| 171 Changements de l'information professionelle Tecentriq 1200 mg/20 ml |
- +Tecentriq, en association avec la lurbinectédine, est indiqué pour le traitement d'entretien des patients adultes atteints d'un ES-SCLC sans métastases du SNC, chez qui la maladie n'a pas progressé après un traitement d'induction de première intention par Tecentriq, le carboplatine et l'étoposide (voir «Propriétés/Effets»).
-Tecentriq doit être administré sous la surveillance d'un professionnel de la santé qualifié. Il est impératif de vérifier la désignation du produit afin de s'assurer que les patients reçoivent la formulation correcte, conformément à la prescription (Tecentriq pour administration i.v. ou Tecentriq pour administration s.c.).
- +Tecentriq doit être administré sous la surveillance d'un professionnel de la santé qualifié. Il est impératif de vérifier la désignation du produit afin de s'assurer que les patients reçoivent la formulation correcte, conformément à la prescription (Tecentriq pour administration i.v. ou Tecentriq sous-cutané pour administration s.c.). Les patients recevant actuellement Tecentriq i.v. peuvent passer à Tecentriq sous-cutané (et vice versa). Le passage de Tecentriq i.v. en monothérapie à Tecentriq sous-cutané en monothérapie, et vice versa, a été évalué dans une étude randomisée (voir «Effets indésirables» et «Efficacité clinique»).
-Test de PD-L1 pour les patients atteints d'un TNBC qui doivent être traités par Tecentriq en combinaison avec le nab-paclitaxel, pour les patients atteints d'un NSCLC au stade précoce qui doivent être traités par Tecentriq en monothérapie, et pour les patients atteints d'un NSCLC métastatique en 1L qui doivent être traités par Tecentriq en combinaison avec le paclitaxel et le carboplatine
- +Test de PD-L1 pour les patients atteints d'un TNBC qui doivent être traités par Tecentriq en combinaison avec le nab-paclitaxel, pour les patients atteints d'un NSCLC au stade précoce qui doivent être traités par Tecentriq en monothérapie, et pour les patients atteints d'un NSCLC métastatique en 1L qui doivent être traités par Tecentriq en combinaison avec le paclitaxel et le carboplatine.
-NSCLC non épidermoïde métastatique en 1L Tecentriq avec paclitaxel et carboplatine Phase d'induction: 1200 mg toutes les 3 semaines Tecentriq doit être administré avant le traitement combiné lorsque l'administration a lieu le même jour. Phase d'entretien (sans chimiothérapie): 1200 mg toutes les 3 semaines Phase d'induction: ·Tecentriq, suivi du paclitaxel, puis du carboplatine en perfusion i.v., sont administrés toutes les 3 semaines. Phase d'induction: ·pendant quatre ou six cycles Phase d'entretien: ·jusqu'à perte du bénéfice clinique ou survenue d'une toxicité qui ne peut pas être traitée
- +NSCLC non épidermoïde métastatique en 1L Tecentriq avec paclitaxel et carboplatine Phase d'induction: 1200 mg toutes les 3 semaines Tecentriq doit être administré avant le traitement combiné lorsque l'administration a lieu le même jour. Phase d'entretien (sans chimiothérapie): 1200 mg toutes les 3 semaines Phase d'induction: ·Tecentriq, suivi du paclitaxel, puis du carboplatine en perfusion i.v., sont administrés toutes les 3 semaines. Phase d'induction: ·pendant quatre ou six cycles Phase d'entretien: ·jusqu'à perte du bénéfice clinique ou survenue d'une toxicité qui ne peut pas être traitée
-ES-SCLC en 1L Tecentriq avec carboplatine et étoposide Phase d'induction: ·Le carboplatine, puis l'étoposide sont administrés toutes les trois semaines en perfusion intraveineuse. ·Tecentriq, le carboplatine, puis l'étoposide sont administrés au jour 1 de chaque cycle. ·L'étoposide est également administré aux jours 2 et 3 en perfusion intraveineuse. Phase d'induction: ·pendant quatre cycles Phase d'entretien: ·jusqu'à perte du bénéfice clinique ou survenue d'une toxicité qui ne peut pas être traitée
-TNBC en 1L Tecentriq avec nab-paclitaxel 840 mg toutes les 2 semaines Tecentriq doit être administré avant le traitement combiné lorsque l'administration a lieu le même jour. ·Le nab-paclitaxel est administré à la dose de 100 mg/m2 aux jours 1, 8 et 15 de chaque cycle de 28 jours en perfusion intrveineuse. ·Tecentriq est administré aux jours 1 et 15. ·La substitution du nab-paclitaxel par d'autres formulations de paclitaxel pour le traitement du TNBC n'est pas autorisée (voir «Indications/Possibilités d'emploi» et «Mises en garde et précautions»). Jusqu'à progression de la maladie ou survenue d'une toxicité inacceptable
-Mélanome Tecentriq avec cobimétinib et vémurafénib 840 mg toutes les 2 semaines ·Avant l'instauration du traitement par Tecentriq, les patients reçoivent pendant un cycle de 28 jours 60 mg de cobimétinib une fois par jour par voie orale (21 jours avec médication et 7 jours de pause) et 960 mg de vémurafénib deux fois par jour par voie orale aux jours 1-21 et 720 mg de vémurafénib deux fois par jour par voie orale aux jours 22-28. ·Pendant le traitement par Tecentriq, les patients reçoivent 60 mg de cobimétinib une fois par jour (21 jours avec médication et 7 jours de pause)et 720 mg de vémurafénib deux fois par jour par voie orale (voir «Efficacité clinique»). Jusqu'à progression de la maladie ou survenue d'une toxicité inacceptable
-CHC en 1L Tecentriq avec bévacizumab 1200 mg toutes les 3 semaines Tecentriq doit être administré avant le traitement combiné lorsque l'administration a lieu le même jour. ·Tecentriq, suivi de 15 mg de bévacizumab par kg de poids corporel en perfusion intraveineuse, sont administrés toutes les 3 semaines. Jusqu'à perte du bénéfice clinique ou survenue d'une toxicité qui ne peut pas être traitée
- +ES-SCLC en 1L Tecentriq avec carboplatine et étoposide Phase d'induction: ·Le carboplatine, puis l'étoposide sont administrés toutes les trois semaines en perfusion intraveineuse. ·Tecentriq, le carboplatine, puis l'étoposide sont administrés au jour 1 de chaque cycle. ·L'étoposide est également administré aux jours 2 et 3 en perfusion intraveineuse. Phase d'induction: ·pendant quatre cycles Phase d'entretien: ·jusqu'à perte du bénéfice clinique ou survenue d'une toxicité qui ne peut pas être traitée
- +ES-SCLC en 1L Traitement d'entretien Tecentriq avec lurbinectédine 1200 mg toutes les 3 semaines Tecentriq doit être administré en premier lorsque l'administration a lieu le même jour. Phase d'entretien: ·Lors de chaque cycle de 21 jours, Tecentriq est administré au jour 1. ·La lurbinectédine à raison de 3,2 mg/m2 est administrée toutes les 3 semaines en perfusion intraveineuse. Jusqu'à progression de la maladie ou survenue d'une toxicité inacceptable
- +TNBC en 1L Tecentriq avec nab-paclitaxel 840 mg toutes les 2 semaines Tecentriq doit être administré avant le traitement combiné lorsque l'administration a lieu le même jour. ·Le nab-paclitaxel est administré à la dose de 100 mg/m2 aux jours 1, 8 et 15 de chaque cycle de 28 jours en perfusion intraveineuse. ·Tecentriq est administré aux jours 1 et 15. ·La substitution du nab-paclitaxel par d'autres formulations de paclitaxel pour le traitement du TNBC n'est pas autorisée (voir «Indications/Possibilités d'emploi» et «Mises en garde et précautions»). Jusqu'à progression de la maladie ou survenue d'une toxicité inacceptable
- +Mélanome Tecentriq avec cobimétinib et vémurafénib 840 mg toutes les 2 semaines ·Avant l'instauration du traitement par Tecentriq, les patients reçoivent pendant un cycle de 28 jours 60 mg de cobimétinib une fois par jour par voie orale (21 jours avec médication et 7 jours de pause) et 960 mg de vémurafénib deux fois par jour par voie orale aux jours 1-21 et 720 mg de vémurafénib deux fois par jour par voie orale aux jours 22-28. ·Pendant le traitement par Tecentriq, les patients reçoivent 60 mg de cobimétinib une fois par jour (21 jours avec médication et 7 jours de pause) et 720 mg de vémurafénib deux fois par jour par voie orale (voir «Efficacité clinique»). Jusqu'à progression de la maladie ou survenue d'une toxicité inacceptable
- +CHC en 1L Tecentriq avec bévacizumab 1200 mg toutes les 3 semaines Tecentriq doit être administré avant le traitement combiné lorsque l'administration a lieu le même jour. ·Tecentriq, suivi de 15 mg de bévacizumab par kg de poids corporel en perfusion intraveineuse, sont administrés toutes les 3 semaines. Jusqu'à perte du bénéfice clinique ou survenue d'une toxicité qui ne peut pas être traitée
-Pneumopathie inflammatoire à médiation immunitaire Grade 2 Interrompre la perfusion de Tecentriq En cas d'amélioration de l'événement indésirable au grade 0 ou 1 en l'espace de 12 semaines et de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg par jour de prednisone ou équivalent, le traitement peut être repris.
-Grade 3 ou 4 Arrêter définitivement Tecentriq
-Hépatite à médiation immunitaire chez les patients sans CHC Grade 2: (ALAT ou ASAT > 3 à 5 × la limite supérieure de la norme [LSN] ou bilirubinémie > 1,5 à 3 × LSN) Interrompre la perfusion de Tecentriq En cas d'amélioration de l'événement indésirable au grade 0 ou 1 en l'espace de 12 semaines et de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg par jour de prednisone ou équivalent, le traitement peut être repris.
- +Pneumopathie inflammatoire à médiation immunitaire Grade 2 Interrompre la perfusion de Tecentriq En cas d'amélioration de l'événement indésirable au grade 0 ou 1 en l'espace de 12 semaines et de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg par jour de prednisone ou équivalent, le traitement peut être repris.
- + Grade 3 ou 4 Arrêter définitivement Tecentriq
- +Hépatite à médiation immunitaire chez les patients sans CHC Grade 2: (ALAT ou ASAT > 3 à 5 × la limite supérieure de la norme [LSN] ou bilirubinémie > 1,5 à 3 × LSN) Interrompre la perfusion de Tecentriq En cas d'amélioration de l'événement indésirable au grade 0 ou 1 en l'espace de 12 semaines et de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg par jour de prednisone ou équivalent, le traitement peut être repris.
-Hépatite à médiation immunitaire chez les patients atteints de CHC Taux initiaux d'ASAT/ALAT dans les limites de la norme et augmentation à > 3 × à ≤ 10 × LSN Taux initiaux d'ASAT/ALAT > 1 à ≤ 3 × LSN et augmentation à > 5 × à ≤ 10 × LSN Taux initiaux d'ASAT/ALAT > 3 × à ≤ 5 × LSN et augmentation à > 8 × à ≤ 10 × LSN Interrompre la perfusion de Tecentriq Le traitement peut être repris lorsque l'effet indésirable s'améliore jusqu'au grade 0 ou au grade 1 en l'espace de 12 semaines et que la dose de corticostéroïdes a été réduite à ≤10 mg de prednisone ou équivalent par jour.
- +Hépatite à médiation immunitaire chez les patients atteints de CHC Taux initiaux d'ASAT/ALAT dans les limites de la norme et augmentation à > 3 × à ≤ 10 × LSN Taux initiaux d'ASAT/ALAT > 1 à ≤ 3 × LSN et augmentation à > 5 × à ≤ 10 × LSN Taux initiaux d'ASAT/ALAT > 3 × à ≤ 5 × LSN et augmentation à > 8 × à ≤ 10 × LSN Interrompre la perfusion de Tecentriq Le traitement peut être repris lorsque l'effet indésirable s'améliore jusqu'au grade 0 ou au grade 1 en l'espace de 12 semaines et que la dose de corticostéroïdes a été réduite à ≤10 mg de prednisone ou équivalent par jour.
-Colite à médiation immunitaire Diarrhée de grade 2 ou 3 (augmentation de ≥4 selles/jour par rapport au début du traitement) ou colite symptomatique Interrompre la perfusion de Tecentriq En cas d'amélioration de l'événement indésirable au grade 0 ou 1 en l'espace de 12 semaines et de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg par jour de prednisone ou équivalent, le traitement peut être repris.
- +Colite à médiation immunitaire Diarrhée de grade 2 ou 3 (augmentation de ≥4 selles/jour par rapport au début du traitement) ou colite symptomatique Interrompre la perfusion de Tecentriq En cas d'amélioration de l'événement indésirable au grade 0 ou 1 en l'espace de 12 semaines et de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg par jour de prednisone ou équivalent, le traitement peut être repris.
-Hypothyroïdie ou hyperthyroïdie à médiation immunitaire Symptomatique Interrompre la perfusion de Tecentriq Hypothyroïdie: Lorsque les symptômes sont contrôlés par un traitement substitutif de la thyroïde et que les taux de TSH redescendent, le traitement peut être repris. Hyperthyroïdie: Lorsque les symptômes sont contrôlés par un médicament suppresseur de la thyroïde et que la fonction thyroïdienne s'améliore, le traitement peut être repris.
-Insuffisance surrénalienne à médiation immunitaire Symptomatique Interrompre la perfusion de Tecentriq En cas d'amélioration des symptômes au grade 0 ou 1 en l'espace de 12 semaines et de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg par jour de prednisone ou équivalent, et pour autant que le patient soit stable sous la thérapie substitutive, le traitement peut être repris.
-Hypophysite à médiation immunitaire Grade 2 ou 3 Interrompre la perfusion de Tecentriq En cas d'amélioration des symptômes au grade 0 ou 1 en l'espace de 12 semaines et de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg par jour de prednisone ou équivalent, et pour autant que le patient soit stable sous la thérapie substitutive, le traitement peut être repris.
- +Hypothyroïdie ou hyperthyroïdie à médiation immunitaire Symptomatique Interrompre la perfusion de Tecentriq Hypothyroïdie: Lorsque les symptômes sont contrôlés par un traitement substitutif de la thyroïde et que les taux de TSH redescendent, le traitement peut être repris. Hyperthyroïdie: Lorsque les symptômes sont contrôlés par un médicament suppresseur de la thyroïde et que la fonction thyroïdienne s'améliore, le traitement peut être repris.
- +Insuffisance surrénalienne à médiation immunitaire Symptomatique Interrompre la perfusion de Tecentriq En cas d'amélioration des symptômes au grade 0 ou 1 en l'espace de 12 semaines et de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg par jour de prednisone ou équivalent, et pour autant que le patient soit stable sous la thérapie substitutive, le traitement peut être repris.
- +Hypophysite à médiation immunitaire Grade 2 ou 3 Interrompre la perfusion de Tecentriq En cas d'amélioration des symptômes au grade 0 ou 1 en l'espace de 12 semaines et de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg par jour de prednisone ou équivalent, et pour autant que le patient soit stable sous la thérapie substitutive, le traitement peut être repris.
-Diabète sucré de type 1 à médiation immunitaire Hyperglycémie de grade 3 ou 4 (glycémie à jeun > 250 mg/dl ou 13,9 mmol/l) Interrompre la perfusion de Tecentriq En présence d'un contrôle métabolique obtenu par l'insulinothérapie substitutive, le traitement peut être repris.
- +Diabète sucré de type 1 à médiation immunitaire Hyperglycémie de grade 3 ou 4 (glycémie à jeun > 250 mg/dl ou 13,9 mmol/l) Interrompre la perfusion de Tecentriq En présence d'un contrôle métabolique obtenu par l'insulinothérapie substitutive, le traitement peut être repris.
-Parésie faciale à médiation immunitaire Grade 1 ou 2 Interrompre la perfusion de Tecentriq Un traitement par des corticostéroïdes (1–2 mg/kg/jour de prednisone ou équivalent) doit être instauré. En cas de disparition complète ou partielle de l'événement (grade 0 à 1) en l'espace de 12 semaines et après réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg/jour de prednisone orale ou équivalent, le traitement par Tecentriq peut être repris.
- +Parésie faciale à médiation immunitaire Grade 1 ou 2 Interrompre la perfusion de Tecentriq Un traitement par des corticostéroïdes (1–2 mg/kg/jour de prednisone ou équivalent) doit être instauré. En cas de disparition complète ou partielle de l'événement (grade 0 à 1) en l'espace de 12 semaines et après réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg/jour de prednisone orale ou équivalent, le traitement par Tecentriq peut être repris.
-Pancréatite à médiation immunitaire Élévation de grade 3 ou 4 des taux sériques d'amylase ou des taux sériques de lipase (> 2× LSN) ou pancréatite de grade 2 ou 3 Interrompre la perfusion de Tecentriq En cas d'amélioration des taux sériques d'amylase et de lipase au grade 0 ou 1 en l'espace de 12 semaines, ou après la disparition des symptômes de la pancréatite et la réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg par jour de prednisone ou équivalent, le traitement peut être repris.
