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Accueil - Information professionnelle sur Ebglyss 250 mg/2 ml - Changements - 03.10.2024
160 Changements de l'information professionelle Ebglyss 250 mg/2 ml
  • -Le lébrikizumab est produit dans des cellules ovariennes de hamster chinois (cellules CHO) par la technologie de lADN recombinant.
  • +Le lébrikizumab est produit dans des cellules ovariennes de hamster chinois (cellules CHO) par la technologie de l'ADN recombinant.
  • -Ebglyss est indiqué pour le traitement de la dermatite atopique modérée à sévère chez les adultes et les adolescents à partir de 12 ans, dun poids corporel dau moins 40 kg, lorsque le traitement par des médicaments topiques ne permet pas dobtenir un contrôle adéquat de la maladie ou nest pas médicalement recommandé.
  • +Ebglyss est indiqué pour le traitement de la dermatite atopique modérée à sévère chez les adultes et les adolescents à partir de 12 ans, d'un poids corporel d'au moins 40 kg, lorsque le traitement par des médicaments topiques ne permet pas d'obtenir un contrôle adéquat de la maladie ou n'est pas médicalement recommandé.
  • -La dose recommandée de lébrikizumab est de 500 mg (deux injections de 250 mg) à la semaine 0 et à la semaine 2, suivie de 250 mg administrés par injection sous-cutanée toutes les deux semaines jusquà la semaine 16.
  • -Larrêt du traitement devra être envisagé chez les patients qui ne présentent aucune réponse clinique après 16 semaines de traitement.
  • -Une fois la réponse clinique obtenue, la dose dentretien de lébrikizumab recommandée est de 250 mg toutes les quatre semaines.
  • +La dose recommandée de lébrikizumab est de 500 mg (deux injections de 250 mg) à la semaine 0 et à la semaine 2, suivie de 250 mg administrés par injection sous-cutanée toutes les deux semaines jusqu'à la semaine 16.
  • +L'arrêt du traitement devra être envisagé chez les patients qui ne présentent aucune réponse clinique après 16 semaines de traitement.
  • +Une fois la réponse clinique obtenue, la dose d'entretien de lébrikizumab recommandée est de 250 mg toutes les quatre semaines.
  • -Afin dassurer la traçabilité des médicaments biotechnologiques, il convient de documenter pour chaque traitement le nom commercial et le numéro de lot.
  • +Afin d'assurer la traçabilité des médicaments biotechnologiques, il convient de documenter pour chaque traitement le nom commercial et le numéro de lot.
  • -En cas doubli dune dose, celle-ci devra être administrée dès que possible. Par la suite, le schéma dadministration devra être repris à la date prévue habituellement.
  • +En cas d'oubli d'une dose, celle-ci devra être administrée dès que possible. Par la suite, le schéma d'administration devra être repris à la date prévue habituellement.
  • -Aucun ajustement posologique nest nécessaire chez les patients présentant une insuffisance hépatique ou rénale (voir «Pharmacocinétique»).
  • +Aucun ajustement posologique n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance hépatique ou rénale (voir «Pharmacocinétique»).
  • -Aucun ajustement posologique nest nécessaire en fonction du poids corporel (voir «Pharmacocinétique»).
  • +Aucun ajustement posologique n'est nécessaire en fonction du poids corporel (voir «Pharmacocinétique»).
  • -Aucun ajustement posologique nest nécessaire chez les patients âgés (voir «Pharmacocinétique»).
  • +Aucun ajustement posologique n'est nécessaire chez les patients âgés (voir «Pharmacocinétique»).
  • -La sécurité et lefficacité du lébrikizumab chez les enfants de moins de 12 ans ou chez les adolescents de 12 à 17 ans et pesant moins de 40 kg ne sont pas encore établies. Aucune donnée nest disponible.
  • -Mode dadministration
  • +La sécurité et l'efficacité du lébrikizumab chez les enfants de moins de 12 ans ou chez les adolescents de 12 à 17 ans et pesant moins de 40 kg ne sont pas encore établies. Aucune donnée n'est disponible.
  • +Mode d'administration
  • -Le lébrikizumab est administré par injection sous-cutanée dans la cuisse ou labdomen, à lexception de la zone de 5 centimètres autour du nombril. Si une autre personne administre linjection, il est également possible de la faire dans le haut du bras.
  • -Pour la dose initiale de 500 mg, deux injections de 250 mg sont administrées consécutivement en choisissant des sites dinjection différents.
  • -Il est recommandé de changer de site dinjection à chaque injection. Le lébrikizumab ne doit pas être injecté dans des zones où la peau est sensible, endommagée ou présente des hématomes ou des cicatrices.
  • -Un patient peut sauto-injecter le lébrikizumab ou le soignant du patient peut administrer le lébrikizumab si le médecin traitant juge que cela est approprié. Une formation adéquate des patients et/ou des soignants à ladministration du lébrikizumab devra être assurée avant utilisation. Des instructions dutilisation détaillées sont incluses à la fin de linformation destinée aux patients.
  • +Le lébrikizumab est administré par injection sous-cutanée dans la cuisse ou l'abdomen, à l'exception de la zone de 5 centimètres autour du nombril. Si une autre personne administre l'injection, il est également possible de la faire dans le haut du bras.
  • +Pour la dose initiale de 500 mg, deux injections de 250 mg sont administrées consécutivement en choisissant des sites d'injection différents.
  • +Il est recommandé de changer de site d'injection à chaque injection. Le lébrikizumab ne doit pas être injecté dans des zones où la peau est sensible, endommagée ou présente des hématomes ou des cicatrices.
  • +Un patient peut s'auto-injecter le lébrikizumab ou le soignant du patient peut administrer le lébrikizumab si le médecin traitant juge que cela est approprié. Une formation adéquate des patients et/ou des soignants à l'administration du lébrikizumab devra être assurée avant utilisation. Des instructions d'utilisation détaillées sont incluses à la fin de l'information destinée aux patients.
  • -Hypersensibilité à la substance active ou à lun des excipients (voir «Composition»).
  • +Hypersensibilité à la substance active ou à l'un des excipients (voir «Composition»).
  • -En cas de survenue dune réaction dhypersensibilité systémique (immédiate ou retardée), ladministration du lébrikizumab doit être interrompue et un traitement approprié doit être instauré.
  • +En cas de survenue d'une réaction d'hypersensibilité systémique (immédiate ou retardée), l'administration du lébrikizumab doit être interrompue et un traitement approprié doit être instauré.
  • -Les patients doivent signaler à leur médecin tout nouveau symptôme oculaire ou tout symptôme qui saggrave.
  • +Les patients doivent signaler à leur médecin tout nouveau symptôme oculaire ou tout symptôme qui s'aggrave.
  • -Avant linstauration du traitement par lébrikizumab, il est recommandé de sassurer que les patients sont à jour de toutes les vaccinations appropriées selon lâge, conformément aux recommandations vaccinales en vigueur. Les vaccins vivants et les vaccins vivants atténués ne doivent pas être administrés au cours du traitement par lébrikizumab car la sécurité et lefficacité cliniques nont pas été établies. Les réponses immunitaires aux vaccins non vivants ont été évaluées dans un vaccin combiné diphtérie-tétanos-coqueluche (acellulaire) (TdaP) et un vaccin polysaccharidique contre les méningocoques (voir «Interactions»).
  • +Avant l'instauration du traitement par lébrikizumab, il est recommandé de s'assurer que les patients sont à jour de toutes les vaccinations appropriées selon l'âge, conformément aux recommandations vaccinales en vigueur. Les vaccins vivants et les vaccins vivants atténués ne doivent pas être administrés au cours du traitement par lébrikizumab car la sécurité et l'efficacité cliniques n'ont pas été établies. Les réponses immunitaires aux vaccins non vivants ont été évaluées dans un vaccin combiné diphtérie-tétanos-coqueluche (acellulaire) (TdaP) et un vaccin polysaccharidique contre les méningocoques (voir «Interactions»).
