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Accueil - Information professionnelle sur Inovelon 100 mg - Changements - 27.11.2017
70 Changements de l'information professionelle Inovelon 100 mg
  • -Excipients:
  • -Comprimés pelliculés: Lactosum, Excip. pro compr.
  • -Suspension buvable: Propylenglycolum, Antiox.: E 307, Conserv.: Kalium sorbatum (E202), Methylum parahydroxybenzoicum et Propylum parahydroxybenzoicum (E 216, E 218), Alcohol benzylicus, Aromatica, Excip. ad suspensionem
  • +Excipients comprimés pelliculés: lactose monohydraté, cellulose microcristalline, amidon de maïs, croscarmellose sodique, hypromellose, stéarate de magnésium, laurilsulfate de sodium, silice colloïdale. Pelliculage: hypromellose, macrogol (8000), dioxyde de titane (E171), talc; Colorant: oxyde de fer rouge (E172).
  • +Excipients suspension: cellulose microcristalline (E460), carmellose sodique (E466), hydroxyéthylcellulose, acide citrique (E330), propylène glycol (E1520), émulsion de siméticone, poloxamère 188, sorbitol (E420); Conservateurs: sorbate de potassium (E202), 4-hydroxybenzoate de méthyle (E218), 4-hydroxybenzoate de propyle (E216), alcool benzylique; Arômes: arôme d'orange; eau.
  • +Chaque ml de suspension orale contient 1,2 mg de 4-hydroxybenzoate de méthyle (E218), 0,3 mg de 4-hydroxybenzoate de propyle (Ph.Eur.) (E216) et 175 mg de sorbitol (Ph.Eur.) (E420).
  • -Comprimé pelliculé à 100 mg (sécable)
  • -Comprimés roses, ovales, légèrement convexes, avec une fente sur les deux faces et «Є261» gravé sur l'une des faces, l'autre face étant non gravée.
  • -Comprimé pelliculé à 200 mg (sécable)
  • -Comprimés roses, ovales, légèrement convexes, avec une fente sur les deux faces et «Є262» gravé sur l'une des faces, l'autre face étant non gravée.
  • -Comprimé pelliculé à 400 mg (sécable)
  • -Comprimés roses, ovales, légèrement convexes, avec une fente sur les deux faces et «Є263» gravé sur l'une des faces, l'autre face étant non gravée.
  • -Suspension buvable 40 mg/ml
  • -Flacon de 460 ml. Suspension opaque, presque blanche et légèrement thixotrope (visqueuse)
  • +Inovelon 100 mg (sécable): comprimé pelliculé rose, ovale, légèrement convexe, comportant une barre de sécabilité sur les deux faces, avec «E261» gravé sur une face.
  • +Inovelon 200 mg (sécable): comprimé pelliculé rose, ovale, légèrement convexe, comportant une barre de sécabilité sur les deux faces, avec «E262» gravé sur une face.
  • +Inovelon 400 mg (sécable): comprimé pelliculé rose, ovale, légèrement convexe, comportant une barre de sécabilité sur les deux faces, avec «E263» gravé sur une face.
  • +Inovelon 40 mg/ml: suspension opaque, pratiquement blanche et légèrement visqueuse.
  • -Inovelon est indiqué comme traitement adjuvant dans des crises d'épilepsie associées au syndrome de Lennox-Gastaut chez les patients âgés de 4 ans ou plus.
  • +Inovelon est indiqué comme traitement adjuvant dans des crises d'épilepsie associées au syndrome de Lennox-Gastaut chez les patients à partir d'1 an.
  • -Inovelon est administré par voie orale. Il doit être pris deux fois par jour, le matin et le soir, en deux doses égales. Un effet de l'alimentation ayant été observé, il est préférable de prendre l'Inovelon au cours des repas (voir «Pharmacocinétique»). Prendre les comprimés pelliculés avec de l'eau. Si le patient a des difficultés pour avaler, il est possible d'écraser les comprimés pelliculés et de les prendre dans un demi-verre d'eau.
