76 Changements de l'information professionelle Palonosetron-Teva 0.25 mg/5 ml |
-Principe actif:
- +Principes actifs
-Excipients:
-Mannitol (E421), Édétate disodique, Citrate de sodium dihydraté, Acide citrique monohydraté (E330), Hydroxyde de sodium, Acide chlorhydrique (pour ajuster le pH), Eau pour préparations injectables q.s.ad solutionem pro 5 ml, corresp. au maximum à 5,8 mg de sodium.
- +Excipients
- +Mannitol (E421), édétate disodique, citrate de sodium dihydraté, acide citrique monohydraté (E330), hydroxyde de sodium, acide chlorhydrique (pour ajuster le pH), eau pour préparations injectables q.s. ad solutionem pro 5 ml, corresp. au maximum à 5,8 mg de sodium.
-Sujets âgés
- +Patients âgés
-Populations spécifiques
- +Instructions posologiques particulières
-Quelle que soit la posologie étudiée, le palonosétron n'a pas entraîné de prolongation cliniquement significative de l'intervalle QTc. Cependant, comme pour d'autres antagonistes des récepteurs 5-HT3, il est recommandé d'être prudent en cas d'utilisation de palonosétron chez des patients présentant ou susceptibles de présenter un allongement de l'intervalle QT. Les facteurs de risque sont notamment des antécédents personnels ou familiaux d'allongement de l'intervalle QT, les déséquilibres électrolytiques, l'insuffisance cardiaque congestive, les bradyarythmies, les troubles de la conduction et l'administration d'antiarythmiques ou d'autres médicaments entraînant un allongement de l'intervalle QT ou des troubles électrolytiques. L'hypokaliémie et l'hypomagnésémie doivent être corrigées avant l'administration d'un antagoniste des récepteurs 5-HT3.
-Des cas de syndrome sérotoninergique ont été rapportés lors de l'utilisation d'antagonistes des récepteurs 5-HT3, soit seuls soit en association avec d'autres médicaments sérotoninergiques (y compris les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine [ISRS] et les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline [IRSN]). Une surveillance appropriée des patients est recommandée afin de détecter des symptômes de type syndrome sérotoninergique.
- +Quelle que soit la posologie étudiée, le palonosétron n'a pas entraîné de prolongation cliniquement significative de l'intervalle QTc.
- +Cependant, comme pour d'autres antagonistes des récepteurs 5-HT3, il est recommandé d'être prudent en cas d'utilisation de palonosétron chez des patients présentant ou susceptibles de présenter un allongement de l'intervalle QT.
- +Les facteurs de risque sont notamment des antécédents personnels ou familiaux connus d'allongement de l'intervalle QT, les déséquilibres électrolytiques, l'insuffisance cardiaque congestive, les bradyarythmies, les troubles de la conduction et l'administration chez des patients prenant des antiarythmiques ou d'autres médicaments entraînant un allongement de l'intervalle QT ou des troubles électrolytiques.
- +L'hypokaliémie et l'hypomagnésémie doivent être corrigées avant l'administration d'un antagoniste des récepteurs 5-HT3.
- +Des cas de syndrome sérotoninergique ont été rapportés lors de l'utilisation d'antagonistes des récepteurs 5-HT3, soit seuls soit en association avec d'autres principes actifs sérotoninergiques (y compris les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine [ISRS] et les inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline [IRSN]). Une surveillance appropriée des patients est recommandée afin de détecter des symptômes de type syndrome sérotoninergique.
-L'efficacité pour les nausées et les vomissements à apparition retardée associés à la chimiothérapie anticancéreuse hautement émétisante n'est pas démontrée. Palonosetron-Teva ne doit pas être utilisé pour la prévention ou le traitement des nausées et vomissements au cours des jours suivants la chimiothérapie, si une autre chimiothérapie n'est pas prévue.
-D'autres antagonistes 5-HT3 ne doivent pas être administrés comme traitement en urgence car l'expérience clinique est très limitée.
-Dexaméthasone ou métoclopramide peuvent être administrés comme traitement en urgence.
- +L'efficacité pour les nausées et les vomissements à apparition retardée associés à la chimiothérapie anticancéreuse hautement émétisante n'est pas démontrée. Palonosetron-Teva ne doit pas être utilisé pour la prévention ou le traitement des nausées et vomissements au cours des jours suivant la chimiothérapie, si une autre chimiothérapie n'est pas prévue.
