ch.oddb.org
 
Apotheken | Hôpital | Interactions | LiMA | Médecin | Médicaments | Services | T. de l'Autorisation
Accueil - Information professionnelle sur Privigen - Changements - 09.03.2021
116 Changements de l'information professionelle Privigen
  • -Protéine plasmatique humaine dont la teneur minimale en immunoglobuline G (IgG) est de ≥98%.
  • -Distribution des sous-classes d'IgG (valeurs approximatives): IgG1 69%, IgG2 26%, IgG3 3%, IgG4 2%.
  • +Protéine plasmatique humaine dont la teneur minimale en immunoglobuline G (IgG) est ≥98 %.
  • +Distribution des sous-classes d'IgG (valeurs approximatives): IgG1 69 %, IgG2 26 %, IgG3 3 %, IgG4 2 %.
  • -L-proline, hydroxyde de sodium (correspond au plus à 1 mmol/l de sodium), acide chlorhydrique, eau pour préparations injectables.
  • +L-proline, hydroxyde de sodium (correspond tout au plus à 1 mmol/l de sodium), acide chlorhydrique, eau pour préparations injectables.
  • -·Déficits immunitaires secondaires (DIS) chez les patients présentant des infections graves ou récurrentes, un traitement antimicrobien inefficace ou soit une hausse insuffisante prouvée des anticorps anti-vaccin (PSAF*), soit un taux d'IgG sérique <4 g/l.
  • -* PSAF = Absence d'augmentation au moins égale au double de la concentration d'anticorps IgG contre les pneumocoques-polysaccharides et le vaccin polypeptide antigène (PSAF = proven specific antibody failure).
  • +·Déficits immunitaires secondaires (DIS) chez les patients présentant des infections graves ou récurrentes, un traitement antimicrobien inefficace ou soit une hausse insuffisante prouvée des anticorps anti-vaccin (PSAF*), soit un taux d'IgG sérique < 4 g/l.
  • +* PSAF = Absence d'augmentation au moins égale au double de la concentration d'anticorps IgG contre les polysaccharides des pneumocoques et le vaccin polypeptide antigène (PSAF = proven specific antibody failure).
  • -Pour garantir la traçabilité des médicaments fabriqués biologiquement, il est recommandé de consigner le nom commercial et le numéro de lot pour chaque traitement.
  • +Pour garantir la traçabilité des médicaments biologiques, il est recommandé de consigner le nom commercial et le numéro de lot pour chaque traitement.
  • -La posologie doit être adaptée afin d'obtenir un taux résiduel d'IgG d'au moins 5 à 6 g/l (mesure du taux d'IgG sérique immédiatement avant la perfusion suivante). Trois à six mois sont nécessaires pour atteindre l'état d'équilibre après l'instauration du traitement. La dose initiale recommandée est de 0,4 à 0,8 g/kg de poids corporel (de P.C.) suivie d'au moins 0,2 g/kg de P.C. toutes les 3 à 4 semaines.
  • -La dose nécessaire pour le maintien d'un taux résiduel d'IgG de 5 à 6 g/l est de l'ordre de 0,2 à 0,8 g/kg de P.C./mois. Lorsque l'état d'équilibre est atteint, l'intervalle entre les administrations varie de 3 à 4 semaines. Les taux résiduels d'IgG doivent être mesurés afin d'ajuster la dose et l'intervalle de traitement corrects.
  • +La posologie doit être adaptée afin d'obtenir un taux résiduel d'IgG d'au moins 5 à 6 g/l (mesure du taux d'IgG sérique immédiatement avant la perfusion suivante). Trois à six mois sont nécessaires pour atteindre l'état d'équilibre après l'instauration du traitement. La dose initiale recommandée est de 0,4 à 0,8 g/kg de poids corporel (p.c.) suivie d'au moins 0,2 g/kg de P.C. toutes les 3 à 4 semaines.
  • +La dose nécessaire pour le maintien d'un taux résiduel d'IgG de 5 à 6 g/l est de l'ordre de 0,2 à 0,8 g/kg de P.C./mois. Lorsque l'état d'équilibre est atteint, l'intervalle entre les administrations est de 3 à 4 semaines. Les taux résiduels d'IgG doivent être mesurés afin d'ajuster la dose et l'intervalle de traitement corrects.
  • -Pour le traitement d'un épisode aigu, on administre 0,8 à 1 g/kg de p.c. le premier jour. Le traitement peut être répété une fois dans les 3 jours ou 0,4 g/kg pendant 2 à 5 jours consécutifs. Le traitement peut être renouvelé en cas d'une nouvelle chute des thrombocytes (voir aussi la rubrique «Propriétés/Effets»).
  • +Pour le traitement d'un épisode aigu, on administre 0,8 à 1 g/kg de p.c. le premier jour. Le traitement peut être répété une fois dans les 3 jours ou 0,4 g/kg de p.c. peuvent être administrés pendant 2 à 5 jours consécutifs. Le traitement peut être renouvelé en cas d'une nouvelle chute des thrombocytes (voir aussi la rubrique «Propriétés/Effets»).
  • -La dose initiale recommandée est de 2 g/kg de p.c. répartie sur 2 à 5 jours consécutifs. Ensuite, des doses d'entretien de 1 g/kg de p.c. sont administrées sur 1 à 2 jours consécutifs toutes les 3 semaines.
  • -Le traitement à long terme au-delà de 25 semaines dépend de la réponse au traitement d'entretien. La plus faible dose d'entretien efficace et le schéma posologique sont fixés en fonction du cours individuel de la maladie.
  • +La dose initiale recommandée est de 2 g/kg de p.c. répartie en plusieurs administrations sur 2 à 5 jours consécutifs. Ensuite, des doses d'entretien de 1 g/kg de p.c. sont administrées sur 1 à 2 jours consécutifs toutes les 3 semaines.
  • +Le traitement à long terme au-delà de 25 semaines dépend de la réponse au traitement d'entretien. La plus faible dose d'entretien efficace et le schéma posologique sont fixés en fonction de l'évolution individuelle de la maladie.
  • -Dose initiale: 2 g/kg de p.c. pendant 2–5 jours consécutifs.
  • +Dose initiale: 2 g/kg de p.c. pendant 2–5 jours consécutifs
  • - Dose d'entretien: 0,2 à 0,8 g/kg de p.c. toutes les 3 à 4 semaines afin d'atteindre un taux résiduel d'IgG de 5 à 6 g/l au moins
  • +Dose d'entretien: 0,2 à 0,8 g/kg de p.c. toutes les 3 à 4 semaines afin d'atteindre un taux résiduel d'IgG de 5 à 6 g/l au moins
  • -Maladie de Kawasaki 1,6 à 2 g/kg de p.c. en plusieurs doses réparties sur 2 à 5 jours en association avec un traitement comportant de l'acide acétylsalicylique
  • - ou 2 g/kg de p.c. en dose unique en association avec un traitement comportant de l'acide acétylsalicylique
  • +Maladie de Kawasaki 1,6 à 2 g/kg de p.c. en plusieurs doses réparties sur 2 à 5 jours en association avec un traitement par acide acétylsalicylique
  • + ou 2 g/kg de p.c. en dose unique en association avec un traitement par acide acétylsalicylique
  • -Traitement des infections et prévention de la maladie du greffon contre l'hôte 0,5 g/kg de p.c. chaque semaine du Jour-7 jusqu'à 3 mois après la greffe
  • +Traitement des infections et prévention de la maladie du greffon contre l'hôte 0,5 g/kg de p.c. chaque semaine à partir du jour 7 jusqu'à 3 mois après la greffe
  • - dose d'entretien: 1 g/kg de p.c. ou toutes les 2 à 4 semaines
  • - 2 g/kg de p.c. toutes les 4 à 8 semaines réparties sur 2-5 jours
  • + dose d'entretien: 1 g/kg de p.c. ou toutes les 2 à 4 semaines
  • + 2 g/kg de p.c. toutes les 4 à 8 semaines réparties sur 2 à 5 jours
  • -Dans l'étude principale de phase III portant sur des patients présentant un déficit immunitaire primaire (DIP) (n = 80), 19 patients âgés de 3 à 11 ans et 15 patients âgés de 12 à 18 ans ont été traités. Dans une étude d'extension portant sur des patients présentant un DIP (n = 55), 13 patients âgés de 3 à 11 ans et 11 patients âgés de 12 à 18 ans ont été traités. Dans une étude clinique portant sur 57 patients présentant un purpura thrombopénique immunologique (PTI), 2 patients (15 et 16 ans) ont été traités. Au cours des trois études, aucune adaptation posologique n'a été nécessaire chez les enfants.
