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Accueil - Information professionnelle sur Rybrevant 350 mg/7 ml - Changements - 04.10.2023
117 Changements de l'information professionelle Rybrevant 350 mg/7 ml
  • +Amivantamab est un anticorps bispécifique de type Immunoglobuline G1 (IgG1) produit par des cellules d'ovaires de hamster chinois [OHC] à l'aide de la technologie de l'ADN recombinant.
  • -EDTA sel disodique dihydraté (équivalent à 17 μg de sodium), L-histidine, chlorhydrate de L-histidine monohydraté, L-méthionine, polysorbate 80, saccharose (595 mg), eau pour préparations injectables.
  • +Édétate disodique (équivalent à 17 μg de sodium), L-histidine, chlorhydrate de L-histidine monohydraté, L-méthionine, polysorbate 80, saccharose(595 mg), eau pour préparations injectables.
  • -RYBREVANT est utilisé en monothérapie pour traiter les patients atteints de cancer du poumon non à petites cellules (CBNPC) métastatique ou non résécable, présentant des mutations d'insertion activatrices dans l'exon 20 du gène du récepteur du facteur de croissance épidermique (EGFR) et dont la maladie a progressé pendant ou après une chimiothérapie contenant du platine.
  • +RYBREVANT est utilisé en monothérapie pour traiter les patients atteints de cancer bronchique non à petites cellules (CBNPC) métastatique ou non résécable, avec mutations activatrices du récepteur du facteur de croissance épidermique (EGFR) par insertion dans l'exon 20 et dont la maladie a progressé pendant ou après une chimiothérapie à base de sels de platine.
  • -RYBREVANT est destiné à être administré par un professionnel de la santé. En cas de survenue de réactions liées à la perfusion (IRR), des mesures de soutien médical appropriées sont nécessaires (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +RYBREVANT est destiné à être administré par un professionnel de santé. En cas de survenue de réactions liées à la perfusion (RLP), des mesures de soutien médical appropriées sont nécessaires (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Le patient est éligible au traitement par RYBREVANT si une mutation par insertion dans l'exon 20 de l'EGFR est détectée à l'aide d'un test validé réalisé sur le plasma ou les tissus, (voir «Pharmacodynamique - Efficacité clinique»).
  • +Le patient est éligible au traitement par RYBREVANT si une mutation par insertion dans l'exon 20 de l'EGFR est détectée à l'aide d'un test validé réalisé sur le plasma ou les tissus (voir «Pharmacodynamique - Efficacité clinique»).
  • -RYBREVANT est perfusé par voie intraveineuse aux débits de perfusion indiqués dans le tableau 3. En raison de la fréquence des IRR à la première dose, une perfusion dans une veine périphérique doit être envisagée aux semaines 1 et 2 afin de minimiser l'exposition au médicament en cas d'IRR. Dans les semaines qui suivent (à partir de la semaine 3), la perfusion peut se faire par une voie centrale. Il est recommandé de diluer la première dose aussi peu de temps que possible avant l'administration afin d'assurer une flexibilité maximale dans le traitement des IRR.
  • +RYBREVANT est perfusé par voie intraveineuse aux débits de perfusion indiqués dans le tableau 3. En raison de la fréquence des RLP à la première dose, une perfusion dans une veine périphérique doit être envisagée aux semaines 1 et 2 afin de minimiser l'exposition au médicament en cas de RLP. Dans les semaines qui suivent (à partir de la semaine 3), la perfusion peut se faire par une voie centrale. Il est recommandé de diluer la première dose aussi peu de temps que possible avant l'administration afin d'assurer une flexibilité maximale dans le traitement des RLP .
  • -
  • -Semaine Dose (par poche de 250 ml) Débit de perfusion initial Débit de perfusion subséquent
  • +Semaine Dose (par poche de 250 ml) Débit de perfusion initial Débit de perfusion suivant
  • +*À partir de la semaine 5, les patients reçoivent leur dose toutes les 2 semaines, en commençant à la semaine 5. † Si aucune réaction liée à la perfusion ne se produit, le débit de perfusion initial peut être augmenté après 2 heures pour atteindre le débit de perfusion prévu pour les perfusions suivantes.
  • -* À partir de la semaine 5, les patients reçoivent leur dose toutes les 2 semaines, en commençant à la semaine 5.
  • -† Si aucune réaction liée à la perfusion ne se produit, le débit de perfusion initial peut être augmenté après 2 heures pour atteindre le débit de perfusion prévu pour les perfusions suivantes.
  • -Pour réduire le risque d'IRR, des antihistaminiques, des antipyrétiques et des glucocorticoïdes doivent être administrés avant la première perfusion de RYBREVANT (semaine 1, jours 1 et 2) (voir tableau 4). À partir de la semaine 2, des antihistaminiques et des antipyrétiques doivent être administrés avant les perfusions (voir tableau 4). Des antiémétiques peuvent être administrés si nécessaire.
  • +Pour réduire le risque des RLP, des antihistaminiques, des antipyrétiques et des glucocorticoïdes doivent être administrés avant la première perfusion de RYBREVANT (semaine 1, jours 1 et 2) (voir tableau 4). À partir de la semaine 2, des antihistaminiques et des antipyrétiques doivent être administrés avant les perfusions (voir tableau 4). Des antiémétiques peuvent être administrés si nécessaire.
  • -Réactions liées à la perfusion (IRR) (voir «Mises en garde et précautions»). Grades 1 à 3 ·La perfusion doit être interrompue dès les premiers signes d'IRR. ·Si cela s'avère cliniquement nécessaire, administrer des médicaments de soutien supplémentaires (p.ex. glucocorticoïdes, antihistaminiques, antipyrétiques et antiémétiques supplémentaires). ·Après la disparition des symptômes, poursuivre la perfusion à 50% du dernier débit de perfusion. ·En l'absence d'autres symptômes, le débit peut être augmenté conformément aux recommandations du tableau 3. ·Avant la dose suivante, administrer un médicament de pré-perfusion (voir tableau 4)
  • -Récidivantes de grade 3 ou 4 (mettant en jeu le pronostic vital) Arrêter le traitement définitivement
  • -Pneumopathie interstitielle diffuse (PID)/ pneumopathie inflammatoire (voir «Mises en garde et précautions») Suspicion de PID/ pneumopathie inflammatoire Interrompre le traitement
  • -PID/ pneumopathie inflammatoire confirmée Arrêter le traitement définitivement
  • +Réactions liées à la perfusion (RLP) (voir «Mises en garde et précautions») Grades 1 à 3 ·La perfusion doit être interrompue dès les premiers signes de RLP. ·Si cela s'avère cliniquement nécessaire, administrer des médicaments de soutien supplémentaires (p.ex. glucocorticoïdes, antihistaminiques, antipyrétiques et antiémétiques supplémentaires). ·Après la disparition des symptômes, poursuivre la perfusion à 50 % du dernier débit de perfusion. ·En l'absence d'autres symptômes, le débit peut être augmenté conformément aux recommandations du tableau 3. ·Avant la dose suivante, administrer un médicament de pré-perfusion (voir tableau 4).