- +D'autres antagonistes 5-HT3 ne doivent pas être administrés comme traitement d'urgence car l'expérience clinique est très limitée.
- +La dexaméthasone ou le métoclopramide peuvent être administrés comme traitement d'urgence.
-Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par solution injectable, c.-à-d. qu'il est essentiellement sans „sodium".
- +Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par solution injectable, c.-à-d. qu'il est essentiellement sans «sodium».
-Dans les études précliniques, le palonosétron n'a pas inhibé l'activité anti-tumorale des cinq agents chimiothérapeutiques testés (cisplatine, cyclophosphamide, cytarabine, doxorubicine et mitomycine C).
- +Dans les études précliniques, le palonosétron n'a pas inhibé l'activité antitumorale des cinq agents chimiothérapeutiques testés (cisplatine, cyclophosphamide, cytarabine, doxorubicine et mitomycine C).
-Dans le cadre d'une analyse de PK de population des données des études cliniques, aucun effet significatif sur la clairance du palonosétron n'est observé en cas de médication concomitante avec les inducteurs CYP2D6 et les inhibiteurs CYP2D6.
-Le palonosétron a été administré en toute sécurité avec des corticostéroïdes, analgésiques, anti-émétiques/anti-nauséeux, antispasmodiques et anti-cholinergiques.
- +Dans le cadre d'une analyse de PK de population des données des études cliniques, aucun effet significatif sur la clairance du palonosétron n'est observé en cas de médication concomitante avec les inducteurs du CYP2D6 et les inhibiteurs du CYP2D6.
- +Le palonosétron a été administré en toute sécurité avec des corticostéroïdes, analgésiques, antiémétiques/antinauséeux, antispasmodiques et anticholinergiques.
- +Grossesse
- +
-Les études réalisées sur l'animal n'ont pas révélé d'effets nocifs directs ou indirects relatifs à la grossesse, le développement embryonnaire/foetal, l'accouchement ou le développement postnatal. La précaution est de rigueur lorsque l'on prescrit Palonosetron-Teva à des femmes enceintes.
- +Les études réalisées sur l'animal n'ont pas révélé d'effets nocifs directs ou indirects sur la grossesse, le développement embryonnaire/fœtal, l'accouchement ou le développement postnatal. La précaution est de rigueur lorsque l'on prescrit Palonosetron-Teva à des femmes enceintes.
- +Allaitement
- +
-Comme le palonosétron peut provoquer des vertiges, de la somnolence ou une fatigue, les patients doivent être avertis s'ils doivent conduire un véhicule ou utiliser des machines.
- +Comme le palonosétron peut provoquer des vertiges, une somnolence ou une fatigue, il convient de déconseiller aux patients de conduire un véhicule ou d'utiliser des machines.
-Dans les études cliniques à une dose de 0,25 mg (sur un total de 633 patients), la majorité des événements indésirables, au moins éventuellement liés au palonosétron, s'est révélée être des céphalées (9%) et de la constipation (5%).
- +Dans les études cliniques à une dose de 0,25 mg (sur un total de 633 patients), les événements indésirables les plus fréquents, au moins éventuellement liés au palonosétron, se sont avérés être des céphalées (9%) et une constipation (5%).
- +Liste des effets indésirables
- +Les effets indésirables sont rangés par classe de système d'organes de la classification MedDRA et par fréquence selon la convention suivante:
- +«très fréquents» (≥1/10)
- +«fréquents» (≥1/100 à <1/10)
- +«occasionnels» (≥1/1000 à <1/100)
- +«rares» (≥1/10 000 à <1/1000)
- +«très rares» (<1/10 000)
- +«Fréquence inconnue» (ne peut être estimée sur la base des données disponibles)
-Très rares 1/10'000: Hypersensibilité, anaphylaxie, réactions et chocs anaphylactiques et anaphylactoïdes.
- +Très rares: Hypersensibilité, anaphylaxie, réactions et chocs anaphylactiques et anaphylactoïdes.
-Occasionnels ≥0,1%, <1%: Hyperkaliémie, troubles métaboliques, hypocalcémie, anorexie, hyperglycémie, perte d'appétit.
