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Accueil - Information professionnelle sur Privigen - Changements - 14.11.2019
60 Changements de l'information professionelle Privigen
  • -Principe actif
  • +Principes actifs
  • -Distribution des sous-classes d'IgG (valeurs moyennes): IgG1 67,8%, IgG2 28,7%, IgG3 2,3%, IgG4 1,2%.
  • +Distribution des sous-classes d'IgG (valeurs approximatives): IgG 69%, IgG 26%, IgG 3%, IgG 2%.
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -Solution pour perfusion par voie intraveineuse.
  • -1 ml de solution contient: 100 mg de protéine plasmatique humaine dont la teneur en IgG est de 98% au moins (solution à 10%).
  • -La solution est claire à légèrement opalescente et incolore à jaune pâle. L'osmolalité est de 320 mOsmol/kg et est donc isotonique. Privigen a une faible teneur en sodium, ≤1 mmol/l.
  • -·Myélome ou leucémie lymphoïde chronique avec hypogammaglobulinémie secondaire sévère et infections récurrentes
  • -·Infections récurrentes chez l'enfant porteur d'une infection congénitale par le VIH
  • +·Déficits immunitaires secondaires (DIS) chez les patients présentant des infections graves ou récurrentes, un traitement antimicrobien inefficace ou soit une hausse insuffisante prouvée des anticorps anti-vaccin (PSAF*) soit un taux d'IgG sérique <4 g/l.
  • +* PSAF = Absence de doublement au moins de la concentration d'anticorps IgG contre les pneumocoques-polysaccharides et le vaccin polypeptide antigène (PSAF = proven specific antibody failure).
  • +·Neuropathie motrice multifocale (NMM)
  • -La posologie et l'intervalle entre les perfusions dépendent de l'indication. Dans le traitement de substitution, la dose doit être adaptée individuellement en fonction des paramètres pharmacocinétiques et de la réponse clinique. Les posologies suivantes sont données à titre indicatif.
  • +La posologie et l'intervalle entre les perfusions dépendent de l'indication. Dans le traitement de substitution, la dose doit être adaptée individuellement en fonction de la réponse clinique. Les posologies suivantes sont données à titre indicatif.
  • -Traitement de substitution en cas de myélome ou de leucémie lymphoïde chronique avec hypogammaglobulinémie sévère secondaire et infections récurrentes; traitement de substitution chez l'enfant porteur d'une infection congénitale par le VIH et présentant des infections récurrentes
  • +Déficits immunitaires secondaires (DIS):
  • +Les taux plancher d'IgG doivent être mesurés et évalués en conjonction avec l'incidence de l'infection. La dose doit être ajustée au besoin pour obtenir une protection optimale contre l'infection. Une augmentation de la dose peut être nécessaire chez les patients atteints d'infections persistantes; une diminution de la dose peut être envisagée si le patient ne présente aucune infection.
  • +Neuropathie motrice multifocale (NMM)
  • +Dose initiale: 2 g/kg de p.c. pendant 2–5 jours consécutifs
  • +Dose d'entretien: 1 g/kg de p.c. toutes les 2 à 4 semaines ou 2 g/kg de p.c. toutes les 4 à 8 semaines. Si l'effet n'est pas suffisant au bout de 6 mois de traitement, le traitement doit être interrompu. Si le traitement est efficace, le besoin d'un traitement à long terme doit être évalué par le médecin en fonction de la réponse du patient. La posologie et les intervalles peuvent devoir être ajustés en fonction de l'évolution individuelle de la maladie.
  • -Traitement de substitution en cas de
  • -Déficits immunitaires primaires (DIP) Dose initiale: 0,40,8 g/kg de p.c.
  • -ensuite: 0,2–0,8 g/kg de p.c. toutes les 34 semaines afin d'atteindre un taux résiduel d'IgG de 56 g/l au moins
  • -Déficits immunitaires secondaires (DIS) 0,2–0,4 g/kg de p.c. toutes les 3–4 semaines afin d'atteindre un taux résiduel d'IgG de 5–6 g/l au moins
  • -Enfants porteurs d'une infection congénitale par le VIH et présentant des infections récurrentes 0,2–0,4 g/kg de p.c. toutes les 34 semaines
  • +Traitement de substitution
  • +Déficits immunitaires primaires (DIP) Dose initiale: 0,4 à 0,8 g/kg de p.c.