  • +Récidivantes de grade 3 ou 4 (mettant en jeu le pronostic vital) Arrêter le traitement définitivement.
  • +Pneumopathie interstitielle diffuse (PID)/ pneumopathie inflammatoire (voir «Mises en garde et précautions») Suspicion de PID/ pneumopathie inflammatoire Interrompre le traitement.
  • +PID/ pneumopathie inflammatoire confirmée Arrêter le traitement définitivement.
  • -Grade 4 (incluant des maladies cutanées bulleuses, vésiculeuses ou squameuses graves (y compris la nécrolyse épidermique toxique (NET)) Arrêter le traitement définitivement
  • +Grade 4 (incluant des maladies cutanées bulleuses, vésiculeuses ou squameuses graves (y compris la nécrolyse épidermique toxique (NET)) Arrêter le traitement définitivement.
  • -Aucune étude formelle de l'amivantamab n'a été réalisée chez les patients présentant une insuffisance hépatique. Sur la base d'analyses pharmacocinétiques de population, aucun ajustement posologique n'est nécessaire chez les patients présentant une légère insuffisance hépatique. On ne dispose pas de données concernant les patients présentant une insuffisance hépatique modérée ou grave (voir «Pharmacocinétique»).
  • +Aucune étude formelle d'amivantamab n'a été réalisée chez les patients présentant une insuffisance hépatique. Sur la base d'analyses pharmacocinétiques de population, aucun ajustement posologique n'est nécessaire chez les patients présentant une légère insuffisance hépatique. On ne dispose pas de données concernant les patients présentant une insuffisance hépatique modérée ou sévère (voir «Pharmacocinétique»).
  • -Aucune étude formelle de l'amivantamab n'a été réalisée chez les patients présentant une insuffisance rénale. Sur la base d'analyses pharmacocinétiques de population, aucun ajustement posologique n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance rénale légère ou modérée. On ne dispose pas de données concernant les patients présentant une insuffisance rénale grave (voir «Pharmacocinétique»).
  • -Patients âgés:
  • -Sur les 362 patients traités par RYBREVANT dans le cadre de l'EDI1001 (CHRYSALIS), 41% étaient âgés de 65 ans ou plus et 12% étaient âgés de 75 ans ou plus. Aucune différence globale en termes de sécurité ou d'efficacité n'a été observée entre ces patients et les plus jeunes. Aucun ajustement de la posologie n'est nécessaire (voir «Pharmacocinétique»).
  • +Aucune étude formelle d'amivantamab n'a été réalisée chez les patients présentant une insuffisance rénale. Sur la base d'analyses pharmacocinétiques de population, aucun ajustement posologique n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance rénale légère ou modérée. On ne dispose pas de données concernant les patients présentant une insuffisance rénale sévère (voir «Pharmacocinétique»).
  • +Patients âgés
  • +Sur les 362 patients traités par RYBREVANT dans le cadre de l'EDI1001 (CHRYSALIS), 41 % étaient âgés de 65 ans ou plus et 12 % étaient âgés de 75 ans ou plus. Aucune différence globale en termes de sécurité ou d'efficacité n'a été observée entre ces patients et les plus jeunes. Aucun ajustement de posologie n'est nécessaire (voir «Pharmacocinétique»).
  • -Prise retardée
  • +Administration retardée
  • -Des réactions liées à la perfusion sont survenues chez 66,7% des patients traités par RYBREVANT. 98% des IRR étaient de grade 1 ou 2. 94% des IRR sont survenues dans les 60 minutes (médiane) lors de la première perfusion. Les signes et symptômes les plus courants sont des frissons, des nausées, une dyspnée, des bouffées vasomotrices, une gêne thoracique et des vomissements.
  • -Pour réduire le risque d'IRR, des antihistaminiques, des antipyrétiques et des glucocorticoïdes doivent être administrés avant la première perfusion de RYBREVANT (semaine 1). Des antihistaminiques et des antipyrétiques doivent être administrés avant les perfusions suivantes. La première perfusion de RYBREVANT doit être administrée à la semaine 1, répartie sur les jours 1 et 2 (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -RYBREVANT doit être administré dans un environnement où un soutien médical adéquat pour le traitement des IRR est disponible. Au premier signe d'IRR, la perfusion de RYBREVANT doit être interrompue. Si cela est cliniquement nécessaire, des médicaments (glucocorticoïdes, antihistaminiques, antipyrétiques) doivent être administrés pour traiter les IRR. Après la disparition des symptômes, la perfusion peut être poursuivie à 50% du dernier débit de perfusion. En cas d'IRR récurrents de grade 3 ou 4, RYBREVANT doit être arrêté définitivement (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Des réactions liées à la perfusion sont survenues chez 66,7 % des patients traités par RYBREVANT. 98 % des RLP étaient de grade 1 ou 2. 94 % des RLP sont survenues dans les 60 minutes (médiane) lors de la première perfusion. Les signes et symptômes les plus courants sont des frissons, des nausées, une dyspnée, des bouffées vasomotrices, une gêne thoracique et des vomissements.
