| 122 Changements de l'information professionelle REKAMBYS 600 mg / 2 ml |
-Le traitement doit être instauré par un médecin expérimenté dans la prise en charge des infections par le VIH.
- +Posologie usuelle
- +Adultes
- +Le traitement doit être effectué par un médecin expérimenté dans la prise en charge des infections par le VIH.
- +Les injections de REKAMBYS doivent être administrée par un professionnel de la santé.
- +REKAMBYS doit toujours être administré avec une injection de cabotégravir. Il convient donc de toujours prendre en compte également l'information professionnelle correspondante pour l'injection du cabotégravir.
- +Le traitement par REKAMBYS peut commencer par un traitement d'induction par voie orale ou directement par les injections. Le médecin et le patient peuvent décider d'utiliser les comprimés de rilpivirine en tant que traitement d'induction par voie orale avant de commencer les injections de REKAMBYS afin d'évaluer la tolérance (voir tableau 1) ou de commencer directement avec le traitement par REKAMBYS. Les injections de REKAMBYS peuvent être administrée mensuellement ou tous les 2 mois (voir tableau 2 pour les recommandations posologiques mensuelles et le tableau 3 pour les recommandations posologiques bimestrielles). Le médecin et le patient doivent discuter des deux options posologiques avant de commencer les injections de REKAMBYS et choisir la fréquence la mieux adaptée au patient.
- +
-Instructions posologiques particulières
-REKAMBYS doit toujours être administré avec une injection de cabotégravir. Il convient donc de consulter l'information professionnelle correspondante pour l'injection du cabotégravir.
- +Après l'arrêt de REKAMBYS en association avec une injection de carbotégravir, il est indispensable d'initier un régime antirétroviral alternatif, complètement suppresseur, dans le mois qui suit la dernière injection de REKAMBYS dans le cas d'un schéma posologique mensuel et dans les deux mois qui suivent la dernière injection de REKAMBYS dans le cas d'un schéma posologique bimestriel.
- +En cas de suspicion d'un échec virologique, un régime alternatif doit être initié dès que possible.
-Pour évaluer la tolérance de la rilpivirine en association avec le cabotégravir, les patients virologiquement contrôlés doivent être traités par des comprimés oraux de rilpivirine pendant environ 1 mois (au minimum 28 jours et au maximum 2 mois) avant de recevoir REKAMBYS. Un comprimé de 25 mg de rilpivirine une fois par jour au moment des repas et un comprimé de 30 mg de cabotégravir (une fois par jour) doivent être pris (voir l'information professionnelle des comprimés de rilpivirine).
-En cas d'administration mensuelle de la dose
- +Lors du traitement d'induction par voie orale, il est recommandé que les patients virologiquement contrôlés prennent des comprimés de rilpivirine par voie orale pendant environ un mois (au moins 28 jours, au maximum 2 mois) avant de commencer le traitement avec les injections de REKAMBYS en vue d'évaluer la comptabilité avec le cabotégravir. Un comprimé de 25 mg de rilpivirine une fois par jour au moment des repas et un comprimé de 30 mg de cabotégravir (une fois par jour) doivent être pris (voir l'information professionnelle des comprimés de rilpivirine).
- +Tableau 1: Schéma posologique du traitement d'induction par voie orale chez l'adulte
- + Traitement d'induction par voie orale
- +Médicament 1 mois (au moins 28 jours, au maximum 2 mois), suivi de la première injectiona
- +Rilpivirine 25 mg une fois par jour pendant un repas
- +Cabotégravir 30 mg une fois par jour
- +avoir le tableau 2 pour le schéma posologique des injections mensuelles et le tableau 3 pour le schéma posologique des injections tous les 2 mois
- +
- +Administration mensuelle de la dose
-La dose initiale recommandée de REKAMBYS chez l'adulte est d'une injection intramusculaire unique de 3 ml (900 mg) le dernier jour de la phase d'induction par voie orale. REKAMBYS et le cabotégravir doivent être administrés dans le muscle fessier lors de la même visite, dans des sites d'injection séparés (controlatéralement ou si cela n'est pas possible, à une distance d'au moins 2 cm).
- +La dose initiale recommandée de REKAMBYS chez l'adulte est d'une injection intramusculaire unique de 3 ml (900 mg) le dernier jour du traitement antirétroviral actuel ou du traitement d'induction par voie orale. (Voir «Mode d'administration»).
-Après la première injection, la dose recommandée de REKAMBYS pour les injections ultérieures chez l'adulte est d'une injection intramusculaire mensuelle de 2 ml (600 mg). REKAMBYS et le cabotégravir doivent être administrés dans le muscle fessier lors de la même visite, dans des sites d'injection séparés (controlatéralement ou si cela n'est pas possible, à une distance d'au moins 2 cm). Il convient également de garder une distance de 2 cm par rapport aux sites d'injection précédents ou à d'éventuelles réactions au niveau de sites d'injection précédents. Les injections peuvent être administrées aux patients jusqu'à 7 jours avant ou après la date prévue de l'injection mensuelle de 2 ml.
-Tableau 1: Schéma recommandé pour l'administration mensuelle chez l'adulte
-Médicament TRAITEMENT D'INDUCTION PAR VOIE ORALE PREMIÈRE INJECTION, IM INJECTIONS SUIVANTES, IM
-Une fois par jour (pendant au minimum 28 jours et au maximum 2 mois), suivi de la première injection Après la phase d'induction par voie orale: Une fois Un mois après la première injection, puis tous les mois
-Rilpivirine 25 mg 3 ml (900 mg) 2 ml (600 mg)
-Cabotégravir 30 mg 3 ml (600 mg) 2 ml (400 mg)
-IM = injection intramusculaire
- +Après la première injection, la dose recommandée de REKAMBYS pour les injections ultérieures chez l'adulte est d'une injection intramusculaire mensuelle de 2 ml (600 mg). (Voir «Mode d'administration»). Les injections peuvent être administrées aux patients jusqu'à 7 jours avant ou après la date prévue de l'injection mensuelle de 2 ml.
- +Tableau 2: Schéma posologique pour l'injection intramusculaire mensuelle chez l'adulte
- +Médicament Première injection* Injections suivantes Un mois après la première injection et mensuellement par la suite
- +Rilpivirine 3 ml (900 mg) 2 ml (600 mg)
- +Cabotégravir 3 ml (600 mg) 2 ml (400 mg)
- +* La première injection peut se faire avec une transition directe depuis une injection ou après une phase d'induction par voie orale.
-En cas d'administration de la dose tous les 2 mois
- +Administration de la dose tous les 2 mois
-La première injection intramusculaire d'induction de REKAMBYS de 3 ml (900 mg) chez l'adulte doit être effectuée le dernier jour de la phase d'induction par voie orale. Un mois plus tard, une deuxième injection intramusculaire d'induction de 3 ml (900 mg) doit être administrée.
-Les injections de REKAMBYS et de cabotégravir doivent être administrées dans le muscle fessier lors de la même visite, dans des sites d'injection séparés (controlatéralement ou si cela n'est pas possible, à une distance de 2 cm). La deuxième injection d'induction de 3 ml (900 mg) peut être administrée aux patients jusqu'à 7 jours avant ou après la date prévue de l'administration de la dose.