  • -Des rapports de la littérature scientifique suggèrent que les immunoglobulines intraveineuses sont efficaces chez les enfants atteints de polyradiculonévrite inflammatoire démyélinisante chronique (PIDC). Il n'existe toutefois pas de données sur Privigen.
  • +La posologie recommandée chez les enfants et les adolescents (0 à 18 ans) est identique à celle recommandée chez les adultes car elle est déterminée par le poids corporel pour chaque indication et adaptée à l'évolution clinique de la maladie.
  • -Certains effets indésirables sévères peuvent être liés au débit de perfusion. Le débit de perfusion recommandé à la rubrique «Posologie/Mode d'emploi: mode d'administration» doit être scrupuleusement suivi. Les patients doivent rester sous étroite surveillance pendant toute la durée de la perfusion ainsi qu'après celle-ci afin de détecter la survenue d'éventuels symptômes.
  • +Certains effets indésirables sévères peuvent être liés au débit de perfusion. Le débit de perfusion recommandé à la rubrique « Posologie/Mode d'emploi: mode d'administration » doit être scrupuleusement suivi. Les patients doivent rester sous étroite surveillance pendant toute la durée de la perfusion ainsi qu'après celle-ci afin de détecter la survenue d'éventuels symptômes de tout type.
  • -·sont étroitement surveillés à la recherche de tout symptôme pendant toute la durée de la perfusion. Afin de détecter d'éventuels effets indésirables, on surveillera plus particulièrement pendant toute la durée de la première administration et pendant l'heure qui suit, les patients recevant pour la première fois de l'immunoglobuline humaine, les patients ayant reçu auparavant un médicament à base d'immunoglobuline différente de celle-ci ou ceux pour qui il s'est écoulé une longue période depuis la dernière perfusion. Tous les autres patients doivent être surveillés pendant au moins 20 minutes après l'administration.
  • +·sont étroitement surveillés à la recherche de tout symptôme pendant toute la durée de la perfusion. Afin de détecter d'éventuels effets indésirables, on surveillera plus particulièrement pendant toute la durée de la première administration et pendant l'heure qui suit, les patients recevant pour la première fois de l'immunoglobuline humaine, les patients ayant reçu auparavant un médicament à base d'immunoglobuline différent de celui-ci ou ceux pour qui il s'est écoulé une longue période depuis la dernière perfusion. Tous les autres patients doivent être surveillés pendant au moins 20 minutes après l'administration.
  • -Chez les patients présentant un déficit sélectif en IgA sans que l'efficacité des autres classes d'Ig ne soit diminuée, l'IgIV ne doit pas être utilisée en tant qu'immunoglobuline de substitution.
  • -Rarement, l'immunoglobuline humaine peut induire une chute de la pression artérielle associée à une réaction anaphylactoïde, même chez des patients ayant présenté une bonne tolérance à un traitement antérieur.
  • +Chez les patients présentant un déficit sélectif en IgA sans altération des autres classes d'Ig, l'IgIV ne doit pas être utilisée en tant qu'immunoglobuline de substitution.
  • +Rarement, l'immunoglobuline humaine peut induire une chute de la pression artérielle associée à une réaction anaphylactique, même chez des patients ayant présenté une bonne tolérance à un traitement antérieur.
  • -Les médicaments à base d'IgIV peuvent contenir des anticorps dirigés contre les antigènes des groupes sanguins. Ces anticorps sont susceptibles d'agir comme des hémolysines et peuvent induire in vivo le recouvrement des globules rouges par des immunoglobulines, entraînant une réaction antiglobuline directe positive (test de Coombs) et, dans de rares cas, une hémolyse. L'anémie hémolytique peut se développer suite à un traitement par IgIV en raison de la séquestration accrue de globules rouges.
  • -Des cas isolés de dysfonctionnement/d'insuffisance rénale ou de coagulation intravasculaire disséminée lié à l'hémolyse se sont produits, ayant en partie entraîné la mort du patient.
  • +Les médicaments à base d'IgIV peuvent contenir des anticorps dirigés contre les antigènes des groupes sanguins. Ces anticorps sont susceptibles d'agir comme des hémolysines et peuvent conduire in vivo à la liaison d'immunoglobulines sur les érythrocytes, entraînant une réaction antiglobuline directe positive (test de Coombs) et, dans de rares cas, une hémolyse. L'anémie hémolytique peut se développer suite à un traitement par IgIV en raison de la séquestration accrue de globules rouges.
  • +Des cas isolés de dysfonctionnement/d'insuffisance rénale ou de coagulation intravasculaire disséminée liés à l'hémolyse se sont produits, ayant parfois entraîné la mort du patient.
  • -Un risque nettement augmenté d'hémolyse cliniquement significative existe pour les patients du groupe sanguin A, B ou AB, qui ont reçu des doses cumulées ≥ (1-) 2 g/kg de poids du corps d'IgIV avec un titre élevé des isoagglutinines. Lors de l'utilisation de produits IgIV avec un titre médian anti-A ≤1:16 (mesuré avec le test d'agglutination direct selon la Ph. Eur.), de rares cas d'hémolyse ont été rapportés. Privigen a un titre anti-A médian de 1:8 (voir aussi la rubrique «Mécanisme d'action/Propriétés pharmacodynamiques»).
  • +Un risque nettement augmenté d'hémolyse cliniquement significative existe pour les patients du groupe sanguin A, B ou AB, qui ont reçu des doses cumulées ≥ (1-) 2 g/kg de p.c. d'IgIV avec un titre élevé des isoagglutinines. Lors de l'utilisation de produits IgIV avec un titre médian anti-A ≤1:16 (mesuré avec le test d'agglutination direct selon la Ph. Eur.), de rares cas d'hémolyse ont été rapportés. Privigen a un titre anti-A médian de 1:8 (voir aussi la rubrique «Mécanisme d'action/Propriétés pharmacodynamiques»).
  • -Un syndrome de méningite aseptique a été rapporté comme étant apparu en association avec un traitement par immunoglobuline intraveineuse.
  • -L'arrêt du traitement a entraîné une rémission du SMA en plusieurs jours, sans séquelles. Le syndrome commence habituellement dans les heures suivant ou jusqu'à 2 jours après le traitement par IgIV. Les analyses du liquide céphalorachidien donnent souvent des résultats positifs, avec une pléïocytose atteignant jusqu'à plusieurs milliers de cellules par mm3, majoritairement de type granulocytaires, et des taux élevés de protéines allant jusqu'à plusieurs centaines de mg/dl. Le SMA peut survenir plus fréquemment en cas d'administration de doses élevées (2 g/kg de poids du corps) d'immunoglobuline intraveineuse.
  • +Des cas de SMA ont été rapportés en association avec un traitement par immunoglobuline intraveineuse. L'arrêt du traitement a entraîné une rémission du SMA en quelques jours, sans séquelles. Le syndrome commence habituellement dans les heures suivant ou jusqu'à 2 jours après le traitement par IgIV. Les analyses du liquide céphalorachidien donnent souvent des résultats positifs, avec une pléïocytose atteignant jusqu'à plusieurs milliers de cellules par mm3, majoritairement de type granulocytaires, et des taux élevés de protéines allant jusqu'à plusieurs centaines de mg/dl. Le SMA peut survenir plus fréquemment en cas d'administration de doses élevées (2 g/kg de p.c.) d'immunoglobuline intraveineuse.