  • +Pour réduire le risque de RLP , des antihistaminiques, des antipyrétiques et des glucocorticoïdes doivent être administrés avant la première perfusion de RYBREVANT (semaine 1). Des antihistaminiques et des antipyrétiques doivent être administrés avant les perfusions suivantes. La première perfusion de RYBREVANT doit être administrée à la semaine 1, répartie sur les jours 1 et 2 (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +RYBREVANT doit être administré dans un environnement où un soutien médical adéquat pour le traitement des RLP est disponible. Au premier signe de RLP , la perfusion de RYBREVANT doit être interrompue. Si cela est cliniquement nécessaire, des médicaments (glucocorticoïdes, antihistaminiques, antipyrétiques) doivent être administrés pour traiter les RLP. Après la disparition des symptômes, la perfusion peut être poursuivie à 50 % du dernier débit de perfusion. En cas de RLP récurrents de grade 3 ou 4, RYBREVANT doit être arrêté définitivement (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -2,7% des patients traités par RYBREVANT ont présenté une pneumopathie interstitielle diffuse (PID) ou des effets indésirables de type PID (p.ex. pneumopathie inflammatoire). Les patients ayant des antécédents de PID, de PID médicamenteuse ou de pneumopathie radique qui ont nécessité un traitement par stéroïdes, ou ceux présentant des signes de PID cliniquement active, n'ont pas été étudiés.
  • +2,7 % des patients traités par RYBREVANT ont présenté une pneumopathie interstitielle diffuse (PID) ou des effets indésirables de type PID (p.ex. pneumopathie inflammatoire). Les patients ayant des antécédents de PID, de PID médicamenteuse ou de pneumopathie radique qui ont nécessité un traitement par stéroïdes, ou ceux présentant des signes de PID cliniquement active, n'ont pas été étudiés.
  • -Des éruptions cutanées (y compris des dermatites acnéiformes), des démangeaisons et une sécheresse de la peau sont survenues chez des patients traités par RYBREVANT. La plupart des cas étaient de gravité 1 ou 2, et des événements de gravité 3 sont survenus chez 3,7% des patients. Des éruptions cutanées sont survenues chez 0,2% des patients, ce qui a entraîné l'arrêt du traitement par RYBREVANT. Les éruptions cutanées se sont généralement développées au cours des 4 premières semaines de traitement (délai médian d'apparition: 14 jours). Une nécrolyse épidermique toxique (NET) s'est produite. Le traitement par RYBREVANT doit être interrompu si une NET est confirmée. Des paronychies sont apparues chez des patients traités par RYBREVANT. La plupart des événements étaient de gravité 1 ou 2, une paronychie de grade 3 est survenue chez 2% des patients.
  • -Les patients doivent être informés de se protéger de la lumière du soleil pendant le traitement par RYBREVANT et pendant les 2 mois qui suivent. À cette fin, il est recommandé de porter des vêtements de protection et d'appliquer un produit solaire. Pour les zones de peau sèche pendant le traitement par RYBREVANT, il est recommandé d'utiliser des émollients sans alcool sous forme de crème. En cas d'apparition d'effets sur la peau et les ongles, commencer à utiliser des corticostéroïdes topiques et des antibiotiques topiques et/ou oraux. En cas d'événements de grade 3 ou d'événements de grade 2 à peine tolérables, le traitement doit être complété par des antibiotiques systémiques et des stéroïdes oraux. Faire éventuellement appel à un(e) dermatologue en tant que consultant(e). En fonction de la gravité, RYBREVANT doit être suspendu, administré à une dose réduite ou arrêté définitivement (voir «Posologie/ Mode d'emploi»).
  • +Des éruptions cutanées (y compris des dermatites acnéiformes), des démangeaisons et une sécheresse de la peau sont survenues chez des patients traités par RYBREVANT. La plupart des cas étaient de gravité 1 ou 2, et des événements de gravité 3 sont survenus chez 3,7 % des patients. Des éruptions cutanées sont survenues chez 0,2 % des patients, ce qui a entraîné l'arrêt du traitement par RYBREVANT. Les éruptions cutanées se sont généralement développées au cours des 4 premières semaines de traitement (délai médian d'apparition: 14 jours). Une nécrolyse épidermique toxique (NET) s'est produite. Le traitement par RYBREVANT doit être interrompu si une NET est confirmée. Des paronychies sont apparues chez des patients traités par RYBREVANT. La plupart des événements étaient de gravité 1 ou 2, une paronychie de grade 3 est survenue chez 2 % des patients.
  • +Les patients doivent être informés de se protéger de la lumière du soleil pendant le traitement par RYBREVANT et pendant les 2 mois qui suivent. À cette fin, il est recommandé de porter des vêtements de protection et d'appliquer un produit solaire. Pour les zones de peau sèche pendant le traitement par RYBREVANT, il est recommandé d'utiliser des émollients sans alcool sous forme de crème. En cas d'apparition d'effets sur la peau et les ongles, commencer à utiliser des corticostéroïdes topiques et des antibiotiques topiques et/ou oraux. En cas d'événements de grade 3 ou d'événements de grade 2 à peine tolérables, le traitement doit être complété par des antibiotiques systémiques et des stéroïdes oraux. Faire éventuellement appel à un(e) dermatologue en tant que consultant(e). En fonction de la gravité, RYBREVANT doit être suspendu, administré à une dose réduite ou arrêté définitivement (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Des affections oculaires, y compris des kératites (0,4%), sont survenues chez des patients traités par RYBREVANT. Les effets indésirables suivants ont également été observés: sécheresse oculaire, vision floue, démangeaisons oculaires, augmentation du larmoiement, détérioration de l'acuité visuelle, hyperhémie oculaire, ptosis et croissance anormale des cils. Tous les événements étaient de gravité 1 à 2. Les patients chez qui les symptômes oculaires s'aggravent doivent être immédiatement adressés à un ophtalmologue. Il est conseillé de ne pas porter de lentilles de contact tant que les symptômes n'ont pas été évalués.
  • +Des affections oculaires, y compris des kératites (0,4 %), sont survenues chez des patients traités par RYBREVANT. Les effets indésirables suivants ont également été observés: sécheresse oculaire, vision floue, démangeaisons oculaires, augmentation du larmoiement, détérioration de l'acuité visuelle, hyperhémie oculaire, ptosis et croissance anormale des cils. Tous les événements étaient de gravité 1 à 2. Les patients chez qui les symptômes oculaires s'aggravent doivent être immédiatement adressés à un ophtalmologue. Il est conseillé de ne pas porter de lentilles de contact tant que les symptômes n'ont pas été évalués.