- +La première injection intramusculaire d'induction de REKAMBYS de 3 ml (900 mg) chez l'adulte doit être effectuée le dernier jour du traitement antirétroviral actuel ou du traitement d'induction par voie orale. Un mois plus tard, une deuxième injection intramusculaire d'induction de 3 ml (900 mg) doit être administrée.
- +(Voir «Mode d'administration»). La deuxième injection d'induction de 3 ml (900 mg) peut être administrée aux patients jusqu'à 7 jours avant ou après l'administration de la dose.
-Après la deuxième injection d'induction, la dose recommandée de REKAMBYS pour les injections ultérieures chez l'adulte est d'une injection intramusculaire unique de 3 ml (900 mg) tous les 2 mois. Les injections de REKAMBYS et de cabotégravir doivent être administrées dans le muscle fessier lors de la même visite, dans des sites d'injection séparés (controlatéralement ou si cela n'est pas possible, à une distance de 2 cm). Il convient également de garder une distance de 2 cm par rapport aux sites d'injection précédents ou à d'éventuelles réactions au niveau de sites d'injection précédents. Les injections peuvent être administrées aux patients jusqu'à 7 jours avant ou après la date prévue de l'administration de la dose de 3 ml tous les 2 mois.
-Tableau 2: Schéma posologique recommandé pour l'administration tous les 2 mois chez l'adulte
-Médicament TRAITEMENT D'INDUCTION PAR VOIE ORALE INJECTIONS D'INDUCTION IM INJECTIONS IM SUIVANTES
- Une fois par jour (pendant au minimum 28 jours et au maximum 2 mois), suivi des injections d'induction Après le traitement d'induction par voie orale et un mois plus tard Deux mois après la dernière injection d'induction, puis tous les 2 mois
-Rilpivirine 25 mg 3 ml (900 mg) 3 ml (900 mg)
-Cabotégravir 30 mg 3 ml (600 mg) 3 ml (600 mg)
-IM = injection intramusculaire
- +Après la deuxième injection d'induction, la dose recommandée de REKAMBYS pour les injections ultérieures chez l'adulte est d'une injection intramusculaire unique de 3 ml (900 mg) tous les 2 mois. (Voir «Mode d'administration»). Les injections peuvent être administrées aux patients jusqu'à 7 jours avant ou après l'administration de l'injection de 3 ml tous les 2 mois.
- +Tableau 3: Schéma posologique pour l'injection intramusculaire tous les 2 mois chez l'adulte
- +Médicament Première injection* Injections suivantes
- +2 injections d'induction à un intervalle de 1 mois Deux mois après la dernière injection d'induction et tous les 2 mois par la suite
- +Rilpivirine 3 ml (900 mg) 3 ml (900 mg)
- +Cabotégravir 3 ml (600 mg) 3 ml (600 mg)
- +* Les injections d'induction peuvent se faire avec une transition directe depuis une injection ou après une phase d'induction par voie orale.
- +Ajustement de la fréquence d'administration
-Les patients passant d'un schéma d'administration mensuel continu des injections à un schéma d'administration continu des injections tous les deux mois doivent recevoir une injection intramusculaire de 3 ml (900 mg) de REKAMBYS un mois après la dernière injection continue de 2 ml (600 mg). Les injections suivantes de 3 ml (900 mg) sont ensuite administrées tous les 2 mois.
- +Les patients passant d'injections mensuelles en continu à des injections en continu tous les deux mois doivent recevoir une injection intramusculaire de 3 ml (900 mg) de REKAMBYS un mois après la dernière injection continue de 2 ml (600 mg). Les injections suivantes de 3 ml (900 mg) sont ensuite administrées tous les 2 mois.
-Les patients passant d'un schéma d'administration tous les deux mois à un schéma d'administration mensuel dans le cadre de la phase d'entretien doivent recevoir une injection intramusculaire unique de 2 ml (600 mg) de REKAMBYS deux mois après la dernière injection de 3 ml (900 mg) de REKAMBYS, puis une injection de 2 ml (600 mg) tous les mois.
- +Les patients passant d'injections en continu tous les deux mois à des injections mensuelles en continu dans le cadre de la phase d'entretien doivent recevoir une injection intramusculaire unique de 2 ml (600 mg) de REKAMBYS deux mois après la dernière injection de 3 ml (900 mg) de REKAMBYS, puis une injection de 2 ml (600 mg) tous les mois.
-Il est fortement recommandé de respecter le schéma d'administration des injections. Les patients qui manquent un rendez-vous pour une injection doivent faire l'objet d'une réévaluation clinique afin de s'assurer que la reprise du traitement est appropriée. Voir les tableaux 3 et 4 pour les recommandations posologiques après l'omission d'une injection.
- +Il est fortement recommandé de respecter le schéma d'administration des injections. Les patients qui manquent un rendez-vous pour une injection doivent faire l'objet d'une réévaluation clinique afin de s'assurer que la reprise du traitement est appropriée. Voir les tableaux 4 et 5 pour les recommandations posologiques après l'omission d'une injection.
-Si un retard de plus de 7 jours par rapport à la date prévue de l'injection est inévitable, un traitement oral (25 mg de rilpivirine et 30 mg de cabotégravir une fois par jour sous forme de comprimés) peut être utilisé pour remplacer jusqu'à deux rendez-vous d'injection mensuelle consécutifs. La première dose du traitement oral doit être prise 1 mois (± 7 jours) après la dernière dose injectable de REKAMBYS. L'administration par injection doit être reprise le dernier jour de l'administration orale (voir les recommandations dans le tableau 3). Si plus de deux injections mensuelles consécutives ont été omises et doivent être remplacées, un autre traitement oral doit être instauré un mois (± 7 jours) après la dernière injection de REKAMBYS.
-Tableau 3: Recommandations pour la reprise des injections mensuelles de REKAMBYS après l'omission d'injections ou après un traitement oral de transition
- +Si un retard de plus de 7 jours par rapport à la date prévue de l'injection est inévitable, un traitement oral (25 mg de rilpivirine et 30 mg de cabotégravir une fois par jour sous forme de comprimés) peut être utilisé pour remplacer jusqu'à deux rendez-vous d'injection mensuelle consécutifs. La première dose du traitement oral doit être prise 1 mois (± 7 jours) après la dernière dose injectable de REKAMBYS. L'administration par injection doit être reprise le dernier jour de l'administration orale (voir les recommandations dans le tableau 4). Si plus de deux injections mensuelles consécutives ont été omises et doivent être remplacées, un autre traitement oral doit être instauré un mois (± 7 jours) après la dernière injection de REKAMBYS.
- +Tableau 4: Recommandations pour la reprise des injections mensuelles de REKAMBYS après l'omission d'injections ou après un traitement oral de transition
-≤2 mois: Poursuivre le plus tôt possible le schéma d'administration mensuel des injections de 2 ml (600 mg).
-> 2 mois: Reprendre la dose de 3 ml (900 mg), puis poursuivre le schéma d'administration mensuel des injections de 2 ml (600 mg).
- +≤2 mois: Poursuivre le plus tôt possible les injections mensuelles de 2 ml (600 mg).
- +> 2 mois: Reprendre la dose de 3 ml (900 mg), puis poursuivre les injections mensuelles de 2 ml (600 mg).