  • -Les patients présentant des infections connues par des helminthes ont été exclus des études cliniques. Les patients présentant des infections préexistantes par des helminthes doivent être traités avant de commencer le traitement par lébrikizumab. Si des patients sont infectés au cours du traitement par lébrikizumab et ne répondent pas au traitement anti-helminthique, le traitement par lébrikizumab doit être interrompu jusquà la guérison de linfection.
  • +Les patients présentant des infections connues par des helminthes ont été exclus des études cliniques. Les patients présentant des infections préexistantes par des helminthes doivent être traités avant de commencer le traitement par lébrikizumab. Si des patients sont infectés au cours du traitement par lébrikizumab et ne répondent pas au traitement anti-helminthique, le traitement par lébrikizumab doit être interrompu jusqu'à la guérison de l'infection.
  • -La sécurité et lefficacité de lutilisation concomitante du lébrikizumab et de vaccins vivants ou vivants atténués nont pas été étudiées. Les vaccins vivants et les vaccins vivants atténués ne doivent pas être administrés au cours du traitement par lébrikizumab (voir également «Mises en garde et précautions»).
  • +La sécurité et l'efficacité de l'utilisation concomitante du lébrikizumab et de vaccins vivants ou vivants atténués n'ont pas été étudiées. Les vaccins vivants et les vaccins vivants atténués ne doivent pas être administrés au cours du traitement par lébrikizumab (voir également «Mises en garde et précautions»).
  • -Les réponses immunitaires aux vaccins non vivants ont été évaluées dans une étude au cours de laquelle des patients adultes atteints de dermatite atopique ont été traités par lébrikizumab 500 mg aux semaines 0 et 2, puis par lébrikizumab 250 mg toutes les deux semaines jusquà la semaine 16. Après 12 semaines dadministration de lébrikizumab, les patients ont reçu un vaccin TdaP, vaccin combiné tétanos, diphtérie et coqueluche acellulaire (dépendant des lymphocytes T) et un vaccin polysaccharidique contre les méningocoques (indépendant des lymphocytes T). Les réponses immunitaires à lanatoxine tétanique et au vaccin polysaccharidique contre les méningocoques du sérogroupe C ont été analysées 4 semaines plus tard. Le traitement concomitant par lébrikizumab na pas eu dimpact négatif sur la production danticorps avec les deux vaccins non vivants. Dans létude, aucune interaction indésirables entre les vaccins non vivants et le lébrikizumab na été observée.
  • +Les réponses immunitaires aux vaccins non vivants ont été évaluées dans une étude au cours de laquelle des patients adultes atteints de dermatite atopique ont été traités par lébrikizumab 500 mg aux semaines 0 et 2, puis par lébrikizumab 250 mg toutes les deux semaines jusqu'à la semaine 16. Après 12 semaines d'administration de lébrikizumab, les patients ont reçu un vaccin TdaP, vaccin combiné tétanos, diphtérie et coqueluche acellulaire (dépendant des lymphocytes T) et un vaccin polysaccharidique contre les méningocoques (indépendant des lymphocytes T). Les réponses immunitaires à l'anatoxine tétanique et au vaccin polysaccharidique contre les méningocoques du sérogroupe C ont été analysées 4 semaines plus tard. Le traitement concomitant par lébrikizumab n'a pas eu d'impact négatif sur la production d'anticorps avec les deux vaccins non vivants. Dans l'étude, aucune interaction indésirables entre les vaccins non vivants et le lébrikizumab n'a été observée.
  • -Aucune étude na été réalisée pour déterminer les interactions pharmacocinétiques des médicaments.
  • +Aucune étude n'a été réalisée pour déterminer les interactions pharmacocinétiques des médicaments.
  • -Grossesse/Allaitement
  • +Grossesse, allaitement
  • -À ce jour, on ne dispose que de peu dexpérience concernant lutilisation dEbglyss chez les femmes enceintes. Les études effectuées chez lanimal nont pas mis en évidence deffets délétères directs ou indirects sur la reproduction (voir «Données précliniques»). Le lébrikizumab ne doit pas être utilisé pendant la grossesse, à moins que le bénéfice potentiel ne dépasse le risque potentiel pour le fœtus.
  • +À ce jour, on ne dispose que de peu d'expérience concernant l'utilisation d'Ebglyss chez les femmes enceintes. Les études effectuées chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effets délétères directs ou indirects sur la reproduction (voir «Données précliniques»). Le lébrikizumab ne doit pas être utilisé pendant la grossesse, à moins que le bénéfice potentiel ne dépasse le risque potentiel pour le fœtus.
  • -On ne sait pas si le lébrikizumab est excrété dans le lait maternel ou absorbé par voie systémique après ingestion. Les IgG maternelles étant présentes dans le lait maternel, un risque pour les nouveaux-nés/nourrissons allaités ne peut être exclu. Une décision doit être prise soit dinterrompre lallaitement, soit dinterrompre le traitement par Ebglyss, en prenant en compte le bénéfice de lallaitement pour lenfant au regard du bénéfice du traitement pour la femme.
  • +On ne sait pas si le lébrikizumab est excrété dans le lait maternel ou absorbé par voie systémique après ingestion. Les IgG maternelles étant présentes dans le lait maternel, un risque pour les nouveaux-nés/nourrissons allaités ne peut être exclu. Une décision doit être prise soit d'interrompre l'allaitement, soit d'interrompre le traitement par Ebglyss, en prenant en compte le bénéfice de l'allaitement pour l'enfant au regard du bénéfice du traitement pour la femme.
  • -Leffet dEbglyss sur la fertilité humaine na pas été étudié. Les études effectuées chez lanimal nont montré aucune altération de la fertilité (voir «Données précliniques»).
  • +L'effet d'Ebglyss sur la fertilité humaine n'a pas été étudié. Les études effectuées chez l'animal n'ont montré aucune altération de la fertilité (voir «Données précliniques»).
  • -Aucune étude correspondante na été effectuée.
  • +Aucune étude correspondante n'a été effectuée.
  • -Les effets indésirables les plus fréquents sont des conjonctivites (6,9%), des réactions au site dinjection (2,6%), des conjonctivites allergiques (1,8%) et une sécheresse oculaire (1,4%).
  • +Les effets indésirables les plus fréquents sont des conjonctivites (6,9%), des réactions au site d'injection (2,6%), des conjonctivites allergiques (1,8%) et une sécheresse oculaire (1,4%).
  • -Le tableau 1 présente les effets indésirables observés dans les études cliniques par classe de systèmes dorganes et par fréquence, en utilisant les catégories suivantes: très fréquent (≥1/10); fréquent (≥1/100 à < 1/10); occasionnel (≥1/1000 à <1/100); rare (≥1/10 000 à <1/1000); très rare (<1/10 000).
  • +Le tableau 1 présente les effets indésirables observés dans les études cliniques par classe de systèmes d'organes et par fréquence, en utilisant les catégories suivantes: très fréquent (≥1/10); fréquent (≥1/100 à < 1/10); occasionnel (≥1/1000 à <1/100); rare (≥1/10 000 à <1/1000); très rare (<1/10 000).
  • -Classe de systèmes dorganes MedDRA Fréquence Effet indésirable
  • +Classe de systèmes d'organes MedDRA Fréquence Effet indésirable
  • -Affections hématologiques et du système lymphatique Occasionnel Éosinophilie
  • -Affections oculaires Fréquent Conjonctivite allergique Sécheresse oculaire
  • +Affections hématolo-giques et du système lymphatique Occasionnel Éosinophilie
  • +Affections oculaires Fréquent Conjonctivite allergique Sécheresse oculaire
  • -Troubles généraux et anomalies au site dadministration Fréquent Réaction au site dinjection
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration Fréquent Réaction au site d'injection
  • -Description deffets indésirables spécifiques et informations complémentaires
  • +Description d'effets indésirables spécifiques et informations complémentaires
  • -Au cours des 16 premières semaines de traitement, des cas de conjonctivite, de conjonctivite allergique, de blépharite et de kératite ont été rapportés plus fréquemment chez les patients traités par lébrikizumab (respectivement 6,9%, 1,8%, 0,8% et 0,6%) que sous placebo (respectivement 1,8%, 0,7%, 0,2% et 0,3%). La plupart des cas de conjonctivite, de conjonctivite allergique, de blépharite et de kératite étaient dintensité légère à modérée, se sont améliorés ou ont disparu sans interruption ou arrêt du traitement.
