114 Changements de l'information professionelle Rybrevant 350 mg/7 ml |
-Amivantamab est un anticorps bispécifique de type Immunoglobuline G1 (IgG1) produit par des cellules d'ovaires de hamster chinois [OHC] à l'aide de la technologie de l'ADN recombinant.
- +L'amivantamab est un anticorps bispécifique de type Immunoglobuline G1 (IgG1) produit par des cellules d'ovaires de hamster chinois [OHC] à l'aide de la technologie de l'ADN recombinant.
-Édétate disodique (équivalent à 17 μg de sodium), L-histidine, chlorhydrate de L-histidine monohydraté, L-méthionine, polysorbate 80, saccharose (595 mg), eau pour préparations injectables.
- +Édétate disodique, L-histidine, chlorhydrate de L-histidine monohydraté, L-méthionine, polysorbate 80, saccharose, eau pour préparations injectables.
- +Teneur totale en sodium: 17 µg/7 ml.
- +
-RYBREVANT est utilisé en monothérapie pour traiter les patients atteints de cancer bronchique non à petites cellules (CBNPC) métastatique ou non résécable, avec mutations activatrices du récepteur du facteur de croissance épidermique (EGFR) par insertion dans l'exon 20 et dont la maladie a progressé pendant ou après une chimiothérapie à base de sels de platine.
- +RYBREVANT est indiqué:
- +·en association avec le carboplatine et le pémétrexed dans le traitement des patients adultes atteints de cancer bronchique non à petites cellules (CBNPC) localement avancé ou métastatique avec délétions dans l'exon 19 de l'EGFR ou mutations de substitution dans l'exon 21 L858R, chez lesquels la maladie a progressé pendant ou après un traitement par osimertinib (voir «Efficacité clinique»).
- +·en monothérapie dans le traitement des patients atteints de CBNPC métastatique ou non résécable, avec mutations activatrices par insertion dans l'exon 20 de l'EGFR, chez lesquels la maladie a progressé pendant ou après une chimiothérapie à base de platine.
-RYBREVANT est destiné à être administré par un professionnel de santé. En cas de survenue de réactions liées à la perfusion (RLP), des mesures de soutien médical appropriées sont nécessaires (voir «Mises en garde et précautions»).
-Une médication pré-perfusion est nécessaire (voir «Posologie/Mode d'emploi – médicament de pré-perfusion»).
-Le patient est éligible au traitement par RYBREVANT si une mutation par insertion dans l'exon 20 de l'EGFR est détectée à l'aide d'un test validé réalisé sur le plasma ou les tissus (voir «Pharmacodynamique - Efficacité clinique»).
- +RYBREVANT est destiné à être administré par un professionnel de santé. En cas de survenue de réactions liées à la perfusion (RLP), des mesures de soutien médical appropriées sont nécessaires (voir «Mises en garde et précautions»). Une médication pré-perfusion est nécessaire (voir «Posologie/Mode d'emploi – médication pré-perfusion»).
- +RYBREVANT dilué est administré par voie intraveineuse selon les débits de perfusion indiqués dans les tableaux 3 et 4, la première dose de perfusion de la semaine 1 étant répartie entre le jour 1 et le jour 2.
- +Le patient est éligible au traitement par RYBREVANT si un statut mutationnel EGFR -positif est détecté à l'aide d'un test validé réalisé sur le plasma ou les tissus (voir «Pharmacodynamique - Efficacité clinique»).
-Le tableau 1 indique la posologie recommandée de RYBREVANT et le tableau 2 le schéma posologique.
-Tableau 1: Dose recommandée de RYBREVANT
-Poids corporel du patient (au début du traitement*) Posologie recommandée
-Moins de 80 kg 1050 mg
-80 kg ou plus 1400 mg
-
-* Aucun ajustement de la posologie n'est nécessaire en cas de modification du poids corporel après le début du traitement.
-Tableau 2: Schéma posologique pour RYBREVANT
-Semaine Schéma
-Semaine 1 à 4 Hebdomadaire (4 doses en tout)
-À partir de la semaine 5 Toutes les 2 semaines en commençant à la semaine 5
- +RYBREVANT en association avec le carboplatine et le pémétrexed
- +La posologie recommandée de RYBREVANT en association avec 4 cycles de carboplatine et de pémétrexed, puis poursuivi en association avec le pémétrexed jusqu'à survenue d'une progression de la maladie ou d'une toxicité inacceptable est indiquée dans le tableau 1 (débits de perfusion - voir tableau 3).
- +Tableau 1: Dose recommandée et schéma posologique sur 3 semaines de RYBREVANT
- +Poids corporel du patient – Valeur initialea Dose de RYBREVANT Posologie recommandée
- +Moins de 80 kg 1400 mg Hebdomadaire (4 doses au total) des semaines 1 à 4 ·Semaine 1 - Répartition de la dose de perfusion entre le jour 1 et le jour 2 ·Semaines 2 à 4: Perfusion le jour 1
- +1750 mg Toutes les 3 semaines à partir de la semaine 7
- +80 kg ou plus 1750 mg Hebdomadaire (4 doses au total) des semaines 1 à 4 ·Semaine 1 - Répartition de la dose de perfusion entre le jour 1 et le jour 2 ·Semaines 2 à 4: Perfusion le jour 1
- +2100 mg Toutes les 3 semaines à partir de la semaine 7
- +a Aucun ajustement de la posologie n'est nécessaire en cas de modification du poids corporel après le début du traitement.
- +
- +En cas d'association avec le carboplatine et le pémétrexed, RYBREVANT doit être administré après le carboplatine et le pémétrexed, dans l'ordre suivant: pémétrexed, carboplatine, puis RYBREVANT. Les instructions posologiques pour le carboplatine et le pémétrexed figurent dans «Efficacité clinique» et dans l'information professionnelle du titulaire de l'autorisation correspondante.
- +Monothérapie
- +La posologie recommandée de RYBREVANT en monothérapie est indiquée dans le tableau 2 (débits de perfusion - voir tableau 4).
- +Tableau 2: Dose recommandée et schéma posologique sur 2 semaines de RYBREVANT
- +Poids corporel du patient – valeur initialea Dose recommandée Schéma posologique
- +Moins de 80 kg 1050 mg Hebdomadaire (4 doses au total) des semaines 1 à 4 ·Semaine 1 - Répartition de la dose de perfusion entre le jour 1 et le jour 2 ·Semaines 2 à 4: Perfusion le jour 1
- +Toutes les 2 semaines à partir de la semaine 5
- +80 kg ou plus 1400 mg Hebdomadaire (4 doses au total) des semaines 1 à 4 ·Semaine 1 - Répartition de la dose de perfusion entre le jour 1 et le jour 2 ·Semaines 2 à 4: Perfusion le jour 1
- +Toutes les 2 semaines à partir de la semaine 5
- +a Aucun ajustement de la posologie n'est nécessaire en cas de modification du poids corporel après le début du traitement.
-RYBREVANT est perfusé par voie intraveineuse aux débits de perfusion indiqués dans le tableau 3. En raison de la fréquence des RLP à la première dose, une perfusion dans une veine périphérique doit être envisagée aux semaines 1 et 2 afin de minimiser l'exposition au médicament en cas de RLP. Dans les semaines qui suivent (à partir de la semaine 3), la perfusion peut se faire par une voie centrale. Il est recommandé de diluer la première dose aussi peu de temps que possible avant l'administration afin d'assurer une flexibilité maximale dans le traitement des RLP.
-Tableau 3: Débits de perfusion pour le traitement par RYBREVANT
-Dose de 1050 mg
- +La perfusion de RYBREVANT est réalisée par voie intraveineuse toutes les 3 semaines aux débits de perfusion indiqués dans le tableau 3 ou toutes les 2 semaines aux débits de perfusion indiqués dans le tableau 4. En raison de la fréquence des RLP à la première dose, une perfusion dans une veine périphérique doit être envisagée aux semaines 1 et 2 afin de minimiser l'exposition au médicament en cas de RLP. Dans les semaines qui suivent (à partir de la semaine 3), la perfusion peut se faire par une voie centrale. Il est recommandé de diluer la première dose aussi peu de temps que possible avant l'administration afin d'assurer une flexibilité maximale dans le traitement des RLP.
- +Tableau 3: Débits de perfusion pour le traitement par RYBREVANT toutes les 3 semaines
- +Poids corporel inférieur à 80 kg
- +Semaine Dose (par poche de 250 ml) Débit de perfusion initial Débit de perfusion suivant†
- +Semaine 1 (répartition de la dose de perfusion)
- +Semaine 1 jour 1 350 mg 50 ml/h 75 ml/h
- +Semaine 1 jour 2 1050 mg 33 ml/h 50 ml/h
- +Semaine 2 1400 mg 65 ml/h
- +Semaine 3 1400 mg 85 ml/h
- +Semaine 4 1400 mg 125 ml/h
- +Semaines suivantes* 1750 mg 125 ml/h
- +Poids corporel de 80 kg ou supérieur
- +Semaine Dose (par poche de 250 ml) Débit de perfusion initial Débit de perfusion suivant†
- +Semaine 1 (répartition de la dose de perfusion)
- +Semaine 1 jour 1 350 mg 50 ml/h 75 ml/h
- +Semaine 1 jour 2 1400 mg 25 ml/h 50 ml/h
- +Semaine 2 1750 mg 65 ml/h
- +Semaine 3 1750 mg 85 ml/h
- +Semaine 4 1750 mg 125 ml/h
- +Semaines suivantes* 2100 mg 125 ml/h
- +* Traitement toutes les 3 semaines à partir de la semaine 7. † Si aucune réaction liée à la perfusion ne se produit, le débit de perfusion initial peut être augmenté après 2 heures pour atteindre le débit de perfusion suivant.
