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Accueil - Information professionnelle sur Urocin 10 mg - Changements - 25.04.2024
35 Changements de l'information professionelle Urocin 10 mg
  • -L’injection doit être strictement administrée par voie intravasculaire. L’injection paravasculaire du médicament entraîne des nécroses importantes au niveau de la zone concernée.
  • +L’injection doit être strictement administrée par voie intraveineuse. L’injection paravasculaire du médicament entraîne des nécroses importantes au niveau de la zone concernée.
  • -Le choix du schéma thérapeutique le plus adapté, avec une fréquence d’administration et une durée de traitement optimales, doit être fait par le médecin spécialiste en fonction de la situation particulière du patient. En cas d’administration intravésicale, le pH de l’urine doit être supérieur à 6.
  • +Le choix du schéma thérapeutique le plus adapté, avec une fréquence d’administration et une durée de traitement optimales, doit être fait par le médecin spécialiste en fonction de la situation particulière du patient.
  • -Aucune étude n’a été effectuée.
  • +Il n’existe aucune donnée.
  • +Il est recommandé d’utiliser ce médicament à son pH optimal (pH urinaire >6) et de maintenir la concentration de mitomycine en réduisant l’apport hydrique avant, pendant et après l’instillation. La vessie doit être vidangée à l’aide d’une sonde avant l’instillation. La mitomycine est introduite dans la vessie à l’aide d’une sonde et à faible pression. La durée de chaque instillation doit être de 1 à 2 heures. Pendant ce temps, la solution doit être suffisamment en contact avec toute la surface de la muqueuse vésicale. Par conséquent, il faut veiller à ce que le patient reste aussi mobile que possible. Après 2 heures, le patient doit éliminer la solution instillée, de préférence en position assise.
  • -Remarques
  • -Seules les solutions limpides doivent être utilisées.
  • -Le contenu du flacon est destiné à un prélèvement unique.
  • -La solution non utilisée doit être éliminée.
  • -Urocin ne doit pas être utilisé dans des seringues de mélange.
  • -Les autres solutions injectables ou pour perfusion doivent être administrées séparément.
  • -L’injection doit être strictement effectuée par voie intraveineuse.
  • -Pour prévenir les nécroses, l’injection doit uniquement être réalisée dans les plus gros vaisseaux sanguins possibles (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Contre-indication absolue:
  • -Contre-indication relative:
  • +Mises en garde et précautions en cas d’administration intravésicale et intraveineuse
  • +La mitomycine est une substance mutagène et potentiellement carcinogène chez l’homme. Tout contact avec la peau et les muqueuses doit être évité.
  • -L’injection doit être strictement effectuée par voie intraveineuse. L’injection paravasculaire du médicament entraîne des nécroses importantes au niveau de la zone concernée.
  • -Pour éviter les nécroses, il convient de respecter les recommandations suivantes:
  • -·Toujours effectuer l’injection dans les grosses veines du bras.
  • -·Ne pas effectuer l’injection directement par voie intraveineuse, mais plutôt dans la tubulure d’un système de perfusion au débit bien contrôlé.
  • -·Avant de retirer la canule après une administration veineuse centrale, rincer celle-ci pendant quelques minutes à l’aide de la solution pour perfusion afin d’éliminer la mitomycine résiduelle.
  • -En cas d’extravasation, l’application locale de diméthylsulfoxyde (DMSO 99%) et de froid sec est recommandée. Un chirurgien (plasticien) doit être consulté rapidement (dans les 72 heures).
  • -Les patients âgés souffrent plus souvent d’une diminution des fonctions physiologiques et d’une myélodépression qui peut persister à long terme. La mitomycine doit donc être administrée avec une prudence particulière et sous surveillance étroite chez ces patients.
  • +Les patients âgés souffrent plus souvent d’une diminution des fonctions physiologiques et d’une myélodépression qui peut persister à long terme. La mitomycine doit donc être administrée avec une prudence particulière et sous surveillance étroite de l’état du patient dans ce groupe.
  • -La mitomycine est une substance mutagène et potentiellement carcinogène chez l’homme. Tout contact avec la peau et les muqueuses doit être évité.
  • -Le traitement doit également être immédiatement interrompu en cas de symptômes d’hémolyse ou de signes de troubles de la fonction rénale (néphrotoxicité).