  • -L'existence d'un lien entre l'administration d'IgIV et des événements thromboemboliques tels qu'un infarctus du myocarde, un accident vasculaire cérébral (ictus), une embolie pulmonaire et une thrombose veineuse profonde est cliniquement reconnue et est probablement liée à une élévation relative de la viscosité sanguine due à un apport important en immunoglobulines chez les patients à risque. La prudence s'impose lors de la prescription et de la perfusion d'immunoglobuline intraveineuse chez des patients obèses et des patients présentant des facteurs de risques thrombotiques préexistants (tels qu'un âge avancé, hypertension, diabète sucré, et des antécédents de maladies vasculaires ou d'épisodes thrombotiques et troubles thromboemboliques acquis ou héréditaires, périodes d'immobilisation prolongées, sévèrement hypovolémiques et souffrant de maladies entraînant une élévation de la viscosité sanguine).
  • -Chez les patients présentant un risque de réaction thromboembolique, les médicaments à base d'IgIV doivent être administrés avec le débit de perfusion le plus bas possible et à la dose la plus faible possible.
  • +Des indications cliniques plaident en faveur de l'existence d'un lien entre l'administration d'IgIV et des événements thromboemboliques tels qu'un infarctus du myocarde, un accident vasculaire cérébral (ictus), une embolie pulmonaire et une thrombose veineuse profonde. Ces troubles sont probablement liés à une élévation relative de la viscosité sanguine en cas d'utilisation d'immunoglobulines chez des patients à risque. Une prudence particulière s'impose lors de la prescription et de la perfusion d'immunoglobuline intraveineuse chez des patients obèses et des patients présentant des facteurs de risques thrombotiques préexistants (tels qu'un âge avancé, hypertension, diabète sucré, et des antécédents de maladies vasculaires ou d'épisodes thrombotiques et troubles thromboemboliques acquis ou héréditaires, périodes d'immobilisation prolongées, sévèrement hypovolémiques et souffrant de maladies entraînant une élévation de la viscosité sanguine).
  • +Chez les patients présentant un risque de réaction thromboembolique, les médicaments à base d'IgIV doivent être administrés avec le débit de perfusion le plus bas possible et à la dose la plus faible possible selon les critères cliniques.
  • -Bien que ces cas de dysfonctionnement rénal et d'insuffisance rénale aiguë aient été associés à l'utilisation de nombreux produits à base d'IgIV autorisées et contenant divers autres composants tels que du saccharose, du glucose et du maltose, la proportion de celles contenant du saccharose comme stabilisant était excessivement plus élevée. Chez les patients à risque, l'utilisation de produits à base d'IgIV ne contenant pas de saccharose doit par conséquent être envisagée. Privigen ne contient pas de saccharose, ni de glucose, ni de maltose.
  • -Chez les patients présentant un risque d'insuffisance rénale aiguë, les produits à base d'IgIV doivent être administrées avec le débit de perfusion le plus lent et à la dose la plus faible possibles.
  • -Syndrome de détresse respiratoire aiguë post transfusionnel (SDRAPT)
  • -Dans de très rares cas, un Å“dème des poumons non cardiogène peut survenir lors du traitement avec des produits à base d'IgIV. Le SDRAPT se manifeste par des signes cliniques tels qu'une sévère difficulté respiratoire, un Å“dème pulmonaire, une hypoxémie, une fonction ventriculaire gauche normale et de la fièvre. Les symptômes apparaissent généralement dans les 1 à 6 heures après le traitement.
  • +Bien que ces cas de dysfonctionnement rénal et d'insuffisance rénale aiguë aient été associés à l'utilisation de nombreux produits à base d'IgIV autorisés et contenant divers autres composants tels que du saccharose, du glucose et du maltose, la proportion de ceux contenant du saccharose comme stabilisant était excessivement élevée. Chez les patients à risque, l'utilisation de produits à base d'IgIV ne contenant pas de saccharose doit par conséquent être envisagée. Privigen ne contient pas de saccharose, ni de glucose, ni de maltose.
  • +Chez les patients présentant un risque d'insuffisance rénale aiguë, les produits à base d'IgIV doivent être administrés avec le débit de perfusion le plus bas possible et à la dose la plus faible possible selon les critères cliniques.
  • +Syndrome de détresse respiratoire aiguë post-transfusionnel (SDRAPT)
  • +Dans de très rares cas, un Å“dème des poumons non cardiogénique peut survenir lors du traitement avec des produits à base d'IgIV. Le SDRAPT se manifeste par des signes cliniques tels qu'une sévère difficulté respiratoire, un Å“dème pulmonaire, une hypoxémie, une fonction ventriculaire gauche normale et de la fièvre. Les symptômes apparaissent généralement dans les 1 à 6 heures après le traitement.
  • -Privigen est fabriqué à partir de plasma humain. Les mesures habituelles de prévention des infections dues à l'utilisation de médicaments préparés à partir de sang ou de plasma humain comprennent la sélection des donneurs, la recherche des marqueurs spécifiques d'infection sur chaque don et sur les pools de plasmas ainsi que l'intégration d'étapes efficaces d'inactivation/élimination virale au processus de fabrication (voir aussi la rubrique «Propriétés/Effets»). Malgré cela la possibilité d'une transmission d'agents infectieux ne peut pas être totalement exclue lors de l'administration de médicaments préparés à partir de sang ou de plasma humain. Ceci s'applique également aux virus inconnus ou émergents et aux autres agents pathogènes.
  • -Les mesures prises sont considérées comme efficaces vis-à-vis des virus enveloppés tels que le virus de l'immunodéficience humaine (VIH), le virus de l'hépatite B (VHB) et le virus de l'hépatite C (VHC), ainsi que les virus non enveloppés de l'hépatite A (VHA) et le parvovirus B19.
  • -L'expérience clinique ne rapporte pas de transmission du virus de l'hépatite A ou du parvovirus B19 par les immunoglobulines et l'on assume que les anticorps présents contribuent fortement à la sécurité virale.
  • +Privigen est fabriqué à partir de plasma humain. Les mesures habituelles de prévention des infections dues à l'utilisation de médicaments préparés à partir de sang ou de plasma humain comprennent la sélection des donneurs, la recherche des marqueurs spécifiques d'infection sur chaque don et sur les pools de plasmas ainsi que l'intégration d'étapes efficaces d'inactivation/élimination virale au processus de fabrication (voir aussi la rubrique «Propriétés/Effets»). Malgré cela, la possibilité d'une transmission d'agents infectieux ne peut pas être totalement exclue lors de l'administration de médicaments préparés à partir de sang ou de plasma humain. Ceci s'applique également aux virus inconnus ou émergents et aux autres agents pathogènes.
  • +Les mesures prises sont considérées comme efficaces vis-à-vis des virus enveloppés tels que le virus de l'immunodéficience humaine (VIH), le virus de l'hépatite B (VHB) et le virus de l'hépatite C (VHC), ainsi que les virus non enveloppés tels que celui de l'hépatite A (VHA) et le parvovirus B19.
  • +L'expérience clinique ne rapporte pas de transmission du virus de l'hépatite A ou du parvovirus B19 par les immunoglobulines et l'on suppose que les anticorps présents contribuent fortement à la sécurité virale.
  • +Teneur en sodium
  • +Privigen contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par flacon perforable, c'est-à-dire qu'il est essentiellement «sans sodium».
  • +
  • -Le nombre limité de données disponibles concernant les patients pédiatriques indique que ces mises en garde, précautions et facteurs à risques sont valables de la même façon chez les enfants et les adolescents. Privigen doit être cependant utilisé avec la prudence appropriée aux enfants et adolescents, et en respectant strictement les mises en garde ci-dessus.
  • -Privigen contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par flacon perforable, ce qui signifie qu'il est presque «sans sodium».
  • -
  • +Les données disponibles concernant les patients pédiatriques indiquent que les mêmes mises en garde, précautions et facteurs de risques sont valables chez les enfants et les adolescents. Privigen doit être cependant utilisé avec toute la prudence appropriée chez les enfants et les adolescents, et en respectant strictement les mises en garde ci-dessus.