  • + Dose d'entretien: 0,2–0,8 g/kg de p.c. toutes les 3 à 4 semaines afin d'atteindre un taux résiduel d'IgG de 5 à 6 g/l au moins
  • +Déficits immunitaires secondaires (DIS) 0,2 à 0,4 g/kg de p.c. toutes les 3 à 4 semaines
  • -Thrombocytopénie immune primaire (TIP) 0,8-1 g/kg de p.c. le premier jour; le traitement peut éventuellement être répété une fois dans les 3 jours
  • -ou 0,4 g/kg de p.c./jour pendant 25 jours
  • +Thrombocytopénie immune primaire (TIP) 0,8 à 1 g/kg de p.c. le premier jour; le traitement peut éventuellement être répété une fois dans les 3 jours
  • + ou 0,4 g/kg de p.c./jour pendant 2 à 5 jours
  • -Maladie de Kawasaki 1,6-2 g/kg de p.c. en plusieurs doses réparties sur 2-5 jours en association avec un traitement comportant de l'acide acétylsalicylique
  • -ou 2 g/kg de p.c. en dose unique en association avec un traitement comportant de l'acide acétylsalicylique
  • -Polyradiculonévrite inflammatoire démyélinisante chronique (PIDC) dose initiale: 2 g/kg de p.c. en plusieurs doses réparties sur 2-5 jours
  • -dose d'entretien: 1 g/kg de p.c. toutes les 3 semaines répartie sur 1-2 jours
  • +Maladie de Kawasaki 1,6 à 2 g/kg de p.c. en plusieurs doses réparties sur 2 à 5 jours en association avec un traitement comportant de l'acide acétylsalicylique
  • + ou 2 g/kg de p.c. en dose unique en association avec un traitement comportant de l'acide acétylsalicylique
  • +Polyradiculonévrite inflammatoire démyélinisante chronique (PIDC) dose initiale: 2 g/kg de p.c. en plusieurs doses réparties sur 2 à 5 jours
  • + dose d'entretien: 1 g/kg de p.c. toutes les 3 semaines répartie sur 1 à 2 jours
  • +Neuropathie motrice multifocale (NMM) dose initiale: 2 g/kg de p.c. pendant 2 à 5 jours consécutifs
  • + dose d'entretien: 1 g/kg de p.c. ou toutes les 2 à 4 semaines
  • + 2 g/kg de p.c. toutes les 4 à 8 semaines répartie sur 2-5 jours
  • +
  • -p.c. = poids corporels
  • -Administration chez la population pédiatrique
  • -Dans l'étude principale de phase III portant sur des patients présentant un déficit immunitaire primaire (DIP) (n = 80), 19 patients âgés de 3 à 11 ans et 15 patients âgés de 12 à 18 ans ont été traités. Dans une étude d'extension portant sur des patients présentant un DIP (n = 55), 13 patients âgés de 3 à 11 ans et 11 patients âgés de 12 à 18 ans ont été traités. Dans une étude clinique portant sur 57 patients présentant un purpura thrombopénique immunologique (PTI), 2 patients (15 et 16 ans) ont été traités. Au cours des trois études, aucune adaptation posologique n'a été nécessaire chez les enfants.
  • -Des rapports de la littérature suggèrent que les immunoglobulines intraveineuses sont efficaces chez les enfants atteints de polyradiculonévrite inflammatoire démyélinisante chronique (PIDC). Il n'existe toutefois pas de données sur Privigen.
  • +p.c. = poids corporel
  • -Le débit de perfusion initial doit être de 0,3 ml/kg de p.c./h, (pendant 30 minutes environ). En cas de bonne tolérance, le débit de perfusion peut être progressivement augmenté jusqu'à 4,8 ml/kg de p.c./h.
  • +Le débit de perfusion initial de Privigen doit être de 0,3 ml/kg de p.c./h (pendant 30 minutes environ).
  • +En cas de bonne tolérance, le débit de perfusion peut être progressivement augmenté jusqu'à 4,8 ml/kg de p.c./h.
  • +Enfants et adolescents
  • +Dans l'étude principale de phase III portant sur des patients présentant un déficit immunitaire primaire (DIP) (n = 80), 19 patients âgés de 3 à 11 ans et 15 patients âgés de 12 à 18 ans ont été traités. Dans une étude d'extension portant sur des patients présentant un DIP (n = 55), 13 patients âgés de 3 à 11 ans et 11 patients âgés de 12 à 18 ans ont été traités. Dans une étude clinique portant sur 57 patients présentant un purpura thrombopénique immunologique (PTI), 2 patients (15 et 16 ans) ont été traités. Au cours des trois études, aucune adaptation posologique n'a été nécessaire chez les enfants.