- +
- +Tableau 4: Débits de perfusion pour le traitement par RYBREVANT toutes les 2 semaines
- +Poids corporel inférieur à 80 kg
-Dose de 1400 mg
-Semaine Dose (par poche de 250 ml) Débit de perfusion initial Débit de perfusion suivant
- +Poids corporel de 80 kg ou supérieur
- +Semaine Dose (par poche de 250 ml) Débit de perfusion initial Débit de perfusion suivant†
-*À partir de la semaine 5, les patients reçoivent leur dose toutes les 2 semaines, en commençant à la semaine 5. † Si aucune réaction liée à la perfusion ne se produit, le débit de perfusion initial peut être augmenté après 2 heures pour atteindre le débit de perfusion prévu pour les perfusions suivantes.
- +* Traitement toutes les 2 semaines à partir de la semaine 5. † Si aucune réaction liée à la perfusion ne se produit, le débit de perfusion initial peut être augmenté après 2 heures pour atteindre le débit de perfusion suivant.
-Médicament de pré-perfusion
-Pour réduire le risque des RLP, des antihistaminiques, des antipyrétiques et des glucocorticoïdes doivent être administrés avant la première perfusion de RYBREVANT (semaine 1, jours 1 et 2) (voir tableau 4). À partir de la semaine 2, des antihistaminiques et des antipyrétiques doivent être administrés avant les perfusions (voir tableau 4). Des antiémétiques peuvent être administrés si nécessaire.
-Tableau 4: Prémédication
-Médicament Dose Mode d'administration Fenêtre posologique avant la perfusion de RYBREVANT
- +Médication pré-perfusion
- +Pour réduire le risque des RLP, des antihistaminiques, des antipyrétiques et des glucocorticoïdes doivent être administrés avant la première perfusion de RYBREVANT (semaine 1, jours 1 et 2) (voir tableau 5). À partir de la semaine 2, des antihistaminiques et des antipyrétiques doivent être administrés avant les perfusions (voir tableau 5). Des antiémétiques peuvent être administrés si nécessaire.
- +Tableau 5: Prémédication
- +Prémédication Dose Mode d'administration Fenêtre posologique avant la perfusion de RYBREVANT
-Glucocorticoïde‡ Dexaméthasone (10 mg) ou méthylprednisolone (40 mg) ou principe actif équivalent Voie intraveineuse 45 à 60 minutes
- +Glucocorticoïde‡ Dexaméthasone (20 mg) ou principe actif équivalent Voie intraveineuse 60 à 120 minutes
- +Glucocorticoïde+ Dexaméthasone (10 mg) ou principe actif équivalent Voie intraveineuse 45 à 60 minutes
- +* Nécessaire pour chaque dose. ‡ Nécessaire à la première dose (semaine 1, jour 1). + Nécessaire à la deuxième dose (semaine 1, jour 2); facultatif pour les doses suivantes.
- +
-* Nécessaire pour chaque dose.
-‡ Nécessaire pour la première dose (semaine 1, jours 1 et 2); facultatif pour les doses suivantes.
-Les réductions de dose recommandées en raison d'effets indésirables (voir tableau 6) sont énumérées dans le tableau 5.
-Tableau 5: Réductions de la dose de RYBREVANT en cas d'effets indésirables
-Poids corporel au début du traitement Dose initiale 1ère réduction de la dose 2e réduction de la dose 3e ajustement de la dose
-Moins de 80 kg 1050 mg 700 mg 350 mg Arrêter RYBREVANT
-80 kg ou plus 1400 mg 1050 mg 700 mg
-
-Les ajustements posologiques recommandés en raison d'effets indésirables sont mentionnés dans le tableau 6.
-Tableau 6: Ajustements de la dose de RYBREVANT en raison d'effets indésirables
-Effets indésirables Gravité Ajustement de la dose
-Réactions liées à la perfusion (RLP) (voir «Mises en garde et précautions») Grades 1 à 3 ·La perfusion doit être interrompue dès les premiers signes de RLP. ·Si cela s'avère cliniquement nécessaire, administrer des médicaments de soutien supplémentaires (p.ex. glucocorticoïdes, antihistaminiques, antipyrétiques et antiémétiques supplémentaires). ·Après la disparition des symptômes, poursuivre la perfusion à 50 % du dernier débit de perfusion. ·En l'absence d'autres symptômes, le débit peut être augmenté conformément aux recommandations du tableau 3. ·Avant la dose suivante, administrer un médicament de pré-perfusion (voir tableau 4).
- +Les réductions de dose recommandées en raison d'effets indésirables (voir tableau 7) sont énumérées dans le tableau 6.
- +Tableau 6: Réductions de la dose de RYBREVANT en cas d'effets indésirables
- +Dose* 1ère réduction de la dose 2e réduction de la dose 3e ajustement de la dose
- +1050 mg 700 mg 350 mg Arrêter RYBREVANT
- +1400 mg 1050 mg 700 mg
- +1750 mg 1400 mg 1050 mg
- +2100 mg 1750 mg 1400 mg
- +* Dose à laquelle un effet indésirable est survenu
- +
- +Les ajustements posologiques recommandés en raison d'effets indésirables sont mentionnés dans le tableau 7.
- +Tableau 7: Ajustements de la dose de RYBREVANT en raison d'effets indésirables
- +Effets indésirables Grade de sévérité Ajustement de la dose
- +Réactions liées à la perfusion (RLP) (voir «Mises en garde et précautions») Grades 1 à 3 ·La perfusion doit être interrompue dès les premiers signes de RLP. ·Si cela s'avère cliniquement nécessaire, administrer des médicaments de soutien supplémentaires (p.ex. glucocorticoïdes, antihistaminiques, antipyrétiques et antiémétiques supplémentaires). ·Après la disparition des symptômes, poursuivre la perfusion à 50% du dernier débit de perfusion. ·En l'absence d'autres symptômes, le débit peut être augmenté conformément aux recommandations des tableaux 3 et 4. ·Avant la dose suivante, administrer une médication pré-perfusion (voir tableau 5).
-Incidence sur la peau et les ongles (voir «Mises en garde et précautions») Grade 2 ·Instaurer des mesures de soutien. ·En l'absence d'amélioration au bout de 2 semaines, envisager une réduction de la dose (voir tableau 5).
-Grade 3 ·Instaurer des mesures de soutien. ·Interruption du traitement jusqu'à une amélioration de l'effet indésirable à ≤ grade 2. ·Reprise du traitement à une dose réduite (voir tableau 5).
-Grade 4 (incluant des maladies cutanées bulleuses, vésiculeuses ou squameuses graves (y compris la nécrolyse épidermique toxique (NET)) Arrêter le traitement définitivement.
-Autres effets indésirables (voir «Effets indésirables») Grade 3 ·Interruption du traitement jusqu'à l'amélioration de l'effet indésirable à ≤ grade 1 ou jusqu'au rétablissement de l'état au début du traitement. ·Poursuite à la même dose si le rétablissement a lieu dans un délai d'une semaine. ·Poursuite à une dose réduite (voir tableau 5) si le rétablissement a lieu après plus d'une semaine. ·Arrêt définitif si aucun rétablissement n'a lieu dans un délai de 4 semaines.
-Grade 4 ·Interruption du traitement jusqu'à l'amélioration de l'effet indésirable à ≤ grade 1 ou jusqu'au rétablissement de l'état au début du traitement. ·Poursuite à une dose réduite (voir tableau 5) si le rétablissement a lieu dans un délai de 4 semaines. ·Arrêt définitif si aucun rétablissement n'a lieu dans un délai de 4 semaines.
- +Réactions au niveau de la peau et des ongles (voir «Mises en garde et précautions») Grade 1 ·Instaurer des mesures de soutien. ·Réévaluer après 2 semaines
- +Grade 2 ·Instaurer des mesures de soutien. ·En l'absence d'amélioration au bout de 2 semaines, envisager une réduction de la dose (voir tableau 6).
- +Grade 3 ·Instaurer des mesures de soutien. ·Interruption du traitement jusqu'à une amélioration de l'effet indésirable à un grade ≤2. ·Reprise du traitement à une dose réduite (voir tableau 6).
- +Grade 4 (incluant des maladies cutanées bulleuses, vésiculeuses ou squameuses graves (y compris nécrolyse épidermique toxique (NET))) Arrêter le traitement définitivement.
- +Autres effets indésirables (voir «Effets indésirables») Grade 3 ·Interruption du traitement jusqu'à l'amélioration de l'effet indésirable à un grade ≤1 ou jusqu'au rétablissement de l'état au début du traitement. ·Poursuite à la même dose si le rétablissement a lieu dans un délai d'une semaine. ·Poursuite à une dose réduite (voir tableau 6) si le rétablissement a lieu après plus d'une semaine. ·Arrêt définitif si aucun rétablissement n'a lieu dans un délai de 4 semaines.
- +Grade 4 ·Interruption du traitement jusqu'à l'amélioration de l'effet indésirable à un grade ≤1 ou jusqu'au rétablissement de l'état au début du traitement. ·Poursuite à une dose réduite (voir tableau 6) si le rétablissement a lieu dans un délai de 4 semaines. ·Arrêt définitif si aucun rétablissement n'a lieu dans un délai de 4 semaines.
-Aucune étude formelle d'amivantamab n'a été réalisée chez les patients présentant une insuffisance hépatique. Sur la base d'analyses pharmacocinétiques de population, aucun ajustement posologique n'est nécessaire chez les patients présentant une légère insuffisance hépatique. On ne dispose pas de données concernant les patients présentant une insuffisance hépatique modérée ou sévère (voir «Pharmacocinétique»).
- +Aucune étude formelle évaluant l'amivantamab n'a été réalisée chez les patients présentant une insuffisance hépatique. Sur la base d'analyses pharmacocinétiques de population, aucun ajustement posologique n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère. On ne dispose pas de données concernant les patients présentant une insuffisance hépatique modérée ou sévère (voir «Pharmacocinétique»).
-Aucune étude formelle d'amivantamab n'a été réalisée chez les patients présentant une insuffisance rénale. Sur la base d'analyses pharmacocinétiques de population, aucun ajustement posologique n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance rénale légère ou modérée. On ne dispose pas de données concernant les patients présentant une insuffisance rénale sévère (voir «Pharmacocinétique»).
