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-Des effets indésirables oculaires (termes groupés) sont survenus chez 59 % (405/682) des patientes présentant un CEO traitées par le mirvétuximab soravtansine. Les effets indésirables oculaires les plus fréquents (≥5 %) étaient la vision floue (48 %), la kératopathie (36 %), la sécheresse oculaire (27 %), la cataracte (16 %), la photophobie (14 %) et la douleur oculaire (10 %). Onze pour cent (11 %) des patientes ont présenté des effets indésirables oculaires de grade 3 et moins de 1 % des patientes des événements de grade 4. Les effets indésirables oculaires de grade ≥3 les plus fréquents étaient: vision trouble et kératopathie (5 % chacun, termes groupés) et cataracte (4 %).
- +Des effets indésirables oculaires (termes groupés) sont survenus chez 59 % (405/682) des patientes présentant un cancer épithélial de l’ovaire traitées par le mirvétuximab soravtansine. Les effets indésirables oculaires les plus fréquents (≥5 %) étaient la vision floue (48 %), la kératopathie (36 %), la sécheresse oculaire (27 %), la cataracte (16 %), la photophobie (14 %) et la douleur oculaire (10 %). Onze pour cent (11 %) des patientes ont présenté des effets indésirables oculaires de grade 3 et moins de 1 % des patientes des événements de grade 4. Les effets indésirables oculaires de grade ≥3 les plus fréquents étaient: vision trouble et kératopathie (5 % chacun, termes groupés) et cataracte (4 %).
-Une pneumopathie inflammatoire (termes groupés) est survenue chez 10 % des patientes présentant un CEO traitées par le mirvétuximab soravtansine, dont des événements de grade 3 chez 0,9 % des patientes (6/682) et un événement de grade 4 chez 0,2 % des patientes (1/682). Deux patientes (0,3 %) sont décédées des suites d'une insuffisance respiratoire. Une patiente (0,2 %) est décédée d'une insuffisance respiratoire dans le contexte d'une pneumopathie inflammatoire de grade 1 et de métastases pulmonaires confirmées lors de l'autopsie. Une patiente (0,2 %) est décédée d'une insuffisance respiratoire d'étiologie inconnue sans présence d'une pneumopathie inflammatoire concomitante.
- +Une pneumopathie inflammatoire (termes groupés) est survenue chez 10 % des patientes présentant un cancer épithélial de l’ovaire traitées par le mirvétuximab soravtansine, dont des événements de grade 3 chez 0,9 % des patientes (6/682) et un événement de grade 4 chez 0,2 % des patientes (1/682). Deux patientes (0,3 %) sont décédées des suites d'une insuffisance respiratoire. Une patiente (0,2 %) est décédée d'une insuffisance respiratoire dans le contexte d'une pneumopathie inflammatoire de grade 1 et de métastases pulmonaires confirmées lors de l'autopsie. Une patiente (0,2 %) est décédée d'une insuffisance respiratoire d'étiologie inconnue sans présence d'une pneumopathie inflammatoire concomitante.
-Une neuropathie périphérique (termes groupés) est survenue chez 36 % des patientes présentant un CEO traitées par le mirvétuximab soravtansine dans les études cliniques; la neuropathie périphérique était de grade 3 chez 3 % des patientes. Les effets secondaires de la neuropathie périphérique incluent la neuropathie périphérique (20 %), la neuropathie périphérique sensorielle (9 %), la paresthésie (6 %), la neurotoxicité (3 %), l'hypoesthésie (1 %), la neuropathie motrice périphérique (0,9 %), la polyneuropathie (0,3 %) et la neuropathie sensorimotrice périphérique (0,1 %).
- +Une neuropathie périphérique (termes groupés) est survenue chez 36 % des patientes présentant un cancer épithélial de l’ovaire traitées par le mirvétuximab soravtansine dans les études cliniques; la neuropathie périphérique était de grade 3 chez 3 % des patientes. Les effets secondaires de la neuropathie périphérique incluent la neuropathie périphérique (20 %), la neuropathie périphérique sensorielle (9 %), la paresthésie (6 %), la neurotoxicité (3 %), l'hypoesthésie (1 %), la neuropathie motrice périphérique (0,9 %), la polyneuropathie (0,3 %) et la neuropathie sensorimotrice périphérique (0,1 %).
-La maladie résistante aux sels de platine était définie comme un CEO ayant récidivé dans les six mois suivant la dernière administration de platine.
- +La maladie résistante aux sels de platine était définie comme un cancer épithélial de l’ovaire ayant récidivé dans les six mois suivant la dernière administration de platine.
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