- +Pancréatite à médiation immunitaire Élévation de grade 3 ou 4 des taux sériques d'amylase ou des taux sériques de lipase (> 2× LSN) ou pancréatite de grade 2 ou 3 Interrompre la perfusion de Tecentriq En cas d'amélioration des taux sériques d'amylase et de lipase au grade 0 ou 1 en l'espace de 12 semaines, ou après la disparition des symptômes de la pancréatite et la réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg par jour de prednisone ou équivalent, le traitement peut être repris.
-Myosite à médiation immunitaire Grade 2 ou 3 Interrompre la perfusion de Tecentriq En cas d'amélioration des symptômes au grade 0 ou 1 en l'espace de 12 semaines et de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg par jour de prednisone ou équivalent, le traitement peut être repris.
- +Myosite à médiation immunitaire Grade 2 ou 3 Interrompre la perfusion de Tecentriq En cas d'amélioration des symptômes au grade 0 ou 1 en l'espace de 12 semaines et de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg par jour de prednisone ou équivalent, le traitement peut être repris.
-Néphrite à médiation immunitaire Grade 2: (taux de créatinine > 1,5 - 3,0 × valeur initiale au début du traitement ou > 1,5 - 3,0 × LSN) Interrompre la perfusion de Tecentriq En cas d'amélioration de l'événement indésirable au grade 0 ou 1 en l'espace de 12 semaines et de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg par jour de prednisone ou équivalent, le traitement peut être repris.
-Grade 3: (taux de créatinine > 3,0 × valeur initiale au début du traitement ou > 3,0 - 6,0 × LSN) ou grade 4: (taux de créatinine > 6,0 × LSN) Arrêter définitivement Tecentriq
-Affections du péricarde à médiation immunitaire Péricardite de grade 1 Interrompre la perfusion de Tecentriq Effectuer un bilan cardiologique détaillé afin de déterminer l'étiologie et de traiter de manière appropriée.
- +Néphrite à médiation immunitaire Grade 2: (taux de créatinine > 1,5 - 3 × valeur initiale au début du traitement ou > 1,5 - 3 × LSN) Interrompre la perfusion de Tecentriq En cas d'amélioration de l'événement indésirable au grade 0 ou 1 en l'espace de 12 semaines et de réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg par jour de prednisone ou équivalent, le traitement peut être repris.
- +Grade 3: (taux de créatinine > 3 × valeur initiale au début du traitement ou > 3 - 6 × LSN) ou grade 4: (taux de créatinine > 6 × LSN) Arrêter définitivement Tecentriq
- +Affections du péricarde à médiation immunitaire Péricardite de grade 1 Interrompre la perfusion de Tecentriq Effectuer un bilan cardiologique détaillé afin de déterminer l'étiologie et de traiter de manière appropriée.
-Éruption cutanée/Réactions cutanées sévères à médiation immunitaire Grade 3 ou suspicion de syndrome de Stevens-Johnson (SSJ) ou de nécrolyse épidermique toxique (NET) Interrompre la perfusion de Tecentriq Après la disparition de l'éruption cutanée et la réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg par jour de prednisone ou équivalent, le traitement peut être repris.
- +Éruption cutanée/Réactions cutanées sévères à médiation immunitaire Grade 3 ou suspicion de syndrome de Stevens-Johnson (SSJ) ou de nécrolyse épidermique toxique (NET) Interrompre la perfusion de Tecentriq Après la disparition de l'éruption cutanée et la réduction des doses de corticostéroïdes à ≤10 mg par jour de prednisone ou équivalent, le traitement peut être repris.
-Si une dose prévue de Tecentriq est omise, elle doit être administrée dès que possible, sans attendre la dose suivante prévue. Le schéma d'administration devrait être ajusté afin de maintenir un intervalle de trois semaines entre les doses.
- +Si une dose prévue de Tecentriq est omise, elle doit être administrée dès que possible, sans attendre la dose suivante prévue. Le schéma d'administration devrait être ajusté afin de maintenir un intervalle correct entre les doses (intervalle de deux semaines pour 840 mg et de trois semaines pour 1200 mg).
-Des réactions liées à la perfusion ont été observées au cours d'études cliniques réalisées avec Tecentriq (voir «Effets indésirables»).
- +Des réactions liées à la perfusion, y compris une anaphylaxie, ont été observées au cours d'études cliniques réalisées avec Tecentriq (voir «Effets indésirables»).
-Pendant le traitement par d’autres inhibiteurs de point de contrôle immunitaire, des cas d’insuffisance pancréatique exocrine, qui peut aussi survenir sous traitement par atézolizumab, ont été rapportés.
- +Pendant le traitement par d'autres inhibiteurs de point de contrôle immunitaire, des cas d'insuffisance pancréatique exocrine, qui peut aussi survenir sous traitement par atézolizumab, ont été rapportés.
-Patients atteints d’une maladie auto-immune préexistante
-Des données issues d’études d’observation indiquent que les patients atteints d’une maladie auto-immune (MAI) préexistante présentent un risque accru d’effets indésirables à médiation immunitaire après un traitement par un inhibiteur de point de contrôle immunitaire par rapport aux patients sans MAI préexistante. Par ailleurs, des poussées de la MAI sous-jacente sont survenues plus fréquemment, mais elles étaient la plupart du temps légères et faciles à traiter.
- +Patients atteints d'une maladie auto-immune préexistante
- +Des données issues d'études d'observation indiquent que les patients atteints d'une maladie auto-immune (MAI) préexistante présentent un risque accru d'effets indésirables à médiation immunitaire après un traitement par un inhibiteur de point de contrôle immunitaire par rapport aux patients sans MAI préexistante. Par ailleurs, des poussées de la MAI sous-jacente sont survenues plus fréquemment, mais elles étaient la plupart du temps légères et faciles à traiter.
-Les patients traités par le bévacizumab présentent un risque hémorragique accru. Des cas d'hémorragies gastro-intestinales sévères, y compris des événements d'issue fatale, ont été rapportés chez des patients atteints de carcinome hépatocelllulaire (CHC) traités par l'atézolizumab en association avec le bévacizumab. Avant d'instaurer le traitement par l'association d'atézolizumab et de bévacizumab, il convient de rechercher la présence de varices œsophagiennes et éventuellement d'administrer un traitement conforme aux pratiques cliniques chez les patients atteints de CHC. Le bévacizumab doit être définitivement arrêté pendant le traitement combiné chez les patients présentant des hémorragies de grade 3 ou 4. Consulter l'information professionnelle du bévacizumab.
- +Les patients traités par le bévacizumab présentent un risque hémorragique accru. Des cas d'hémorragies gastro-intestinales sévères, y compris des événements d'issue fatale, ont été rapportés chez des patients atteints de carcinome hépatocellulaire (CHC) traités par l'atézolizumab en association avec le bévacizumab. Avant d'instaurer le traitement par l'association d'atézolizumab et de bévacizumab, il convient de rechercher la présence de varices œsophagiennes et éventuellement d'administrer un traitement conforme aux pratiques cliniques chez les patients atteints de CHC. Le bévacizumab doit être définitivement arrêté pendant le traitement combiné chez les patients présentant des hémorragies de grade 3 ou 4. Consulter l'information professionnelle du bévacizumab.
-L'évaluation de la sécurité de Tecentriq en monothérapie repose sur les données regroupées de 5464 patients atteints de différents types de tumeurs et sur des données complémentaires issues de l'exposition cumulée de > 13'000 patients inclus dans l'ensemble des études cliniques (voir tableau 4). Les effets indésirables les plus fréquemment identifiés dans les études cliniques en rapport avec Tecentriq en monothérapie (> 10%) étaient fatigue (27,9%), diminution de l'appétit (19,3%), éruption cutanée (18,8%), nausées (17,9%), diarrhée (17,1%), pyrexie (17,0%), toux (16,8%), constipation (16,2%), dyspnée (15,6%), arthralgie (15,5%), anémie (14,5%), prurit (13,0%), asthénie (12,6%), dorsalgies (12,0%), infection des voies urinaires (11,5%), hépatite [anomalies des valeurs de laboratoire] (11,2%) et vomissements (11,1%).
-Le tableau 4 présente également sous une forme résumée les effets indésirables (EI) observés durant les études cliniques sous traitement combiné avec Tecentriq (n = 5196). Les effets indésirables les plus fréquents (≥10%) étaient les suivants: anémie (35,3%), neutropénie (35,0%), nausées (34,5%), fatigue (32,4%), éruption cutanée (30,4%), alopécie (29,8%), diarrhées (28,6%), neuropathie périphérique (24,8%), constipation (24,7%), thrombocytopénie (24,2%), diminution de l'appétit (23,4%), arthralgies (20,9%), pyrexie (19,2%), vomissements (18,9%), asthénie (18,6%), anomalies des valeurs de laboratoire pour l'hépatite (18,4%), toux (17,9%), dyspnée (15,0%), douleurs musculosquelettiques (15,6%), céphalées (14,5%), prurit (13,9%), leucopénie (13,9%), hypothyroïdie (13,7%), hypertension (13,2%), infection pulmonaire (12,3%), dorsalgies (11,4%), augmentation du taux d'ALAT (11,4%), augmentation du taux d'ASAT (11,0%), œdèmes périphériques (10,8%), et rhinopharyngite (10,3%).
- +L'évaluation de la sécurité de Tecentriq en monothérapie repose sur les données regroupées de 6179 patients atteints de différents types de tumeurs et sur des données complémentaires issues de l'exposition cumulée de > 33 000 patients inclus dans l'ensemble des études cliniques (voir tableau 4). Les effets indésirables les plus fréquemment identifiés dans les études cliniques en rapport avec Tecentriq en monothérapie (> 10%) étaient fatigue (26,1%), diminution de l'appétit (18,6%), éruption cutanée (18,0%), nausées (16,6%), diarrhée (16,4%), toux (16,3%), pyrexie (15,8%), dyspnée (15,1%), arthralgie (14,7%), anémie (14,0%), prurit (12,4%), asthénie (12,4%), dorsalgie (11,4%), hépatite [anomalies des valeurs de laboratoire] (10,9%), infection des voies urinaires (10,8%) et vomissements (10,4%).
- +Le tableau 4 présente également sous une forme résumée les effets indésirables (EI) observés durant les études cliniques sous traitement combiné avec Tecentriq (n = 5438). Les effets indésirables les plus fréquents (≥10%) étaient les suivants: anémie (35,1%), nausées (34,6%), neutropénie (34,5%), fatigue (31,9%), éruption cutanée (29,3%), alopécie (28,5%), diarrhée (28,0%), thrombocytopénie (24,3%), constipation (24,1%), neuropathie périphérique (23,9%), diminution de l'appétit (23,1%), arthralgie (20,7%), vomissements (18,7%), pyrexie (18,6%), asthénie (18,4%), anomalies des valeurs de laboratoire pour l'hépatite (18,0%), toux (17,5%), dyspnée (14,8%), douleurs musculosquelettiques (14,8%), céphalée (14,2%), leucopénie (13,8%), prurit (13,6%), hypothyroïdie (13,4%), hypertension (12,7%), infection pulmonaire (12,0%), augmentation du taux d'ALAT (11,2%), dorsalgie (11,1%), augmentation du taux d'ASAT (10,8%), œdème périphérique (10,6%), et rhinopharyngite (10,2%).
-Dans l'étude CO39262 (IMspire150), les patients qui recevaient Tecentriq i.v. en association avec du cobimétinib et du vémurafénib ont eu une fréquence plus élevée d'anomalies hépatiques de laboratoire (114/230, 49,6%), de pancréatite (89/230, 38,7%), d'hypothyroïdie (60/230, 26,1%), d'hyperthyroïdie (43/230, 18,7%), de pneumopathie inflammatoire (29/230, 12,6%), de méningo-encéphalite (6/230, 2,6%), de diabète sucré (4/230, 1,7%), de myosite (3/230, 1,3%), de néphrite (3/230, 1,3%) et d'hypophysite (2/230, 0,9%). Les effets indésirables graves les plus fréquents (≥2%) étaient les suivants: pyrexie (5,7%) et élévation de l'alanine aminotransférase (2,2%).
- +Dans l'étude CO39262 (IMspire150), les patients qui recevaient Tecentriq i.v. en association avec du cobimétinib et du vémurafénib ont eu une fréquence plus élevée d'anomalies hépatiques de laboratoire (114/230, 49,6%), de pancréatite (89/230, 38,7%), d'hypothyroïdie (60/230, 26,1%), d'hyperthyroïdie (43/230, 18,7%), de pneumopathie inflammatoire (29/230, 12,6%), de méningo-encéphalite (6/230, 2,6%), de diabète (4/230, 1,7%), de myosite (3/230, 1,3%), de néphrite (3/230, 1,3%) et d'hypophysite (2/230, 0,9%). Les effets indésirables graves les plus fréquents (≥2%) étaient les suivants: pyrexie (5,7%) et élévation de l'alanine aminotransférase (2,2%).
- +Traitement combiné avec Tecentriq lors de cancer du poumon à petites cellules de stade avancé (ES-SCLC)
- +Dans l'étude GO43104 (IMforte), les patients traités par l'association Tecentriq + lurbinectédine ont présenté, par rapport aux patients traités uniquement par Tecentriq, un nombre accru d'événements indésirables (97,1% contre 81,7%), d'événements indésirables de grade 3-4 (41,3% contre 24,6%), d'événements indésirables de grade 5 (5,0% contre 2,5%), d'événements indésirables graves (34,3% contre 17,9%), d'événements indésirables ayant entraîné un arrêt du traitement (7,0% contre 4,2%) et d'événements indésirables ayant entraîné un ajustement posologique ou une interruption du traitement (41,3% contre 15,8%). Les événements indésirables suivants sont survenus plus fréquemment au cours du traitement par l'association Tecentriq + lurbinectédine (différence > 10%): nausées (37,6%), vomissements (14,9%), fatigue (21,2%), anémie (33,9%), thrombocytopénie (12,8%), neutropénie (12,4%), numération plaquettaire diminuée (15,3%), neutrophiles diminués (13,2%) et diminution de l'appétit (18,2%). Les événements indésirables de grade ≥3 suivants sont survenus plus fréquemment au cours du traitement par l'association Tecentriq + lurbinectédine (différence > 2%): anémie (9,5%), neutrophiles diminués (7,4%), numération plaquettaire diminuée (7,0%), fatigue (3,7%), neutropénie (5,0%), thrombocytopénie (4,5%), nausées (2,9%), ALAT augmentée (2,5%) et globules blancs diminués (2,1%). Les événements indésirables graves suivants sont survenus plus fréquemment au cours du traitement par l'association Tecentriq + lurbinectédine (> 2%): numération plaquettaire diminuée (2,1%).
- +L'incidence d'événements de (thrombo-)phlébite/vascularite tous grades confondus était au total de 16,9% chez les patients du bras de traitement recevant l'association Tecentriq + lurbinectédine (n = 242) dans l'étude IMforte, contre 0,8% dans le bras de traitement sous Tecentriq dans l'étude IMforte (n = 240), 2,9% dans les données groupées concernant Tecentriq en monothérapie (n = 3178) et 5,8% dans les données groupées concernant la lurbinectédine en monothérapie (n = 554). La plupart de l'ensemble des événements survenus dans le bras de traitement recevant l'association Tecentriq+ lurbinectédine étaient liés au médicament à l'étude, en particulier à la lurbinectédine (9,5%), et nécessitaient un traitement (11,2%). La plupart des cas survenus dans le bras de traitement sous Tecentriq + lurbinectédine concernaient une phlébite et une thrombophlébite (sans plus de précision). La plupart de l'ensemble des événements de (thrombo-)phlébite/vascularite survenus dans le bras de traitement recevant l'association Tecentriq + lurbinectédine étaient de grade 1 à 2 (15,7%), non graves (15,3%), et s'étaient majoritairement résolus à la date limite de collecte des données (DCO, data cut-off) (56,1%). Le délai médian de survenue des symptômes était d'environ 3 mois et le délai médian entre leur survenue et leur régression était de 79 jours, la régression étant toutefois plus rapide (environ 1 à 1,5 mois) dans les cas les plus fréquents de phlébite et de thrombophlébite.
- +
-Les catégories de fréquence utilisées sont les suivantes: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100, < 1/10), «occasionnels» (≥1/1000, < 1/100), «rares» (≥1/10'000, < 1/1000) ou «très rares» (< 1/10'000).
- +Les catégories de fréquence utilisées sont les suivantes: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100, < 1/10), «occasionnels» (≥1/1000, < 1/100), «rares» (≥1/10 000, < 1/1000) ou «très rares» (< 1/10 000).