  • +Au cours des 16 premières semaines de traitement, des cas de conjonctivite, de conjonctivite allergique, de blépharite et de kératite ont été rapportés plus fréquemment chez les patients traités par lébrikizumab (respectivement 6,9%, 1,8%, 0,8% et 0,6%) que sous placebo (respectivement 1,8%, 0,7%, 0,2% et 0,3%). La plupart des cas de conjonctivite, de conjonctivite allergique, de blépharite et de kératite étaient d'intensité légère à modérée, se sont améliorés ou ont disparu sans interruption ou arrêt du traitement.
  • -Les patients traités par lébrikizumab ont présenté une augmentation moyenne de leur taux à linclusion déosinophiles, plus importante que les patients ayant reçu le placebo. En général, cette augmentation par rapport à la valeur de référence chez les patients traités par lébrikizumab était transitoire.
  • -Une éosinophilie (>5000 cellules/µl) a été observée chez 0,4% des patients traités par lébrikizumab et chez aucun de ceux ayant reçu le placebo. Léosinophilie na pas entraîné darrêt du traitement, et aucun trouble lié aux éosinophiles na été rapporté.
  • +Les patients traités par lébrikizumab ont présenté une augmentation moyenne de leur taux à l'inclusion d'éosinophiles, plus importante que les patients ayant reçu le placebo. En général, cette augmentation par rapport à la valeur de référence chez les patients traités par lébrikizumab était transitoire.
  • +Une éosinophilie (>5000 cellules/µl) a été observée chez 0,4% des patients traités par lébrikizumab et chez aucun de ceux ayant reçu le placebo. L'éosinophilie n'a pas entraîné d'arrêt du traitement, et aucun trouble lié aux éosinophiles n'a été rapporté.
  • -Réaction au site dinjection
  • -Des réactions au site dinjection (y compris douleur, érythème et rash) ont été rapportées plus fréquemment chez les patients ayant reçu le lébrikizumab (2,6%) que chez ceux ayant reçu le placebo (1,5%). La majorité (95%) des réactions au site dinjection étaient dintensité légère ou modérée et peu de patients (<0,5%) ont arrêté le traitement par lébrikizumab.
  • +Réaction au site d'injection
  • +Des réactions au site d'injection (y compris douleur, érythème et rash) ont été rapportées plus fréquemment chez les patients ayant reçu le lébrikizumab (2,6%) que chez ceux ayant reçu le placebo (1,5%). La majorité (95%) des réactions au site d'injection étaient d'intensité légère ou modérée et peu de patients (<0,5%) ont arrêté le traitement par lébrikizumab.
  • -Un zona a été observé chez 0,6% des patients traités par lébrikizumab et chez aucun des patients du groupe placebo. Tous les épisodes de zona rapportés étaient dintensité légère ou modérée, et aucun na entraîné larrêt définitif du traitement.
  • +Un zona a été observé chez 0,6% des patients traités par lébrikizumab et chez aucun des patients du groupe placebo. Tous les épisodes de zona rapportés étaient d'intensité légère ou modérée, et aucun n'a entraîné l'arrêt définitif du traitement.
  • -Comme pour toutes les protéines thérapeutiques, il existe la possibilité dune immunogénicité avec le lébrikizumab. Lincidence des anticorps anti-médicaments (ADA) dépend dans une large mesure de la sensibilité et de la spécificité du test. En outre, lincidence observée de la positivité des anticorps (y compris les anticorps neutralisants) dans un test peut être influencée par plusieurs facteurs, par exemple la méthodologie du test, la manipulation des échantillons, le moment de la collecte des échantillons, les médicaments concomitants et la maladie sous-jacente. Pour cette raison, la comparaison de lincidence des anticorps dirigés contre le lébrikizumab avec lincidence des anticorps dirigés contre dautres médicaments peut induire en erreur.
  • -Au bout de 12 mois de traitement, jusquà 2,8% des patients traités par 250 mg de lébrikizumab ont développé des anticorps anti-médicament (ADA) dirigés contre le principe actif. Ils étaient généralement neutralisants et leurs concentrations étaient faibles.
  • +Comme pour toutes les protéines thérapeutiques, il existe la possibilité d'une immunogénicité avec le lébrikizumab. L'incidence des anticorps anti-médicaments (ADA) dépend dans une large mesure de la sensibilité et de la spécificité du test. En outre, l'incidence observée de la positivité des anticorps (y compris les anticorps neutralisants) dans un test peut être influencée par plusieurs facteurs, par exemple la méthodologie du test, la manipulation des échantillons, le moment de la collecte des échantillons, les médicaments concomitants et la maladie sous-jacente. Pour cette raison, la comparaison de l'incidence des anticorps dirigés contre le lébrikizumab avec l'incidence des anticorps dirigés contre d'autres médicaments peut induire en erreur.
  • +Au bout de 12 mois de traitement, jusqu'à 2,8% des patients traités par 250 mg de lébrikizumab ont développé des anticorps anti-médicament (ADA) dirigés contre le principe actif. Ils étaient généralement neutralisants et leurs concentrations étaient faibles.
  • -La tolérance à long terme du lébrikizumab a été évaluée dans 5 études cliniques: dans les deux études en monothérapie (ADvocate 1, ADvocate 2) pendant une durée maximale de 52 semaines, et dans létude en association avec les CST (ADhere) avec une étude dextension à long terme (ADjoin) pendant 56 semaines au total et dans létude ADore en monothérapie chez des adolescents pendant également une durée maximale de 52 semaines. Le profil de sécurité du lébrikizumab en monothérapie jusquà la semaine 52 incluse ou en association avec des CST jusquà la semaine 56 est cohérent avec le profil de sécurité observé jusquà la semaine 16 (incluse).
  • +La tolérance à long terme du lébrikizumab a été évaluée dans 5 études cliniques: dans les deux études en monothérapie (ADvocate 1, ADvocate 2) pendant une durée maximale de 52 semaines, et dans l'étude en association avec les CST (ADhere) avec une étude d'extension à long terme (ADjoin) pendant 56 semaines au total et dans l'étude ADore en monothérapie chez des adolescents pendant également une durée maximale de 52 semaines. Le profil de sécurité du lébrikizumab en monothérapie jusqu'à la semaine 52 incluse ou en association avec des CST jusqu'à la semaine 56 est cohérent avec le profil de sécurité observé jusqu'à la semaine 16 (incluse).
  • -Lannonce deffets secondaires présumés après lautorisation est dune grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion deffet secondaire nouveau ou grave via le portail dannonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • -Dans les études cliniques, des doses intraveineuses uniques allant jusquà 10 mg/kg et des doses sous-cutanées multiples allant jusquà 500 mg ont été administrées à lêtre humain lors des essais cliniques, sans observer de toxicité limitant la dose. Il ny a pas de traitement spécifique en cas de surdosage de lébrikizumab. En cas de surdosage, le patient doit être surveillé afin de détecter tout signe ou symptôme deffets indésirables et dinstaurer immédiatement un traitement symptomatique approprié.
  • +Dans les études cliniques, des doses intraveineuses uniques allant jusqu'à 10 mg/kg et des doses sous-cutanées multiples allant jusqu'à 500 mg ont été administrées à l'être humain lors des essais cliniques, sans observer de toxicité limitant la dose. Il n'y a pas de traitement spécifique en cas de surdosage de lébrikizumab. En cas de surdosage, le patient doit être surveillé afin de détecter tout signe ou symptôme d'effets indésirables et d'instaurer immédiatement un traitement symptomatique approprié.