-Troubles psychiatriques
-Occasionnels ≥0,1%, <1%: Anxiété, humeur euphorique.
-Troubles du système nerveux
-Frequents ≥1%, <10%: Céphalées, vertiges.
-Occasionnels ≥0,1%, <1%: Somnolence, insomnie, paresthésie, hypersomnie, neuropathie sensorielle périphérique.
-Troubles oculaires
-Occasionnels ≥0,1%, <1%: Irritation oculaire, amblyopie.
-Troubles auditifs et labyrinthiques
-Occasionnels ≥0,1%, <1%: Mal des transports, bourdonnement d'oreilles.
-Troubles cardiaques
-Occasionnels ≥0,1%, <1%: Tachycardie, bradycardie, extrasystoles, ischémie myocardique, tachycardie sinusale, arythmie sinusale, extrasystoles supra-ventriculaires, prolongation de l'intervalle QT.
-Troubles vasculaires
-Occasionnels ≥0,1%, <1%: Hypotension, hypertension, décoloration des veines, distension des veines.
-Troubles gastro-intestinaux
-Frequents ≥1%, <10%: Constipation, diarrhées.
-Occasionnels ≥0,1%, <1%: Dyspepsie, douleurs abdominales hautes, bouche sèche, douleurs abdominales, hoquet, flatulence.
-Troubles hépatobiliaires
-Occasionnels ≥0,1%, <1%: Hyperbilirubinémie.
-Troubles des tissus cutanés et sous-cutanés
-Occasionnels ≥0,1%, <1%: Dermatite allergique, exanthème prurigineux.
-Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
-Occasionnels ≥0,1%, <1%: Arthralgie.
-Troubles rénaux et urinaires
-Occasionnels ≥0,1%, <1%: Rétention urinaire, glycosurie.
-Troubles généraux et états au site d'administration
-Occasionnels ≥0,1%, <1%: Asthénie, pyrexie, fatigue, faiblesse, sensation de chaleur, affection de type grippal.
- +Occasionnels: Hyperkaliémie, troubles métaboliques, hypocalcémie, anorexie, hyperglycémie, perte d'appétit.
- +Affections psychiatriques
- +Occasionnels: Anxiété, humeur euphorique.
- +Affections du système nerveux
- +Fréquents: Céphalées, vertiges.
- +Occasionnels: Somnolence, insomnie, paresthésie, hypersomnie, neuropathie sensorielle périphérique.
- +Affections oculaires
- +Occasionnels: Irritation oculaire, amblyopie.
- +Affections de l'oreille et du labyrinthe
- +Occasionnels: Mal des transports, bourdonnement d'oreilles.
- +Affections cardiaques
- +Occasionnels: Tachycardie, bradycardie, extrasystoles, ischémie myocardique, tachycardie sinusale, arythmie sinusale, extrasystoles supra-ventriculaires, prolongation de l'intervalle QT.
- +Affections vasculaires
- +Occasionnels: Hypotension, hypertension, décoloration des veines, distension des veines.
- +Affections gastro-intestinales
- +Fréquents: Constipation, diarrhées.
- +Occasionnels: Dyspepsie, douleurs abdominales hautes, bouche sèche, douleurs abdominales, hoquet, flatulence.
- +Affections hépatobiliaires
- +Occasionnels: Hyperbilirubinémie.
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
- +Occasionnels: Dermatite allergique, exanthème prurigineux.
- +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
- +Occasionnels: Arthralgie.
- +Affections du rein et des voies urinaires
- +Occasionnels: Rétention urinaire, glycosurie.
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
- +Occasionnels: Asthénie, pyrexie, fatigue, faiblesse, sensation de chaleur, affection de type grippal.
-Occasionnels ≥0,1%, <1%: Augmentation des valeurs des transaminases, réduction du taux de potassium sanguin.
-De très rares cas (<1/10'000) de réactions d'hypersensibilité et de réactions au site d'injection (sensations de brûlure, induration, gêne et douleur) ont été notifiés dans le cadre de la pharmacovigilance.
- +Occasionnels: Augmentation des valeurs des transaminases, réduction du taux de potassium sanguin.
- +De très rares cas de réactions d'hypersensibilité et de réactions au site d'injection (sensations de brûlure, induration, gêne et douleur) ont été notifiés dans le cadre de la pharmacovigilance.