- +Aucune étude formelle évaluant l'amivantamab n'a été réalisée chez les patients présentant une insuffisance rénale. Sur la base d'analyses pharmacocinétiques de population, aucun ajustement posologique n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance rénale légère ou modérée. On ne dispose pas de données concernant les patients présentant une insuffisance rénale sévère (voir «Pharmacocinétique»).
-Sur les 362 patients traités par RYBREVANT dans le cadre de l'EDI1001 (CHRYSALIS), 41 % étaient âgés de 65 ans ou plus et 12 % étaient âgés de 75 ans ou plus. Aucune différence globale en termes de sécurité ou d'efficacité n'a été observée entre ces patients et les plus jeunes. Aucun ajustement de posologie n'est nécessaire (voir «Pharmacocinétique»).
- +Sur les 661 patients traités par RYBREVANT dans le cadre des études EDI1001 (CHRYSALIS), NSC3001 (PAPILLON) et NSC3002 (MARIPOSA-2) 40% étaient âgés de 65 ans ou plus et 10% étaient âgés de 75 ans ou plus. Aucune différence globale en termes de sécurité ou d'efficacité n'a été observée entre ces patients et les patients plus jeunes. Aucun ajustement de posologie n'est nécessaire (voir «Pharmacocinétique»).
-Si une dose de RYBREVANT n'est pas administrée comme prévu, il convient de la prendre dès que possible et d'adapter le plan de dosage en conséquence, tout en respectant l'intervalle de traitement.
- +Si une dose de RYBREVANT a été omise, elle doit être administrée dès que possible et le schéma posologique doit être adapté en conséquence, tout en maintenant l'intervalle de traitement.
-Les données décrites dans la rubrique «Mises en garde et précautions» reflètent le profil de sécurité chez 489 patients atteints de CBNPC localement avancé ou métastatique qui ont reçu au moins une dose de RYBREVANT en monothérapie dans l'étude EDI1001.
-Réactions liées à la perfusion
-Des réactions liées à la perfusion sont survenues chez 66,7 % des patients traités par RYBREVANT. 98 % des RLP étaient de grade 1 ou 2. 94 % des RLP sont survenues dans les 60 minutes (médiane) lors de la première perfusion. Les signes et symptômes les plus courants sont des frissons, des nausées, une dyspnée, des bouffées vasomotrices, une gêne thoracique et des vomissements.
-Pour réduire le risque de RLP , des antihistaminiques, des antipyrétiques et des glucocorticoïdes doivent être administrés avant la première perfusion de RYBREVANT (semaine 1). Des antihistaminiques et des antipyrétiques doivent être administrés avant les perfusions suivantes. La première perfusion de RYBREVANT doit être administrée à la semaine 1, répartie sur les jours 1 et 2 (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
-RYBREVANT doit être administré dans un environnement où un soutien médical adéquat pour le traitement des RLP est disponible. Au premier signe de RLP , la perfusion de RYBREVANT doit être interrompue. Si cela est cliniquement nécessaire, des médicaments (glucocorticoïdes, antihistaminiques, antipyrétiques) doivent être administrés pour traiter les RLP. Après la disparition des symptômes, la perfusion peut être poursuivie à 50 % du dernier débit de perfusion. En cas de RLP récurrents de grade 3 ou 4, RYBREVANT doit être arrêté définitivement (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
-Pneumopathie interstitielle diffuse
-2,7 % des patients traités par RYBREVANT ont présenté une pneumopathie interstitielle diffuse (PID) ou des effets indésirables de type PID (p.ex. pneumopathie inflammatoire). Les patients ayant des antécédents de PID, de PID médicamenteuse ou de pneumopathie radique qui ont nécessité un traitement par stéroïdes, ou ceux présentant des signes de PID cliniquement active, n'ont pas été étudiés.
-Les patients doivent être surveillés afin de détecter tout symptôme évocateur d'une PID/pneumopathie inflammatoire (p.ex. dyspnée, toux, fièvre). Si des symptômes apparaissent, le traitement par RYBREVANT doit être interrompu jusqu'à ce que ces symptômes aient été évalués. Les cas suspects de PID doivent être clarifiés et, le cas échéant, traités en conséquence. Chez les patients présentant une PID confirmée, RYBREVANT doit être arrêté (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
-Effets sur la peau et les ongles
-Des éruptions cutanées (y compris des dermatites acnéiformes), des démangeaisons et une sécheresse de la peau sont survenues chez des patients traités par RYBREVANT. La plupart des cas étaient de gravité 1 ou 2, et des événements de gravité 3 sont survenus chez 3,7 % des patients. Des éruptions cutanées sont survenues chez 0,2 % des patients, ce qui a entraîné l'arrêt du traitement par RYBREVANT. Les éruptions cutanées se sont généralement développées au cours des 4 premières semaines de traitement (délai médian d'apparition: 14 jours). Une nécrolyse épidermique toxique (NET) s'est produite. Le traitement par RYBREVANT doit être interrompu si une NET est confirmée. Des paronychies sont apparues chez des patients traités par RYBREVANT. La plupart des événements étaient de gravité 1 ou 2, une paronychie de grade 3 est survenue chez 2 % des patients.
-Les patients doivent être informés de se protéger de la lumière du soleil pendant le traitement par RYBREVANT et pendant les 2 mois qui suivent. À cette fin, il est recommandé de porter des vêtements de protection et d'appliquer un produit solaire. Pour les zones de peau sèche pendant le traitement par RYBREVANT, il est recommandé d'utiliser des émollients sans alcool sous forme de crème. En cas d'apparition d'effets sur la peau et les ongles, commencer à utiliser des corticostéroïdes topiques et des antibiotiques topiques et/ou oraux. En cas d'événements de grade 3 ou d'événements de grade 2 à peine tolérables, le traitement doit être complété par des antibiotiques systémiques et des stéroïdes oraux. Faire éventuellement appel à un(e) dermatologue en tant que consultant(e). En fonction de la gravité, RYBREVANT doit être suspendu, administré à une dose réduite ou arrêté définitivement (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
- +Événements thromboemboliques veineux (ETEV)
- +Les patients traités par RYBREVANT en monothérapie ou en association avec une chimiothérapie ou le lazertinib peuvent présenter des ETEV (comme des thromboses veineuses profondes et des embolies pulmonaires), y compris des événements graves et mortels (voir «Effets indésirables»).
- +Les patients doivent être surveillés pour détecter les signes et les symptômes d'ETEV et bénéficier d'un traitement médical approprié.
- +Réactions liées à la perfusion (RLP)
- +Des réactions liées à la perfusion peuvent survenir chez les patients traités par RYBREVANT.
- +Des réactions liées à la perfusion sont survenues chez 61% des patients traités par RYBREVANT. 93% des RLP ont été de grade 1 ou 2. La plupart des RLP sont survenues dans les 60 minutes (médiane) lors de la première perfusion. Les signes et symptômes les plus fréquents sont des frissons, des nausées, une dyspnée, des bouffées vasomotrices, une gêne thoracique et des vomissements.
- +Pour réduire le risque de RLP, des antihistaminiques, des antipyrétiques et des glucocorticoïdes doivent être administrés avant la première perfusion de RYBREVANT (semaine 1). Des antihistaminiques et des antipyrétiques doivent être administrés avant les perfusions suivantes. Lors de la première perfusion de RYBREVANT à la semaine 1, la dose de perfusion doit être répartie sur les jours 1 et 2 (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
- +RYBREVANT doit être administré dans un environnement où un soutien médical adéquat pour le traitement des RLP est disponible. Au premier signe de RLP, la perfusion de RYBREVANT doit être interrompue. Si cela est cliniquement nécessaire, des médicaments (glucocorticoïdes, antihistaminiques, antipyrétiques) doivent être administrés pour traiter les RLP. Après la disparition des symptômes, la perfusion peut être poursuivie à 50% du dernier débit de perfusion. En cas de RLP récurrents de grade 3 ou 4, RYBREVANT doit être arrêté définitivement (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
- +Pneumopathie interstitielle diffuse (PID/pneumonie)
- +Une pneumopathie interstitielle diffuse (PID) ou des effets indésirables similaires à la PID (p.ex. pneumonie) ont été rapportés chez 2,7% des patients traités par RYBREVANT, avec une PID de grade 3-4 chez 1,1% des patients et une PID fatale dans un cas (0,1%) (voir «Effets indésirables»). Des effets indésirables liés à la PID et entraînant l'arrêt du traitement sont survenus chez 1,8% des patients. Les patients ayant des antécédents connus de PID, de PID induite par médicament, de pneumopathie radique nécessitant un traitement par stéroïdes ou présentant des signes de PID cliniquement active n'ont pas été étudiés.
- +Les patients doivent être surveillés afin de détecter tout symptôme évocateur d'une PID/pneumopathie inflammatoire (p.ex. détresse respiratoire, toux, fièvre). En cas de survenue de symptômes, le traitement par RYBREVANT doit être interrompu jusqu'à ce que ces symptômes aient été évalués. Les cas de suspicion de PID doivent être clarifiés et, le cas échéant, traités en conséquence. Chez les patients présentant une PID confirmée, RYBREVANT doit être arrêté (voir «Posologie/Mode d'emploi» et «Effets indésirables»).
- +Réactions au niveau de la peau et des ongles
- +Des réactions au niveau de la peau et des ongles peuvent survenir chez les patients traités par RYBREVANT.
- +Des éruptions cutanées (y compris des dermatites acnéiformes), un prurit et une sécheresse de la peau sont survenus chez des patients traités par RYBREVANT. La plupart des cas ont été de grade 1 ou 2, et des événements de grade 3 sont survenus chez 15,5% des patients. Des éruptions cutanées sont survenues chez 2,9% des patients, ce qui a entraîné l'arrêt du traitement par RYBREVANT. Les éruptions cutanées se sont généralement développées au cours des 4 premières semaines de traitement (délai médian d'apparition: 14 jours). Une nécrolyse épidermique toxique (NET) s'est produite. Le traitement par RYBREVANT doit être interrompu si une NET est confirmée. Une toxicité au niveau des ongles est apparue chez des patients traités par RYBREVANT. La plupart des événements ont été de grade 1 ou 2, une toxicité au niveau des ongles de grade 3-4 est survenue chez 6,3% des patients.
