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Accueil - Information professionnelle sur Eplerenon Xiromed 25 mg - Changements - 01.09.2021
22 Changements de l'information professionelle Eplerenon Xiromed 25 mg
  • -Zusammensetzung
  • -Wirkstoffe
  • +Composition
  • +Principes actifs
  • -Hilfsstoffe
  • -Filmtablette zu 25 mg Eplerenon: Lactosum monohydricum (36.92 mg), cellulosum microcristallinum (E460), carmellosum natricum conexum (E468), hypromellosum (E464), natrii laurilsulfas (E487), talcum (E553b), magnesii stearas (E470b), titanii dioxidum (E171), macrogolum 4000 (E1521).
  • -Eine 25 mg Filmtablette enthält 36.92 mg Lactose und 0.43 mg Natrium.
  • -Filmtablette zu 50 mg Eplerenon: Lactosum monohydricum (73.85 mg), cellulosum microcristallinum (E460), carmellosum natricum conexum (E468), hypromellosum (E464), natrii laurilsulfas (E487), talcum (E553b), magnesii stearas (E470b), titanii dioxidum (E171), macrogolum 4000 (E1521).
  • -Eine 50 mg Filmtablette enthält 73.85 mg Lactose und 0.86 mg Natrium.
  • +Excipients
  • +Comprimé pelliculé à 25 mg d’éplérénone: Lactosum monohydricum (36.92 mg), cellulosum microcristallinum (E460), carmellosum natricum conexum (E468), hypromellosum (E464), natrii laurilsulfas (E487), talcum (E553b), magnesii stearas (E470b), titanii dioxidum (E171), macrogolum 4000 (E1521).
  • +Un comprimé pelliculé à 25 mg contient 36.92 mg de lactose et 0.43 mg de sodium.
  • +Comprimé pelliculé à 50 mg d’éplérénone: Lactosum monohydricum (73.85 mg), cellulosum microcristallinum (E460), carmellosum natricum conexum (E468), hypromellosum (E464), natrii laurilsulfas (E487), talcum (E553b), magnesii stearas (E470b), titanii dioxidum (E171), macrogolum 4000 (E1521).
  • +Un comprimé pelliculé à 50 mg contient 73.85 mg de lactose et 0.86 mg de sodium.
  • -Indikationen/Anwendungsmöglichkeiten
  • -Eplerenon ist indiziert:
  • -§zusätzlich zu einer Standardtherapie, welche Betablocker einschliesst, zur Verringerung des Risikos der kardiovaskulären Mortalität und Morbidität bei stabilen Patienten mit linksventrikulärer Dysfunktion (LVEF ≤40%) und klinischen Zeichen einer Herzinsuffizienz nach kürzlich aufgetretenem Myokardinfarkt;
  • -§zusätzlich zu einer optimalen Standardtherapie zur Verringerung des Risikos kardiovaskulär bedingter Mortalität und Morbidität bei Patienten mit (chronischer) Herzinsuffizienz der NYHA-Klasse II und linksventrikulärer systolischer Dysfunktion (LVEF ≤30%) (siehe «Eigenschaften/Wirkungen»).
  • -Dosierung/Anwendung
  • -Eplerenon kann unabhängig von den Mahlzeiten eingenommen werden. Zur individuellen Dosisanpassung stehen die Dosierungen 25 mg und 50 mg zur Verfügung, die Einnahme erfolgt einmal täglich. Die Tageshöchstdosis kann 25 mg oder 50 mg betragen (siehe «Spezielle Dosierungsanweisungen»).
  • -Ãœbliche Dosierung
  • -Bei Patienten mit einem Serumkaliumwert über 5.0 mmol/l oder einer eGFR <30 ml/min/1.73 m2 darf keine Behandlung mit Eplerenon begonnen werden (siehe «Kontraindikationen»).
  • -Die Serumkaliumwerte müssen vor Beginn der Therapie mit Eplerenon, innerhalb der ersten Behandlungswoche, des ersten Monats nach Therapiebeginn sowie jeweils nach einer Dosisanpassung bestimmt werden. Danach müssen die Kaliumwerte je nach Bedarf in regelmässigen Abständen kontrolliert werden. Dies gilt vor allem für ältere Patienten, Patienten mit Diabetes mellitus und Patienten mit eingeschränkter Nierenfunktion.
  • -Die Dosierung von Eplerenon muss jeweils in Abhängigkeit des Serum-Kaliums überprüft werden (siehe Tabelle 1).
  • -Ãœbliche Dosierung bei Patienten mit einer eGFR ≥50 ml/min/1.73 m2
  • -Patienten mit Herzinsuffizienz der Klasse NYHA II sowie Patienten mit Herzinsuffizienz nach Myokardinfarkt, welche Serum-Kalium von ≤5 mmol/l aufweisen, sollen eine Anfangsdosis von 25 mg, verabreicht 1x täglich, erhalten. In Abhängigkeit des Serum-Kaliums (siehe Tabelle 1) soll die Dosis innerhalb von 4 Wochen nach Therapiebeginn auf die Zieldosis von 50 mg, verabreicht 1x täglich, erhöht werden.
  • -Die maximale Dosis für diese Patienten beträgt 50 mg/Tag.
  • -Bei Patienten nach Myokardinfarkt sollte die Therapie 3-14 Tage nach dem Ereignis begonnen werden.
  • -Spezielle Dosierungsanweisungen
  • -Patienten mit Leberfunktionsstörungen
  • -Bei Patienten mit leichter bis mittelstarker Leberinsuffizienz ist keine Anpassung der Anfangsdosis erforderlich. Da es jedoch bei Patienten mit leichter bis mittelstarker Leberinsuffizienz zu einer erhöhten systemischen Wirkstoffbelastung mit Eplerenon kommt, wird eine häufige und regelmässige Kontrolle der Serumkaliumwerte empfohlen, insbesondere bei älteren Patienten (siehe «Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen»).
  • -Die Anwendung von Eplerenon bei Patienten mit schwerer Leberinsuffizienz (Child-Pugh C) ist kontraindiziert (siehe «Kontraindikationen»).
  • -Tabelle 1: Dosisanpassung nach Behandlungsbeginn
  • -Serumkaliumwerte (mmol/l) Änderung der Dosierung Dosisanpassung
  • -<5.0 Erhöhung Von Behandlungspause auf 25 mg jeden 2. Tag. Von 25 mg jeden 2. Tag auf 25 mg 1x täglich. Von 25 mg einmal täglich auf 50 mg 1x täglich, ausser bei: Patienten mit einer eGFR von 30-49 ml/min/1.73 m2 Patienten, welche einen schwachen bis mittelstarken CYP3A4-Inhibitor einnehmen.
  • -5.0–5.4 Keine Keine Veränderung.
  • -5.5–5.9 Verringerung Von 50 mg 1x täglich auf 25 mg 1x täglich. Von 25 mg 1x täglich auf 25 mg jeden 2. Tag. Von 25 mg jeden 2. Tag auf Behandlungspause.
  • -≥6.0 Behandlungspause Mit 25 mg jeden 2. Tag wieder beginnen, wenn Kalium <5.0 mmol/l.
  • +Indications/Possibilités d’emploi
  • +L’éplérénone est indiquée:
  • +§en complément à un traitement standard incluant des bêtabloquants, pour réduire le risque de mortalité et de morbidité cardiovasculaires chez le patient stable présentant une dysfonction ventriculaire gauche (FEVG ≤40%) et des signes cliniques d’insuffisance cardiaque après un infarctus du myocarde récent;
  • +§en complément à un traitement standard optimal pour réduire le risque de mortalité et de morbidité d’origine cardiovasculaire chez le patient atteint d’insuffisance cardiaque (chronique) de classe II selon la NYHA et de dysfonction ventriculaire gauche systolique (FEVG ≤30%) (voir «Propriétés/Effets»).
  • +Posologie/Mode d’emploi
  • +L’éplérénone peut être prise indépendamment des repas. Les doses de 25 mg et 50 mg sont disponibles pour adapter la posologie individuelle. Il convient de prendre une dose par jour. La dose maximale journalière est de 25 mg ou 50 mg (voir «Instructions posologiques particulières»).
  • +Posologie usuelle
  • +Un traitement par éplérénone ne doit pas être instauré chez les patients présentant une kaliémie supérieure à 5.0 mmol/l ou un TFGe (taux de filtration glomérulaire estimé) <30 ml/min/1.73 m2 (voir «Contre-indications»).
  • +La kaliémie doit être mesurée avant l’initiation du traitement par éplérénone, pendant la première semaine de traitement, le premier mois après le début du traitement ainsi qu’après chaque ajustement de la posologie. Par la suite, la kaliémie sera contrôlée périodiquement selon les besoins. Cela s’applique surtout aux patients âgés, aux patients diabétiques et aux patients présentant une altération de la fonction rénale.
  • +La posologie de l’éplérénone doit être toujours vérifiée en fonction du potassium sérique (voir Tableau 1).
  • +Posologie usuelle chez les patients présentant un TFGe ≥50 ml/min/1.73 m2
  • +Les patients atteints d’une insuffisance cardiaque de classe II selon la NYHA ainsi que les patients atteints d’une insuffisance cardiaque après un infarctus du myocarde qui présentent un potassium sérique ≤5 mmol/l doivent recevoir une dose initiale de 25 mg, administrée 1x par jour. En fonction du potassium sérique (voir Tableau 1), la dose doit être augmentée à la dose cible de 50 mg, administrée 1x par jour, dans les 4 semaines suivant le début du traitement.
  • +La dose maximale chez ces patients est de 50 mg/jour.
  • +Chez les patients qui ont présenté un infarctus du myocarde, le traitement doit être instauré 3 à 14 jours après l’événement.