  • -Inovelon, suspension buvable doit être agité vigoureusement avant chaque prise. L'adaptateur à insérer dans le flacon (PIBA) qui est fourni dans la boîte doit être enfoncé fermement dans le goulot du flacon avant utilisation et rester en place pendant toute la durée d'utilisation du flacon. Insérer la seringue graduée dans l'adaptateur, retourner le flacon et prélever la dose. Le flacon doit être fermer après chaque utilisation. Le bouchon s'adapte correctement lorsque l'adaptateur est en place.
  • -Utilisation chez les enfants âgés de quatre ans ou plus et pesant moins de 30 kg
  • -Patients de <30 kg ne recevant pas de valproate
  • -- Comprimés pelliculés
  • -Le traitement doit être instauré à une dose journalière de 200 mg. En fonction de la réponse clinique et de la tolérance, la posologie peut être augmentée par paliers de 200 mg/jour, tous les deux jours, jusqu'à la dose maximale recommandée de 1000 mg/jour.
  • -- Suspension buvable
  • -Le traitement doit être instauré à la posologie journalière de 200 mg (5 ml de suspension buvable répartis en deux doses de 2,5 ml, une dose le matin, une dose le soir). En fonction de la réponse clinique et de la tolérance, la posologie peut être augmentée par paliers de 200 mg/ jour, tous les deux jours, jusqu'à la dose maximale recommandée de 1000 mg/jour (25 ml/jour).
  • -Patients de <30 kg traités aussi par le valproate
  • -- Comprimés pelliculés
  • -Le valproate diminuant significativement la clairance du rufinamide, il est recommandé de diminuer la dose maximale d'Inovelon chez les patients de <30 kg recevant un traitement concomitant par le valproate. Le traitement doit être instauré à la posologie journalière de 200 mg. En fonction de la réponse clinique et de la tolérance, après un intervalle de temps d'au moins deux jours, la posologie peut être augmentée de 200 mg/jour, jusqu'à la dose maximale recommandée de 600 mg/jour.
  • -- Suspension buvable
  • -Le valproate diminuant significativement la clairance du rufinamide, il est recommandé de diminuer la dose maximale d'Inovelon chez les patients de <30 kg recevant un traitement concomitant par le valproate. Le traitement doit être instauré à la posologie journalière de 200 mg. En fonction de la réponse clinique et de la tolérance, après un intervalle de temps d'au moins deux jours, la posologie peut être augmentée de 200 mg/jour, jusqu'à la dose maximale recommandée de 600 mg/jour (15 ml/jour).
  • -Utilisation chez les adultes et les enfants âgés de 4 ans ou plus et pesant 30 kg ou plus
  • -- Comprimés pelliculés
  • -Le traitement doit être instauré à la posologie journalière de 400 mg. En fonction de la réponse clinique et de la tolérance, la posologie peut être augmentée par paliers de 400 mg, tous les deux jours, jusqu'à la dose maximale recommandée indiquée dans le tableau ci-dessous.
  • -Poids corporel 30,0–50,0 kg 50,1–70,0 kg ≥70,1 kg
  • -Dose maximale recommandée (mg/jour) 1800 2400 3200
  • +Inovelon suspension orale et Inovelon comprimés pelliculés peuvent être échangés mutuellement à dose identique. Les patients doivent être surveillés pendant la phase de conversion.
  • +Posologie
  • +Utilisation chez les adultes, adolescents et enfants à partir d'1 an et pesant moins de 30 kg
  • +- Patients ne recevant pas de valproate:
  • +Le traitement doit être instauré à la posologie journalière de 10 mg/kg pour les comprimés pelliculés ou 0,25 ml/kg pour la suspension. La posologie est augmentée par paliers allant jusqu'à 10 mg/kg/jour pour les comprimés pelliculés ou 0,25 ml/kg/jour pour la suspension, tous les trois jours, jusqu'à une dose recommandée de 45 mg/kg/jour pour les comprimés pelliculés ou 1,125 ml/kg/jour pour la suspension. La dose maximale recommandée pour ces patients est de 1000 mg/jour pour les comprimés pelliculés ou 25 ml/jour pour la suspension.