  • -Ce médicament contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par flacon, c'est-à-dire qu'il est pratiquement «sans sodium».
  • +Ce médicament contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par flacon, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
  • -Étant donné qu'il existe un risque que RYBREVANT puisse causer des dommages à l'enfant à naître chez les femmes enceintes, il est conseillé aux patientes ayant un potentiel reproductif d'utiliser une méthode de contraception efficace pendant le traitement et 3 mois après la dernière dose de RYBREVANT.
  • +Étant donné qu'il existe un risque que RYBREVANT puisse causer des dommages à l'enfant à naître chez les femmes enceintes, il est conseillé aux patientes ayant un potentiel reproductif d'utiliser une méthode de contraception efficace pendant le traitement et jusqu'à 3 mois après la dernière dose de RYBREVANT.
  • -Les effets indésirables les plus fréquents (≥20%) ont été une éruption cutanée, une IRR, une toxicité unguéale, une hypoalbuminémie, une fatigue, un œdème, une stomatite, une constipation et des nausées. Les effets indésirables de grades 3 et 4 les plus fréquents ont été une éruption cutanée (3,9%), des IRR (2,3%) et une toxicité unguéale (2,0%). Les effets indésirables graves chez > 1% des patients ont été une pneumopathie interstitielle diffuse (1,4%), une IRR (1,2%) et une éruption cutanée (1,0%). 4,1% des patients ont arrêté le traitement par RYBREVANT en raison d'effets indésirables. L'effet indésirable le plus fréquent (> 1%) ayant entraîné l'arrêt du traitement était l'IRR (1,6%).
  • +Les effets indésirables les plus fréquents (≥20 %) ont été éruption cutanée, RLP, toxicité unguéale, hypoalbuminémie, fatigue, œdème, stomatite, constipation et nausées. Les effets indésirables de grades 3 et 4 les plus fréquents ont été éruption cutanée (3,9 %), RLP (2,3 %) et toxicité unguéale (2,0 %). Les effets indésirables graves chez > 1 % des patients ont été pneumopathie interstitielle diffuse (1,4%), une RLP (1,2 %) et une éruption cutanée (1,0 %). 4,1 % des patients ont arrêté le traitement par RYBREVANT en raison d'effets indésirables. L'effet indésirable le plus fréquent (> 1 %) ayant entraîné l'arrêt du traitement était la RLP (1,6 %).
  • -Tableau 7: Effets indésirables chez tous les patients traités par l'amivantamab en monothérapie dans l'étude EDI1001
  • +Tableau 7: Effets indésirables chez tous les patients traités par amivantamab en monothérapie dans l'étude EDI1001
  • -Catégorie de fréquence Tous les grades (%) Grade 3 (%) Grade 4 (%)
  • +Catégorie de fréquence Tous grades (%) Grade 3 (%) Grade 4 (%)
  • -Réduction de l'appétit 15,5 0,6 0
  • +Appétit diminué 15,5 0,6 0
  • -Vertigesb Très fréquents 13,1 0,2 0
  • +Sensation vertigineuseb Très fréquents 13,1 0,2 0
  • -Autres affections oculairesc Fréquents 5,5 0 0
  • -Troubles de la visiond Fréquents 2,7 0,2 0
  • +Autres troubles de l'œilc Fréquents 5,5 0 0
  • +Défauts visuelsd Fréquents 2,7 0,2 0
  • -Vomissements 11,7 0,4 0
  • +Vomissement 11,7 0,4 0
  • -Douleurs abdominalesj 10,2 0,6 0
  • +Douleur abdominalej 10,2 0,6 0
  • -Augmentation de le phosphatase alcaline dans le sang 11,7 0,6 0
  • +phosphatase alcaline dans le sang augmentée 11,7 0,6 0
  • -Éruption cutanéel Très fréquents 75,3 3,9 0
  • -Toxicité unguéalem 46,0 2,0 0
  • -Démangeaisons 18,2 0 0
  • -Peau sèchen 17,2 0 0
  • +Rashl Très fréquents 75,3 3,9 0
  • +Toxicité pour les onglesm 46,0 2,0 0
  • +Prurit 18,2 0 0
  • +Sécheresse cutanéen 17,2 0 0
  • -a y compris albumine sanguine réduite, hypoalbuminémie
  • -b y compris vertiges, vertiges d'effort, vertiges posturaux, vertiges rotatoires
  • -c y compris blépharite, hyperémie conjonctivale, irritation de la cornée, sécheresse oculaire, épisclérite, affection oculaire, inflammation oculaire, prurit oculaire, conjonctivite non infectieuse, hyperémie oculaire
  • -d y compris vision floue, diminution de l'acuité visuelle, troubles de la vision
  • +a y compris albumine sanguine diminuée, hypoalbuminémie
  • +b y compris sensation vertigineues, sensation vertigineuse à l'effort, sensation vertigineuse posturale, vertige
  • +c y compris blépharite, hyperémie conjonctivale, irritation cornéenne, sécheresse oculaire, épisclérite, trouble de l'œil, inflammation de l'œil, prurit de l'œil, conjonctivite non infectieuse, hyperémie oculaire
  • +d y compris vision trouble, baisse de l'acuité visuelle, défauts visuels
  • -h y compris ulcération aphteuse, chéilite, glossite, érosion des lèvres, ulcération des lèvres, ulcération buccale, inflammation des muqueuses, stomatite
  • -i y compris constipation, dyschézie
  • -j y compris gêne abdominale, douleurs abdominales, douleurs dans la partie inférieure de l'abdomen, douleurs dans la partie supérieure de l'abdomen, gêne abdominale haute, douleurs gastro-intestinales
  • +h y compris ulcér aphteux, chéilite, glossite, érosion de la lèvre, ulcération labiale, ulcération buccale, inflammation des muqueuses, stomatite
  • +i y compris constipation, dyschésie
  • +j y compris gêne abdominale, douleur abdominale, douleur abdominale basse, douleur abdominale haute, gêne épigastrique, douleur gastro-intestinale
  • -l y compris acné, dermatite, dermatite acnéiforme, érythème, érythème polymorphe, folliculite, impétigo, macule, érythrodysesthésie palmo-plantaire, éruption périnéale, dermatite périorale, pustule, éruption cutanée, éruption érythémateuse, éruption maculeuse, éruption maculo-papuleuse, éruption papuleuse, éruption prurigineuse, éruption pustuleuse, éruption vésiculeuse, desquamation cutanée, lésion cutanée