  • +Instructions posologiques particulières
  • +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
  • +Aucune adaptation de la posologie initiale n’est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère à modérée. Cependant, en raison d’une exposition systémique plus importante à l’éplérénone chez les patients ayant une insuffisance hépatique légère à modérée, un contrôle fréquent et régulier de la kaliémie est recommandé, en particulier chez le patient âgé (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +L’utilisation de l’éplérénone est contre-indiquée chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (Child-Pugh C) (voir «Contre-indications»).
  • +Tableau 1: Adaptations posologiques après le début du traitement
  • +Kaliémie (mmol/l) Modification de la posologie Adaptation posologique
  • +<5.0 Augmentation Passer de la pause thérapeutique à 25 mg tous les 2 jours. Passer de 25 mg tous les 2 jours à 25 mg 1x par jour. Passer de 25 mg une fois par jour à 50 mg 1x par jour sauf chez: les patients présentant un TFGe compris entre 30 et 49 ml/min/1.73 m2 les patients prenant un inhibiteur faible à modéré du CYP3A4.
  • +5.0-5.4 Maintien Pas d’adaptation posologique.
  • +5.5-5.9 Diminution Passer de 50 mg 1x par jour à 25 mg 1x par jour. Passer de 25 mg 1x par jour à 25 mg tous les 2 jours. Passer de 25 mg tous les 2 jours à une pause thérapeutique.
  • +≥6.0 Pause thérapeutique Recommencer par 25 mg tous les 2 jours dès que le potassium est <5.0 mmol/l.
  • -Patienten mit Nierenfunktionsstörungen
  • -Patienten mit mittelstarker Niereninsuffizienz (eGFR zwischen 30 und 49 ml/min/1.73 m2)
  • -Patienten mit Herzinsuffizienz der Klasse NYHA II, welche ein Serum-Kalium von von ≤5 mmol/l aufweisen, sollen eine Anfangsdosis von 25 mg jeden 2. Tag erhalten. Diese soll innerhalb von 4 Wochen nach Therapiebeginn auf die Zieldosis von 25 mg/Tag erhöht werden, in Abhängigkeit des Serum-Kaliums (siehe Tabelle 1). Die maximale Dosis beträgt 25 mg/Tag.
  • -Für Patienten mit Herzinsuffizienz nach Myokardinfarkt und einer Kreatininclearance von <50 ml/min liegen keine Erfahrungen vor. Die Anwendung von Eplerenon bei diesen Patienten sollte mit Vorsicht erfolgen.
  • -Patienten mit schwerer Niereninsuffizienz (eGFR <30 ml/min/1.73 m2)
  • -Für diese Patienten ist die Anwendung von Eplerenon kontraindiziert.
  • -Eplerenon ist nicht dialysierbar.
  • -Ältere Patienten
  • -In Studie EMPHASIS-HF wurden n=330 Patienten ≥75 Jahre mit Eplerenon behandelt. Die Behandlungsdosis richtete sich hierbei nach der Nierenfunktion (siehe «Eigenschaften/Wirkungen»). Ältere Patienten zeigten ein erhöhtes Hyperkaliämie-Risiko im Vergleich zu jüngeren Vergleichspersonen. Eine besonders regelmässige Kontrolle des Serum-Kaliums wird empfohlen.
  • -Kinder und Jugendliche
  • -Zur Anwendung von Eplerenon bei Kindern und Jugendlichen unter 18 Jahren liegen keine Daten vor. Die Anwendung bei dieser Patientengruppe wird daher nicht empfohlen.
  • -Patienten, welche CYP3A4-Inhibitoren erhalten
  • -Bei der gleichzeitigen Einnahme von schwachen bis mittelstarken CYP3A4-Inhibitoren beträgt die Höchstdosis von Eplerenon 25 mg/Tag.
  • -Die gleichzeitige Einnahme von starken CYP3A4-Inhibitoren mit Eplerenon ist kontraindiziert (siehe «Kontraindikationen»).
  • -Kontraindikationen
  • -§Überempfindlichkeit gegenüber Eplerenon oder einem der Hilfsstoffe gemäss Zusammensetzung.
  • -§Alle Patienten mit Serumkaliumwerten >5.0 mmol/l vor Behandlungsbeginn.
  • -§Alle Patienten mit schwerer Niereninsuffizienz (eGFR <30 ml/min/1.73 m2).
  • -§Alle Patienten mit schwerer Leberinsuffizienz (Child-Pugh C).
  • -§Alle Patienten, die kaliumsparende Diuretika (z.B. Spironolacton) oder starke CYP3A4-Inhibitoren (z.B. Itraconazol, Ketoconazol, Ritonavir, Nelfinavir, Clarithromycin) erhalten (siehe «Interaktionen»).
  • -§Hypertonie-Patienten, die kaliumhaltige Präparate/Salzersatzprodukte erhalten.
  • -§Kombination von Eplerenon mit einer bestehenden dualen Blockade des Renin-Angiotensin-Aldosteron-Systems (ACE-Inhibitor PLUS Angiotensin-II-Rezeptor-Blocker).
  • -Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen
  • -Hyperkaliämie
  • -Aufgrund des Wirkungsmechanismus von Eplerenon können Hyperkaliämien auftreten. Die Serum-Kalium-Werte sollten daher bei allen Patienten zu Beginn einer Behandlung sowie bei einer Dosisanpassung überwacht werden. Ausserdem wird eine periodische Kontrolle bei Patienten mit einem erhöhten Risiko zur Entwicklung einer Hyperkaliämie empfohlen (Patienten mit Niereninsuffizienz, Diabetes mellitus, ältere Patienten). Bei Kaliumwerten ≥6.0 mmol/l sollte die Behandlung mit Eplerenon abgebrochen werden (siehe «Dosierung/Anwendung»).
  • -Das Risiko einer Hyperkaliämie kann erhöht sein, wenn Eplerenon in Kombination mit einem ACE-Inhibitor oder einem Angiotensin-Rezeptor Blocker verwendet wird. Die Kombination eines ACE-Inhibitoren und eines Angiotensin-Rezeptor Blockers darf zusammen mit Eplerenon nicht verwendet werden (siehe «Kontraindikationen» und «Interaktionen»).
  • -Niereninsuffizienz
  • -Bei Patienten mit eingeschränkter Nierenfunktion, einschliesslich diabetischer Mikroalbuminurie, müssen die Kaliumspiegel regelmässig überwacht werden. Nach Behandlungsbeginn soll die Dosis abhängig vom Serumkaliumspiegel angepasst werden (siehe Tabelle 1 unter «Dosierung/Anwendung»). Das Risiko einer Hyperkaliämie nimmt mit abnehmender Nierenfunktion zu. Patienten mit einer geschätzten glomerulären Filtrationsrate (eGFR) <30 ml/min/1.73 m2 dürfen nicht mit Eplerenon behandelt werden. Obwohl die Daten aus der EPHESUS-Studie zu Patienten mit einem Typ-2 Diabetes und Mikroalbuminurie begrenzt sind, wurde bei dieser kleinen Anzahl von Patienten ein erhöhtes Auftreten einer Hyperkaliämie beobachtet. Daher sollten diese Patienten mit Vorsicht behandelt werden. Eplerenon ist nicht hämodialysierbar (siehe «Dosierung/Anwendung» und «Kontraindikationen»).
  • -Leberinsuffizienz
  • -Bei Patienten mit leichter bis mittelstarker Leberinsuffizienz (Child-Pugh A und B) wurde kein Anstieg der Serumkaliumwerte über 5.5 mmol/l beobachtet. Eine häufige und regelmässige Kontrolle der Serumkaliumwerte wird jedoch empfohlen, insbesondere bei älteren Patienten. Die Anwendung von Eplerenon bei Patienten mit schwerer Leberinsuffizienz (Child-Pugh C) wurde nicht untersucht (siehe «Dosierung/Anwendung» und «Kontraindikationen»).
  • -Nichtsteroidale Antirheumatika (NSAR)
  • -Die gleichzeitige Verabreichung von anderen kaliumsparenden Substanzen mit NSAR führte zu einer Verminderung des antihypertensiven Effekts sowie bei Patienten mit Niereninsuffizienz zu einer Hyperkaliämie (siehe «Interaktionen»).
  • -CYP3A4-Induktoren
  • -Die Gabe von Eplerenon zusammen mit starken CYP3A4 Induktoren wird nicht empfohlen (siehe «Interaktionen»).
  • -Andere Arzneimittel
  • -Lithium, Ciclosporin und Tacrolimus müssen unter der Behandlung mit Eplerenon vermieden werden (siehe «Interaktionen»).
  • -Alpha-Blocker, Amifostin, Trimethoprim, ACE-Inhibitoren und Angiotensin-II-Rezeptor-Antagonisten (siehe oben: «Hyperkaliämie»), trizyklische Antidepressiva, Neuroleptika, Baclofen, Glukokortikoide, Tetracosactid siehe «Interaktionen».
  • -Hilfsstoffe von besonderem Interesse
  • -Eplerenon Xiromed 25 bzw. 50 mg Filmtabletten enthalten den Hilfsstoff Laktosemonohydrat (36.92 mg bzw. 73.85 mg pro Tablette). Patienten mit der seltenen hereditären Galaktose-Intoleranz, völligem Laktasemangel oder Glucose-Galaktose- Malabsorption sollten dieses Arzneimittel nicht anwenden.
  • -Eplerenon Xiromed 25 bzw. 50 mg Filmtabletten enthalten weniger als 1 mmol Natrium (23 mg) pro Tablette (0.43 mg bzw. 0.86 mg), d.h. sie sind nahezu «natriumfrei».
