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Accueil - Information professionnelle sur Ezetimib Rosuvastatin Sandoz 10 mg / 5 mg - Changements - 11.02.2025
44 Changements de l'information professionelle Ezetimib Rosuvastatin Sandoz 10 mg / 5 mg
  • -Instructions posologiques particulières
  • -Chez les patients atteints d'insuffisance hépatique légère (score de Child Pugh 5-6), aucune adaptation posologique n'est nécessaire. Chez les patients atteints d'insuffisance hépatique modérée (score de Child Pugh 7-9) ou sévère (score de Child Pugh >9), le traitement par Ezétimibe Rosuvastatine Sandoz n'est pas recommandé (voir «Contre-indications», «Mises en garde et précautions» et «Pharmacocinétique»). Chez les patients atteints d'une maladie hépatique active, Ezétimibe Rosuvastatine Sandoz est contre-indiqué.
  • +Chez les patients atteints d'insuffisance hépatique légère (score de Child Pugh 5-6), aucune adaptation posologique n'est nécessaire. Chez les patients atteints d'insuffisance hépatique modérée (score de Child Pugh 7-9) ou sévère (score de Child Pugh >9), le traitement par Ezétimibe Rosuvastatine Sandoz n'est pas recommandé (voir «Contre-indications», «Mises en garde et précautions» et «Pharmacocinétique»). Chez les patients atteints d'une maladie hépatique active, Ezétimibe Rosuvastatine Sandoz est contreindiqué.
  • -Des taux plasmatiques accrus de rosuvastatine a été observés chez les sujets asiatiques (voir «Mises en garde et précautions» et «Pharmacocinétique»). L'association à dose fixe ne convient pas au traitement initial. Au début du traitement ou lors de la modification de la dose, des préparations de monocomposants doivent être utilisées.
  • +Des taux plasmatiques accrus de rosuvastatine ont été observés chez les sujets asiatiques (voir «Mises en garde et précautions» et «Pharmacocinétique»). L'association à dose fixe ne convient pas au traitement initial. Au début du traitement ou lors de la modification de la dose, des préparations de monocomposants doivent être utilisées.
  • -Musculature squelettique
  • -Comme c'est le cas pour d'autres inhibiteurs de l'HMG-CoA réductase, la rosuvastatine peut également exercer une influence sur la musculature striée et provoquer une myalgie, une myosite ainsi qu'une myopathie pouvant évoluer en rhabdomyolyse, une affection potentiellement dangereuse caractérisée par des taux de créatine-phosphokinase (CPK) nettement élevés (>10 fois la valeur supérieure de la norme), par une myoglobinémie et une myoglobinurie avec éventuelle défaillance rénale. Ceci vaut en particulier pour le dosage de 40 mg.
  • -De très rares cas de myopathie nécrosante à médiation immunitaire ont été rapportés pendant ou après un traitement par statines, y compris la rosuvastatine. Ces myopathies étaient caractérisées par une faiblesse musculaire proximale persistante et par des taux sériques accrus de créatinine kinase. Des examens neuromusculaires et sérologiques supplémentaires peuvent éventuellement être nécessaires. Il est également possible qu'un traitement immunosuppresseur soit nécessaire.
  • -Des rapports de post-commercialisation sur l'ézétimibe ont fait état de cas de myopathie et de rhabdomyolyse, sans mentionner de lien de causalité. La plupart des patients ayant développé une rhabdomyolyse étaient déjà traités par statines avant le début du traitement par l'ézétimibe. Il existe de très rares rapports de rhabdomyolyse sous une monothérapie par l'ézétimibe, et très rarement sur des cas dans lesquels l'ézétimibe a été administré en plus de médicaments qui constituent un facteur de risque connu de rhabdomyolyse. Au début du traitement par d'Ezétimibe Rosuvastatine Sandoz, il faut signaler à tous les patients qu'il existe un risque de myopathie. Il faut les informer de la nécessité de communiquer au médecin les myalgies inexpliquées, une sensibilité musculaire ou une faiblesse musculaire. L'emploi d'Ezétimibe Rosuvastatine Sandoz doit être arrêté immédiatement si une myopathie est diagnostiquée ou suspectée. Les indices laissant supposer l'existence d'une myopathie sont les symptômes mentionnés et un taux de créatine phosphokinase (CPK) >10xLSN.