- +Pour prévenir les éruptions cutanées, il convient d'envisager une approche prophylactique. Les patients doivent être informés qu'ils doivent se protéger de la lumière du soleil pendant le traitement par RYBREVANT et pendant les 2 mois qui suivent. À cette fin, il est recommandé de porter des vêtements de protection et d'appliquer un produit de protection solaire. Pour les zones de peau sèche pendant le traitement par RYBREVANT, il est recommandé d'utiliser des émollients sans alcool sous forme de crème. En cas de survenue de réactions au niveau de la peau et des ongles, un traitement par corticostéroïdes topiques et antibiotiques topiques et/ou oraux doit être instauré. En cas d'événements de grade 3, le traitement doit être complété par des antibiotiques systémiques et des stéroïdes oraux. Un dermatologue doit éventuellement être consulté. Les patients présentant une éruption cutanée sévère, un aspect ou une répartition atypique ou qui ne présentent pas d'amélioration dans les deux semaines doivent être immédiatement adressés à un dermatologue. En fonction du grade, RYBREVANT doit être suspendu, administré à une dose réduite ou arrêté définitivement (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
-Des affections oculaires, y compris des kératites (0,4 %), sont survenues chez des patients traités par RYBREVANT. Les effets indésirables suivants ont également été observés: sécheresse oculaire, vision floue, démangeaisons oculaires, augmentation du larmoiement, détérioration de l'acuité visuelle, hyperhémie oculaire, ptosis et croissance anormale des cils. Tous les événements étaient de gravité 1 à 2. Les patients chez qui les symptômes oculaires s'aggravent doivent être immédiatement adressés à un ophtalmologue. Il est conseillé de ne pas porter de lentilles de contact tant que les symptômes n'ont pas été évalués.
- +Des affections oculaires, y compris des kératites (1,3%), sont survenues chez des patients traités par RYBREVANT. D'autres effets indésirables ont été: sécheresse oculaire, vision floue, prurit oculaire, dégradation de la vision, croissance anormale des cils, hyperémie oculaire, hyperémie conjonctivale, blépharite et uvéite. La plupart des événements étaient de grade 1 à 2, avec des événements de kératite de grade 3-4 chez 0,2% des patients. Les patients chez qui les symptômes oculaires surviennent de façon nouvelle ou s'aggravent doivent être immédiatement adressés à un ophtalmologue. Il est conseillé de ne pas porter de lentilles de contact tant que les symptômes n'ont pas été évalués.
-Ce médicament contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par flacon, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
- +Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par flacon, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
-Étant donné qu'il existe un risque que RYBREVANT puisse causer des dommages à l'enfant à naître chez les femmes enceintes, il est conseillé aux patientes ayant un potentiel reproductif d'utiliser une méthode de contraception efficace pendant le traitement et jusqu'à 3 mois après la dernière dose de RYBREVANT.
- +Étant donné qu'il existe un risque que RYBREVANT puisse causer des dommages à l'enfant à naître chez les femmes enceintes, il est conseillé aux patientes en âge de procréer d'utiliser une méthode de contraception efficace pendant le traitement et jusqu'à 3 mois après la dernière dose de RYBREVANT.
-Il n'existe pas de données humaines ou animales permettant d'évaluer le risque de RYBREVANT pendant la grossesse. L'administration d'autres molécules inhibitrices de l'EGFR et de MET à des animaux en gestation a entraîné une augmentation de l'incidence des troubles du développement embryo-fœtal, de la mortalité embryonnaire et des avortements. En raison de son mécanisme d'action et des résultats obtenus sur des modèles animaux, RYBREVANT pourrait causer des dommages à l'enfant à naître s'il était utilisé pendant la grossesse.
- +Il n'existe pas de données humaines ou animales permettant d'évaluer le risque de RYBREVANT pendant la grossesse. L'administration d'autres molécules inhibitrices de l'EGFR et de MET à des animaux en gestation a entraîné une augmentation de l'incidence des troubles du développement embryo-fœtal, de la mortalité embryonnaire et des fausses couches. En raison de son mécanisme d'action et des résultats obtenus sur des modèles animaux, RYBREVANT pourrait causer des dommages à l'enfant à naître s'il était utilisé pendant la grossesse.
-On ignore si RYBREVANT est excrété dans le lait maternel humain ou dans le lait des animaux, ou s'il affecte la production de lait.
- +On ignore si RYBREVANT est excrété chez les humains et les animaux dans le lait maternel, ou s'il affecte la production de lait.
-Aucune étude n'a été menée sur les effets sur l'aptitude à la conduite et l'utilisation de machines. Si les patients présentent des symptômes liés au traitement, y compris des troubles visuels, qui affectent leur capacité de concentration et de réaction, ils ne doivent pas prendre le volant ni utiliser de machines tant que ces effets n'ont pas disparu.
- +RYBREVANT peut avoir une certaine influence sur l'aptitude à la conduite et l'utilisation de machines (voir la rubrique «Effets indésirables» (par ex., sensation de vertige, fatigue, détérioration de la vue)). Si les patients présentent des symptômes liés au traitement, y compris des effets indésirables en lien avec la vision qui affectent leur capacité de concentration et de réaction, il leur est déconseillé de prendre le volant et d'utiliser des machines tant que ces effets indésirables n'ont pas disparu.
-La sécurité de RYBREVANT a été évaluée dans l'étude EDI1001, dans laquelle 489 patients ont été traités par amivantamab en monothérapie.
-Les effets indésirables les plus fréquents (≥20 %) ont été éruption cutanée, RLP, toxicité unguéale, hypoalbuminémie, fatigue, œdème, stomatite, constipation et nausées. Les effets indésirables de grades 3 et 4 les plus fréquents ont été éruption cutanée (3,9 %), RLP (2,3 %) et toxicité unguéale (2,0 %). Les effets indésirables graves chez > 1 % des patients ont été pneumopathie interstitielle diffuse (1,4%), une RLP (1,2 %) et une éruption cutanée (1,0 %). 4,1 % des patients ont arrêté le traitement par RYBREVANT en raison d'effets indésirables. L'effet indésirable le plus fréquent (> 1 %) ayant entraîné l'arrêt du traitement était la RLP (1,6 %).
-Le tableau 7 présente les effets indésirables de tous les patients traités par RYBREVANT en monothérapie dans l'étude EDI1001. Les effets indésirables sont répertoriés par classe de système d'organes et par fréquence: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à < 1/10), occasionnels (≥1/1000 à < 1/100), et rares (≥1/10 000 à < 1/1000). Au sein de chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont classés par ordre de fréquence décroissante.
-Tableau 7: Effets indésirables chez tous les patients traités par amivantamab en monothérapie dans l'étude EDI1001
-Classe de système d'organes Effets indésirables RYBREVANT (N = 489)
-Catégorie de fréquence Tous grades (%) Grade 3 (%) Grade 4 (%)
- +Les données de sécurité d'emploi ci-dessous reflètent l'exposition à RYBREVANT de 1082 patients atteints de CBNPC localement avancé ou métastatique, dont 380 patients ayant reçu RYBREVANT en monothérapie dans l'étude EDI1001 (CHRYSALIS), 151 patients traités par RYBREVANT en association avec le carboplatine et le pémétrexed dans l'étude NSC3001 (PAPILLON),130 patients traités par RYBREVANT en association avec le carboplatine et le pémétrexed dans l'étude NSC3002 (MARIPOSA-2) et 421 patients traités par RYBREVANT en association avec le lazertinib dans l'étude NSC3003 (MARIPOSA). Les patients ont reçu RYBREVANT jusqu'à survenue d'une progression de la maladie ou d'une toxicité inacceptable.
- +Les effets indésirables les plus fréquents (≥20%) ont été éruption cutanée (82%), RLP (61%), toxicité unguéale (58%), hypoalbuminémie (38%), œdème (37%), stomatite (36%), fatigue (32%), constipation (30%), nausées (27%), réduction de l'appétit (24%), élévation de l'alanine aminotransférase (26%), élévation de l'aspartate aminotransférase (22%) et thromboembolie veineuse (21%). Les effets indésirables de grade 3-4 les plus fréquents ont été thromboembolie veineuse (6,6%), éruption cutanée (15,5%) et toxicité unguéale (6,3%). Les effets indésirables graves ont été ETEV (5,8%), PID (2,1%), RLP (1,5%%) et éruption cutanée (2%). 12% des patients ont arrêté le traitement par RYBREVANT en raison d'effets indésirables. Les effets indésirables les plus fréquents ayant entraîné l'arrêt du traitement ont été RLP (2,9%), PID (1,9%), toxicité unguéale (1,9%) et éruption cutanée (2,9%).
- +Le tableau 8 présente les effets indésirables de tous les patients traités par RYBREVANT dans les études EDI1001, NSC3001, NSC3002 et NSC3003.
- +Les effets indésirables sont répertoriés par classe de système d'organes et par fréquence: très fréquent (≥1/10), fréquent (≥1/100 à < 1/10), occasionnel (≥1/1000 à < 1/100), rare (≥1/10 000 à < 1/1000), très rare (< 1/10 000) et fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles). Au sein de chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont classés par ordre de grade de sévérité décroissant.