-Tableau 4: Résumé des effets indésirables rapportés chez les patients traités par Tecentriq i.v. ou s.c.dans le cadre d'études cliniques
- Monothérapie par Tecentriq n = 5464 Traitement combiné avec Tecentriq n = 5196
- +Tableau 4: Résumé des effets indésirables rapportés chez les patients traités par Tecentriq i.v. ou s.c. dans le cadre d'études cliniques
- + Monothérapie par Tecentriq n = 6179 Traitement combiné avec Tecentriq n = 5438
-Très fréquents Infection des voies urinaires a (tous grades confondus: 11,5%, grade 3-4: 3,1%) Infection pulmonaire b (tous grades confondus: 12,3%, grade 3-4: 4,7%, grade 5: 0,6%)
- +Très fréquents Infection des voies urinaires a (tous grades confondus: 10,8%, grade 3-4: 2,9%, grade 5: < 0,1%) Infection pulmonaire b (tous grades confondus: 12,0%, grade 3-4: 4,7%, grade 5: 0,6%)
-Très fréquents Anémie (tous grades confondus: 14,5%, grade 3-4: 3,8%) Anémie (tous grades confondus: 35,3%, grade 3-4: 12,8%), thrombocytopénie c (tous grades confondus: 24,2%, grade 3-4: 9,4%, grade 5: < 0,1%), neutropénie d (tous grades confondus: 35,1%, grade 3-4: 23,1%, grade 5: 0,1%), leucopénie e (tous grades confondus 13,9%, grade 3-4: 5,6%)
-Fréquents Thrombocytopénie c Lymphopénie f
- +Très fréquents Anémie (tous grades confondus: 14,0%, grade 3-4: 3,5%) Anémie (tous grades confondus: 35,1%, grade 3-4: 12,6%), neutropénie c (tous grades confondus: 34,5%, grade 3-4: 22,5%, grade 5: 0,1%), thrombocytopénie d (tous grades confondus: 24,3%, grade 3-4: 9,5%, grade 5: < 0,1%), leucopénie e (tous grades confondus: 13,8%, grade 3-4: 5,5%)
- +Fréquents Thrombocytopénie d Lymphopénie f
-Fréquents Hypersensibilité
- +Fréquents Réactions liées à la perfusion g Réactions liées à la perfusion g
- +Occasionnels Hypersensibilité
-Très fréquents Hypothyroïdie g (tous grades confondus: 14,0%, grade 3-4: 0,2%)
-Fréquents Hypothyroïdie g, hyperthyroïdie h Hyperthyroïdie h
-Occasionnels Insuffisance surrénalienne i, diabète sucré j, hypophysite k Insuffisance surrénalienne i, hypophysite k
- +Très fréquents Hypothyroïdie h (tous grades confondus: 13,4%, grade 3-4: 0,2%)
- +Fréquents Hypothyroïdie h, hyperthyroïdie i Hyperthyroïdie i
- +Occasionnels Insuffisance surrénalienne j, diabète k, hypophysite l Insuffisance surrénalienne j, hypophysite l
-Très fréquents Diminution de l'appétit (tous grades confondus: 19,3%, grade 3-4: 0,9%) Diminution de l'appétit (tous grades confondus: 23,4%, grade 3-4: 1,5%, grade 5: < 0,1%)
-Fréquents Hyperglycémie, hypokaliémie m, hyponatrémie n Hypokaliémie m, hyponatrémie n, hypomagnésémie l
- +Très fréquents Diminution de l'appétit (tous grades confondus: 18,6%, grade 3-4: 0,8%) Diminution de l'appétit (tous grades confondus: 23,1%, grade 3-4: 1,5%, grade 5: < 0,1%)
- +Fréquents Hyperglycémie, hypokaliémie n, hyponatrémie o Hypokaliémie n, hyponatrémie o, hypomagnésémie m
-Très fréquents Céphalées (tous grades confondus: 10,2%, grade 3-4: 0,3%) Céphalées (tous grades confondus: 14,7%, grade 3-4: 0,3%), neuropathie périphérique o (tous grades confondus: 24,9%, grade 3-4: 3,0%)
-Fréquents Vertiges, dysgueusie, syncope
-Occasionnels Syndrome de Guillain-Barré p, méningoencéphalite q
-Rares Syndrome myasthénique r, parésie faciale **, myélite ** Parésie faciale **, myélite **
- +Très fréquents Neuropathie périphérique p (tous grades confondus: 23,9%, grade 3-4: 2,9%), céphalées (tous grades confondus: 14,2%, grade 3-4: 0,2%)
- +Fréquents Céphalées, neuropathie périphérique p Vertiges, dysgueusie, syncope
- +Occasionnels Méningoencéphalite r
- +Rares Syndrome de Guillain-Barré q, syndrome myasthénique s, parésie faciale **, myélite ** Parésie faciale **, myélite **
-Fréquents Affections du péricarde s
-Occasionnels Affections du péricarde s
-Rares Myocardite t
- +Occasionnels Affections du péricarde t, myocardite u Affections du péricarde t
-Très fréquents Hypertension artérielle u (tous grades confondus: 13,2%, grade 3-4: 5,8%)
- +Très fréquents Hypertension artérielle v (tous grades confondus: 12,7%, grade 3-4: 5,6%)
-Très fréquents Toux (tous grades confondus: 16,8%, grade 3-4: 0,2%), dyspnée (tous grades confondus: 15,6%, grade 3-4: 2,4%) Toux (tous grades confondus: 18,0%, grade 3-4: 0,2%), dyspnée (tous grades confondus: 15,1%, grade 3-4: 1,7%, grade 5: < 0,1%), rhinopharyngite v (tous grades confondus: 10,6%, grade 3-4: < 0,1%)
-Fréquents Hypoxie w, rhinopharyngite v, pneumopathie inflammatoire x Pneumopathie inflammatoire x, dysphonie
-Occasionnels Hypoxie w
- +Très fréquents Toux (tous grades confondus: 16,3%, grade 3-4: 0,2%), dyspnée (tous grades confondus: 15,1%, grade 3-4: 2,4%, grade 5: < 0,1%) Toux (tous grades confondus: 17,5%, grade 3-4: 0,2%), dyspnée (tous grades confondus: 14,8%, grade 3-4: 1,7%, grade 5: < 0,1%), rhinopharyngite w (tous grades confondus: 10,2%, grade 3-4: < 0,1%)
- +Fréquents Hypoxie x, rhinopharyngite w, pneumopathie inflammatoire y, embarras de la respiration nasale Pneumopathie inflammatoire y, dysphonie
- +Occasionnels Hypoxie x
-Très fréquents Diarrhées y (tous grades confondus: 17,1%, grade 3-4: 1,0%), nausées (tous grades confondus: 17,9%, grade 3-4: 0,7%), vomissements (tous grades confondus: 11,1%, grade 3-4: 0,6%) Constipation (tous grades confondus: 24,7%, grade 3-4: 0,5%), diarrhées y (tous grades confondus: 28,7%, grade 3-4: 2,6%), nausées (tous grades confondus: 34,5%, grade 3-4: 1,5%), vomissements (tous grades confondus: 19,0%, grade 3-4: 1,4%)
-Fréquents Douleurs abdominales, colite z, dysphagie, douleurs oropharyngées aa, sécheresse buccale Stomatite, pancréatite bb, sécheresse buccale
-Occasionnels Pancréatite bb
- +Très fréquents Nausées (tous grades confondus: 16,6%, grade 3-4: 0,7%), diarrhée z (tous grades confondus: 16,4%, grade 3-4: 1,0%), vomissements (tous grades confondus: 10,4%, grade 3-4: 0,6%) Nausées (tous grades confondus: 34,6%, grade 3-4: 1,6%), diarrhée z (tous grades confondus: 28,0%, grade 3-4: 2,4%), constipation (tous grades confondus: 24,1%, grade 3-4: 0,5%), vomissements (tous grades confondus: 18,7%, grade 3-4: 1,4%)
- +Fréquents Douleurs abdominales, colite aa, dysphagie, douleurs oropharyngées bb, bouche sèche Stomatite, pancréatite cc, bouche sèche
- +Occasionnels Pancréatite cc
-Très fréquents Hépatite - anomalies des valeurs de laboratoire cc (tous grades confondus: 11,2%, grade 3-4: 3,2%) Hépatite - anomalies des valeurs de laboratoire cc (tous grades confondus: 18,5%, grade 3-4: 5,6%, grade 5: < 0,1%), augmentation du taux d'ALAT (tous grades confondus: 11,4%, grade 3-4: 2,5%), augmentation du taux d'ASAT (tous grades confondus: 11,0%, grade 3-4: 2,3%)
-Fréquents Augmentation du taux d'ALAT, augmentation du taux d'ASAT, hépatite dd
- +Très fréquents Hépatite - anomalies des valeurs de laboratoire dd (tous grades confondus: 10,9%, grade 3-4: 2,9%) Hépatite - anomalies des valeurs de laboratoire dd (tous grades confondus: 18,0%, grade 3-4: 5,5%, grade 5: < 0,1%), augmentation du taux d'ALAT (tous grades confondus: 11,2%, grade 3-4: 2,5%), augmentation du taux d'ASAT (tous grades confondus: 10,8%, grade 3-4: 2,2%)
- +Fréquents Augmentation du taux d'ALAT, augmentation du taux d'ASAT, hépatite ee
-Très fréquents Prurit (tous grades confondus: 13,0%, grade 3-4: 0,2%), éruption cutanée ee (tous grades confondus: 18,8%, grade 3-4: 1,1%) Prurit (tous grades confondus: 14,0%, grade 3-4: 0,2%), éruption cutanée ee (tous grades confondus: 30,6%, grade 3-4: 2,7%), alopécie ff (tous grades confondus: 29,8%, grade 3-4: < 0,1%)
-Fréquents Sécheresse cutanée
-Occasionnels Réactions cutanées indésirables sévères (nécrolyse épidermique toxique, syndrome de Stevens Johnson) gg, psoriasis hh Réactions cutanées indésirables sévères (nécrolyse épidermique toxique, syndrome de Stevens Johnson) gg, psoriasis hh
- +Très fréquents Éruption cutanée ff (tous grades confondus: 18,0%, grade 3-4: 1,0%), prurit (tous grades confondus: 12,4%, grade 3-4: 0,2%) Éruption cutanée ff (tous grades confondus: 29,3%, grade 3-4: 2,6%), alopécie gg (tous grades confondus: 28,5%, grade 3-4: < 0,1%), prurit (tous grades confondus: 13,6%, grade 3-4: 0,2%)
- +Fréquents Sécheresse cutanée hh
- +Occasionnels Réactions cutanées indésirables sévères (nécrolyse épidermique toxique, syndrome de Stevens Johnson) ii, psoriasis jj Réactions cutanées indésirables sévères (nécrolyse épidermique toxique, syndrome de Stevens Johnson) ii, psoriasis jj
-Très fréquents Arthralgies (tous grades confondus: 15,5%, grade 3-4: 0,8%), dorsalgies (tous grades confondus: 12,0%, grade 3-4: 1,1%) Arthralgies (tous grades confondus: 21,8%, grade 3-4: 1,1%), dorsalgies (tous grades confondus: 11,5%, grade 3-4: 0,8%), douleurs musculosquelettiques ii (tous grades confondus: 15,1%, grade 3-4: 0,7%)
-Fréquents Douleurs musculosquelettiques ii
-Occasionnels Myosite jj, kk
- +Très fréquents Arthralgie (tous grades confondus: 14,7%, grade 3-4: 0,8%), dorsalgie (tous grades confondus: 11,4%, grade 3-4: 1,0%) Arthralgie (tous grades confondus: 20,7%, grade 3-4: 1,1%), douleurs musculosquelettiques kk (tous grades confondus: 14,8%, grade 3-4: 0,7%), dorsalgie (tous grades confondus: 11,1%, grade 3-4: 0,8%)
- +Fréquents Douleurs musculosquelettiques kk
- +Occasionnels Myosite ll, mm
-Fréquents Créatinine sanguine augmentée ll Protéinurie mm, créatinine sanguine augmentée ll
-Occasionnels Néphrite nn Néphrite nn
- +Fréquents Créatinine sanguine augmentée nn Protéinurie oo, créatinine sanguine augmentée nn
- +Occasionnels Néphrite pp Néphrite pp
- +Occasionnels Créatine phosphokinase sanguine augmentée
-Très fréquents Asthénie (tous grades confondus: 12,6%, grade 3-4: 1,5%), fatigue (tous grades confondus: 27,9%, grade 3-4: 2,3%), pyrexie (tous grades confondus: 17,0%, grade 3-4: 0,5%) Asthénie (tous grades confondus: 18,7%, grade 3-4: 2,8%), fatigue (tous grades confondus: 32,5%, grade 3-4: 3,5%), pyrexie (tous grades confondus: 19,3%, grade 3-4: 0,9%), œdèmes périphériques (tous grades confondus: 10,9%, grade 3-4: 0,2%)
-Fréquents Frissons, affection grippale, réactions liées à la perfusion oo, réaction au site d'injection pp, œdèmes périphériques
- +Très fréquents Fatigue (tous grades confondus: 26,1%, grade 3-4: 2,2%), pyrexie (tous grades confondus: 15,8%, grade 3-4: 0,5%), asthénie (tous grades confondus: 12,4%, grade 3-4: 1,4%) Fatigue (tous grades confondus: 31,9%, grade 3-4: 3,5%), pyrexie (tous grades confondus: 18,6%, grade 3-4: 0,9%), asthénie (tous grades confondus: 18,4%, grade 3-4: 2,7%), œdème périphérique (tous grades confondus: 10,6%, grade 3-4: 0,2%)
- +Fréquents Frissons, affection grippale, œdème périphérique
- +Occasionnels Réaction au site d'injection qq
-a Inclut des cas rapportés d'infection urinaire, de cystite, de pyélonéphrite, d'infection urinaire à Escherichia, d'infection urinaire bactérienne, d'infection rénale, de pyélonéphrite aiguë, d'infection fongique des voies urinaires, d'infection urinaire à Pseudomonas, d'infection urinaire à entérocoques, de pyélonéphrite chronique, d'infection urinaire à staphylocoques, d'abcès rénal, de pyélite et d'urétrite, d'infection urinaire à streptocoques
-b Inclut des cas rapportés de pneumonie, de bronchite, d'infection des voies respiratoires inférieures, d'exacerbation infectieuse d'une bronchopneumopathie chronique obstructive, d'épanchement pleural infectieux, de pneumonie atypique, d'abcès pulmonaire, d'infection pleurale, de pneumonie post-procédure, de trachéobronchite, de pneumonie paranéoplasique, de pyopneumothorax
-c Inclut des cas rapportés de thrombocytopénie et de diminution du nombre de thrombocytes
-d Inclut des cas rapportés de neutropénie, de diminution du nombre de neutrophiles, de neutropénie fébrile, de sepsis neutropénique, d'agranulocytose et de granulocytopénie
-e Inclut des cas rapportés de diminution du nombre de globules blancs et de leucopénie
-f Inclut des cas rapportés de lymphocytopénie et de diminution du nombre de lymphocytes
-g Inclut des cas rapportés d'hypothyroïdie, d'augmentation et de diminution des taux sanguins de thyréostimuline, de thyroïdite auto-immune, de goitre, de thyroïdite, de diminution des taux sanguins de thyroxine libre ou de tri-iodothyronine, de troubles thyroïdiens, d'augmentation des taux sanguins de thyroxine libre ou de thyroxine totale, de diminution des taux sanguins de tri-iodothyronine totale, d'augmentation des taux sanguins de tri-iodothyronine libre, de taux sanguins anormaux de thyréostimuline, de syndrome euthyroïdien, de coma myxœdémateux, de paramètres fonctionnels thyroïdiens anormaux, de diminution de la thyroxine, de tri-iodothyronine anormale, de positivité des anticorps antithyroïdiens, de thyroïdite silencieuse, de thyroïdite chronique, de thyroïdite à médiation immunitaire, de myxœdème, de thyroïdite aiguë, de tri-iodothyronine libre anormale, d'augmentation de la tri-iodothyronine, d'hypothyroïdie auto-immune, d'hypothyroïdie primaire, de goitre hypothyroïdien, d'hypothyroïdie à médiation immunitaire
-h Inclut des cas rapportés d'hyperthyroïdie, de maladie de Basedow, d'ophtalmopathie endocrinienne, d'exophtalmie et d'hyperthyroïdie primaire
-i Inclut des cas rapportés d'insuffisance surrénalienne, de déficit en glucocorticoïdes, d'insuffisance surrénalienne primaire, de diminution du cortisol, d'insuffisance corticosurrénalienne aiguë, de test de stimulation à l'ACTH anormal, de maladie d'Addison, d'inflammation des glandes surrénales, de déficit en hormone adrénocorticotrope (ACTH), de taux sanguins anormaux de corticotropine, d'augmentation des taux sanguins de corticotropine, d'insuffisance corticosurrénalienne secondaire, de corticotropine sanguine diminuée
-j Inclut des cas rapportés de diabète sucré, de diabète sucré de type 1, d'acidocétose diabétique et d'acidocétose
-k Inclut des cas rapportés d'hypophysite, d'hypopituitarisme, de trouble de la régulation de la température, d'insuffisance surrénalienne secondaire
-l Inclut des cas rapportés d'hypomagnésémie et de diminution du magnésium dans le sang
-m Inclut des cas rapportés d'hypokaliémie et de diminution du potassium dans le sang
-n Inclut des cas rapportés d'hyponatrémie et de diminution du sodium dans le sang
-o Inclut des cas rapportés de neuropathie périphérique, de neuropathie à médiation immunitaire, de neuropathie sensitive périphérique, de polyneuropathie, de zona, de neuropathie motrice périphérique, de neuropathie auto-immune, d'amyotrophie névralgique, de neuropathie sensitivo-motrice périphérique, de neuropathie axonale, de plexopathie lombo-sacrée, d'arthropathie neuropathique, de neuropathie toxique, d'infection des nerfs périphériques, de névrite
-p Inclut des cas rapportés de syndrome de Guillain-Barré, de polyneuropathie démyélinisante, de paralysie flasque ascendante
-q Inclut des cas rapportés d'encéphalite, de méningite, de photophobie, d'encéphalite auto-immune, de méningite aseptique
-r Inclut des cas rapportés de myasthénie grave
-s Inclut des cas rapportés de péricardite, d'épanchement péricardique, de tamponnade cardiaque et de péricardite constrictive
-t Inclut des cas rapportés de myocardite, de myocardite auto-immune, de myocardite à médiation immunitaire (des cas de myocardite ont été rapportés dans des études en dehors des données combinées)
-u Inclut des cas rapportés d'hypertension, d'augmentation de la pression artérielle, de crise hypertensive, d'augmentation de la pression artérielle systolique, d'hypertension diastolique, de pression artérielle insuffisamment contrôlée et de rétinopathie hypertensive, d'hypertension essentielle, de néphropathie hypertensive, d'hypertension orthostatique
-v Inclut des cas rapportés de rhinopharyngite, de congestion nasale et de rhinorrhée
-w Inclut des cas rapportés d'hypoxie, de diminution de la saturation en oxygène et de diminution de la PO2
-x Inclut des cas rapportés de pneumopathie inflammatoire, d'alvéolite, de toxicité pulmonaire, d'infiltration pulmonaire, de bronchiolite, de pneumopathie interstitielle, de pneumopathie inflammatoire radique, d'opacité pulmonaire, de pneumopathie alvéolaire, de pneumonie à éosinophiles, de pneumopathie inflammatoire à médiation immunitaire, de fibrose pulmonaire, de lésions pulmonaires radiques, de maladie pulmonaire à médiation immunitaire
-y Inclut des cas rapportés de diarrhées, de selles fréquentes, d'hypermotilité gastro-intestinale, de selles impérieuses, de diarrhées hémorragiques
