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Accueil - Information professionnelle sur Urocin 10 mg - Changements - 30.09.2022
36 Changements de l'information professionelle Urocin 10 mg
  • -Zusammensetzung
  • -Wirkstoffe
  • -Mitomycin
  • -Hilfsstoffe
  • -Mannitolum
  • +Composition
  • +Principes actifs
  • +Mitomycine
  • +Excipients
  • +Mannitol
  • -Indikationen/Anwendungsmöglichkeiten
  • -Urocin wird angewendet bei Erwachsenen.
  • -Intravesikale Anwendung zur Rezidivprophylaxe bei nicht-invasivem Harnblasenkarzinom nach transurethraler Resektion.
  • -Mitomycin wird in der palliativen Tumortherapie eingesetzt.
  • -Bei intravenöser Gabe ist es in der Monochemotherapie oder in kombinierter zytostatischer Chemotherapie bei folgenden Tumoren wirksam:
  • -nicht-kleinzelliges Bronchialkarzinom
  • -fortgeschrittenes kolorektales Karzinom
  • -fortgeschrittenes Leberzellkarzinom
  • -fortgeschrittenes Magenkarzinom
  • -fortgeschrittenes und/oder metastasierendes Mammakarzinom
  • -fortgeschrittenes Ösophaguskarzinom
  • -fortgeschrittenes Pankreaskarzinom
  • -fortgeschrittenes Zervixkarzinom
  • -fortgeschrittener Kopf-Hals-Tumor
  • -Dosierung/Anwendung
  • -Mitomycin darf nur von in dieser Therapie erfahrenen Ärzten angewendet werden bei strenger Indikationsstellung und unter laufender Kontrolle der hämatologischen Parameter.
  • -Die Injektion muss streng intravasal erfolgen. Bei paravasaler Injektion treten im betroffenen Bereich ausgedehnte Nekrosen auf.
  • -Dosierung
  • -Soweit nicht anders verordnet, wird Mitomycin wie folgt dosiert:
  • -Intravesikale Anwendung
  • -Es gibt eine Vielzahl intravesikaler Therapieregimes für Mitomycin, die sich hinsichtlich der verwendeten Dosis, der Instillationshäufigkeit sowie der Therapiedauer unterscheiden.
  • -Sofern nicht anders angegeben, wird Mitomycin in einer Dosierung von 20-40 mg einmal wöchentlich in die Harnblase instilliert. Therapieregimes mit einer alle 2 Wochen, einmal monatlich oder alle 3 Monate erfolgenden Instillation können ebenfalls angewendet werden.
  • -Die Entscheidung für das bestmögliche Regime mit optimaler Anwendungshäufigkeit und Therapiedauer sollte vom Facharzt anhand der individuellen Patientensituation getroffen werden. Bei der intravesikalen Anwendung sollte der Urin-pH höher als pH 6 sein.
  • -Intravenöse Anwendung
  • -In der zytostatischen Monochemotherapie wird Mitomycin zumeist als Bolusinjektion intravenös verabreicht. Abhängig vom Behandlungsschema beträgt die empfohlene Dosis 10-20 mg/m2 KOF alle 6-8 Wochen, 8-12 mg/m2 KOF alle 3-4 Wochen oder 5-10 mg/m2 KOF alle 1-6 Wochen.
  • -Eine Dosierung von mehr als 20 mg/m2 führt zu mehr toxischen Erscheinungen, bringt jedoch keinen therapeutischen Nutzen. Die maximale kumulative Dosis Mitomycin darf nicht mehr als 60 mg/m2 betragen.
  • -In der Kombinationschemotherapie ist die Dosierung deutlich geringer. Wegen der Gefahr der additiven Myelotoxizität darf von erprobten Therapieprotokollen ohne besonderen Grund nicht abgewichen werden.
  • -Bestimmte Patientengruppen
  • -Bei Patienten mit ausgiebiger zytostatischer Vorbehandlung, bei Vorliegen einer Knochenmarksuppression und bei älteren Patienten muss eine Dosisreduktion erfolgen.
  • -Zur Anwendung von Mitomycin bei Patienten ≥ 65 Jahre sind keine ausreichenden Daten aus klinischen Studien verfügbar.
  • -Das Arzneimittel sollte nicht bei Patienten mit eingeschränkter Nierenfunktion angewendet werden (siehe Rubrik «Kontraindikationen»).
  • -Das Arzneimittel wird für Patienten mit eingeschränkter Leberfunktion aufgrund fehlender Wirksamkeits- und Sicherheitsdaten bei dieser Patientengruppe nicht empfohlen.
  • -Kinder und Jugendliche
  • -Die Sicherheit und Wirksamkeit der Anwendung von Mitomycin bei Kindern und Jugendlichen ist nicht erwiesen.
  • -Es liegen keine Studien vor.
  • -Art der Anwendung
  • -Urocin ist zur intravenösen Injektion oder Infusion oder zur intravesikalen Instillation nach Auflösen des Pulvers bestimmt.
  • -Zubereitung der Lösung zur intravesikalen Anwendung
  • +Indications/Possibilités d’emploi
  • +Urocin est utilisé chez les adultes.
  • +Administration intravésicale pour la prévention des récidives en cas de carcinome de la vessie non invasif après résection transurétrale.
  • +La mitomycine est utilisée dans le traitement palliatif des tumeurs.
  • +En cas d’administration intraveineuse, elle est efficace dans le cadre d’une monochimiothérapie ou d’une polychimiothérapie cytostatique dans le cas des tumeurs suivants:
  • +carcinome bronchique non à petites cellules,
  • +carcinome colorectal avancé,
  • +carcinome hépatocellulaire avancé,
  • +carcinome gastrique avancé,
  • +carcinome mammaire avancé et/ou métastatique,
  • +carcinome Å“sophagien avancé,
  • +carcinome pancréatique avancé,
  • +carcinome cervical avancé,
  • +tumeur avancée de la tête et du cou.
  • +Posologie/Mode d’emploi
  • +La mitomycine ne doit être utilisée que par des médecins expérimentés dans ce traitement, en respectant des indications strictes et sous contrôle permanent des paramètres hématologiques.
  • +L’injection doit être strictement administrée par voie intravasculaire. L’injection paravasculaire du médicament entraîne des nécroses importantes au niveau de la zone concernée.
  • +Posologie
  • +Sauf prescription contraire, la mitomycine est dosée comme suit:
  • +Administration intravésicale
  • +Il existe de nombreux schémas thérapeutiques intravésicaux pour la mitomycine, qui se distinguent par la dose utilisée, la fréquence d’instillation et la durée du traitement.
  • +Sauf indication contraire, la mitomycine est instillée dans la vessie selon une posologie de 20-40 mg une fois par semaine. Des schémas thérapeutiques avec une instillation une fois toutes les deux semaines, tous les mois ou tous les trois mois peuvent également être utilisés.
  • +Le choix du schéma thérapeutique le plus adapté, avec une fréquence d’administration et une durée de traitement optimales, doit être fait par le médecin spécialiste en fonction de la situation particulière du patient. En cas d’administration intravésicale, le pH de l’urine doit être supérieur à 6.
  • +Administration intraveineuse
  • +En cas de monochimiothérapie cytostatique, la mitomycine est généralement administrée par injection intraveineuse en bolus. Selon le schéma thérapeutique utilisé, la dose recommandée est de 10 à 20 mg/m2 de surface corporelle toutes les 6 à 8 semaines, 8 à 12 mg/m2 de surface corporelle toutes les 3 à 4 semaines ou 5 à 10 mg/m2 de surface corporelle toutes les 1 à 6 semaines.
  • +Une dose supérieure à 20 mg/m2 entraîne davantage de manifestations toxiques, mais n’apporte aucun bénéfice thérapeutique. La dose cumulée maximale de mitomycine ne doit pas dépasser 60 mg/m2.
  • +En cas de polychimiothérapie, la posologie est considérablement réduite. En raison du risque de myélotoxicité cumulée, les protocoles thérapeutiques éprouvés ne peuvent pas être modifiés sans raison particulière.
  • +Groupes de patients particuliers
  • +La dose doit être réduite chez les patients ayant auparavant suivi un traitement cytostatique intensif, chez les patients présentant une myélosuppression et chez les patients âgés.
  • +On ne dispose pas de données tirées d’études cliniques suffisantes en ce qui concerne l’utilisation de la mitomycine chez les patients âgés de 65 ans et plus.
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé chez les patients atteints d’insuffisance rénale (voir rubrique «Contre-indications»).
  • +Le médicament n’est pas recommandé chez les patients atteints d’insuffisance hépatique en raison du manque de données sur son efficacité et sa sécurité pour ce groupe de patients.
  • +Enfants et adolescents
  • +La sécurité et l’efficacité de la mitomycine pour les enfants et les adolescents ne sont pas établies.