  • -L'administration d'immunoglobuline peut altérer pour une période d'au moins 6 semaines et jusqu'à 3 mois l'efficacité des vaccins à virus vivant atténué, comme les vaccins contre la rougeole, la rubéole, les oreillons et la varicelle. Après administration de ce produit, un intervalle de 3 mois doit être respecté avant une vaccination avec des vaccins constitués de virus vivants atténués. Dans le cas de la vaccination contre la rougeole, cette diminution d'efficacité peut persister jusqu'à un an. Il est par conséquent nécessaire de contrôler la teneur en anticorps chez les patients vaccinés contre la rougeole.
  • -Bien qu'il n'existe pas d'études d'interactions correspondantes pour les enfants et les adolescents, il faut considérer lors de l'administration d'un vaccin vivant des interactions analogues à celles concernant les adultes.
  • -Grossesse/Allaitement
  • +L'administration d'immunoglobuline peut altérer pour une période d'au moins 6 semaines et jusqu'à 3 mois l'efficacité des vaccins à virus vivants atténués, comme les vaccins contre la rougeole, la rubéole, les oreillons et la varicelle. Après administration de ce produit, un intervalle de 3 mois doit être respecté avant une vaccination avec des vaccins constitués de virus vivants atténués. Dans le cas de la vaccination contre la rougeole, cette diminution d'efficacité peut persister jusqu'à un an. Il est par conséquent nécessaire de contrôler la teneur en anticorps chez les patients vaccinés contre la rougeole.
  • +Bien qu'il n'existe pas d'études d'interactions correspondantes pour les enfants et les adolescents, il faut considérer lors de l'administration d'un vaccin vivant que les interactions sont analogues à celles chez les adultes.
  • +Grossesse, allaitement
  • -Il n'existe pas de données cliniques contrôlées concernant l'emploi de Privigen chez la femme enceinte. C'est pourquoi ce médicament doit être administré avec précaution au cours de la grossesse. Les produits d'IgIV peuvent traverser le placenta, particulièrement au cours du dernier trimestre de grossesse. L'expérience clinique de longue durée avec les immunoglobulines suggère, toutefois, qu'aucun effet nocif sur le déroulement de la grossesse, sur le fÅ“tus ou sur le nouveau-né n'est attendu.
  • +Il n'existe pas de données cliniques contrôlées concernant l'emploi de Privigen chez la femme enceinte. C'est pourquoi ce médicament doit être administré avec précaution au cours de la grossesse. Les produits à base d'IgIV peuvent traverser le placenta, particulièrement au cours du dernier trimestre de grossesse. L'expérience clinique de longue durée avec les immunoglobulines suggère, toutefois, qu'aucun effet nocif sur le déroulement de la grossesse, sur le fÅ“tus ou sur le nouveau-né n'est attendu.
  • -Les immunoglobulines sont délocalisées dans le lait maternel et peuvent contribuer à la protection du nouveau-né contre les agents pathogènes pénétrant par les muqueuses.
  • +Les immunoglobulines passent dans le lait maternel et peuvent contribuer à la protection du nouveau-né contre les agents pathogènes pénétrant par les muqueuses.
  • -L'expérience clinique concernant les immunoglobulines démontre qu'aucun effet nocif sur la fertilité n'existe.
  • +L'expérience clinique concernant les immunoglobulines montre qu'aucun effet nocif sur la fertilité n'est attendu.
  • -Résumé du profil de sécurité
  • +Â¥Résumé du profil de sécurité
  • -Des cas de méningites aseptiques réversibles et de rares cas de réactions cutanées transitoires (y compris de lupus érythémateux cutané – fréquence inconnue) ont été observés avec les immunoglobulines humaines.
  • +Des cas de méningites aseptiques réversibles et de rares cas de réactions cutanées transitoires (y compris de lupus érythémateux cutané – fréquence inconnue) ont été observés lors de l'utilisation d'immunoglobulines humaines.
  • -Un syndrome de détresse respiratoire aiguë post-transfusionnel, des événements thromboemboliques tels qu'un infarctus du myocarde, un accident vasculaire cérébral (ictus), une embolie pulmonaire et une thrombose veineuse profonde sont très rares.
  • +Un syndrome de détresse respiratoire aiguë post-transfusionnel, des événements thromboemboliques tels qu'un infarctus du myocarde, un accident vasculaire cérébral (ictus), une embolie pulmonaire et une thrombose veineuse profonde ont été très rarement observés.
  • -Six études cliniques sur Privigen ont été menées, incluant des patients atteints d'un déficit immunitaire primaire (DIP), d'une thrombocytopénie immune primaire (TIP) et de polyradiculonévrite inflammatoire démyélinisante chronique (PIDC). Dans l'étude DIP pivot, 80 patients ont été recrutés et traités par Privigen, 72 d'entre eux ont terminé les douze mois de traitement. Dans l'étude DIP d'extension, 55 patients ont été recrutés et traités par Privigen. Chacune des deux études PTI ont recrutés 57 patients. Les deux études PIDC ont porté sur 28 et 207 patients.
  • -La plupart des effets indésirables (EI) observés dans les six études cliniques ont été d'intensité légère à modérée.
  • -Les EI observés au cours des études cliniques et dans le cadre de l'utilisation de Privigen dans le monde entier après la commercialisation sont présentés dans la liste suivante. Les EI sont présentés selon la classification des systèmes d'organes mentionnée et selon la fréquence. Elle a été évaluée selon les critères suivants: très fréquents (≥1/10), fréquents (<1/10, ≥1/100), occasionnels (<1/100, ≥1/1000), rares (<1/1000, ≥1/10'000), très rares (<1/10'000), cas isolés (ne peut être estimée sur la base des données disponibles). Au sein de chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont indiqués par ordre décroissant de fréquence.
  • +Sept études cliniques sur Privigen ont été menées, incluant des patients atteints d'un déficit immunitaire primaire (DIP), d'une thrombocytopénie immune primaire (TIP) et de polyradiculonévrite inflammatoire démyélinisante chronique (PIDC). Dans l'étude DIP pivot, 80 patients ont été recrutés et traités par Privigen, 72 d'entre eux ont terminé les douze mois de traitement. Dans l'étude DIP d'extension, 55 patients ont été recrutés et traités par Privigen. Une autre étude clinique comprenait 11 patients avec DIP au Japon. Deux études PTI ont recruté 57 patients. Deux études PIDC ont porté sur 28 et 207 patients.
  • +La plupart des effets indésirables (EI) observés dans les sept études cliniques ont été d'intensité légère à modérée.
  • +Les EI observés au cours des études cliniques et dans le cadre de l'utilisation de Privigen dans le monde entier après l'autorisation de mise sur le marché sont présentés dans la liste suivante. Les EI sont présentés selon la classification des systèmes d'organes mentionnée et selon la fréquence. Cette dernière est indiquée comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (<1/10, ≥1/100), occasionnels <1/100, ≥1/1000), rares (<1/1000, ≥1/10 000), très rares (<1/10 000), inconnus (ne peut être estimée sur la base des données disponibles). Au sein de chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont indiqués par ordre décroissant de fréquence.
  • -Occasionnels: Méningite aseptique.
  • +Occasionnels: méningite aseptique.
  • -Fréquents: Anémie, hémolyse (anémie hémolitique incluse, réduction du taux d'hémoglobine, test de Coombs positif (réduction du nombre d'érythrocytes, réduction de l'hématocrite, élévation de la lactase déshydrogénase sanguine), leucopénie.
  • -Occasionnels: Anisocytose (microcytose incluse), thrombocytose.
  • -Cas isolés: nombre réduit de neutrophiles.
  • +Fréquents: anémie, hémolyse (anémie hémolytiqueÂ¥, réduction du taux d'hémoglobine, test de Coombs positif, réduction du nombre d'érythrocytes, réduction de l'hématocrite, élévation de la lactase déshydrogénase sanguine incluse), leucopénie.
  • +Occasionnels: anisocytose (microcytose incluse), thrombocytose.