  • +- Patients recevant également du valproate:
  • +Le valproate diminuant significativement la clairance du rufinamide, il est recommandé de diminuer la dose maximale d'Inovelon chez les patients recevant un traitement concomitant par le valproate. Le traitement doit être instauré à la posologie journalière de 10 mg/kg pour les comprimés pelliculés ou 0,25 ml/kg pour la suspension. La posologie est augmentée par paliers allant jusqu'à 10 mg/kg/jour pour les comprimés pelliculés ou 0,25 ml/kg/jour pour la suspension, tous les trois jours, jusqu'à une dose recommandée de 30 mg/kg/jour pour les comprimés pelliculés ou 0,75 ml/kg/jour pour la suspension. La dose maximale recommandée pour ces patients est de 600 mg/jour pour les comprimés pelliculés ou 15 ml/jour pour la suspension.
  • +Utilisation chez les adultes et adolescents pesant au moins 30 kg
  • +- Patients ne recevant pas de valproate:
  • +Le traitement doit être instauré à la posologie journalière de 20 mg/kg pour les comprimés pelliculés ou 0,5 ml/kg pour la suspension. La posologie est augmentée par paliers allant jusqu'à 20 mg/kg/jour pour les comprimés pelliculés ou 0,5 ml/kg/jour pour la suspension, tous les deux jours, jusqu'à une dose recommandée de 45 mg/kg/jour pour les comprimés pelliculés ou 1,125 ml/kg/jour pour la suspension. La dose journalière ne devrait pas dépasser la dose maximale recommandée indiquée dans le tableau suivant pour la fourchette de poids.
  • +Fourchette de poids 30,0–50,0 kg 50,1–70,0 kg ≥70,1 kg
  • +Dose maximale recommandée 1'800 mg/jour en comprimés pelliculés ou 45 ml/jour en suspension 2'400 mg/jour en comprimés pelliculés ou 60 ml/jour en suspension 3'200 mg/jour en comprimés pelliculés ou 80 ml/jour en suspension
  • -- Suspension buvable
  • -Le traitement doit être instauré à la posologie journalière de 400 mg (10 ml de suspension buvable répartis en deux doses de 5 ml). En fonction de la réponse clinique et de la tolérance, la posologie peut être augmentée par paliers de 400 mg (10 ml), tous les deux jours, jusqu'à la dose maximale recommandée indiquée dans le tableau ci-dessous.
  • -Poids corporel 30,0–50,0 kg 50,1–70,0 kg ≥70,1 kg
  • -Dose maximale recommandée 1800 mg/jour correspondant à 45 ml/jour 2400 mg/jour correspondant à 60 ml/jour 3200 mg/jour correspondant à 80 ml/jour
  • +- Patients recevant également du valproate:
  • +Le traitement doit être instauré à la posologie journalière de 20 mg/kg pour les comprimés pelliculés ou 0,5 ml/kg pour la suspension. La posologie est augmentée par paliers allant jusqu'à 20 mg/kg/jour pour les comprimés pelliculés ou 0,5 ml/kg/jour pour la suspension, tous les deux jours, jusqu'à une dose recommandée de 30 mg/kg/jour pour les comprimés pelliculés ou 0,75 ml/kg/jour pour la suspension. La dose journalière ne devrait pas dépasser la dose maximale recommandée indiquée dans le tableau suivant pour la fourchette de poids.
  • +Fourchette de poids 30,0–50,0 kg 50,1–70,0 kg ≥70,1 kg
  • +Dose maximale recommandée 1'600 mg/jour en comprimés pelliculés ou 40 ml/jour en suspension 2'000 mg/jour en comprimés pelliculés ou 50 ml/jour en suspension 2'400 mg/jour en comprimés pelliculés ou 60 ml/jour en suspension
  • +Mode d'emploi
  • +Inovelon est destiné à être pris par voie orale. Il est pris deux fois par jour, le matin et le soir, à intervalle de 12 heures, en deux doses égales. Un effet de l'alimentation ayant été observé, Inovelon doit être pris de préférence au cours des repas (voir «Pharmacocinétique»). Les comprimés pelliculés doivent être pris avec de l'eau. Si le patient a des difficultés pour avaler, il est possible d'écraser les comprimés et de les administrer avec un demi-verre d'eau.