  • -m y compris incarnation d'un ongle, infection du lit de l'ongle, cuticules déchirées, maladie de l'ongle, dystrophie unguéale, stries de l'ongle, onychoclasie, onycholyse, paronychie
  • -n y compris peau sèche, eczéma, eczéma astéatotique, fissures cutanées, xérodermie
  • +l y compris acné, dermatite, dermatite acnéiforme, érythème, érythème polymorphe, folliculite, impétigo, macule, érythrodysesthésie palmo-plantaire, rash périnéal, dermatite périorale, pustule, rash, rash érythémateux, rash maculeux, rash maculopapuleux, rash papuleux, rash prurigineux, rash pustuleux, rash vésiculeuse, exfoliation cutanée, lésion de la peau
  • +m y compris ongle incarné, infection du lit de l'ongle, cuticules déchirées, trouble unguéal, dystrophie unguéale, striures unguéales, onychoclasie, onycholyse, périonyxis
  • +n y compris sécheresse cutanée, eczéma, eczéma craquelé, fissures cutanées, xérodermie
  • -p y compris œdème oculaire, œdème palpébral, œdème du visage, œdème généralisé, œdème localisé, œdème, œdème périphérique, œdème périorbitaire, gonflement périorbitaire, gonflement périphérique, gonflement du visage
  • +p y compris œdème de l'œil, œdème palpébral, œdème de la face, œdème généralisé, œdème localisé, œdème, œdème périphérique, œdème périorbitaire, gonflement périorbitaire, gonflement périphérique, gonflement du visage
  • -Une pneumopathie interstitielle diffuse ou des effets indésirables de type PID ont été rapportés tant lors de l'utilisation de RYBREVANT que d'autres inhibiteurs de L'EGFR. Une pneumopathie interstitielle diffuse ou une pneumopathie inflammatoire sont survenues chez 2,7% des 489 patients. (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de la santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +Une pneumopathie interstitielle diffuse ou des effets indésirables de type PID ont été rapportés tant lors de l'utilisation de RYBREVANT que d'autres inhibiteurs de L'EGFR. Une pneumopathie interstitielle diffuse ou une pneumopathie inflammatoire sont survenues chez 2,7 % des 489 patients. (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • -Groupe pharmacothérapeutique: Inhibiteur de l'EGFR et de MET
  • -L'amivantamab est un anticorps bispécifique entièrement humanisé ciblant l'EGFR et MET, à base d'IgG1 et à faible teneur en fucose, qui provoque une activation ciblée des cellules immunitaires et cible les tumeurs présentant des mutations activatrices et résistantes de l'EGFR ainsi que des mutations et des amplifications de MET. L'amivantamab se lie au domaine extracellulaire de l'EGFR et de MET.
  • -Les études précliniques montrent que l'amivantamab est actif contre les tumeurs présentant des mutations primaires par insertion dans l'exon 20 activant l'EGFR. L'amivantamab inhibe la signalisation de l'EGFR et de MET en bloquant la liaison du ligand et en renforçant la dégradation de l'EGFR et de MET, empêchant ainsi la croissance et la progression de la tumeur. Étant donné qu'EGFR et MET sont également présents à la surface des cellules tumorales, celles-ci peuvent être ciblées par des cellules effectrices immunitaires telles que les cellules tueuses naturelles et les macrophages, et détruites par la cytotoxicité cellulaire dépendante des anticorps (ADCC) ou les mécanismes de trogocytose.
  • +Amivantamab est un anticorps bispécifique anti-EGFR et anti-MET entièrement humain, à base d'IgG1 et à fucose bas, qui provoque une activation ciblée des cellules immunitaires et cible les tumeurs présentant des mutations activatrices et résistantes de l'EGFR ainsi que des mutations et des amplifications de MET. Amivantamab se lie au domaine extracellulaire de l'EGFR et de MET.
  • +Les études précliniques montrent qu'amivantamab est actif contre les tumeurs présentant des mutations primaires activatrices de l'EGFR par insertion dans l'exon 20. Amivantamab inhibe la signalisation de l'EGFR et de MET en bloquant la liaison du ligand et en renforçant la dégradation de l'EGFR et de MET, empêchant ainsi la croissance et la progression de la tumeur. Étant donné qu'EGFR et MET sont également présents à la surface des cellules tumorales, celles-ci peuvent être ciblées par des cellules effectrices immunitaires telles que les cellules tueuses naturelles et les macrophages, et détruites par la cytotoxicité cellulaire dépendante des anticorps (ADCC) ou les mécanismes de trogocytose.
  • -L'amivantamab a entraîné une diminution de la concentration d'albumine sérique. Cela représente un effet pharmacodynamique de l'inhibition de la voie de signalisation MET, qui se produit typiquement au cours des 8 premières semaines. Par la suite, le taux d'albumine est resté stable jusqu'à la fin du traitement par l'amivantamab.
  • +L'amivantamab a entraîné une diminution de la concentration d'albumine sérique. Cela représente un effet pharmacodynamique de l'inhibition de la voie de signalisation MET, qui se produit typiquement au cours des 8 premières semaines. Par la suite, le taux d'albumine est resté stable jusqu'à la fin du traitement par amivantamab.
  • -Comme pour toutes les protéines thérapeutiques, il existe une possibilité d'immunogénicité avec l'amivantamab. La détection de la formation d'anticorps dépend en grande partie de la sensibilité et de la spécificité de la méthode de test. En outre, l'incidence déterminée d'anticorps positifs (y compris les anticorps neutralisants) peut être influencée par différents facteurs de test, notamment la méthodologie du test, la manipulation des échantillons, le moment du prélèvement, la comédication et les maladies sous-jacentes. Pour ces raisons, la comparaison de l'incidence des anticorps dans différentes études peut être trompeuse.