  • +Des rapports de la littérature scientifique suggèrent que les immunoglobulines intraveineuses sont efficaces chez les enfants atteints de polyradiculonévrite inflammatoire démyélinisante chronique (PIDC). Il n'existe toutefois pas de données sur Privigen.
  • +
  • -Les facteurs de risque suivants sont associés au développement d'une hémolyse: doses élevées, qu'elles soient administrées en une seule fois ou réparties sur plusieurs jours (diviser l'administration d'IgIV en plusieurs doses n'est pas approprié pour prévenir une hémolyse, car la demi-vie des immunoglobulines est de l'ordre de 3-4 semaines); un groupe sanguin A, B ou AB; un état inflammatoire sous-jacent. Des réactions d'hémolyse ont été fréquemment rapportées chez des patients de groupe sanguin A, B ou AB recevant des doses élevées pour des indications autres que les déficits immunitaires primaires (DIP); une vigilance accrue est donc recommandée. Une hémolyse n'a été que rarement signalée chez les patients recevant un traitement de substitution pour les DIP.
  • +Les facteurs de risque suivants sont associés au développement d'une hémolyse: doses élevées, qu'elles soient administrées en une seule fois ou réparties sur plusieurs jours (diviser l'administration d'IgIV en plusieurs doses n'est pas approprié pour prévenir une hémolyse, car la durée de demi-vie des immunoglobulines est de l'ordre de 3-4 semaines); un groupe sanguin A, B ou AB; un état inflammatoire sous-jacent. Des réactions d'hémolyse ont été fréquemment rapportées chez des patients de groupe sanguin A, B ou AB recevant des doses élevées pour des indications autres que les déficits immunitaires primaires (DIP); une vigilance accrue est donc recommandée. Une hémolyse n'a été que rarement signalée chez les patients recevant un traitement de substitution pour les DIP.
  • -Dans de très rares cas, un œdème des poumons non cardiogène peut survenir lors du traitement avec des produits à base d'IgIV, Privigen inclus. Le SDRAPT se manifeste par des signes cliniques tels qu'une sévère difficulté respiratoire, un œdème pulmonaire, une hypoxémie, une fonction ventriculaire gauche normale et de la fièvre. Les symptômes apparaissent généralement dans les 1 à 6 heures après le traitement.
  • +Dans de très rares cas, un œdème des poumons non cardiogène peut survenir lors du traitement avec des produits à base d'IgIV. Le SDRAPT se manifeste par des signes cliniques tels qu'une sévère difficulté respiratoire, un œdème pulmonaire, une hypoxémie, une fonction ventriculaire gauche normale et de la fièvre. Les symptômes apparaissent généralement dans les 1 à 6 heures après le traitement.
  • -Les mesures prises sont considérées comme efficaces vis-à-vis des virus enveloppés tels que le VIH, le VHB et le VHC, ainsi que les virus non enveloppés VHA et le parvovirus B19.
  • +Les mesures prises sont considérées comme efficaces vis-à-vis des virus enveloppés tels que le virus de l'immunodéficience humaine (VIH), le virus de l'hépatite B (VHB) et le virus de l'hépatite C (VHC), ainsi que les virus non enveloppés de l'hépatite A (VHA) et le parvovirus B19.
  • -Il n'existe pas de données cliniques contrôlées concernant l'emploi de Privigen chez la femme enceinte. C'est pourquoi ce médicament doit être administré avec précaution au cours de la grossesse. Les produits d'IgIV peuvent traverser le placenta, particulièrement au cours du dernier trimestre de grossesse.
  • -L'expérience clinique de longue durée avec les immunoglobulines suggère, toutefois, qu'aucun effet nocif sur le déroulement de la grossesse, sur le fœtus ou sur le nouveau-né n'est attendu.
  • +Il n'existe pas de données cliniques contrôlées concernant l'emploi de Privigen chez la femme enceinte. C'est pourquoi ce médicament doit être administré avec précaution au cours de la grossesse. Les produits d'IgIV peuvent traverser le placenta, particulièrement au cours du dernier trimestre de grossesse. L'expérience clinique de longue durée avec les immunoglobulines suggère, toutefois, qu'aucun effet nocif sur le déroulement de la grossesse, sur le fœtus ou sur le nouveau-né n'est attendu.