-Dans les études cliniques menées dans la prévention des nausées et vomissements induits par une chimiothérapie modérément ou hautement émétisante, 402 patients ont reçu une dose unique de palonosétron (3, 10 ou 20 µg/kg). Les effets indésirables fréquents et occasionnels ci-dessous ont été rapportés avec le palonosétron:
-Troubles du système nerveux
-Frequents ≥1%, <10%: Céphalées.
-Occasionnels ≥0,1%, <1%: Sensations vertigineuses, dyskinésie.
-Troubles cardiaques
-Occasionnels ≥0,1%, <1%: Allongement de l'intervalle QT à l'ECG, troubles de la conduction, tachycardie sinusale.
-Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux
-Occasionnels ≥0,1%, <1%: Toux, dyspnée, épistaxis.
-Troubles de la peau et du tissu sous-cutané
-Occasionnels ≥0,1%, <1%: Dermatite allergique, prurit, affections cutanées, urticaire.
-Troubles généraux et états au site d'administration
-Occasionnels ≥0,1%, <1%: Pyrexie, douleur au site de perfusion, réaction a site de perfusion, douleur.
-Les effets indésirables ont été évalués chez des patients pédiatriques recevant le palonosétron pendant 4 cycles de chimiothérapie au maximum.
- +Dans les études cliniques menées chez les enfants et les adolescents dans la prévention des nausées et vomissements induits par une chimiothérapie modérément ou hautement émétisante, 402 patients ont reçu une dose unique de palonosétron (3, 10 ou 20 µg/kg). Les effets indésirables fréquents et occasionnels ci-dessous ont été rapportés avec le palonosétron:
- +Affections du système nerveux
- +Fréquents: Céphalées.
- +Occasionnels: Sensations vertigineuses, dyskinésie.
- +Affections cardiaques
- +Occasionnels: Allongement de l'intervalle QT à l'ECG, troubles de la conduction, tachycardie sinusale.
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
- +Occasionnels: Toux, dyspnée, épistaxis.
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
- +Occasionnels: Dermatite allergique, prurit, affections cutanées, urticaire.
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
- +Occasionnels: Pyrexie, douleur au site de perfusion, réaction au site de perfusion, douleur.
- +Les effets indésirables ont été évalués chez des enfants et des adolescents ayant reçu du palonosétron pendant 4 cycles de chimiothérapie au maximum.
-Aucun cas de surdosage n'a été rapporté a ce jour. Des doses jusqu'à 6 mg ont été utilisées dans les essais cliniques, une incidence similaire des événements indésirables étant observée par rapport à la dose de 0,25 mg. Aucun effet dose réponse n'a été observé. L'éventualité improbable de surdosage avec Palonosetron-Teva doit être gérée par l'administration des soins de soutien. Des études sur la dialyse n'ont pas été réalisées, toutefois, en raison du large volume de distribution, il est improbable que la dialyse constitue un traitement efficace de surdosage avec Palonosetron-Teva.
- +Aucun cas de surdosage n'a été rapporté à ce jour. Des doses jusqu'à 6 mg ont été utilisées dans les essais cliniques, une incidence similaire des événements indésirables étant observée par rapport à la dose de 0,25 mg. Aucun effet dose réponse n'a été observé. L'éventualité improbable d'un surdosage avec Palonosetron-Teva doit être gérée par l'administration de soins de soutien. Des études sur la dialyse n'ont pas été réalisées, toutefois, en raison du large volume de distribution, il est improbable que la dialyse constitue un traitement efficace de surdosage avec Palonosetron-Teva.
-Aucun cas de surdosage n'a été rapporté lors des études cliniques menées dans la population pédiatrique.
- +Aucun cas de surdosage n'a été rapporté lors des études cliniques menées chez les enfants et les adolescents.
-Code ATC:
- +Code ATC
-Mécanisme d'action/pharmacodynamie
-Le palonosétron est un antagoniste du récepteur 5-HT3 hautement sélectif présentant une affinité de liaison élevée pour ce récepteur et une faible affinité voire une affinité nulle pour d'autres récepteurs, y compris les autres récepteurs sérotonergiques.
- +Mécanisme d'action/Pharmacodynamique
- +Le palonosétron est un antagoniste du récepteur 5-HT3 hautement sélectif présentant une affinité de liaison élevée pour ce récepteur et une faible affinité voire une affinité nulle pour d'autres récepteurs, y compris les autres récepteurs sérotoninergiques.