- +Tableau 8: Effets indésirables chez tous les patients atteints de CBNPC traités par RYBREVANT dans les études EDI1001, NSC3001, NSC3002 et NSC3003 (N = 1082)
- +Classe de système d'organes Catégorie de fréquence Effet indésirable
- +Affections hématologiques et du système lymphatique
- +Très fréquent Neutropénie* (58%), thrombocytopénie* (40%)
-Hypoalbuminémiea Très fréquents 31,1 1,8 0
-Appétit diminué 15,5 0,6 0
-Hypocalcémie 10,8 0,2 0
-Hypokaliémie Fréquents 9,0 1,6 0,2
-Hypomagnésémie 8,8 0 0
- +Très fréquent Hypoalbuminémiea (38%), appétit diminué (24%), hypocalcémie (15%), hypokaliémie (14%)
- +Fréquent Hypomagnésémie
-Sensation vertigineuseb Très fréquents 13,1 0,2 0
- +Très fréquent Sensation vertigineuseb (12%)
-Autres troubles de l'œilc Fréquents 5,5 0 0
-Défauts visuelsd Fréquents 2,7 0,2 0
-Croissance des cilse 1,2 0 0
-Kératitef Occasionnels 0,6 0 0
-Uvéite 0,2 0 0
- +Très fréquent Autres troubles oculairesc (14%)
- +Fréquent Détérioration de la visiond, kératite, croissance des cilse
- +Occasionnel Uvéite
- +Affections vasculaires
- +Très fréquent Thromboembolie veineusef (21%)
-Pneumopathie interstitielle diffuseg Fréquents 2,7 0,6 0
- +Fréquent Pneumopathie interstitielle diffuseg
-Stomatiteh Très fréquents 23,7 0,6 0
-Constipationi 22,7 0 0
-Nausées 22,5 0,4 0
-Vomissement 11,7 0,4 0
-Diarrhée 11,0 1,4 0
-Douleur abdominalej 10,2 0,6 0
- +Très fréquent Stomatiteh (36%), constipation (30%), nausées (27%), diarrhée (20%), vomissement (15%), douleur abdominalei (10%)
- +Fréquent Hémorroïdes
-Hypertransaminasémiek Très fréquents 17,4 1,2 0,4
-phosphatase alcaline dans le sang augmentée 11,7 0,6 0
- +Très fréquent Élévation de l'alanine aminotransférase (26%), élévation de l'aspartate aminotransférase (22%), élévation des phosphatases alcalines dans le sang (12%)
-Rashl Très fréquents 75,3 3,9 0
-Toxicité pour les onglesm 46,0 2,0 0
-Prurit 18,2 0 0
-Sécheresse cutanéen 17,2 0 0
-Nécrolyse épidermique toxique Occasionnels 0,2 0,2 0
-Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
-Myalgie Très fréquents 10,6 0,4 0
- +Très fréquent Éruption cutanéej (82%), toxicité unguéalek (58%), sécheresse cutanéel (21%), prurit (18%)
- +Occasionnel Nécrolyse épidermique toxique
- +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
- +Très fréquent Myalgie
-Fatigueo Très fréquents 26,2 1,2 0
-Œdèmep 25,8 1,0 0
-Blessure, intoxication et complications liées à la chirurgie
-Réaction liée à la perfusion Très fréquents 66,7 2,0 0,2
-
-Remarque: les participants à l'étude ne sont comptés qu'une seule fois pour chaque événement, quelle que soit la fréquence à laquelle l'événement s'est effectivement produit chez eux.
-a y compris albumine sanguine diminuée, hypoalbuminémie
-b y compris sensation vertigineues, sensation vertigineuse à l'effort, sensation vertigineuse posturale, vertige
-c y compris blépharite, hyperémie conjonctivale, irritation cornéenne, sécheresse oculaire, épisclérite, trouble de l'œil, inflammation de l'œil, prurit de l'œil, conjonctivite non infectieuse, hyperémie oculaire
-d y compris vision trouble, baisse de l'acuité visuelle, défauts visuels
-e y compris épaississement des cils, croissance des cils, trichomégalie
-f y compris kératite, kératite ponctuée
-g y compris pneumopathie interstitielle diffuse, pneumopathie inflammatoire
-h y compris ulcér aphteux, chéilite, glossite, érosion de la lèvre, ulcération labiale, ulcération buccale, inflammation des muqueuses, stomatite
-i y compris constipation, dyschésie
-j y compris gêne abdominale, douleur abdominale, douleur abdominale basse, douleur abdominale haute, gêne épigastrique, douleur gastro-intestinale
-k y compris alanine aminotransférase augmentée, aspartate aminotransférase augmentée, hypertransaminasémie
-l y compris acné, dermatite, dermatite acnéiforme, érythème, érythème polymorphe, folliculite, impétigo, macule, érythrodysesthésie palmo-plantaire, rash périnéal, dermatite périorale, pustule, rash, rash érythémateux, rash maculeux, rash maculopapuleux, rash papuleux, rash prurigineux, rash pustuleux, rash vésiculeuse, exfoliation cutanée, lésion de la peau
-m y compris ongle incarné, infection du lit de l'ongle, cuticules déchirées, trouble unguéal, dystrophie unguéale, striures unguéales, onychoclasie, onycholyse, périonyxis
-n y compris sécheresse cutanée, eczéma, eczéma craquelé, fissures cutanées, xérodermie
-o y compris asthénie, fatigue intense/fatigue
-p y compris œdème de l'œil, œdème palpébral, œdème de la face, œdème généralisé, œdème localisé, œdème, œdème périphérique, œdème périorbitaire, gonflement périorbitaire, gonflement périphérique, gonflement du visage
- +Très fréquent Œdèmem (37%), fatiguen (32%), fièvre (12%)
- +Lésions, intoxication et complications d'intervention
- +Très fréquent Réaction liée à la perfusion (61%)
- +
- +* uniquement en association avec une chimiothérapie (n = 281)
- +a baisse de l'albumine sanguine, hyperalbuminémie
- +b sensation vertigineuse, sensation vertigineuse à l'effort, vertige
- +c blépharite, hyperémie conjonctivale, conjonctivite, irritation cornéenne, sécheresse oculaire, épisclérite, trouble oculaire, prurit oculaire, conjonctivite non infectieuse, hyperémie oculaire
- +d vision trouble, baisse de l'acuité visuelle, déficience visuelle
- +e croissance des cils, trichomégalie
- +f thrombose de la veine axillaire, thrombose veineuse profonde, embolie, embolie veineuse, thrombose de la veine jugulaire, thrombose de la veine porte, embolie pulmonaire, infarctus pulmonaire, thrombose du sinus sigmoïde, thrombose du sinus sagittal supérieur, thrombose, thrombose de la veine cave, thrombose veineuse, thrombose veineuse d'un membre
- +g pneumopathie interstitielle diffuse, pneumonie
- +h chéilite angulaire, ulcère aphteux, chéilite, glossite, ulcération labiale, ulcération buccale, inflammation des muqueuses, stomatite
- +i gêne abdominale, douleurs abdominales, doubleurs abdominales basses, douleurs abdominales hautes, gêne épigastrique, douleurs épigastriques, douleurs gastro-intestinales
- +j acné, dermatite, dermatite acnéiforme, érythème, érythème polymorphe, folliculite, impétigo, syndrome d'érythrodysesthésie palmo-plantaire, éruption périnéale, dermatite périorale, pustule, éruption, éruption érythémateuse, éruption folliculaire, éruption maculeuse, éruption maculopapuleuse, éruption papuleuse, éruption prurigineuse, éruption pustuleuse, éruption vésiculeuse, exfoliation cutanée, lésion de la peau
- +k ongle incarné, infection du lit de l'ongle, inflammation du lit de l'ongle, trouble unguéal, dystrophie unguéale, infection de l'ongle, sténose de l'ongle, toxicité unguéale, onychoclasie, onycholyse, onychomadèse, paronychie
- +l sécheresse cutanée, eczéma, eczéma craquelé, fissures cutanées, xérodermie, xérose
- +m œdème de l'œil, œdème palpébral, œdème de la face, œdème généralisé, œdème localisé, œdème, œdème périphérique, œdème périorbitaire, gonflement périorbitaire, gonflement périphérique, gonflement du visage
- +n asthénie, fatigue
- +Événements thromboemboliques veineux (ETEV)
- +Chez les patients traités par RYBREVANT en monothérapie ou en association avec une chimiothérapie ou le lazertinib, 20,6% des patients ont présenté un ETEV, dont thrombose veineuse profonde et embolie pulmonaire, 6,6% des événements étant de grade 3-4. Deux cas fatals d'ETEV ont également été rapportés chez des patients traités par RYBREVANT en association avec le lazertinib.
- +Chez les patients traités par RYBREVANT en association avec une chimiothérapie, 13,2% des patients ont présenté un ETEV, 2,8% des événements étant de grade 3.
- +Réactions liées à la perfusion (RLP)
- +Des réactions liées à la perfusion sont survenues chez 61% des patients traités par RYBREVANT. 93% des RLP ont été de grade 1-2. 80% des RLP sont survenues lors de la première perfusion dans les 60 minutes (médiane). Les signes et symptômes les plus fréquents sont frissons, nausées, dyspnée, bouffées vasomotrices, gêne thoracique et vomissements.
- +Après une interruption de dose prolongée de plus de 6 semaines, une RLP peut parfois survenir lors de la reprise du traitement par RYBREVANT.
- +
-Une pneumopathie interstitielle diffuse ou des effets indésirables de type PID ont été rapportés tant lors de l'utilisation de RYBREVANT que d'autres inhibiteurs de L'EGFR. Une pneumopathie interstitielle diffuse ou une pneumopathie inflammatoire sont survenues chez 2,7 % des 489 patients. (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Une pneumopathie interstitielle diffuse ou des effets indésirables de type PID ont été rapportés tant lors de l'utilisation de RYBREVANT que d'autres inhibiteurs de L'EGFR. Une pneumopathie interstitielle diffuse ou une pneumopathie inflammatoire sont survenues chez 2,7% des patients traités par RYBREVANT, dont une PID de grade 3-4 chez 1,1% des patients et un cas d'issue fatale (0,1%) (voir «Mises en garde et précautions»). Des effets indésirables liés à la PID sont survenus chez 1,8% des patients et ont entraîné l'arrêt du traitement.