  • +Privigen a une influence faible sur l'aptitude à la conduite et l'utilisation de machines.
  • +
  • -Lors de l'administration intraveineuse d'immunoglobuline humaine, y compris Privigen, des réactions indésirables peuvent occasionnellement survenir, tels que frissons, céphalée, vertiges, fièvre, vomissement, réactions allergiques, nausée, arthralgie, baisse de la pression artérielle et lombalgie modérée.
  • -Dans de rares cas, les immunoglobulines humaines, y compris Privigen, peuvent provoquer des réactions d'hypersensibilité avec une chute brutale de la pression artérielle et, dans des cas isolés, un choc anaphylactique, même si le patient n'a pas présenté de réaction d'hypersensibilité lors d'une administration antérieure.
  • -Des cas de méningites aseptiques réversibles et de rares cas de réactions cutanées transitoires ont été observés avec les immunoglobulines humaines, incluant Privigen.
  • +Lors de l'administration intraveineuse d'immunoglobuline humaine, des réactions indésirables peuvent occasionnellement survenir, tels que frissons, céphalée, vertiges, fièvre, vomissement, réactions allergiques, nausée, arthralgie, baisse de la pression artérielle et lombalgie modérée.
  • +Dans de rares cas, les immunoglobulines humaines, peuvent provoquer des réactions d'hypersensibilité avec une chute brutale de la pression artérielle et, dans des cas isolés, un choc anaphylactique, même si le patient n'a pas présenté de réaction d'hypersensibilité lors d'une administration antérieure.
  • +Des cas de méningites aseptiques réversibles et de rares cas de réactions cutanées transitoires ont été observés avec les immunoglobulines humaines.
  • -Liste sous forme de tableau des effets indésirables
  • +Liste des effets indésirables
  • -Les EI observés au cours des études cliniques et dans le cadre de l'utilisation de Privigen dans le monde entier après la commercialisation sont présentés dans le tableau suivant. Les EI sont présentés selon la classification des systèmes d'organes mentionnée et selon la fréquence. Elle a été évaluée selon les critères suivants: très fréquent (≥1/10), fréquent <1/10, (≥1/100), peu fréquent <1/100, ≥1/1000), rare (<1/1000, ≥1/10'000), très rare (<1/10'000), fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles). Au sein de chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont indiqués par ordre décroissant de fréquence.
  • -Classes de systèmes d'organes MedDRA Terme préconisé par le MedDRA Fréquence des EI
  • -Infections et infestations Méningite aseptique Peu fréquent
  • -Affections hématologiques et du système lymphatique Anémie, hémolyse (anémie hémolitique incluse), réduction du taux d'hémoglobine, test de Coombs positif (réduction du nombre d'érythrocytes, réduction de l'hématocrite, élévation de la lactase déshydrogénase sanguine) leucopénie Fréquent
  • -Anisocytose (microcytose incluse), thrombocytose Peu fréquent
  • -Affections du système immunitaire Hypersensibilité Fréquent
  • -Choc anaphylactique Cas isolés
  • -Affections du système nerveux Céphalées (39%) (incluant des céphalées dues à une sinusite, migraine, sensation d'inconfort dans la tête, céphalée par tension nerveuse) Très fréquent
  • -Étourdissements, (tremblements (vertige inclus)) Fréquent
  • -Somnolence, tremblement, dysesthésie Peu fréquent
  • -Affections cardiaques Palpitations, tachycardie Peu fréquent
  • -Affections vasculaires augmentation de la pression artérielle, des rougeurs, (bouffées de chaleur, hyperémie, sueurs nocturnes incluses), baisse de la pression sanguine Fréquent
  • -Événements thromboembolitiques (embolie pulmonaire incluse), vascularite (trouble vasculaire périphérique inclus) Peu fréquent
  • -Syndrome de détresse respiratoire aiguë post-transfusionnel Cas isolés
  • -Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales Dyspnée (douleur à la poitrine, sensation d'oppression dans la poitrine et de gorge serrée incluse, respiration douloureuse) Fréquent
  • -Insuffisance respiratoire Cas isolés
  • -Affections gastro-intestinales Nausées (10,1%) Très fréquent
  • -Vomissements, diarrhées, douleurs abdominales Fréquent