  • +Aucune étude n’a été effectuée.
  • +Mode d’administration
  • +Urocin est destiné à être injecté ou perfusé par voie intraveineuse, ou instillé par voie intravésicale après dissolution de la poudre.
  • +Préparation de la solution intravésicale
  • -Zur Zubereitung einer Lösung zur intravesikalen Anwendung wird 1 Durchstechflasche Urocin 10 mg, entsprechend 10 mg Mitomycin, in 10 ml 0,9%iger isotonischer Natriumchloridlösung gelöst.
  • +Pour préparer une solution intravésicale, dissoudre 1 flacon d’Urocin 10 mg, correspondant à 10 mg de mitomycine, dans 10 ml de solution isotonique de chlorure de sodium à 0,9%.
  • -Zur Zubereitung einer Lösung zur intravesikalen Anwendung wird 1 Durchstechflasche Urocin 20 mg, entsprechend 20 mg Mitomycin, in 20 ml 0,9%iger isotonischer Natriumchloridlösung gelöst.
  • +Pour préparer une solution intravésicale, dissoudre 1 flacon d’Urocin 20 mg, correspondant à 20 mg de mitomycine, dans 20 ml de solution isotonique de chlorure de sodium à 0,9%.
  • -Zur Zubereitung einer Lösung zur intravesikalen Anwendung wird 1 Durchstechflasche Urocin 40 mg, entsprechend 40 mg Mitomycin, in 40 ml 0,9%iger isotonischer Natriumchloridlösung gelöst.
  • -Die gebrauchsfertige Lösung sollte nicht mehr als 1 mg Mitomycin pro ml enthalten.
  • -Zubereitung der Lösung zur intravenösen Anwendung
  • +Pour préparer une solution intravésicale, dissoudre 1 flacon d’Urocin 40 mg, correspondant à 40 mg de mitomycine, dans 40 ml de solution isotonique de chlorure de sodium à 0,9%.
  • +La solution prête à l’emploi ne doit pas contenir plus de 1 mg de mitomycine par ml.
  • +Préparation de la solution intraveineuse
  • -Zur Zubereitung der Stammlösung (0,5 mg Mitomycin/ml) wird der Inhalt einer Durchstechflasche in 20 ml Wasser für Injektionszwecke durch Umschwenken gelöst.
  • +Pour préparer la solution mère (0,5 mg de mitomycine/ml), dissoudre le contenu d’un flacon dans 20 ml d’eau pour préparations injectables en le retournant.
  • -Zur Zubereitung der Stammlösung (0,5 mg Mitomycin/ml) wird der Inhalt einer Durchstechflasche in 40 ml Wasser für Injektionszwecke durch Umschwenken gelöst.
  • +Pour préparer la solution mère (0,5 mg de mitomycine/ml), dissoudre le contenu d’un flacon dans 40 ml d’eau pour préparations injectables en le retournant.
  • -Zur Zubereitung der Stammlösung (0,5 mg Mitomycin/ml) wird der Inhalt einer Durchstechflasche in 80 ml Wasser für Injektionszwecke durch Umschwenken gelöst.
  • -Der Inhalt der Durchstechflasche muss sich innerhalb von 5 Minuten klar lösen.
  • -Zur Zubereitung der Infusionslösung kann die Stammlösung mit isotonischer Natriumchloridlösung verdünnt werden.
  • -Die gebrauchsfertige Lösung sollte nicht mehr als 0,5 mg Mitomycin pro ml enthalten.
  • -Hinweise
  • -Es dürfen nur klare Lösungen verwendet werden.
  • -Der Inhalt der Durchstechflasche ist zur einmaligen Entnahme bestimmt.
  • -Nicht verbrauchte Lösung ist zu verwerfen.
  • -Urocin darf nicht in Mischspritzen verwendet werden.
  • -Andere Injektionslösungen bzw. Infusionslösungen müssen getrennt verabreicht werden.
  • -Die Injektion muss streng intravenös erfolgen.
  • -Zur Vermeidung von Nekrosen sollte nur in möglichst grosse Gefässe gespritzt werden (siehe Rubrik «Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen»).
  • -Kontraindikationen
  • -·Überempfindlichkeit gegenüber dem Wirkstoff oder einem der Hilfsstoffe.
  • -·Stillen
  • -·Schwangerschaft
  • -Bei intravesikaler Therapie
  • -Absolute Kontraindikation:
  • --Vorliegen einer Harnblasenwandperforation
  • -Relative Kontraindikation:
  • --Zystitis
  • -Bei systemischer Therapie
  • -Absolute Kontraindikationen:
  • --Panzytopenie oder isolierte Leuko-/Thrombozytopenie
  • -hämorrhagische Diathese
  • -akute Infektionen
  • -Relative Kontraindikationen:
  • -restriktive oder obstruktive Lungenventilationsstörungen
  • --Nierenfunktionsstörungen
  • --Leberfunktionsstörungen
  • -schlechter Allgemeinzustand
  • -eine in zeitlichem Zusammenhang stehende Strahlentherapie oder andere zytostatische Therapie
  • -Warnhinweise und Vorsichtsmassnahmen
  • -Wegen der knochenmarktoxischen Wirkung von Mitomycin müssen andere myelotoxische Therapiemodalitäten (insbesondere andere Zytostatika, Bestrahlung) mit besonderer Vorsicht gehandhabt werden, um eine additive Myelosuppression in Grenzen zu halten.
  • -Die Injektion muss streng intravenös erfolgen. Bei paravasaler Injektion treten im betroffenen Bereich ausgedehnte Nekrosen auf.
  • -Zur Vermeidung von Nekrosen sind folgende Empfehlungen zu beachten:
  • -·Immer in grosse Armvenen injizieren.
  • -·Nicht direkt intravenös injizieren, sondern besser in den Schlauch einer gut und sicher laufenden Infusion.
  • -·Vor Entfernen der Kanüle nach zentralvenöser Gabe einige Minuten mit der Infusionslösung nachspülen, um restliches Mitomycin auszuspülen.
  • -Bei Auftreten einer Paravasation werden die lokale Applikation von Dimethylsulfoxid (DMSO 99%) sowie die Anwendung trockener Kälte empfohlen. Ein (plastischer) Chirurg sollte frühzeitig (innerhalb von 72 Stunden) hinzugezogen werden.
  • -Bei Kombinationstherapie kann additive Knochenmarktoxizität auftreten. Der nächste Zyklus sollte erst gegeben werden, nachdem die hämatologischen Werte normalisiert sind. Wenn nötig sollte die Dosierung von Mitomycin angepasst werden.
  • -Nadir nach Vordosis (Zellen/mm³) Dosis in Prozenten der verabreichten Vordosis
  • -Leukozyten > 3000 2000-2999 < 2000 Thrombozyten > 75000 25000-75000 < 25000 100% 70% 50%
  • +Pour préparer la solution mère (0,5 mg de mitomycine/ml), dissoudre le contenu d’un flacon dans 80 ml d’eau pour préparations injectables en le retournant.
  • +Le contenu du flacon doit se dissoudre dans les 5 minutes pour donner une solution limpide.
  • +Pour préparer la solution pour perfusion, la solution mère peut être diluée avec une solution isotonique de chlorure de sodium.
  • +La solution prête à l’emploi ne doit pas contenir plus de 0,5 mg de mitomycine par ml.
  • +Remarques
  • +Seules les solutions limpides doivent être utilisées.
  • +Le contenu du flacon est destiné à un prélèvement unique.
  • +La solution non utilisée doit être éliminée.
  • +Urocin ne doit pas être utilisé dans des seringues de mélange.
  • +Les autres solutions injectables ou pour perfusion doivent être administrées séparément.
  • +L’injection doit être strictement effectuée par voie intraveineuse.
  • +Pour prévenir les nécroses, l’injection doit uniquement être réalisée dans les plus gros vaisseaux sanguins possibles (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Contre-indications
  • +·Hypersensibilité au principe actif ou à l’un des excipients
  • +·Allaitement
  • +·Grossesse
  • +En cas de traitement intravésical
  • +Contre-indication absolue:
  • +-Présence d’une perforation de la paroi vésicale
  • +Contre-indication relative:
  • +-Cystite
  • +En cas de traitement systémique
  • +Contre-indications absolues:
  • +-Pancytopénie ou leucopénie/thrombocytopénie isolée
  • +-Diathèse hémorragique
  • +-Infections aiguës
  • +Contre-indications relatives:
  • +-Troubles ventilatoires pulmonaires restrictifs ou obstructifs
  • +-Troubles de la fonction rénale
  • +-Troubles de la fonction hépatique
  • +-Mauvais état de santé général
  • +-Lien temporel avec une radiothérapie ou un autre traitement cytostatique
  • +Mises en garde et précautions
  • +En raison de l’effet myélotoxique de la mitomycine, les autres modalités thérapeutiques myélotoxiques (notamment les autres cytostatiques, la radiothérapie) doivent être utilisées avec une prudence particulière afin de limiter le risque de myélosuppression additive.