  • -Interaktionen
  • -Pharmakokinetische Interaktionen
  • -In-vitro-Studien weisen darauf hin, dass Eplerenon kein Inhibitor der CYP1A2-, CYP2C19-, CYP2C9-, CYP2D6- oder CYP3A4-Isoenzyme ist. Eplerenon ist weder ein Substrat noch ein Inhibitor von P-Glycoprotein.
  • -CYP3A4-Inhibitoren
  • -§Starke CYP3A4-Inhibitoren: Aufgrund pharmakokinetischer Wechselwirkung ist die gleichzeitige Anwendung von Eplerenon mit starken CYP3A4-Inhibitoren wie z.B. Ketoconazol, Itraconazol, Ritonavir, Nelfinavir oder Clarithromycin kontraindiziert (siehe «Kontraindikationen»).
  • -§Schwache bis mittelstarke CYP3A4-Inhibitoren: Die gleichzeitige Gabe mit Erythromycin, Saquinavir, Amiodaron, Diltiazem, Verapamil oder Fluconazol führte zu signifikanten pharmakokinetischen Interaktionen und einem Anstieg der AUC auf bis das 2-fache. Bei gleichzeitiger Gabe von schwachen bis mittelstarken CYP3A4-Inhibitoren mit Eplerenon sollte die Dosierung von Eplerenon daher 25 mg/Tag nicht überschreiten.
  • -CYP3A4-Induktoren
  • -Die gleichzeitige Gabe von Johanniskraut (einem starken CYP3A4-Induktor) mit Eplerenon führte zu einer Verringerung der AUC von Eplerenon um 30%. Bei stärkeren CYP3A4-Induktoren wie z.B. Rifampicin, dürfte eine ausgeprägtere Verringerung der AUC von Eplerenon auftreten. Aufgrund des Risikos einer verringerten Wirksamkeit von Eplerenon wird die gleichzeitige Gabe von starken CYP3A4-Induktoren (Rifampicin, Carbamazepin, Phenytoin, Phenobarbital, Johanniskraut) mit Eplerenon nicht empfohlen.
  • -CYP3A4-Substrate
  • -Die Ergebnisse von Pharmakokinetikstudien mit CYP3A4-Testsubstraten, z.B. Midazolam und Cisaprid, ergaben keine signifikanten pharmokokinetischen Interaktionen, wenn diese Wirkstoffe zusammen mit Eplerenon angewendet wurden.
  • -Digoxin
  • -Die gleichzeitige Gabe mit Eplerenon erhöht die AUC von Digoxin um 16% (90% Konfidenzintervall: 4-30%). Vorsicht ist geboten, wenn Digoxin nahe dem oberen Limit des therapeutischen Bereichs eingesetzt wird.
  • -Warfarin
  • -Vorsicht ist geboten, wenn Warfarin nahe dem oberen Limit des therapeutischen Bereichs eingesetzt wird.
  • -Pharmakodynamische Interaktionen
  • -Kaliumsparende Diuretika, kaliumhaltige Präparate/Salzersatzprodukte
  • -Wegen des erhöhten Hyperkaliämie-Risikos darf Eplerenon nicht angewendet werden bei allen Patienten, welche andere kaliumsparende Diuretika erhalten sowie bei Hypertonie-Patienten, welche kaliumhaltige Präparate/Salzersatzprodukte erhalten (siehe «Kontraindikationen» und «Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen»). Kaliumsparende Diuretika können auch die Wirkung von Antihypertonika und anderen Diuretika potenzieren.
  • -ACE-Inhibitoren, Angiotensin-Rezeptor Blocker (ARB)
  • -Das Risiko einer Hyperkaliämie kann erhöht sein, wenn Eplerenon in Kombination mit einem ACE-Inhibitor oder einem Angiotensin-Rezeptor Blocker verwendet wird. Eine strenge Ãœberwachung der Serumkaliumwerte und der Nierenfunktion wird vor allem bei Patienten mit vorbestehender Einschränkung der Nierenfunktion empfohlen. Die Dreifachkombination eines ACE-Inhibitoren und eines Angiotensin-Rezeptor Blockers mit Eplerenon darf nicht angewendet werden (siehe «Kontraindikationen» und «Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen»).
  • +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
  • +Patients atteints d’une insuffisance rénale modérée (TFGe compris entre 30 et 49 ml/min/1.73 m2)
  • +Les patients atteints d’une insuffisance cardiaque de classe II selon la NYHA qui présentent un potassium sérique ≤5 mmol/l doivent recevoir une dose initiale de 25 mg tous les 2 jours. Celle-ci doit être augmentée à la dose cible de 25 mg/jour dans les 4 semaines suivant le début du traitement en fonction du potassium sérique (voir le Tableau 1). La dose maximale est de 25 mg/jour.
  • +On ne dispose d’aucune expérience chez les patients atteints d’une insuffisance cardiaque après un infarctus du myocarde et présentant une clairance de la créatinine <50 ml/min. La prudence est recommandée lors de l’utilisation de l’éplérénone chez ces patients.
  • +Patients atteints d’une insuffisance rénale sévère (TFGe <30 ml/min/1.73 m2)
  • +L’utilisation de l’éplérénone est contre-indiquée chez ces patients.
  • +L’éplérénone n’est pas dialysable.
  • +Patients âgés
  • +Dans l’étude EMPHASIS-HF, n=330 patients de ≥75 ans ont été traités par l’éplérénone. La dose thérapeutique y a été adaptée à la fonction rénale (voir «Propriétés/Effets»). Les patients âgés ont présenté un risque accru d’hyperkaliémie en comparaison des patients plus jeunes. Un contrôle particulièrement régulier du potassium sérique est recommandé.
  • +Enfants et adolescents
  • +Aucune donnée n’est disponible sur l’utilisation de l’éplérénone chez les enfants et les adolescents de moins de 18 ans. En conséquence, l’utilisation dans ce groupe de patients n’est pas recommandée.
  • +Patients recevant des inhibiteurs du CYP3A4
  • +La dose maximale d’éplérénone est de 25 mg/jour chez les patients recevant simultanément des inhibiteurs faibles à modérés du CYP3A4.
  • +La prise concomitante d’inhibiteurs forts du CYP3A4 et d’éplérénone est contre-indiquée (voir «Contre-indications»).
  • +Contre-indications
  • +§Hypersensibilité à l’éplérénone ou à l’un des excipients conformément à la composition.
  • +§Tous les patients présentant une kaliémie >5.0 mmol/l avant l’instauration du traitement.
  • +§Tous les patients présentant une insuffisance rénale sévère (TFGe <30 ml/min/1.73 m²).
  • +§Tous les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (Classe Child-Pugh C).
  • +§Tous les patients recevant des diurétiques d’épargne potassique (par ex. spironolactone) ou des inhibiteurs puissants du CYP3A4 (tels que l’itraconazole, le kétoconazole, le ritonavir, le nelfinavir, la clarithromycine) (voir «Interactions»).
  • +§Patients hypertendus traités avec des préparations/des produits de substitution au sel contenant du potassium.
  • +§Association de l’éplérénone avec une double inhibition du système rénine-angiotensine-aldostérone existante (inhibiteur de l’ECA PLUS antagoniste des récepteurs de l’angiotensine II).
  • +Mises en garde et précautions
  • +Hyperkaliémie
  • +En raison du mécanisme d’action de l’éplérénone, des hyperkaliémies peuvent survenir. En conséquence, la kaliémie doit être contrôlée chez tous les patients lors de l’instauration du traitement et lors d’une adaptation posologique. De plus, un contrôle régulier est recommandé chez les patients présentant un risque accru d’hyperkaliémie (patients atteints d’insuffisance rénale, de diabète, patients âgés). Le traitement par éplérénone sera interrompu lorsque la kaliémie atteint des valeurs ≥6.0 mmol/l (voir «Posologie/Mode d’emploi»).
  • +Le risque d’hyperkaliémie peut être augmenté si l’éplérénone est utilisée en association avec un inhibiteur de l’ECA ou un antagoniste des récepteurs de l’angiotensine. L’association d’un inhibiteur de l’ECA et d’un antagoniste des récepteurs de l’angiotensine ne doit pas être utilisée conjointement avec l’éplérénone (voir «Contre-indications» et «Interactions»).
  • +Insuffisance rénale
  • +Chez les patients présentant une insuffisance rénale, y compris une microalbuminurie diabétique, la kaliémie doit être contrôlée régulièrement. Après l’instauration du traitement, la dose sera ajustée en fonction de la kaliémie (voir Tableau 1 sous «Posologie/Mode d’emploi»). Le risque d’hyperkaliémie augmente avec la diminution de la fonction rénale. Les patients présentant un taux de filtration glomérulaire estimé (TFGe) <30 ml/min/1.73 m² ne doivent pas être traités par l’éplérénone. Bien que les données issues de l’étude EPHESUS sur les patients souffrant de diabète de type 2 et de microalbuminurie soient limitées, une incidence accrue de l’hyperkaliémie a été observée chez ce petit nombre de patients. C’est pourquoi ces patients seront traités avec précaution. L’éplérénone n’est pas éliminée par hémodialyse (voir «Posologie/Mode d’emploi» et «Contre-indications»).
  • +Insuffisance hépatique
  • +Chez des patients présentant une insuffisance hépatique légère à modérée (Child-Pugh A et B), aucune augmentation de la kaliémie au-dessus de 5.5 mmol/l n’a été observée. Un contrôle fréquent et régulier de la kaliémie est toutefois recommandé, notamment chez les patients âgés. L’utilisation de l’éplérénone n’a pas été étudiée chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère (Child-Pugh C) (voir «Posologie/Mode d’emploi» et «Contre-indications»).