  • -Affections hépatobiliaires Hyperbilirubinémie, élévation de l'alanine aminotransférase, élévation de l'aspartate aminotransférase Fréquent
  • -Affections de la peau et du tissu sous-cutané Affections de la peau (éruption cutanée, prurit, urticaire, éruption maculopapuleuse, érythème, desquamation inclus) Fréquent
  • -Affections musculo-squelettiques et systémiques Myalgie (spasmes musculaires, raideur de l'appareil locomoteur, douleurs musculosquelettiques inclus) Fréquent
  • -Affections du rein et des voies urinaires Protéinurie, augmentation de la créatinine-sanguine Peu fréquent
  • -Insuffisance rénale aiguë Cas isolés
  • -Troubles généraux et anomalies au site d'administration Douleurs (19%) (incluant des douleurs dorsales, douleurs aux extrémités, arthralgie, douleurs à la nuque, douleur faciale), fièvre (incluant frissons), syndrome pseudo-grippal (14,7%) (nasopharyngite, douleur pharyngolaryngée, formation de cloques au niveau de l'oropharynx, oppression dans la gorge incluses) Très fréquent
  • -Fatigue, asthénie (faiblesse musculaire incluse) Fréquent
  • -Douleur au site d'injection Peu fréquent
  • -
  • +Les EI observés au cours des études cliniques et dans le cadre de l'utilisation de Privigen dans le monde entier après la commercialisation sont présentés dans la liste suivante. Les EI sont présentés selon la classification des systèmes d'organes mentionnée et selon la fréquence. Elle a été évaluée selon les critères suivants: très fréquents (≥1/10), fréquents <1/10, (≥1/100), occasionnels <1/100, ≥1/1000), rares (<1/1000, ≥1/10'000), très rares (<1/10'000), inconnus (ne peut être estimée sur la base des données disponibles). Au sein de chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont indiqués par ordre décroissant de fréquence.
  • +Infections et infestations:
  • +Occasionnels: Méningite aseptique.
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique:
  • +Fréquents: Anémie, hémolyse (anémie hémolitique incluse), réduction du taux d'hémoglobine, test de Coombs positif (réduction du nombre d'érythrocytes, réduction de l'hématocrite, élévation de la lactase déshydrogénase sanguine) leucopénie.
  • +Occasionnels: Anisocytose (microcytose incluse), thrombocytose.
  • +Très rares: faible nombre de neutrophiles.
  • +Affections du système immunitaire:
  • +Fréquents: Hypersensibilité.
  • +Très rares: Choc anaphylactique.
  • +Affections du système nerveux:
  • +Très fréquents: Céphalées (39%) (incluant des céphalées dues à une sinusite, migraine, sensation d'inconfort dans la tête, céphalée par tension nerveuse).
  • +Fréquents: Étourdissements, (tremblements (vertige inclus)).
  • +Occasionnels: Somnolence, tremblement, dysesthésie.
  • +Affections cardiaques:
  • +Occasionnels: Palpitations, tachycardie.
  • +Affections vasculaires:
  • +Fréquents: Augmentation de la pression artérielle, des rougeurs, (bouffées de chaleur, hyperémie, sueurs nocturnes incluses), baisse de la pression sanguine.
  • +Occasionnels: Événements thromboembolitiques (embolie pulmonaire incluse), vascularite (trouble vasculaire périphérique inclus).
  • +Très rares: Syndrome de détresse respiratoire aiguë post-transfusionnel.
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales:
  • +Fréquents: Dyspnée (douleur à la poitrine, sensation d'oppression dans la poitrine et de gorge serrée incluse, respiration douloureuse).
  • +Très rares: Insuffisance respiratoire.
  • +Affections gastro-intestinales:
  • +Très fréquents: Nausées (10,1%).
  • +Fréquents: Vomissements, diarrhées, douleurs abdominales.
  • +Affections hépatobiliaires:
  • +Fréquents: Hyperbilirubinémie, élévation de l'alanine aminotransférase, élévation de l'aspartate aminotransférase.
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané:
  • +Fréquents: Affections de la peau (éruption cutanée, prurit, urticaire, éruption maculopapuleuse, érythème, desquamation inclus).
  • +Affections musculo-squelettiques et systémiques:
  • +Fréquents: Myalgie (spasmes musculaires, raideur de l'appareil locomoteur, douleurs musculo-squelettiques inclus).