  • -Une anémie hémolytique microangiopathique (AHMA) a été observée à des doses de mitomycine supérieures à 30 mg/m² de surface corporelle. À des doses cumulées de mitomycine supérieures à 60 mg/m², un syndrome hémolytique et urémique (SHU) accompagné d’une anémie hémolytique, d’une thrombocytopénie, de fièvre, de troubles de la fonction rénale et de symptômes neurologiques occasionnels a été observé.
  • -Une surveillance étroite de la fonction rénale est recommandée.
  • -De données récentes suggèrent qu’un essai thérapeutique utilisant la protéine A du staphylocoque et visant à éliminer les complexes immuns qui semblent jouer un rôle significatif dans l’apparition des symptômes, pourrait être approprié.
  • -Chez les patients traités concomitamment par d’autres principes actifs antinéoplasiques, une leucémie aiguë (dans certains cas, après la phase préleucémique) et un syndrome myélodysplasique ont été rapportés.
  • +Le traitement doit également être immédiatement interrompu en cas de symptômes d’hémolyse ou de signes de troubles de la fonction rénale (néphrotoxicité). L’apparition d’un syndrome hémolytique et urémique (SHU: insuffisance rénale irréversible, anémie hémolytique microangiopathique [AHMA], thrombocytopénie) est généralement fatale.
  • +Une anémie hémolytique microangiopathique (AHMA) a été observée à des doses intraveineuses de mitomycine supérieures à 30 mg/m² de surface corporelle. À des doses cumulées de mitomycine supérieures à 60 mg/m², un syndrome hémolytique et urémique (SHU) accompagné d’une anémie hémolytique, d’une thrombocytopénie, de fièvre, de troubles de la fonction rénale et de symptômes neurologiques occasionnels a été observé.
  • +Une surveillance étroite de la fonction rénale est recommandée. Aucun cas d’AHMA n’a été observé à ce jour après l’administration intravésicale de mitomycine.
  • +Des données récentes suggèrent qu’un essai thérapeutique par absorption immunitaire avec des colonnes contenant la protéine A staphylococcique et visant à éliminer les complexes immuns qui semblent jouer un rôle significatif dans l’apparition des symptômes pourrait être approprié.
  • +Mises en garde et précautions en cas d’administration intravésicale
  • +Il est recommandé de se laver les mains et les parties génitales après la miction. Cela vaut en particulier pour les premières mictions après l’administration de mitomycine.
  • +Les symptômes d’extravasation après l’administration intravésicale de mitomycine peuvent apparaître immédiatement après l’administration ou des semaines, voire des mois, plus tard. Il peut être difficile de savoir si l’extravasation est due à une perforation passée inaperçue, à un amincissement de la tunique musculaire ou à l’administration incorrecte du médicament.
  • +Les premiers symptômes se manifestent par des douleurs pelviennes ou abdominales réfractaires à une simple analgésie. Dans la plupart des cas, une nécrose des tissus (adipeux) de la zone environnante a été observée à la suite de l’extravasation. Une perforation vésicale ou la formation d’une fistule et/ou d’un abcès ont également été rapportés (voir rubrique «Effets indésirables»).
  • +Pour prévenir des conséquences graves, les médecins doivent donc envisager la possibilité de survenue d’une extravasation si le patient se plaint de douleurs pelviennes ou abdominales.
  • +Mises en garde et précautions en cas d’administration intraveineuse
  • +L’injection doit être strictement effectuée par voie intraveineuse. L’injection paravasculaire du médicament entraîne des nécroses importantes au niveau de la zone concernée.
  • +Pour éviter les nécroses, il convient de respecter les recommandations suivantes:
  • +·Toujours effectuer l’injection dans les grosses veines du bras.
  • +·Ne pas effectuer l’injection directement par voie intraveineuse, mais plutôt dans la tubulure d’un système de perfusion au débit bien contrôlé.
  • +·Avant de retirer la canule après une administration veineuse centrale, rincer celle-ci pendant quelques minutes à l’aide de la solution pour perfusion afin d’éliminer la mitomycine résiduelle.
  • +En cas d’extravasation, l’application locale de diméthylsulfoxyde (DMSO 99%) et de froid sec est recommandée. Un chirurgien (plasticien) doit être consulté rapidement (dans les 72 heures).
  • +Chez les patients traités concomitamment par d’autres principes actifs antinéoplasiques, une leucémie aiguë (dans certains cas, après la phase préleucémique) et un syndrome myélodysplasique ont été rapportés.