  • +Anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
  • +L’administration simultanée d’autres substances d’épargne potassique et d’AINS a provoqué une baisse de l’effet antihypertenseur ainsi qu’une hyperkaliémie chez les patients présentant une insuffisance rénale (voir «Interactions»).
  • +Inducteurs du CYP3A4
  • +L’administration d’éplérénone avec des inducteurs puissants du CYP3A4 n’est pas recommandée (voir «Interactions»).
  • +Autres médicaments
  • +Le lithium, la ciclosporine et le tacrolimus doivent être évités pendant un traitement par l’éplérénone (voir «Interactions»).
  • +Alpha-bloquants, amifostine, triméthoprime, inhibiteurs de l’ECA et antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II (voir ci-dessus: «Hyperkaliémie»), antidépresseurs tricycliques, neuroleptiques, baclofène, glucocorticoïdes, tétracosactide (voir «Interactions»).
  • +Excipients revêtant un intérêt particulier
  • +Les comprimés pelliculés Éplérénone Xiromed à 25 mg et à 50 mg contiennent du lactose monohydraté en tant qu’excipient (respectivement 36.92 mg et 73.85 mg par comprimé). Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne devraient pas prendre ce médicament.
  • +Les comprimés pelliculés d’Éplérénone Xiromed à 25 mg et à 50 mg contiennent moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé (respectivement 0.43 mg et 0.86 mg), c.-à-d. qu’ils sont essentiellement «sans sodium».
  • +Interactions
  • +Interactions pharmacocinétiques
  • +Des études in vitro montrent que l’éplérénone n’est pas un inhibiteur des isoenzymes des CYP1A2, CYP2C19, CYP2C9, CYP2D6 ou CYP3A4. L’éplérénone n’est ni un substrat ni un inhibiteur de la glycoprotéine P.
  • +Inhibiteurs du CYP3A4
  • +§Inhibiteurs puissants du CYP3A4: en raison d’une interaction pharmacocinétique, l’utilisation concomitante d’éplérénone avec des inhibiteurs puissants du CYP3A4 tels que le kétoconazole, l’itraconazole, le ritonavir, le nelfinavir ou la clarithromycine est contre-indiquée (voir «Contre-indications»).
  • +§Inhibiteurs faibles à modérés du CYP3A4: l’administration concomitante d’érythromycine, de saquinavir, d’amiodarone, de diltiazem, de vérapamil ou de fluconazole a provoqué des interactions pharmacocinétiques significatives avec une augmentation de l’ASC allant jusqu’à un facteur 2. En conséquence, la posologie de l’éplérénone ne doit pas dépasser 25 mg/jour en cas d’association à des inhibiteurs faibles à modérés du CYP3A4.
  • +Inducteurs du CYP3A4
  • +L’administration simultanée de millepertuis (inducteur puissant du CYP3A4) et d’éplérénone a provoqué une diminution de 30% de l’ASC de l’éplérénone. Une diminution plus importante de l’ASC de l’éplérénone peut survenir avec des inducteurs du CYP3A4 plus puissants comme la rifampicine. En raison d’un risque de diminution de l’efficacité de l’éplérénone, l’utilisation simultanée de puissants inducteurs du CYP3A4 (rifampicine, carbamazépine, phénytoïne, phénobarbital, millepertuis) et d’éplérénone n’est pas recommandée.
  • +Substrats du CYP3A4
  • +Les résultats d’études pharmacocinétiques avec des substrats de test du CYP3A4, tels que le midazolam et le cisapride, n’ont pas montré d’interactions pharmacocinétiques significatives lorsque ces principes actifs ont été utilisés simultanément à l’éplérénone.
  • +Digoxine
  • +L’ASC de la digoxine augmente de 16% (intervalle de confiance à 90%: 4-30%) en cas d’administration concomitante avec l’éplérénone. La prudence est de rigueur si le taux de digoxine est proche de la limite supérieure thérapeutique.
  • +Warfarine
  • +La prudence est de rigueur si le taux de warfarine se situe près de la limite supérieure thérapeutique.
  • +Interactions pharmacodynamiques
  • +Diurétiques d’épargne potassique, préparations/produits de substitution au sel contenant du potassium
  • +En raison du risque accru d’hyperkaliémie, l’éplérénone ne doit être administrée à aucun patient recevant d’autres diurétiques d’épargne potassique, ni à aucun patient hypertendu recevant des préparations/produits de substitution au sel contenant du potassium (voir «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»). Les diurétiques d’épargne potassique peuvent aussi accentuer l’effet des médicaments antihypertenseurs et des autres diurétiques.
  • +Inhibiteurs de l’ECA, antagonistes des récepteurs de l’angiotensine (ARA)
  • +Le risque d’hyperkaliémie peut être augmenté si l’éplérénone est utilisée en association avec un inhibiteur de l’ECA ou un antagoniste des récepteurs de l’angiotensine. Une surveillance stricte des taux sériques de potassium et de la fonction rénale est notamment recommandée chez les patients présentant une altération préexistante de la fonction rénale. La triple association d’un inhibiteur de l’ECA et d’un antagoniste des récepteurs de l’angiotensine avec l’éplérénone ne doit pas être utilisée (voir «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
  • -Es wurden keine Arzneimittelinteraktions-Studien mit Lithium und Eplerenon durchgeführt. Bei Patienten, die Lithium zusammen mit Diuretika und ACE-Inhibitoren erhielten, wurde jedoch von einer Lithium-Toxizität berichtet. Die gemeinsame Gabe von Eplerenon und Lithium muss vermieden werden. Wenn eine Kombination notwendig erscheint, müssen die Plasmakonzentrationen von Lithium engmaschig überwacht werden (siehe «Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen»).
  • -Ciclosporin, Tacrolimus
  • -Ciclosporin und Tacrolimus können zu Nierenfunktionsstörungen führen und erhöhen das Hyperkaliämie-Risiko. Die gemeinsame Gabe von Eplerenon mit Ciclosporin oder Tacrolimus muss vermieden werden. Wenn Ciclosporin und Tacrolimus während einer Behandlung mit Eplerenon gegeben werden müssen, wird eine enge Ãœberwachung von Serumkalium und Nierenfunktion empfohlen (siehe «Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen»).
  • -Nichtsteroidale Antiphlogistika (NSAR)
  • -Speziell bei Risikopatienten (ältere und/oder dehydrierte Patienten) kann eine Behandlung mit NSAR durch direkte Beeinflussung der glomerulären Filtration zu akutem Nierenversagen führen. Vor Beginn einer Behandlung müssen Patienten, die Eplerenon und NSAR erhalten, einen ausgeglichenen Flüssigkeitshaushalt aufweisen und deren Nierenfunktion muss überprüft werden.
  • -Trimethoprim
  • -Die gleichzeitige Gabe von Trimethoprim und Eplerenon erhöht das Hyperkaliämie- Risiko. Besonders bei Patienten mit eingeschränkter Nierenfunktion und bei älteren Patienten muss das Serumkalium und die Nierenfunktion überwacht werden.
  • -Alphablocker (z.B. Alfuzosin)
  • -Bei Kombination von Alphablockern mit Eplerenon besteht die Möglichkeit, dass die antihypertensive Wirkung und/oder eine orthostatische Hypotonie verstärkt werden. Bei Begleittherapie mit Alphablockern wird eine klinische Ãœberwachung bezüglich einer orthostatischen Hypotonie empfohlen.
  • -Trizyklische Antidepressiva, Neuroleptika, Amifostin, Baclofen
  • -Die Begleitmedikation mit diesen Arzneimitteln kann möglicherweise die antihypertensive Wirkung und die Gefahr einer orthostatischen Hypotonie verstärken.
  • -Glukokortikoide, Tetracosactid
  • -Die zusätzliche Gabe dieser Wirkstoffe zu Eplerenon kann möglicherweise die antihypertensive Wirkung verringern (Natrium- und Flüssigkeitsretention).
  • -Schwangerschaft, Stillzeit
  • -Schwangerschaft
  • -Zur Anwendung von Eplerenon in der Schwangerschaft sind nur unzureichende Daten vorhanden. Eplerenon sollte während der Schwangerschaft nicht angewendet werden, es sei denn, dies ist eindeutig erforderlich.
  • -Stillzeit
  • -Es ist unbekannt, ob Eplerenon nach oraler Einnahme in die Muttermilch übergeht. Bei eindeutiger Indikation für die Anwendung von Eplerenon soll nicht gestillt werden.
  • -Wirkung auf die Fahrtüchtigkeit und auf das Bedienen von Maschinen
  • -Da während der Behandlung Schwindel oder Synkope auftreten können, ist beim Autofahren oder Bedienen von Maschinen Vorsicht geboten, bis die individuelle Therapieantwort bekannt ist.
  • -Unerwünschte Wirkungen
  • -Sowohl in der EPHESUS- als auch in der EMPHASIS-HF-Studie waren die Gesamtinzidenz unerwünschter Wirkungen sowie die Abbruchrate aufgrund von unerwünschten Wirkungen, die im Zusammenhang mit Eplerenon berichtet wurden, ähnlich wie unter Placebo. Die häufigste in der EPHESUS- und der EMPHASIS-HF-Studie gemeldete unerwünschte Wirkung war Hyperkaliämie mit einer Inzidenzrate von 3.4% bzw. 8.7% unter Eplerenon.
  • -Die unerwünschten Wirkungen sind nach Organsystemen und ihrer absoluten Häufigkeit geordnet. Die Häufigkeiten werden wie folgt definiert: sehr häufig (≥1/10), häufig (≥1/100, <1/10), gelegentlich (≥1/1'000, <1/100), selten (≥1/10'000, <1/1000), sehr selten (<1/10'000).
  • -Infektionen und parasitäre Erkrankungen
  • -Häufig: Infektion.