  • -Mécanisme daction
  • -Le lébrikizumab est un anticorps monoclonal dimmunoglobuline (IgG4) qui se lie avec une haute affinité à linterleukine (IL)13 et inhibe sélectivement la signalisation de l’IL‐13 par la voie du récepteur alpha de l’IL‐4 (IL4Rα) et de lhétérodimère du récepteur alpha 1 de lIL-13 (IL13Rα1), inhibant ainsi les effets de l’IL‐13 en aval. Linhibition de la signalisation de lIL-13 devrait être bénéfique dans les maladies pour lesquelles lIL-13 est un facteur clé de la pathogenèse de la maladie. Le lébrikizumab nempêche pas la liaison de lIL-13 au récepteur alpha 2 de lIL-13 (IL-13Rα2 ou récepteur leurre), ce qui permet linternalisation de lIL-13 dans la cellule.
  • +Mécanisme d'action
  • +Le lébrikizumab est un anticorps monoclonal d'immunoglobuline (IgG4) qui se lie avec une haute affinité à l'interleukine (IL)-13 et inhibe sélectivement la signalisation de l'IL-13 par la voie du récepteur alpha de l'IL-4 (IL-4Rα) et de l'hétérodimère du récepteur alpha 1 de l'IL-13 (IL-13Rα1), inhibant ainsi les effets de l'IL-13 en aval. L'inhibition de la signalisation de l'IL-13 devrait être bénéfique dans les maladies pour lesquelles l'IL-13 est un facteur clé de la pathogenèse de la maladie. Le lébrikizumab n'empêche pas la liaison de l'IL-13 au récepteur alpha 2 de l'IL-13 (IL-13Rα2 ou récepteur leurre), ce qui permet l'internalisation de l'IL-13 dans la cellule.
  • -Dans les études cliniques, le lébrikizumab a réduit les taux sériques de périostine, dimmunoglobulines E (IgE) totales, de ligand de chimiokine CC(CCL)17 [chimiokine régulée par le thymus et par activation (TARC)], de CCL18 [[chimiokine régulée par le poumon et par activation (PARC)] et de CCL13 [protéine chimiotactique des monocytes-4 (MCP-4)]. La diminution des médiateurs de linflammation de type 2 apporte une preuve indirecte de linhibition de la voie de lIL-13 par le lébrikizumab.
  • +Dans les études cliniques, le lébrikizumab a réduit les taux sériques de périostine, d'immunoglobulines E (IgE) totales, de ligand de chimiokine CC(CCL)17 [chimiokine régulée par le thymus et par activation (TARC)], de CCL18 [[chimiokine régulée par le poumon et par activation (PARC)] et de CCL13 [protéine chimiotactique des monocytes-4 (MCP-4)]. La diminution des médiateurs de l'inflammation de type 2 apporte une preuve indirecte de l'inhibition de la voie de l'IL-13 par le lébrikizumab.
  • -Lefficacité et la sécurité du lébrikizumab en monothérapie (ADvocate 1, ADvocate 2) et en association avec un CST (ADhere) ont été évaluées dans trois études pivot randomisées en double aveugle, contrôlées contre placebo chez 1062 adultes et adolescents (âgés de 12 à 17 ans et pesant ≥40 kg) atteints de dermatite atopique modérée à sévère, définie par un score dindice de surface et de sévérité de leczéma (Eczema Area and Severity Index, EASI) ≥16, un score dévaluation globale par linvestigateur (Investigators Global Assessment, IGA) ≥3 et une surface corporelle atteinte (Body Surface Area, BSA) ≥10%. Les patients inclus dans les trois études présentaient auparavant une réponse insuffisante au traitement par voie topique ou bien les traitements par voie topique ne leur étaient pas médicalement recommandés (ce dernier critère ne sappliquait pas à létude ADhere).
  • -Dans les trois études, les patients ont reçu une dose initiale de 500 mg de lébrikizumab (deux injections de 250 mg) aux semaines 0 et 2, puis 250 mg toutes les deux semaines (Q2S) jusquà la semaine 16 ou un placebo équivalent selon un rapport de 2:1. Dans ADhere, les patients de létude ont également reçu un CST de puissance faible à modérée ou un ICT concomitant sur les lésions actives. Les patients étaient autorisés à recevoir un traitement de secours selon lappréciation de linvestigateur pour contrôler les symptômes intolérables de la dermatite atopique. Les patients nécessitant un traitement de secours systémique ont arrêté le traitement à létude.
  • -Les patients ayant obtenu un score IGA de 0 ou 1 ou une réduction dau moins 75% de la réponse EASI (EASI 75) sans avoir reçu de traitement de secours étaient randomisés à nouveau en aveugle pour recevoir (i) du lébrikizumab 250 mg toutes les 2 semaines (Q2S), (ii) du lébrikizumab 250 mg toutes les 4 semaines (Q4S) ou (iii) un placebo pendant 52 semaines.
  • -Dans les études ADvocate 1 et ADvocate 2, après avoir terminé létude de 52 semaines, et dans létude ADhere, après avoir terminé létude de 16 semaines, les patients avaient la possibilité de poursuivre le traitement dans une étude distincte dextension à long terme (ADjoin).
  • -Critères dévaluation
  • -Dans les trois études, les co-critères dévaluation primaires étaient le pourcentage de patients présentant un score IGA 0 ou 1 («sans lésion» ou «lésion minime») avec une réduction de ≥2 points par rapport à linclusion, et le pourcentage de patients présentant une réduction dau moins 75% du score EASI (EASI 75) entre linclusion et la semaine 16. Les critères dévaluation secondaires majeurs comprenaient le pourcentage de patients ayant obtenu une réduction dau moins 90% du score EASI (EASI 90), le pourcentage de patients avec une amélioration par rapport à linclusion dau moins 4 points sur léchelle dévaluation numérique de prurit (Pruritus Numerical Rating Scale, Pruritus NRS), le pourcentage de patients avec une amélioration par rapport à linclusion dau moins 4 points sur lindice de qualité de vie en dermatologie (Dermatology Life Quality Index, DLQI) et limpact des démangeaisons sur le sommeil (échelle de perte de sommeil). La variation par rapport à linclusion du score de mesure de leczéma par le patient (Patient Oriented Eczema Measure, POEM) constituait un autre critère dévaluation secondaire.
  • +L'efficacité et la sécurité du lébrikizumab en monothérapie (ADvocate 1, ADvocate 2) et en association avec un CST (ADhere) ont été évaluées dans trois études pivot randomisées en double aveugle, contrôlées contre placebo chez 1062 adultes et adolescents (âgés de 12 à 17 ans et pesant ≥40 kg) atteints de dermatite atopique modérée à sévère, définie par un score d'indice de surface et de sévérité de l'eczéma (Eczema Area and Severity Index, EASI) ≥16, un score d'évaluation globale par l'investigateur (Investigator's Global Assessment, IGA) ≥3 et une surface corporelle atteinte (Body Surface Area, BSA) ≥10%. Les patients inclus dans les trois études présentaient auparavant une réponse insuffisante au traitement par voie topique ou bien les traitements par voie topique ne leur étaient pas médicalement recommandés (ce dernier critère ne s'appliquait pas à l'étude ADhere).
  • +Dans les trois études, les patients ont reçu une dose initiale de 500 mg de lébrikizumab (deux injections de 250 mg) aux semaines 0 et 2, puis 250 mg toutes les deux semaines (Q2S) jusqu'à la semaine 16 ou un placebo équivalent selon un rapport de 2:1. Dans ADhere, les patients de l'étude ont également reçu un CST de puissance faible à modérée ou un ICT concomitant sur les lésions actives. Les patients étaient autorisés à recevoir un traitement de secours selon l'appréciation de l'investigateur pour contrôler les symptômes intolérables de la dermatite atopique. Les patients nécessitant un traitement de secours systémique ont arrêté le traitement à l'étude.