  • +La suspension orale Inovelon doit être bien agitée avant chaque utilisation. L'adaptateur à introduire dans le flacon (adaptateur sous pression PIBA) fourni dans l'emballage doit être inséré fermement dans le goulot du flacon avant l'utilisation et rester en place pendant toute la durée d'utilisation du flacon. Le capuchon s'insère aussi de manière adéquate une fois l'adaptateur en place. La seringue de dosage est introduite dans l'adaptateur et la dose prise une fois le flacon renversé. Le capuchon doit être revissé sur le flacon après chaque utilisation.
  • +Instructions posologiques particulières
  • +Enfants
  • +L'analyse cinétique de population sur le rufinamide (voir «Pharmacocinétique») montre qu'aucune adaptation posologique en fonction de l'âge n'est nécessaire. La sécurité et l'efficacité du rufinamide chez les jeunes enfants âgés de moins d'un an n'ont pas encore été établies. Aucune donnée n'est disponible.
  • -Des études non contrôlées en ouvert laissent supposer une efficacité maintenue à long terme, bien qu'aucune étude contrôlée n'ait été conduite sur des périodes de plus trois mois.
  • -La suspension orale contenant du sorbitol, elle n'est pas adaptée aux personnes présentant une intolérance au fructose (intolérance au fructose héréditaire). Elle ne doit pas non plus être utilisée chez les personnes présentant une hypersensibilité aux parabènes (Parahydroxybenzoate de méthyle et parahydroxybenzoate de propyle E 216, E 218) et au propylène glycol (E1520).
  • +La suspension orale contenant du sorbitol, elle n'est pas adaptée aux personnes présentant une intolérance au fructose (intolérance au fructose héréditaire). Elle ne doit pas non plus être utilisée chez les personnes présentant une hypersensibilité aux parabènes (Parahydroxybenzoate de méthyle et parahydroxybenzoate de propyle E216, E218) et au propylène glycol (E1520).
  • -Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une contraception efficace pendant le traitement par Inovelon. Les médecins doivent tenter de s'assurer de l'utilisation d'un moyen de contraception approprié et doivent exercer leur jugement clinique pour évaluer si les contraceptifs oraux, ou les doses des composants du contraceptif oral, sont adaptés à l'état clinique particulier de la patiente (voir «Interactions»).
  • -
  • +Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une contraception efficace pendant le traitement par Inovelon. Les médecins doivent tenter de s'assurer de l'utilisation d'un moyen de contraception approprié et doivent exercer leur jugement clinique pour évaluer si les contraceptifs oraux, ou les doses des composants du contraceptif oral, sont adaptés à l'état clinique particulier de la patiente (voir «Interactions» et «Grossesse/Allaitement»).
  • +Parahydroxybenzoate
  • +Inovelon suspension orale contient du parahydroxybenzoate de méthyle et du parahydroxybenzoate de propyle, qui peuvent provoquer des réactions d'hypersensibilité, voire des réactions différées.
  • +Sorbitol
  • +Inovelon suspension orale contient du sorbitol; en conséquence, les patients présentant une intolérance héréditaire rare au fructose ne doivent pas prendre ce médicament.
  • +
  • -Les concentrations de rufinamide peuvent être abaissées lors de la co-administration avec la carbamazépine, le phénobarbital, la phénytoïne, la vigabatrine ou la primidone.