- +Réactions affectant la peau et les ongles
- +Des éruptions cutanées (dont dermatites acnéiformes) sont survenues chez 82% des patients traités par RYBREVANT. La plupart des cas ont été de grade 1 ou 2, des éruptions cutanées de grade 3-4 étant survenues chez 15,5% des patients. Des éruptions cutanées entraînant l'arrêt du traitement par RYBREVANT sont survenues chez 2,9% des patients. Les éruptions cutanées se sont généralement développées au cours des 4 premières semaines de traitement, le délai médian d'apparition étant de 14 jours.
- +Une toxicité au niveau des ongles est survenue chez des patients traités par RYBREVANT. La plupart des événements ont été de grade 1 ou 2, une toxicité au niveau des ongles de grade 3-4 étant survenue chez 6,3% des patients.
- +Affections oculaires
- +Des affections oculaires, dont des kératites (1,3%), sont survenues chez des patients traités par RYBREVANT. Les autres effets indésirables ont été sécheresse oculaire, vision floue, prurit oculaire, détérioration de la vision, croissance anormale des cils, hyperémie oculaire, hyperémie conjonctivale, blépharite et uvéite. La plupart des événements ont été de grade 1 à 2, des événements de kératite de grade 3 à 4 ayant été observés chez 0,2% des patients.
-Amivantamab est un anticorps bispécifique anti-EGFR et anti-MET entièrement humain, à base d'IgG1 et à fucose bas, qui provoque une activation ciblée des cellules immunitaires et cible les tumeurs présentant des mutations activatrices et résistantes de l'EGFR ainsi que des mutations et des amplifications de MET. Amivantamab se lie au domaine extracellulaire de l'EGFR et de MET.
-Les études précliniques montrent qu'amivantamab est actif contre les tumeurs présentant des mutations primaires activatrices de l'EGFR par insertion dans l'exon 20. Amivantamab inhibe la signalisation de l'EGFR et de MET en bloquant la liaison du ligand et en renforçant la dégradation de l'EGFR et de MET, empêchant ainsi la croissance et la progression de la tumeur. Étant donné qu'EGFR et MET sont également présents à la surface des cellules tumorales, celles-ci peuvent être ciblées par des cellules effectrices immunitaires telles que les cellules tueuses naturelles et les macrophages, et détruites par la cytotoxicité cellulaire dépendante des anticorps (ADCC) ou les mécanismes de trogocytose.
- +L'amivantamab est un anticorps bispécifique anti-EGFR et anti-MET entièrement humain, à base d'IgG1 et à fucose bas, qui provoque une activation ciblée des cellules immunitaires et cible les tumeurs présentant des mutations activatrices et résistantes de l'EGFR ainsi que des mutations et des amplifications de MET. L'amivantamab se lie au domaine extracellulaire de l'EGFR et de MET.
- +Les études précliniques montrent que l'amivantamab est actif contre les tumeurs présentant des mutations primaires activatrices de l'EGFR comme les délétions dans l'exon 19, les substitutions L858R et les mutations par insertion dans l'exon 20. L'amivantamab inhibe la signalisation de l'EGFR et de MET en bloquant la liaison du ligand et en renforçant la dégradation de l'EGFR et de MET, empêchant ainsi la croissance et la progression de la tumeur. La présence d'EGFR et de MET à la surface des cellules tumorales permet une destruction ciblée de ces cellules. Ceci est réalisé par des cellules effectrices immunitaires telles que les cellules Natural Killer et les macrophages sur la base d'une cytotoxicité cellulaire dépendante des anticorps (CCDA) ou d'une trogozytose.
-L'amivantamab a entraîné une diminution de la concentration d'albumine sérique. Cela représente un effet pharmacodynamique de l'inhibition de la voie de signalisation MET, qui se produit typiquement au cours des 8 premières semaines. Par la suite, le taux d'albumine est resté stable jusqu'à la fin du traitement par amivantamab.
- +L'amivantamab a réduit la concentration d'albumine sérique, effet pharmacodynamique de l'inhibition de MET qui se produit typiquement au cours des 8 premières semaines. Par la suite, le taux d'albumine est resté stable jusqu'à la fin du traitement par amivantamab.
-Comme pour toutes les protéines thérapeutiques, il existe une possibilité d'immunogénicité avec amivantamab. La détection de la formation d'anticorps dépend en grande partie de la sensibilité et de la spécificité de la méthode de test. En outre, l'incidence déterminée d'anticorps positifs (y compris les anticorps neutralisants) peut être influencée par différents facteurs de test, notamment la méthodologie du test, la manipulation des échantillons, le moment du prélèvement, la co-médication et les maladies sous-jacentes. Pour ces raisons, la comparaison de l'incidence des anticorps dans différentes études peut être trompeuse.
-Dans une étude clinique menée chez des patients atteints de CBNPC localement avancé ou métastatique traités par RYBREVANT, 3 (1 %) des 286 patients évaluables ont été testés positifs aux anticorps anti-amivantamab. Les données sont insuffisantes pour évaluer les effets des anticorps anti-amivantamab sur la pharmacocinétique, l'efficacité ou la sécurité de RYBREVANT.
- +Comme pour toutes les protéines thérapeutiques, il existe une possibilité d'immunogénicité avec l'amivantamab. La détection de la formation d'anticorps dépend en grande partie de la sensibilité et de la spécificité de la méthode de test. En outre, l'incidence déterminée d'anticorps positifs (y compris les anticorps neutralisants) peut être influencée par différents facteurs de test, notamment la méthodologie du test, la manipulation des échantillons, le moment du prélèvement, la co-médication et les maladies sous-jacentes. Pour ces raisons, la comparaison de l'incidence des anticorps dans différentes études peut être trompeuse.
- +Dans des études cliniques menées chez des patients atteints de CBNPC localement avancé ou métastatique en monothérapie ou dans le cadre d'un traitement d'association, 4 des 1078 patients (0,4%) traités par RYBREVANT et qui étaient évaluables pour la présence d'anticorps anti-médicaments ont été testés positifs aux anticorps anti-amivantamab. Aucun effet évident de l'immunogénicité sur l'efficacité et les événements de sécurité (y compris RLP) n'a été observé.
-CBNPC localement avancé ou métastatique avec mutations par insertion dans l'exon 20
-EDI1001 (CHRYSALIS) est une étude multicentrique, ouverte et multi-cohorte visant à évaluer la sécurité et l'efficacité de RYBREVANT chez des participants atteints de CBNPC localement avancé ou métastatique. L'efficacité a été évaluée chez 81 participants atteints de CBNPC localement avancé ou métastatique avec des mutations par insertion dans l'exon 20 du gène EGFR, dont la maladie avait progressé pendant ou après une chimiothérapie à base de platine et qui ont été suivis pendant 9,7 mois en moyenne. La preuve d'une mutation par insertion dans l'exon 20 de l'EGFR a été apportée localement par séquençage de nouvelle génération (NGS) ou par réaction en chaîne par polymérase (PCR) dans des échantillons de tissu tumoral ou de plasma. Les participants < 80 kg ont reçu 1050 mg et les participants ≥80 kg 1400 mg de RYBREVANT par voie intraveineuse une fois par semaine pendant 4 semaines, puis toutes les 2 semaines en commençant à la semaine 5, jusqu'à la progression de la maladie ou l'apparition d'une toxicité inacceptable.
-Les patients présentant des métastases cérébrales non traitées et les patients ayant des antécédents de PID et ayant reçu un traitement par stéroïdes ou autres immunosuppresseurs pendant une période prolongée au cours des deux dernières années ont été exclus de l'étude. Les patients ayant subi une intervention chirurgicale invasive programmée, une blessure traumatique récente ou une opération chirurgicale majeure prévue dans les 6 mois suivant la dernière dose du médicament à l'étude ont également été exclus.
-Les effets intracrâniens n'ont pas été étudiés dans l'étude CHRYSALIS.
-L'âge médian était de 62 ans (fourchette: 42 à 84 ans), 9 % des participants étant âgés de ≥75 ans. 59 % étaient des femmes, 49 % étaient asiatiques et 37 % étaient blancs. Le nombre médian de traitements antérieurs était de 2 (intervalle: 1 à 7 traitements). Au début de l'étude, 99 % avaient un indice de performance selon les critères de l'ECOG (Eastern Cooperative Oncology Group) de 0 ou 1 (99 %), 53 % n'avaient jamais fumé, 75 % avaient un cancer de stade IV et 22 % avaient reçu au préalable un traitement pour des métastases cérébrales. Des insertions dans l'exon 20 ont été détectées à 8 endroits différents, les plus fréquentes étant A767 (24 %), S768 (16 %), D770 (11 %) et N771 (11 %).
-Les résultats d'efficacité sont résumés dans le tableau 8.
-Tableau 8: Résultats d'efficacité de l'étude EDI1001 (CHRYSALIS)
- Préalablement traité par une chimiothérapie à base de platine (N = 81)
-Taux de réponse globalea,b (IC à 95 %) 40 % (29 %; 51 %)
-Réponse complète 4 %
-Réaction partielle 36 %
- +CBNPC précédemment traité
- +Patients atteints de CBNPC avec délétions dans l'exon 19 de l'EGFR ou mutations de substitution dans l'exon 21 L858R précédemment traités
- +L'étude NSC3002 (MARIPOSA-2) est une étude clinique de phase 3 multicentrique, randomisée (2:2:1) en ouvert, menée chez des patients atteints de CBNPC non épidermoïde localement avancé ou métastatique présentant des délétions dans l'exon 19 de l'EGFR ou des mutations de substitution dans l'exon 21 L858R. Le statut mutationnel a été déterminé par un test validé au moment du diagnostic de maladie localement avancée ou métastatique ou ensuite, par un laboratoire local ou central. Les patients inclus devaient présenter une progression pendant ou après une monothérapie par osimertinib. Dans l'étude MARIPOSA-2, les patients ont reçu du carboplatine et du pémétrexed (CP, N = 263) ou RYBREVANT en association avec le carboplatine et le pémétrexed (RYBREVANT-CP, N = 131) ou RYBREVANT en association avec le lazertinib, le carboplatine et le pémétrexed (un traitement non approuvé pour le CBNPC). RYBREVANT a été administré par voie intraveineuse à la dose de 1400 mg (pour les patients < 80 kg) ou 1750 mg (pour les patients ≥80 kg) une fois par semaine pendant 4 semaines puis toutes les 3 semaines à la dose de 1750 mg (pour les patients < 80 kg) ou 2100 mg (pour les patients ≥80 kg) à partir de la semaine 7 jusqu'à la survenue d'une progression de la maladie ou d'une toxicité inacceptable. Le carboplatine a été administré par voie intraveineuse selon un schéma posologique ASC de 5 mg/ml par minute (ASC 5) une fois toutes les 3 semaines pendant 12 semaines au maximum. Le pémétrexed a été administré par voie intraveineuse une fois toutes les 3 semaines à la dose de 500 mg/m2 jusqu'à la survenue d'une progression de la maladie ou d'une toxicité inacceptable.