  • +Les patients ayant obtenu un score IGA de 0 ou 1 ou une réduction d'au moins 75% de la réponse EASI (EASI 75) sans avoir reçu de traitement de secours étaient randomisés à nouveau en aveugle pour recevoir (i) du lébrikizumab 250 mg toutes les 2 semaines (Q2S), (ii) du lébrikizumab 250 mg toutes les 4 semaines (Q4S) ou (iii) un placebo pendant 52 semaines.
  • +Dans les études ADvocate 1 et ADvocate 2, après avoir terminé l'étude de 52 semaines, et dans l'étude ADhere, après avoir terminé l'étude de 16 semaines, les patients avaient la possibilité de poursuivre le traitement dans une étude distincte d'extension à long terme (ADjoin).
  • +Critères d'évaluation
  • +Dans les trois études, les co-critères d'évaluation primaires étaient le pourcentage de patients présentant un score IGA 0 ou 1 («sans lésion» ou «lésion minime») avec une réduction de ≥2 points par rapport à l'inclusion, et le pourcentage de patients présentant une réduction d'au moins 75% du score EASI (EASI 75) entre l'inclusion et la semaine 16. Les critères d'évaluation secondaires majeurs comprenaient le pourcentage de patients ayant obtenu une réduction d'au moins 90% du score EASI (EASI 90), le pourcentage de patients avec une amélioration par rapport à l'inclusion d'au moins 4 points sur l'échelle d'évaluation numérique de prurit (Pruritus Numerical Rating Scale, Pruritus NRS), le pourcentage de patients avec une amélioration par rapport à l'inclusion d'au moins 4 points sur l'indice de qualité de vie en dermatologie (Dermatology Life Quality Index, DLQI) et l'impact des démangeaisons sur le sommeil (échelle de perte de sommeil). La variation par rapport à l'inclusion du score de mesure de l'eczéma par le patient (Patient Oriented Eczema Measure, POEM) constituait un autre critère d'évaluation secondaire.
  • -Caractéristiques à linclusion
  • +Caractéristiques à l'inclusion
  • -Tableau 2. Données démographiques et caractéristiques à linclusion par étude
  • +Tableau 2. Données démographiques et caractéristiques à l'inclusion par étude
  • -Études en monothérapie (ADvocate 1 et ADvocate 2) – phase dinduction, semaine 0 à 16
  • -Dans létude ADvocate 1 et ADvocate 2, un pourcentage significativement plus élevé de patients du groupe lébrikizumab 250 mg Q2S ont obtenu un score IGA 0 ou 1, avec une amélioration ≥2 points par rapport à linclusion, une réponse EASI 75, une réponse EASI 90 et une amélioration de ≥4 points sur le score NRS du prurit à la semaine 16 par rapport au placebo (voir tableau 3).
  • -Tableau 3. Résultats defficacité du lébrikizumab en monothérapie à la semaine 16 dans les études ADvocate 1 et ADvocate 2
  • +Études en monothérapie (ADvocate 1 et ADvocate 2) – phase d'induction, semaine 0 à 16
  • +Dans l'étude ADvocate 1 et ADvocate 2, un pourcentage significativement plus élevé de patients du groupe lébrikizumab 250 mg Q2S ont obtenu un score IGA 0 ou 1, avec une amélioration ≥2 points par rapport à l'inclusion, une réponse EASI 75, une réponse EASI 90 et une amélioration de ≥4 points sur le score NRS du prurit à la semaine 16 par rapport au placebo (voir tableau 3).
  • +Tableau 3. Résultats d'efficacité du lébrikizumab en monothérapie à la semaine 16 dans les études ADvocate 1 et ADvocate 2
  • - Placebo N = 141 LEB 250 mg Q2S N = 283 Placebo N = 146 LEB 250 mg Q2S N = 281
  • + Placebo N = 141 LEB 250 mg Q2S N = 283 Placebo N = 146 LEB 250 mg Q2S N = 281
  • -a Patients présentant un score IGA de 0 ou 1 («sans lésion» ou «lésion minime») avec une réduction >2 points par rapport à linclusion sur une échelle IGA de 0 à 4
  • -b Patients présentant une réduction de 75% ou 90% de la réponse EASI entre linclusion et la semaine 16.
  • -c Le pourcentage est calculé par rapport au nombre de patients présentant un score NRS de prurit à linclusion dans létude ≥4.
  • +a Patients présentant un score IGA de 0 ou 1 («sans lésion» ou «lésion minime») avec une réduction >2 points par rapport à l'inclusion sur une échelle IGA de 0 à 4
  • +b Patients présentant une réduction de 75% ou 90% de la réponse EASI entre l'inclusion et la semaine 16.
  • +c Le pourcentage est calculé par rapport au nombre de patients présentant un score NRS de prurit à l'inclusion dans l'étude ≥4.
  • -La figure 1 et la figure 2 montrent le pourcentage de variation moyenne de la réponse EASI et du score NRS du prurit entre linclusion et la semaine 16.
  • -Figure 1. Pourcentage de variation moyenne de la réponse EASI entre linclusion et la semaine 16 dans les études ADvocate 1 et 2 Figure 2. Pourcentage de variation moyenne du score NRS du prurit entre linclusion et la semaine 16 dans les études ADvocate 1 et 2
  • +La figure 1 et la figure 2 montrent le pourcentage de variation moyenne de la réponse EASI et du score NRS du prurit entre l'inclusion et la semaine 16.
  • +Figure 1. Pourcentage de variation moyenne de la réponse EASI entre l'inclusion et la semaine 16 dans les études ADvocate 1 et 2 Figure 2. Pourcentage de variation moyenne du score NRS du prurit entre l'inclusion et la semaine 16 dans les études ADvocate 1 et 2
  • -Les effets du traitement dans les sous-groupes (poids, âge, sexe, origine ethnique, sévérité de la maladie et utilisation antérieure de traitements systémiques) dans les études ADvocate 1 et ADvocate 2 étaient conformes aux résultats de lensemble de la population de létude pendant la phase dinduction.
  • -Études en monothérapie (ADvocate 1 et ADvocate 2) – Période dentretien, semaines 16 à 52
  • -Pour évaluer le maintien de la réponse, 157 patients de létude ADvocate 1 et 134 patients de létude ADvocate 2, traités par le lébrikizumab 250 mg Q2S et ayant atteint un score IGA de 0 ou 1 ou une réponse EASI 75 à la semaine 16 sans traitement de secours topique ou systémique, ont été randomisés une nouvelle fois en aveugle selon un rapport de 2:2:1. Les patients ont reçu en aveugle pendant 36 semaines supplémentaires soit (i) du lébrikizumab 250 mg Q2S, soit (ii) du lébrikizumab 250 mg Q4S, soit (iii) un placebo. La durée totale de létude était de 52 semaines (voir tableau 4).
  • -Tableau 4. Résultats defficacité du lébrikizumab en monothérapie à la semaine 52 chez les patients répondant au traitement à la semaine 16 dans les études ADvocate 1 et ADvocate 2 (analyse groupée)
  • +Les effets du traitement dans les sous-groupes (poids, âge, sexe, origine ethnique, sévérité de la maladie et utilisation antérieure de traitements systémiques) dans les études ADvocate 1 et ADvocate 2 étaient conformes aux résultats de l'ensemble de la population de l'étude pendant la phase d'induction.
  • +Études en monothérapie (ADvocate 1 et ADvocate 2) – Période d'entretien, semaines 16 à 52
  • +Pour évaluer le maintien de la réponse, 157 patients de l'étude ADvocate 1 et 134 patients de l'étude ADvocate 2, traités par le lébrikizumab 250 mg Q2S et ayant atteint un score IGA de 0 ou 1 ou une réponse EASI 75 à la semaine 16 sans traitement de secours topique ou systémique, ont été randomisés une nouvelle fois en aveugle selon un rapport de 2:2:1. Les patients ont reçu en aveugle pendant 36 semaines supplémentaires soit (i) du lébrikizumab 250 mg Q2S, soit (ii) du lébrikizumab 250 mg Q4S, soit (iii) un placebo. La durée totale de l'étude était de 52 semaines (voir tableau 4).