  • +L’injection doit être strictement effectuée par voie intraveineuse. L’injection paravasculaire du médicament entraîne des nécroses importantes au niveau de la zone concernée.
  • +Pour éviter les nécroses, il convient de respecter les recommandations suivantes:
  • +·Toujours effectuer l’injection dans les grosses veines du bras.
  • +·Ne pas effectuer l’injection directement par voie intraveineuse, mais plutôt dans la tubulure d’un système de perfusion au débit bien contrôlé.
  • +·Avant de retirer la canule après une administration veineuse centrale, rincer celle-ci pendant quelques minutes à l’aide de la solution pour perfusion afin d’éliminer la mitomycine résiduelle.
  • +En cas d’extravasation, l’application locale de diméthylsulfoxyde (DMSO 99%) et de froid sec est recommandée. Un chirurgien (plasticien) doit être consulté rapidement (dans les 72 heures).
  • +En cas de polythérapie, une myélotoxicité additive peut apparaître. Le cycle suivant ne doit être administré qu’après la normalisation des paramètres hématologiques. Le cas échéant, la posologie de la mitomycine doit être ajustée.
  • +Nadir après la dose précédente (cellules/mm³) Dose en pourcentage de la dose précédemment administrée
  • +Leucocytes >3000 2000-2999 <2000 Thrombocytes >75 000 25 000-75 000 <25 000 100% 70% 50%
  • -Eine Langzeittherapie kann zu einer kumulativen Knochenmarktoxizität führen.
  • -Bei systemischer Therapie tritt regelmässig eine Knochenmarksuppression mit Leuko- und zumeist dominanter Thrombozytopenie auf. Sie kann sich erst verzögert mit maximaler Ausprägung nach 4-6 Wochen manifestieren und nach längerer Anwendung kumulieren. Daher ist häufig eine individuelle Dosisanpassung erforderlich.
  • -Mit der Knochenmarksuppression kann eine lebensbedrohliche Infektion bzw. Sepsis mit potentiell letalem Ausgang einhergehen.
  • -Ältere Patienten leiden häufiger unter reduzierter physiologischer Funktion und Knochenmarkdepression, die längerfristig anhalten kann. Daher ist Mitomycin in dieser Patientengruppe mit besonderer Vorsicht und unter engmaschiger Ãœberwachung zu geben.
  • -Besondere Vorsicht ist erforderlich bei Auftreten oder sich verschlechternden Infektionskrankheiten und bei Vorliegen einer Blutungsneigung.
  • -Mitomycin ist bei Menschen eine mutagene und potentiell karzinogene Substanz. Haut- und Schleimhautkontakte sind zu vermeiden.
  • -Bei pulmonaler Symptomatik, die nicht auf die Grunderkrankung zurückgeführt werden kann, ist die Therapie sofort abzubrechen.
  • -Die pulmonale Toxizität ist mit Steroiden meistens gut behandelbar.
  • -Die Therapie sollte ebenfalls sofort abgebrochen werden, wenn sich Symptome einer Hämolyse oder Indikationen für eine Nierenfunktionsstörung (Nephrotoxizität) zeigen.
  • -Bei Dosen von >30 mg Mitomycin/m2 Körperoberfläche wurde eine mikroangiopathische hämolytische Anämie (MAHA) und bei kumulativen Dosen >60 mg Mitomycin/m² ein hämolytisch-urämisches Syndrom (HUS) mit hämolytischer Anämie, Thrombozytopenie, Fieber, Nierenfunktionsstörungen und gelegentlichen neurologischen Symptomen beobachtet.
  • -Eine engmaschige Ãœberwachung der Nierenfunktion wird empfohlen.
  • -Neue Erkenntnisse lassen einen Therapieversuch zur Entfernung von Immunkomplexen, die anscheinend bei der Auslösung der Symptome eine signifikante Rolle spielen, mittels Staphylococcus-Protein A eventuell angezeigt erscheinen.
  • -Bei Patienten, die gleichzeitig mit anderen antineoplastischen Wirkstoffen behandelt wurden, wurde vom Auftreten akuter Leukämie (in einigen Fällen nach präleukämischer Phase) und myelodysplastischem Syndrom berichtet.
  • -Behandlung mit Mitomycin kann Myelosuppression induzieren und damit Thrombozytopenie. Bei Patienten, die gerinnungshemmende Arzneimittel anwenden, muss die Thrombozytenzahl sorgfältig überwacht werden, um schwere Thrombozytopenien zu vermeiden. Mitomycin soll bei einer Thrombozytenzahl <100‘000/mm³ nicht verabreicht werden.
  • -Bei Patienten mit reduzierter Immunkompetenz, wie z. B. bei der Behandlung mit Mitomycin, erhöht eine Impfung mit Lebendvakzinen (z. B. Gelbfieberimpfstoff) das Risiko für Infektionen und andere unerwünschte Reaktionen wie z. B. Vaccinia gangraenosum und generalisierte Vaccinia. Während der Behandlung dürfen daher keine Impfungen mit Lebendvakzinen verabreicht werden. Nach Beendigung einer Chemotherapie sollten Lebendvakzine mit Vorsicht angewendet werden und die Impfung frühestens 3 Monate nach der letzten Dosis Chemotherapie erfolgen (siehe Rubrik Interaktionen).
  • -Empfohlene Kontrolluntersuchungen und Sicherheitsmassnahmen bei intravenöser Anwendung:
  • -Vor Therapiebeginn:
  • -·Kompletter Blutstatus
  • -·Lungenfunktionstest bei Verdacht auf eine vorbestehende Lungenfunktionsstörung
  • -·Nierenfunktionsprüfung zum Ausschluss einer Niereninsuffizienz
  • -·Leberfunktionsprüfung zum Ausschluss einer Leberinsuffizienz
  • -Während der Therapie:
  • -·Regelmässige Ãœberprüfung des Blutstatus
  • -·Engmaschige Ãœberwachung der Nierenfunktion
  • -Zu Vorsichtsmassnahmen bei der Handhabung von Urocin siehe Rubrik «Sonstige Hinweise».
  • -Interaktionen
  • -Chemotherapeutika und Radiotherapie
  • -Myelotoxische Wechselwirkungen mit anderen knochenmarktoxischen Therapiemodalitäten (insbesondere Behandlung mit anderen Zytostatika oder Bestrahlung) sind möglich.
  • -Die Kardiotoxizität von Doxorubicin kann durch Mitomycin verstärkt werden.
  • -Eine Kombination mit Vinca-Alkaloiden oder Bleomycin kann die pulmonale Toxizität von Mitomycin verstärken.
  • -Bei Patienten, die eine gleichzeitige Gabe von Mitomycin und 5-Fluorouracil oder Tamoxifen erhielten, wurde von einem erhöhten Risiko für ein hämolytisch-urämisches Syndrom berichtet.
  • -Vitamine
  • -Die gleichzeitige Gabe von Pyridoxinhydrochlorid (Vitamin B6) führte im Tierversuch zum Wirkungsverlust von Mitomycin.
  • -Impfstoffe
  • -Während einer Mitomycin-Behandlung sollten keine Impfungen mit Lebendvakzinen erfolgen.
  • -Beachten Sie bitte, dass diese Angaben auch für kürzlich angewendete Arzneimittel gelten können.
  • -Schwangerschaft, Stillzeit
  • -Schwangerschaft
  • -Es liegen keine hinreichenden Daten für die Verwendung von Mitomycin bei Schwangeren vor.
  • -Tierexperimentelle Studien haben eine Reproduktionstoxizität gezeigt (siehe Rubrik Präklinische Daten).
  • -Mitomycin hat eine mutagene, teratogene und karzinogene Wirkung und kann daher die Entwicklung des Embryos beeinträchtigen. Mitomycin sollte während der Schwangerschaft nicht angewendet werden. Bei vitaler Indikation zur Behandlung einer schwangeren Patientin sollte eine medizinische Beratung über das mit der Behandlung verbundene Risiko von schädigenden Wirkungen für das Kind erfolgen.
  • -Stillzeit
  • -Es gibt Hinweise dafür, dass Mitomycin in die Muttermilch übergeht.
  • -Aufgrund seiner erwiesenen mutagenen, teratogenen und karzinogenen Wirkung darf Mitomycin während der Stillzeit nicht gegeben werden. Daher ist Urocin während der Stillzeit kontraindiziert (siehe Rubrik Kontraindikationen).