  • +Effets sur les muscles squelettiques
  • +Chez les patients traités avec rosuvastatine, pour tous les dosages, des effets sur les muscles squelettiques ont été rapportés, par exemple une myalgie, une myopathie et dans de rares cas, une rhabdomyolyse.Ceci vaut en particulier pour les dosages supérieurs à 20 mg de rosuvastatine. Après utilisation d'ézétémib associé à des inhibiteurs de l'HMG-CoA réductase, de très rares cas de
  • +rhabdomyolyse ont été observés. Une interaction pharmacodynamique ne peut pas être exclue (voir paragraphe «Interactions»). La prudence est donc de rigueur lors d'une co-administration.
  • +Dans quelques cas, il a été rapporté qu'une statine déclenche une myasthenia gravis ou une aggravation d'une myasthenia gravis existante ou d'une myasthénie oculaire (voir «Effets indésirables»).
  • +Ezetimib Rosuvastatin doit être interrompu en cas d'aggravation des symptômes. Des récidives ont été rapportées en cas de (nouvelle) administration de la même statine ou d'une autre.
  • +Des rapports de post-commercialisation sur l'ézétimibe ont fait état de cas de myopathie et de rhabdomyolyse, sans mentionner de lien de causalité. La plupart des patients ayant développé une rhabdomyolyse étaient déjà traités par statines avant le début du traitement par l'ézétimibe. Il existe de très rares rapports de rhabdomyolyse sous une monothérapie par l'ézétimibe, et très rarement sur des cas dans lesquels l'ézétimibe a été administré en plus de médicaments qui constituent un facteur de risque connu de rhabdomyolyse. Au début du traitement par d'Ezétimibe Rosuvastatine Sandoz, il faut signaler à tous les patients qu'il existe un risque de myopathie. Il faut les informer de la nécessité de communiquer au médecin toute myalgie, sensibilité musculaire ou faiblesse musculaire inexpliquées. L'emploi d'Ezétimibe Rosuvastatine Sandoz doit être arrêté immédiatement si une myopathie est diagnostiquée ou suspectée. Les indices de l'existence d'une myopathie sont les symptômes mentionnés et un taux de créatine phosphokinase (CPK) >10×LSN.
  • -Le risque de rhabdomyolyse est accru en cas d'utilisation concomitante de la rosuvastatine et des médicaments suivants:
  • +Le risque de rhabdomyolyse est accru en cas d'utilisation concomitante de la rosuvastatine et de certains médicaments:
  • -Chez les patients ayant une hypercholestérolémie secondaire à une hypothyroïdie ou à un syndrome néphrotique, l'affection sous-jacente devra être traitée avant l'instauration d'un traitement par Ezétimibe Rosuvastatine Sandoz. Dans une étude clinique randomisée et contrôlée, avec une durée d'observation médiane de 4,9 ans, plus de 9000 patients souffrant d'une maladie rénale chronique ont reçu soit 10 mg d'ézétimibe en association avec 20 mg de simvastatine par jour (n=4650,) soit un placebo (n=4620). L'incidence de valeurs de transaminases accrues de façon répétée (à >3 x la limite supérieure de la norme) a été de 0,7% sous l'association ézétimibe/simvastatine et de 0,6% sous placebo.
  • +Chez les patients ayant une hypercholestérolémie secondaire à une hypothyroïdie ou à un syndrome néphrotique, l'affection sous-jacente devra être traitée avant l'instauration d'un traitement par Ezétimibe Rosuvastatine Sandoz. Dans une étude clinique randomisée et contrôlée, avec une durée d'observation médiane de 4,9 ans, plus de 9000 patients souffrant d'une maladie rénale chronique ont reçu soit 10 mg d'ézétimibe en association avec 20 mg de simvastatine par jour (n=4650,) soit un placebo (n=4620). L'incidence de valeurs de transaminases accrues de façon répétée (à >3× la limite supérieure de la norme) a été de 0,7% sous l'association ézétimibe/simvastatine et de 0,6% sous placebo.