- +Les patients ont été stratifiés en fonction de la ligne de traitement par osimertinib (première ou deuxième ligne), de la présence de métastases cérébrales antérieures (oui ou non) et de l'origine asiatique (oui ou non).
- +Le critère d'efficacité principal était la survie sans progression (SSP) après EICA. Les autres critères d'efficacité étaient la survie globale (SG) et le taux de réponse objective (TRO).
- +L'âge médian des 394 patients randomisés dans le bras RYBREVANT-CP ou dans le bras CP était de 62 ans (plage: 31-85); 37,8% des patients étant âgés de ≥65 ans, 60,4% étaient des femmes, 48,2% étaient d'origine asiatique et 46,4% d'origine caucasienne. Le statut de performance ECOG était de 0 (39,6%) ou de 1 (60,4%). 65,5% des patients n'avaient jamais fumé, 45,2% présentaient des métastases cérébrales antérieures, 0,9% étaient atteints de cancer de stade III lors de la sélection et 99,1% étaient atteints de cancer de stade IV lors de la sélection.
- +RYBREVANT en association avec le carboplatine et le pémétrexed a entraîné une amélioration statistiquement significative de la SSP par comparaison avec le carboplatine et le pémétrexed lors de l'analyse principale de la SSP (gel des données en juillet 2023), avec un RR de 0,48 (IC à 95%: 0,36; 0,64; p < 0,0001, SSP médiane de 6,3 mois contre 4,2 mois). Au moment de la deuxième analyse intermédiaire de la SG (gel des données en avril 2024, 52% des cas de décès prédéterminés pour l'analyse finale), avec un suivi médian d'environ 18,6 mois pour le bras RYBREVANT-CP et d'environ 17,8 mois pour le bras CP, il n'y avait pas de différence statistiquement significative pour la SG entre les bras de traitement (HR = 0,73; IC à 95%: 0,54, 0,99; SG médiane 17,7 mois contre 15,3 mois).
- +Le TRO (gel des données en juillet 2023) a été de 63,8% (IC à 95%: 55,0, 72,1) dans le bras RYBREVANT-CP et de 36,2% (IC à 95%: 30,3, 42,3) dans le bras CP. Dans le bras RYBREVANT-CP, 1,5% des patients ont obtenu une réponse complète et 62,3% une réponse partielle, tandis que dans le bras CP, 0,4% des patients ont obtenu une réponse complète et 35,8% une réponse partielle.
- +Données d'efficacité en cas de métastases intracrâniennes
- +Les patients présentant des métastases intracrâniennes asymptomatiques ou précédemment traitées et stables étaient admissibles à la randomisation dans l'étude MARIPOSA-2. Lors de l'inclusion dans l'étude, 30 patients du bras RYBREVANT-CP et 60 patients du bras CP présentaient des métastases intracrâniennes.
- +Le taux de réponse objective (TRO) intracrânien a été de 23,3% (7 patients) dans le bras RYBREVANT-CP et de 16,7% (10 patients) dans le bras CP (rapport des cotes de 1,52; IC à 95% (0,51, 4,50)).
- +CBNPC avec mutations par insertion dans l'exon 20 de l'EGFR antérieurement traité
- +L'étude EDI1001 (CHRYSALIS) est une étude multicentrique, ouverte et multi-cohorte visant à évaluer la sécurité et l'efficacité de RYBREVANT chez des participants atteints de CBNPC localement avancé ou métastatique. L'efficacité a été évaluée chez 81 participants atteints de CBNPC localement avancé ou métastatique avec des mutations par insertion dans l'exon 20 de l'EGFR, dont la maladie avait progressé pendant ou après une chimiothérapie à base de platine et qui ont été suivis pendant 9,7 mois en moyenne. La preuve d'une mutation par insertion dans l'exon 20 de l'EGFR a été apportée dans un laboratoire local par séquençage de nouvelle génération (NGS) ou par réaction en chaîne par polymérase (PCR) dans des échantillons de tissu tumoral ou de plasma. Les participants < 80 kg ont reçu 1050 mg et les participants ≥80 kg 1400 mg de RYBREVANT par voie intraveineuse une fois par semaine pendant 4 semaines, puis toutes les 2 semaines en commençant à la semaine 5, jusqu'à la progression de la maladie ou l'apparition d'une toxicité inacceptable.
- +Les patients présentant des métastases cérébrales non traitées et les patients avec PID dans l'anamnèse et ayant reçu un traitement par stéroïdes ou autres immunosuppresseurs pendant une période prolongée au cours des deux années précédentes ont été exclus de l'étude. Les patients ayant subi une intervention chirurgicale invasive programmée, une blessure traumatique récente ou ayant une opération chirurgicale majeure prévue dans les 6 mois suivant la dernière dose du médicament à l'étude ont également été exclus. Les effets intracrâniens n'ont pas été étudiés dans l'étude CHRYSALIS.
- +L'âge médian était de 62 ans (fourchette: 42 à 84 ans), 9% des participants étant âgés de ≥75 ans. 59% étaient des femmes, 49% étaient asiatiques et 37% étaient blancs. Le nombre médian de traitements antérieurs était de 2 (intervalle: 1 à 7 traitements). Au début de l'étude, 99% des patients avaient un indice de performance selon les critères de l'ECOG de 0 ou 1 (99%), 53% n'avaient jamais fumé, 75% avaient un cancer de stade IV et 22% avaient reçu au préalable un traitement pour des métastases cérébrales. Des insertions dans l'exon 20 ont été détectées à 8 endroits différents, les plus fréquentes étant A767 (24%), S768 (16%), D770 (11%) et N771 (11%).
- +Les résultats d'efficacité sont résumés dans le tableau 9.
- +Tableau 9: Résultats d'efficacité de l'étude EDI1001 (CHRYSALIS)
- + Antérieurement traité par une chimiothérapie à base de platine (N = 81)
- +Taux de réponse globalea,b (IC à 95%) 40% (29%; 51%)
- +Réponse complète 4%
- +Réponse partielle 36%
-Médiane (IC à 95 %), moisc 11,1 (6,9; n.e.)
-Patients avec DOR ≥6 mois 63 %
-Survie médiane sans progressiona (IC à 95 %), mois 8,3 (6,5; 10,9)
-Survie globale médiane (IC à 95 %), mois 22,8 (17,5; n.e.)
- +Médiane (IC à 95%), moisc 11,1 (6,9; n.e.)
- +Patients avec DOR ≥6 mois 63%
- +SSP médianea (IC à 95%), mois 8,3 (6,5; 10,9)
- +SG médiane (IC à 95%), mois 22,8 (17,5; n.e.)
-La valeur de l'aire sous la courbe de concentration en fonction du temps de l'amivantamab (ASC1 semaine) a augmenté proportionnellement à la dose (0,25 à 1,25 fois la dose maximale recommandée) dans un intervalle de doses allant de 350 mg à 1750 mg.
- +La valeur de l'aire sous la courbe de concentration en fonction du temps de l'amivantamab (ASC1 semaine) augmente proportionnellement à la dose dans un intervalle de doses allant de 350 mg à 1750 mg.
-Les paramètres pharmacocinétiques de l'amivantamab sont résumés dans le tableau 9.
-Tableau 9: Paramètres pharmacocinétiques
-Moyenne (SD) Dose d'amivantamab (catégorie de poids)
-1050 mg (< 80 kg) 1400 mg (≥80 kg)
-Exposition maximale à la semaine 5
-N 26a 8b
-Cmax, µg/ml 836 (264) 655 (109)
-ASC1 semaine, µg.h/ml 94 946 (35 440) 76 946 (14 557)
-ASC2 semaine, µg.h/ml 153 667 (61 092) 121 017 (28 922)
-AR ASC1 semaine (1ère dose/5e dose) 2,88 (0,68) 3,03 (0,82)
-
-a N = 25 pour ASC1 semaine et N = 21 pour AR ASC1 semaine (1ère dose/5e dose).
-b N = 7 pour AR ASC1 semaine (1ère dose/5e dose)
-Amivantamab a été administré en perfusion intraveineuse une fois par semaine pendant 4 semaines, puis toutes les 2 semaines en commençant à la semaine 5, les doses étant fractionnées lors de la première dose.
-Abréviations: Cmax - concentration sérique maximale; ASC1semaine et ASC2semaines - aire sous la courbe de concentration sérique en fonction du temps une semaine et deux semaines après la cinquième dose, respectivement.
-Les concentrations d'amivantamab à l'état d'équilibre ont été atteintes environ 2 mois après le début de la posologie toutes les 2 semaines (à la 9e perfusion) et l'accumulation moyenne à l'état d'équilibre était de 2,44 fois.
- +Sur la base de la pharmacocinétique de la population de RYBREVANT, les concentrations de RYBREVANT à l'état d'équilibre tant pour le schéma posologique de 3 semaines que celui de 2 semaines ont été atteintes à la semaine 13 et l'accumulation systémique a été de 1,9 fois.
-La valeur moyenne ± SD du volume de distribution d'amivantamab après administration de la dose recommandée de RYBREVANT, estimée sur la base d'une analyse pharmacocinétique de population, était de 5,13 ± 1,78 l.