  • -Fertilität
  • -Frauen dürfen während einer Behandlung mit Mitomycin nicht schwanger werden. Tritt während der Behandlung eine Schwangerschaft ein, so ist die Möglichkeit einer genetischen Beratung zu nutzen.
  • -Patientinnen im geschlechtsreifen Alter sollten während und bis zu 6 Monate nach Beendigung der Chemotherapie empfängnisverhütende Massnahmen ergreifen bzw. sexuelle Abstinenz einhalten.
  • -Mitomycin wirkt erbgutschädigend. Männern, die mit Mitomycin behandelt werden, wird daher empfohlen, während der Behandlung und bis zu 6 Monate danach kein Kind zu zeugen und sich vor Therapiebeginn wegen der Möglichkeit einer irreversiblen Infertilität durch die Therapie mit Mitomycin über eine Spermakonservierung beraten zu lassen.
  • -Wirkung auf die Fahrtüchtigkeit und auf das Bedienen von Maschinen
  • -Urocin kann auch bei bestimmungsgemässem Gebrauch durch Auslösen von Ãœbelkeit und Erbrechen das Reaktionsvermögen so weit verändern, dass die Fähigkeit zur aktiven Teilnahme am Strassenverkehr oder zum Bedienen von Maschinen beeinträchtigt ist. Dies gilt besonders in Verbindung mit Alkohol.
  • -Unerwünschte Wirkungen
  • -Zusammenfassung des Sicherheitsprofils
  • -Die häufigsten unerwünschten Wirkungen von systemisch gegebenem Mitomycin sind gastrointestinale Symptome wie Ãœbelkeit und Erbrechen sowie Knochenmarksuppression mit Leukopenie und zumeist dominanter Thrombozytopenie. Die Knochenmarksuppression tritt bei bis zu 65% der Patienten auf.
  • -Bei bis zu 10% der Patienten muss mit schwerwiegender Organtoxizität in Form einer interstitiellen Pneumonie oder Nephrotoxizität gerechnet werden. Die Nephrotoxizität von Mitomycin kann zu rasch-progressiv oder chronisch-progressiv verlaufenden Nierenfunktionsstörungen (Anstieg des Serumkreatinins, Glomerulopathie) führen.
  • -Mitomycin ist potenziell hepatotoxisch.
  • -Liste der unerwünschten Wirkungen
  • -Die unerwünschten Wirkungen sind nach MedDRA-Systemorganklassen und Häufigkeit gemäss folgender Konvention geordnet:
  • -„sehr häufig“ (≥1/10)
  • -„häufig“ (≥1/100, <1/10),
  • -„gelegentlich“ (≥1/1‘000, <1/100)
  • -„selten“ (≥1/10‘000, <1/1‘000)
  • -„sehr selten“ (<1/10‘000)
  • -Erkrankungen des Blutes und des Lymphsystems Sehr häufig Knochenmarksuppression, Leukopenie, Thrombozytopenie Selten Lebensbedrohliche Infektion, Sepsis, hämolytische Anämie
  • -Erkrankungen des Immunsystems Sehr selten Schwere allergische Reaktion
  • -Stoffwechsel- und Ernährungsstörungen Gelegentlich Anorexie
  • -Herzerkrankungen Selten Herzinsuffizienz nach vorausgegangener Anthrazyklintherapie
  • -Erkrankungen der Atemwege, des Brustraums und Mediastinums Häufig Interstitielle Pneumonie, Dyspnoe, Husten, Kurzatmigkeit Selten Pulmonaler Hypertonus, venookklusive Erkrankung der Lunge (PVOD)
  • -Erkrankungen des Gastrointestinaltrakts Sehr häufig Ãœbelkeit, Erbrechen Gelegentlich Mukositis, Stomatitis, Diarrhoe
  • -Leber- und Gallenerkrankungen Selten Leberfunktionsstörung, Transaminasenerhöhung, Ikterus, venookklusive Erkrankung der Leber (VOD)
  • -Erkrankungen der Haut und des Unterhautzellgewebes Häufig Exantheme, allergischer Hautausschlag, Kontaktdermatitis, palmar-plantare Erythrodysästhesie (PPE) Gelegentlich Alopezie Selten Generalisierte Exantheme
  • -Erkrankungen der Nieren und Harnwege Häufig Nierenfunktionsstörung, Anstieg des Serumkreatinins, Glomerulopathie, Nephrotoxizität Selten Hämolytischurämisches Syndrom (HUS, häufig mit letalem Ausgang), mikroangiopathische hämolytische Anämie (MAHA-Syndrom)
  • -Allgemeine Erkrankungen und Beschwerden am Verabreichungsort Häufig Bei Paravasation: Zellulitis, Gewebsnekrosen Gelegentlich Fieber
  • +Un traitement à long terme peut entraîner une myélotoxicité cumulative.
  • +En cas de traitement systémique, une myélosuppression accompagnée d’une leucopénie et d’une thrombocytopénie généralement dominante apparaît régulièrement. Elle peut se manifester avec retardement avec une expression maximale après 4 à 6 semaines et être cumulative après une utilisation à long terme. Un ajustement au cas par cas de la posologie est donc souvent nécessaire.
  • +La myélosuppression peut s’accompagner d’une infection engageant le pronostic vital ou d’une septicémie d’issue potentiellement fatale.
  • +Les patients âgés souffrent plus souvent d’une diminution des fonctions physiologiques et d’une myélodépression qui peut persister à long terme. La mitomycine doit donc être administrée avec une prudence particulière et sous surveillance étroite chez ces patients.
  • +Une prudence particulière est nécessaire en cas de survenue ou d’aggravation de maladies infectieuses et en présence d’une diathèse hémorragique.
  • +La mitomycine est une substance mutagène et potentiellement carcinogène chez l’homme. Tout contact avec la peau et les muqueuses doit être évité.
  • +En cas de symptômes pulmonaires ne pouvant pas être attribués à l’affection sous-jacente, le traitement doit être immédiatement interrompu.
  • +La toxicité pulmonaire peut, en général, être bien traitée par des stéroïdes.
  • +Le traitement doit également être immédiatement interrompu en cas de symptômes d’hémolyse ou de signes de troubles de la fonction rénale (néphrotoxicité).
  • +Une anémie hémolytique microangiopathique (AHMA) a été observée à des doses de mitomycine supérieures à 30 mg/m² de surface corporelle. À des doses cumulées de mitomycine supérieures à 60 mg/m², un syndrome hémolytique et urémique (SHU) accompagné d’une anémie hémolytique, d’une thrombocytopénie, de fièvre, de troubles de la fonction rénale et de symptômes neurologiques occasionnels a été observé.
  • +Une surveillance étroite de la fonction rénale est recommandée.
  • +De données récentes suggèrent qu’un essai thérapeutique utilisant la protéine A du staphylocoque et visant à éliminer les complexes immuns qui semblent jouer un rôle significatif dans l’apparition des symptômes, pourrait être approprié.
  • +Chez les patients traités concomitamment par d’autres principes actifs antinéoplasiques, une leucémie aiguë (dans certains cas, après la phase préleucémique) et un syndrome myélodysplasique ont été rapportés.
  • +Le traitement par la mitomycine peut entraîner une myélosuppression et donc une thrombocytopénie. Chez les patients sous anticoagulants, la numération plaquettaire doit être étroitement surveillée pour prévenir l’apparition d’une thrombocytopénie sévère. Si la numération plaquettaire est inférieure à 100 000/mm³, la mitomycine ne doit pas être administrée.
  • +Chez les patients présentant une immunocompétence réduite, (par exemple, lors du traitement par la mitomycine), les vaccins vivants atténués (p.ex. le vaccin contre la fièvre jaune) augmentent le risque d’infections et d’autres réactions indésirables telles que la vaccine progressive et la vaccine généralisée. C’est pourquoi aucun vaccin vivant atténué ne doit être administré pendant le traitement. Une fois la chimiothérapie terminée, les vaccins vivants atténués doivent être administrés avec prudence et la vaccination doit avoir lieu au plus tôt 3 mois après la dernière dose de chimiothérapie (voir rubrique «Interactions»).
  • +Examens de contrôle et mesures de sécurité recommandés en cas d’administration intraveineuse:
  • +Avant le traitement:
  • +·Hémogramme complet
  • +·Évaluation de la fonction pulmonaire en cas de suspicion d’un trouble de la fonction pulmonaire préexistant
  • +·Évaluation de la fonction rénale pour exclure une insuffisance rénale
  • +·Évaluation de la fonction hépatique pour exclure une insuffisance hépatique
  • +Pendant le traitement:
  • +·Hémogrammes réguliers
  • +·Surveillance étroite de la fonction rénale
  • +Voir la rubrique «Remarques particulières» pour connaître les précautions à prendre lors de la manipulation d’Urocin.