  • -Gelegentlich: Pyelonephritis, Pharyngitis.
  • -Erkrankungen des Blutes und des Lymphsystems
  • -Gelegentlich: Eosinophilie.
  • -Endokrine Erkrankungen
  • -Gelegentlich: Hypothyreose.
  • -Stoffwechsel- und Ernährungsstörungen
  • -Häufig: Hyperkaliämie, Dehydrierung.
  • -Gelegentlich: Hypercholesterinämie, Hypertriglyceridämie, Hyponatriämie.
  • -Psychiatrische Erkrankungen
  • -Gelegentlich: Schlaflosigkeit.
  • -Erkrankungen des Nervensystems
  • -Häufig: Schwindel, Synkope.
  • -Gelegentlich: Kopfschmerzen, Hypästhesie.
  • -Herzerkrankungen
  • -Häufig: Myokardinfarkt.
  • -Gelegentlich: Vorhofflimmern, Linksherzinsuffizienz.
  • -Gefässerkrankungen
  • -Häufig: Hypotonie.
  • -Gelegentlich: Orthostatische Hypotonie, Thrombose der Beinarterien.
  • -Erkrankungen der Atemwege, des Brustraums und Mediastinums
  • -Häufig: Husten.
  • -Erkrankungen des Gastrointestinaltrakts
  • -Häufig: Durchfall, Ãœbelkeit, Obstipation.
  • -Gelegentlich: Blähungen, Erbrechen.
  • -Leber- und Gallenerkrankungen
  • -Gelegentlich: Cholezystitis.
  • -Erkrankungen der Haut und des Unterhautgewebes
  • -Häufig: Juckreiz.
  • -Gelegentlich: Hyperhidrosis.
  • -Skelettmuskulatur-, Bindegewebs- und Knochenerkrankungen
  • -Häufig: Muskelkrämpfe, muskuloskelettale Schmerzen.
  • -Gelegentlich: Rückenschmerzen.
  • -Erkrankungen der Nieren und Harnwege
  • -Häufig: Nierenfunktionsstörungen.
  • -Allgemeine Erkrankungen
  • -Gelegentlich: Kraftlosigkeit, Unwohlsein.
  • -Untersuchungen
  • -Häufig: Erhöhter Blutharnstoffwert.
  • -Gelegentlich: Erhöhter Serumkreatininwert, verminderter EGFR-Wert (epidermal growth factor receptor), erhöhter Blutzuckerwert.
  • -In der Ephesus-Studie kam es bei älteren Patienten (≥75 Jahre) zu einer numerisch höheren Anzahl von Schlaganfällen (Eplerenon 4.9%, Placebo 3.1%, p=0.10). In der EMPHASIS-HF Studie betrug die Anzahl von Schlaganfällen bei älteren Patienten (≥75 Jahre) n=9 (2.7%) in der Eplerenon-Gruppe und n=8 (2.4%) in der Placebo-Gruppe.
  • -Unerwünschte Wirkungen nach Markteinführung
  • -Post–Marketing Erfahrungen
  • -Nach Markteinführung wurden zusätzlich folgende Nebenwirkungen beobachtet:
  • -Erkrankungen der Haut und des Unterhautgewebes: Angioödem, Ausschlag.
  • -Erkrankungen der Geschlechtsorgane und der Brustdrüse: Gynäkomastie.
  • -Die Meldung des Verdachts auf Nebenwirkungen nach der Zulassung ist von grosser Wichtigkeit. Sie ermöglicht eine kontinuierliche Ãœberwachung des Nutzen-Risiko-Verhältnisses des Arzneimittels. Angehörige von Gesundheitsberufen sind aufgefordert, jeden Verdacht einer neuen oder schwerwiegenden Nebenwirkung über das Online-Portal ElViS (Electronic Vigilance System) anzuzeigen. Informationen dazu finden Sie unter www.swissmedic.ch.
  • -Ãœberdosierung
  • -Es sind noch keine Fälle von unerwünschten Wirkungen im Zusammenhang mit einer Ãœberdosierung von Eplerenon beim Menschen bekannt geworden. Es ist anzunehmen, dass eine Ãœberdosierung beim Menschen zu Hypotension und Hyperkaliämie führt. Eplerenon ist nicht hämodialysierbar. Es bindet jedoch stark an Aktivkohle. Hypotension muss symptomatisch behandelt werden. Beim Auftreten einer Hyperkaliämie müssen die üblichen Therapiemassnahmen eingeleitet werden.
  • -Eigenschaften/Wirkungen
  • -ATC-Code
  • +Aucune étude d’interaction médicamenteuse n’a été conduite avec le lithium et l’éplérénone. Cependant, chez des patients recevant du lithium en même temps que des diurétiques et des inhibiteurs de l’ECA, une toxicité du lithium a été rapportée. L’administration concomitante d’éplérénone et de lithium doit être évitée. Si cette association s’avère nécessaire, les concentrations plasmatiques en lithium doivent être étroitement surveillées (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Ciclosporine, Tacrolimus
  • +La ciclosporine et le tacrolimus peuvent entraîner des troubles de la fonction rénale et majorer le risque d’hyperkaliémie. L’utilisation concomitante d’éplérénone et de ciclosporine ou de tacrolimus doit être évitée. Si l’administration de la ciclosporine et du tacrolimus s’avère indispensable durant un traitement par l’éplérénone, un contrôle étroit de la kaliémie et de la fonction rénale est recommandé (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
  • +Un traitement par AINS peut entraîner une insuffisance rénale aiguë en agissant directement sur la filtration glomérulaire, en particulier chez les patients à risque (patients âgés et/ou patients déshydratés). Les patients recevant de l’éplérénone et des AINS doivent être correctement hydratés et leur fonction rénale contrôlée avant l’initiation du traitement.
  • +Triméthoprime
  • +L’administration concomitante de triméthoprime et d’éplérénone augmente le risque d’hyperkaliémie. Une surveillance de la kaliémie et de la fonction rénale doit être effectuée en particulier chez les patients atteints d’insuffisance rénale et chez les patients âgés.
  • +Alpha-bloquants (par ex. alfuzosine)
  • +L’association d’alpha-bloquants et d’éplérénone comporte le risque d’accentuer l’effet hypotenseur et/ou une hypotension orthostatique. Un contrôle clinique de l’hypotension orthostatique est recommandé lors d’un traitement concomitant par des alpha-bloquants.
  • +Antidépresseurs tricycliques, neuroleptiques, amifostine, baclofène
  • +Il existe un risque potentiel de majoration des effets antihypertenseurs et d’hypotension orthostatique si ces médicaments sont associés à l’éplérénone.
  • +Glucocorticoïdes, tétracosactide
  • +L’administration simultanée de ces médicaments et de l’éplérénone peut vraisemblablement diminuer l’effet antihypertenseur (rétention sodique et hydrique).
  • +Grossesse, Allaitement
  • +Grossesse
  • +Les données sur l’utilisation de l’éplérénone durant la grossesse sont insuffisantes. L’éplérénone ne doit pas être administrée durant la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue.
  • +Allaitement
  • +On ignore si l’éplérénone passe dans le lait maternel après administration orale. Ne pas allaiter en cas d’indication stricte pour l’utilisation de l’éplérénone.
  • +Effet sur l’aptitude à la conduite et l’utilisation de machines
  • +Des vertiges ou des syncopes peuvent survenir au cours du traitement. La prudence est donc de rigueur lors de la conduite automobile ou l’utilisation de machines, jusqu’à la connaissance de la réponse individuelle au traitement.
  • +Effets indésirables
  • +L’incidence globale des effets indésirables et les taux d’interruptions dues aux effets indésirables rapportés dans le cadre de l’utilisation de l’éplérénone ont été similaires à ceux observés sous placebo, aussi bien au cours de l’étude EPHESUS qu’au cours de l’étude EMPHASIS-HF. L’effet indésirable le plus fréquemment signalé dans l’étude EPHESUS et l’étude EMPHASIS-HF était l’hyperkaliémie avec un taux d’incidence de respectivement 3.4% et 8.7% sous éplérénone.
  • +Les effets indésirables sont classés par système d’organe et fréquence absolue. Les fréquences sont définies de la manière suivante: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1’000 à <1/100), rares (≥1/10’000 à <1/1’000), très rares (<1/10’000).
  • +Infections et infestations
  • +Fréquents: infection.
  • +Occasionnels: pyélonéphrite, pharyngite.
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique
  • +Occasionnels: éosinophilie.
  • +Affections endocriniennes
  • +Occasionnels: hypothyroïdie.
  • +Troubles du métabolisme et de la nutrition
  • +Fréquents: hyperkaliémie, déshydratation.
  • +Occasionnels: hypercholestérolémie, hypertriglycéridémie, hyponatrémie.
  • +Affections psychiatriques
  • +Occasionnels: insomnie.
  • +Affections du système nerveux
  • +Fréquents: vertiges, syncope.
  • +Occasionnels: céphalées, hypoesthésie.
  • +Affections cardiaques
  • +Fréquents: infarctus du myocarde.
  • +Occasionnels: fibrillation auriculaire, insuffisance ventriculaire gauche.
  • +Affections vasculaires
  • +Fréquents: hypotension.
  • +Occasionnels: hypotension orthostatique, thrombose artérielle de la jambe.
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • +Fréquents: toux.
  • +Affections gastro-intestinales
  • +Fréquents: diarrhée, nausée, constipation.
  • +Occasionnels: flatulences, vomissements.
  • +Affections hépatobiliaires
  • +Occasionnels: cholécystite.
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • +Fréquents: prurit.
  • +Occasionnels: hyperhidrose.