  • -Myasthénie grave
  • -Dans quelques cas, il a été rapporté que les statines induisaient de novo ou aggravaient une myasthénie préexistante ou une myasthénie oculaire (voir rubrique: «Effets indésirables»). Ezétimibe Rosuvastatine Sandoz doit être arrêté en cas d’aggravation des symptômes. Des récurrences ont été rapportées lorsque la même statine ou une statine différente a été (ré)administrée.
  • -Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.
  • +Ce médicament contient du lactose-monohydraté. Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrom de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.
  • -Même si le mécanisme exact de l'interaction est inconnu, l'utilisation concomitante d'inhibiteurs de protéases peut augmenter l'exposition à la rosuvastatine d'un facteur allant jusqu'à 7 (voir Tableau 1). Par exemple, dans une étude de pharmacocinétique, l'administration concomitante de 10 mg de rosuvastatine et d'une association de deux inhibiteurs de protéases (atazanavir 300 mg/ritonavir 100 mg) chez des volontaires sains a entraîné une augmentation d'environ trois fois et sept fois des valeurs de l'ASC et de la Cmax de la rosuvastatine, respectivement. Selon le degré d'impact sur l'exposition à la rosuvastatine, un ajustement de la posologie est nécessaire (voir «Posologie/Mode d'emploi» et «Mises en garde et précautions»).
  • +Même si le mécanisme exact de l'interaction est inconnu, l'utilisation concomitante d'inhibiteurs de protéases peut augmenter l'exposition à la rosuvastatine d'un facteur allant jusqu'à 7 (voir Tableau 1). Par exemple dans une étude de pharmacocinétique, l'administration concomitante de 10 mg de rosuvastatine et d'une association de deux inhibiteurs de protéases (atazanavir 300 mg/ritonavir 100 mg) chez des volontaires sains a entraîné une augmentation d'environ trois fois et sept fois des valeurs de l'ASC et de la Cmax de la rosuvastatine, respectivement. Selon le degré d'impact sur l'exposition à la rosuvastatine, un ajustement de la posologie est nécessaire (voir «Posologie/Mode d'emploi» et «Mises en garde et précautions»).
  • -L'administration concomitante de Rosuvastatine avec une suspension antiacide contenant de l'hydroxyde d'aluminium et de magnésium a entraîné une diminution des concentrations plasmatiques de rosuvastatine d'environ 50%. Cet effet a été atténué (à environ 20%) lorsque l'antiacide a été administré deux heures après l'administration de Rosuvastatine.
  • +L'administration concomitante de rosuvastatine avec une suspension antiacide contenant de l'hydroxyde d'aluminium et de magnésium a entraîné une diminution des concentrations plasmatiques de rosuvastatine d'environ 50%. Cet effet a été atténué (à environ 20%) lorsque l'antiacide a été administré deux heures après l'administration de Rosuvastatine.
  • +Ticagrélor
  • +Le ticagrelor peut affecter l'excrétion rénale de la rosuvastatine, augmentant le risque d'accumulation de rosuvastatine. Bien que le mécanisme précis soit inconnu, la co-administration de ticagrelor et de rosuvastatine a dans certains cas entraîné une diminution de la fonction rénale, une augmentation des taux de CPK et une rhabdomyolyse.
  • +
  • -Ticagrélor
  • -Le ticagrélor peut influencer l’élimination de la rosuvastatine par voie rénale et augmenter ainsi le risque d’une accumulation de rosuvastatine. Bien que le mécanisme exact ne soit pas connu, l’administration concomitante de ticagrélor et de rosuvastatine a entraîné dans certains cas une diminution de la fonction rénale, une augmentation des taux de CPK et une rhabdomyolyse.
