de traitement systémique antérieure, 27,1% avaient reçu 2 lignes de traitement antérieures et 12,1% avaient reçu 3 lignes de traitement antérieures ou plus. Quatre-vingt-seize pour cent des patients avaient déjà reçu un traitement à base de platine, dont 76 % avec un traitement antérieur par gemcitabine/cisplatine.
  • +L’âge médian était de 55,5 ans (tranche d’âge: 26 à 77 ans), 23,1% étaient âgés de ≥ 65 ans, 61,1 % étaient des femmes et 73,1% étaient de race blanche. Nonante-huit pour cent (98%) des patients avaient un cholangiocarcinome intrahépatique. Cinquantesix pour cent (56%) des patients avaient des fusions du gène FGFR2 et le plus souvent la fusion de FGFR2 identifiée était FGFR2-BICC1 (29,6%). Cinq pour cent (5%) des patients avaient d'autres réarrangements FGFR2 dont la fusion de FGFR2 ne peut être prédite avec certitude. La plupart (95,4%) des patients avaient un indice fonctionnel ECOG (Eastern Cooperative Oncology Group) de 0 (42,6%) ou 1 (52,8%). Tous les patients avaient reçu au moins 1 ligne de traitement systémique antérieure, 27,8% avaient reçu 2 lignes de traitement antérieures et 12,0% avaient reçu 3 lignes de traitement antérieures ou plus. Quatre-vingt-seize pour cent (96%) des patients avaient déjà reçu un traitement à base de platine, dont 78% avec un traitement antérieur par gemcitabine/cisplatine.
  • -Le délai médian de réponse était de 2,7 mois (intervalle: 0,7 - 6,9 mois).
  • +Le délai médian de réponse était de 2,69 mois (intervalle: 0,7 - 16,6 mois).
  • -Réponse complète (N) 3,7% (4)
  • -Réponse partielle (N) 33,3% (36)
  • -Durée médiane de la réponse (mois) (IC à 95%)a 8,08 (5,65; 13,14)
  • +Réponse complète (N) 2,8% (3)
  • +Réponse partielle (N) 34,3% (37)
  • +Durée médiane de la réponse (mois) (IC à 95%)a 9,13 (6,01; 14,49)
  • -6 mois 66,0 (48,0; 79,1)
  • -9 mois 47,6 (30,2; 63,1)
  • -12 mois 37,5 (21,3; 53,7)
  • +6 mois 67,8 (50,4; 80,3)
  • +9 mois 50,5 (33,3; 65,4)
  • +12 mois 41,2 (24,8; 56,8)
  • -SG médiane (mois) (IC à 95%) 17,48 (14,42; 22,93)
  • +SG médiane (mois) (IC à 95%) 17,48 (14,36; 22,93)
  • -Dans l’étude clinique sur le pemigatinib, 31,5% des patients étaient âgés de 65 ans et plus, et 7,5% des patients étaient âgés de 75 ans et plus. Aucune différence de réponse d’efficacité n’a été détectée entre ces patients et les patients âgés de < 65 ans.
  • +Dans l’étude clinique sur le pemigatinib, 23,1% des patients étaient âgés de 65 ans et plus, et 4,6% des patients étaient âgés de 75 ans et plus. Aucune différence de réponse d’efficacité n’a été détectée entre ces patients et les patients âgés de < 65 ans.
  • -Juin 2021
  • +Novembre 2022
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