  • +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
  • +Fréquents: crampes musculaires, douleurs musculo-squelettiques.
  • +Occasionnels: dorsalgie.
  • +Affections du rein et des voies urinaires
  • +Fréquents: troubles de la fonction rénale.
  • +Troubles généraux
  • +Occasionnels: asthénie, malaise.
  • +Investigations
  • +Fréquents: urée sanguine augmentée.
  • +Occasionnels: créatinine sérique augmentée, diminution de la valeur de l’EGFR (epidermal growth factor receptor), taux de glycémie augmenté.
  • +Dans l’étude EPHESUS, un nombre plus important de cas d’accident vasculaire cérébral a été observé dans le groupe des sujets âgés (≥75 ans) (éplérénone 4.9%, placebo 3.1%, p=0.10). Dans l’étude EMPHASIS-HF, le nombre d’accidents vasculaires cérébraux observés chez les patients âgés (≥75 ans) a été de n=9 (2.7%) dans le groupe éplérénone et de n=8 (2.4%) dans le groupe placebo.
  • +Effets indésirables identifiés après la mise sur le marché
  • +Expériences post-marketing
  • +Depuis la mise sur le marché, les effets indésirables suivants ont également été observés:
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané: angioÅ“dème, rash.
  • +Affections des organes de reproduction et du sein: gynécomastie.
  • +L’annonce d’effets secondaires présumés après l’autorisation est d’une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d’effet secondaire nouveau ou grave via le portail d’annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +Surdosage
  • +Aucun cas d’effets indésirables liés à un surdosage d’éplérénone n’a été rapporté chez l’être humain jusqu’ici. La manifestation la plus probable d’un surdosage chez l’être humain est une hypotension et une hyperkaliémie. L’éplérénone ne peut pas être éliminée par hémodialyse. Toutefois, elle se lie de manière importante au charbon activé. En cas d’hypotension symptomatique, un traitement symptomatique doit être instauré. En cas de survenue d’une hyperkaliémie, les mesures de traitement usuelles doivent être mises en Å“uvre.
  • +Propriétés/Effets
  • +Code ATC
  • -Wirkungsmechanismus
  • -Siehe «Pharmakodynamik».
  • -Pharmakodynamik
  • -Eplerenon bindet relativ selektiv an rekombinante menschliche Mineralokortikoid- Rezeptoren verglichen mit seiner Bindungsaffinität zu rekombinanten menschlichen Glukokortikoid-, Progesteron- und Androgen-Rezeptoren. Eplerenon verhindert die Bindung von Aldosteron.
  • -Klinische Wirksamkeit
  • -Eplerenon wurde in der Eplerenone postacute myocardial infarction heart failure efficacy and survival study (EPHESUS) untersucht. EPHESUS war eine doppelblinde, placebokontrollierte Multizenter-Studie an n=6632 Patienten (mittleres Followup 16 Monate) mit akutem Myokardinfarkt, linksventrikulärer Dysfunktion (gemessen als linksventrikuläre Ejektionsfraktion [LVEF] <40%), und klinischen Anzeichen einer Herzinsuffizienz. Die Patienten wurden 3 bis 14 Tage nach der Diagnose Myokardinfarkt randomisiert in die EPHESUS Studie aufgenommen. Die durchschnittliche Dauer bis zur Aufnahme betrug 7 Tage. Aufgrund des erhöhten kardiovaskulären Risikos assoziiert mit Diabetes, wurden Patienten mit Diabetes und einer linksventrikulären Dysfunktion in Abwesenheit von Symptomen einer Herzinsuffizienz in die Studie aufgenommen; 10% der Studienpopulation entsprachen diesem Kriterium. Zusätzlich zur Standardtherapie erhielten die Patienten entweder Eplerenon oder Placebo in einer Initialdosierung von 25 mg einmal täglich mit anschliessender Erhöhung auf die Erhaltungsdosis von 50 mg einmal täglich innerhalb von 4 Wochen bei Serumkaliumwerten <5.0 mEq/l. Während der Studie erhielten die Patienten zusätzlich eine Standardtherapie, bestehend aus Aspirin (92%), ACE-Inhibitor (90%), Betablockern (83%), Nitraten (72%), Schleifendiuretika (66%) oder HMG-CoA-Reduktase Inhibitoren (60%).
  • -In der EPHESUS-Studie waren die co-primären Endpunkte Gesamtmortalität und der kombinierte Endpunkt aus kardiovaskulärer Mortalität oder kardiovaskulärer Hospitalisierung. Unter Eplerenon verstarben 14.4% der Patienten und unter Placebo 16.7% (alle Ursachen), während 26.7% der Patienten mit Eplerenon und 30.0% unter Placebo den kombinierten Studienendpunkt aus kardiovaskulärer Mortalität oder kardiovaskulärer Hospitalisierung erfüllten. Somit verringerte Eplerenon in der EPHESUS-Studie im Vergleich zu Placebo das Risiko der Gesamtsterblichkeit um 15% (absolute Risikoreduktion 2.3%, RR 0.85; 95% Konfidenzintervall, 0.75–0.96; p=0.008; NNT: 43), hauptsächlich durch die Reduktion der kardiovaskulären Mortalität. Das Risiko eines kardiovaskulären Todes bzw. einer kardiovaskulären Hospitalisierung wurde durch Eplerenon um 13% verringert (absolute Risikoreduktion 3.3%; RR 0.87; 95% Konfidenzintervall, 0.79–0.95; p=0.002; NNT: 31).
  • -Die klinische Wirksamkeit einer Behandlung mit Eplerenon zeigte sich bei Patienten <75 Jahren. Der therapeutische Nutzen bei Patienten ≥75 Jahren ist unklar. Bei einem signifikant grösseren Anteil der mit Eplerenon behandelten Patienten (n=2372 Patienten, 75.3%) verbesserte sich verglichen mit Placebo (n=2242 Patienten, 71.3%) die NYHA-Klassifikation oder blieb unverändert (p<0.001).
  • -Abbildung 1: Hazard Ratios aller Todesursachen geordnet nach Subgruppen
  • +Mécanisme d’action
  • +Voir «Pharmacodynamique».
  • +Pharmacodynamique
  • +L’éplérénone présente une sélectivité relative dans sa fixation aux récepteurs minéralocorticoïdes humains recombinants en comparaison de sa fixation aux récepteurs humains recombinants aux glucocorticoïdes, à la progestérone et aux androgènes. L’éplérénone empêche la fixation de l’aldostérone.
  • +Efficacité clinique
  • +L’éplérénone a été évaluée dans l’étude «Eplerenone Post-Acute Myocardial Infarction Heart Failure Efficacy and Survival Study» (EPHESUS). EPHESUS est une étude multicentrique, en double aveugle et contrôlée par placebo, menée chez n=6632 patients (moyenne du suivi: 16 mois) ayant eu un infarctus du myocarde aigu, présentant une dysfonction ventriculaire gauche (avec une fraction d’éjection ventriculaire gauche [FEVG] ≤40%) et des signes cliniques d’insuffisance cardiaque. L’inclusion des patients après randomisation dans l’étude EPHESUS a eu lieu dans les 3 à 14 jours suivant la pose du diagnostic d’infarctus du myocarde. La durée moyenne jusqu’à l’inclusion était de 7 jours. En raison du risque cardiovasculaire accru associé au diabète, les patients diabétiques présentant une dysfonction ventriculaire gauche et sans symptômes d’insuffisance cardiaque ont été inclus dans l’étude; 10% de la population de l’étude remplissait ce critère. En plus d’un traitement standard, les patients ont reçu de l’éplérénone ou un placebo à une dose initiale de 25 mg une fois par jour, avec augmentation de la posologie en l’espace de 4 semaines jusqu’à la dose d’entretien de 50 mg une fois par jour si la kaliémie était <5.0 mEq/l. Pendant l’étude, les patients ont reçu un traitement standard comportant de l’aspirine (92%), des inhibiteurs de l’ECA (90%), des bêtabloquants (83%), des dérivés nitrés (72%), des diurétiques de l’anse (66%) ou des inhibiteurs de la HMG-CoA réductase (60%).
  • +Dans l’étude EPHESUS, les critères primaires d’évaluation étaient la mortalité toutes causes confondues et un critère combiné de mortalité cardiovasculaire ou d’hospitalisation d’origine cardiovasculaire. 14.4% des patients recevant l’éplérénone et 16.7% des patients recevant le placebo sont décédés (toutes causes confondues), alors que 26.7% des patients recevant l’éplérénone et 30.0% des patients recevant le placebo ont présenté le critère combiné de mortalité cardiovasculaire ou d’hospitalisation d’origine cardiovasculaire. Ainsi, dans l’étude EPHESUS, l’éplérénone a réduit le risque de mortalité toutes causes confondues de 15% (réduction du risque absolu 2.3%, RR 0.85; intervalle de confiance à 95%, 0.75-0.96; p=0.008; NNT: 43) en comparaison du placebo, essentiellement en réduisant la mortalité cardiovasculaire. Le risque de mortalité cardiovasculaire ou d’hospitalisation d’origine cardiovasculaire a été réduit de 13% avec l’éplérénone (réduction du risque absolu 3.3%; RR 0.87; intervalle de confiance à 95%, 0.79-0.95; p=0.002; NNT: 31).
  • +L’efficacité clinique d’un traitement par éplérénone a été démontrée essentiellement lorsque les patients étaient <75 ans. Les bénéfices du traitement chez les patients ≥75 ans sont incertains. La classification fonctionnelle de NYHA s’est améliorée ou est restée stable (p<0.001) pour une proportion significativement plus élevée de patients traités par éplérénone (n=2’372 patients, 75.3%) par rapport au groupe placebo (n=2242 patients, 71.3%).