-Si un écart de plus de 7 jours par rapport à la date prévue de l'injection est inévitable, un traitement oral quotidien (25 mg de rilpivirine et 30 mg de cabotégravir sous forme de comprimés) peut être utilisé pour remplacer une injection «tous les 2 mois». La première dose du traitement oral doit être prise deux mois (± 7 jours) après la dernière injection de REKAMBYS et de cabotégravir. L'administration par injection doit être reprise le dernier jour de l'administration orale (voir les recommandations dans le tableau 4). S'il faut remplacer un écart de plus de deux mois, c.-à.-d. si plus d'une injection tous les deux mois a été omise, un autre traitement oral doit être instauré deux mois (± 7 jours) après la dernière injection de REKAMBYS.
-Tableau 4: Recommandations pour la reprise des injections tous les deux mois de REKAMBYS après l'omission d'injections ou après le traitement oral de transition
- +Si un retard de plus de 7 jours par rapport à la date prévue de l'injection est inévitable, un traitement oral quotidien (25 mg de rilpivirine et 30 mg de cabotégravir sous forme de comprimés) peut être utilisé pour remplacer une injection «tous les 2 mois». La première dose du traitement oral doit être prise deux mois (± 7 jours) après la dernière injection de REKAMBYS et de cabotégravir. L'administration par injection doit être reprise le dernier jour de l'administration orale (voir les recommandations dans le tableau 5). S'il faut remplacer un écart de plus de deux mois, c.-à.-d. si plus d'une injection tous les deux mois a été omise, un autre traitement oral doit être instauré deux mois (± 7 jours) après la dernière injection de REKAMBYS.
- +Tableau 5: Recommandations pour la reprise des injections tous les deux mois de REKAMBYS après l'omission d'injections ou après le traitement oral de transition
-Injection 2 (mois 3) ≤2 mois Réaliser l'injection de 3 ml (900 mg) dès que possible et poursuivre le schéma d'administration des injections tous les 2 mois.
- +Injection 2 ≤2 mois Réaliser l'injection de 3 ml (900 mg) dès que possible et poursuivre le schéma d'administration des injections tous les 2 mois.
-Injection 3 ou suivantes (à partir du mois 5) ≤3 mois Réaliser l'injection de 3 ml (900 mg) dès que possible et poursuivre le schéma d'administration des injections tous les 2 mois.
- +Injection 3 ou suivantes ≤3 mois Réaliser l'injection de 3 ml (900 mg) dès que possible et poursuivre le schéma d'administration des injections tous les 2 mois.
-Administration uniquement sous forme d'injection par voie intramusculaire (IM) dans le muscle fessier (glutéal). Ne pas injecter par voie intraveineuse.
-REKAMBYS et le cabotégravir doivent être injectés dans le muscle fessier lors de la même visite, dans des sites d'injection séparés (controlatéralement ou si cela n'est pas possible, à une distance de 2 cm). Il convient également de garder une distance de 2 cm par rapport aux sites d'injection précédents ou à d'éventuelles réactions au niveau de sites d'injection précédents.
- +Administration uniquement sous forme d'injection par voie intramusculaire (IM) dans le muscle fessier (glutéal). Injecter lentement (voir «Mises en garde et précautions»). Ne pas injecter par voie intraveineuse.
- +Lors de l'administration de REKAMBYS, le professionnel de santé doit tenir compte de l'indice de masse corporelle (IMC) du patient afin de s'assurer que la longueur de l'aiguille est suffisante pour atteindre le muscle fessier.
- +REKAMBYS et le cabotégravir doivent être injectés dans le muscle fessier lors de la même visite, dans des sites d'injection séparés (controlatéralement ou si cela n'est pas possible, à une distance de 2 cm). Il convient également de respecter une distance de 2 cm par rapport aux sites d'injection précédents ou à d'éventuelles réactions au niveau des sites d'injection précédents.
-Lors de l'administration de REKAMBYS, le professionnel de santé doit tenir compte de l'indice de masse corporelle (IMC) du patient afin de s'assurer que la longueur de l'aiguille est suffisante pour atteindre le muscle fessier.
- +Instructions posologiques particulières
-Les données sont limitées chez les patients co-infectés par le virus de l'hépatite C. L'incidence d'une élévation des enzymes hépatiques était plus élevée chez les patients co-infectés par le virus de l'hépatite C et traités par la rilpivirine orale que chez les patients non co-infectés par le virus de l'hépatite C et traités par la rilpivirine orale. L'exposition pharmacocinétique à la rilpivirine orale et injectable chez les patients co-infectés par le virus de l'hépatite C était comparable à celle chez observée les patients non co-infectés par le virus de l'hépatite C. Une surveillance de la fonction hépatique est recommandée chez les patients co-infectés par le virus de l'hépatite C. En cas de survenue d'une infection par le virus de l'hépatite C au cours du traitement par REKAMBYS, il convient de suivre les directives thérapeutiques actuelles relatives au traitement de l'infection par le VIH chez les patients co-infectés par le virus de l'hépatite C et de tenir compte de la rubrique «Interactions avec d'autres médicaments» (voir ci-dessous).
- +Les données sont limitées chez les patients co-infectés par le virus de l'hépatite C. L'incidence d'une élévation des enzymes hépatiques était plus élevée chez les patients co-infectés par le virus de l'hépatite C et traités par la rilpivirine orale que chez les patients non co-infectés par le virus de l'hépatite C et traités par la rilpivirine orale. L'exposition pharmacocinétique à la rilpivirine orale et injectable chez les patients co-infectés par le virus de l'hépatite C était comparable à celle chez observée les patients non coinfectés par le virus de l'hépatite C. Une surveillance de la fonction hépatique est recommandée chez les patients co-infectés par le virus de l'hépatite C. En cas de survenue d'une infection par le virus de l'hépatite C au cours du traitement par REKAMBYS, il convient de suivre les directives thérapeutiques actuelles relatives au traitement de l'infection par le VIH chez les patients co-infectés par le virus de l'hépatite C et de tenir compte de la rubrique «Interactions avec d'autres médicaments» (voir ci-dessous).
-Au cours des études cliniques, des réactions graves incluant dyspnée, douleur thoracique, agitation, crampes abdominales, bouffées vasomotrices, transpiration, sensation d'engourdissement buccal et variations de la tension artérielle et du pouls ont été rapportées occasionnellement dans les minutes suivant l'injection de rilpivirine. Ces symptômes ont commencé à s'atténuer quelques minutes après l'injection, mais leur disparition complète n'a parfois été observée que le jour suivant. Ils peuvent être en rapport avec une administration intraveineuse (partielle) accidentelle provoquant des concentrations plasmatiques de rilpivirine transitoirement élevées.
-Suivre attentivement les instructions d'emploi lors de la préparation et de l'administration de REKAMBYS afin d'éviter toute administration intraveineuse accidentelle. Les patients doivent être maintenus sous surveillance pendant une courte période (env. 10 minutes) après l'injection. En cas de survenue d'une réaction post-injection, il convient de surveiller et de traiter le patient selon l'indication clinique (voir «Surdosage»).