-Deux études de phase 3, en double aveugle portant sur 1132 patients, ont comparé le palonosétron en dose unique pour voie IV avec soit l'ondansétron (32 mg) en dose unique pour voie IV (étude 1) soit le dolasétron (100 mg) (étude 2) administré 30 minutes, pour voie IV, avant une chimiothérapie à risque émétique moyen comprenant le carboplatine, le cisplatine ≤50 mg/m², le cyclophosphamide <1500 mg/m², la doxorubicine >25 mg/m², l'épirubicine, l'irinotecan, et le méthotrexate >250 mg/m². Des corticostéroïdes (dexaméthasone) concomitants n'ont pas été administrés en prophylaxie dans l'étude 1 et n'ont été utilisés que chez 4–6% des patients dans l'étude 2.
- +Deux études de phase 3, en double aveugle portant sur 1132 patients, ont comparé le palonosétron en dose unique pour voie IV avec soit l'ondansétron (32 mg) en dose unique pour voie IV (étude 1), soit le dolasétron (100 mg) (étude 2) administré 30 minutes, pour voie IV, avant une chimiothérapie à risque émétique moyen comprenant le carboplatine, le cisplatine ≤50 mg/m², le cyclophosphamide <1500 mg/m², la doxorubicine >25 mg/m², l'épirubicine, l'irinotécan, et le méthotrexate >250 mg/m². Des corticostéroïdes (dexaméthasone) concomitants n'ont pas été administrés en prophylaxie dans l'étude 1 et n'ont été utilisés que chez 4–6% des patients dans l'étude 2.
-Les études pivots n'ont pas été conçues pour évaluer l'efficacité du palonosétron pour les nausées et les vomissement à apparition retardée.
- +Les études pivots n'ont pas été conçues pour évaluer l'efficacité du palonosétron pour les nausées et les vomissements à apparition retardée.
-¹ Cohorte Intention de traiter.
- +¹ Cohorte en intention de traiter.
-³ Test du chi-deux. Niveau de significativité à α = 0,05.
- +³ Test du chi carré. Niveau de significativité à α = 0,05.
-¹ Cohorte Intention de traiter.
- +¹ Cohorte en intention de traiter.
-³ Test du chi-deux. Niveau de significativité à α = 0,05.
- +³ Test du chi carré. Niveau de significativité à α = 0,05.
-¹ Cohorte Intention de traiter.
- +¹ Cohorte en intention de traiter.
-³ Test du chi-deux. Niveau de significativité à α = 0,05.
-Population pédiatrique
-Prévention des nausées et vomissements induits par la chimiothérapie (NVIC): L'efficacité du palonosétron pour la prévention des nausées et vomissements induits par la chimiothérapie chez les patients pédiatriques atteints d'un cancer a été démontrée dans une étude pivot de non-infériorité comparant une perfusion intraveineuse unique de palonosétron à un traitement par l'ondansétron IV.
-Au total, 493 enfants et adolescents âgés de 64 jours à 16,9 ans recevant une chimiothérapie modérément (69,2%) ou hautement (30,8%) émétisante ont été traités par le palonosétron 10 μg/kg (dose maximale: 0,75 mg), le palonosétron 20 μg/kg (dose maximale: 1,5 mg) ou l'ondansétron (3× 0,15 mg/kg, dose totale maximale: 32 mg) 30 minutes avant le début de la chimiothérapie émétisante pendant le cycle 1. Dans tous les groupes de traitement, la majorité des patients (78,5%) avait reçu une chimiothérapie antérieure. Les chimiothérapies émétisantes administrées étaient: doxorubicine, cyclophosphamide (<1 500 mg/m2), ifosfamide, cisplatine, dactinomycine, carboplatine et daunorubicine. Une corticothérapie adjuvante, dont la dexaméthasone, était administrée avec la chimiothérapie chez 55% des patients. Le critère principal d'efficacité était la réponse complète dans la phase aiguë du premier cycle de chimiothérapie, définie par l'absence de vomissements, de haut-le-coeur et l'absence de recours à un médicament de secours au cours des premières 24 heures suivant le début de la chimiothérapie. L'efficacité était fondée sur la démonstration de la non-infériorité du palonosétron IV par rapport à l'ondansétron IV. Les critères de non-infériorité étaient satisfaits si la limite inférieure de l'intervalle de confiance à 97,5% pour la différence dans les taux de réponse complète pour le palonosétron IV moins l'ondansétron IV était supérieure à -15%. Les pourcentages de patients présentant une réponse complète pendant la période 0-24 heures (RC0-24h) ont été de 54,2%, 59,4% et 58,6% dans les groupes palonosétron 10 μg/kg, palonosétron 20 μg/kg et ondansétron. Puisque l'intervalle de confiance à 97,5% (test de Mantel-Haenszel avec ajustement en fonction de la strate) de la différence dans les taux de RC0-24h entre le palonosétron 20 μg/kg et l'ondansétron était [-11,7%; 12,4%], la non-infériorité du palonosétron à la dose de 20 μg/kg par rapport à l'ondansétron a été démontrée.