  • -Lorsque l'administration de valproate est instaurée chez des patients traités par Inovelon, une augmentation importante des concentrations plasmatiques de rufinamide peut être observée. Les élévations sont plus marquées chez les patients de faible poids (<30 kg). Par conséquent, une diminution de la dose d'Inovelon chez les patients de <30 kg doit être envisagée lors de l'instauration d'un traitement par le valproate (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Aucune modification cliniquement pertinente des concentrations de rufinamide n'a été observée lors de l'administration concomitante de médicaments antiépileptiques connus pour être des inducteurs enzymatiques. Chez les patients traités par Inovelon, l'instauration du valproate peut entraîner une augmentation significative des concentrations plasmatiques de rufinamide (voir les recommandations à la rubrique «Posologie/Mode d'administration»).
  • -Les interactions pharmacocinétiques entre le rufinamide et les autres agents antiépileptiques ont été évaluées chez les patients épileptiques en utilisant une modélisation pharmacocinétique dans la population. Le rufinamide ne semble pas avoir d'effet clinique pertinent sur les concentrations à l'équilibre de la carbamazépine, de la lamotrigine, du phénobarbital, du phénytoïne, du topiramate ou du valproate.
  • +Les interactions pharmacocinétiques entre le rufinamide et les autres agents antiépileptiques ont été évaluées chez les patients épileptiques en utilisant une modélisation pharmacocinétique dans la population. Le rufinamide ne semble pas avoir d'effet clinique pertinent sur les concentrations à l'équilibre de la carbamazépine, de la lamotrigine, du phénobarbital, de la phénytoïne, du topiramate ou du valproate.
  • -Il a été montré que dans la descendance de femmes épileptiques, la prévalence de malformations est deux à trois fois plus élevée que le taux d'environ 3 % dans la population générale. Dans la population traitée, on a observé une augmentation des malformations sous polythérapie. Toutefois, l'ampleur de la responsabilité du traitement et (ou) de la maladie n'a pas été élucidée.
  • -De plus, le traitement antiépileptique efficace ne doit pas être interrompu car l'aggravation de la maladie est préjudiciable à la mère et au fÅ“tus.
  • +Il a été montré que dans la descendance de femmes épileptiques, la prévalence de malformations est deux à trois fois plus élevée que le taux d'environ 3% dans la population générale. Dans la population traitée, on a observé une augmentation des malformations sous polythérapie. Toutefois, l'ampleur de la responsabilité du traitement et (ou) de la maladie n'a pas été élucidée.
  • +De plus, un traitement antiépileptique efficace ne doit pas être interrompu de manière soudaine, car l'aggravation de la maladie est préjudiciable à la mère et au fÅ“tus.
  • -Il n'existe pas de données sur l'utilisation du rufinamide chez la femme enceinte.
  • +Il n'existe pas de données cliniques sur les femmes enceintes exposées au rufinamide.
  • +Allaitement
  • -Le programme de développement clinique a inclus plus de 1900 patients avec différents types d'épilepsie, exposés au rufinamide. Maux de tête, vertiges, fatigue et somnolence ont été globalement les effets indésirables les plus fréquemment rapportés. Les effets indésirables les plus fréquemment observés à une incidence plus élevée que pour le placebo chez des patients atteints de syndrome de Lennox-Gastaut ont été la somnolence et les vomissements. L'intensité des effets indésirables était généralement légère à modérée. Le taux d'interruption pour effets indésirables chez les patients souffrant de syndrome de Lennox-Gastaut a été de 8,2% pour les patients recevant du rufinamide et de 0% pour les patients recevant un placebo. Les effets indésirables les plus fréquents entraînant un arrêt du traitement dans le groupe traité par le rufinamide ont été les éruptions cutanées et les vomissements.
  • +Le programme de développement clinique a inclus plus de 1900 patients avec différents types d'épilepsie, exposés au rufinamide. Maux de tête, vertiges, fatigue et somnolence ont été globalement les effets indésirables les plus fréquemment rapportés. Les effets indésirables les plus fréquemment observés à une incidence plus élevée que pour le placebo chez des patients atteints de syndrome de Lennox-Gastaut ont été la somnolence et les vomissements. L'intensité des effets indésirables était généralement légère à modérée. Le taux d'interruption pour effets indésirables chez les patients souffrant de syndrome de Lennox-Gastaut a été de 8,2% pour les patients recevant du rufinamide et de 0% pour les patients recevant un placebo. Les effets indésirables les plus fréquents entraînant un arrêt du traitement dans le groupe traité par le rufinamide ont été les éruptions cutanées et les vomissements.