- +Au cours des études cliniques, des réactions graves, dont les symptômes peuvent être dyspnée, bronchospasmes, agitation, crampes abdominales, éruption cutanée/urticaire, vertiges, bouffées vasomotrices, transpiration, sensation d'engourdissement buccal, variations de la tension artérielle et du pouls et douleurs (par exemple, dos et poitrine) ont été rapportées occasionnellement dans les minutes suivant l'injection de rilpivirine. Ces symptômes ont été observés chez <1% des patients et ont commencé à s'atténuer en quelques minutes après l'injection, mais leur disparition complète n'a parfois été observée que le jour suivant. Certains patients ont reçu un traitement de soutien. Ils peuvent être en rapport avec une administration intraveineuse accidentelle pendant l'injection intramusculaire, provoquant des concentrations plasmatiques de rilpivirine transitoirement élevées.
- +Suivre attentivement les instructions d'emploi lors de la préparation et de l'administration de REKAMBYS. Avant l'administration, le flacon de REKAMBYS doit être amené à température ambiante. La suspension est injectée lentement en veillant à éviter une administration intraveineuse accidentelle. Les patients doivent être maintenus sous surveillance pendant une courte période (env. 10 minutes) après l'injection. En cas de survenue d'une réaction post-injection, il convient de surveiller et de traiter le patient selon l'indication clinique (voir «Surdosage»).
-Le tableau 6 présente des informations sur les interactions avec d'autres médicaments antirétroviraux contre le VIH afin de faciliter le choix d'un autre schéma antirétroviral après l'arrêt de REKAMBYS (voir «Risque de développement de résistances après l'arrêt du traitement»). En ce qui concerne les interactions, tous les médicaments antirétroviraux contre le VIH énumérés dans le tableau 6 peuvent être utilisés après l'arrêt de REKAMBYS. En raison de la longue durée de libération de la rilpivirine après l'arrêt des injections de REKAMBYS, certaines interactions sont possibles avec d'autres médicaments antirétroviraux contre le VIH. La rilpivirine n'a probablement aucun effet cliniquement significatif sur la pharmacocinétique d'autres médicaments antirétroviraux contre le VIH. Les inhibiteurs de l'intégrase boostés et les inhibiteurs de la protéase boostés ou non boostés peuvent entraîner une augmentation des quantités résiduelles de rilpivirine dans le plasma. Les inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse éfavirenz, étravirine et névirapine peuvent en revanche entraîner une diminution des quantités résiduelles de rilpivirine dans le plasma. Ces interactions médicamenteuses survenant après l'arrêt de REKAMBYS sont considérées comme cliniquement non significatives et ne modifient pas la longue durée de libération de la rilpivirine à partir du site d'injection.
-Le tableau 5 et le tableau 6 présentent des interactions sélectionnées, connues et théoriques, entre la rilpivirine et des médicaments co-administrés ainsi que des médicaments antirétroviraux contre le VIH devant être utilisés après l'arrêt de REKAMBYS. Les données des études d'interactions médicamenteuses présentent les rapports des moyennes géométriques (geometric mean ratios, GMR) des paramètres pharmacocinétiques en cas d'administration avec/sans traitement concomitant, avec des intervalles de confiance (IC) à 90%.
-Tableau 5: Interactions et recommandations posologiques de REKAMBYS avec d'autres médicaments
- +Le tableau 7 présente des informations sur les interactions avec d'autres médicaments antirétroviraux contre le VIH afin de faciliter le choix d'un autre schéma antirétroviral après l'arrêt de REKAMBYS (voir «Risque de développement de résistances après l'arrêt du traitement»). En ce qui concerne les interactions, tous les médicaments antirétroviraux contre le VIH énumérés dans le tableau 7 peuvent être utilisés après l'arrêt de REKAMBYS. En raison de la longue durée de libération de la rilpivirine après l'arrêt des injections de REKAMBYS, certaines interactions sont possibles avec d'autres médicaments antirétroviraux contre le VIH. La rilpivirine n'a probablement aucun effet cliniquement significatif sur la pharmacocinétique d'autres médicaments antirétroviraux contre le VIH. Les inhibiteurs de l'intégrase boostés et les inhibiteurs de la protéase boostés ou non boostés peuvent entraîner une augmentation des quantités résiduelles de rilpivirine dans le plasma. Les inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse éfavirenz, étravirine et névirapine peuvent en revanche entraîner une diminution des quantités résiduelles de rilpivirine dans le plasma. Ces interactions médicamenteuses survenant après l'arrêt de REKAMBYS sont considérées comme cliniquement non significatives et ne modifient pas la longue durée de libération de la rilpivirine à partir du site d'injection.
- +Le tableau 6 et le tableau 7 présentent des interactions sélectionnées, connues et théoriques, entre la rilpivirine et des médicaments co-administrés ainsi que des médicaments antirétroviraux contre le VIH devant être utilisés après l'arrêt de REKAMBYS. Les données des études d'interactions médicamenteuses présentent les rapports des moyennes géométriques (geometric mean ratios, GMR) des paramètres pharmacocinétiques en cas d'administration avec/sans traitement concomitant, avec des intervalles de confiance (IC) à 90%.
- +Tableau 6: Interactions et recommandations posologiques de REKAMBYS avec d'autres médicaments
-Rifampicine*#Ω (600 mg q.d. pendant 7 jours) Rilpivirine (150 mg q.d. pendant 7 jours) Rifampicine: AUC: 0,99 (0,92 – 1,07) Cmin: NA Cmax: 1,02 (0,93 – 1,12) 25désacétylrifampicine: AUC: 0,91 (0,77 – 1,07) Cmin: NA Cmax: 1,00 (0,87 – 1,15) Rilpivirine: AUC: 0,20 (0,18 – 0,23) Cmin: 0,11 (0,10 – 0,13) Cmax: 0,31 (0,27 – 0,36) (Induction des enzymes du CYP3A) L'administration concomitante est contre-indiquée. L'administration concomitante peut entraîner une perte de l'effet thérapeutique de la rilpivirine (voir «Contre-indications»).
- +Rifampicine*#Ω (600 mg q.d. pendant 7 jours) Rilpivirine (150 mg q.d. pendant 7 jours) Rifampicine: AUC: 0,99 (0,92 – 1,07) Cmin :NA Cmax: 1,02 (0,93 – 1,12) 25désacétylrifampicine: AUC: 0,91 (0,77 – 1,07) Cmin: NA Cmax: 1,00 (0,87 – 1,15) Rilpivirine: AUC: 0,20 (0,18 – 0,23) Cmin: 0,11 (0,10 – 0,13) Cmax: 0,31 (0,27 – 0,36) (Induction des enzymes du CYP3A) L'administration concomitante est contre-indiquée. L'administration concomitante peut entraîner une perte de l'effet thérapeutique de la rilpivirine (voir «Contre-indications»).
- +ΩGMR et IC à 90% sur la base d'études d'interactions médicamenteuses avec la rilpivirine orale. * L'interaction entre la rilpivirine et le médicament a été évaluée au cours d'une étude clinique. Toutes les autres interactions médicamenteuses reposent sur des prédictions. # Cette étude d'interaction a été réalisée à une dose supérieure à la dose recommandée de rilpivirine orale et l'effet maximal sur le médicament co-administré a été évalué. La recommandation posologique se rapporte à la dose recommandée de 25 mg de rilpivirine q.d. ainsi qu'au schéma posologique de REKAMBYS.