-z Inclut des cas rapportés de colite, de colite de diversion, de colite auto-immune, de colite ischémique, de colite microscopique, de colite ulcéreuse, d'entérocolite à médiation immunitaire, de colite éosinophilique
-aa Inclut des cas rapportés de douleurs oropharyngées, de troubles oropharyngés et d'irritation de la gorge
-bb Inclut des cas rapportés de pancréatite, de pancréatite auto-immune, de pancréatite aiguë, d'augmentation de la lipase, d'augmentation de l'amylase, d'augmentation des enzymes pancréatiques, d'amylase anormale
-cc Inclut des cas rapportés d'augmentation des taux d'ALAT, d'augmentation des taux d'ASAT, d'augmentation de la bilirubine dans le sang, d'augmentation de la gamma-glutamyltransférase, d'ascite, d'augmentation des transaminases, de douleurs hépatiques, d'hyperbilirubinémie, d'augmentation des paramètres fonctionnels hépatiques, d'augmentation des enzymes hépatiques, de trouble de la fonction hépatique, d'hypertransaminasémie, d'augmentation des taux sanguins de bilirubine non conjuguée, d'hyperammoniémie, d'augmentation des taux d'acides biliaires totaux, d'augmentation des taux d'ammoniaque, d'hépatopathie congestive, d'augmentation des taux urinaires de bilirubine, d'augmentation des taux sanguins de bilirubine conjuguée, d'hépatomégalie, d'enzymes hépatiques anormaux, de paramètres fonctionnels hépatiques anormaux, de bilirubine sanguine anormale
-dd Inclut des cas rapportés d'ascite, d'hépatite auto-immune, de lésion hépatocellulaire, d'hépatite, d'hépatite aiguë, d'hépatotoxicité, de maladie hépatique, de lésion hépatique d'origine médicamenteuse, de défaillance hépatique, de stéatose hépatique, de lésion hépatique, d'hémorragie de varices œsophagiennes, de varices œsophagiennes, d'hépatomégalie et d'hépatite toxique, de cytolyse hépatique, d'hépatite à médiation immunitaire, de lésion hépatique, de péritonite bactérienne spontanée
-ee Inclut des cas rapportés d'éruption cutanée, d'éruption cutanée maculopapuleuse, d'érythème, d'éruption cutanée prurigineuse, de dermatite acnéiforme, d'eczéma, de dermatite, d'éruption cutanée érythémateuse, d'ulcération cutanée, d'éruption cutanée papuleuse, de folliculite, d'éruption cutanée maculeuse, de desquamation cutanée, de dermatite des mains, d'eczéma infecté, de dermatite scrotale, d'éruption cutanée nodulaire, d'éruption cutanée folliculaire, d'éruption cutanée morbilliforme, d'éruption cutanée pustuleuse, de furoncle, d'acné, d'exanthème médicamenteux, de syndrome d'érythrodysesthésie palmo-plantaire, de dermatite séborrhéique, de dermatite allergique, d'érythème de la paupière, de toxicité cutanée, d'éruption cutanée de la paupière, d'exanthème fixe, d'éruption cutanée papulo-squameuse, d'éruption cutanée vésiculaire, de bulle cutanée, de vésicules labiales, de pemphigoïde, de bulle hémorragique buccale, d'exanthème de l'accès vasculaire, de dermatite à médiation immunitaire
-ff Inclut des cas rapportés d'alopécie, de madarose, d'alopécie en plaques, d'alopécie totale et d'hypotrichose
-gg Inclut des cas rapportés de dermatite bulleuse, d'exanthème exfoliatif, d'érythème polymorphe, de dermatite exfoliative généralisée, d'exanthème toxique, de syndrome de Stevens-Johnson (SSJ), de dermatite exfoliative, de réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (DRESS), de nécrolyse épidermique toxique (NET) et de vascularite cutanée (des cas de SSJ et de DRESS ont été rapportés dans des études en dehors des données combinées)
-hh Inclut des cas rapportés de dermatite psoriasiforme, de psoriasis en gouttes et de psoriasis
-ii Inclut des cas rapportés de douleurs de l'appareil locomoteur, de myalgies et de douleurs osseuses
-jj Inclut des cas rapportés de myosite, de rhabdomyolyse, de pseudopolyarthrite rhizomélique, de dermatomyosite, d'abcès musculaire, de présence de myoglobine dans les urines, de myopathie, de polymyosite
-kk Des cas mortels ont été rapportés dans des études en dehors des données combinées
-ll Inclut des cas rapportés d'augmentation de la créatinine dans le sang et d'hypercréatininémie
-mm Inclut des cas rapportés de protéinurie, de microalbuminurie, de présence de protéines dans les urines, d'hémoglobinurie, de syndrome néphrotique, d'anomalie urinaire et d'albuminurie
-nn Inclut des cas rapportés de néphrite, de glomérulonéphrite paranéoplasique, de glomérulonéphrite chronique, de néphropathie du purpura rhumatoïde (purpura d'Henoch-Schönlein), de néphrite tubulo-interstitielle, de néphrite d'origine auto-immune, de néphrite allergique, de glomérulonéphrite, de syndrome néphrotique et de glomérulonéphrite mésangioproliférative
-oo Inclut des cas rapportés de réaction liée à la perfusion et de syndrome de relargage des cytokines, d'hypersensibilité, de réaction anaphylactique
-pp Rapportée dans l'étude IMscin001 (se référant à l'administration par voie sous-cutanée). L'indication de fréquence repose sur l'exposition à Tecentriq s.c.dans l'étude IMscin001 et inclut des rapports de réactions au site d'injection, de douleurs au site d'injection, d'érythème au site d'injection et d'éruption cutanée au site d'injection
- +a Inclut des cas rapportés d'infection urinaire, de cystite, de pyélonéphrite, d'infection urinaire à Escherichia, d'infection urinaire bactérienne, d'infection rénale, de pyélonéphrite aiguë, d'infection fongique des voies urinaires, d'infection urinaire à Pseudomonas, d'infection urinaire à entérocoques, de pyélonéphrite chronique, d'infection urinaire à staphylocoques, d'abcès rénal, de pyélite et d'urétrite, d'infection urinaire à streptocoquesb Inclut des cas rapportés de pneumonie, de bronchite, d'infection des voies respiratoires inférieures, d'exacerbation infectieuse d'une bronchopneumopathie chronique obstructive, d'épanchement pleural infectieux, de pneumonie atypique, d'abcès pulmonaire, d'infection pleurale, de pneumonie post-procédure, de trachéobronchite, de pneumonie paranéoplasique, de pyopneumothoraxc Inclut des cas rapportés de neutropénie, de neutrophiles diminués, de neutropénie fébrile, de sepsis neutropénique, d'agranulocytose et de granulocytopénied Inclut des cas rapportés de thrombopénie immunitaire, de thrombocytopénie et de numération plaquettaire diminuéee Inclut des cas rapportés de diminution du nombre de globules blancs et de leucopénief Inclut des cas rapportés de lymphocytopénie et de numération de lymphocytes diminuéeg Inclut des cas rapportés de réaction liée à la perfusion, de syndrome de libération des cytokines, d'hypersensibilité et d'anaphylaxie (réaction anaphylactique, choc anaphylactique, réaction anaphylactoïde, choc anaphylactoïde)h Inclut des cas rapportés d'hypothyroïdie, d'augmentation et de diminution des taux sanguins de thyréostimuline, de thyroïdite auto-immune (des cas de thyroïdite auto-immune ont été rapportés dans des études en dehors des données groupées), de goitre, de thyroïdite, de diminution des taux sanguins de thyroxine libre ou de tri-iodothyronine, de troubles thyroïdiens, d'augmentation des taux sanguins de thyroxine libre ou de thyroxine totale, de diminution des taux sanguins de tri-iodothyronine totale, d'augmentation des taux sanguins de tri-iodothyronine libre, de taux sanguins anormaux de thyréostimuline, de syndrome euthyroïdien, de coma myxœdémateux, de paramètres fonctionnels thyroïdiens anormaux, de diminution de la thyroxine, de tri-iodothyronine anormale, de positivité des anticorps antithyroïdiens, de thyroïdite silencieuse, de thyroïdite chronique, de thyroïdite à médiation immunitaire, de myxœdème, de thyroïdite aiguë, de tri-iodothyronine libre anormale, d'augmentation de la tri-iodothyronine, d'hypothyroïdie auto-immune, d'hypothyroïdie primaire, de goitre hypothyroïdien, d'hypothyroïdie à médiation immunitairei Inclut des cas rapportés d'hyperthyroïdie, de maladie de Basedow, d'ophtalmopathie endocrinienne, d'exophtalmie et d'hyperthyroïdie primairej Inclut des cas rapportés d'insuffisance surrénalienne, de déficit en glucocorticoïdes, d'insuffisance surrénalienne primaire, de diminution du cortisol, d'insuffisance corticosurrénalienne aiguë, de test de stimulation à l'ACTH anormal, de maladie d'Addison, d'inflammation des glandes surrénales, de déficit en hormone adrénocorticotrope (ACTH), de taux sanguins anormaux de corticotropine, d'augmentation des taux sanguins de corticotropine, d'insuffisance corticosurrénalienne secondaire, de corticotropine sanguine diminuéek Inclut des cas rapportés de diabète, de diabète sucré de type 1, d'acidocétose diabétique et d'acidocétosel Inclut des cas rapportés d'hypophysite, d'hypopituitarisme, de trouble de la régulation de la température, d'insuffisance surrénalienne secondairem Inclut des cas rapportés d'hypomagnésémie et de diminution du magnésium dans le sangn Inclut des cas rapportés d'hypokaliémie et de diminution du potassium dans le sango Inclut des cas rapportés d'hyponatrémie et de diminution du sodium dans le sangp Inclut des cas rapportés de neuropathie périphérique, de neuropathie sensitive périphérique, de polyneuropathie, de neuropathie motrice périphérique, de neuropathie auto-immune, d'amyotrophie névralgique, de neuropathie sensitivo-motrice périphérique, de neuropathie axonale, de plexopathie brachiale, de plexopathie lombo-sacrée, de neuropathie toxique, de névriteq Inclut des cas rapportés de syndrome de Guillain-Barré, de polyneuropathie démyélinisante, de paralysie flasque ascendanter Inclut des cas rapportés d'encéphalite, de méningite, de photophobie, d'encéphalite auto-immune, de méningite aseptiques Inclut des cas rapportés de myasthénie gravet Inclut des cas rapportés de péricardite, d'épanchement péricardique, de tamponnade cardiaque et de péricardite constrictiveu Inclut des cas rapportés de myocardite, de myocardite auto-immune, de myocardite à médiation immunitaire (des cas de myocardite ont été rapportés dans des études en dehors des données combinées)v Inclut des cas rapportés d'hypertension, d'augmentation de la pression artérielle, de crise hypertensive, d'augmentation de la pression artérielle systolique, d'hypertension diastolique, de pression artérielle insuffisamment contrôlée et de rétinopathie hypertensive, d'hypertension essentielle, de néphropathie hypertensive, d'hypertension orthostatiquew Inclut des cas rapportés de rhinopharyngite, de congestion nasale et de rhinorrhéex Inclut des cas rapportés d'hypoxie, de diminution de la saturation en oxygène et de diminution de la PO2y Inclut des cas rapportés de pneumopathie inflammatoire, d'alvéolite, de toxicité pulmonaire, d'infiltration pulmonaire, de bronchiolite, de pneumopathie interstitielle, de pneumopathie inflammatoire radique, d'opacité pulmonaire, de pneumopathie alvéolaire, de pneumonie à éosinophiles, de pneumopathie inflammatoire à médiation immunitaire, de fibrose pulmonaire, de lésions pulmonaires radiques, de maladie pulmonaire à médiation immunitairez Inclut des cas rapportés de diarrhées, de selles fréquentes, d'hypermotilité gastro-intestinale, de selles impérieusesaa Inclut des cas rapportés de colite, de colite de dérivation, de colite auto-immune, de colite ischémique, de colite microscopique, de colite ulcéreuse, d'entérocolite à médiation immunitaire (des cas d'entérocolite à médiation immunitaire ont été rapportés dans des études en dehors des données groupées), de colite éosinophiliquebb Inclut des cas rapportés de douleurs oropharyngées, de troubles oropharyngés et d'irritation de la gorgecc Inclut des cas rapportés de pancréatite, de pancréatite auto-immune, de pancréatite aiguë, d'augmentation de la lipase, d'augmentation de l'amylase, d'augmentation des enzymes pancréatiques, d'amylase anormaledd Inclut des cas rapportés d'augmentation des taux d'ALAT, d'augmentation des taux d'ASAT, d'augmentation de la bilirubine dans le sang, d'augmentation de la gamma-glutamyltransférase, d'ascite, d'augmentation des transaminases, de douleurs hépatiques, d'hyperbilirubinémie, d'augmentation des paramètres fonctionnels hépatiques, d'augmentation des enzymes hépatiques, de trouble de la fonction hépatique, d'hypertransaminasémie, d'augmentation des taux sanguins de bilirubine non conjuguée, d'hyperammoniémie, d'augmentation des taux d'acides biliaires totaux, d'augmentation des taux d'ammoniaque, d'hépatopathie congestive, d'augmentation des taux urinaires de bilirubine, d'augmentation des taux sanguins de bilirubine conjuguée, d'hépatomégalie, d'enzymes hépatiques anormaux, de paramètres fonctionnels hépatiques anormaux, de bilirubine sanguine anormaleee Inclut des cas rapportés d'ascite, d'hépatite auto-immune, de lésion hépatocellulaire, d'hépatite, d'hépatite aiguë, d'hépatotoxicité, de maladie hépatique, de lésion hépatique d'origine médicamenteuse, de défaillance hépatique, de stéatose hépatique, de lésion hépatique, d'hémorragie de varices œsophagiennes, de varices œsophagiennes, d'hépatomégalie et d'hépatite toxique, de cytolyse hépatique, d'hépatite à médiation immunitaire, de lésion hépatique, de péritonite bactérienne spontanéeff Inclut des cas rapportés d'éruption cutanée, d'éruption cutanée maculopapuleuse, d'érythème, d'éruption cutanée prurigineuse, de dermatite acnéiforme, d'eczéma, de dermatite, d'éruption cutanée érythémateuse, d'ulcération cutanée, d'éruption cutanée papuleuse, de folliculite, d'éruption cutanée maculeuse, de desquamation cutanée, de dermatite des mains, d'eczéma infecté, de dermatite scrotale, d'éruption cutanée nodulaire, d'éruption cutanée folliculaire, d'éruption cutanée morbilliforme, d'éruption cutanée pustuleuse, de furoncle, d'acné, d'exanthème médicamenteux, de syndrome d'érythrodysesthésie palmo-plantaire, de dermatite séborrhéique, de dermatite allergique, d'érythème de la paupière, de toxicité cutanée, d'éruption cutanée de la paupière, d'exanthème fixe, d'éruption cutanée papulo-squameuse, d'éruption cutanée vésiculaire, de bulle cutanée, de vésicules labiales, de pemphigoïde, de bulle hémorragique buccale, d'exanthème de l'accès vasculaire, de dermatite à médiation immunitairegg Inclut des cas rapportés d'alopécie, de madarose, d'alopécie en plaques, d'alopécie totale et d'hypotrichosehh Inclut des cas rapportés de sécheresse cutanée, de xéroseii Inclut des cas rapportés de dermatite bulleuse, d'exanthème exfoliatif, d'érythème polymorphe, de dermatite exfoliative généralisée, d'exanthème toxique, de syndrome de Stevens-Johnson (SSJ), de dermatite exfoliative, de réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (DRESS), de nécrolyse épidermique toxique (NET) et de vascularite cutanée (des cas de SSJ et de DRESS ont été rapportés dans des études en dehors des données combinées)jj Inclut des cas rapportés de dermatite psoriasiforme, de psoriasis en gouttes et de psoriasiskk Inclut des cas rapportés de douleurs de l'appareil locomoteur, de myalgies et de douleurs osseusesll Inclut des cas rapportés de myosite, de rhabdomyolyse, de pseudopolyarthrite rhizomélique, de dermatomyosite, d'abcès musculaire, de présence de myoglobine dans les urines, de myopathie, de polymyosite, de myosite à médiation immunitairemm Des cas mortels ont été rapportés dans des études en dehors des données combinéesnn Inclut des cas rapportés d'augmentation de la créatinine dans le sang et d'hypercréatininémieoo Inclut des cas rapportés de protéinurie, de microalbuminurie, de présence de protéines dans les urines, d'hémoglobinurie, de syndrome néphrotique, d'anomalie urinaire et d'albuminuriepp Inclut des cas rapportés de néphrite, de glomérulonéphrite paranéoplasique, de glomérulonéphrite chronique, de néphropathie du purpura rhumatoïde (purpura d'Henoch-Schönlein), de néphrite tubulo-interstitielle, de néphrite d'origine auto-immune, de néphrite allergique, de glomérulonéphrite, de syndrome néphrotique et de glomérulonéphrite mésangioproliférativeqq Rapportée dans des études en dehors des données groupées (se référant à l'administration par voie sous-cutanée). L'indication de fréquence repose sur l'exposition à Tecentriq s.c. dans l'étude IMscin001 (n = 11/247; 4,5%) et dans IMscin002 (n = 18/175; 10,3%, les patients recevaient Tecentriq s.c. et Tecentriq i.v.) et inclut des rapports de réactions au site d'injection, de douleurs au site d'injection, d'érythème au site d'injection et d'éruption cutanée au site d'injection
-a Rapportées dans le cadre de l'expérience postcommercialisation en dehors de l'ensemble des données combinées. La fréquence repose sur l'exposition dans la totalité du programme.