  • -Les fréquences sont définies ainsi: très fréquent (≥1/10), fréquent (≥1/100 et <1/10), peu fréquent (≥1/1 000 et <1/100).
  • +Les fréquences sont définies ainsi: très fréquent (≥1/10), fréquent (≥1/100 et <1/10), peu fréquent (≥1/1'000 et <1/100).
  • -Fréquent: Pneumonie, grippe, rhinopharyngite, infection auriculaire, sinusite, rhinite
  • +Fréquent: Pneumonie, grippe, rhinopharyngite, infection auriculaire, sinusite, rhinite.
  • -Peu fréquent: Hypersensibilité*
  • +Peu fréquent: Hypersensibilité*.
  • -Fréquent: Anorexie, troubles de l'alimentation, diminution de l'appétit
  • +Fréquent: Anorexie, troubles de l'alimentation, diminution de l'appétit.
  • -Fréquent: anxiété, insomnie
  • +Fréquent: anxiété, insomnie.
  • -Très fréquent: Somnolence*, céphalées, vertiges*
  • -Fréquent: Etat de mal épileptique*, convulsions, troubles de la coordination*, nystagmus, hyperactivité psychomotrice, tremblement
  • +Très fréquent: Somnolence*, céphalées, vertiges*.
  • +Fréquent: Etat de mal épileptique*, convulsions, troubles de la coordination*, nystagmus, hyperactivité psychomotrice, tremblement.
  • -Fréquent: Diplopie, vision trouble
  • +Fréquent: Diplopie, vision trouble.
  • -Fréquent: Vertige
  • +Fréquent: Vertige.
  • -Fréquent: Epistaxis
  • +Fréquent: Epistaxis.
  • -Très fréquent: nausées, vomissements
  • -Fréquent: Douleurs abdominales hautes, constipation, dyspepsie, diarrhée
  • +Très fréquent: nausées, vomissements.
  • +Fréquent: Douleurs abdominales hautes, constipation, dyspepsie, diarrhée.
  • -Peu fréquent: Elévation des enzymes hépatiques
  • +Peu fréquent: Elévation des enzymes hépatiques.
  • -Fréquent: Eruption cutanée*, acné
  • +Fréquent: Eruption cutanée*, acné.
  • -Fréquent: Mal de dos
  • +Fréquent: Mal de dos.
  • -Fréquent: Oligoménorrhée
  • +Fréquent: Oligoménorrhée.
  • -Très fréquent: Fatigue
  • -Fréquent: Trouble de la marche*
  • +Très fréquent: Fatigue.
  • +Fréquent: Trouble de la marche*.
  • -Fréquent: Perte de poids
  • +Fréquent: Perte de poids.
  • -Fréquent: Traumatisme crânien, contusion
  • +Fréquent: Traumatisme crânien, contusion.
  • +Informations supplémentaires après l'autorisation de mise sur le marché
  • +Population pédiatrique (1 à 4 ans): Dans une étude ouverte, multicentrique à groupes parallèles, des patients âgés d'un an à moins de 4 ans atteints d'un syndrome de Lennox-Gastaut insuffisamment contrôlé ont reçu du rufinamide à une posologie allant jusqu'à 45 mg/kg/jour (n=25), ou d'autres antiépileptiques choisis par le médecin traitant (n=11), comme traitement complémentaire. Le profil des effets indésirables du rufinamide dans cette population était semblable à celui observé dans les études menées chez les enfants à partir de 4 ans, adolescents et adultes. Dans le groupe des patients traités au rufinamide, l'incidence était supérieure à celle constatée dans le groupe recevant les traitements comparateurs en ce qui concerne les vomissements (24%), la somnolence (16%), la bronchite (12%), la constipation (12%), la baisse de l'appétit (12%), la toux (12%), l'éruption cutanée (12%), la perte de poids (8%), la pneumonie (8%), l'otite moyenne (8%), la gastroentérite (8%), la congestion nasale (8%) et la pneumopathie d'inhalation (8%) (voir aussi la rubrique «Propriétés/Effets»).