-Bien que cette étude ait montré que les patients pédiatriques ont besoin d'une dose de palonosétron plus élevée que les adultes pour prévenir les nausées et vomissements induits par la chimiothérapie, le profil de tolérance concorde avec celui qui a été établi chez les patients adultes (voir rubrique «Effets indésirables»).
- +³ Test du chi carré. Niveau de significativité à α = 0,05.
- +Pédiatrie
- +Prévention des nausées et vomissements induits par la chimiothérapie (NVIC): L'efficacité du palonosétron pour la prévention des nausées et vomissements induits par la chimiothérapie chez les enfants et les adolescents atteints d'un cancer a été démontrée dans une étude pivot de non-infériorité comparant une perfusion intraveineuse unique de palonosétron à un traitement par l'ondansétron IV.
- +Au total, 493 enfants et adolescents âgés de 64 jours à 16,9 ans recevant une chimiothérapie modérément (69,2%) ou hautement (30,8%) émétisante ont été traités par le palonosétron 10 μg/kg (dose maximale: 0,75 mg), le palonosétron 20 μg/kg (dose maximale: 1,5 mg) ou l'ondansétron (3× 0,15 mg/kg, dose totale maximale: 32 mg) 30 minutes avant le début de la chimiothérapie émétisante pendant le cycle 1. Dans tous les groupes de traitement, la majorité des patients (78,5%) avait reçu une chimiothérapie antérieure. Les chimiothérapies émétisantes administrées étaient: doxorubicine, cyclophosphamide (<1500 mg/m2), ifosfamide, cisplatine, dactinomycine, carboplatine et daunorubicine. Une corticothérapie adjuvante, dont la dexaméthasone, était administrée avec la chimiothérapie chez 55% des patients. Le critère principal d'efficacité était la réponse complète dans la phase aiguë du premier cycle de chimiothérapie, définie par l'absence de vomissements, de haut-le-coeur et l'absence de recours à un médicament de secours au cours des premières 24 heures suivant le début de la chimiothérapie. L'efficacité était fondée sur la démonstration de la non-infériorité du palonosétron IV par rapport à l'ondansétron IV. Les critères de non-infériorité étaient satisfaits si la limite inférieure de l'intervalle de confiance à 97,5% pour la différence dans les taux de réponse complète pour le palonosétron IV moins l'ondansétron IV était supérieure à -15%. Les pourcentages de patients présentant une réponse complète pendant la période 0-24 heures (RC0-24h) ont été de 54,2%, 59,4% et 58,6% dans les groupes sous palonosétron 10 μg/kg, palonosétron 20 μg/kg et ondansétron. Puisque l'intervalle de confiance à 97,5% (test de Mantel-Haenszel avec ajustement en fonction de la strate) de la différence dans les taux de RC0-24h entre le palonosétron 20 μg/kg et l'ondansétron était [-11,7%; 12,4%], la non-infériorité du palonosétron à la dose de 20 μg/kg par rapport à l'ondansétron a été démontrée.
- +Bien que cette étude ait montré que les enfants et les adolescents ont besoin d'une dose de palonosétron plus élevée que les adultes pour prévenir les nausées et vomissements induits par la chimiothérapie, le profil de tolérance concorde avec celui qui a été établi chez les patients adultes (voir rubrique «Effets indésirables»).