  • +Tableau 4. Résultats d'efficacité du lébrikizumab en monothérapie à la semaine 52 chez les patients répondant au traitement à la semaine 16 dans les études ADvocate 1 et ADvocate 2 (analyse groupée)
  • -a Patients présentant un score IGA 0/1 avec une amélioration ≥2 points par rapport à linclusion à la semaine 16, qui présentaient toujours un score IGA 0/1 avec une amélioration ≥2 points à la semaine 52.
  • +a Patients présentant un score IGA 0/1 avec une amélioration ≥2 points par rapport à l'inclusion à la semaine 16, qui présentaient toujours un score IGA 0/1 avec une amélioration ≥2 points à la semaine 52.
  • -c Le pourcentage est calculé par rapport au nombre de patients présentant un score NRS de prurit à linclusion dans létude ≥4.
  • +c Le pourcentage est calculé par rapport au nombre de patients présentant un score NRS de prurit à l'inclusion dans l'étude ≥4.
  • -Dans létude ADhere, entre linclusion et la semaine 16, un pourcentage significativement plus élevé de patients randomisés dans le groupe lébrikizumab 250 mg Q2S + CST a obtenu un score IGA de 0 ou 1, une réponse EASI 75 et des améliorations ≥4 points du score NRS de prurit, par rapport aux patients recevant le placebo + CST (voir tableau 5).
  • -Tableau 5. Résultats defficacité du traitement concomitant avec lébrikizumab et CST à la semaine 16 dans létude ADhere
  • +Dans l'étude ADhere, entre l'inclusion et la semaine 16, un pourcentage significativement plus élevé de patients randomisés dans le groupe lébrikizumab 250 mg Q2S + CST a obtenu un score IGA de 0 ou 1, une réponse EASI 75 et des améliorations ≥4 points du score NRS de prurit, par rapport aux patients recevant le placebo + CST (voir tableau 5).
  • +Tableau 5. Résultats d'efficacité du traitement concomitant avec lébrikizumab et CST à la semaine 16 dans l'étude ADhere
  • - Placebo + CST N = 66 LEB 250 mg Q2S + CST N = 145
  • + Placebo + CST N = 66 LEB 250 mg Q2S + CST N = 145
  • -b Patients présentant une réduction de lEASI de 75% ou 90% entre la référence et la semaine 16.
  • +b Patients présentant une réduction de l'EASI de 75% ou 90% entre la référence et la semaine 16.
  • -Dans létude ADhere, les patients ayant reçu 250 mg de lébrikizumab Q2S + CTS de la semaine 0 à la semaine 16 ont moins souvent eu recours au CTS que ceux ayant reçu un placebo + CST (1,4% respectivement 4,5%).
  • -La figure 3 et la figure 4 montrent le pourcentage de variation moyenne du score EASI par rapport à la valeur initiale et le pourcentage de variation moyenne du score NRS du prurit par rapport à la valeur initiale jusquà la semaine 16.
  • -Figure 3. Pourcentage de variation moyenne des moindres carrés du score EASI par rapport à la valeur initiale de létude ADhere Figure 4. Pourcentage de variation moyenne des moindres carrés du score NRS du prurit par rapport à la valeur initiale de létude ADhere
  • +Dans l'étude ADhere, les patients ayant reçu 250 mg de lébrikizumab Q2S + CTS de la semaine 0 à la semaine 16 ont moins souvent eu recours au CTS que ceux ayant reçu un placebo + CST (1,4% respectivement 4,5%).
  • +La figure 3 et la figure 4 montrent le pourcentage de variation moyenne du score EASI par rapport à la valeur initiale et le pourcentage de variation moyenne du score NRS du prurit par rapport à la valeur initiale jusqu'à la semaine 16.
  • +Figure 3. Pourcentage de variation moyenne des moindres carrés du score EASI par rapport à la valeur initiale de l'étude ADhere Figure 4. Pourcentage de variation moyenne des moindres carrés du score NRS du prurit par rapport à la valeur initiale de l'étude ADhere
  • -Dans létude ADhere, les effets du traitement dans les sous-groupes (poids, âge, sexe, origine ethnique, degré de gravité de la maladie et utilisation préalable de traitements systémiques) étaient conformes aux résultats de lensemble de la population étudiée.
  • -Les patients qui étaient répondeurs à la semaine 16 dans létude ADhere et qui sont entrés dans létude ADjoin étaient traités soit par lébrikizumab 250 mg Q2S, soit par lébrikizumab 250 mg Q4S et ont maintenu leurs réponses jusquà 56 semaines (75,4% respectivement 86,8% pour un score IGA de 0 ou 1 et 85,6% respectivement 81,2% pour la réponse EASI 75).
  • +Dans l'étude ADhere, les effets du traitement dans les sous-groupes (poids, âge, sexe, origine ethnique, degré de gravité de la maladie et utilisation préalable de traitements systémiques) étaient conformes aux résultats de l'ensemble de la population étudiée.
  • +Les patients qui étaient répondeurs à la semaine 16 dans l'étude ADhere et qui sont entrés dans l'étude ADjoin étaient traités soit par lébrikizumab 250 mg Q2S, soit par lébrikizumab 250 mg Q4S et ont maintenu leurs réponses jusqu'à 56 semaines (75,4% respectivement 86,8% pour un score IGA de 0 ou 1 et 85,6% respectivement 81,2% pour la réponse EASI 75).
  • -Dans les deux études en monothérapie (ADvocate 1 et ADvocate 2), le lébrikizumab 250 mg Q2S a amélioré de manière significative les résultats rapportés par les patients en termes degré de sévérité de la maladie (POEM), de limpact des démangeaisons sur le sommeil (échelle de perte de sommeil) et de la qualité de vie liée à la santé (DLQI) à la semaine 16 par rapport au placebo. Une proportion significativement plus importante de patients traités par le lébrikizumab ont présenté des améliorations cliniquement significatives du DLQI (défini comme une réduction de ≥4 points par rapport à la référence), du POEM et de léchelle de perte de sommeil de la référence à la semaine 16 par rapport au groupe placebo (voir tableau 6).
  • -Dans létude CST (ADhere), le lébrikizumab 250 mg Q2S + CST a amélioré limpact des démangeaisons sur le sommeil (échelle de perte de sommeil), le degré de sévérité de la maladie (POEM) rapporté par le patient et la qualité de vie liée à la santé (DLQI) à la semaine 16 par rapport au placebo + CST (voir tableau 6).
  • -Tableau 6. Résultats rapportés par le patient (résultats de la qualité de vie liés à la santé) du lébrikizumab en monothérapie à la semaine 16 dans létude ADvocate 1 et ADvocate 2 ou avec traitement concomitant par CST à la semaine 16 dans létude ADhere
  • +Dans les deux études en monothérapie (ADvocate 1 et ADvocate 2), le lébrikizumab 250 mg Q2S a amélioré de manière significative les résultats rapportés par les patients en termes degré de sévérité de la maladie (POEM), de l'impact des démangeaisons sur le sommeil (échelle de perte de sommeil) et de la qualité de vie liée à la santé (DLQI) à la semaine 16 par rapport au placebo. Une proportion significativement plus importante de patients traités par le lébrikizumab ont présenté des améliorations cliniquement significatives du DLQI (défini comme une réduction de ≥4 points par rapport à la référence), du POEM et de l'échelle de perte de sommeil de la référence à la semaine 16 par rapport au groupe placebo (voir tableau 6).
  • +Dans l'étude CST (ADhere), le lébrikizumab 250 mg Q2S + CST a amélioré l'impact des démangeaisons sur le sommeil (échelle de perte de sommeil), le degré de sévérité de la maladie (POEM) rapporté par le patient et la qualité de vie liée à la santé (DLQI) à la semaine 16 par rapport au placebo + CST (voir tableau 6).