  • +Adultes, adolescents et enfants à partir de 4 ans
  • +Enfants âgés d'un an à moins de 4 ans
  • +Une étude ouverte, multicentrique, contrôlée par substance active a comparé le rufinamide comme traitement complémentaire à 1-3 autres antiépileptiques quelconques (Antiepileptic Drugs, AED), choisis par l'investigateur chez des patients pédiatriques âgés d'1 an à moins de 4 ans atteints du syndrome de Lennox-Gastaut mal maîtrisé. 25 patients ont reçu du rufinamide en traitement complémentaire pendant 106 semaines, à une posologie allant jusqu'à 45 mg/kg/jour en deux prises. 12 patients ont reçu un autre AED.
  • +L'objectif principal de l'étude était d'évaluer l'effet sur le développement cognitif et le comportement dans la population pédiatrique âgée d'1 an à moins de 4 ans avec syndrome de Lennox-Gastaut. Une caractérisation de la PK spécifique à l'âge a été effectuée en complément, et l'efficacité a été comparée. Le développement cognitif, le comportement et le développement du langage des participants traités par rufinamide étaient comparables à ceux des participants du groupes traités par les autres AED. Au fil du temps, aucune tendance homogène ne s'est dessinée dans aucun des deux groupes de traitement, en présence pourtant de petites tailles d'échantillon, d'un tableau clinique lourd au début de l'étude chez un grand nombre de participants, et d'un taux d'arrêt élevé dans les deux groupes de traitement, de sorte que les résultats n'ont pas pu être évalués de manière concluante.
  • +La PK du rufinamide évaluée dans le cadre d'une modélisation de la population était indépendante de la dose, et était, compte tenu du poids corporel, non significativement dépendante de l'âge, ni comme covariable continue (1 à 35 ans), ni comme covariable catégorielle (catégories d'âge: 1 à moins de 4 ans, et 4 ans et plus). De même, l'exposition dans le groupe des 1 à moins de 2 ans était comparable à celle chez les participants de 2 à moins de 4 ans.
  • +L'administration concomitante de valproate a diminué la clairance du rufinamide chez les participants âgés de 1 à moins de 4 ans, en fonction de la concentration, de même que chez les patients âgés de 4 ans et plus.
  • +En raison des tailles limitées d'échantillons dans cette étude, les données n'étaient pas suffisantes pour apporter des indications sur les différences d'efficacité en matière de contrôle des crises entre les deux groupes de traitement.
  • +La suspension orale et les comprimés pelliculés d'Inovelon sont bioéquivalents.
  • -Dans les études in vitro, seule une petite fraction de rufinamide (34%) était liée aux protéines sériques humaines, l'albumine représentant environ 80 % de cette liaison. Ceci indique un risque minimum d'interactions médicamenteuses par déplacement à partir des sites de liaison lors de l'administration concomitante d'autres médicaments. Le rufinamide était distribué de façon homogène entre les érythrocytes et le plasma.
  • +Dans les études in vitro, seule une petite fraction de rufinamide (34%) était liée aux protéines sériques humaines, l'albumine représentant environ 80% de cette liaison. Ceci indique un risque minimum d'interactions médicamenteuses par déplacement à partir des sites de liaison lors de l'administration concomitante d'autres médicaments. Le rufinamide était distribué de façon homogène entre les érythrocytes et le plasma.
  • -Pour les enzymes du P450 humain CYP1A2, CYP2A6, CYP2C9, CYP2C19, CYP2D6, CYP2E1, CYP3A4/5 ou CYP4A9/11-2, le rufinamide a démontré in vitro peu ou aucune capacité significative à agir comme inhibiteur par compétition ou de par son mécanisme d'action.