- +a Rapportées dans le cadre de l'expérience post-commercialisation en dehors de l'ensemble des données combinées. La fréquence repose sur l'exposition dans la totalité du programme.
-Lors des études cliniques menées chez 5464 patients atteints de différents types de cancers, qui ont reçu Tecentriq, 41,1% des patients ont développé des infections, notamment des infections de grade 3 (8,1%), de grade 4 (1,6%) et de grade 5 (1,0%). Les infections de grade 3 ou supérieur les plus fréquentes étaient les infections urinaires et les pneumonies, survenues chez respectivement 2,5 et 2,4% des patients.
- +Lors des études cliniques menées chez 5939 patients atteints de différents types de cancers, qui ont reçu Tecentriq, 41,0% des patients ont développé des infections, notamment des infections de grade 3 (8,5%), de grade 4 (1,5%) et de grade 5 (1,2%). Les infections de grade 3 ou supérieur les plus fréquentes étaient les infections des voies urinaires et les pneumonies, survenues chez respectivement 2,4 et 2,6% des patients.
-Une lymphohistiocytose hémophagocytaire (LLH) est survenue chez < 0,1% (2/5464) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 2,7 mois (intervalle: de 1,6 à 3,8 mois). La durée a été de 1,1 mois (intervalle: de 0,9 à 1,4 mois). Chez 1 patient (< 0,1%), la LLH a entraîné l'arrêt de Tecentriq. Aucun des deux patients n'a eu besoin de corticostéroïdes.
- +Une lymphohistiocytose hémophagocytaire (LLH) est survenue chez < 0,1% (2/5939) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 2,7 mois (intervalle: de 1,6 à 3,8 mois). La durée a été de 1,1 mois (intervalle: de 0,9 à 1,4 mois). Chez 1 patient (< 0,1%), la LLH a entraîné l'arrêt de Tecentriq. Aucun des deux patients n'a eu besoin de corticostéroïdes.
-Une pneumopathie inflammatoire est survenue chez 2,9% (156/5464) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Cet événement a eu une issue fatale chez trois des 156 patients. Le délai médian d'apparition a été de 4,0 mois (intervalle: de 0,1 à 29,8 mois). La durée médiane a été de 1,8 mois (intervalle: de 0 à 27,8+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Chez 36 patients (0,7%), la pneumopathie inflammatoire a entraîné une interruption du traitement par Tecentriq. Une pneumopathie inflammatoire ayant nécessité l'utilisation de corticostéroïdes est survenue chez 1,6% (88/5464) des patients traités par Tecentriq.
- +Une pneumopathie inflammatoire est survenue chez 3,0% (177/5939) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Cet événement a eu une issue fatale chez quatre des177 patients. Le délai médian d'apparition a été de 4,0 mois (intervalle: de 0,1 à 29,8 mois). La durée médiane a été de 2,1 mois (intervalle: de 0 à 64,0+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Chez 51 patients (0,9%), la pneumopathie inflammatoire a entraîné une interruption du traitement par Tecentriq. Une pneumopathie inflammatoire ayant nécessité l'utilisation de corticostéroïdes est survenue chez 1,8% (104/5939) des patients traités par Tecentriq.
-Une hépatite est survenue chez 1,7% (90/5464) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Cet événement a eu une issue fatale chez trois des 90 patients. Le délai médian d'apparition a été de 1,9 mois (intervalle: de 0,2 à 18,8 mois). La durée médiane a été de 1,1 mois (intervalle: de 0 à 32,4+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Une hépatite a entraîné une interruption du traitement par Tecentriq chez 18 patients (0,3%). Une hépatite a nécessité l'administration de corticostéroïdes chez 0,6% (32/5464) des patients traités par Tecentriq.
-Dans l'étude IMscin001, une hépatite à médiation immunitaire est survenue chez 1,2% (3/247) des patients traités par Tecentriq s.c.. Dans l'étude sur le mélanome (CO39262), les hépatites d'origine immunologique étaient plus fréquentes chez les patients ayant reçu Tecentriq i.v. en association avec du cobimétinib et du vémurafénib. Une hépatite d'origine immunologique est survenue chez 53,0% (122/230) des patients et était de grade 3-4 chez 22,2% (51/230) des patients et de grade 5 chez 0,9% (2/230) des patients. La plupart des événements en lien avec une hépatite d'origine immunologique signalée chez les patients traités par Tecentriq en association avec du cobimétinib et du vémurafénib étaient des valeurs de laboratoire anormales (114 des 122 patients [93,4%]).
- +Une hépatite est survenue chez 1,6% (97/5939) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Cet événement a eu une issue fatale chez quatre des 97 patients. Le délai médian d'apparition a été de 2,0 mois (intervalle: de 0,2 à 18,8 mois). La durée médiane a été de 1,1 mois (intervalle: de 0 à 58,5+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Une hépatite a entraîné une interruption du traitement par Tecentriq chez 22 patients (0,4%). Une hépatite a nécessité l'administration de corticostéroïdes chez 0,6% (37/5939) des patients traités par Tecentriq.
- +Dans l'étude IMscin001, une hépatite à médiation immunitaire est survenue chez 1,2% (3/247) des patients traités par Tecentriq s.c.
- +Dans l'étude sur le mélanome (CO39262), les hépatites d'origine immunologique étaient plus fréquentes chez les patients ayant reçu Tecentriq i.v. en association avec du cobimétinib et du vémurafénib. Une hépatite d'origine immunologique est survenue chez 53,0% (122/230) des patients et était de grade 3-4 chez 22,2% (51/230) des patients et de grade 5 chez 0,9% (2/230) des patients. La plupart des événements en lien avec une hépatite d'origine immunologique signalée chez les patients traités par Tecentriq en association avec du cobimétinib et du vémurafénib étaient des valeurs de laboratoire anormales (114 des 122 patients [93,4%]).
-Une colite est survenue chez 1,1% (62/5464) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 4,9 mois (intervalle: de 0,5 à 17,2 mois). La durée médiane a été de 1,4 mois (intervalle: de 0,1 à 50,2+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Chez 23 patients (0,4%), la colite a entraîné une interruption du traitement par Tecentriq. Chez 0,5% (29/5464) des patients sous traitement par Tecentriq, la survenue d'une colite a nécessité l'utilisation de corticostéroïdes.
- +Une colite est survenue chez 1,1% (67/5939) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 4,9 mois (intervalle: de 0,5 à 36,4 mois). La durée médiane a été de 1,4 mois (intervalle: de 0,1 à 61,7+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Chez 26 patients (0,4%), la colite a entraîné une interruption du traitement par Tecentriq. Chez 0,6% (34/5939) des patients sous traitement par Tecentriq, la survenue d'une colite a nécessité l'utilisation de corticostéroïdes.
-Une hypothyroïdie est survenue chez 8,6% (471/5464) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 4,2 mois (intervalle: de 0 à 34,5 mois). L'hypothyroïdie a entraîné une interruption du traitement par Tecentriq chez 10 patients (0,2%). La durée médiane a été de 51,1 mois (intervalle: de 0,1+ à 56,2+ mois; le signe + signale une valeur censurée).
-Une hyperthyroïdie est survenue chez 2,5% (138/5464) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 2,7 mois (intervalle: de 0 à 24,3 mois). La durée médiane a été de 2,6 mois (intervalle: de 0+ à 47,7+ mois; le signe + signale une valeur censurée). L'hyperthyroïdie a entraîné une interruption du traitement par Tecentriq chez 5 patients (< 0,1%).
- +Une hypothyroïdie est survenue chez 8,6% (511/5939) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 4,1 mois (intervalle: de 0 à 38,5 mois). L'hypothyroïdie a entraîné une interruption du traitement par Tecentriq chez 10 patients (0,2%). La durée médiane a été de 51,1 mois (intervalle: de 0,1+ à 88,6+ mois; le signe + signale une valeur censurée).
- +Une hyperthyroïdie est survenue chez 2,5% (149/5939) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 2,7 mois (intervalle: de 0 à 24,3 mois). La durée médiane a été de 2,6 mois (intervalle: de 0+ à 77,2+ mois; le signe + signale une valeur censurée). L'hyperthyroïdie a entraîné une interruption du traitement par Tecentriq chez 6 patients (0,1%).
-Une insuffisance surrénalienne est survenue chez 0,5% (26/5464) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 6,7 mois (intervalle: de 0,1 à 21,4 mois). L'insuffisance surrénalienne a entraîné l'interruption du traitement chez 5 patients (< 0,1%). Chez 0,4% (22/5464) des patients sous traitement par Tecentriq, la survenue d'une insuffisance surrénalienne a nécessité l'utilisation de corticostéroïdes.
- +Une insuffisance surrénalienne est survenue chez 0,4% (26/5939) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 6,7 mois (intervalle: de 0,1 à 21,4 mois). L'insuffisance surrénalienne a entraîné l'interruption du traitement chez 5 patients (< 0,1%). Chez 0,4% (23/5939) des patients sous traitement par Tecentriq, la survenue d'une insuffisance surrénalienne a nécessité l'utilisation de corticostéroïdes.
-Une hypophysite est survenue chez 0,1% (6/5464) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 6,1 mois chez ces patients (intervalle: de 0,8 à 13,7 mois). L'hypophysite a entraîné l'interruption de Tecentriq chez 1 patient (< 0,1%) et nécessité le recours à des corticostéroïdes chez < 0,1% (5/5464) des patients sous traitement par Tecentriq. Dans une étude en cours, une hypophysite est survenue chez 0,8% (3/393) des patients ayant reçu Tecentriq i.v. en association au bévacizumab, au paclitaxel et au carboplatine. Le délai médian d'apparition a été de 7,7 mois (intervalle: de 5,0 à 8,8 mois). Les trois patients ont nécessité un traitement par des corticostéroïdes.
-Diabète sucré
-Un diabète sucré est survenu chez 0,5% (26/5464) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 5,4 mois (intervalle: de 0,1 à 29,0 mois). La durée médiane a été de 9,2 mois (intervalle: de 0,1 à 51,2+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Chez 3 patients (< 0,1%), le diabète sucré a entraîné une interruption du traitement par Tecentriq et quatre patients ont nécessité un traitement par des corticostéroïdes.
-Un diabète sucré est survenu chez 2,0% (10/493) des patients atteints de CHC ayant reçu Tecentriq i.v. en association avec le bévacizumab. Le délai médian d'apparition a été de 4,4 mois (intervalle: de 1,2 à 8,3 mois). Aucun des cas de diabète sucré n'a nécessité l'arrêt de Tecentriq.
- +Une hypophysite est survenue chez 0,2% (10/5939) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 5,1 mois chez deux de ces patients (intervalle: de 0,7 à 13,7 mois). L'hypophysite a entraîné l'interruption de Tecentriq chez 1 patient (< 0,1%) et nécessité le recours à des corticostéroïdes chez 0,1% (7/5939) des patients sous traitement par Tecentriq.
- +Dans une étude en cours, une hypophysite est survenue chez 0,8% (3/393) des patients ayant reçu Tecentriq i.v. en association au bévacizumab, au paclitaxel et au carboplatine. Le délai médian d'apparition a été de 7,7 mois (intervalle: de 5,0 à 8,8 mois). Les trois patients ont nécessité un traitement par des corticostéroïdes.
- +Diabète
- +Un diabète est survenu chez 0,5% (30/5939) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 5,5 mois (intervalle: de 0,1 à 29,0 mois). La durée médiane a été de 4,9 mois (intervalle: de 0,1 à 62,0+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Chez 3 patients (< 0,1%), le diabète a entraîné une interruption du traitement par Tecentriq et quatre patients ont nécessité un traitement par des corticostéroïdes.
- +Un diabète est survenu chez 2,0% (10/493) des patients atteints de CHC ayant reçu Tecentriq i.v. en association avec le bévacizumab. Le délai médian d'apparition a été de 4,4 mois (intervalle: de 1,2 à 8,3 mois). Aucun des cas de diabète n'a nécessité l'arrêt de Tecentriq.
-Une méningoencéphalite est survenue chez 0,5% (24/5464) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai d'apparition a été de 0,5 mois (intervalle: de 0 à 12,5 mois). La durée médiane a été de 0,7 mois (intervalle: de 0,1+ à 14,5+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Une méningoencéphalite a entraîné l'interruption de Tecentriq chez 9 patients (0,2%) et nécessité le recours à des corticostéroïdes chez 0,3% (14/5464) des patients sous traitement par Tecentriq.
- +Une méningoencéphalite est survenue chez 0,4% (26/5939) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai d'apparition a été de 0,5 mois (intervalle: de 0 à 12,5 mois). La durée médiane a été de 0,7 mois (intervalle: de 0,1+ à 14,5+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Une méningoencéphalite a entraîné l'interruption de Tecentriq chez 11 patients (0,2%) et nécessité le recours à des corticostéroïdes chez 0,3% (16/5939) des patients sous traitement par Tecentriq.
-Un syndrome de Guillain-Barré et une polyneuropathie démyélinisante sont survenus chez 0,1% (6/5464) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition de cet événement a été de 4,1 mois (intervalle: de 0,6 à 8,1 mois). La durée médiane a été de 8,0 mois (intervalle: de 0,6 à 24,5+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Un syndrome de Guillain-Barré a entraîné l'interruption de Tecentriq chez 3 patients (< 0,1%). Chez < 0,1% (3/5464) des patients, un syndrome de Guillain-Barré a nécessité le recours à des corticostéroïdes.
- +Un syndrome de Guillain-Barré et une polyneuropathie démyélinisante sont survenus chez 0,1% (6/5939) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition de cet événement a été de 4,1 mois (intervalle: de 0,6 à 8,1 mois). La durée médiane a été de 8,0 mois (intervalle: de 0,6 à 24,5+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Un syndrome de Guillain-Barré a entraîné l'interruption de Tecentriq chez 1 patient (< 0,1%). Chez < 0,1% (3/5939) des patients, un syndrome de Guillain-Barré a nécessité le recours à des corticostéroïdes.
-Une parésie faciale est survenue chez < 0,1% (1/5464) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai d'apparition a été de 1,0 mois. La durée a été de 1,1 mois. Cet événement n'a pas nécessité le recours à des corticostéroïdes et n'a pas entraîné l'arrêt de Tecentriq.
- +Une parésie faciale est survenue chez < 0,1% (1/5939) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai d'apparition a été de 1,0 mois. La durée a été de 1,1 mois. Cet événement n'a pas nécessité le recours à des corticostéroïdes et n'a pas entraîné l'arrêt de Tecentriq.