  • +Figure 1: Rapport des risques pour toutes les causes de mortalité par sous-groupe
  • -In Studie EMPHASIS-HF (Eplerenone in Mild Patients Hospitalization and Survival Study in Heart Failure) wurde Eplerenon zusätzlich zu einer Standardtherapie bei Patienten mit systolischer Herzinsuffizienz und milden Symptomen (NYHA-Funktionsklasse II) untersucht. Patienten der NYHA-Funktionsklassen III und IV wurden in der Studie nicht untersucht.
  • -In die Studie aufgenommen wurden Patienten im Alter von ≥55 Jahren mit einer linksventrikulären Ejektionsfraktion (LVEF) von ≤30% oder einer LVEF ≤35% und zusätzlich einer QRS-Dauer von >130 msec. Zusätzlich mussten die Studienteilnehmer entweder innerhalb der vorangegangenen 6 Monate aufgrund einer kardiovaskulären (KV) Ursache hospitalisiert worden sein oder einen BNP-Plasmaspiegel ≥250 pg/ml oder einen Pro-BNP-Spiegel von ≥500 pg/ml (Männer) bzw. ≥750 pg/ml (Frauen) aufweisen. Die Behandlung mit Eplerenon wurde mit einer Dosis von 25 mg einmal täglich begonnen, welche nach 4 Wochen auf 50 mg einmal täglich erhöht wurde, sofern die Serumkaliumwerte bei <5.0 mmol/l und die eGFR bei ≥50 ml/min lagen. Alternativ wurde, wenn die geschätzte glomeruläre Filtrationsrate bei 30-49 ml/min/1.73 m2 lag, die Behandlung mit Eplerenon mit einer Dosis von 25 mg jeden 2. Tag begonnen, welche auf 25 mg einmal täglich erhöht werden konnte.
  • -Die häufigsten kardiovaskulären Begleitmedikationen zusätzlich zu Eplerenon oder Plazebo bei den insgesamt n=2737 Studienteilnehmern waren Diuretika (85%), ACE-Inhibitor (78%), Angiotensin-II-Rezeptor-Antagonisten (19%), Betablocker (87%), antithrombotisch wirksame Arzneimittel (88%), Lipidsenker (63%) und Digitalisalkaloide (27%). Die mittlere LVEF betrug 26% und die mittlere QRS-Dauer lag bei 122 msec. Die meisten Patienten (83.4%) waren innerhalb der letzten 6 Monate vor der Randomisierung aufgrund kardiovaskulärer Ursachen hospitalisiert worden, ca. 50% wegen Herzinsuffizienz. Etwa 20% der Patienten hatten implantierbare Defibrillatoren oder eine kardiale Resynchronisationsbehandlung.
  • -Der primäre Endpunkt (kardiovaskuläre Todesfälle oder Hospitalisierung wegen Herzinsuffizienz) ereignete sich bei n=249 Patienten (18.3%) der Eplerenon-Gruppe und n=356 (25.9%) der Placebo-Gruppe (RR 0.63, 95% CI, 0.54-0.74; p<0.001). Das Ergebnis war in allen untersuchten Subgruppen konsistent.
  • -Der sekundäre Endpunkt Gesamtmortalität ereignete sich bei n=171 Patienten (12.5%) der Eplerenon-Gruppe und n=213 Patienten (15.5%) der Placebo-Gruppe (RR 0.76; 95% CI, 0.62-0.93; p=0.008). Kardiovaskuläre Todesfälle wurden bei n=147 (10.8%) Patienten der Eplerenon-Gruppe und bei n=185 (13.5%) der Placebo-Gruppe berichtet (RR 0.76; 95% CI, 0.61-0.94; p=0.01).
  • -Während der Studie wurde bei n=158 Patienten (11.8%) der Eplerenon-Gruppe und bei n=96 Patienten (7.2%) der Placebo-Gruppe über Hyperkaliämie (Serumkaliumwerte >5.5 mmol/l) berichtet (p<0.001). Eine Hypokaliämie, definiert als Serumkaliumwerte <4.0 mmol/l, ereignete sich seltener mit Eplerenon als mit Placebo (38.9% mit Eplerenon im Vergleich zu 48.4% mit Placebo, p<0.0001).
  • -Pharmakokinetik
  • +(image)
  • +(image)
  • +(image)
  • +Dans l’étude EMPHASIS-HF (Eplerenone in Mild Patients Hospitalization and Survival Study in Heart Failure), l’éplérénone a été évaluée en complément à un traitement standard chez des patients présentant une insuffisance cardiaque systolique et des symptômes légers (classe fonctionnelle II selon la NYHA). Aucun patient des classes fonctionnelles III et IV selon la NYHA n’a été évalué dans l’étude.
  • +Les patients inclus dans l’étude avaient ≥55 ans et présentaient une fraction d’éjection ventriculaire gauche (FEVG) ≤30% ou une FEVG ≤35% et en plus une durée du QRS >130 msec. En outre, les participants à l’étude devaient soit avoir été hospitalisés dans les 6 mois précédents pour une cause cardiovasculaire (CV), soit présenter un taux plasmatique de BNP ≥250 pg/ml ou un taux de pro-BNP ≥500 pg/ml (hommes) ou ≥750 pg/ml (femmes). Le traitement par l’éplérénone a été commencé à la posologie de 25 mg une fois par jour, posologie qui a été augmentée à 50 mg une fois par jour après 4 semaines dans la mesure où les taux sériques de potassium étaient <5.0 mmol/l et le TFGe ≥50 ml/min. Comme alternative, si le taux de filtration glomérulaire estimé était compris entre 30 et 49 ml/min/1.73 m2, le traitement par l’éplérénone a été commencé à la posologie de 25 mg tous les 2 jours, posologie qui a pu être augmentée à 25 mg une fois par jour.
  • +Les médicaments cardiovasculaires les plus fréquemment associés à l’éplérénone ou au placebo chez l’ensemble des n=2737 participants à l’étude ont été des diurétiques (85%), des inhibiteurs de l’ECA (78%), des antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II (19%), des bêtabloquants (87%), des médicaments antithrombotiques (88%), des hypolipémiants (63%) et des alcaloïdes de la digitale (27%). La FEVG moyenne était de 26% et la durée moyenne du QRS était d’environ 122 msec. La plupart des patients (83.4%) avaient été hospitalisés pour des causes cardiovasculaires dans les 6 derniers mois précédant la randomisation et env. 50% pour une insuffisance cardiaque. Environ 20% des patients étaient pourvus d’un défibrillateur implanté ou bénéficiaient d’un traitement de resynchronisation cardiaque.
  • +Le critère d’évaluation principal (décès d’origine cardiovasculaire ou hospitalisation pour insuffisance cardiaque) a été observé chez n=249 patients (18.3%) du groupe éplérénone et chez n=356 patients (25.9%) du groupe placebo (RR 0.63, IC à 95%, 0.54-0.74; p<0.001). Ce résultat a été cohérent dans tous les sous-groupes étudiés.
  • +Le critère d’évaluation secondaire, à savoir la mortalité toutes causes confondues, a été observé chez n=171 patients (12.5%) du groupe éplérénone et chez n=213 patients (15.5%) du groupe placebo (RR 0.76; IC à 95%, 0.62-0.93; p=0.008). Un décès d’origine cardiovasculaire a été rapporté chez n=147 patients (10.8%) du groupe éplérénone et chez n=185 patients (13.5%) du groupe placebo (RR 0.76; IC à 95%, 0.61-0.94; p=0.01).
  • +Une hyperkaliémie (taux sérique de potassium >5.5 mmol/l) a été rapportée au cours de l’étude chez n=158 patients (11.8%) du groupe éplérénone et chez n=96 patients (7.2%) du groupe placebo (p<0.001). Une hypokaliémie, définie comme un taux sérique de potassium <4.0 mmol/l, est survenue plus rarement avec l’éplérénone qu’avec le placebo (38.9% avec l’éplérénone en comparaison de 48.4% avec le placebo, p<0.0001).
  • +Pharmacocinétique
  • -Die absolute Bioverfügbarkeit von Eplerenon beträgt 69%. Maximale Plasmakonzentrationen werden ungefähr 1.5-2 Stunden nach oraler Einnahme von Eplerenon erreicht. Die Resorption im terminalen Ileum und Colon erfolgt mit einer Verzögerung von 3-4 Stunden.
  • -Die maximalen Plasmakonzentrationen (Cmax) wie auch die AUC-Werte sind dosisproportional in Dosierungen von 10 bis 100 mg und weniger proportional in Dosierungen über 100 mg. Die Absorption wird durch gleichzeitige Nahrungsaufnahme nicht beeinflusst.
  • +La biodisponibilité absolue de l’éplérénone est de 69%. Les concentrations plasmatiques maximales sont atteintes environ 1.5-2 h après la prise orale d’éplérénone. L’absorption au niveau de la partie terminale de l’iléon et du côlon a lieu avec un retard de 3 à 4 h. Les pics plasmatiques (Cmax) et l’aire sous la courbe (ASC) sont proportionnels à la dose dans l’intervalle de doses allant de 10 mg à 100 mg, et moins proportionnels aux doses supérieures à 100 mg. L’absorption n’est pas influencée par les aliments.
  • -Die Plasmaproteinbindung von Eplerenon beträgt ca. 50%, wobei die Bindung hauptsächlich an Alpha-1-Säureglykoproteine erfolgt. Das apparente Verteilungsvolumen im Steady State wird auf 42–90 l geschätzt. Eplerenon bindet nicht bevorzugt an Erythrozyten.
  • -Metabolismus
  • -Die Metabolisierung von Eplerenon erfolgt hauptsächlich durch Cytochrom P450 (CYP) 3A4. Im menschlichen Plasma wurden keine aktiven Metaboliten gefunden.