  • +Fréquence inconnue: nombre réduit de neutrophiles
  • -Fréquents: Hypersensibilité.
  • -Cas isolés: Choc anaphylactique.
  • +Fréquents: hypersensibilité.
  • +Fréquence inconnue: choc anaphylactique.
  • -Très fréquents: Céphalées (39%) (incluant des céphalées dues à une sinusite, migraine, sensation d'inconfort dans la tête, céphalée par tension nerveuse).
  • -Fréquents: Ãtourdissements, (tremblements (vertige inclus)).
  • -Occasionnels: Somnolence, tremblement, dysesthésie.
  • +Très fréquents: céphalées (39 %) (incluant des céphalées dues à une sinusite, migraine, symptômes dans la tête, céphalée par tension nerveuse).
  • +Fréquents: étourdissements, (vertiges inclus).
  • +Occasionnels: somnolence, tremblements, dysesthésie.
  • -Occasionnels: Palpitations, tachycardie.
  • +Occasionnels: palpitations, tachycardie.
  • -Fréquents: Augmentation de la pression artérielle, des rougeurs, (bouffées de chaleur, hyperémie, sueurs nocturnes incluses), baisse de la pression sanguine.
  • -Occasionnels: Ãvénements thromboembolitiques (embolie pulmonaire incluse), vascularite (trouble vasculaire périphérique inclus).
  • -Cas isolés: Syndrome de détresse respiratoire aiguë post-transfusionnel.
  • +Fréquents: augmentation de la pression artérielle, rougeurs cutanées (y compris bouffées de chaleur, hyperémie, sueurs nocturnes), baisse de la pression sanguine.
  • +Occasionnels: événements thromboembolitiques (embolie pulmonaire incluse), vascularite (maladie artérielle périphérique incluse).
  • +Fréquence inconnue: syndrome de détresse respiratoire aiguë post-transfusionnel.
  • -Fréquents: Dyspnée (douleur à la poitrine, sensation d'oppression dans la poitrine et de gorge serrée incluse, respiration douloureuse).
  • -Cas isolés: Insuffisance respiratoire.
  • +Fréquents: dyspnée (y compris douleur à la poitrine, sensation d'oppression dans la poitrine et de gorge serrée, respiration douloureuse).
  • +Fréquence inconnue: insuffisance respiratoire.
  • -Très fréquents: Nausées (10,1%).
  • -Fréquents: Vomissements, diarrhées, douleurs abdominales.
  • +Fréquents: nausées, vomissements, diarrhées, douleurs abdominales.
  • -Fréquents: Hyperbilirubinémie, élévation de l'alanine aminotransférase, élévation de l'aspartate aminotransférase.
  • +Fréquents: hyperbilirubinémie, élévation de l'alanine aminotransférase, élévation de l'aspartate aminotransférase.
  • -Fréquents: Affections de la peau (éruption cutanée, prurit, urticaire, éruption maculopapuleuse, érythème, desquamation inclus).
  • +Fréquents: affections de la peau (éruption cutanée, prurit, urticaire, éruption maculopapuleuse, érythème, desquamation inclus)
  • -Fréquents: Myalgie (spasmes musculaires, raideur de l'appareil locomoteur, douleurs musculo-squelettiques inclus).
  • +Fréquents: myalgie (spasmes musculaires, raideur de l'appareil locomoteur, douleurs musculo-squelettiques inclus).
  • -Occasionnels: Protéinurie, augmentation de la créatinine sanguine.
  • -Cas isolés: Insuffisance rénale aiguë.
  • +Occasionnels: protéinurie, augmentation de la créatinine sanguine.
  • +Fréquence inconnue: insuffisance rénale aiguë.
  • -Très fréquents: Douleurs (19%) (incluant des douleurs dorsales, douleurs aux extrémités, arthralgie, douleurs à la nuque, douleur faciale), fièvre (17%) (incluant frissons), syndrome pseudo-grippal (14,7%) (nasopharyngite, douleur pharyngolaryngée, formation de cloques au niveau de l'oropharynx, oppression dans la gorge incluses).
  • -Fréquents: Fatigue, asthénie (faiblesse musculaire incluse).
  • -Occasionnels: Douleur au site d'injection.
  • -Pour les informations sur la sécurité virale et d'autres détails concernant des effets indésirables et des facteurs de risque graves, voir la rubrique «Mises en garde et précautions».
  • +Très fréquents: douleurs (19 %) (incluant des douleurs dorsales, douleurs aux extrémités, arthralgie, douleurs à la nuque, douleur faciale), fièvre (17 %) (incluant frissons), syndrome pseudo-grippal (14,7 %) (nasopharyngite, douleur pharyngolaryngée, formation de cloques au niveau de l'oropharynx, oppression dans la gorge incluses).
  • +Fréquents: fatigue, asthénie (faiblesse musculaire incluse).
  • +Occasionnels: douleur au site d'injection (y compris symptômes au site d'injection).
  • +Â¥ Au cours de l'étude PASS, après l'implémentation de la chromatographie d'immunoaffinité en tant que mesure de réduction des risques, une diminution de 89% du taux d'incidence des anémies hémolytiques possibles a été notée par rapport à la période avant l'introduction de la chromatographie d'immunoaffinité. La réduction du taux d'incidence a été significative chez les patients traités par une dose de Privigen ≥0,75 g/kg de p.c. (significativité statistique basée sur un rapport de taux d'incidence de 0,11, après correction de la situation stationnaire/ambulatoire, de l'âge, du sexe, de la dose de Privigen et de l'indication pour une utilisation de Privigen; valeur unilatérale de P < 0,01).
  • +Pour les informations sur la sécurité virale et d'autres détails concernant des effets indésirables graves et des facteurs de risque, voir la rubrique «Mises en garde et précautions».
  • -Au cours d'études cliniques sur Privigen menées chez les patients pédiatriques, aucune différence n'a été observée entre les enfants et les adultes quant à la fréquence, la nature et la gravité des effets indésirables. Les rapports de pharmacovigilance indiquent que sur l'ensemble des effets indésirables observés, la proportion des cas d'hémolyse chez l'enfant est légèrement supérieure à celle observée chez l'adulte. Voir la rubrique «Mises en garde et précautions» pour des informations sur les facteurs de risque et les recommandations en matière de surveillance.
  • +Au cours d'études cliniques sur Privigen menées chez les patients pédiatriques avec déficits immunitaires ou DIP, aucune différence n'a été observée entre les enfants et les adultes quant à la fréquence, la nature et la gravité des effets indésirables. Certains rapports de pharmacovigilance indiquent que sur l'ensemble des rapports de cas observés, la proportion des cas d'hémolyse chez l'enfant est légèrement supérieure à celle observée chez l'adulte.
  • +Au cours d'une étude d'observation en hôpitaux (Post-Authorisation Safety Study, PASS), 28 patients pédiatriques <18 ans avec PIDC ont été identifiés pendant toute la période d'étude entre le 1er janvier 2008 et le 30 avril 2019. Sur 486 administrations de Privigen au total, aucun cas d'anémie hémolytique, d'AMS, de lésions rénales aiguës, de réaction anaphylactique grave ou d'évènement thrombo-embolique n'a été constaté. Deux patients ont fait une réaction anaphylactique modérée, ce qui correspond à 0,4 % de toutes les administrations de Privigen.
  • +Voir la rubrique «Mises en garde et précautions» pour des informations sur les facteurs de risque et les recommandations en matière de surveillance.
  • -Classe pharmacothérapeutique: Antisérums et immunoglobulines: immunoglobulines humaines normales pour administration intraveineuse.
  • +Classe pharmacothérapeutique: Antisérums et immunoglobulines: immunoglobulines, immunoglobulines humaines normales pour administration intraveineuse.
  • -Le processus de production de Privigen comprend les étapes suivantes: précipitation à l'éthanol de la fraction IgG du plasma suivi d'un fractionnement à l'acide octanoïque et d'une incubation à pH 4. Les autres étapes de purification comprennent une filtration en profondeur, une chromatographie, chromatographie d'immunoaffinité pour l'appauvrissement spécifique des anticorps anti-A et -B (isoagglutinines) et une filtration capable de retenir des particules de 20 nm.