  • +Affections des reins et des voies urinaires:
  • +Occasionnels: Protéinurie, augmentation de la créatinine-sanguine.
  • +Très rares: Insuffisance rénale aiguë.
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • +Très fréquents: Douleurs (19%) (incluant des douleurs dorsales, douleurs aux extrémités, arthralgie, douleurs à la nuque, douleur faciale), fièvre (17%) (incluant frissons), syndrome pseudo-grippal (14,7%) (nasopharyngite, douleur pharyngolaryngée, formation de cloques au niveau de l'oropharynx, oppression dans la gorge incluses).
  • +Fréquents: Fatigue, asthénie (faiblesse musculaire incluse).
  • +Occasionnels: Douleur au site d'injection.
  • +Description de certains effets indésirables
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • -Code ATC: J06BA02
  • +Code ATC
  • +J06BA02
  • -Mécanisme d'action/Propriétés pharmacodynamiques
  • +Mécanisme d'action
  • +Des doses appropriées de Privigen sont susceptibles de ramener des taux bas d'immunoglobuline G à une valeur normale.
  • +Le mécanisme d'action pour les indications autres que le traitement de substitution n'est pas totalement élucidé, il comprend toutefois des effets immunomodulateurs.
  • +Pharmacodynamique
  • -Privigen contient principalement de l'immunoglobuline G (IgG) présentant un large spectre d'anticorps fonctionnellement intacts contre les agents infectieux. Les fonctions Fc et Fab des molécules d'IgG sont conservées. La capacité de liaison aux antigènes des fragments Fab a été démontrée par des méthodes biochimiques et biologiques. La fonction Fc a été testée par une activation du complément et une activation des leucocytes médiée par le récepteur Fc. L'inhibition de l'activation du complément induite par le complexe immun («scavenging», une fonction anti-inflammatoire des IgIV) a été maintenue pour Privigen. Privigen n'active pas le système du complément ou la prékallicréine de manière non-spécifique.
  • +Privigen contient principalement de l'immunoglobuline G (IgG) présentant un large spectre d'anticorps fonctionnellement intacts contre les agents infectieux. Les fonctions Fc et Fab des molécules d'IgG sont conservées. La capacité de liaison aux antigènes des fragments Fab a été démontrée par des méthodes biochimiques et biologiques. La fonction Fc a été testée par une activation du complément et une activation des leucocytes médiée par le récepteur Fc. L'inhibition de l'activation du complément induite par le complexe immun («scavenging», une fonction anti-inflammatoire des IgIV) a été maintenue pour Privigen. Privigen n'active pas le système du complément ou la prékallicréine de manière non spécifique.
  • -Des doses appropriées de Privigen sont susceptibles de ramener des taux bas d'immunoglobuline G à une valeur normale.
  • -Le mécanisme d'action pour les indications autres que le traitement de substitution n'est pas totalement élucidé, il comprend toutefois des effets immunomodulateurs.
  • -Déficit immunitaire primaire (DIP)
  • +Déficits immunitaires primaires (DIP)
  • -Dans l'étude d'extension sur le DIP, les mêmes doses de Privigen que dans l'étude principale ont été administrées à un total de de 55 patients (45 d'entre eux ayant déjà été traités lors de l'étude principale, 10 nouvellement inclus). Les résultats de l'étude principale ont confirmé un taux résiduel moyen d'IgG de 9,31 g/l à 11,15 g/l ainsi qu'un taux d'IBSa de 0,018 par patient et par an (avec une limite supérieure de l'intervalle de confiance à 97,5% de 0,098).
  • +Dans l'étude d'extension sur le DIP, les mêmes doses de Privigen que dans l'étude principale ont été administrées à un total de 55 patients (45 d'entre eux ayant déjà été traités lors de l'étude principale, 10 nouvellement inclus). Les résultats de l'étude principale ont confirmé un taux résiduel moyen d'IgG de 9,31 g/l à 11,15 g/l ainsi qu'un taux d'IBSa de 0,018 par patient et par an (avec une limite supérieure de l'intervalle de confiance à 97,5% de 0,098).