-Une myélite à médiation immunitaire est survenue chez < 0,1% (1/5464) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai d'apparition a été de 0,76 mois. Cet événement a nécessité le recours à des corticostéroïdes, mais n'a pas entraîné l'arrêt de Tecentriq.
- +Une myélite à médiation immunitaire est survenue chez < 0,1% (1/5939) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai d'apparition a été de 0,8 mois. Cet événement a nécessité le recours à des corticostéroïdes, mais n'a pas entraîné l'arrêt de Tecentriq.
-Une pancréatite, y compris une augmentation des taux sériques d'amylase et de lipase, est survenue chez 0,8% (43/5464) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 6,2 mois (intervalle: de 0 à 40,4 mois). La durée médiane a été de 0,9 mois (intervalle: de 0 à 40,4+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Chez 3 patients (< 0,1%), la pancréatite a entraîné l'interruption du traitement par Tecentriq. Chez < 0,1% (7/5464) des patients ayant reçu Tecentriq, une pancréatite a nécessité le recours à des corticostéroïdes.
- +Une pancréatite, y compris une augmentation des taux sériques d'amylase et de lipase, est survenue chez 0,8% (47/5939) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 5,5 mois (intervalle: de 0 à 24,8 mois). La durée médiane a été de 0,7 mois (intervalle: de 0 à 40,4+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Chez 3 patients (< 0,1%), la pancréatite a entraîné l'interruption du traitement par Tecentriq. Chez < 0,1% (8/5939) des patients ayant reçu Tecentriq, une pancréatite a nécessité le recours à des corticostéroïdes.
-Une myosite est survenue chez 0,6% (33/5464) des patients qui avaient reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 5,0 mois (intervalle: de 0,4 à 11,5 mois). La durée médiane a été de 3,2 mois (intervalle: de 0,0 à 51,1+ mois; le signe + signale une valeur censurée). La myosite a entraîné l'interruption de Tecentriq chez 2 patients (0,1%). Chez 0,2% (11/5464) des patients sous traitement par Tecentriq, la myosite a nécessité l'administration de corticostéroïdes.
- +Une myosite est survenue chez 0,6% (34/5939) des patients qui avaient reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 3,5 mois (intervalle: de 0,4 à 11,5 mois). La durée médiane a été de 6,4 mois (intervalle: de 0,3 à 73,0+ mois; le signe + signale une valeur censurée). La myosite a entraîné l'interruption de Tecentriq chez 6 patients (0,1%). Chez 0,2% (12/5939) des patients sous traitement par Tecentriq, la myosite a nécessité l'administration de corticostéroïdes.
-Une néphrite est survenue chez 0,2% (12/5464) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 5,1 mois (intervalle: de 0,1 mois à 20,4 mois). Une néphrite a entraîné l'interruption de Tecentriq chez 6 patients (0,1%). Six patients (0,1%) ont dû suivre un traitement par des corticostéroïdes.
- +Une néphrite est survenue chez 0,2% (13/5939) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian d'apparition a été de 5,1 mois (intervalle: de 0,1 mois à 20,4 mois). Une néphrite a entraîné l'interruption de Tecentriq chez 6 patients (0,1%). Six patients (0,1%) ont dû suivre un traitement par des corticostéroïdes.
-Des réactions cutanées indésirables sévères (SCAR) sont survenues chez 0,6% (33/5464) des patients qui avaient reçu Tecentriq en monothérapie. Chez deux des 33 patients, cet événement a eu une issue fatale. Le délai médian d'apparition a été de 4,9 mois (intervalle: de 0,1 à 15,5 mois). La durée médiane a été de 2,8 mois (intervalle: de 0 à 37,5+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Chez 3 patients (< 0,1%), les SCAR ont entraîné une interruption du traitement par Tecentriq. Des SCAR ayant nécessité l'utilisation systémique de corticostéroïdes sont survenues chez 0,2% (11/5464) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie.
- +Des réactions cutanées indésirables sévères (SCAR) sont survenues chez 0,6% (33/5939) des patients qui avaient reçu Tecentriq en monothérapie. Chez deux des 33 patients, cet événement a eu une issue fatale. Le délai médian d'apparition a été de 4,9 mois (intervalle: de 0,1 à 15,5 mois). La durée médiane a été de 2,8 mois (intervalle: de 0 à 67,6+ mois; le signe + signale une valeur censurée). Chez 3 patients (< 0,1%), les SCAR ont entraîné une interruption du traitement par Tecentriq. Des SCAR ayant nécessité l'utilisation systémique de corticostéroïdes sont survenues chez 0,2% (11/5939) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie.
-Des affections du péricarde sont survenues chez 0,9% (48/5464) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian de survenue a été de 1,4 mois (intervalle: 0,2 à 17,5 mois). La durée médiane était de 1,4 mois (intervalle: 0 à 51,5+ mois; + signale une valeur censurée). Les affections du péricarde ont conduit à l'arrêt du traitement par Tecentriq chez 3 patients (< 0,1%). Des affections du péricarde ayant nécessité l'utilisation de corticoïdes sont survenues chez 0,1% (7/5464) des patients.
- +Des affections du péricarde sont survenues chez 0,8% (50/5939) des patients ayant reçu Tecentriq en monothérapie. Le délai médian de survenue a été de 1,5 mois (intervalle: 0,2 à 17,5 mois). La durée médiane était de 2,5 mois (intervalle: 0 à 51,5+ mois; + signale une valeur censurée). Les affections du péricarde ont conduit à l'arrêt du traitement par Tecentriq chez 3 patients (< 0,1%). Des affections du péricarde ayant nécessité l'utilisation de corticoïdes sont survenues chez 0,1% (7/5939) des patients.
- +Passage du traitement par Tecentriq i.v. à Tecentriq sous-cutané (et vice versa)
- +Le passage de Tecentriq i.v. à Tecentriq sous-cutané (et vice versa) a été évalué dans le cadre de l'étude IMscin002 (voir l'information professionnelle de Tecentriq sous-cutané, «Efficacité clinique»).
- +Avant le passage (cycles 1-3) de Tecentriq i.v. à Tecentriq s.c. et de Tecentriq s.c. à Tecentriq i.v., les incidences des événements indésirables (EI) de grade 3–4 et des événements indésirables graves (EIG) étaient supérieures (< 20%) aux incidences observées après le changement de traitement (cycles 4-6) (< 10%). L'incidence des EI de grade 5 était plus élevée avant le passage de Tecentriq s.c. à Tecentriq i.v. (3,5% contre 0%). L'incidence des EI de grade 5 était comparable avant et après le passage de Tecentriq i.v. à Tecentriq s.c. (1,1% contre 1,4%).
-Comme toutes les protéines thérapeutiques, Tecentriq peut également potentiellement provoquer une réponse immunitaire. Dans plusieurs études de phase III, 13,1 à 38,5% des patients ont présenté des anticorps dirigés contre le médicament (ADA: anti-drug antibodies) en lien avec le traitement et 4,3% à 19,9% des patients ont présenté des anticorps neutralisants (NAb) (voir «Mises en garde et précautions», «Propriétés/Effets», «Pharmacocinétique»).
-Dans les données regroupées des patients ayant reçu de l'atézolizumab en monothérapie (n = 3460) ou en traitement combiné (n = 2285), les taux suivants d'événements indésirables ont été observés pour la population ADA-positive, par rapport à la population ADA-négative: événements indésirables de grade 3-4: 45,9% contre 39,1%; événements indésirables graves: 39,4% contre 33,0%; événements indésirables ayant nécessité l'interruption du traitement: 8,4% contre 7,7% (en monothérapie); événements indésirables de grade 3-4: 63,9% contre 60,9%, événements indésirables graves: 43,9% contre 35,6%, événements indésirables ayant nécessité l'interruption du traitement: 22,8% contre 18,4% (en traitement combiné).
- +Comme toutes les protéines thérapeutiques, Tecentriq peut également potentiellement provoquer une réponse immunitaire. Dans plusieurs études de phase III menées avec Tecentriq i.v., 17,9 à 38,5% des patients ont présenté des anticorps dirigés contre le médicament (ADA: anti-drug antibodies) en lien avec le traitement et 4,3% à 19,9% des patients ont présenté des anticorps neutralisants (NAb) (voir «Mises en garde et précautions», «Propriétés/Effets», «Pharmacocinétique»). Au cours de l'étude IMscin001, l'incidence des ADA était de 19,5% chez les patients traités par Tecentriq s.c. et de 13,9% chez les patients traités par Tecentriq i.v.
- +Dans les données regroupées des patients ayant reçu Tecentriq i.v. en monothérapie (n = 3460) ou Tecentriq i.v. en traitement combiné (n = 2527) et Tecentriq s.c. (n = 221), les taux suivants d'événements indésirables ont été observés pour la population ADA-positive, par rapport à la population ADA-négative: événements indésirables de grade 3-4: 46,2% contre 39,5%; événements indésirables graves: 39,6% contre 33,4%; événements indésirables ayant entraîné l'interruption du traitement: 8,5% contre 7,8% (en monothérapie); événements indésirables de grade 3-4: 63,7% contre 58,0%, événements indésirables graves: 44,3% contre 34,8%, événements indésirables ayant entraîné l'interruption du traitement: 22,8% contre 16,8% (en traitements combinés); événements indésirables de grade 3-4: 20,9% contre 21,3%, événements indésirables graves: 18,6% contre 18,5%, événements indésirables ayant entraîné l'interruption du traitement: 0% contre 1,7% (avec le traitement par Tecentriq s.c.).
-Les données démographiques et les caractéristiques de la maladie au début du traitement de la population étudiée (ITT) étaient équilibrées entre les deux groupes de traitement. Dans la présente étude, l'âge médian s'élevait à 63 ans (fourchette: de 31 à 90) et 60% des patients étaient de sexe masculin. La majorité des sujets étaient de type caucasien (82%). Près de 10% des patients présentaient des mutations de l'EGFR connues, 4% présentaient des translocations de l'ALK connues, 14% avaient des métastases hépatiques à l'inclusion dans l'étude et la plupart des patients étaient fumeurs ou anciens fumeurs (80%). Au total, 95% des patients étaient atteints d'un NSCLC non épidermoïde avec une histologie d'adénocarcinome. L'indice de performance ECOG à l'inclusion était de 0 (43%) ou 1 (57%).
- +Les données démographiques et les caractéristiques de la maladie au début du traitement de la population étudiée (ITT) étaient équilibrées entre les deux groupes de traitement. Dans la présente étude, l'âge médian s'élevait à 63 ans (intervalle: de 31 à 90) et 60% des patients étaient de sexe masculin. La majorité des sujets étaient de type caucasien (82%). Près de 10% des patients présentaient des mutations de l'EGFR connues, 4% présentaient des translocations de l'ALK connues, 14% avaient des métastases hépatiques à l'inclusion dans l'étude et la plupart des patients étaient fumeurs ou anciens fumeurs (80%). Au total, 95% des patients étaient atteints d'un NSCLC non épidermoïde avec une histologie d'adénocarcinome. L'indice de performance ECOG à l'inclusion était de 0 (43%) ou 1 (57%).
-Un essai clinique de phase III, randomisé, en ouvert, GO29537 (IMpower130), a été́ mené́ afin d'évaluer l'efficacité́ et la sécurité́ de Tecentriq en association au nab-paclitaxel et au carboplatine, chez des patients naïfs de chimiothérapie atteints d'un NSCLC non épidermoïde métastatique. Les patients, y compris ceux avec aberrations génomiques tumorales du gène EGFR ou ALK, ont été́ inclus et randomisés selon un rapport 2:1 pour recevoir l'un des traitements décrits dans le tableau 5. La randomisation a été́ stratifiée selon le sexe, la présence de métastases hépatiques et le statut d'expression de PD-L1 sur les TC et les IC. Les patients recevant le traitement B ont pu changer de traitement et recevoir le Tecentriq en monothérapie après progression de la maladie.
- +Un essai clinique de phase III, randomisé, en ouvert, GO29537 (IMpower130), a été́ mené́ afin d'évaluer l'efficacité́ et la sécurité́ de Tecentriq en association au nab-paclitaxel et au carboplatine, chez des patients naïfs de chimiothérapie atteints d'un NSCLC non épidermoïde métastatique. Les patients, y compris ceux avec aberrations génomiques tumorales du gène EGFR ou ALK, ont été́ inclus et randomisés selon un rapport 2:1 pour recevoir l'un des traitements décrits dans le tableau 5. La randomisation a été́ stratifiée selon le sexe, la présence de métastases hépatiques et le statut d'expression de PD-L1 sur les TC et les IC. Les patients recevant le traitement B ont pu changer de traitement et recevoir Tecentriq en monothérapie après progression de la maladie.
-Traitement Induction (quatre ou six cycles de 21 jours) Entretien (cycles de 21 jours)
- +Traitement Induction (quatre ou six cycles de 21 jours) Entretien (cycles de 21 jours)
-a LeTecentriq est administré jusqu'à̀ perte du bénéfice clinique évaluée par le médecin investigateur.
- +a Tecentriq est administré jusqu'à̀ perte du bénéfice clinique évaluée par le médecin investigateur.
-Les patients ont été́ exclus s'ils présentaient un antécédent de maladie auto-immune, s'ils avaient reçu un vaccin vivant atténué́ dans les 28 jours précédant la randomisation, s'ils avaient reçu un traitement immunostimulant systémique dans les 4 semaines ou un traitement immunosuppresseur systémique dans les 2 semaines précédant la randomisation, s'ils présentaient des métastases cérébrales actives ou non traitées. Des évaluations tumorales ont été́ réalisées toutes les 6 semaines pendant les 48 premières semaines suivant le Jour 1 du cycle 1, puis toutes les 9 semaines par la suite.
- +Les patients ont été́ exclus s'ils présentaient un antécédent de maladie auto-immune, s'ils avaient reçu un vaccin vivant atténué́ dans les 28 jours précédant la randomisation, s'ils avaient reçu un traitement immunostimulant systémique dans les 4 semaines ou un traitement immunosuppresseur systémique dans les 2 semaines précédant la randomisation, s'ils présentaient des métastases cérébrales actives ou non traitées. Des évaluations tumorales ont été́ réalisées toutes les 6 semaines pendant les 48 premières semaines suivant le cycle 1, puis toutes les 9 semaines par la suite.
-L'analyse principale a été́ réalisée chez tous les patients, en excluant ceux avec aberrations génomiques tumorales du gène EGFR ou ALK (n = 685), définie comme la population ITT-WT. Les deux critères d'évaluation principaux étaient l'OS et la PFS évaluée par le médecin investigateur. Les principaux résultats de cette étude lors d'un suivi médian de 18,6 mois de la durée de vie restante sont résumés ci-dessous.
-Le traitement par atezo + carboplatine + nab-paclitaxel (atezo + CnP) été associé à un allongement statistiquement significatif de l'OS par rapport au carboplatine et nab-paclitaxel (CnP). Pour les patients de la population en ITT-WT, l'OS médiane était 4,7 mois plus longue dans le bras de traitement sous atezo + CnP, où elle était de 18,6 mois (IC à 95%: 15,8; 21,2) dans le bras de traitement sous atezo + CnP contre 13,9 mois (IC à 95%: 12,0; 18,7) dans le bras de traitement sous CnP (valeur de p stratifiée = 0,030). Le hazard ratio (HR) stratifié était de 0,79 (IC à 95%: 0,64; 0,98); cela correspond à une réduction relative du risque de mortalité de 21% sous atezo + CnP par rapport au CnP.
-Par rapport au CnP, le traitement par atezo + CnP était associé à une amélioration statistiquement significative de la PFS évaluée par le médecin investigateur (selon RECIST v1.1). Pour les patients de la population en ITT-WT, la PFS médiane était numériquement plus longue dans le bras de traitement sous atezo + CnP: 7,0 mois (IC à 95%: 6,3; 7,3) dans le bras de traitement atezo + CnP contre 5,5 mois (IC à 95%: 4,4; 5,9) dans le bras sous CnP (valeur de p stratifiée < 0,0001). Le HR stratifié était de 0,64 (IC à 95%: 0,54; 0,76).
-La proportion de patients de la population ITT-WT avec un taux de réponse objective évalué et confirmé par un médecin investigateur selon RECIST v1.1 était supérieur de 17,6% dans le bras de traitement sous atezo + CnP par rapport au bras sous CnP (49,3% vs 31,7%).
- +L'analyse primaire a été́ réalisée chez tous les patients, en excluant ceux avec aberrations génomiques tumorales du gène EGFR ou ALK (n = 685), définie comme la population ITT-WT. Les deux critères d'évaluation principaux étaient l'OS et la PFS évaluée par le médecin investigateur. Les principaux résultats de cette étude lors d'un suivi médian de 18,6 mois de la durée de vie restante sont résumés ci-dessous.
- +Le traitement par atézo + carboplatine + nab-paclitaxel (atézo + CnP) été associé à un allongement statistiquement significatif de l'OS par rapport au carboplatine et nab-paclitaxel (CnP). Pour les patients de la population en ITT-WT, l'OS médiane était 4,7 mois plus longue dans le bras de traitement sous atézo + CnP, où elle était de 18,6 mois (IC à 95%: 15,8; 21,2) dans le bras de traitement sous atézo + CnP contre 13,9 mois (IC à 95%: 12,0; 18,7) dans le bras de traitement sous CnP (valeur de p stratifiée = 0,030). Le hazard ratio (HR) stratifié était de 0,79 (IC à 95%: 0,64; 0,98); cela correspond à une réduction relative du risque de mortalité de 21% sous atézo + CnP par rapport au CnP.