  • -Privigen contient principalement de l'immunoglobuline G (IgG) présentant un large spectre d'anticorps fonctionnellement intacts contre les agents infectieux. Les fonctions Fc et Fab des molécules d'IgG sont conservées. La capacité de liaison aux antigènes des fragments Fab a été démontrée par des méthodes biochimiques et biologiques. La fonction Fc a été testée par une activation du complément et une activation des leucocytes médiée par le récepteur Fc. L'inhibition de l'activation du complément induite par le complexe immun («scavenging», une fonction anti-inflammatoire des IgIV) a été maintenue pour Privigen. Privigen n'active pas le système du complément ou la prékallicréine de manière non spécifique.
  • -Privigen contient les anticorps IgG présents dans la population normale. Elle est préparée à partir de plasma provenant d'un minimum de 1000 donneurs. La répartition des sous-classes d'immunoglobuline G est étroitement proportionnelle à celle du plasma humain natif.
  • -Selon la Ph. Eur, le titre des isoagglutinines anti-A des produits à base d'immunoglobulines intraveineuses doit s'élever au maximum à 1:64. Le titre des isoagglutinines de Privigen pour les anticorps anti-A est de 1:8 et pour les anticorps anti-B de 1:4 (médiane mesurée de 149 charges avec le test d'agglutination direct selon la Ph. Eur.).
  • +Le processus de production de Privigen comprend les étapes suivantes: précipitation à l'éthanol de la fraction IgG du plasma suivi d'un fractionnement à l'acide octanoïque et d'une incubation à pH 4. Les autres étapes de purification comprennent une filtration en profondeur, une chromatographie, une chromatographie d'immunoaffinité pour l'appauvrissement spécifique des anticorps anti-A et -B (isoagglutinines) et une filtration capable de retenir des particules de 20 nm.
  • +Privigen contient principalement de l'immunoglobuline G (IgG) présentant un large spectre d'anticorps fonctionnellement intacts contre les agents infectieux. Les fonctions Fc et Fab des molécules d'IgG sont conservées. La capacité de liaison aux antigènes des fragments Fab a été démontrée par des méthodes biochimiques et biologiques. La fonction Fc a été testée par une activation du complément et une activation des leucocytes médiée par le récepteur Fc. L'inhibition de l'activation du complément induite par le complexe immun («scavenging», une fonction anti-inflammatoire des IgIV) est maintenue dans Privigen. Privigen n'active pas le système du complément ou la prékallicré̤ine de manière non spécifique.
  • +Privigen contient les anticorps IgG présents dans la population normale. Ce médicament est préparé à partir de plasma provenant d'un minimum de 1000 donneurs. La proportion des sous-classes d'immunoglobuline G correspond approximativement à celle du plasma humain natif.
  • +Selon la Ph. Eur, le titre des isoagglutinines anti-A des produits à base d'immunoglobulines intraveineuses doit s'élever au maximum à 1:64. Le titre des isoagglutinines de Privigen pour les anticorps anti-A est de 1:8 et pour les anticorps anti-B de 1:4 (médiane mesurée de 149 lots avec le test d'agglutination direct selon la Ph. Eur.).
  • -La sécurité et l'efficacité de Privigen ont été évaluées dans 6 études prospectives multicentriques ouvertes, à un seul bras, menées en Europe (études sur le PTI, DIP et PIDC), aux USA (étude sur le DIP) et dans plusieurs autres pays (étude PIDC). Des données supplémentaires relatives à la sécurité et à l'efficacité ont été obtenues dans une étude d'extension prospective multicentrique ouverte, à un seul bras, menée aux USA (étude sur le DIP).
  • +La sécurité et l'efficacité de Privigen ont été évaluées dans 7 études prospectives multicentriques ouvertes, en groupe unique, menées en Europe (études sur le PTI, DIP et PIDC), au Japon (études DIP et PIDC) et aux USA (études DIP et PIDC) et ainsi que dans plusieurs autres pays (étude PIDC). Des données supplémentaires relatives à la sécurité et à l'efficacité ont été obtenues dans une étude d'extension prospective multicentrique ouverte, en groupe unique, menée aux USA (étude sur le DIP).
  • -Dans l'étude principale, 80 patients âgés de 3 à 69 ans, souffrant de déficit immunitaire primaire ont reçu toutes les 3 à 4 semaines une perfusion de Privigen à une dose médiane de 200 à 888 mg/kg de p.c. pendant un an maximum. Des taux résiduels constants d'IgG ont ainsi pu être atteints pendant toute la durée du traitement avec des concentrations médianes de 8,84 g/l à 10,27 g/l. L'incidence des infections bactériennes sévères aiguës (IBSa) était de 0,08 par patient et par an (avec une limite supérieure de l'intervalle de confiance à 97,5% de 0,182).
  • -Dans l'étude d'extension sur le DIP, les mêmes doses de Privigen que dans l'étude principale ont été administrées à un total de 55 patients (45 d'entre eux ayant déjà été traités lors de l'étude principale, 10 nouvellement inclus). Les résultats de l'étude principale ont confirmé un taux résiduel moyen d'IgG de 9,31 g/l à 11,15 g/l ainsi qu'un taux d'IBSa de 0,018 par patient et par an (avec une limite supérieure de l'intervalle de confiance à 97,5% de 0,098).
  • +Dans l'étude principale, 80 patients âgés de 3 à 69 ans souffrant de déficit immunitaire primaire ont reçu toutes les 3 à 4 semaines une perfusion de Privigen à une dose médiane de 200 à 888 mg/kg de p.c. pendant un an maximum. Des taux résiduels constants d'IgG ont ainsi pu être atteints pendant toute la durée du traitement avec des concentrations médianes de 8,84 g/l à 10,27 g/l. L'incidence des infections bactériennes sévères aiguës (IBSa) était de 0,08 par patient et par an (avec une limite supérieure de l'intervalle de confiance à 97,5 % de 0,182).
  • +Dans l'étude d'extension sur le DIP, les mêmes doses de Privigen que dans l'étude principale ont été administrées à un total de 55 patients (45 d'entre eux ayant déjà été traités lors de l'étude principale, 10 nouvellement inclus). Les résultats de l'étude principale ont été confirmés avec un taux résiduel moyen d'IgG de 9,31 g/l à 11,15 g/l ainsi qu'un taux d'IBSa de 0,018 par patient et par an (avec une limite supérieure de l'intervalle de confiance à 97,5 % de 0,098).
  • -Un total de 57 patients âgés de 15 à 69 ans, souffrant de PTI chronique, a participé à l’étude sur le PTI. La numération plaquettaire initiale était de 20× 109/l. Après perfusion d’une dose de Privigen de 1 g/kg de p.c. pendant deux jours consécutifs, le nombre des plaquettes a augmenté jusqu’à au moins 50× 109/l chez 80,7% des patients en l’espace de 7 jours. Chez 43% des patients, cette augmentation a été atteinte après un jour seulement, avant la deuxième perfusion. Le délai moyen jusqu’à obtention de cette numération plaquettaire a été de 2,5 jours. Chez les patients répondant au traitement, la numération plaquettaire est restée à ≥50× 109/l pendant 15,4 jours en moyenne.
  • -Dans la deuxième étude ITP, un total de 57 patients âgés de 18 à 65 ans et souffrant d’une ITP (la numération plaquettaire initiale (valeur de base) était de ≤30× 109/l) ont été traités avec une dose de Privigen de 1 g/kg de p.c. Le troisième jour de traitement, les patients ayant un taux de plaquettes <50× 109/l au 3ème jour, ont reçu une deuxième dose de 1 g/kg de p.c. Cette deuxième dose était obligatoire chez ces patients.
  • -Chez 42 patients (74%) la numération plaquettaire a augmenté au moins une fois jusqu’à ≥50× 109/l dans les 6 jours ayant suivi la première perfusion.