  • +Interactions
  • +Agents chimiothérapeutiques et radiothérapie
  • +Des interactions myélotoxiques avec d’autres modalités thérapeutiques myélotoxiques (en particulier le traitement par d’autres cytostatiques ou la radiothérapie) sont possibles.
  • +La cardiotoxicité de la doxorubicine peut être majorée par la mitomycine.
  • +L’association avec des vinca-alcaloïdes ou la bléomycine peut augmenter la toxicité pulmonaire de la mitomycine.
  • +Un risque accru de syndrome hémolytique et urémique a été rapporté chez les patients recevant concomitamment de la mitomycine et du 5-fluorouracile ou du tamoxifène.
  • +Vitamines
  • +Lors d’études chez l’animal, l’administration concomitante de chlorhydrate de pyridoxine (vitamine B6) a entraîné une perte d’efficacité de la mitomycine.
  • +Vaccins
  • +Aucun vaccin vivant atténué ne doit être administré pendant le traitement par la mitomycine.
  • +À noter que ces informations peuvent également s’appliquer aux médicaments utilisés récemment.
  • +Grossesse, Allaitement
  • +Grossesse
  • +Il n’existe pas de données suffisantes sur l’emploi de la mitomycine chez la femme enceinte.
  • +Les études expérimentales animales ont révélé une toxicité sur la reproduction (voir rubrique «Données précliniques»).
  • +La mitomycine a un effet mutagène, tératogène et carcinogène, et peut donc nuire au développement embryonnaire. La mitomycine ne doit pas être utilisée pendant la grossesse. En cas d’indication vitale pour le traitement d’une patiente enceinte, une consultation médicale sur le risque des effets nocifs du traitement sur l’enfant à naître doit être effectuée.
  • +Allaitement
  • +Des données suggèrent que la mitomycine est excrétée dans le lait maternel.
  • +En raison de ses effets mutagènes, tératogènes et carcinogènes avérés, la mitomycine ne doit pas être administrée pendant l’allaitement. C’est pourquoi Urocin est contre-indiqué pendant l’allaitement (voir rubrique «Contre-indications»).
  • +Fertilité
  • +Les patientes ne doivent pas tomber enceintes pendant le traitement par la mitomycine. Le cas échéant, une consultation génétique est recommandée.
  • +Les patientes en âge de procréer doivent utiliser une méthode de contraception ou pratiquer l’abstinence sexuelle pendant le traitement et jusqu’à 6 mois après la fin de la chimiothérapie.
  • +La mitomycine a un effet mutagène. Il est donc recommandé aux hommes traités par la mitomycine de ne pas concevoir d’enfant pendant le traitement et jusqu’à 6 mois après la fin de celui-ci, et de demander conseil concernant la conservation du sperme avant le début du traitement, en raison de la possibilité d’une infertilité irréversible liée au traitement par la mitomycine.
  • +Effet sur l’aptitude à la conduite et l’utilisation de machines
  • +Même s’il est administré en respectant les indications d’utilisation, Urocin peut provoquer des nausées et des vomissements et, par conséquent, altérer la réactivité dans une mesure telle que cela peut avoir des effets sur l’aptitude à la conduite d’un véhicule ou à l’utilisation de machines. Ces effets peuvent être accentués par la prise concomitante d’alcool.
  • +Effets indésirables
  • +Résumé du profil de sécurité
  • +Les effets indésirables les plus fréquents de la mitomycine administrée par voie systémique sont des symptômes gastro-intestinaux, tels que nausées et vomissements, ainsi qu’une myélosuppression accompagnée d’une leucopénie et d’une thrombocytopénie généralement dominante. L’apparition d’une myélosuppression concerne jusqu’à 65% des patients.
  • +Jusqu’à 10% des patients peuvent s’attendre à présenter une toxicité organique grave sous forme de pneumonie interstitielle ou de néphrotoxicité. Le néphrotoxicité de la mitomycine peut entraîner des troubles de la fonction rénale d’évolution progressive rapide ou chronique (élévation de la créatinine sérique, glomérulopathie).
  • +La mitomycine est potentiellement hépatotoxique.
  • +Liste des effets indésirables
  • +Les effets indésirables sont rangés par classe de système d’organes de la classification MedDRA et par fréquence selon la convention suivante:
  • +«très fréquents» (≥1/10),
  • +«fréquents» (≥1/100 à <1/10),
  • +«occasionnels» (≥1/1000 à <1/100),
  • +«rares» (≥1/10 000 à <1/1000),
  • +«très rares» (<1/10 000).
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique Très fréquents Myélosuppression, leucopénie, thrombocytopénie Rares Infection engageant le pronostic vital, septicémie, anémie hémolytique
  • +Affections du système immunitaire Très rares Réaction allergique sévère
  • +Troubles du métabolisme et de la nutrition Occasionnels Anorexie
  • +Affections cardiaques Rares Insuffisance cardiaque après un traitement préalable par des anthracyclines
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales Fréquents Pneumonie interstitielle, dyspnée, toux, essoufflement Rares Hypertension pulmonaire, maladie veino-occlusive pulmonaire (MVOP)
  • +Affections gastro-intestinales Très fréquents Nausées, vomissements Occasionnels Mucite, stomatite, diarrhées
  • +Affections hépatobiliaires Rares Trouble de la fonction hépatique, élévation des transaminases, ictère, maladie veino-occlusive (MVO) du foie
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané Fréquents Exanthème, éruption cutanée allergique, dermatite de contact, érythrodysesthésie palmo-plantaire (EPP) Occasionnels Alopécie Rares Exanthèmes généralisés
  • +Affections du rein et des voies urinaires Fréquents Trouble de la fonction rénale, élévation du taux de créatinine sérique, glomérulopathie, néphrotoxicité Rares Syndrome hémolytique et urémique (SHU, fréquemment d’issue fatale), anémie hémolytique microangiopathique (syndrome AHMA)
  • +Troubles généraux et anomalies au site d’administration Fréquents En cas d’extravasation: cellulite, nécroses tissulaires Occasionnels Fièvre
  • -Unerwünschte Wirkungen unter intravesikaler Therapie
  • -Erkrankungen der Haut und des Unterhautzellgewebes Häufig Pruritus, allergischer Hautausschlag, Kontaktdermatitis, palmar-plantare Erythrodysästhesie (PPE) Selten Generalisiertes Exanthem
  • -Erkrankungen der Nieren und Harnwege Häufig Zystitis (möglicherweise hämorrhagisch), Dysurie, Nykturie, Pollakisurie, Hämaturie, lokale Reizung der Harnblasenwand Sehr selten Nekrotisierende Zystitis, allergische (eosinophile) Zystitis, Stenosen der ableitenden Harnwege, verminderte Harnblasenkapazität, Kalzifizierung der Harnblasenwand, Harnblasenwandfibrose, Harnblasenwandperforation
  • +Effets indésirables sous traitement intravésical
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané Fréquents Prurit, éruption cutanée allergique, dermatite de contact, érythrodysesthésie palmo-plantaire (EPP) Rares Exanthème généralisé
  • +Affections du rein et des voies urinaires Fréquents Cystite (potentiellement hémorragique), dysurie, nycturie, pollakiurie, hématurie, irritation localisée de la paroi vésicale Très rares Cystite nécrosante, cystite allergique (éosinophile), sténose des voies urinaires efférentes, diminution de la capacité vésicale, calcification de la paroi vésicale, fibrose de la paroi vésicale, perforation de la paroi vésicale
  • -Beschreibung spezifischer unerwünschter Wirkungen und Zusatzinformationen
  • -Eine Zystitis wird symptomatisch durch lokale antiphlogistische und analgetische Massnahmen behandelt. In den meisten Fällen kann die Therapie mit Mitomycin, ggf. dosisreduziert, fortgesetzt werden.
  • -In Einzelfällen ist eine allergische (eosinophile) Zystitis beschrieben worden, die zum Therapieabbruch zwang.
  • -Die Meldung des Verdachts auf Nebenwirkungen nach der Zulassung ist von grosser Wichtigkeit. Sie ermöglicht eine kontinuierliche Ãœberwachung des Nutzen-Risiko-Verhältnisses des Arzneimittels. Angehörige von Gesundheitsberufen sind aufgefordert, jeden Verdacht einer neuen oder schwerwiegenden Nebenwirkung über das Online-Portal ElViS (Electronic Vigilance System) anzuzeigen. Informationen dazu finden Sie unter www.swissmedic.ch.
  • -Ãœberdosierung
  • -Anzeichen und Symptome
  • -Bei Ãœberdosierung muss mit einer schweren Myelotoxizität bis hin zu Myelophthise gerechnet werden, die erst nach etwa 2 Wochen klinisch voll in Erscheinung tritt.