- +Par rapport au CnP, le traitement par atézo + CnP était associé à une amélioration statistiquement significative de la PFS évaluée par le médecin investigateur (selon RECIST v1.1). Pour les patients de la population en ITT-WT, la PFS médiane était numériquement plus longue dans le bras de traitement sous atézo + CnP: 7,0 mois (IC à 95%: 6,3; 7,3) dans le bras de traitement atézo + CnP contre 5,5 mois (IC à 95%: 4,4; 5,9) dans le bras sous CnP (valeur de p stratifiée < 0,0001). Le HR stratifié était de 0,64 (IC à 95%: 0,54; 0,76).
- +La proportion de patients de la population ITT-WT avec un taux de réponse objective évalué et confirmé par un médecin investigateur selon RECIST v1.1 était supérieur de 17,6% dans le bras de traitement sous atézo + CnP par rapport au bras sous CnP (49,3% vs 31,7%).
-Une étude de phase III multicentrique, randomisée et en ouvert, GO29527 (IMpower010), a été réalisée afin d'évaluer l'efficacité et la sécurité de Tecentriq pour le traitement adjuvant de patients atteints de NSCLC de stade IB (tumeurs ≥4 cm) à IIIA (selon de système de classification de l'UICC/AJCC, 7e édition). Parmi les patients inclus dans l'étude ayant subi une reséction tumorale complète, un total de 1280 patients ont été éligibles pour recevoir jusqu'à 4 cycles d'une chimiothérapie à base de cisplatine. Le tableau 6 décrit les schémas de chimiothérapies à base de cisplatine.
- +Une étude de phase III multicentrique, randomisée et en ouvert, GO29527 (IMpower010), a été réalisée afin d'évaluer l'efficacité et la sécurité de Tecentriq pour le traitement adjuvant de patients atteints de NSCLC de stade IB (tumeurs ≥4 cm) à IIIA (selon de système de classification de l'UICC/AJCC, 7e édition). Parmi les patients inclus dans l'étude ayant subi une résection tumorale complète, un total de 1280 patients ont été éligibles pour recevoir jusqu'à 4 cycles d'une chimiothérapie à base de cisplatine. Le tableau 6 décrit les schémas de chimiothérapies à base de cisplatine.
-Chimiothérapie adjuvante à base de cisplatine Cisplatine 75 mg/m2 i.v. au jour 1 de chaque cycle de 21 jours avec l'un de ces schémas thérapeutiques Vinorelbine 30 mg/m2 i.v., jours 1 et 8
- +Chimiothérapie adjuvante à base de cisplatine Cisplatine 75 mg/m2 i.v. au jour 1 de chaque cycle de 21 jours avec l'un de ces schémas thérapeutiques Vinorelbine 30 mg/m2 i.v., jours 1 et 8
-Chez les patients présentant une expression de PD-L1 ≥50% sur les TC et une maladie de stade II à IIIA (n = 229) une amélioration cliniquement pertinente de la DFS a été démontrée, avec un HR non stratifié de 0,43 (IC à 95%: 0,27, 0,68). La DFS médiane n'a pas été atteinte chez les patients du bras sous Tecentriq (IC à 95%: 42,3 mois, NE) et a été de 35,7 mois chez les patients du bras recevant le meileur traitement de soutien (IC à 95%: 29,7, NE). Les données d'OS n'étaient pas matures au moment de l'analyse intermédiaire de la DFS, avec une mortalité d'environ 16,2% dans les deux bras rapportée dans la population présentant une expression de PD-L1 ≥50% sur les TC et une maladie de stade II à IIIA. Une analyse exploratoire de l'OS a révélé une tendance en faveur du Tecentriq par rapport au meilleur traitement de soutien dans cette population de patients (HR non stratifé = 0,37; [IC à 95%: 0,18, 0,74]).
- +Chez les patients présentant une expression de PD-L1 ≥50% sur les TC et une affection de stade II à IIIA (n = 229), une amélioration cliniquement pertinente de la DFS a été démontrée, avec un HR non stratifié de 0,48 (IC à 95%: 0,32; 0,72). La DFS médiane n'a pas été atteinte chez les patients du bras sous Tecentriq (IC à 95%: NE; NE) et a été de 41,1 mois chez les patients du bras recevant le meilleur traitement de soutien (IC à 95%: 29,7; NE). Les données d'OS étaient encore incomplètes au moment de l'analyse finale de la DFS et de la deuxième analyse intermédiaire de l'OS, avec, dans la population présentant une expression de PD-L1 ≥50% sur les TC et une affection de stade II à IIIA, une mortalité d'environ 20,9% dans le bras sous Tecentriq et une mortalité de 37,7% dans le bras recevant le meilleur traitement de soutien. Une analyse exploratoire de l'OS a révélé une tendance en faveur de Tecentriq par rapport au meilleur traitement de soutien dans cette population de patients (HR non stratifié = 0,47; [IC à 95%: 0,28; 0,77]).
-Une amélioration de l'OS sous Tecentriq par rapport au docétaxel a été observée non seulement chez les patients atteints d'un NSCLC non épidermoïde) (HR de 0,73; IC à 95%: 0,60-0,89; OS médiane de 15,6 mois sous Tecentriq contre 11,2 mois sous le docétaxel), mais également chez les patients atteints d'un NSCLC épidermoïde (HR de 0,73; IC à 95%: 0,54-0,98; OS médiane de 8,9 mois sous Tecentriq contre 7,7 mois sous le docétaxel).
- +Une amélioration de l'OS sous Tecentriq par rapport au docétaxel a été observée non seulement chez les patients atteints d'un NSCLC non épidermoïde (HR de 0,73; IC à 95%: 0,60-0,89; OS médiane de 15,6 mois sous Tecentriq contre 11,2 mois sous le docétaxel), mais également chez les patients atteints d'un NSCLC épidermoïde (HR de 0,73; IC à 95%: 0,54-0,98; OS médiane de 8,9 mois sous Tecentriq contre 7,7 mois sous le docétaxel).
- +IMforte (GO43104)
- +L'efficacité de l'association Tecentriq + lurbinectédine en traitement d'entretien a été évaluée dans l'étude IMforte (GO43104), une étude randomisée, multicentrique et ouverte, menée chez 483 patients atteints d'un ES-SCLC en 1L. Les patients étaient éligibles à la randomisation si la maladie n'avait pas progressé à l'issue de 4 cycles d'un traitement d'induction par Tecentriq, le carboplatine et l'étoposide et s'ils présentaient un score de performance ECOG de 0 ou 1. Les patients ont été randomisés selon un rapport 1:1 pour recevoir un traitement d'entretien par l'association Tecentriq + lurbinectédine ou par Tecentriq. Environ 84% des patients du bras de traitement sous Tecentriq + lurbinectédine ont reçu une prophylaxie par G-CSF.
- +Étaient exclus de l'étude les patients présentant un score de performance ECOG > 1, des métastases du SNC (à l'anamnèse ou actuelles), les patients présentant des antécédents d'affection auto-immune et les patients qui avaient reçu des immunosuppresseurs par voie systémique dans la semaine précédant l'inclusion dans l'étude, les patients présentant une affection leptoméningée, les patients présentant une fonction hématologique et organique altérée, les patients chez lesquels une radiothérapie thoracique de consolidation est prévue, les patients présentant un épanchement pleural ou péricardique/une ascite non contrôlé(e), les patients présentant des lésions nécessitant une radiothérapie palliative et les patients chez lesquels le traitement d'induction a induit une toxicité persistante et cliniquement significative de grade > 1. La randomisation a eu lieu de manière stratifiée en fonction du score de performance ECOG (0 vs 1), du taux de LDH (≤ LSN vs > LSN), de la présence de métastases hépatiques et de l'irradiation crânienne prophylactique préalable (oui vs non).
- +Tableau 7: Schéma du traitement intraveineux dans l'étude IMforte
- +Schéma de traitement Entretien (cycles de 21 jours)
- +A Tecentriq en perfusion intraveineuse (1200 mg) + lurbinectédine à raison de 3,2 mg/m2 en perfusion intraveineuse au jour 1 de chaque cycle de 21 jours
- +B Tecentriq en perfusion intraveineuse (1200 mg) au jour 1 de chaque cycle de 21 jours
- +
- +Les critères d'évaluation principaux de l'étude était l'OS et la PFS, évalués par un centre d'examen indépendant (Independent Review Facility, IRF) selon les critères RECIST v1.1 dans le collectif randomisé (voir tableau 8).
- +Au total, 483 patients ont été randomisés, dont 242 dans le bras de traitement recevant l'association Tecentriq et lurbinectédine et 241 dans le bras de traitement sous Tecentriq. L'âge médian était de 66 ans (intervalle: de 35 à 85 ans). La plupart des patients étaient caucasiens (81,6%); 12,8 % étaient asiatiques, 6,6% d'origine hispanique ou latino-américaine et < 1% étaient noirs ou afro-américains. La plupart des patients étaient des hommes (62,5%) et 97,5% étaient fumeurs ou anciens fumeurs. Au début de l'étude, le score de performance ECOG était de 0 (42,9%) ou 1 (57,1%).
- +Au moment de l'analyse primaire, le suivi médian était de 15 mois. Sous traitement par Tecentriq associé à la lurbinectédine, une amélioration statistiquement significative de l'OS a été observée (HR stratifié: 0,73 [IC à 95%: 0,57; 0,95]; p = 0,0174, OS médiane: 13,2 mois contre 10,6 mois) ainsi que de la PFS selon l'évaluation de l'IRF (HR stratifié: 0,54 [IC à 95%: 0,43; 0,67]; p ≤0,0001, PFS médiane: 5,4 mois contre 2,1 mois), par rapport à Tecentriq en monothérapie. Les principaux résultats de l'étude au moment de l'analyse primaire sont résumés dans le tableau 8.
- +Tableau 8: Résumé des données d'efficacité issues de l'étude IMforte (analyse primaire)
- +Critères d'évaluation de l'efficacité importants Bras A (Tecentriq + lurbinectédine) Bras B (Tecentriq)
- +Critères d'évaluation principaux N = 242 N = 241
- +Analyse de l'OS1, 2
- +Nombre de décès (%) 113 (46,7) 136 (56,4)
- +Durée médiane de l'OS (mois) 13,2 10,6
- +IC à 95% (11,9; 16,4) (9,5; 12,2)
- +Hazard ratio stratifié‡ (IC à 95%) 0,73 (0,57; 0,95)
- +Valeur de p3, 4 0,0174
- +Taux d'OS à 12 mois (%) 56,3 44,1
- +PFS selon l'évaluation de l'IRF (RECIST v1.1)2
- +Nombre d'événements (%) 174 (71,9) 202 (83,8)
- +Durée médiane de la PFS (mois) 5,4 2,1
- +IC à 95% (4.2, 5,8) (1,6, 2,7)
- +Hazard ratio stratifié‡ (IC à 95%) 0,54 (0,43; 0,67)
- +Valeur de p3, 5 < 0,0001
- +Taux de PFS à 6 mois (%) 41,2 18,7
- +Taux de PFS à 12 mois (%) 20,5 12
- +
- +1 Sur la base de l'analyse intermédiaire de l'OS.
- +2 Mesurée à partir de la randomisation.
- +3 Sur la base du test du log-rank stratifié bilatéral.
- +4 Par rapport à l'alpha α alloué de 0,0313 (bilatéral) pour cette analyse intermédiaire de l'OS.
- +5 IPar rapport à l'alpha α alloué de 0,001 (bilatéral) pour cette analyse finale de la PFS.
- +‡ Stratifié selon le score de performance ECOG, le taux de LDH, la présence de métastases hépatiques et l'irradiation crânienne prophylactique préalable.
- +PFS = survie sans progression (progression-free survival); RECIST = Response Evaluation Criteria in Solid Tumors v1.1. (critères d'évaluation de la réponse dans les tumeurs solides, version 1.1); IC = intervalle de confiance, OS = survie globale (overall survival).
- +Au cours de l'évaluation descriptive finale de l'OS, environ 6,5 mois après l'analyse primaire, le hazard ratio (IC à 95%) était de 0,81 (0,65; 1,01) [décès: 159 (65,7%) dans le bras de traitement recevant l'association Tecentriq + lurbinectédine et 169 (70,1%) dans le bras sous Tecentriq]. Les résultats de cette analyse exploratoire de l'OS en sous-groupes étaient généralement cohérents avec ceux observés dans la population de l'étude (N = 483).
- +Le hazard ratio pour l'OS (IC à 95%) dans le sous-groupe de patients présentant un score de performance ECOG de 0 au moment de l'inclusion dans l'étude dans la phase de traitement d'induction et au moment de la randomisation dans la phase de traitement d'entretien était respectivement de 1,21 (0,84; 1,74) et de 0,99 (0,70; 1,40); et il était de 1,03 (0,73; 1,46) chez les patients de < 65 ans [taille du sous-groupe: 40 à 43% de la population de l'étude].
- +Dans l'étude IMforte, un nombre plus important de patients du bras de traitement recevant l'association Tecentriq + lurbinectédine présentaient, au moment de l'analyse primaire, une progression initiale au niveau du cerveau (16,1%), par rapport aux patients du bras sous Tecentriq (7,9%). Les patients présentant une progression initiale au niveau du cerveau n'ont montré aucun signe de progression plus rapide de la maladie dans le bras de traitement sous Tecentriq + lurbinectédine. Une radiothérapie cérébrale ultérieure a eu lieu chez 24,0% des patients du bras traité par Tecentriq associé à la lurbinectédine et chez 14,5% des patients du bras sous Tecentriq, et une intervention chirurgicale ultérieure au niveau du cerveau a été réalisée chez 2,1% contre 0% des patients. En raison du faible collectif de patients et du caractère exploratoire de cette analyse, aucune conclusion définitive ne peut cependant être tirée de ces données.
- +
-Étaient notamment exclus de l'étude les patients présentant des antécédents de maladie auto-immune; les patients ayant reçu un vaccin vivant atténué au cours des 4 semaines précédant la randomisation; les patients ayant reçu des substances actives immunostimulatrices systémiques dans les 4 semaines ou des médicaments immunosuppresseurs systémiques dans les 2 semaines précédant la randomisation; les patients présentant des métastases cérébrales non traitées ou dépendantes des corticostéroïdes; les patients ayant des antécédents de transplantation de cellules souches allogéniques ou d'organe solide; les patients atteints de fibrose pulmonaire idiopathique active ou anamnestique et de pneumopathie inflammatoire (à l'exception d'une pneumopathie inflammatoire actinique dans le champ d'irradiation) et de pneumonie organisante; ou encore les patients atteints d'infections actives, telles que VIH, hépatite B et C ainsi que tuberculose. Une évaluation de la tumeur a été effectuée toutes les 8 semaines durant les 12 premiers mois, puis toutes les 12 semaines.
-Au début de l'étude, la population de l'étude était comparable en termes de données démographiques et de caractéristiques de la maladie dans les deux bras de l'étude. La grande majorité des patients (99,6%) était de sexe féminin. 67,5% des patients étaient de race caucasienne, 17,8% étaient d'origine asiatique, 6,5% étaient noirs ou afroaméricains et 4,4% étaient des indiens ou des autochtones de l'Alaska. L'âge médian était de 55 ans (intervalle: de 20 à 86 ans). La valeur initiale du statut de performance ECOG était 0 (58,4%) ou 1 (41,3%). Dans l'ensemble, lors de l'inclusion dans l'étude, 41% des patients inclus présentaient une expression de PD-L1 ≥1%, 27% présentaient des métastases hépatiques et 7% avaient des métastases cérébrales. Près de la moitié des patients était sous taxane (51%) ou anthracycline (54%) en guise de traitement (néo-)adjuvant. Les données démographiques des patients et la maladie tumorale lors de l'inclusion dans l'étude de la population avec expression du PD-L1 ≥1% étaient en général représentatives de la population totale de l'étude.
-Les résultats de la PFS (survie sans progression), de l'ORR (taux de réponse objective) et de la DOR (durée de réponse) issus de cette étude sont résumés dans le tableau 7 et dans le texte ci-dessous et ils concernent les patients présentant une expression du PD-L1 ≥1% avec une durée médiane de suivi des patients survivants de 13 mois.
-Une analyse finale de l'OS avec une expression de PD-L1 ≥1% avec une période d'observation médiane de 19,12 mois a été réalisée. Les résultats de l'OS sont présentés dans le tableau 5.