  • -Dans une étude clinique menée chez des patients atteints de CBNPC localement avancé ou métastatique traités par RYBREVANT, 3 (1%) des 286 patients évaluables ont été testés positifs aux anticorps anti-amivantamab. Les données sont insuffisantes pour évaluer les effets des anticorps anti-amivantamab sur la pharmacocinétique, l'efficacité ou la sécurité de RYBREVANT.
  • +Comme pour toutes les protéines thérapeutiques, il existe une possibilité d'immunogénicité avec amivantamab. La détection de la formation d'anticorps dépend en grande partie de la sensibilité et de la spécificité de la méthode de test. En outre, l'incidence déterminée d'anticorps positifs (y compris les anticorps neutralisants) peut être influencée par différents facteurs de test, notamment la méthodologie du test, la manipulation des échantillons, le moment du prélèvement, la co-médication et les maladies sous-jacentes. Pour ces raisons, la comparaison de l'incidence des anticorps dans différentes études peut être trompeuse.
  • +Dans une étude clinique menée chez des patients atteints de CBNPC localement avancé ou métastatique traités par RYBREVANT, 3 (1 %) des 286 patients évaluables ont été testés positifs aux anticorps anti-amivantamab. Les données sont insuffisantes pour évaluer les effets des anticorps anti-amivantamab sur la pharmacocinétique, l'efficacité ou la sécurité de RYBREVANT.
  • -L'âge médian était de 62 ans (fourchette: 42 à 84 ans), 9% des participants étant âgés de ≥75 ans. 59% étaient des femmes, 49% étaient asiatiques et 37% étaient blancs. Le nombre médian de traitements antérieurs était de 2 (intervalle: 1 à 7 traitements). Au début de l'étude, 99% avaient un indice de performance selon les critères de l'ECOG (Eastern Cooperative Oncology Group) de 0 ou 1 (99%), 53% n'avaient jamais fumé, 75% avaient un cancer de stade IV et 22% avaient reçu au préalable un traitement pour des métastases cérébrales. Des insertions dans l'exon 20 ont été détectées à 8 endroits différents, les plus fréquentes étant A767 (24%), S768 (16%), D770 (11%) et N771 (11%).
  • +L'âge médian était de 62 ans (fourchette: 42 à 84 ans), 9 % des participants étant âgés de ≥75 ans. 59 % étaient des femmes, 49 % étaient asiatiques et 37 % étaient blancs. Le nombre médian de traitements antérieurs était de 2 (intervalle: 1 à 7 traitements). Au début de l'étude, 99 % avaient un indice de performance selon les critères de l'ECOG (Eastern Cooperative Oncology Group) de 0 ou 1 (99 %), 53 % n'avaient jamais fumé, 75 % avaient un cancer de stade IV et 22 % avaient reçu au préalable un traitement pour des métastases cérébrales. Des insertions dans l'exon 20 ont été détectées à 8 endroits différents, les plus fréquentes étant A767 (24 %), S768 (16 %), D770 (11 %) et N771 (11 %).
  • -Taux de réponse globalea,b (IC à 95%) 40% (29%, 51%)
  • -Réponse complète 4%
  • -Réaction partielle 36%
  • +Taux de réponse globalea,b (IC à 95 %) 40 % (29 %, 51 %)
  • +Réponse complète 4 %
  • +Réaction partielle 36 %
  • -Médiane (IC à 95%), moisc 11,1 (6,9; n. e.)
  • -Patients avec DOR ≥6 mois 63%
  • -Survie médiane sans progressiona (IC à 95%), mois 8,3 (6,5; 10,9)
  • -Survie globale médiane (IC à 95%), mois 22,8 (17,5; n. e.)
  • +Médiane (IC à 95 %), moisc 11,1 (6,9; n. e.)
  • +Patients avec DOR ≥6 mois 63 %
  • +Survie médiane sans progressiona (IC à 95 %), mois 8,3 (6,5; 10,9)
  • +Survie globale médiane (IC à 95 %), mois 22,8 (17,5; n.e.)
  • -n. e. = non estimable
  • +n.e. = non estimable
  • -ASC1semaine, µg.h/ml 94 946 (35 440) 76 946 (14 557)
  • -ASC2semaine, µg.h/ml 153 667 (61 092) 121 017 (28 922)
  • +ASC1 semaine, µg.h/ml 94 946 (35 440) 76 946 (14 557)
  • +ASC2 semaine, µg.h/ml 153 667 (61 092) 121 017 (28 922)
  • -aN = 25 pour ASC1semaine et N = 21 pour AR ASC1semaine (1ère dose/5e dose).
  • -b N = 7 pour AR ASC1semaine (1ère dose/5e dose)
  • -L'amivantamab a été administré en perfusion intraveineuse une fois par semaine pendant 4 semaines, puis toutes les 2 semaines en commençant à la semaine 5, les doses étant fractionnées lors de la première dose.
  • +a N = 25 pour ASC1 semaine et N = 21 pour AR ASC1 semaine (1ère dose/5e dose).
  • +b N = 7 pour AR ASC1 semaine (1ère dose/5e dose)
  • +Amivantamab a été administré en perfusion intraveineuse une fois par semaine pendant 4 semaines, puis toutes les 2 semaines en commençant à la semaine 5, les doses étant fractionnées lors de la première dose.
  • -La valeur moyenne ± SD du volume de distribution de l'amivantamab après administration de la dose recommandée de RYBREVANT, estimée sur la base d'une analyse pharmacocinétique de population, était de 5,13 ± 1,78 l.
  • +La valeur moyenne ± SD du volume de distribution d'amivantamab après administration de la dose recommandée de RYBREVANT, estimée sur la base d'une analyse pharmacocinétique de population, était de 5,13 ± 1,78 l.
  • -Aucun effet cliniquement significatif sur la pharmacocinétique de l'amivantamab n'a été observé en cas de légère insuffisance hépatique [(bilirubine totale ≤ LSN et ASAT > LSN) ou (LSN < bilirubine totale ≤1,5 x LSN)]. L'effet d'une insuffisance hépatique modérée (bilirubine totale de 1,5 à 3 x LSN) et sévère (bilirubine totale > 3 x LSN) sur la pharmacocinétique de l'amivantamab n'a pas été étudié.