-Près de 50% du Palonosétron administré est métabolisé pour former deux métabolites primaires qui présentent moins de 1% d'activité d'antagoniste du récepteur 5-HT3 du palonosétron. In vitro, les études sur le métabolisme ont montré que le CYP2D6 et, dans une moindre mesure, les CYP3A4 et CYP1A2 sont impliqués dans le métabolisme du palonosétron. Toutefois, les paramètres pharmacocinétiques cliniques ne sont pas significativement différents entre les substances induisant un métabolisme faible et complet des substrats de CYP2D6. Le palonosétron ni inhibe ni induit les isoenzymes du cytochrome P450 à des concentrations cliniquement pertinentes.
-Elimination
-Après une dose intraveineuse unique de 10 µg/kg [14C]-palonosétron, environ 80% de la dose a été récupéré dans les 144 heures dans l'urine, le palonosétron représentant environ 40% de la dose administrée, sous forme inchangée. La demi-vie d'élimination terminale moyenne est d'environ 40 heures. 10% des patients ont une demi-vie d'élimination de plus de 100 heures. Après une administration en bolus unique chez les sujets sains, la clairance corporelle totale du palonosétron était de 173 ± 73 ml/min et la clairance rénale était de 53 ± 29 ml/min.
- +Près de 50% du palonosétron administré sont métabolisés pour former deux métabolites primaires qui présentent moins de 1% de l'activité d'antagoniste du récepteur 5-HT3 du palonosétron. In vitro, les études sur le métabolisme ont montré que le CYP2D6 et, dans une moindre mesure, les CYP3A4 et CYP1A2 sont impliqués dans le métabolisme du palonosétron. Toutefois, les paramètres pharmacocinétiques cliniques ne sont pas significativement différents entre les substances induisant un métabolisme faible et complet des substrats du CYP2D6. Le palonosétron n'inhibe ni n'induit les isoenzymes du cytochrome P450 à des concentrations cliniquement pertinentes.
- +Élimination
- +Après une dose intraveineuse unique de 10 µg/kg [14C]-palonosétron, environ 80% de la dose ont été retrouvés dans l'urine dans les 144 heures, le palonosétron représentant environ 40% de la dose administrée, sous forme inchangée. La demi-vie d'élimination terminale moyenne est d'environ 40 heures. 10% des patients ont une demi-vie d'élimination de plus de 100 heures. Après une administration en bolus unique chez les sujets sains, la clairance corporelle totale du palonosétron était de 173 ± 73 ml/min et la clairance rénale était de 53 ± 29 ml/min.
-Personnes âgées: L'âge n'a pas d'effet sur la pharmacocinétique du palonosétron. Aucun ajustement de la posologie n'est nécessaire chez les personnes âgées.
-Sexe: Le sexe n'a pas d'effet sur la pharmacocinétique du palonosétron. Aucun ajustement de la posologie n'est nécessaire en fonction du sexe.
-Patients pédiatriques
-Les données pharmacocinétiques du palonosétron administré par voie IV en une dose unique sont issues d'un sous-groupe de patients pédiatriques atteints d'un cancer (n = 280) qui ont reçu 10 μg/kg ou 20 μg/kg. Une augmentation dose-proportionnelle de l'ASC moyenne a été observée lorsque la dose a été augmentée de 10 μg/kg à 20 μg/kg. Après une perfusion intraveineuse unique du palonosétron 20 μg/kg, les concentrations plasmatiques maximales (CT) observées à la fin de la perfusion de 15 minutes ont été très variables dans toutes les tranches d'âge et avaient tendance à être plus faibles chez les patients âgés de moins de 6 ans que chez les patients pédiatriques plus âgés. Après administration d'une dose de 20 μg/kg, la demi-vie médiane était de 29,5 heures dans la population totale et allait de 20 à 30 heures selon les tranches d'âge.
- +Patients âgés
- +L'âge n'a pas d'effet sur la pharmacocinétique du palonosétron. Aucun ajustement de la posologie n'est nécessaire chez les personnes âgées.
- +Sexe
- +Le sexe n'a pas d'effet sur la pharmacocinétique du palonosétron. Aucun ajustement de la posologie n'est nécessaire en fonction du sexe.