  • +Roxadustat 200 mg 1x/ 2 jours 10 mg, dose unitaire 2,9x ↑ 4,47x ↑
  • +Énasidénib 100 mg 1x/j, 28 jours 10 mg, dose unitaire 2,4x ↑ 3,66x ↑
  • +Tafamidis 61 mg 2x/j les jours 1 et 2, puis 1x/j les jours 3 à 9 10 mg, dose unitaire 1,97x ↑ 1,86x ↑
  • -Régime médicamenteux interagissant Régime médicamenteux interagissant Régime médicamenteux interagissant Régime médicamenteux interagissant
  • -Érythromycine 500 mg 4x/j, 7 jours 80 mg, dose unitaire 28% ↓ 31% ↓
  • +Régime médicamenteux interagissant Régime de rosuvastatine Modification de l'ASC de la rosuvastatine Modification de la Cmax de la rosuvastatine
  • +Érythromycine 500 mg 4x/j, 7 jours 80 mg, dose unitaire 20% ↓ 31% ↓
  • -Grossesse, allaitement
  • -Ezétimibe Rosuvastatine Sandoz est contre-indiqué pendant la grossesse et l'allaitement. Les femmes en âge de procréer doivent prendre des mesures de contraception adéquates. Le traitement sera immédiatement interrompu si une patiente tombe enceinte durant la prise d'Ezétimibe Rosuvastatine Sandoz.
  • +Grossesse
  • +Ezétimibe Rosuvastatine Sandoz est contre-indiqué pendant la grossesse et l'allaitement. Les femmes en âge de procréer doivent prendre des mesures de contraception adéquates. Comme le cheolestérol et d'autres produits issus de la synthèse du cholestérol sont nécessaires pour le développement du fœtus, le risque potentiel lié à l'inhibition de l'HMG-CoA réductase l'emporte sur les bénéfices du traitement pendant la grossesse. Les données issues des études d'expérimentation animale ont apporté des signes limités d'une toxicité sur la reproduction (préclinique). Le traitement sera immédiatement interrompu si une patiente débute une grossesse durant la prise d'Ezétimibe Rosuvastatine Sandoz.
  • +Allaitement
  • +L'allaitement est contre-indiqué pendant le traitement par Ezétimibe Rosuvastatine Sandoz. Des données limitées issues de publications indiquent que la rosuvastatine passe dans le lait maternel. En raison du mécanisme d'action de la rosuvastatine, il existe un risque potentiel d'effets indésirables chez le nourrisson allaité. On ne dispose d'aucune donnée sur les effets du médicament sur le nourrisson allaité ni sur les effets du médicament sur la lactation.
  • -On ne dispose d'aucune donnée issue d'études cliniques concernant les effets de l'ézétimibe sur la fertilité humaine. Des études réalisées chez l'animal n'ont révélé aucun effet sur la fertilité masculine ou féminine (voir «Données précliniques»).
  • +On ne dispose pas de données d'études cliniques concernant les effets de l'ézétimibe sur la fertilité chez l'homme. Les études chez l'animal n'ont pas montré d'effet sur la fertilité chez le mâle ou la femelle (voir «Données précliniques»).
  • -La fréquence de survenue des effets indésirables est classée comme suit: «fréquents» (≥1/100, < 1/10); «occasionnels» (≥1/1000, < 1/100); «rares» (≥1/10'000, < 1/1000); «très rares» (< 1/10'000); «fréquence inconnue» (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • +Les effets indésirables sont rangés par classe de système d'organes de la classification MedDRA et par fréquence selon la convention suivante: fréquents (≥1/100 à < 1/10), occasionnels (≥1/1000 à < 1/100), rares (≥1/10'000 à < 1/1000), très rares (< 1/10'000), fréquence inconnue (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • -Fréquence inconnue: neuropathie périphérique, troubles du sommeil (y compris insomnie et cauchemars), Myasthénie.
  • +Fréquence inconnue: neuropathie périphérique, myasthenia gravis, troubles du sommeil (y compris insomnie et cauchemars).
  • -Fréquence inconnue: Myasthénie oculaire.