  • +Aucun effet cliniquement significatif sur la pharmacocinétique d'amivantamab n'a été observé en cas de légère insuffisance hépatique [(bilirubine totale ≤ LSN et ASAT > LSN) ou (LSN < bilirubine totale ≤1,5 x LSN)]. L'effet d'une insuffisance hépatique modérée (bilirubine totale de 1,5 à 3 x LSN) et sévère (bilirubine totale > 3 x LSN) sur la pharmacocinétique d'amivantamab n'a pas été étudié.
  • -Aucun effet cliniquement significatif sur la pharmacocinétique de l'amivantamab n'a été observé chez les patients présentant une insuffisance rénale légère (60 ≤ clairance de la créatinine [ClCr] < 90 ml/min) ou modérée (29 ≤ ClCr < 60 ml/min). L'effet d'une insuffisance rénale sévère (15 ≤ ClCr < 29 ml/min) sur la pharmacocinétique de l'amivantamab n'a pas été étudié.
  • +Aucun effet cliniquement significatif sur la pharmacocinétique d'amivantamab n'a été observé chez les patients présentant une insuffisance rénale légère (60 ≤ clairance de la créatinine [ClCr] < 90 ml/min) ou modérée (29 ≤ ClCr < 60 ml/min). L'effet d'une insuffisance rénale sévère (15 ≤ ClCr < 29 ml/min) sur la pharmacocinétique d'amivantamab n'a pas été étudié.
  • -Aucun effet cliniquement significatif de l'âge (32 à 87 ans) sur la pharmacocinétique de l'amivantamab n'a été observé.
  • +Aucun effet cliniquement significatif de l'âge (32 à 87 ans) sur la pharmacocinétique d'amivantamab n'a été observé.
  • -La clairance de l'amivantamab était 24% plus élevée chez les hommes que chez les femmes. Cette différence a toutefois été jugée non significative sur le plan clinique.
  • +La clairance d'amivantamab était 24 % plus élevée chez les hommes que chez les femmes. Cette différence a toutefois été jugée non significative sur le plan clinique.
  • -Le volume de distribution central et la clairance de l'amivantamab ont augmenté avec l'augmentation du poids corporel. À dose égale, l'exposition à l'amivantamab est 30 à 40% plus faible chez les patients dont le poids corporel est ≥80 kg que chez les patients dont le poids corporel est <80 kg. Des concentrations similaires d'amivantamab ont été obtenues en utilisant la dose recommandée de RYBREVANT chez les patients dont le poids corporel est <80 kg (1050 mg) et chez les patients dont le poids corporel est ≥80 kg (1400 mg).
  • +Le volume de distribution central et la clairance d'amivantamab ont augmenté avec l'augmentation du poids corporel. À dose égale, l'exposition à amivantamab est 30 à 40 % plus faible chez les patients dont le poids corporel est ≥80 kg que chez les patients dont le poids corporel est <80 kg. Des concentrations similaires d'amivantamab ont été obtenues en utilisant la dose recommandée de RYBREVANT chez les patients dont le poids corporel est <80 kg (1050 mg) et chez les patients dont le poids corporel est ≥80 kg (1400 mg).
  • -Dans des études de toxicité à doses multiples réalisées chez le singe cynomolgus, l'amivantamab a été bien toléré à des doses hebdomadaires allant jusqu'à 120 mg/kg administrées par voie intraveineuse pendant 6 semaines ou 3 mois (~6-8 x Cmax et ~5-7 x ASC chez l'homme après des doses intraveineuses de 1050 et 1400 mg). Il n'y a eu aucun effet sur la fonction cardiovasculaire, respiratoire ou neurologique. La pathologie clinique a révélé des augmentations non néfastes de l'alanine aminotransférase (ALAT), de l'aspartate aminotransférase (ASAT) et des globulines dans le sérum et une diminution non néfaste de l'albumine par rapport au groupe témoin. Toutes les valeurs étaient réversibles et sont revenues dans les normes après l'arrêt du traitement.
  • +Dans des études de toxicité à doses multiples réalisées chez le singe cynomolgus, amivantamab a été bien toléré à des doses hebdomadaires allant jusqu'à 120 mg/kg administrées par voie intraveineuse pendant 6 semaines ou 3 mois (~6-8 x Cmax et ~5-7 x ASC chez l'homme après des doses intraveineuses de 1050 et 1400 mg). Il n'y a eu aucun effet sur la fonction cardiovasculaire, respiratoire ou neurologique. La pathologie clinique a révélé des augmentations non néfastes de l'alanine aminotransférase (ALAT), de l'aspartate aminotransférase (ASAT) et des globulines dans le sérum et une diminution non néfaste de l'albumine par rapport au groupe témoin. Toutes les valeurs étaient réversibles et sont revenues dans les normes après l'arrêt du traitement.
  • -Aucune étude animale n'a été menée pour déterminer le potentiel carcinogène et génotoxique de l'amivantamab.
  • +Aucune étude animale n'a été menée pour déterminer le potentiel carcinogène et génotoxique d'amivantamab.
  • -Aucune étude de toxicité sur la reproduction n'a été réalisée pour évaluer les effets potentiels de l'amivantamab.
  • +Aucune étude de toxicité sur la reproduction n'a été réalisée pour évaluer les effets potentiels d'amivantamab.
  • -En dehors de ceux mentionnés dans la rubrique «Remarques concernant la manipulation», ce médicament ne doit pas être mélangé avec d'autres médicaments.
  • +Ce médicament ne peut être mélangé qu'aux médicaments mentionnés sous «Remarques concernant la manipulation».
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage (voir la date de péremption sur l'emballage extérieur).
  • +Ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • -La stabilité chimique et physique de la solution diluée a été démontrée pendant une période de 10 heures à une température comprise entre 15 et 25 °C. D'un point de vue microbiologique, la solution diluée doit être utilisée immédiatement, à moins que la dilution n'ait été effectuée dans des conditions aseptiques contrôlées et validées. Si la solution n'est pas utilisée immédiatement, la durée et les conditions de stockage relèvent de la responsabilité de l'utilisateur.
  • -Perfuser les solutions diluées dans les 10 heures (durée de perfusion incluse) à température ambiante (15 °C à 25 °C) et à la lumière ambiante.