  • -Elimination
  • -Die Eliminationshalbwertszeit beträgt 4-6 h. Die apparente Plasmaclearance beträgt ca. 10 l/h. Der Steady State wird innerhalb von 2 Tagen erreicht. Weniger als 5% der verabreichten Eplerenon-Dosis werden als unveränderte Substanz im Urin und in den Faeces gefunden. Nach oraler Einmalgabe von radioaktiv markiertem Eplerenon werden ungefähr 32% der Dosis mit den Faeces und ungefähr 67% mit dem Urin ausgeschieden.
  • -Kinetik spezieller Patientengruppen
  • -Alter, Geschlecht und Rasse
  • -Die Pharmakokinetik bei Frauen und Männern unterschied sich nicht signifikant. Im Steady State wiesen ältere Probanden verglichen mit jüngeren Probanden (18 bis 45 Jahre) erhöhte Cmax- (22%) und AUC-Werte (45%) auf. Bei Menschen mit schwarzer Hautfarbe waren im Steady State die Cmax um 19% und die AUC um 26% erniedrigt (siehe «Dosierung/Anwendung»).
  • -Leberfunktionsstörungen
  • -Die Pharmakokinetik von 400 mg Eplerenon wurde bei Patienten mit mittelstarker Leberinsuffizienz (Child-Pugh B) untersucht und mit derjenigen von gesunden Probanden verglichen. Im Steady State waren die Cmax und AUC von Eplerenon um 3.6% resp. 42% erhöht (siehe «Dosierung/Anwendung»).
  • -Nierenfunktionsstörungen
  • -Die Pharmakokinetik von Eplerenon wurde bei Patienten mit unterschiedlich schwerer Niereninsuffizienz und bei Hämodialyse-Patienten untersucht. Verglichen mit gesunden Probanden, waren bei Patienten mit schwerer Niereninsuffizienz im Steady State die AUC und Cmax um 38% resp. 24% erhöht, bei Hämodialyse-Patienten um 26% resp. 3% erniedrigt. Es wurde keine Korrelation zwischen der Plasmaclearance von Eplerenon und der Kreatininclearance beobachtet. Eplerenon ist nicht hämodialysierbar (siehe «Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen»).
  • -Herzinsuffizienz
  • -Die Pharmakokinetik von 50 mg Eplerenon wurde bei Patienten mit Herzinsuffizienz (NYHA Klassifikation II-IV) untersucht. Verglichen mit gesunden Probanden des gleichen Alters, Gewichts und Geschlechts waren die AUC und Cmax bei den Patienten mit Herzinsuffizienz um 38% resp. 30% höher. In Ãœbereinstimmung mit den oben genannten Resultaten ergab eine pharmakokinetische Analyse basierend auf einer Subpopulation aus der EPHESUS Studie, dass die Clearance von Eplerenon bei Patienten mit Herzinsuffizienz vergleichbar mit derjenigen von gesunden älteren Probanden ist.
  • -Präklinische Daten
  • -Präklinische Untersuchungen zur pharmakologischen Sicherheit, Toxizität bei wiederholter Einnahme, Genotoxizität, Karzinogenität und Reproduktionstoxizität zeigten keine besonderen Risiken für den Menschen.
  • -Studien an Ratten und Kaninchen zeigten keine teratogenen Effekte. Bei den Kaninchen-Muttertieren wurden jedoch unter der höchsten applizierten Dosis herabgesetztes Körpergewicht und erhöhte fetale Resorptionen sowie Abortrate (Verlust nach der Nidation) festgestellt. Das potentielle Risiko für den Menschen ist unbekannt.
  • -Daten aus präklinischen Studien zeigen, dass Eplerenon und/oder seine Metaboliten in der Muttermilch von Ratten vorhanden sind.
  • -In Studien zur chronischen Toxizität kam es bei Ratten und Hunden bei Expositionen, die mehrfach über der klinischen Dosierung lagen, zu Prostata-Atrophie. Die Veränderungen der Prostata gingen nicht mit einer negativen Funktionsveränderung einher. Die klinische Bedeutung dieser Befunde ist unklar.
  • -Sonstige Hinweise
  • -Haltbarkeit
  • -Das Arzneimittel darf nur bis zu dem auf der Packung mit «EXP» bezeichneten Datum verwendet werden.
  • -Besondere Lagerungshinweise
  • -Nicht über 30°C lagern. In der Originalverpackung aufbewahren. Ausser Reichweite von Kindern aufbewahren.
  • -Zulassungsnummer
  • +La liaison de l’éplérénone aux protéines plasmatiques est d’environ 50% et a lieu essentiellement avec l’alpha 1-glycoprotéine acide. Le volume de distribution apparent à l’état d’équilibre est estimé à 42-90 l. L’éplérénone ne se fixe pas de manière préférentielle sur les hématies.
  • +Métabolisme
  • +L’éplérénone est métabolisée principalement par le cytochrome P450 (CYP) 3A4. Aucun métabolite actif de l’éplérénone n’a été identifié dans le plasma humain.
  • +Élimination
  • +La demi-vie d’élimination se situe entre 4-6 h. La clairance plasmatique apparente est d’environ 10 l/h. L’état d’équilibre est atteint en 2 jours. Moins de 5% d’une dose d’éplérénone sont retrouvés sous forme inchangée dans les urines et les fèces. Après une dose orale unique d’éplérénone radiomarquée, environ 32% de la dose sont excrétés dans les fèces et environ 67% dans les urines.
  • +Cinétique pour certains groupes de patients
  • +Âge, sexe et race
  • +La pharmacocinétique de l’éplérénone n’était pas significativement différente entre les hommes et les femmes. À l’état d’équilibre, des augmentations de la Cmax (22%) et de l’ASC (45%) ont été observées chez les personnes âgées par rapport aux volontaires plus jeunes (18 à 45 ans). À l’état d’équilibre, la Cmax a été inférieure de 19% et l’ASC de 26% chez les sujets à la peau noire (voir «Posologie/Mode d’emploi»).
  • +Troubles de la fonction hépatique
  • +La pharmacocinétique de l’éplérénone à la posologie de 400 mg a été étudiée chez des patients atteints d’insuffisance hépatique modérée (Child-Pugh B) et comparée à celle de volontaires sains. La Cmax à l’état d’équilibre était augmentée de 3.6% et l’ASC de 42% (voir «Posologie/Mode d’emploi»).
  • +Troubles de la fonction rénale
  • +La pharmacocinétique de l’éplérénone a été évaluée chez des patients présentant des degrés variables d’insuffisance rénale et chez des patients sous hémodialyse. Par rapport aux volontaires sains, l’ASC à l’état d’équilibre était augmentée de 38% et la Cmax de 24% chez les patients atteints d’insuffisance rénale sévère, et diminuées de 26% et 3% respectivement chez les patients sous hémodialyse. Aucune corrélation entre la clairance plasmatique de l’éplérénone et la clairance de la créatinine n’a été observée. L’éplérénone n’est pas éliminée par hémodialyse (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Insuffisance cardiaque
  • +La pharmacocinétique de l’éplérénone à la posologie de 50 mg a été étudiée chez des patients souffrant d’insuffisance cardiaque (classification II-IV de la NYHA). Par rapport aux volontaires sains d’âge, de poids et de sexe identiques, l’ASC à l’état d’équilibre était augmentée de 38% et la Cmax de 30% chez les patients atteints d’insuffisance cardiaque. Conformément à ces résultats, une analyse pharmacocinétique de population basée sur un sous-ensemble de patients de l’étude EPHESUS a montré que la clairance de l’éplérénone chez les patients atteints d’insuffisance cardiaque était similaire à celle de volontaires âgés sains.
  • +Données précliniques
  • +Les investigations précliniques de sécurité pharmacologique, de toxicité en administration répétée, de génotoxicité, de carcinogénicité et de toxicité pour la reproduction n’ont pas révélé de risque particulier pour l’homme.
  • +Les études menées chez le rat et le lapin n’ont pas montré d’effet tératogène. Toutefois, une baisse du poids corporel et une augmentation des résorptions fÅ“tales ainsi qu’une augmentation des avortements (perte après nidation) ont été observées chez les lapines à la plus haute dose appliquée. Le risque potentiel pour l’être humain est inconnu.
  • +Des données précliniques montrent que l’éplérénone et/ou ses métabolites sont présents dans le lait maternel des rates.
  • +Dans les études de toxicologie en administration répétée menées chez le rat et le chien, une atrophie de la prostate a été observée à des niveaux d’exposition de plusieurs fois supérieurs aux niveaux d’exposition clinique. Les modifications de la prostate n’étaient pas accompagnées de conséquences fonctionnelles délétères. La signification clinique de ces résultats est incertaine.
  • +Remarques particulières
  • +Stabilité
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l’emballage.
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • +Ne pas conserver au-dessus de 30°C. Conserver dans l’emballage d’origine. Conserver hors de portée des enfants.
  • +Numéro d’autorisation
  • -Packungen
  • -Eplerenon Xiromed 25 mg: Packungen zu 30 und 100 Filmtabletten. [B]
  • -Eplerenon Xiromed 50 mg: Packungen zu 30 und 100 Filmtabletten. [B]
  • -Zulassungsinhaberin
  • +Présentation
  • +Éplérénone Xiromed 25 mg: emballages de 30 et 100 comprimés pelliculés. [B]
  • +Éplérénone Xiromed 50 mg: emballages de 30 et 100 comprimés pelliculés. [B]
  • +Titulaire de l’autorisation
  • -Stand der Information
  • -September 2020
  • +Mise à jour de l’information
  • +Septembre 2020.
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