  • +Fréquence inconnue: myasthenia gravis oculaire.
  • -Fréquence inconnue: ictère, cholélithiase, chlolécystite.
  • +Fréquence inconnue: ictère, cholélithiase, chlolécystite, lésions hépatiques induites par un médicament.
  • -Fréquence inconnue: érythème polymorphe, syndrome de Stevens-Johnson, réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (DRESS).
  • +Fréquence inconnue: effets indésirables cutanés sévères (Severe Cutaneous Adverse Reactions, SCARs), incluant, syndrome de Stevens-Johnson (SSJ), nécrolyse épidermique toxique (NET), réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (DRESS) et érythème polymorphe, exanthème médicamenteux lichénoïde.
  • -Les données précliniques basées sur les études conventionnelles (de pharmacologie de sécurité, de toxicité à doses répétées, de génotoxicité, de carcinogénicité et de toxicologie de reproduction) n'ont pas mis en évidence de risques particuliers pour l'être humain.
  • +Sur la base des études conventionnelles de pharmacologie de sécurité, de génotoxicité et de cancérogénicité, les données précliniques ne révèlent aucun risque particulier pour l'être humain. Des études spécifiques sur l'influence sur le hERG n'ont pas été évaluées. Les effets indésirables ci-après n'ont pas été observés dans les études cliniques mais sont apparus sur les animaux après exposition dans la fourchette thérapeutique humaine: dans les études de toxicité à doses multiples, des modifications histopathologiques du foie, probablement dues à l'action pharmacologique de la rosuvastatine, ont été observées chez la souris, le rat et, dans une moindre mesure, avec des effets dans la vésicule biliaire chez le chien, mais pas chez le singe. En outre, une toxicité testiculaire a été observée chez les singes et les chiens à des doses plus élevées. Chez le rat, la toxicité pour la reproduction a été démontrée par une réduction de la taille et du poids des portées et par une diminution du taux de survie des jeunes animaux. Ces effets ont été observés à des doses toxiques pour la mère, où l'exposition systémique était plusieurs fois supérieure au niveau d'exposition thérapeutique.
  • -Mutagénicité / Carcinogénicité
  • -L'ézétimibe n'a eu aucune influence sur la fertilité des rats ou rates, n'a pas eu d'effet tératogène chez les rates ou les lapines et n'a pas influencé le développement prénatal ou post-natal. L'ézétimibe n'a montré aucun potentiel de génotoxicité dans une série d'études menées in vivo et in vitro. L'ézétimibe ne s'est pas avéré être cancérigène dans des études de deux ans menées chez des souris et des rats.
  • +Mutagénicité
  • +L'ézétimibe n'a montré aucun potentiel de génotoxicité dans une série d'études menées in vivo et in vitro.
  • +Carcinogénicité
  • +L'ézétimibe ne s'est pas avéré être cancérigène dans des études de deux ans menées chez des souris et des rats.
  • -L'innocuité de l'association d'ézétimibe et de statines ainsi que d'ézétimibe et de fénofibrate a été étudiée chez des rats et des chiens.
  • +L'ézétimibe n'a eu aucune influence sur la fertilité des rats ou rates, n'a pas eu d'effet tératogène chez les rates ou les lapines et n'a pas influencé le développement prénatal ou post-natal.
  • -Lors d'associations d'ézétimibe avec l'atorvastatine, la simvastatine, la pravastatine, la lovastatine ou le fénofibrate sur trois mois, les données toxicologiques correspondaient aux données observées sous des monothérapies de statines ou de fénofibrate.
  • +L'innocuité de l'association d'ézétimibe et de statines ainsi que d'ézétimibe et de fénofibrate a été étudiée chez des rats et des chiens. Lors d'associations d'ézétimibe avec l'atorvastatine, la simvastatine, la pravastatine, la lovastatine ou le fénofibrate sur trois mois, les données toxicologiques correspondaient aux données observées sous des monothérapies de statines ou de fénofibrate.
  • -Juillet 2023
  • +Juin 2024
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