  • -Der Zeitraum bis zum Absinken der Leukozyten auf den tiefsten Wert kann bis zu 4 Wochen betragen.
  • -Auch bei Verdacht auf Ãœberdosierung muss daher eine längere, engmaschige hämatologische Kontrolle erfolgen
  • -Behandlung
  • -Da keine effektiven Gegenmittel verfügbar sind, ist bei der Gabe dieses Arzneimittels grösstmögliche Sorgfalt geboten.
  • -Eigenschaften/Wirkungen
  • -ATC-Code
  • +Description d’effets indésirables spécifiques et informations complémentaires
  • +La cystite est traitée de manière symptomatique par des mesures antiphlogistiques et analgésiques locales. Dans la plupart des cas, le traitement par la mitomycine peut être poursuivi, le cas échéant, en réduisant la dose.
  • +Dans certains cas particuliers, une cystite allergique (éosinophile) a été rapportée et a nécessité l’interruption du traitement.
  • +L’annonce d’effets secondaires présumés après l’autorisation est d’une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d’effet secondaire nouveau ou grave via le portail d’annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +Surdosage
  • +Signes et symptômes
  • +En cas de surdosage, il faut s’attendre à une myélotoxicité sévère, voire à une myélophtisie, dont l’effet clinique complet ne se manifeste généralement qu’après 2 semaines.
  • +Le délai jusqu’à la baisse des leucocytes à leur valeur la plus basse peut aller jusqu’à 4 semaines.
  • +En cas de suspicion de surdosage, une surveillance hématologique étroite et prolongée doit donc être mise en place.
  • +Traitement
  • +Il n’existe aucun antidote efficace, c’est pourquoi il convient de faire preuve de la plus grande prudence lors de l’administration de ce médicament.
  • +Propriétés/Effets
  • +Code ATC
  • -Pharmakodynamik/Wirkungsmechanismus
  • -Das Antibiotikum Mitomycin ist ein Zytostatikum aus der Gruppe der Alkylantien.
  • -Mitomycin ist ein aus Streptomyces caespitosus isoliertes Antibiotikum mit antineoplastischer Wirkung. Es liegt in inaktiver Form vor. Die Aktivierung zu einem trifunktionellen Alkylans erfolgt rasch, entweder bei physiologischem pH in Anwesenheit von NADPH im Serum oder praktisch in allen Körperzellen intrazellulär mit Ausnahme des Cerebrums, da die Blut-Hirn-Schranke von Mitomycin nicht überwunden wird. Die 3 alkylierenden Radikale stammen je von einer Chinon-, einer Aziridin- und einer Urethangruppe.
  • -Der Wirkungsmechanismus beruht überwiegend auf einer Alkylierung der DNS (weniger der RNS) mit entsprechender Hemmung der DNS-Synthese. Der Grad der DNS-Schädigung korreliert mit dem klinischen Effekt und ist in resistenten Zellen geringer als in sensiblen. Wie bei anderen Alkylantien werden proliferierende Zellen stärker geschädigt als solche, die sich in der Ruhephase (G0) des Zellzyklus befinden. Zusätzlich werden, insbesondere bei Anwendung höherer Dosen, freie Peroxidradikale freigesetzt, die zu DNS-Brüchen führen. Die Freisetzung von Peroxidradikalen wird mit dem organspezifischen Muster an Nebenwirkungen in Verbindung gebracht.
  • -Pharmakokinetik
  • +Pharmacodynamique/Mécanisme d’action
  • +L’antibiotique mitomycine est un cytostatique appartenant au groupe des agents alkylants.
  • +Cet antibiotique à effet antinéoplasique est isolé à partir d’une souche de Streptomyces caespitosus. La mitomycine est disponible sous forme inactive. Son activation en un agent alkylant trifonctionnel est rapide, soit à un pH physiologique en présence de NADPH dans le sérum, soit au niveau intracellulaire dans pratiquement toutes les cellules de l’organisme, à l’exception du cerveau, car la mitomycine ne franchit pas la barrière hémato-encéphalique. Les trois radicaux alkylants proviennent chacun d’un groupe quinone, aziridine et uréthane.
  • +Le mécanisme d’action repose principalement sur l’alkylation de l’ADN (et de l’ARN dans une moindre mesure) entraînant une inhibition correspondante de la synthèse de l’ADN. Le degré d’altération de l’ADN est corrélé à l’effet clinique et est plus faible dans les cellules résistantes que dans les cellules sensibles. Comme avec d’autres agents alkylants, les cellules en prolifération sont plus endommagées que celles qui se trouvent dans la phase de repos (G0) du cycle cellulaire. En outre, des radicaux libres de peroxyde sont libérés, en particulier en cas d’administration de fortes doses, ce qui entraîne des cassures au niveau des brins d’ADN. La libération de radicaux de peroxyde est associée aux effets secondaires spécifiques aux différents organes.
  • +Pharmacocinétique
  • -Bei der intravesikalen Therapie wird Mitomycin in nur unwesentlichen Dosen resorbiert. Trotzdem kann eine systemische Wirkung nicht vollständig ausgeschlossen werden.
  • -Nach intravenöser Gabe von 10-20 mg/m2 Mitomycin wurden maximale Plasmaspiegel von 0,4-3,2 μg/ml gemessen.
  • +En cas de traitement intravésical, la mitomycine n’est absorbée qu’à des doses insignifiantes. Un effet systémique ne peut néanmoins pas être totalement exclu.
  • +Après administration intraveineuse de 10 à 20 mg/m2 de mitomycine, des taux plasmatiques maximaux de 0,4 à 3,2 μg/ml ont été mesurés.
  • -Keine Angaben
  • -Metabolismus
  • -Der Hauptort der Metabolisierung und Elimination ist die Leber. Entsprechend wurden hohe Konzentrationen von Mitomycin in der Gallenblase gefunden.
  • -Elimination
  • -Die biologische Halbwertszeit ist kurz und liegt zwischen 40 und 50 Minuten. Der Serumspiegel fällt biexponentiell zunächst innerhalb der ersten 45 Minuten steil, danach langsamer ab.
  • -Nach ca. 3 Stunden liegen die Serumspiegel meist unter der Nachweisgrenze.
  • -Die renale Ausscheidung spielt für die Elimination nur eine untergeordnete Rolle.
  • -Präklinische Daten
  • -Sicherheitspharmakologie
  • -Im Tierversuch wirkt Mitomycin toxisch auf alle proliferierenden Gewebe, insbesondere auf die Zellen des Knochenmarks und die der Schleimhaut des Magen-Darm-Kanals.
  • -Genotoxizität
  • -Im AMES-Test ohne metabolische Aktivierung hat Mitomycin keinen Effekt auf Salmonella typhimurium Stamm TA100, jedoch induziert der Wirkstoff Reversmutationen bei der Prüfung des Stamms hisG46/pKM101 mit Hinweis auf Exzisionsreparaturmarker.
  • -Knochenmark- und Milzzellen von Mäusen und Chinesischen Hamstern, die mit Mitomycin (0,5 - 6,0 mg/kg KM, i.p.) behandelt wurden, wurden hinsichtlich der Anzahl von Schwesterchromatidaustauschen (SCA) unter in-vitro und invivo Bedingungen geprüft. Die Ergebnisse zeigen dosisabhängige SCA, die von der verwendeten Art, Gewebe sowie den experimentellen Bedingungen abhängen.
  • -Mitomycin induziert bei Dosierung von 1,25 mg/kg KM im Blut von 16 Tage alten Mausföten nur ein Drittel des Effekts, der im mütterlichen Knochenmark beobachtet wird, während bei einer höheren Dosierung (4,75 mg/kg BW) das Vorkommen von Mikronuklei in polychromatische Erythrozyten in beiden Zielorganen etwa vergleichbar ist.
  • -In Kulturen menschlicher peripherer Leukozyten inhibiert Mitomycin (Endkonzentration 5,0 µg/ml) nach 24 h Inkubation die Mitose und induziert nichtzufällige Chromosomenstrangbrüche und -austausche mit besonderer Häufigkeit in der Zentromerregion der Chromosomen 1, 9 und 19.
  • -Kanzerogenität
  • -Bei etwa der zehnfachen therapeutischen Dosierung wurden in verschiedenen Maus- und Rattenmodellen nach intravenöser Applikation maligne Tumore, in den meisten Fällen Sarkome, beobachtet. Anderseits wurden in verschiedenen Mäusestämmen nach subkutaner Applikation keine karzinogenen Wirkungen beschrieben.
  • -Reproduktionstoxizität
  • -In einem Mausmodell (Curly tail) beeinflusst Mitomycin dosisabhängig und biphasisch, aber im Sinne eines protektiven Effekts, die Häufigkeit von Spina bifida in Abhängigkeit vom Applikationstag 7 bis 9. In männlichen ICR-Mäusen beeinflusst Mitomycin die Spermiogenese, die sich in teratogenen Effekten darstellt.