  • +La stabilité chimique et physique de la solution diluée a été démontrée pendant une période de 10 heures à une température de 15-25 °C. D'un point de vue microbiologique, la solution diluée doit être utilisée immédiatement, à moins que la dilution n'ait été effectuée dans des conditions aseptiques contrôlées et validées. Si la solution n'est pas utilisée immédiatement, la durée et les conditions de stockage relèvent de la responsabilité de l'utilisateur.
  • +Perfuser les solutions diluées dans les 10 heures (durée de perfusion incluse) à température ambiante (15-25 °C) et à la lumière ambiante.
  • -Conserver le récipient dans le carton d'origine pour le protéger de la lumière.
  • -En ce qui concerne les conditions de stockage après dilution du médicament, voir «Stabilité».
  • -Conserver hors de la vue et de la portée des enfants.
  • +Conserver dans l'emballage d'origine pour protéger le contenu de la lumière.
  • +Concernant les conditions de stockage après dilution du médicament: voir «Stabilité après ouverture».
  • +Conserver hors de portée des enfants.
  • -Préparation de l'application
  • -La solution RYBREVANT doit être diluée et préparée pour la perfusion intraveineuse par un professionnel de la santé qui doit utiliser des techniques aseptiques (voir également «Remarques particulières»).
  • -1.Détermination de la dose nécessaire (1050 mg ou 1400 mg) et du nombre de flacons de RYBREVANT nécessaires en fonction du poids initial du patient (voir «Posologie/Mode d'emploi» et tableau ci-dessous). Chaque flacon de RYBREVANT (7 ml) contient 350 mg d'amivantamab.
  • +Préparation de l'administration
  • +La solution RYBREVANT doit être diluée et préparée pour la perfusion intraveineuse par un professionnel de santé qui doit utiliser des techniques aseptiques (voir également «Remarques particulières»).
  • +1.Déterminer la dose nécessaire (1050 mg ou 1400 mg) et le nombre de flacons de RYBREVANT nécessaires en fonction du poids initial du patient (voir «Posologie/Mode d'emploi» et tableau ci-dessous). Chaque flacon de RYBREVANT (7 ml) contient 350 mg d'amivantamab.
  • -2.La solution de RYBREVANT doit être incolore à jaune clair. Ne pas utiliser en présence d'un changement de couleur ou de particules visibles.
  • -3.Prélever de la poche de perfusion de 250 ml contenant une solution de dextrose à 5% [solution de glucose] ou du chlorure de sodium à 0,9% le volume correspondant au volume de RYBREVANT à administrer et le jeter (c'est-à-dire prélever pour chaque flacon de RYBREVANT 7 ml de diluant de la poche de perfusion et jeter ce volume). Les poches de perfusion doivent être en chlorure de polyoléfine (PVC), en polypropylène (PP), en polyéthylène (PE) ou être constituées d'un mélange de polyoléfines (PP + PE).
  • -4.Prélever 7 ml de RYBREVANT de chaque flacon et les ajouter dans la poche de perfusion. Le volume final dans la poche de perfusion doit être de 250 ml. Chaque flacon contient une quantité excédentaire de 0,5 ml, ce qui garantit qu'une quantité suffisante peut être prélevée. Les quantités résiduelles non utilisées dans le flacon doivent être jetées.
  • -5.Retourner délicatement la poche pour mélanger la solution. Ne pas secouer.
  • -6.Examiner visuellement la solution diluée avant de l'administrer. Ne pas utiliser en présence d'un changement de couleur ou de particules visibles.
  • -7.Perfuser les solutions diluées dans les 10 heures (durée de perfusion incluse) à température ambiante (15 °C à 25 °C) et à la lumière ambiante.
  • +2.Vérifier que la solution de RYBREVANT est incolore à jaune clair. Ne pas utiliser en présence d'un changement de coloration ou de particules visibles.
  • +3.Prélever de la poche de perfusion de 250 ml contenant une solution de glucose à 5 % ou une solution de chlorure de sodium à 0,9 % le volume correspondant au volume de RYBREVANT à administrer et le jeter (c'est-à-dire prélever pour chaque flacon de RYBREVANT 7 ml de diluant de la poche de perfusion et jeter ce volume). Les poches de perfusion doivent être constituées de polychlorure de vinyle (PVC), de polypropylène (PP), de polyéthylène (PE) ou de polyoléfine mixte (PP+PE).
  • +4.Prélever 7 ml de RYBREVANT de chaque flacon et les ajouter dans la poche de perfusion. Le volume final dans la poche de perfusion doit être de 250 ml. Chaque flacon contient un surplus de 0,5 ml, afin de garantir qu'une quantité suffisante peut être prélevée. Les quantités résiduelles non utilisées dans le flacon doivent être jetées.
  • +5.Retourner délicatement la poche pour mélanger la solution. Ne pas agiter.
  • +6.Examiner visuellement la solution diluée avant l'administration. Ne pas utiliser en présence d'un changement de coloration ou de particules visibles.
  • +7.Perfuser les solutions diluées dans les 10 heures (durée de perfusion incluse) à température ambiante (15-25 °C) et à la lumière ambiante.
  • -1.Perfuser la solution diluée par voie intraveineuse en utilisant un kit de perfusion équipé d'un régulateur de débit et d'un filtre en ligne (PES) stérile et non pyrogène à faible liaison protéique (taille des pores: 0,2 micromètre). Les kits de perfusion doivent être en polyuréthane (PU), polybutadiène (PBD), PVC, PP ou PE.
  • -2.RYBREVANT ne doit pas être administré en même temps que d'autres médicaments par la même voie intraveineuse.
  • -3.Le médicament est destiné à un usage unique. Éliminer tout médicament non utilisé conformément à la réglementation locale.
  • +1.Administrer la solution diluée par perfusion intraveineuse en utilisant un kit de perfusion équipé d'un régulateur de débit et d'un filtre en ligne en polyéthersulfone (PES) stérile et non pyrogène à faible liaison protéique (taille de pore: 0,2 micromètre). Les kits de perfusion doivent être en polyuréthane (PU), polybutadiène (PBD), PVC, PP ou PE.
  • +2.RYBREVANT ne doit pas être administré simultanément dans la même ligne de perfusion intraveineuse que d'autres médicaments..
  • +3.Le médicament est àusage unique. Éliminer tout médicament non utilisé conformément à la réglementation nationale en vigueur.
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