  • -La deuxième dose chez des patients avec une numération plaquettaire ≥50× 109/l après la première perfusion a apporté un bénéfice significatif en termes d’augmentation maximale de la numération plaquettaire atteinte (médiane de 261,5× 109/l [limites: 130–738× 109/l]) et une augmentation continue sur une plus longue durée de la numération plaquettaire (médiane de 14,0 jours [limites: 8–28 jours]) comparé à une perfusion unique (médiane de la numération plaquettaire maximale atteinte de 171,0× 109/l [limites: 22–516× 109/l] avec une durée médiane d’augmentation sur 13,0 jours [limites: 3–30 jours]).
  • -Chez les patients avec une numération plaquettaire de <50× 109/l après la première dose, 30% ont présenté une réponse plaquettaire de ≥50× 109/l après la deuxième dose obligatoire.
  • +Un total de 57 patients âgés de 15 à 69 ans, souffrant de PTI chronique, a participé à l'étude sur le PTI. La numération plaquettaire initiale était de 20 × 109/l. Après perfusion d'une dose de Privigen de 1 g/kg de p.c. pendant deux jours consécutifs, le nombre des plaquettes a augmenté jusqu'à au moins 50 × 109/l chez 80,7 % des patients en l'espace de 7 jours après la première perfusion. Chez 43 % des patients, cette augmentation a été atteinte après un jour seulement, avant la deuxième perfusion. Le délai moyen jusqu'à obtention de cette numération plaquettaire a été de 2,5 jours. Chez les patients répondant au traitement, la numération plaquettaire est restée à ≥50 × 109/l pendant 15,4 jours en moyenne.
  • +Dans la deuxième étude ITP, un total de 57 patients âgés de 18 à 65 ans et souffrant d'une ITP (la numération plaquettaire initiale (valeur de base) était de ≤30 × 109/l) ont été traités avec une dose de Privigen de 1 g/kg de p.c. Le troisième jour de traitement, les patients pouvaient recevoir une deuxième dose de 1 g/kg de p.c. Cette deuxième dose était obligatoire chez les patients ayant un taux de plaquettes <50 × 109/l au 3ème jour.
  • +Chez 42 patients (74 %), la numération plaquettaire a augmenté au moins une fois jusqu'à ≥50 × 109/l dans les 6 jours ayant suivi la première perfusion.
  • +La deuxième dose chez des patients avec une numération plaquettaire ≥50 × 109/l après la première perfusion a apporté un bénéfice significatif en termes d'augmentation maximale de la numération plaquettaire atteinte (médiane de 261,5 × 109/l [limites: 130–738 × 109/l]) et une augmentation continue sur une plus longue durée de la numération plaquettaire (médiane de 14,0 jours [limites: 8–28 jours]) comparé à une perfusion unique (médiane de la numération plaquettaire maximale atteinte de 171,0 × 109/l [limites: 22–516 × 109/l] avec une durée médiane d'augmentation sur 13,0 jours [limites: 3–30 jours]).
  • +Chez les patients avec une numération plaquettaire de <50 × 109/l après la première dose, 30 % ont présenté une réponse plaquettaire ≥50 × 109/l après la deuxième dose obligatoire.
  • -Dans la première étude sur la PIDC de l'étude multicentrique ouverte PRIMA (étude Privigen impact on mobility and autonomy, impact du Privigen sur la mobilité et l'autonomie), 28 patients atteints de PIDC (13 patients ayant préalablement reçu une IgIV et 15 patients n'ayant pas préalablement reçu une IgIV avec un nouveau diagnostic de PIDC depuis au moins 2 mois ou dont le traitement par immunoglobuline intraveineuse a été arrêté pendant au moins 1 an et dont la maladie a fortement progressé au cours des 2 mois avant l'inclusion dans l'étude) ont reçu Privigen à la dose initiale de 2 g/kg de p.c. sur 2 à 5 jours suivie de 6 doses d'entretien de 1 g/kg de p.c. sur 1 à 2 jours toutes les 3 semaines.
  • -Chez les patients précédemment traités avec des IgIV, le traitement a été interrompu jusqu'à ce qu'une détérioration soit confirmée sur l'échelle INCAT (Inflammatory Neuropathy Cause and Treatment, cause et traitement des neuropathies inflammatoires), avant de commencer le traitement avec Privigen. Sur cette échelle INCAT à 10 points, on a observé chez 17/28 patients (60,7%, intervalle de confiance à 95%: 42,41, 76,4) une amélioration cliniquement pertinente d'au moins 1 point entre la valeur initiale et la valeur mesurée à la 25e semaine de traitement. Le taux de répondeurs était de neuf patients après avoir reçu la dose d'induction initiale à la semaine 4 et 16 patients à la semaine 10.
  • -Dans le cadre de la seconde étude prospective multicentrique randomisée, contrôlée contre placebo (étude PATH), 207 patients atteints de PIDC ont été traités par Privigen lors de la phase de pré-randomisation de l'étude. À cet égard, une dépendance à l'IgIV avait été préalablement confirmée par une détérioration clinique évidente des symptômes lors d'une phase d'interruption de l'IgIV allant jusqu'à 12 semaines chez tous les 207 patients ayant préalablement reçu une IgIV pendant au moins 8 semaines avant la sélection.
  • -Ensuite, tous les patients ont été traités par Privigen à la dose de charge de 2 g/kg de p.c. suivie de 4 doses d'entretien de Privigen de 1 g/kg de p.c. toutes les trois semaines pendant 13 semaines.
  • -Une amélioration clinique des symptômes de la PIDC a été observée chez 91% des patients (188 patients) jusqu'à la semaine 13 sur au moins l'un des critères suivants: une diminution d'au moins 1 point du score INCAT ajusté, une augmentation du score I-RODS (Inflammatory Rasch-built Overall Disability Scale) d'au moins 4 points, une augmentation moyenne de la force de préhension d'au moins 8 kPa, ou une augmentation du score MRC (Medical Research Council) total d'au moins 3 points. En résumé, 91% des patients (188 patients) ont montré une amélioration sur au moins l'un des critères précités à la 13ème semaine.
  • -En ajustant le score INCAT, le taux de réponse à la 13ème semaine était de 72,9% (151 sur 207 patients), avec 149 patients répondant dès la 10ème semaine au traitement par Privigen. Un total de 43 patients sur 207 atteint un meilleur score PIDC, évalué sur la base d'un score INCAT ajusté, par rapport à leur score PIDC au début de l'étude.
  • -Les profils d'efficacité et de sécurité dans l'étude PRIMA et dans l'étude PATH chez les patients atteints de PIDC étaient globalement comparables. L'amélioration moyenne évaluée sur la base d'un score INCAT ajusté à la fin de la période de traitement comparée à la visite de référence était de 1,4 point sur l'échelle INCAT ajustée dans l'étude PRIMA (1,8 chez les patients prétraités par une IgIV) et de 1,2 point dans l'étude PATH. Les critères secondaires (I-Rods, force de préhension et scores MRC) corroborent les résultats de la mesure de l'efficacité primaire.
  • +Dans la première étude sur la PIDC de l'étude multicentrique ouverte PRIMA (étude Privigen impact on mobility and anatomy, impact de Privigen sur la mobilité et l'anatomie), 28 patients atteints de PIDC (13 patients ayant préalablement reçu une IgIV et 15 patients n'ayant pas préalablement reçu une IgIV avec un nouveau diagnostic de PIDC depuis au moins 2 mois ou dont le traitement par immunoglobuline intraveineuse a été arrêté pendant au moins 1 an et dont la maladie a fortement progressé au cours des 2 mois avant l'inclusion dans l'étude) ont reçu Privigen à la dose initiale de 2 g/kg de p.c. sur 2 à 5 jours suivie de 6 doses d'entretien de 1 g/kg de p.c. sur 1 à 2 jours toutes les 3 semaines.