  • -Un total de 57 patients âgés de 15 à 69 ans, souffrant de PTI chronique, a participé à l'étude sur le PTI. La numération plaquettaire initiale était de 20× 109/l. Après perfusion d'une dose de Privigen de 1 g/kg de p.c. pendant deux jours consécutifs, le nombre des plaquettes a augmenté jusqu'à au moins 50× 109/l chez 80,7% des patients en l'espace de 7 jours. Chez 43% des patients, cette augmentation a été atteinte après un jour seulement, avant la deuxième perfusion. Le délai moyen jusqu'à obtention de cette numération plaquettaire a été de 2,5 jours. Chez les patients répondant au traitement, la numération plaquettaire est restée à ≥50× 109/l pendant 15,4 jours en moyenne.
  • -Dans la deuxième étude ITP, un total de 57 patients âgés de 18 à 65 ans et souffrant d'une ITP (la numération plaquettaire initiale (valeur de base) était de ≤30× 109/l) ont été traités avec une dose de Privigen de 1 g/kg de p.c. Le troisième jour de traitement, les patients ayant un taux de plaquettes <50× 109/l au 3ème jour, ont reçu une deuxième dose de 1 g/kg de p.c. Cette deuxième dose était obligatoire chez ces patients.
  • -Chez 42 patients (74%) la numération plaquettaire a augmenté au moins une fois jusqu'à ≥50× 109/l dans les 6 jours ayant suivi la première perfusion.
  • -La deuxième dose chez des patients avec une numération plaquettaire ≥50× 109/l après la première perfusion a apporté un bénéfice significatif en terme d'augmentation maximale de la numération plaquettaire atteinte (médiane de 261,5× 109/l [limites: 130–738× 109/l]) et une augmentation continue sur une plus longue durée de la numération plaquettaire (médiane de 14,0 jours [limites: 8–28 jours]) comparé à une perfusion unique (médiane de la numération plaquettaire maximale atteinte de 171,0× 109/l [limites: 22–516× 109/l] avec une durée médiane d'augmentation sur 13,0 jours [limites: 3–30 jours]).
  • -Chez les patients avec une numération plaquettaire de <50× 109/l après la première dose, 30% ont présenté une réponse plaquettaire de ≥50× 109/l après la deuxième dose obligatoire.
  • +Un total de 57 patients âgés de 15 à 69 ans, souffrant de PTI chronique, a participé à létude sur le PTI. La numération plaquettaire initiale était de 20× 10/l. Après perfusion dune dose de Privigen de 1 g/kg de p.c. pendant deux jours consécutifs, le nombre des plaquettes a augmenté jusquà au moins 50× 10/l chez 80,7% des patients en lespace de 7 jours. Chez 43% des patients, cette augmentation a été atteinte après un jour seulement, avant la deuxième perfusion. Le délai moyen jusquà obtention de cette numération plaquettaire a été de 2,5 jours. Chez les patients répondant au traitement, la numération plaquettaire est restée à ≥50× 10/l pendant 15,4 jours en moyenne.
  • +Dans la deuxième étude ITP, un total de 57 patients âgés de 18 à 65 ans et souffrant dune ITP (la numération plaquettaire initiale (valeur de base) était de ≤30× 10/l) ont été traités avec une dose de Privigen de 1 g/kg de p.c. Le troisième jour de traitement, les patients ayant un taux de plaquettes <50× 10/l au 3ème jour, ont reçu une deuxième dose de 1 g/kg de p.c. Cette deuxième dose était obligatoire chez ces patients.
  • +Chez 42 patients (74%) la numération plaquettaire a augmenté au moins une fois jusquà ≥50× 10/l dans les 6 jours ayant suivi la première perfusion.
  • +La deuxième dose chez des patients avec une numération plaquettaire ≥50× 10/l après la première perfusion a apporté un bénéfice significatif en termes d’augmentation maximale de la numération plaquettaire atteinte (médiane de 261,5× 10/l [limites: 130–738× 10/l]) et une augmentation continue sur une plus longue durée de la numération plaquettaire (médiane de 14,0 jours [limites: 8–28 jours]) comparé à une perfusion unique (médiane de la numération plaquettaire maximale atteinte de 171,0× 10/l [limites: 22–516× 10/l] avec une durée médiane daugmentation sur 13,0 jours [limites: 3–30 jours]).
  • +Chez les patients avec une numération plaquettaire de <50× 10/l après la première dose, 30 % ont présenté une réponse plaquettaire de ≥50× 10/l après la deuxième dose obligatoire.