  • +Pour les enzymes du P450 humain CYP1A2, CYP2A6, CYP2C9, CYP2C19, CYP2D6, CYP2E1, CYP3A4/5 ou CYP4A9/11-2, le rufinamide a démontré in vitro peu ou aucune capacité significative à agir comme inhibiteur par compétition ou de par son mécanisme d'action.
  • -Dans une étude de radiomarquage chez trois volontaires sains, la molécule mère (rufinamide) était le principal composant radioactif dans le plasma, représentant environ 80 % de la radioactivité totale et le métabolite CGP 47292 ne constituant que 15% environ. L'excrétion rénale était la voie prédominante d'élimination des produits liés au médicament, représentant 84,7% de la dose.
  • +Dans une étude de radiomarquage chez trois volontaires sains, la molécule mère (rufinamide) était le principal composant radioactif dans le plasma, représentant environ 80% de la radioactivité totale et le métabolite CGP 47292 ne constituant que 15% environ. L'excrétion rénale était la voie prédominante d'élimination des produits liés au médicament, représentant 84,7% de la dose.
  • -Enfants (de 2 à 12 ans)
  • -La clairance du rufinamide est généralement plus faible chez les enfants que chez les adultes; cette différence est liée à la taille corporelle. Aucune étude n'a été réalisée chez les nouveau-nés, les nourrissons et les enfants de moins de 2 ans.
  • +Enfants (de 1 à 12 ans)
  • +La clairance du rufinamide est généralement plus faible chez les enfants que chez les adultes; cette différence est liée à la taille corporelle. L'analyse cinétique de population menée sur 115 patients, comprenant 85 enfants (24 entre 1 et 3 ans, 40 entre 4 et 11 ans et 21 entre 12 et 17 ans) a montré que la pharmacocinétique, après prise en compte du poids corporel, n'est pas significativement influencée par l'âge. Aucune étude avec des jeunes enfants de moins d'un an n'a été effectuée.
  • +Le profil de toxicité du rufinamide chez les jeunes animaux est comparable à celui des animaux adultes. De jeunes rats et chiens ont présenté une prise de poids réduite. Chez les jeunes rats on a observé, aux doses de 150 mg/kg, une hypertrophie hépatocellulaire centro-bulbaire adaptative, et aux doses de 50 et 150 mg/kg, une vacuolisation cytoplasmique hypophysaire. Chez les jeunes chiens, on a constaté des concentrations sériques plus élevées d'alanine-aminotransférase et des dépôts de pigments marron dans le foie. Les chiens ayant reçu 200 mg/kg dès l'âge de six semaines (correspondant à une exposition plasmatique (AUC) dans la fourchette de l'exposition thérapeutique), avaient des foies plus lourds et une croissance et prise de nourriture légèrement réduites, par comparaison au groupe témoin. Tous ces résultats étaient réversibles en l'espace de 4 à 10 semaines.
  • -Comprimés pelliculés à 100 mg: Emballage à 10 comprimés. [B]
  • -Comprimés pelliculés à 200 mg: Emballage à 50 et 60 comprimés. [B]
  • -Comprimés pelliculés à 400 mg: Emballage à 50, 60, 100 et 200 comprimés. [B]
  • -Suspension 40 mg/ml: Emballage contenant 1 flacon de 460 ml avec un bouchon de sécurité enfants, deux seringues calibrées à 20 ml et un adaptateur à insérer dans le flacon. [B]
  • +Inovelon 100 mg (présentation actuellement non commercialisée)
  • +Inovelon 200 mg: 60 comprimés pelliculés (50 comprimés pelliculés: présentation actuellement non commercialisée)
  • +Inovelon 400 mg: 100 comprimés pelliculés (50, 60 et 200 comprimés pelliculés: présentations actuellement non commercialisées)
  • +Inovelon 40 mg/ml: 1 flacon avec fermeture sécurisée pour les enfants contenant 460 ml de suspension, 2 seringues de dosage calibrées à 20 ml et un adaptateur à insérer dans le flacon.
  • +[B]
  • -Septembre 2013.
  • +Juin 2017.
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