  • +Tableau 6. Résultats rapportés par le patient (résultats de la qualité de vie liés à la santé) du lébrikizumab en monothérapie à la semaine 16 dans l'étude ADvocate 1 et ADvocate 2 ou avec traitement concomitant par CST à la semaine 16 dans l'étude ADhere
  • - Placebo N = 141 LEB 250 mg Q2S N = 283 Placebo N = 146 LEB 250 mg Q2S N = 281 Placebo + CST N = 66 LEB 250 mg Q2S + CST N = 145
  • + Placebo N = 141 LEB 250 mg Q2S N = 283 Placebo N = 146 LEB 250 mg Q2S N = 281 Placebo + CST N = 66 LEB 250 mg Q2S + CST N = 145
  • -POEM; variation de la moyenne des LS par rapport à linclusion (± ET) -3,9 (± 0,72) -11,3** (± 0,47) -3,5 (± 0,77) -9,5** (± 0,52) -6,24 (± 1,04) -10,23** (± 0,73)
  • +POEM; variation de la moyenne des LS par rapport à l'inclusion (± ET) -3,9 (± 0,72) -11,3** (± 0,47) -3,5 (± 0,77) -9,5** (± 0,52) -6,24 (± 1,04) -10,23** (± 0,73)
  • -a Participants avec DLQI ≥4 points par rapport à linclusion
  • -b Participants avec ≥2 points dans léchelle de perte de sommeil par rapport à linclusion
  • +a Participants avec DLQI ≥4 points par rapport à l'inclusion
  • +b Participants avec ≥2 points dans l'échelle de perte de sommeil par rapport à l'inclusion
  • -Dans les études en monothérapie ADvocate 1 et ADvocate 2, lâge moyen des patients adolescents était de 14,6 ans, le poids moyen de 68,2 kg et de 56,9% étaient des jeunes filles. Dans ces études, 63,7% avaient un score IGA initial de 3 (dermatite atopique modérée), 36,3% avaient un score IGA initial (à linclusion) de 4 (dermatite atopique sévère) et 47,1% avaient déjà reçu un traitement systémique. Dans létude avec traitement concomitant par CST (ADhere), lâge moyen des patients adolescents était de 14,6 ans, le poids moyen de 62,2 kg et 50,0% étaient des jeunes filles. Dans cette étude, 76,1% avaient un score IGA initial de 3 (dermatite atopique modérée), 23,9% un score IGA initial de 4 (dermatite atopique sévère) et 23,9% avaient déjà reçu un traitement systémique.
  • -Les résultats defficacité à la semaine 16 chez les patients adolescents sont présentés dans le tableau 7.
  • -Tableau 7. Résultats defficacité du lébrikizumab en monothérapie dans les études ADvocate 1, ADvocate 2 et du lébrikizumab associé à un CST dans létude ADhere à la semaine 16 chez les patients adolescents
  • +Dans les études en monothérapie ADvocate 1 et ADvocate 2, l'âge moyen des patients adolescents était de 14,6 ans, le poids moyen de 68,2 kg et de 56,9% étaient des jeunes filles. Dans ces études, 63,7% avaient un score IGA initial de 3 (dermatite atopique modérée), 36,3% avaient un score IGA initial (à l'inclusion) de 4 (dermatite atopique sévère) et 47,1% avaient déjà reçu un traitement systémique. Dans l'étude avec traitement concomitant par CST (ADhere), l'âge moyen des patients adolescents était de 14,6 ans, le poids moyen de 62,2 kg et 50,0% étaient des jeunes filles. Dans cette étude, 76,1% avaient un score IGA initial de 3 (dermatite atopique modérée), 23,9% un score IGA initial de 4 (dermatite atopique sévère) et 23,9% avaient déjà reçu un traitement systémique.
  • +Les résultats d'efficacité à la semaine 16 chez les patients adolescents sont présentés dans le tableau 7.
  • +Tableau 7. Résultats d'efficacité du lébrikizumab en monothérapie dans les études ADvocate 1, ADvocate 2 et du lébrikizumab associé à un CST dans l'étude ADhere à la semaine 16 chez les patients adolescents
  • - Placebo N = 18 LEB 250 mg Q2S N = 37 Placebo N = 17 LEB 250 mg Q2S N = 30 Placebo + CST N = 14 LEB 250 mg Q2S + CST N = 32
  • + Placebo N = 18 LEB 250 mg Q2S N = 37 Placebo N = 17 LEB 250 mg Q2S N = 30 Placebo + CST N = 14 LEB 250 mg Q2S + CST N = 32
  • -aÀ la semaine 16, les patients présentant un score IGA de 0 à 1 («sans lésion» ou «lésion minime») avec une réduction ≥2 points par rapport à linclusion sur une échelle IGA de 0 à 4 ou une réduction de 75% ou 90% de la réponse EASI entre linclusion et la semaine 16. b Le pourcentage est calculé par rapport au nombre de patients présentant un score NRS du prurit à linclusion ≥4. *p<0,05; **p<0,01 par rapport au placebo.
  • +aÀ la semaine 16, les patients présentant un score IGA de 0 à 1 («sans lésion» ou «lésion minime») avec une réduction ≥2 points par rapport à l'inclusion sur une échelle IGA de 0 à 4 ou une réduction de 75% ou 90% de la réponse EASI entre l'inclusion et la semaine 16. b Le pourcentage est calculé par rapport au nombre de patients présentant un score NRS du prurit à l'inclusion ≥4. *p<0,05; **p<0,01 par rapport au placebo.
  • -Les patients adolescents traités par lébrikizumab ou lébrikizumab + CST ont obtenu des améliorations cliniquement significatives de la sévérité de la maladie et ont maintenu une réponse jusquà la semaine 52. Des données supplémentaires issues de létude ADore à bras unique portant sur le lébrikizumab chez 206 adolescents confirment lefficacité du lébrikizumab chez les patients adolescents jusquà 52 semaines de traitement.
  • +Les patients adolescents traités par lébrikizumab ou lébrikizumab + CST ont obtenu des améliorations cliniquement significatives de la sévérité de la maladie et ont maintenu une réponse jusqu'à la semaine 52. Des données supplémentaires issues de l'étude ADore à bras unique portant sur le lébrikizumab chez 206 adolescents confirment l'efficacité du lébrikizumab chez les patients adolescents jusqu'à 52 semaines de traitement.
  • -Après injection sous-cutanée de 250 mg de lébrikizumab, les concentrations sériques maximales étaient atteintes environ 7 à 8 jours après ladministration.
  • -Après les doses de charge de 500 mg de la semaine 0 et de la semaine 2, les concentrations sériques à létat déquilibre ont été atteintes avec la première dose de 250 mg Q2S à la semaine 4.
  • -Daprès une analyse pharmacocinétique (PK) de population, les concentrations minimales à létat déquilibre (Cmin,éq) prévues après une administration sous-cutanée de 250 mg de lébrikizumab Q2S et Q4S chez des patients atteints de dermatite atopique (médiane et 5e-95e percentile) ) étaient respectivement de 87 (46-159) µg/ml et 36 (18-68) µg/ml.
  • -La biodisponibilité absolue a été estimée à 86 % daprès une analyse de pharmacocinétique de population. Lemplacement du site dinjection navait pas dinfluence significative sur labsorption du lébrikizumab.
  • +Après injection sous-cutanée de 250 mg de lébrikizumab, les concentrations sériques maximales étaient atteintes environ 7 à 8 jours après l'administration.
  • +Après les doses de charge de 500 mg de la semaine 0 et de la semaine 2, les concentrations sériques à l'état d'équilibre ont été atteintes avec la première dose de 250 mg Q2S à la semaine 4.
  • +D'après une analyse pharmacocinétique (PK) de population, les concentrations minimales à l'état d'équilibre (Cmin,éq) prévues après une administration sous-cutanée de 250 mg de lébrikizumab Q2S et Q4S chez des patients atteints de dermatite atopique (médiane et 5e-95e percentile) ) étaient respectivement de 87 (46-159) µg/ml et 36 (18-68) µg/ml.