  • -Weitere Daten
  • -Bei paravenöser Injektion oder beim Ãœbertritt aus dem Gefäss in umliegendes Gewebe verursacht Mitomycin schwerwiegende Nekrosen.
  • -Sonstige Hinweise
  • -Inkompatibilitäten
  • -Das Arzneimittel darf nur mit den unter Hinweise für die Handhabung aufgeführten Arzneimitteln gemischt werden.
  • -Inkompatibilitäten treten mit stark sauren oder alkalischen Substanzen auf.
  • -Mitomycin ist kompatibel mit isotonischer Natriumchloridlösung.
  • -Der optimale pH-Wert der gebrauchsfertigen Mitomycin-Stammlösung in Wasser für Injektionszwecke beträgt 7,0.
  • -Haltbarkeit
  • -Das Arzneimittel darf nur bis zu dem auf der Packung mit „EXP“ bezeichneten Datum verwendet werden.
  • -Haltbarkeit der Stammlösung bzw. der gebrauchsfertigen Zubereitung:
  • -Aus mikrobiologischen Gründen sollte die Stammlösung bzw. die gebrauchsfertige Zubereitung unmittelbar verwendet werden.
  • -Wenn die Stammlösung oder die gebrauchsfertige Lösung nicht sofort verwendet wird, ist der Anwender für die Dauer und die Bedingungen der Aufbewahrung verantwortlich.
  • -Besondere Lagerungshinweise
  • +Aucune donnée.
  • +Métabolisme
  • +La métabolisation et l’élimination de la mitomycine se faisant principalement dans le foie, des concentrations élevées de mitomycine ont été retrouvées dans la vésicule biliaire.
  • +Élimination
  • +La demi-vie biologique est courte, entre 40 et 50 minutes. Le taux sérique diminue de manière bi-exponentielle, d’abord de manière abrupte au cours des 45 premières minutes, puis plus lentement.
  • +Après environ 3 heures, les taux sériques sont généralement inférieurs au seuil de détection.
  • +L’excrétion rénale ne joue qu’un rôle mineur dans l’élimination de la mitomycine.
  • +Données précliniques
  • +Pharmacologie de sécurité
  • +Lors d’études chez l’animal, la mitomycine s’est révélée toxique pour tous les tissus en prolifération, en particulier pour les cellules de la moelle osseuse et celles de la muqueuse du tractus gastro-intestinal.
  • +Génotoxicité
  • +Dans le test de Ames sans activation métabolique, la mitomycine n’a démontré aucun effet sur la souche TA100 de Salmonella typhimurium, mais le principe actif a induit des mutations inverses dans le test de la souche hisG46/pKM101 avec indication de marqueurs de réparation par excision.
  • +Des cellules de moelle osseuse et de rate de souris et de hamster de Chine traités par la mitomycine (0,5 à 6,0 mg/kg de poids corporel, i.p.) ont été testées au regard du nombre d’échanges de chromatides sÅ“urs (SCE) dans des conditions in vitro et in vivo. Les résultats ont montré des SCE dose-dépendants en fonction de l’espèce utilisée, du tissu ainsi que des conditions expérimentales.
  • +Dans le sang fÅ“tal de souris âgées de 16 jours, la mitomycine n’a induit qu’un tiers de l’effet observé au niveau de la moelle osseuse de la mère à une dose de 1,25 mg/kg de poids corporel, alors que la présence de micronoyaux dans les érythrocytes polychromatiques était à peu près comparable dans les deux organes cibles à une dose plus élevée (4,75 mg/kg de poids corporel).
  • +Dans les cultures de leucocytes périphériques humains, la mitomycine (concentration finale de 5,0 µg/ml) a inhibé la mitose après 24 heures d’incubation et a induit des cassures ainsi que des échanges de chromatides non aléatoires avec une fréquence particulière dans la région des centromères des chromosomes 1, 9 et 19.
  • +Carcinogénicité
  • +Après administration intraveineuse, des tumeurs malignes (dans la plupart des cas, des sarcomes) ont été observées chez différents modèles de souris et de rats à une dose environ dix fois supérieure à la dose thérapeutique. D’autre part, aucun effet carcinogène n’a été décrit chez différentes souches de souris après administration sous-cutanée.
  • +Toxicité sur la reproduction
  • +Chez un modèle de souris (curly tail), la mitomycine a eu une influence dose-dépendante et biphasique, mais dans le sens d’un effet protecteur, sur la fréquence du spina bifida en fonction du jour d’administration (jour 7 à 9). Chez les souris ICR mâles, la mitomycine a eu un impact sur la spermiogenèse qui s’est traduit par des effets tératogènes.
  • +Autres données
  • +En cas d’injection paraveineuse ou de passage du vaisseau dans les tissus environnants, la mitomycine provoque de graves nécroses.
  • +Remarques particulières
  • +Incompatibilités
  • +Ce médicament ne peut être mélangé qu’aux médicaments mentionnés sous Remarques concernant la manipulation.
  • +Les substances fortement acides ou alcalines peuvent entraîner des incompatibilités.
  • +La mitomycine est compatible avec une solution isotonique de chlorure de sodium.
  • +Le pH optimal de la solution mère de mitomycine prête à l’emploi dans l’eau pour préparations injectables est de 7,0.
  • +Stabilité
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l’emballage.
  • +Stabilité de la solution mère ou de la préparation prête à l’emploi
  • +Pour des raisons microbiologiques, la solution mère ou la préparation prête à l’emploi doivent être utilisées immédiatement.
  • +Si la solution mère ou la solution prête à l’emploi n’est pas utilisée immédiatement, le délai d’utilisation et les conditions de stockage relèvent de la responsabilité de l’utilisateur.
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • -In der Originalverpackung und nicht über 30°C lagern.
  • +Conserver dans l’emballage d’origine. Ne pas conserver au-dessus de 30°C.
  • -In der Originalverpackung und nicht über 25°C lagern.
  • -Applikationssystem und Katheter in der Originalverpackung und bei 5 – 25°C lagern.
  • -Ausserhalb der Reichweite von Kindern aufbewahren.
  • -Hinweise für die Handhabung
  • -Beim Umgang mit Mitomycin sollten die Inhalation des Pulvers sowie Haut- und Schleimhautkontakte vermieden werden (Handschuhe tragen!). Die Zubereitung sollte durch geschultes Personal erfolgen.
  • -Schwangeres Personal ist vom Umgang mit Zytostatika auszuschliessen.
  • -Kontaminierte Körperstellen sollen umgehend sorgfältig mit Wasser und Seife gereinigt werden.
  • -Handcremes dürfen nicht verwendet werden, da sie das Eindringen des Arzneimittels in die Epidermis begünstigen können.
  • -Im Falle eines Kontakts mit den Augen muss das betroffene Auge mehrere Male mit Kochsalzlösung gespült werden. Das Auge muss mehrere Tage lang auf eine Schädigung der Hornhaut beobachtet werden. Sofern erforderlich, ist eine geeignete Behandlung einzuleiten.
  • -Eine einwandfreie Injektionstechnik ist wichtig für die Vermeidung von Nekrosen und Verschorfungen, die immer dann entstehen, wenn Mitomycin aus dem Blutgefäss in das umliegende Gewebe austritt. Nekrosen können auch verzögert und vom Injektionsort entfernt auftreten.
  • -Eine ausführliche Beschreibung der Anwendung zur intravesikalen Instillation befindet sich am Ende dieser Fachinformation.
  • -Zulassungsnummer
  • +Conserver dans l’emballage d’origine. Ne pas conserver au-dessus de 25°C.
  • +Conserver le système d’administration et la sonde dans l’emballage d’origine et à 5-25°C.
  • +Conserver hors de portée des enfants.
  • +Remarques concernant la manipulation
  • +Lors de la manipulation de la mitomycine, l’inhalation de la poudre ainsi que tout contact avec la peau et les muqueuses doivent être évités (porter des gants!). La préparation doit être effectuée par un personnel formé.
  • +Le personnel féminin ne doit pas manipuler de cytostatiques pendant la grossesse.
  • +Les parties du corps contaminées doivent être immédiatement et soigneusement lavées à l’eau et au savon.
  • +Ne pas utiliser de crème pour les mains, car elles peuvent favoriser la pénétration du médicament dans l’épiderme.
  • +En cas de contact avec les yeux, rincer à plusieurs reprises l’œil concerné avec une solution saline. Observer ensuite l’œil pendant plusieurs jours afin de déceler tout signe de lésion de la cornée. Le cas échéant, un traitement approprié doit être mis en place.