- +Enfants et adolescents
- +Les données pharmacocinétiques du palonosétron administré par voie IV en une dose unique sont issues d'un sous-groupe d'enfants et d'adolescents atteints d'un cancer (n = 280) qui ont reçu 10 μg/kg ou 20 μg/kg. Une augmentation dose-proportionnelle de l'ASC moyenne a été observée lorsque la dose a été augmentée de 10 μg/kg à 20 μg/kg. Après une perfusion intraveineuse unique de palonosétron à la dose de 20 μg/kg, les concentrations plasmatiques maximales (CT) observées à la fin de la perfusion de 15 minutes ont été très variables dans toutes les tranches d'âge et avaient tendance à être plus faibles chez les patients âgés de moins de 6 ans que chez les enfants et adolescents plus âgés. Après administration d'une dose de 20 μg/kg, la demi-vie médiane était de 29,5 heures dans la population totale et allait de 20 à 30 heures selon les tranches d'âge.
-Tableau 4: Paramètres pharmacocinétiques chez des patients pédiatriques atteints d'un cancer après une perfusion intraveineuse du palonosétron à la dose de 20 μg/kg en 15 minutes et chez des patients adultes atteints d'un cancer recevant des doses de 3 μg/kg et 10 μg/kg de palonosétron en bolus intraveineux.
- Patients pédiatriques atteints d'un cancera Patients adultes atteints d'un cancerb
- +Tableau 4: Paramètres pharmacocinétiques chez des enfants et des adolescents atteints d'un cancer après une perfusion intraveineuse de palonosétron à la dose de 20 μg/kg en 15 minutes et chez des patients adultes atteints d'un cancer ayant reçu des doses de 3 μg/kg et 10 μg/kg de palonosétron en bolus intraveineux.
- + Enfants et adolescents atteints d'un cancera Patients adultes atteints d'un cancerb
-d Le Vss est présenté pour les patients pédiatriques atteints d'un cancer, tandis que le Vz est présenté pour les patients adultes atteints d'un cancer.
-Insuffisance rénale
- +d Le Vss est présenté pour les enfants et les adolescents atteints d'un cancer, tandis que le Vz est présenté pour les patients adultes atteints d'un cancer.
- +Troubles de la fonction rénale
-Insuffisance hépatique
- +Troubles de la fonction hépatique
-Polymorphismes génétique
-Le polymorphisme génétique CYP2D6 n'influe pas significativement sur la clairance corporelle totale du palonosétron par rapport à celle des sujets sains. Pour cette raison un ajustement de la posologie n'est pas nécessaire.
- +Polymorphismes génétiques
- +Le polymorphisme génétique CYP2D6 n'influe pas significativement sur la clairance corporelle totale du palonosétron par rapport à celle des sujets sains. Pour cette raison, un ajustement de la posologie n'est pas nécessaire.
-Des effets précliniques ont été observés, dans les tests examinant la toxicité de reproduction et la carcinogenèse, uniquement en cas d'expositions considérées comme dépassant suffisamment l'exposition maximale chez l'être humain, ce qui est d'une faible pertinence pour l'utilisation clinique. Le palonosétron s'est démontré sans effet mutagène dans les tests standardisés de mutagenicité.
- +Des effets précliniques ont été observés, dans les tests examinant la toxicité de reproduction et la carcinogenèse, uniquement en cas d'expositions considérées comme dépassant suffisamment l'exposition maximale chez l'être humain, ce qui est d'une faible pertinence pour l'utilisation clinique. Le palonosétron n'a pas révélé d'effet mutagène dans les tests standardisés de mutagénicité.
-Aucune étude de compatibilité n'ayant été effectuée, ce médicament ne doit pas être mélangé à d'autres médicaments. Rincer le tuyau de perfusion avec une solution physiologique normale avant et après l'administration du palonosétron.
- +Aucune étude de compatibilité n'ayant été effectuée, ce médicament ne doit pas être mélangé à d'autres médicaments. Rincer le tube de perfusion avec une solution physiologique normale avant et après l'administration du palonosétron.
- +Stabilité après ouverture
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-Après l'ouverture du flacon, pour des raisons microbiologiques, la solution devrait être utilisée immédiatement.
-Remarques concernant le stockage
- +Pour des raisons microbiologiques, la solution doit être utilisée immédiatement après l'ouverture du flacon.
- +Remarques particulières concernant le stockage
-Août 2016.
-Numéro de version interne: 1.6
- +Août 2022.
- +Numéro de version interne: 2.2
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