  • -Un risque accru de syndrome hémolytique et urémique a été rapporté chez les patients recevant concomitamment de la mitomycine et du 5-fluorouracile ou du tamoxifène.
  • +Un risque accru de syndrome hémolytique et urémique a été rapporté chez les patients recevant concomitamment de la mitomycine et du 5-fluorouracile ou du tamoxifène par voie intraveineuse.
  • -Aucun vaccin vivant atténué ne doit être administré pendant le traitement par la mitomycine.
  • +Aucun vaccin vivant atténué ne doit être administré pendant le traitement par la mitomycine, car le vaccin vivant atténué pourrait entraîner un risque accru d’infection.
  • -La mitomycine a un effet mutagène, tératogène et carcinogène, et peut donc nuire au développement embryonnaire. La mitomycine ne doit pas être utilisée pendant la grossesse. En cas d’indication vitale pour le traitement d’une patiente enceinte, une consultation médicale sur le risque des effets nocifs du traitement sur l’enfant à naître doit être effectuée.
  • +La mitomycine a un effet mutagène, tératogène et carcinogène, et peut donc nuire au développement embryonnaire. Les patientes ne doivent pas tomber enceintes pendant le traitement par la mitomycine. Le cas échéant, une consultation génétique doit être proposée.
  • -Les patientes ne doivent pas tomber enceintes pendant le traitement par la mitomycine. Le cas échéant, une consultation génétique est recommandée.
  • -Les effets indésirables les plus fréquents de la mitomycine administrée par voie systémique sont des symptômes gastro-intestinaux, tels que nausées et vomissements, ainsi qu’une myélosuppression accompagnée d’une leucopénie et d’une thrombocytopénie généralement dominante. L’apparition d’une myélosuppression concerne jusqu’à 65% des patients.
  • -Jusqu’à 10% des patients peuvent s’attendre à présenter une toxicité organique grave sous forme de pneumonie interstitielle ou de néphrotoxicité. Le néphrotoxicité de la mitomycine peut entraîner des troubles de la fonction rénale d’évolution progressive rapide ou chronique (élévation de la créatinine sérique, glomérulopathie).
  • +Les effets indésirables les plus fréquents de la mitomycine administrée par voie systémique sont des symptômes gastro-intestinaux, tels que nausées et vomissements, ainsi qu’une myélosuppression accompagnée d’une leucopénie et d’une thrombocytopénie généralement dominante.
  • +Voir tableau 1.
  • +L’apparition d’une myélosuppression concerne jusqu’à 65% des patients.
  • +Jusqu’à 10% des patients peuvent s’attendre à présenter une toxicité organique grave sous forme de pneumonie interstitielle ou de néphrotoxicité. Le néphrotoxicité de la mitomycine peut entraîner des troubles de la fonction rénale d’évolution progressive rapide ou chronique (créatinine sérique élevée, glomérulopathie).
  • -Affections hématologiques et du système lymphatique Très fréquents Myélosuppression, leucopénie, thrombocytopénie Rares Infection engageant le pronostic vital, septicémie, anémie hémolytique
  • +Tableau 1
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique Très fréquents Myélosuppression, leucopénie, thrombocytopénie Rares Anémie hémolytique, microangiopathie thrombotique (MAT), y compris purpura thrombotique thrombocytopénique (PTT) Fréquence inconnue Anémie
  • +Infections et infestations Rares Infection engageant le pronostic vital, septicémie Fréquence inconnue Infection
  • -Affections du rein et des voies urinaires Fréquents Trouble de la fonction rénale, élévation du taux de créatinine sérique, glomérulopathie, néphrotoxicité Rares Syndrome hémolytique et urémique (SHU, fréquemment d’issue fatale), anémie hémolytique microangiopathique (syndrome AHMA)
  • +Affections du rein et des voies urinaires Fréquents Trouble de la fonction rénale, créatinine sérique élevée, glomérulopathie, néphrotoxicité Rares Syndrome hémolytique et urémique (SHU, fréquemment d’issue fatale), anémie hémolytique microangiopathique (syndrome AHMA)
  • +Les effets secondaires peuvent être causés par la solution pour instillation intravésicale ou survenir à la suite d’une résection profonde.