- +Étaient notamment exclus de l'étude les patients présentant des antécédents de maladie auto-immune; les patients ayant reçu un vaccin vivant atténué au cours des 4 semaines précédant la randomisation; les patients ayant reçu des substances actives immunostimulatrices systémiques dans les 4 semaines ou des médicaments immunosuppresseurs systémiques dans les 2 semaines précédant la randomisation; les patients présentant des métastases cérébrales non traitées ou dépendantes des corticostéroïdes; les patients ayant des antécédents de transplantation de cellules souches allogéniques ou d'organe solide; les patients atteints de fibrose pulmonaire idiopathique active ou anamnestique et de pneumopathie inflammatoire (à l'exception d'une pneumopathie inflammatoire actinique dans le champ d'irradiation) et de pneumonie organisée; ou encore les patients atteints d'infections actives, telles que VIH, hépatite B et C ainsi que tuberculose. Une évaluation de la tumeur a été effectuée toutes les 8 semaines durant les 12 premiers mois, puis toutes les 12 semaines.
- +Au début de l'étude, la population de l'étude était comparable en termes de données démographiques et de caractéristiques de la maladie dans les deux bras de l'étude. La grande majorité des patients (99,6%) était de sexe féminin. 67,5% des patients étaient de race caucasienne, 17,8% étaient d'origine asiatique, 6,5% étaient noirs ou afro-américains et 4,4% étaient des indiens ou des autochtones de l'Alaska. L'âge médian était de 55 ans (intervalle: de 20 à 86 ans). La valeur initiale du statut de performance ECOG était 0 (58,4%) ou 1 (41,3%). Dans l'ensemble, lors de l'inclusion dans l'étude, 41% des patients inclus présentaient une expression de PD-L1 ≥1%, 27% présentaient des métastases hépatiques et 7% avaient des métastases cérébrales. Près de la moitié des patients était sous taxane (51%) ou anthracycline (54%) en guise de traitement (néo-)adjuvant. Les données démographiques des patients et la maladie tumorale lors de l'inclusion dans l'étude de la population avec expression du PD-L1 ≥1% étaient en général représentatives de la population totale de l'étude.
- +Les résultats de la PFS (survie sans progression), de l'ORR (taux de réponse objective) et de la DOR (durée de réponse) issus de cette étude sont résumés dans le tableau 9 et dans le texte ci-dessous et ils concernent les patients présentant une expression du PD-L1 ≥1% avec une durée médiane de suivi des patients survivants de 13 mois.
- +Une analyse finale de l'OS avec une expression de PD-L1 ≥1% avec une période d'observation médiane de 19,12 mois a été réalisée. Les résultats de l'OS sont présentés dans le tableau 9.
-Tableau 7: Résumé des données de l'efficacité chez les patients présentant une expression du PD-L1 ≥1% (IMpassion130)
- +Tableau 9: Résumé des données de l'efficacité chez les patients présentant une expression du PD-L1 ≥1% (IMpassion130)
-Critères co-primaires d'évaluation
-Survie sans progression (PFS) selon l'appréciation du médecin investigateur (RECIST vers. 1.1 – Analyse primaire3) n = 185 n = 184
- +Critères co-primaires d'évaluation
- +Survie sans progression (PFS) selon l'évaluation du médecin investigateur (RECIST vers. 1.1 – Analyse primaire 3) n = 185 n = 184
-Hazard-Ratio stratifié ‡ (IC à 95%) 0,62 (0,49; 0,78)
-Valeur de p1 < 0,0001
- +Hazard ratio stratifié ‡ (IC à 95%) 0,62 (0,49; 0,78)
- +Valeur de p 1 < 0,0001
-Survie sans progression (PFS) selon l'appréciation du médecin investigateur (RECIST vers. 1.1) – Analyse exploratoire actualisée 4
- +Survie sans progression (PFS) selon l'évaluation du médecin investigateur (RECIST vers. 1.1) – Analyse exploratoire actualisée 4
-Hazard-Ratio stratifié ‡ (IC à 95%) 0,63 (0,50-0,80)
- +Hazard ratio stratifié ‡ (IC à 95%) 0,63 (0,50-0,80)
-Analyse de la survie globale1, 2, 5 n = 185 n = 184
- +Analyse de la survie globale 1, 2, 5 n = 185 n = 184
-Hazard-Ratio ‡ stratifié (IC à 95%) 0,67 (0,53; 0,86)
- +Hazard ratio ‡ stratifié (IC à 95%) 0,67 (0,53; 0,86)
-1 Sur la base du test de log-rank stratifié
-2 La comparaison des survies globales entre les groupes de traitement de patients présentant une expression du PD-L1 ≥1% n'a pas été testée formellement selon la hiérarchie des analyses spécifiée à l'avance
-3 D'après l'analyse finale de la PFS, de l'ORR et de la DOR et une première analyse intermédiaire de l'OS au moment du cut-off clinique du 17 avril 2018
-4 D'après une analyse exploratoire de la PFS au moment du cut-off clinique du 2 janvier 2019
-5 D'après l'analyse finale de l'OS au moment du cut-off clinique du 14 avril 2020
- +1 Sur la base du test du log-rank stratifié2 La comparaison des survies globales entre les groupes de traitement de patients présentant une expression du PD-L1 ≥1% n'a pas été testée formellement selon la hiérarchie des analyses spécifiée à l'avance3 D'après l'analyse finale de la PFS, de l'ORR et de la DOR et une première analyse intermédiaire de l'OS au moment du cut-off clinique du 17 avril 20184 D'après une analyse exploratoire de la PFS au moment du cut-off clinique du 2 janvier 20195 D'après l'analyse finale de l'OS au moment du cut-off clinique du 14 avril 2020
-Chez les patients présentant une expression positive du PD-L1, un taux de réponse globale (Overall Response Rate, ORR) numériquement plus élevé a été observé dans le groupe sous Tecentriq + nab-paclitaxel (58,9%) par rapport au groupe sous placebo + nab-paclitaxel (42,6%). Parmi les répondeurs, le nombre de réponses persistantes dans le bras sous Tecentriq + nab-paclitaxel était supérieur (35,8%) à celui observé dans le bras sous placebo + nab-paclitaxel (24,4%). La durée de réponse (Duration of Response, DOR) médiane estimée pour le groupe sous Tecentriq + nab-paclitaxel était supérieure de 3 mois (8,5 mois contre 5,5 mois dans le groupe sous placebo + nab-paclitaxel, HR non stratifié: 0,60; IC à 95%; 0,43; 0,86).
- +Chez les patients présentant une expression positive du PD-L1, un taux de réponse globale (Overall Response Rate, ORR) numériquement plus élevé a été observé dans le groupe sous Tecentriq + nab-paclitaxel (58,9%) par rapport au groupe sous placebo + nab-paclitaxel (42,6%). Parmi les répondeurs, le nombre de réponses persistantes dans le bras sous Tecentriq + nab-paclitaxel était supérieur (35,8%) à celui observé dans le bras sous placebo + nab-paclitaxel (24,4%). La durée de réponse (Duration of Response, DOR) médiane estimée pour le groupe sous Tecentriq + nab-paclitaxel était supérieure de 3 mois (8,5 mois contre 5,5 mois dans le groupe sous placebo + nab-paclitaxel, HR non stratifié: 0,60; IC à 95%: 0,43; 0,86).
-Les données démographiques et les caractéristiques de la maladie à l'inclusion de l'étude de la population étudiée étaient équilibrées entre les deux bras de traitement. L'âge médian s'élevait à 54 ans (fourchette: de 22 à 88 ans), 58% des patients étaient de sexe masculin. La majorité des patients étaient de type caucasien (95%). 2,5% des patients avaient déjà reçu un traitement pour des métastases cérébrales, 30% des patients avaient des métastases hépatiques au moment de leur inclusion dans l'étude et 14% des patients avaient reçu un traitement adjuvant systémique. Le mélanome a été classifié, selon la classification de l'American Joint Committee on Cancer (AJCC), septième édition, comme étant de stade IIIC chez 5,8% des patients et de stade IV chez 93,8% des patients (M1A: 14,8; M1B: 19,1%; M1C: 59,9%).
- +Les données démographiques et les caractéristiques de la maladie à l'inclusion de l'étude de la population étudiée étaient équilibrées entre les deux bras de traitement. L'âge médian s'élevait à 54 ans (intervalle: de 22 à 88 ans), 58% des patients étaient de sexe masculin. La majorité des patients étaient de type caucasien (95%). 2,5% des patients avaient déjà reçu un traitement pour des métastases cérébrales, 30% des patients avaient des métastases hépatiques au moment de leur inclusion dans l'étude et 14% des patients avaient reçu un traitement adjuvant systémique. Le mélanome a été classifié, selon la classification de l'American Joint Committee on Cancer (AJCC), septième édition, comme étant de stade IIIC chez 5,8% des patients et de stade IV chez 93,8% des patients (M1A: 14,8; M1B: 19,1%; M1C: 59,9%).
-Dans le sous-groupe Tecentriq V600E, la PFS médiane était de 16,2 mois selon l'évaluation du médecin investigateur contre 10,0 mois dans le sous-groupe témoin V600E (Hazard Ratio non stratifié: 0,68; IC à 95%: 0,53; 0,88). Les critères secondaires comprenaient la PFS médiane, évaluée par une commission d'examen indépendante (IRC); elle était de 17,6 mois dans le sous-groupe Tecentriq V600E et de 11,4 mois dans le sous-groupe témoin V600E (Hazard Ratio non stratifié: 0,71; IC à 95%: 0,55; 0,93). Une analyse intermédiaire de la survie globale (OS) a montré un rapport de risque non stratifié de 0,69 (IC à 95%: 0,50; 0,95). Les taux de réponse objective (évalués par le médecin investigateur) étaient similaires dans les deux groupes; ils étaient de 68,9% dans le sous-groupe Tecentriq V600E et de 63,2% dans le sous-groupe témoin V600E. La durée médiane de la réponse (évaluée par le médecin investigateur) était de 20,4 mois dans le sous-groupe Tecentriq V600E contre 12,6 mois dans le sous-groupe témoin V600E.
- +Dans le sous-groupe Tecentriq V600E, la PFS médiane était de 16,2 mois selon l'évaluation du médecin investigateur contre 10,0 mois dans le sous-groupe témoin V600E (Hazard ratio non stratifié: 0,68; IC à 95%: 0,53; 0,88). Les critères secondaires comprenaient la PFS médiane, évaluée par une commission d'examen indépendante (IRC); elle était de 17,6 mois dans le sous-groupe Tecentriq V600E et de 11,4 mois dans le sous-groupe témoin V600E (Hazard ratio non stratifié: 0,71; IC à 95%: 0,55; 0,93). Une analyse intermédiaire de la survie globale (OS) a montré un rapport de risque non stratifié de 0,69 (IC à 95%: 0,50; 0,95). Les taux de réponse objective (évalués par le médecin investigateur) étaient similaires dans les deux groupes; ils étaient de 68,9% dans le sous-groupe Tecentriq V600E et de 63,2% dans le sous-groupe témoin V600E. La durée médiane de la réponse (évaluée par le médecin investigateur) était de 20,4 mois dans le sous-groupe Tecentriq V600E contre 12,6 mois dans le sous-groupe témoin V600E.
-Le critère d'évaluation principal de l'efficacité dans l'étude IMvigor211 était la survie globale (OS). Les critères d'évaluation secondaires de l'efficacité sont le taux de réponse objective (ORR), la survie sans progression (PFS) et la durée de la réponse (DOR) évalués par le médecin investigateur selon les critères RECIST (Response Evaluation Criteria in Solid Tumors) v1.1. Les comparaisons des OS entre le bras de traitement et le bras témoin ont été testées, comme décrit ci-après, en utilisant un procédé hiérarchique avec un ordre déterminé sur la base d'un test log-rank stratifié avec un niveau bilatéral de 5%: étape 1) Sous-groupe avec une expression du PD-L1 ≥5%, étape 2) Sous-groupe avec une expression du PD-L1 ≥1%, étape 3) Tous les patients satisfaisant aux critères d'inclusion («all comers»). Les résultats en termes d'OS pour les étapes 2 et 3 ne pouvaient à chaque fois être testés formellement que lorsque le résultat était statistiquement significatif lors de l'étape précédente.
-Le suivi médian sur le plan de la survie a été de 17 mois. L'étude IMvigor211 n'a pas atteint le critère d'évaluation principal pour l'OS. Dans le sous-groupe de patients présentant des tumeurs avec une expression du PD-L1 ≥5%, Tecentriq n'a pas apporté de bénéfice statistiquement significatif en termes de survie par rapport à la chimiothérapie, avec un HR pour l'OS de 0,87 (IC à 95%: 0,63; 1,21; OS médiane de 11,1 contre 10,6 mois pour Tecentriq et la chimiothérapie). La valeur de p lors du test log-rank stratifié était de 0,41. Par conséquent, aucun test statistique formel portant sur l'OS n'a été réalisé dans le sous-groupe avec une expression du PD-L1 ≥1% ou dans la population en ITT, et les résultats de ces analyses sont considérés comme exploratoires.
- +Le critère d'évaluation principal de l'efficacité dans l'étude IMvigor211 était la survie globale (OS). Les critères d'évaluation secondaires de l'efficacité sont le taux de réponse objective (ORR), la survie sans progression (PFS) et la durée de la réponse (DOR) évalués par le médecin investigateur selon les critères RECIST (Response Evaluation Criteria in Solid Tumors) v1.1. Les comparaisons des OS entre le bras de traitement et le bras témoin ont été testées, comme décrit ci-après, en utilisant un procédé hiérarchique avec un ordre déterminé sur la base d'un test du log-rank stratifié avec un niveau bilatéral de 5%: étape 1) Sous-groupe avec une expression du PD-L1 ≥5%, étape 2) Sous-groupe avec une expression du PD-L1 ≥1%, étape 3) Tous les patients satisfaisant aux critères d'inclusion («all comers»). Les résultats en termes d'OS pour les étapes 2 et 3 ne pouvaient à chaque fois être testés formellement que lorsque le résultat était statistiquement significatif lors de l'étape précédente.
- +Le suivi médian sur le plan de la survie a été de 17 mois. L'étude IMvigor211 n'a pas atteint le critère d'évaluation principal pour l'OS. Dans le sous-groupe de patients présentant des tumeurs avec une expression du PD-L1 ≥5%, Tecentriq n'a pas apporté de bénéfice statistiquement significatif en termes de survie par rapport à la chimiothérapie, avec un HR pour l'OS de 0,87 (IC à 95%: 0,63; 1,21; OS médiane de 11,1 contre 10,6 mois pour Tecentriq et la chimiothérapie). La valeur de p lors du test du log-rank stratifié était de 0,41. Par conséquent, aucun test statistique formel portant sur l'OS n'a été réalisé dans le sous-groupe avec une expression du PD-L1 ≥1% ou dans la population en ITT, et les résultats de ces analyses sont considérés comme exploratoires.
-Dans l'analyse exploratoire finale (date de clôture du recueil des données: 8 novembre 2018) de la survie globale avec une durée médiane de suivi de 34 mois dans la population en ITT, la survie médiane était de 8,6 mois dans le bras Tecentriq (IC à 95%: 7,8; 9,6) et de 8,0 mois dans le bras chimiothérapie (IC à 95%: 7,2; 8,6) avec un hazard ratio de 0,82 (IC à 95%: 0,71; 0,94). Dans la population en ITT, des taux numériquement plus élevés d'OS ont été constatés à 12, 24 et 30 mois chez les patients du bras Tecentriq par rapport à ceux du bras chimiothérapie. Le pourcentage de patients en vie à 12 mois (estimation de KM) était de 32,5% dans le bras chimiothérapie et de 39,2% dans le bras Tecentriq. À 24 mois, 12,7% de patients étaient en vie dans le bras chimiothérapie et 22,5% dans le bras Tecentriq (estimation de KM). À 30 mois (estimations de KM), ils étaient 9,8% dans le bras chimiothérapie et 18,1% dans le bras Tecentriq.
- +Dans l'analyse exploratoire finale (date limite de collecte des données: 8 novembre 2018) de la survie globale avec une durée médiane de suivi de 34 mois dans la population en ITT, la survie médiane était de 8,6 mois dans le bras Tecentriq (IC à 95%: 7,8; 9,6) et de 8,0 mois dans le bras chimiothérapie (IC à 95%: 7,2; 8,6) avec un hazard ratio de 0,82 (IC à 95%: 0,71; 0,94). Dans la population en ITT, des taux numériquement plus élevés d'OS ont été constatés à 12, 24 et 30 mois chez les patients du bras Tecentriq par rapport à ceux du bras chimiothérapie. Le pourcentage de patients en vie à 12 mois (estimation de KM) était de 32,5% dans le bras chimiothérapie et de 39,2% dans le bras Tecentriq. À 24 mois, 12,7% de patients étaient en vie dans le bras chimiothérapie et 22,5% dans le bras Tecentriq (estimation de KM). À 30 mois (estimations de KM), ils étaient 9,8% dans le bras chimiothérapie et 18,1% dans le bras Tecentriq.
-Graphique 1: Méta-analyse sur l'OS (non ajustée) de patients ADA-positifs par rapport au bras témoin
- +Graphique 1: Méta-analyse de l'OS (non ajustée) chez des patients ADA-positifs par rapport au bras témoin
-Graphique 2: Méta-analyse sur l'OS (non ajustée) de patients ADA-négatifs par rapport au bras témoin
- +Graphique 2: Méta-analyse de l'OS (non ajustée) chez des patients ADA-négatifs par rapport au bras témoin
-Septembre 2024.
- +Septembre 2025.
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