  • +Chez les patients précédemment traités avec des IgIV, le traitement a été interrompu jusqu'à ce qu'une détérioration des symptômes cliniques soit confirmée sur l'échelle INCAT (Inflammatory Neuropathy Cause and Treatment, cause et traitement des neuropathies inflammatoires), avant de commencer le traitement avec Privigen. Sur cette échelle INCAT à 10 points, on a observé chez 17/28 patients (60,7 %, intervalle de confiance à 95 %: 42,41, 76,4) une amélioration cliniquement pertinente d'au moins 1 point entre la valeur initiale et la valeur mesurée à la 25e semaine de traitement. Le taux de répondeurs était de neuf patients après avoir reçu la dose initiale à la semaine 4 et de 16 patients à la semaine 10.
  • +Dans le cadre de la seconde étude clinique prospective multicentrique randomisée, contrôlée contre placebo (étude PATH), 207 patients atteints de PIDC ont été traités par Privigen lors de la phase de pré-randomisation de l'étude. À cet égard, une dépendance à l'IgIV avait été préalablement confirmée par une détérioration clinique évidente des symptômes lors d'une phase d'interruption de l'IgIV allant jusqu'à 12 semaines chez tous les 207 patients ayant préalablement reçu une IgIV pendant au moins 8 semaines avant la sélection.
  • +Ensuite, tous les patients ont été traités par Privigen à la dose de charge de 2 g/kg de p.c. suivie de jusqu'à 4 doses d'entretien de Privigen de 1 g/kg de p.c. toutes les trois semaines pendant toute la période allant jusqu'à 13 semaines.
  • +Une amélioration clinique des symptômes de la PIDC a été observée chez 91 % des patients (188 patients) jusqu'à la semaine 13 sur au moins l'un des critères suivants: une diminution d'au moins 1 point du score INCAT ajusté, une augmentation du score I-RODS (Inflammatory Rasch-built Overall Disability Scale) d'au moins 4 points, une augmentation moyenne de la force de préhension d'au moins 8 kPa, ou une augmentation du score MRC (Medical Research Council) total d'au moins 3 points. Au total, 91 % des patients (188 patients) ont montré une amélioration sur au moins l'un des critères précités à la 13ème semaine.
  • +Selon le score INCAT ajusté, le taux de réponse à la 13ème semaine était de 72,9 % (151 patients sur207), avec 149 patients répondant dès la 10ème semaine au traitement par Privigen. Un total de 43 patients sur 207 atteint un meilleur score PIDC, évalué sur la base d'un score INCAT ajusté, par rapport à leur score PIDC au début de l'étude.
  • +Les profils d'efficacité et de sécurité dans l'étude PRIMA et dans l'étude PATH chez les patients atteints de PIDC étaient globalement comparables. L'amélioration moyenne des symptômes évaluée sur la base d'un score INCAT ajusté à la fin de la période de traitement comparée au début du traitement était de 1,4 point sur l'échelle INCAT ajustée dans l'étude PRIMA (1,8 chez les patients prétraités par une IgIV) et de 1,2 point dans l'étude PATH. Les critères secondaires (I-Rods, force de préhension et scores MRC) corroborent les résultats de la mesure de l'efficacité primaire.
  • +Efficacité chez les patients pédiatriques
  • +Au cours de l'étude principale de phase III menée auprès de patients avec des DIP (n = 80), 19 patients entre 3 et 11 ans et 15 patients entre 12 et 18 ans ont été traités. Au cours d'une étude de prolongation menée auprès de patients avec DIP (n = 55), 13 patients entre 3 et 11 ans et 11 patients entre 12 et 18 ans ont été traités. Au cours de l'étude clinique menée auprès de 57 patients avec PTI chronique, 2 patients (15 et 16 ans) ont été traités. Au cours des trois études, aucun ajustement de la dose chez les enfants n'a été nécessaire.
  • +
  • -Certaines études publiées portant sur l'hyperprolinémie ont démontré que des doses élevées de L-proline administrées à long terme pourraient affecter le développement du cerveau chez les très jeunes rats. Aucun effet de ce genre n'a toutefois été observé dans des études comparatives sur l'utilisation clinique de Privigen. Des études de pharmaco -sécurité supplémentaires sur la L-proline chez des rats adultes et juvéniles n'ont pas révélé de troubles comportementaux.
  • -Les immunoglobulines sont des constituants normaux du corps humain. Chez les animaux, l'analyse de la toxicité aiguë et chronique ainsi que de la toxicité embryonnaire et fÅ“tale des immunoglobulines n'est pas probant à cause des interactions entre immunoglobulines provenant d'espèces hétérogènes et de l'induction d'anticorps dirigés contre les protéines hétérologues. Dans des études de tolérance locale chez les lapins, l'administration intraveineuse, para-veineuse, intra-artérielle et sous-cutanée de Privigen a été bien tolérée.
  • +Certaines études publiées portant sur l'hyperprolinémie ont démontré que des doses élevées de L-proline administrées quotidiennement à long terme pourraient affecter le développement du cerveau chez les très jeunes rats. Aucun effet de ce genre n'a toutefois été observé dans des études comparatives sur l'utilisation clinique de Privigen. Des études de pharmaco -sécurité supplémentaires sur la L-proline chez des rats adultes et juvéniles n'ont pas révélé de troubles comportementaux.
  • +Les immunoglobulines sont des constituants normaux du corps humain. Chez les animaux, l'analyse de la toxicité aiguë et chronique ainsi que de la toxicité embryonnaire et fÅ“tale des immunoglobulines n'est pas probante à cause des interactions entre immunoglobulines provenant d'espèces hétérogènes et de l'induction d'anticorps dirigés contre les protéines hétérologues. Dans des études de tolérance locale chez les lapins, l'administration intraveineuse, para-veineuse, intra-artérielle et sous-cutanée de Privigen a été bien tolérée.
  • -Ce médicament ne doit pas être mélangé à d'autres médicaments, ni à une solution saline physiologique. Cependant la dilution dans une solution de glucose à 5% est autorisée.
  • +Ce médicament ne doit pas être mélangé à d'autres médicaments, ni à une solution saline physiologique. Cependant la dilution dans une solution de glucose à 5 % est autorisée.
  • -La date limite de conservation de Privigen est indiquée sur l'étiquette et l'emballage extérieur sous «EXP». Le médicament ne peut être utilisé au-delà de la date imprimée sur l'emballage avec la mention «EXP».
  • +La date limite de conservation de Privigen est indiquée sur l'étiquette et l'emballage extérieur sous «EXP». Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date imprimée sur l'emballage avec la mention «EXP».
  • -Privigen est à usage unique. Comme la solution ne contient pas d'agents de conservation, Privigen doit être utilisé/perfusé immédiatement après ouverture du flacon-ampoule perforable.
  • +Privigen est à usage unique. Comme la solution ne contient pas de conservateurs, Privigen doit être utilisé/perfusé immédiatement après ouverture du flacon perforable.
  • -Privigen est une solution prête à l'emploi. Le produit doit être à température ambiante ou à la température du corps avant l'utilisation. Utiliser une trousse de perfusion courante avec filtre intégré pour l'administration. Toujours percer le bouchon au centre dans la zone marquée. Si nécessaire, Privigen peut être dilué avec une solution de glucose à 5% dans des conditions aseptiques. Privigen ne doit pas être mélangé à une solution saline physiologique. Par contre, le rinçage du tuyau de perfusion avec une solution saline physiologique est autorisé.
  • +Privigen est une solution prête à l'emploi. Le produit doit être à température ambiante ou à la température du corps avant l'utilisation. Utiliser une trousse de perfusion courante avec filtre intégré pour l'administration. Toujours percer le bouchon au centre dans la zone marquée. Si nécessaire, Privigen peut être dilué avec une solution de glucose à 5 % dans des conditions aseptiques. Privigen ne doit pas être mélangé à une solution saline physiologique. Par contre, le rinçage du tuyau de perfusion avec une solution saline physiologique est autorisé.
  • -Solution dans un flacon-ampoule perforable:
  • +Solution dans un flacon perforable:
  • -Octobre 2019.
  • +Octobre 2020.
2025 Â©ywesee GmbH
Einstellungen | Aide | Identification | Contact | Home