  • +En cas d’administration intravésicale de mitomycine, les effets secondaires les plus fréquents sont des réactions cutanées allergiques sous forme d’exanthèmes locaux (p. ex. dermatite de contact, également sous forme d’érythèmes palmoplantaires) et de cystites.
  • +Voir tableau 2.
  • +Tableau 2
  • +
  • -Affections du rein et des voies urinaires Fréquents Cystite (potentiellement hémorragique), dysurie, nycturie, pollakiurie, hématurie, irritation localisée de la paroi vésicale Très rares Cystite nécrosante, cystite allergique (éosinophile), sténose des voies urinaires efférentes, diminution de la capacité vésicale, calcification de la paroi vésicale, fibrose de la paroi vésicale, perforation de la paroi vésicale
  • +Affections du rein et des voies urinaires Fréquents Cystite (potentiellement hémorragique), dysurie, nycturie, pollakiurie, hématurie, irritation localisée de la paroi vésicale Très rares Cystite nécrosante, cystite allergique (éosinophile), sténose des voies urinaires efférentes, diminution de la capacité vésicale, calcification de la paroi vésicale, fibrose de la paroi vésicale, perforation de la paroi vésicale Fréquence inconnue En cas d’extravasation: Perforation vésicale, nécrose des tissus (adipeux) de la zone environnante, fistule vésicale, abcès
  • +Après administration intravésicale, seules de très faibles quantités de mitomycine arrivent dans la circulation systémique. Néanmoins, les effets secondaires systémiques suivants ont été rapportés dans de très rares cas.
  • +Voir tableau 3
  • +Tableau 3
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique Très rares Leucopénie, thrombopénie
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales Très rares Pneumopathie interstitielle diffuse
  • +Affections gastro-intestinales Très rares Nausées, vomissements, diarrhée
  • +Affections hépatobiliaires Très rares Transaminases augmentées
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané Très rares Alopécie
  • +Affections du rein et des voies urinaires Très rares Trouble de la fonction rénale
  • +Troubles généraux et anomalies au site d’administration Très rares Fièvre
  • +
  • -En cas de suspicion de surdosage, une surveillance hématologique étroite et prolongée doit donc être mise en place.
  • +En cas de suspicion de surdosage, une surveillance hématologique étroite et prolongée doit donc être mise en place. Jusqu’à présent toutefois, aucun cas de surdosage n’a été rapporté en cas d’administration intravésicale de mitomycine.
  • -Dans le test de Ames sans activation métabolique, la mitomycine n’a démontré aucun effet sur la souche TA100 de Salmonella typhimurium, mais le principe actif a induit des mutations inverses dans le test de la souche hisG46/pKM101 avec indication de marqueurs de réparation par excision.
  • +Dans le test dAmes sans activation métabolique, la mitomycine n’a démontré aucun effet sur la souche TA100 de Salmonella typhimurium, mais le principe actif a induit des mutations inverses dans le test de la souche hisG46/pKM101 avec indication de marqueurs de réparation par excision.
  • +Seules les solutions limpides doivent être utilisées.
  • +Le contenu du flacon est destiné à un prélèvement unique.
  • +La solution non utilisée doit être éliminée.
  • +Urocin ne doit pas être utilisé dans des seringues de mélange.
  • +Les autres solutions injectables ou pour perfusion doivent être administrées séparément.
  • +
  • -Une technique d’injection irréprochable est importante pour prévenir les nécroses et les croûtes apparaissant à chaque fois que la mitomycine s’échappe du vaisseau sanguin vers les tissus environnants. Les nécroses peuvent apparaître de manière retardée et loin du site d’injection.
  • +L’injection doit être strictement effectuée par voie intraveineuse.
  • +Une technique d’injection irréprochable est importante pour prévenir les nécroses et les croûtes apparaissant à chaque fois que la mitomycine s’échappe du vaisseau sanguin vers les tissus environnants. C’est pourquoi l’injection doit uniquement être réalisée dans les plus gros vaisseaux sanguins possibles (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Les nécroses peuvent apparaître de manière retardée et loin du site d’injection. Pour les mesures à prendre en cas d’extravasation, voir la rubrique «Mises en garde et précautions».
  • -sonde SafetyCat® Active, sonde de sécurité pré-lubrifiée
  • +sonde
  • -Tenir également compte des informations ci-jointes concernant les dispositifs médicaux individuels.
  • -Tenir compte des informations ci-jointes concernant l’utilisation de la sonde.
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