  • +Une technique d’injection irréprochable est importante pour prévenir les nécroses et les croûtes apparaissant à chaque fois que la mitomycine s’échappe du vaisseau sanguin vers les tissus environnants. Les nécroses peuvent apparaître de manière retardée et loin du site d’injection.
  • +Une description détaillée de l’administration par instillation intravésicale se trouve à la fin de cette information professionnelle.
  • +Numéro d’autorisation
  • -Packungen
  • -Urocin 10 mg, Packungen zu 1,4,5,6,10 und 25 Durchstechflaschen [A]
  • -Urocin 20 mg, Packungen zu 1,4,5,6 und 10 Durchstechflaschen [A]
  • -Urocin 40 mg, Packungen zu 1,4,5,6 und 10 Durchstechflaschen [A]
  • -Den Arzneimitteln Urocin 20 mg und Urocin 40 mg liegen als Applikationshilfen ausschliesslich zur intravesikalen Instillation die folgenden Medizinprodukte als Applikationsausstattung bei:
  • --Katheter SafetyCat® Active Sicherheitskatheter mit Gleitmittelbeschichtung
  • --0,9%ige isoton. Natriumchloridlösung
  • -Zulassungsinhaberin
  • +Présentation
  • +Urocin 10 mg, emballage à 1, 4, 5, 6, 10 et 25 flacons [A]
  • +Urocin 20 mg, emballage à 1, 4, 5, 6 et 10 flacons [A]
  • +Urocin 40 mg, emballage à 1, 4, 5, 6 et 10 flacons [A]
  • +Les dispositifs médicaux suivant, à utiliser comme kit d’administration pour l’instillation intravésicale uniquement sont joints aux médicaments Urocin 20 mg et Urocin 40 mg:
  • +sonde SafetyCat® Active, sonde de sécurité pré-lubrifiée
  • +solution isotonique de chlorure de sodium à 0,9%
  • +Titulaire de l’autorisation
  • -Stand der Information
  • -Ausländisches Vergleichsarzneimittel: Januar 2020
  • -Mit sicherheitsrelevanten Ergänzungen von Swissmedic: April 2022
  • -Anleitung Applikationsausstattung zur intravesikalen Instillation
  • -Die 0,9%ige Natriumchlorid-Lösung und der Katheter der Applikationsausstattung sind ausschliesslich zur intravesikalen Instillation geeignet und nur zum einmaligen Gebrauch bestimmt. Sie können nach dem Gebrauch zusammen mit der entleerten Durchstechflasche im beiliegenden Entsorgungsbeutel entsorgt werden.
  • -Die Entsorgungsvorschriften für Zytostatika sind zu beachten.
  • -Die Medizinprodukte dürfen nach Ablauf der aufgedruckten Verwendbarkeitsdaten nicht mehr verwendet werden.
  • -Bitte beachten Sie auch die beiliegenden Informationen zu den einzelnen Medizinprodukten.
  • -Rekonstitution und intravesikale Instillation am Beispiel von Urocin 40 mg
  • -Der Inhalt einer Durchstechflasche Urocin kann mit dem beiliegenden Applikationssystem mit 0,9%iger isotonischer Natriumchloridlösung rekonstituiert werden.
  • -1.Aluminiumverpackung an der Einkerbung einreissen und Sterilverpackung mit 0,9%iger Natriumchloridlösung aus der Verpackung entnehmen.
  • -2.Klarsicht-Sterilverpackung oben mittig aufreissen und das Applikationssystem mit der 0,9%igen Natriumchloridlösung entnehmen.
  • -3.Weisse Klemmverschlüsse (Clips) auf beiden Seiten durch Drücken der Riffelfläche schliessen.
  • -4.Urocin-Flasche auf festen Untergrund stellen, blaue Deckel-Kappe entfernen und den Anstechdorn des Applikationssystems durch den Gummistopfen der Flasche senkrecht einstechen. Der Klemm-Bügel des Applikationssystems ist abschliessend unter dem Alurand der Urocin-Flasche fixiert (hörbares Einrasten).
  • -5.Roten Knickverschluss an der Sollbruchstelle durch Hin- und Herbiegen aufbrechen, weissen Klemmverschluss zur Flasche durch Zurückdrücken des unteren Klemmenrandes öffnen und die gesamte Natriumchloridlösung durch Zusammendrücken des Beutels in die Urocin-Flasche pumpen. Durch leichtes, kurzes Schwenken entsteht eine klare, blaue Lösung.Applikationssystem mit der Urocin-Flasche nach oben drehen.
  • -6.Mitomycin-Lösung vollständig in den Beutel zurückpumpen und weissen Klemmverschluss zur Urocin-Flasche schliessen.
  • -7.Blaue Steril-Schutzkappe am Katheteranschluss an der Spitze knicken. Somit wird der darunterliegende Katheteranschluss geöffnet. Danach die blaue Kappe abziehen.
  • -8.Das Applikationssystem an den in der Harnröhre positionierten, kompatiblen Katheter anschliessen (konische Aufsteckverbindung).
  • -9.Weissen Klemmverschluss am Katheteranschluss öffnen und die gesamte Mitomycin-Lösung durch Zusammendrücken des Beutels via Katheter in die Harnblase instillieren. Beutel zusammengedrückt lassen und das gesamte Applikationssystem zusammen mit dem Katheter im beiliegenden verschliessbaren Entsorgungsbeutel gemäss den Vorschriften zur Entsorgung von Zytostatika entsorgen.
  • -Für die Anwendung des Katheters beachten Sie bitte die beiliegenden Informationen.
  • +Mise à jour de l’information
  • +Médicament de référence étranger: janvier 2020
  • +Avec ajouts d’informations pertinentes pour la sécurité par Swissmedic: avril 2022
  • +Instructions d’utilisation du kit d’administration par instillation intravésicale
  • +La solution de chlorure de sodium à 0,9% et la sonde du kit d’administration sont exclusivement destinées à l’instillation intravésicale et sont uniquement à un usage unique. Après utilisation, elles peuvent être éliminées avec le flacon vide dans le sachet d’élimination joint.
  • +Les prescriptions relatives à l’élimination des cytostatiques doivent être respectées.
  • +Les dispositifs médicaux ne doivent plus être utilisés au-delà de la date limite d’utilisation imprimée.
  • +Tenir également compte des informations ci-jointes concernant les dispositifs médicaux individuels.
  • +Reconstitution et instillation intravésicale, en prenant l’exemple d’Urocin 40 mg
  • +Le contenu d’un flacon d’Urocin peut être reconstitué avec une solution isotonique de chlorure de sodium à 0,9% à l’aide du système d’administration joint.
  • +1.Déchirer l’emballage en aluminium au niveau de l’encoche et retirer l’emballage stérile contenant la solution de chlorure de sodium à 0,9%.
  • +2.Ouvrir l’emballage stérile transparent par le haut et en son centre, et retirer le système d’administration contenant la solution de chlorure de sodium à 0,9%.
  • +3.Fermer les dispositifs de fermeture blancs (clips) situés des deux côtés en appuyant sur la surface striée.
  • +4.Poser le flacon d’Urocin sur une surface rigide, retirer le capuchon bleu et enfoncer verticalement la tige de perçage du système d’administration dans le bouchon en caoutchouc du flacon. L’étrier de serrage du système d’administration se fixe ensuite sous le bord en aluminium du flacon d’Urocin (encliquetage audible).
  • +5.Rompre le dispositif de fermeture rouge au niveau du point de rupture en le pliant d’avant en arrière, ouvrir le dispositif de fermeture blanc côté flacon en repoussant le bord inférieur de la pince et pomper toute la solution de chlorure de sodium dans le flacon d’Urocin en comprimant la poche. Une solution bleue limpide est obtenue en retournant légèrement et brièvement le flacon.Retourner le système d’administration de sorte que le flacon d’Urocin se retrouve en haut.
  • +6.Pomper de nouveau entièrement la solution de mitomycine dans la poche et fermer le dispositif de fermeture blanc côté flacon d’Urocin.
  • +7.Plier l’extrémité du capuchon de protection stérile bleu situé au niveau du raccord de la sonde. Cela permet d’ouvrir le raccord de la sonde situé en dessous. Retirer ensuite le capuchon bleu.
  • +8.Raccorder le système d’administration à la sonde compatible positionnée dans l’urètre (raccord emboîtable).
  • +9.Ouvrir le dispositif de fermeture blanc au niveau du raccord de la sonde et instiller toute la solution de mitomycine dans la vessie via la sonde en comprimant la poche. Laisser la poche à l’état comprimé et éliminer l’ensemble du système d’administration, sonde comprise, dans le sachet d’élimination refermable joint conformément aux prescriptions relatives à l’élimination des cytostatiques.
  • +Tenir compte des informations ci-jointes concernant l’utilisation de la sonde.
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