- +
-Ω GMR et IC à 90% sur la base d'études d'interactions médicamenteuses avec la rilpivirine orale.
-* L'interaction entre la rilpivirine et le médicament a été évaluée au cours d'une étude clinique. Toutes les autres interactions médicamenteuses reposent sur des prédictions.
-# Cette étude d'interaction a été réalisée à une dose supérieure à la dose recommandée de rilpivirine orale et l'effet maximal sur le médicament co-administré a été évalué. La recommandation posologique se rapporte à la dose recommandée de 25 mg de rilpivirine q.d. ainsi qu'au schéma posologique de REKAMBYS.
-Tableau 6: Interactions et recommandations posologiques pour les MÉDICAMENTS ANTIVIRAUX CONTRE LE VIH (destinés à l'administration lors de l'arrêt de REKAMBYS)
- +Tableau 7: Interactions et recommandations posologiques pour les MÉDICAMENTS ANTIVIRAUX CONTRE LE VIH (destinés à l'administration lors de l'arrêt de REKAMBYS)
-Dolutégravir*Ω (50 mg q.d. pendant 5 jours) Rilpivirine (25 mg q.d. pendant 16 jours) Dolutégravir: AUC: 1,12 (1,05 – 1,19) Cmin: 1,22 (1,15 – 1,30) Cmax: 1,13 (1,06 – 1,21) Rilpivirine: AUC: 1,06 (0,98 – 1,16) Cmin: 1,21 (1,07 – 1,38) Cmax: 1,10 (0,99 – 1,22) Aucun ajustement posologique recommandé.
-Raltégravir*Ω (400 mg b.i.d. pendant 15 jours) Rilpivirine (25 mg q.d. pendant 11 jours) Raltégravir: AUC: 1,09 (0,81 – 1,47) Cmin: 1,27 (1,01 – 1,60) Cmax: 1,10 (0,77 – 1,58) Rilpivirine: AUC: 1,12 (1,05 – 1,19) Cmin: 1,03 (0,96 – 1,12) Cmax: 1,12 (1,04 – 1,20) Aucun ajustement posologique recommandé.
- +Dolutégravir*Ω (50 mg q.d. pendant 5 jours) Rilpivirine (25 mg q.d. pendant 16 jours) Dolutégravir: AUC: 1,12 (1,05-1,19) Cmin: 1,22 (1,15-1,30) Cmax: 1,13 (1,06-1,21) Rilpivirine: AUC: 1,06 (0,98-1,16) Cmin: 1,21 (1,07-1,38) Cmax: 1,10 (0,99-1,22) Aucun ajustement posologique recommandé.
- +Raltégravir*Ω (400 mg b.i.d. pendant 15 jours) Rilpivirine (25 mg q.d. pendant 11 jours) Raltégravir: AUC: 1,09 (0,81-1,47) Cmin: 1,27 (1,01-1,60) Cmax: 1,10 (0,77-1,58) Rilpivirine: AUC: 1,12 (1,05-1,19) Cmin: 1,03 (0,96-1,12) Cmax: 1,12 (1,04-1,20) Aucun ajustement posologique recommandé.
-Darunavir/ritonavir*Ω (800 mg q.d. pendant 22 jours) Rilpivirine (150 mg q.d. pendant 11 jours) Darunavir: AUC: 0,89 (0,81 – 0,99) Cmin: 0,89 (0,68 – 1,16) Cmax: 0,90 (0,81 – 1,00) Ritonavir: AUC: 0,85 (0,78 – 0,91) Cmin: 0,78 (0,68 – 0,90) Cmax: 0,83 (0,72 – 0,95) Rilpivirine: AUC: 2,30 (1,98 – 2,67) Cmin: 2,78 (2,39 – 3,24) Cmax: 1,79 (1,56 – 2,06) Aucun ajustement posologique recommandé.
-Lopinavir/ritonavir* Ω (400 mg b.i.d. pendant 20 jours) Rilpivirine (150 mg q.d. pendant 10 jours) Lopinavir: AUC: 0,99 (0,89 – 1,10) Cmin: 0,89 (0,73 – 1,08) Cmax: 0,96 (0,88 – 1,05) Ritonavir: AUC: 0,96 (0,84 – 1,11) Cmin: 1,07 (0,89 – 1,28) Cmax: 0,89 (0,73 – 1,08) Rilpivirine: AUC: 1,52 (1,36 – 1,70) Cmin: 1,74 (1,46 – 2,08) Cmax: 1,29 (1,18 – 1,40) Aucun ajustement posologique recommandé.
- +Darunavir/ritonavir*Ω (800 mg q.d. pendant 22 jours) Rilpivirine (150 mg q.d. pendant 11 jours) Darunavir: AUC: 0,89 (0,81-0,99) Cmin: 0,89 (0,68-1,16) Cmax: 0,90 (0,81-1,00) Ritonavir: AUC: 0,85 (0,78-0,91) Cmin: 0,78 (0,68-0,90) Cmax: 0,83 (0,72-0,95) Rilpivirine: AUC: 2,30 (1,98-2,67) Cmin: 2,78 (2,39-3,24) Cmax: 1,79 (1,56-2,06) Aucun ajustement posologique recommandé.
- +Lopinavir/ritonavir* Ω (400 mg b.i.d. pendant 20 jours) Rilpivirine (150 mg q.d. pendant 10 jours) Lopinavir: AUC: 0,99 (0,89-1,10) Cmin: 0,89 (0,73-1,08) Cmax: 0,96 (0,88-1,05) Ritonavir: AUC: 0,96 (0,84-1,11) Cmin: 1,07 (0,89-1,28) Cmax: 0,89 (0,73-1,08) Rilpivirine: AUC: 1,52 (1,36-1,70) Cmin: 1,74 (1,46-2,08) Cmax: 1,29 (1,18-1,40) Aucun ajustement posologique recommandé.
-Ténofovir disoproxil fumarate*Ω (300 mg q.d. pendant 16 jours) Rilpivirine (150 mg q.d. pendant 8 jours) Ténofovir (plasma): AUC: 1,23 (1,16 – 1,31) Cmin: 1,24 (1,10 – 1,38) Cmax: 1,19 (1,06 – 1,34) Rilpivirine: AUC: 1,01 (0,87 – 1,18) Cmin: 0,99 (0,83 – 1,16) Cmax: 0,96 (0,81 – 1,13) Aucun ajustement posologique recommandé.
-Didanosine*Ω (400 mg q.d. pendant 14 jours) Rilpivirine (150 mg q.d. pendant 7 jours) Didanosine: AUC: 1,12 (0,99 – 1,27) Cmin: NA Cmax: 0,96 (0,80 – 1,14) Rilpivirine: AUC: 1,00 (0,95 – 1,06) Cmin: 1,00 (0,92 – 1,09) Cmax: 1,00 (0,90 – 1,10) Aucun ajustement posologique recommandé.