  • -Chez les patients précédemment traités avec des IgIV, le traitement a été interrompu jusqu'à ce qu'une détérioration soit confirmée sure l'échelle INCAT (Inflammatory Neuropathy Cause and Treatment, cause et traitement des neuropathies inflammatoires), avant de commencer le traitement avec Privigen. Sur cette échelle INCAT à 10 points, on a observé chez 17/28 patients (60,7%, intervalle de confiance à 95%: 42,41, 76,4) une amélioration cliniquement pertinente d'au moins 1 point entre la valeur initiale et la valeur mesurée à la 25e semaine de traitement. Le taux de répondeurs était de neuf patients après avoir reçu la dose d'induction initiale à la semaine 4 et 16 patients à la semaine 10.
  • +Chez les patients précédemment traités avec des IgIV, le traitement a été interrompu jusqu'à ce qu'une détérioration soit confirmée sur l'échelle INCAT (Inflammatory Neuropathy Cause and Treatment, cause et traitement des neuropathies inflammatoires), avant de commencer le traitement avec Privigen. Sur cette échelle INCAT à 10 points, on a observé chez 17/28 patients (60,7%, intervalle de confiance à 95%: 42,41, 76,4) une amélioration cliniquement pertinente d'au moins 1 point entre la valeur initiale et la valeur mesurée à la 25e semaine de traitement. Le taux de répondeurs était de neuf patients après avoir reçu la dose d'induction initiale à la semaine 4 et 16 patients à la semaine 10.
  • -Les profils d'efficacité et de sécurité dans l'étude PRIMA et dans l'étude PATH chez les patients
  • -atteints de PIDC étaient globalement comparables. L'amélioration moyenne évaluée sur la base d'un score INCAT ajusté à la fin de la période de traitement comparée à la visite de référence était de 1,4 points sur l'échelle INCAT ajustée dans l'étude PRIMA (1,8 chez les patients prétraités par une IgIV) et de 1,2 points dans l'étude PATH. Les critères secondaires (I-Rods, force de préhension et scores MRC) corroborent les résultats de la mesure de l'efficacité primaire.
  • +Les profils d'efficacité et de sécurité dans l'étude PRIMA et dans l'étude PATH chez les patients atteints de PIDC étaient globalement comparables. L'amélioration moyenne évaluée sur la base d'un score INCAT ajusté à la fin de la période de traitement comparée à la visite de référence était de 1,4 point sur l'échelle INCAT ajustée dans l'étude PRIMA (1,8 chez les patients prétraités par une IgIV) et de 1,2 point dans l'étude PATH. Les critères secondaires (I-Rods, force de préhension et scores MRC) corroborent les résultats de la mesure de l'efficacité primaire.
  • -L'immunoglobuline humaine normale est immédiatement et complètement biodisponible dans la circulation du receveur après l'administration intraveineuse. Il se répartit relativement rapidement entre le plasma et le liquide extravasculaire et un équilibre entre les compartiments intra- et extravasculaires est atteint en trois à cinq jours environ.
  • -L'IgG et les complexes IgG sont dégradés dans les cellules du système réticulo-endothélial. La demi-vie peut varier d'un patient à l'autre.
  • +Absorption
  • +L'immunoglobuline humaine normale est immédiatement et complètement biodisponible dans la circulation du receveur après l'administration intraveineuse.
  • +Distribution
  • +Elle se répartit relativement rapidement entre le plasma et le liquide extravasculaire et un équilibre entre les compartiments intra- et extravasculaires est atteint en trois à cinq jours environ.
  • +Élimination
  • +L'IgG et les complexes IgG sont dégradés dans les cellules du système réticulo-endothélial. La durée de demi-vie peut varier d'un patient à l'autre.
  • -Paramètre Étude principale (N=25) Médiane (intervalle) Étude d'extension (N=13) Médiane (intervalle)
  • +Paramètres Étude principale (N=25) Médiane (intervalle) Étude d'extension (N=13) Médiane (intervalle)
  • -Stabilité et remarques concernant le stockage
  • +Durée de conservation (stabilité)
  • +Stabilité après ouverture:
  • +Privigen est à usage unique. Comme la solution ne contient pas d'agents de conservation, Privigen doit être utilisé/perfusé immédiatement après ouverture du flacon-ampoule perforable.
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • -Stabilité après ouverture de l'emballage:
  • -Privigen est à usage unique. Comme la solution ne contient pas d'agents de conservation, Privigen doit être utilisé/perfusé immédiatement après ouverture du flacon-ampoule perforable.
  • -Décembre 2017.
  • +Octobre 2019.
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