- +Après administration de la dose recommandée de RYBREVANT, la valeur moyenne ± SD du volume de distribution de l'amivantamab, estimée sur la base d'une analyse pharmacocinétique de population, était de 5,34 ± 1,81 l.
-La valeur moyenne ± SD de la clairance a été estimée à 360 ± 144 ml/jour, et la valeur moyenne ± SD de la demi-vie terminale estimée était de 11,3 ± 4,53 jours.
- +La moyenne géométrique (%CV) de la clairance linéaire (CL) et la demi-vie terminale étaient de 0,266 l/jour (30,4%) et 13,7 jours (31,9%).
-Aucun effet cliniquement significatif sur la pharmacocinétique d'amivantamab n'a été observé en cas de légère insuffisance hépatique [(bilirubine totale ≤ LSN et ASAT > LSN) ou (LSN < bilirubine totale ≤1,5 x LSN)]. L'effet d'une insuffisance hépatique modérée (bilirubine totale de 1,5 à 3 x LSN) et sévère (bilirubine totale > 3 x LSN) sur la pharmacocinétique d'amivantamab n'a pas été étudié.
- +Aucun effet cliniquement significatif sur la pharmacocinétique de l'amivantamab n'a été observé en cas d'insuffisance hépatique légère [(bilirubine totale ≤ LSN et ASAT > LSN) ou (LSN < bilirubine totale ≤1,5 x LSN)]. L'effet d'une insuffisance hépatique modérée (bilirubine totale de 1,5 à 3 x LSN) et sévère (bilirubine totale > 3 x LSN) sur la pharmacocinétique de l'amivantamab n'a pas été étudié.
-Aucun effet cliniquement significatif sur la pharmacocinétique d'amivantamab n'a été observé chez les patients présentant une insuffisance rénale légère (60 ≤ clairance de la créatinine [ClCr] < 90 ml/min) ou modérée (29 ≤ ClCr < 60 ml/min). L'effet d'une insuffisance rénale sévère (15 ≤ ClCr < 29 ml/min) sur la pharmacocinétique d'amivantamab n'a pas été étudié.
- +Aucun effet cliniquement significatif sur la pharmacocinétique de l'amivantamab n'a été observé chez les patients présentant une insuffisance rénale légère (60 ≤ clairance de la créatinine [ClCr] < 90 ml/min) ou modérée (29 ≤ ClCr < 60 ml/min). L'effet d'une insuffisance rénale sévère (15 ≤ ClCr < 29 ml/min) sur la pharmacocinétique de l'amivantamab n'a pas été étudié.
-Aucun effet cliniquement significatif de l'âge (32 à 87 ans) sur la pharmacocinétique d'amivantamab n'a été observé.
- +Aucun effet cliniquement significatif de l'âge (27 à 87 ans) sur la pharmacocinétique de l'amivantamab n'a été observé.
-La clairance d'amivantamab était 24 % plus élevée chez les hommes que chez les femmes. Cette différence a toutefois été jugée non significative sur le plan clinique.
- +La clairance de l'amivantamab a été 24% plus élevée chez les hommes que chez les femmes. Cette différence a toutefois été jugée non significative sur le plan clinique.
-Le volume de distribution central et la clairance d'amivantamab ont augmenté avec l'augmentation du poids corporel. À dose égale, l'exposition à amivantamab est 30 à 40 % plus faible chez les patients dont le poids corporel est ≥80 kg que chez les patients dont le poids corporel est < 80 kg. Des concentrations similaires d'amivantamab ont été obtenues en utilisant la dose recommandée de RYBREVANT chez les patients dont le poids corporel est < 80 kg (1050 mg) et chez les patients dont le poids corporel est ≥80 kg (1400 mg).
- +Le volume de distribution central et la clairance de l'amivantamab ont augmenté avec l'augmentation du poids corporel. À dose égale, l'exposition à l'amivantamab est 30 à 40% plus faible chez les patients dont le poids corporel est ≥80 kg que chez les patients dont le poids corporel est < 80 kg. Des concentrations similaires d'amivantamab ont été obtenues en utilisant la dose recommandée de RYBREVANT chez les patients dont le poids corporel est < 80 kg (1050 mg) et chez les patients dont le poids corporel est ≥80 kg (1400 mg).
-Dans des études de toxicité à doses multiples réalisées chez le singe cynomolgus, amivantamab a été bien toléré à des doses hebdomadaires allant jusqu'à 120 mg/kg administrées par voie intraveineuse pendant 6 semaines ou 3 mois (~6-8 x Cmax et ~5-7 x ASC chez l'homme après des doses intraveineuses de 1050 et 1400 mg). Il n'y a eu aucun effet sur la fonction cardiovasculaire, respiratoire ou neurologique. La pathologie clinique a révélé des augmentations non néfastes de l'alanine aminotransférase (ALAT), de l'aspartate aminotransférase (ASAT) et des globulines dans le sérum et une diminution non néfaste de l'albumine par rapport au groupe témoin. Toutes les valeurs étaient réversibles et sont revenues dans les normes après l'arrêt du traitement.
- +Dans des études de toxicité à doses multiples réalisées chez le singe cynomolgus, l'amivantamab a été bien toléré à des doses hebdomadaires allant jusqu'à 120 mg/kg administrées par voie intraveineuse pendant 6 semaines ou 3 mois (~6-8 x la Cmax et ~5-7 x l'ASC chez l'homme après des doses intraveineuses de 1050 et 1400 mg). Il n'y a eu aucun effet sur la fonction cardiovasculaire, respiratoire ou neurologique. La pathologie clinique a révélé des augmentations non néfastes de l'alanine aminotransférase (ALAT), de l'aspartate aminotransférase (ASAT) et des globulines dans le sérum et une diminution non néfaste de l'albumine par rapport au groupe témoin. Toutes les valeurs ont été réversibles et sont revenues dans les normes après l'arrêt du traitement.
-Aucune étude animale n'a été menée pour déterminer le potentiel carcinogène et génotoxique d'amivantamab.
- +Aucune étude expérimentale sur l'animal n'a été menée pour déterminer le potentiel carcinogène et génotoxique de l'amivantamab.
-Aucune étude de toxicité sur la reproduction n'a été réalisée pour évaluer les effets potentiels d'amivantamab.
- +Aucune étude de toxicité sur la reproduction n'a été réalisée pour évaluer les effets potentiels de l'amivantamab.
-Flacons non ouverts:
-Ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
- +Flacons non ouverts: ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
-Une fois diluée, la préparation pour perfusion ne doit pas être conservée.
-La stabilité chimique et physique de la solution diluée a été démontrée pendant une période de 10 heures à une température de 15-25 °C. D'un point de vue microbiologique, la solution diluée doit être utilisée immédiatement, à moins que la dilution n'ait été effectuée dans des conditions aseptiques contrôlées et validées. Si la solution n'est pas utilisée immédiatement, la durée et les conditions de stockage relèvent de la responsabilité de l'utilisateur.
- +Une fois diluée, la préparation pour perfusion ne contient pas de conservateurs.
- +La stabilité chimique et physique de la solution diluée a été démontrée pendant une période de 10 heures à une température de 15-25 °C. D'un point de vue microbiologique, la solution diluée doit être utilisée immédiatement, à moins que la dilution ne se soit déroulée dans des conditions aseptiques contrôlées et validées. Si la solution n'est pas utilisée immédiatement, la durée et les conditions de stockage relèvent de la responsabilité de l'utilisateur.
-Conserver hors de portée des enfants.
- +Tenir hors de portée des enfants.
-1.Déterminer la dose nécessaire (1050 mg ou 1400 mg) et le nombre de flacons de RYBREVANT nécessaires en fonction du poids initial du patient (voir «Posologie/Mode d'emploi» et tableau ci-dessous). Chaque flacon de RYBREVANT (7 ml) contient 350 mg d'amivantamab.
- +1.Déterminer la dose nécessaire et le nombre de flacons de RYBREVANT nécessaires en fonction du poids initial du patient (voir «Posologie/Mode d'emploi» et tableau ci-dessous). Chaque flacon de RYBREVANT (7 ml) contient 350 mg d'amivantamab.
- +1750 mg 5
- +2100 mg 6
- +
-3.Prélever de la poche de perfusion de 250 ml contenant une solution de glucose à 5 % ou une solution de chlorure de sodium à 0,9 % le volume correspondant au volume de RYBREVANT à administrer et le jeter (c'est-à-dire prélever pour chaque flacon de RYBREVANT 7 ml de diluant de la poche de perfusion et jeter ce volume). Les poches de perfusion doivent être constituées de polychlorure de vinyle (PVC), de polypropylène (PP), de polyéthylène (PE) ou de polyoléfine mixte (PP+PE).
- +3.Prélever de la poche de perfusion de 250 ml contenant une solution de glucose à 5% ou une solution de chlorure de sodium à 0,9% le volume correspondant au volume de RYBREVANT à administrer et le jeter (c'est-à-dire prélever pour chaque flacon de RYBREVANT 7 ml de diluant de la poche de perfusion et jeter ce volume). Les poches de perfusion doivent être constituées de polychlorure de vinyle (PVC), de polypropylène (PP), de polyéthylène (PE) ou de polyoléfine mixte (PP+PE).
-2.RYBREVANT ne doit pas être administré simultanément dans la même ligne de perfusion intraveineuse que d'autres médicaments..
-3.Le médicament est à usage unique. Éliminer tout médicament non utilisé conformément à la réglementation nationale en vigueur.
- +2.Le kit de perfusion avec filtre doit être rempli avec le diluant (soit une solution de glucose à 5%, soit une solution de chlorure de sodium à 0,9%) avant chaque administration de RYBREVANT.
- +3.RYBREVANT ne doit pas être administré simultanément dans la même ligne de perfusion intraveineuse que d'autres médicaments.
- +4.Le médicament est à usage unique. Éliminer tout médicament non utilisé conformément à la réglementation nationale en vigueur.
-Mai 2024
- +Juin 2024
|
|