- +Ténofovir disoproxil fumarate*Ω (300 mg q.d. pendant 16 jours) Rilpivirine (150 mg q.d. pendant 8 jours) Ténofovir (plasma): AUC: 1,23 (1,16-1,31) Cmin: 1,24 (1,10-1,38) Cmax: 1,19 (1,06-1,34) Rilpivirine: AUC: 1,01 (0,87-1,18) Cmin: 0,99 (0,83-1,16) Cmax: 0,96 (0,81-1,13) Aucun ajustement posologique recommandé.
- +Didanosine*Ω (400 mg q.d. pendant 14 jours) Rilpivirine (150 mg q.d. pendant 7 jours) Didanosine: AUC: 1,12 (0,99-1,27) Cmin: NA Cmax: 0,96 (0,80-1,14) Rilpivirine: AUC: 1,00 (0,95-1,06) Cmin: 1,00 (0,92-1,09) Cmax: 1,00 (0,90-1,10) Aucun ajustement posologique recommandé.
- +* L'interaction entre la rilpivirine et le principe actif a été évaluée au cours d'une étude clinique. Toutes les autres interactions médicamenteuses présentées sont des prédictions. Ω Les GMR et l'IC à 90% reposent sur des études d'interactions médicamenteuses avec la rilpivirine orale.
- +
-* L'interaction entre la rilpivirine et le principe actif a été évaluée au cours d'une étude clinique. Toutes les autres interactions médicamenteuses présentées sont des prédictions.
-Ω Les GMR et l'IC à 90% reposent sur des études d'interactions médicamenteuses avec la rilpivirine orale.
-On ignore si la rilpivirine passe dans le lait maternel chez la femme. Dans les expérimentations animales, la rilpivirine a été excrétée dans le lait. Chez certaines patientes, la rilpivirine pourrait être présente dans le lait maternel pendant jusqu'à 4 ans après l'arrêt de REKAMBYS.
- +On ignore si la rilpivirine passe dans le lait maternel chez la femme. Dans les expérimentations animales, la rilpivirine a été excrétée dans le lait. En considérant que la rilpivirine a pu être détectée dans la circulation systémique de certaines patientes pendant jusqu'à 4 ans après l'arrêt de REKAMBYS, elle pourrait être présente dans le lait maternel pendant cette même période.
-Les EI sont présentés par classe de systèmes d'organes (SOC) et par fréquence. Les catégories de fréquence sont définies comme suit: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 à < 1/10), «occasionnels» (≥1/1000 à < 1/100), «rares» (≥1/10 000 à < 1/1000) et «très rares» (< 1/10 000).
- +Les EI sont présentés par classe de systèmes d'organes (SOC) et par fréquence1. Les catégories de fréquence sont définies comme suit: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 à < 1/10), «occasionnels» (≥1/1000 à < 1/100), «rares» (≥1/10 000 à < 1/1000) et «très rares» (< 1/10 000).
-Fréquents: nausées, vomissements, douleurs abdominales1, flatulences, diarrhée, augmentation de la lipase (grade 3-4).
- +Fréquents: nausées, vomissements, douleurs abdominales2, flatulences, diarrhée, augmentation de la lipase (grade 3-4).
-Fréquents: éruption cutanée2.
- +Fréquents: éruption cutanée3.
-Très fréquents: pyrexie3 (10%).
- +Très fréquents: pyrexie4 (10%).
-Anomalies au site d'administration: réactions au site d'injection4 (84%).
- +Anomalies au site d'administration
- +Réactions au site d'injection5 (84%).
-1 Douleurs abdominales inclut le groupe de termes préférentiels MedDRA suivant: douleurs abdominales, douleurs de la partie supérieure de l'abdomen (épigastriques)
-2 Éruption cutanée inclut le groupe de termes préférentiels MedDRA suivant: éruption cutanée, éruption érythémateuse, éruption généralisée, éruption maculeuse, éruption maculo-papuleuse, éruption morbilliforme, éruption papuleuse, éruption prurigineuse.
-3 Pyrexie inclut le groupe de termes préférentiels MedDRA suivant: sensation de chaleur, élévation de la température corporelle, pyrexie.
-4 Les réactions au site d'injection mentionnées ont été rapportées chez au moins 2 participants.
-Les autres effets indésirables rapportés lors de l'administration de la rilpivirine orale (Edurant) sont les suivants:
-diminution de l'appétit, troubles du sommeil, abattement, gêne abdominale.
- +1 La fréquence des effets indésirables identifiés est basée sur tous les événements rapportés et n'est pas limitée à ceux qui ont été considérés au moins comme ayant un lien possible par le médecin.
- +2 Douleurs abdominales inclut le groupe de termes préférentiels MedDRA suivant: douleurs abdominales, douleurs de la partie supérieure de l'abdomen (épigastriques)
- +3 Éruption cutanée inclut le groupe de termes préférentiels MedDRA suivant: éruption cutanée, éruption érythémateuse, éruption généralisée, éruption maculeuse, éruption maculo-papuleuse, éruption morbilliforme, éruption papuleuse, éruption prurigineuse.
- +4 Pyrexie inclut le groupe de termes préférentiels MedDRA suivant: sensation de chaleur, élévation de la température corporelle, pyrexie. La plupart des événements de pyrexie ont été rapportés dans la semaine suivant l'injection.
- +5 Les réactions au site d'injection mentionnées ont été rapportées chez au moins 2 participants.
- +Le profil de sécurité général établi dans l'étude FLAIR entre la semaine 96 et la semaine 124 correspondait au profil observé à la semaine 48, aucun nouvel élément relatif à la sécurité n'ayant pu être identifié. Dans la phase d'extension de l'étude FLAIR, à la semaine 124, lors de l'initiation directe d'injections de rilpivirine plus cabotégravir sans traitement d'induction par voie orale, aucune nouvelle information relative à la sécurité n'a été mise en évidence en lien avec l'abandon du traitement d'induction par voie orale.
- +Le profil de sécurité général établi dans l'étude ATLAS-2M à la semaine 96 correspondait au profil observé à la semaine 48, aucun nouvel élément relatif à la sécurité n'ayant pu être identifié.
- +Pour les effets indésirables rapportés lors de l'administration de la rilpivirine orale (Edurant), voir l'information professionnelle de rilpivirine en comprimés.
-Tableau 7: Effets indésirables systémiques chez ≥1% des participants infectés par le VIH-1 et virologiquement contrôlés dans les études regroupées FLAIR et ATLAS (semaine 48)
-Effet indésirable CAB+RPV (N=591) TAC (N=591)
- +Tableau 8: Effets indésirables systémiques chez ≥1% des participants infectés par le VIH-1 et virologiquement contrôlés dans les études regroupées FLAIR et ATLAS (semaine 48)
- +Effet indésirable CAB+RPV (n=591) TAC (n=591)
-Au moment de l'analyse à la semaine 48, les patients ayant reçu la rilpivirine IM plus le cabotégravir IM au cours des études de phase III FLAIR et ATLAS présentaient une prise de poids médiane de 1,5 kg; les patients du groupe comparatif, chez lesquels le traitement antirétroviral standard (TAC) respectif avait été poursuivi, présentaient une prise de poids médiane de 1,0 kg (analyse combinée). Lors des études FLAIR et ATLAS de phase III, les patients inclus dans les bras traités par la rilpivirine IM plus le cabotégravir IM présentaient une prise de poids médiane de respectivement 1,3 kg et 1,8 kg, contre 1,5 kg et 0,3 kg dans les bras sous TAC. Après 48 semaines de traitement, la prise de poids médiane dans le cadre de l'étude ATLAS-2M était de 1,0 kg aussi bien dans le bras avec administration mensuelle de la rilpivirine IM plus le cabotégravir IM que dans le bras avec administration tous les 2 mois.