  • +La biodisponibilité absolue a été estimée à 86 % d'après une analyse de pharmacocinétique de population. L'emplacement du site d'injection n'avait pas d'influence significative sur l'absorption du lébrikizumab.
  • -Daprès une analyse de pharmacocinétique de population, le volume de distribution total à létat déquilibre était de 5,14 l.
  • +D'après une analyse de pharmacocinétique de population, le volume de distribution total à l'état d'équilibre était de 5,14 l.
  • -Aucune étude spécifique du métabolisme na été menée car le lébrikizumab est une protéine. Il est attendu que le lébrikizumab se dégrade en petits peptides et en acides aminés individuels par des voies cataboliques de la même manière que les IgG endogènes.
  • +Aucune étude spécifique du métabolisme n'a été menée car le lébrikizumab est une protéine. Il est attendu que le lébrikizumab se dégrade en petits peptides et en acides aminés individuels par des voies cataboliques de la même manière que les IgG endogènes.
  • -Dans lanalyse de pharmacocinétique de population, la clairance était de 0,154 l/jour et était indépendante de la dose. La demi-vie délimination moyenne était denviron 24,5 jours.
  • +Dans l'analyse de pharmacocinétique de population, la clairance était de 0,154 l/jour et était indépendante de la dose. La demi-vie d'élimination moyenne était d'environ 24,5 jours.
  • -Le lébrikizumab a présenté une pharmacocinétique linéaire avec une augmentation de lexposition proportionnelle à la dose sur un intervalle de doses allant de 37,5 à 500 mg administrées par injection sous-cutanée chez des patients atteints de DA ou chez des volontaires sains.
  • +Le lébrikizumab a présenté une pharmacocinétique linéaire avec une augmentation de l'exposition proportionnelle à la dose sur un intervalle de doses allant de 37,5 à 500 mg administrées par injection sous-cutanée chez des patients atteints de DA ou chez des volontaires sains.
  • -Le sexe, lâge (de 12 à 93 ans) et lorigine ethnique (64% de Caucasiens, 15% de Noirs/Afro-Américains, 16% dAsiatiques et 6% dautres) nont pas eu deffet significative sur la pharmacocinétique du lébrikizumab.
  • +Le sexe, l'âge (de 12 à 93 ans) et l'origine ethnique (64% de Caucasiens, 15% de Noirs/Afro-Américains, 16% d'Asiatiques et 6% d'autres) n'ont pas eu d'effet significative sur la pharmacocinétique du lébrikizumab.
  • -Aucune étude spécifique de pharmacologie clinique na été menée pour évaluer leffet dune insuffisance hépatique ou rénale sur la pharmacocinétique du lébrikizumab. Le lébrikizumab, en tant quanticorps monoclonal, ne devrait pas faire lobjet dune élimination hépatique ou rénale significative. Les analyses de pharmacocinétique de population ont inclus 54 (3%) sujets présentant des enzymes hépatiques élevées ALT ou AST ≥1,5 x ULN au début de l'étude, et 347 (22%) sujets présentant une fonction rénale réduite (taux de filtration glomérulaire entre 30 et 89 ml/min) au début de l'étude. Les analyses de pharmacocinétique de population montrent que les marqueurs de la fonction hépatique ou rénale nimpactent pas la pharmacocinétique du lébrikizumab.
  • +Aucune étude spécifique de pharmacologie clinique n'a été menée pour évaluer l'effet d'une insuffisance hépatique ou rénale sur la pharmacocinétique du lébrikizumab. Le lébrikizumab, en tant qu'anticorps monoclonal, ne devrait pas faire l'objet d'une élimination hépatique ou rénale significative. Les analyses de pharmacocinétique de population ont inclus 54 (3%) sujets avec un taux d'enzymes hépatiques alanine aminotransférase (ALAT) ou aspartate aminotransférase (ASAT) élevé ≥1,5 x LSN au début de l'étude, et 347 (22%) sujets présentant une fonction rénale réduite (taux de filtration glomérulaire entre 30 et 89 ml/min) au début de l'étude. Les analyses de pharmacocinétique de population montrent que les marqueurs de la fonction hépatique ou rénale n'impactent pas la pharmacocinétique du lébrikizumab.
  • -Lexposition au lébrikizumab était inférieure chez les 10% de patients ayant un poids corporel plus élevé (>100 kg).
  • +L'exposition au lébrikizumab était inférieure chez les 10% de patients ayant un poids corporel plus élevé (>100 kg).
  • -Daprès lanalyse de pharmacocinétique de population, les adolescents âgés de 12 à 17 ans atteints de dermatite atopique présentaient des concentrations sériques minimales de lébrikizumab légèrement plus élevées que les adultes, ce qui était lié à leur distribution de poids corporel plus faible.
  • +D'après l'analyse de pharmacocinétique de population, les adolescents âgés de 12 à 17 ans atteints de dermatite atopique présentaient des concentrations sériques minimales de lébrikizumab légèrement plus élevées que les adultes, ce qui était lié à leur distribution de poids corporel plus faible.
  • -Les données précliniques issues des études conventionnelles de toxicité en administration répétée (y compris les critères de pharmacologie de sécurité) et de toxicité sur la reproduction et le développement nont pas révélé de risque particulier pour lhomme.
  • +Les données précliniques issues des études conventionnelles de toxicité en administration répétée (y compris les critères de pharmacologie de sécurité) et de toxicité sur la reproduction et le développement n'ont pas révélé de risque particulier pour l'homme.
  • -Le potentiel mutagène du lébrikizumab na pas été évalué; cependant, il nest pas anticipé que les anticorps monoclonaux altèrent lADN ou les chromosomes.
  • +Le potentiel mutagène du lébrikizumab n'a pas été évalué; cependant, il n'est pas anticipé que les anticorps monoclonaux altèrent l'ADN ou les chromosomes.
  • -Aucune étude de carcinogénicité na été menée avec le lébrikizumab. Lévaluation des preuves disponibles liées à linhibition de lIL-13 et aux données de toxicologie animale avec le lébrikizumab ne suggère pas de potentiel carcinogène pour le lébrikizumab.
  • +Aucune étude de carcinogénicité n'a été menée avec le lébrikizumab. L'évaluation des preuves disponibles liées à l'inhibition de l'IL-13 et aux données de toxicologie animale avec le lébrikizumab ne suggère pas de potentiel carcinogène pour le lébrikizumab.
  • -En labsence détudes de compatibilité, ce médicament ne doit pas être mélangé à dautres médicaments.
  • +En l'absence d'études de compatibilité, ce médicament ne doit pas être mélangé à d'autres médicaments.
  • -Ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur lemballage.
  • +Ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • -Conserver dans lemballage dorigine pour le protéger de la lumière.
  • +Conserver dans l'emballage d'origine pour le protéger de la lumière.
  • -Une fois hors du réfrigérateur, ne pas conserver Ebglyss au-dessus de 30°C et lutiliser ou léliminer dans les 7 jours. Ne pas remettre au réfrigérateur après lavoir conservé hors du réfrigérateur.
  • +Une fois hors du réfrigérateur, ne pas conserver Ebglyss au-dessus de 30°C et l'utiliser ou l'éliminer dans les 7 jours. Ne pas remettre au réfrigérateur après l'avoir conservé hors du réfrigérateur.
  • -Les instructions détaillées pour la préparation et ladministration dEbglyss en seringue préremplie ou en stylo prérempli sont indiquées à la fin de la notice.
  • +Les instructions détaillées pour la préparation et l'administration d'Ebglyss en seringue préremplie ou en stylo prérempli sont indiquées à la fin de la notice.
  • -Avant linjection dEbglyss, retirer la seringue préremplie ou le stylo prérempli de 250 mg du réfrigérateur et la/le laisser à température ambiante pendant 45 minutes.
  • +Avant l'injection d'Ebglyss, retirer la seringue préremplie ou le stylo prérempli de 250 mg du réfrigérateur et la/le laisser à température ambiante pendant 45 minutes.
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