Données précliniquesAucune étude toxicologique portant sur la combinaison des principes actifs tels que ceux contenus dans inhalant n’a encore été réalisée.
Chez des rats, l’administration orale d’huile essentielle d’eucalyptus (dont le cinéol est le composant principal) a provoqué une dépression des fonctions vitales et un coma. Dans des études de toxicité de 4 semaines sur des rats et des souris, aucune toxicité cumulative spécifique au niveau organique n’a été constatée aux doses orales allant jusqu’à 1200 mg de cinéol par kg de poids corporel et par jour.
Potentiel mutagène et cancérogène
Les études in vitro réalisées à ce jour sur la toxicologie génétique n’ont fourni aucun indice significatif d’un potentiel mutagène du camphre ou du lévomenthol. Les études réalisées jusqu’à présent sur la toxicologie génétique de l’huile essentielle d’eucalyptus sont restées négatives. Il n’existe pas d’études à long terme sur le potentiel cancérigène du camphre, du lévomenthol ou de l’huile essentielle d’eucalyptus.
Toxicologie de reproduction
Le camphre et le lévomenthol n’ont montré aucun effet embryotoxique ou tératogène. L’huile essentielle d’eucalyptus ne s’est pas révélée embryotoxique dans une étude menée chez la souris.
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