- +Au moment de l'analyse à la semaine 48, les patients ayant reçu la rilpivirine IM plus le cabotégravir IM au cours des études de phase III FLAIR et ATLAS présentaient une prise de poids médiane de 1,5 kg; les patients du groupe comparatif, chez lesquels le traitement antirétroviral standard (TAC) respectif avait été poursuivi, présentaient une prise de poids médiane de 1,0 kg (analyse combinée). Lors des évaluations individuelles des études FLAIR et ATLAS de phase III, les patients inclus dans les bras traités par la rilpivirine IM plus le cabotégravir IM présentaient une prise de poids médiane de respectivement 1,3 kg et 1,8 kg, contre 1,5 kg et 0,3 kg dans les bras sous TAC. Après 48 semaines de traitement, la prise de poids médiane dans le cadre de l'étude ATLAS-2M était de 1,0 kg aussi bien dans le bras avec administration mensuelle de la rilpivirine IM plus le cabotégravir IM que dans le bras avec administration tous les 2 mois.
- +Dans les études cliniques portant sur REKAMBYS plus le cabotégravir, des taux élevés de lipase ont été observés, des élévations de la lipase de grades 3 et 4 se produisant plus souvent sous REKAMBYS plus cabotégravir que dans le groupe TAC. Ces augmentations étaient généralement asymptomatiques et n'ont pas conduit à une interruption du traitement.
- +
-Il n'existe pas d'antidote spécifique en cas de surdosage de REKAMBYS. L'expérience de surdosages de rilpivirine chez l'être humain est limitée. Des surdosages peuvent notamment survenir en cas d'administration intraveineuse accidentelle (voir «Mises en garde et précautions»). Le traitement d'un surdosage de REKAMBYS comporte des mesures générales de soutien, comprenant la surveillance des signes vitaux et de l'ECG (intervalle QT) ainsi que l'observation de l'état clinique du patient. Il est conseillé de contacter un centre antipoison afin d'obtenir les dernières recommandations relatives au traitement d'un surdosage. La rilpivirine étant fortement liée aux protéines plasmatiques, il est peu probable qu'une dialyse entraîne une élimination significative du principe actif.
- +Il n'existe pas d'antidote spécifique en cas de surdosage de REKAMBYS. L'expérience de surdosages de rilpivirine chez l'être humain est limitée. Des surdosages peuvent notamment survenir en cas d'administration intraveineuse accidentelle (voir «Mises en garde et précautions»). Le traitement en cas de surdosage de REKAMBYS comporte des mesures générales de soutien, comme la surveillance des signes vitaux et de l'ECG (intervalle QT, voir «Interactions»/«Médicaments allongeant l'intervalle QT») ainsi que l'observation de l'état clinique du patient. Il est conseillé de contacter un centre antipoison afin d'obtenir les dernières recommandations relatives au traitement d'un surdosage. La rilpivirine étant fortement liée aux protéines plasmatiques, il est peu probable qu'une dialyse entraîne une élimination significative du principe actif.
-Le nombre de patients satisfaisant aux critères d'échec virologique confirmé (EVC) (deux taux plasmatiques successifs d'ARN du VIH-1 ≥ 200 copies/ml après obtention d'un contrôle à < 200 copies/ml) était faible dans les études de phase III combinées ATLAS et FLAIR (voir «Efficacité clinique»). Dans l'analyse combinée, 7 cas d'EVC sous rilpivirine plus cabotégravir (7/591, 1,2%) et 7 cas d'EVC sous TAC (7/591, 1,2%) ont été observés jusqu'à la semaine 48. Un patient présentant un EVC (FLAIR) n'avait jamais reçu de dose injectable et n'avait pas développé de résistance. Dans le groupe traité par la rilpivirine plus le cabotégravir de l'analyse combinée, 5/591 (0,8%) participants ont développé une résistance: respectivement 5/591 (0,8%) et 4/591 (0,7%) participants avec des mutations associées à une résistance à la rilpivirine et/ou au cabotégravir (tableau 8).
-Tableau 8: Mutations associées à une résistance avant l'instauration du traitement de l'étude et lors d'une suspicion d'échec virologique dans les cas présentant un échec virologique confirmé dans le cadre des études ATLAS et FLAIR
- +Le nombre de patients satisfaisant aux critères d'échec virologique confirmé (EVC) (deux taux plasmatiques successifs d'ARN du VIH-1 ≥200 copies/ml après obtention d'un contrôle à < 200 copies/ml) était faible dans les études de phase III combinées ATLAS et FLAIR (voir «Efficacité clinique»). Dans l'analyse combinée, 7 cas d'EVC sous rilpivirine plus cabotégravir (7/591, 1,2%) et 7 cas d'EVC sous TAC (7/591, 1,2%) ont été observés jusqu'à la semaine 48. Un patient présentant un EVC (FLAIR) n'avait jamais reçu de dose injectable et n'avait pas développé de résistance. Dans le groupe traité par la rilpivirine plus le cabotégravir de l'analyse combinée, 5/591 (0,8%) participants ont développé une résistance: respectivement 5/591 (0,8%) et 4/591 (0,7%) participants avec des mutations associées à une résistance à la rilpivirine et/ou au cabotégravir (tableau 9).
- +Tableau 9: Mutations associées à une résistance avant l'instauration du traitement de l'étude et lors d'une suspicion d'échec virologique dans les cas présentant un échec virologique confirmé dans le cadre des études ATLAS et FLAIR
-Lors de l'étude de phase IIIb ATLAS-2M (voir «Efficacité clinique»), 10/1045 (1,0%) participants ont satisfait aux critères d'EVC jusqu'à la semaine 48: 8/522 (1,5%) dans le bras q8w (administration de la dose tous les 2 mois) et 2/523 (0,4%) dans le bras q4w (administration mensuelle). Dans le groupe q8w, le développement d'une résistance a été observé chez 5/522 (1,0%) patients: respectivement 4/522 (0,8%) et 5/522 (1,0%) patients avec des mutations associées à une résistance à la rilpivirine et/ou au cabotégravir. Dans le groupe q4w, le développement d'une résistance a été observé chez 2/523 (0,4%) patients: respectivement 1/523 (0,2%) et 2/523 (0,4%) patients avec des mutations associées à une résistance à la rilpivirine et/ou au cabotégravir (tableau 9).
-Tableau 9: Mutations associées à une résistance avant l'instauration du traitement de l'étude et lors d'une suspicion d'échec virologique dans les cas présentant un échec virologique confirmé dans le cadre de l'étude ATLAS-2M
- +Lors de l'étude de phase IIIB ATLAS-2M (voir «Efficacité clinique»), 10/1045 (1,0%) participants ont satisfait aux critères d'EVC jusqu'à la semaine 48: 8/522 (1,5%) dans le bras q8w (administration de la dose tous les 2 mois) et 2/523 (0,4%) dans le bras q4w (administration mensuelle). Dans le groupe q8w, le développement d'une résistance a été observé chez 5/522 (1,0%) patients: respectivement 4/522 (0,8%) et 5/522 (1,0%) patients avec des mutations associées à une résistance à la rilpivirine et/ou au cabotégravir. Dans le groupe q4w, le développement d'une résistance a été observé chez 2/523 (0,4%) patients: respectivement 1/523 (0,2%) et 2/523 (0,4%) patients avec des mutations associées à une résistance à la rilpivirine et/ou au cabotégravir (tableau 10).
- +Tableau 10: Mutations associées à une résistance avant l'instauration du traitement de l'étude et lors d'une suspicion d'échec virologique dans les cas présentant un échec virologique confirmé dans le cadre de l'étude ATLAS-2M
-Le critère d'évaluation principal et d'autres résultats à la semaine 48, incluant les résultats selon les caractéristiques initiales principales des patients (facteurs à l'inclusion) pour les études FLAIR et ATLAS et les données combinées de celles-ci, sont présentés dans le tableau 10 et le tableau 11.
-Tableau 10: Résultats virologiques du traitement randomisé dans les études FLAIR et ATLAS à la semaine 48 (analyse snapshot)
- +Le critère d'évaluation principal et d'autres résultats à la semaine 48, incluant les résultats selon les caractéristiques initiales principales des patients (facteurs à l'inclusion) pour les études FLAIR et ATLAS et les données combinées de celles-ci, sont présentés dans le tableau 11 et le tableau 12.
- +Tableau 11: Résultats virologiques du traitement randomisé dans les études FLAIR et ATLAS à la semaine 48 (analyse snapshot)
- RPV + CAB N = 283 TAC N = 283 RPV + CAB N = 308 TAC N = 308 RPV + CAB N = 591 TAC N = 591
- + RPV + CAB n = 283 TAC n = 283 RPV + CAB n = 308 TAC n = 308 RPV + CAB n = 591 TAC n = 591
-* Ajustée en fonction des facteurs de stratification à l'inclusion. † Inclut les patients ayant arrêté le traitement en raison d'un manque d'efficacité ou ayant arrêté alors qu'ils n'étaient pas contrôlés. N = nombre de patients dans chaque groupe de traitement, IC = intervalle de confiance, TAC = traitement antiviral en cours.
- +* Ajustée en fonction des facteurs de stratification à l'inclusion. † Inclut les patients ayant arrêté le traitement en raison d'un manque d'efficacité ou ayant arrêté alors qu'ils n'étaient pas contrôlés. n = nombre de patients dans chaque groupe de traitement, IC = intervalle de confiance, TAC = traitement antiviral en cours.
-Tableau 11: Proportion de patients avec un taux plasmatique d'ARN du VIH-1 ≥50 copies/ml à la semaine 48 selon les caractéristiques initiales principales des patients (facteurs à l'inclusion) (snapshot des résultats)
- +Tableau 12: Proportion de patients avec un taux plasmatique d'ARN du VIH-1 ≥50 copies/ml dans l'analyse des sous-groupes à la semaine 48 selon les caractéristiques initiales principales des patients (facteurs à l'inclusion) (snapshot des résultats)
-RPV + CAB N = 591 n/N (%) TAC N = 591 n/N (%)
- +RPV + CAB n = 591 n/N (%) TAC n = 591 n/N (%)
-≥ 350 à < 500 5/120 (4,2) 0/117
-≥ 500 6/429 (1,4) 8/420 (1,9)
- +≥350 à < 500 5/120 (4,2) 0/117
- +≥500 6/429 (1,4) 8/420 (1,9)
- Féminin 5/162 (3,1) 1/168 (0,6)
- +Féminin 5/162 (3,1) 1/168 (0,6)
- Asiatiques/autres 0/52 0/48
- +Asiatiques/autres 0/52 0/48
-≥ 50 2/99 (1,6) 2/125 (1,6)
- +≥50 2/99 (2,0) 2/125 (1,6)
-Dans le cadre de l'étude FLAIR, les résultats à 96 semaines sont restés cohérents avec ceux observés à 48 semaines. La proportion de patients présentant un taux plasmatique d'ARN du VIH-1 ≥50 copies/ml était de 3,2% pour la rilpivirine IM plus le cabotégravir IM (n = 283) et de 3,2% pour le TAC (n = 283) (différence ajustée entre le traitement par la rilpivirine IM plus le cabotégravir IM et le TAC [0,0; IC à 95%: -2,9; 2,9]).
- +Semaine 96 FLAIR
- +Dans le cadre de l'étude FLAIR, les résultats d'efficacité à 96 semaines sont restés cohérents avec ceux observés à 48 semaines. La proportion de patients présentant un taux plasmatique d'ARN du VIH-1 ≥50 copies/ml était de 3,2% pour la rilpivirine IM plus le cabotégravir IM (n = 283) et de 3,2% pour le TAC (n = 283) (différence ajustée entre le traitement par la rilpivirine IM plus le cabotégravir IM et le TAC [0,0; IC à 95%: -2,9; 2,9]).
- +Semaine 124 FLAIR – injection directe versus traitement d'induction par voie orale
- +Dans le cadre de l'étude FLAIR, une évaluation de la sécurité et de l'efficacité a été réalisée à la semaine 124 auprès des patients, qui ont décidé à la semaine 100, de passer d'abacavir/dolutégravir/lamivudine à rilpivirine plus cabotégravir dans la phase d'extension avec ou sans traitement d'induction par voie orale. Deux groupes ont donc été formés, l'un avec traitement d'induction par voie orale (groupe «Oral Lead-in» (OLI)) (n = 121) et l'autre avec injection directe (groupe «Direct to injection» (DTI)) (n = 111).
- +À la semaine 124, la proportion de patients avec un taux d'ARN du VIH-1 ≥50 copies/ml s'élevait à respectivement (1/111 [0,9%]) et (1/121 [0,8%]) dans le groupe avec injection directe et le groupe avec traitement d'induction par voie orale. Les taux de suppression virologique (ARN du VIH-1< 50 copies/ml) étaient similaires dans le groupe avec injection directe (110/111 [99,1%]) et dans le groupe avec traitement d'induction par voie orale (113/121 [93,4%]).
- +
-L'efficacité et la sécurité d'injections de REKAMBYS administrées tous les 2 mois ont été évaluées dans l'étude de non-infériorité de phase IIIb ATLAS-2M, randomisée, multicentrique, à bras parallèles et en ouvert. L'analyse principale a été réalisée une fois que tous les participants avaient terminé leur visite de la semaine 48 ou étaient sortis prématurément de l'étude.
- +L'efficacité d'injections de rilpivirine administrées tous les 2 mois ont été évaluées dans l'étude de non-infériorité de phase IIIB ATLAS-2M, randomisée, multicentrique, à bras parallèles et en ouvert. L'analyse principale a été réalisée une fois que tous les participants avaient terminé leur visite de la semaine 48 ou étaient sortis prématurément de l'étude.
-Le critère d'évaluation principal de l'étude ATLAS-2M était la proportion de patients présentant un taux plasmatique d'ARN du VIH-1 ≥50 copies/ml à la semaine 48 (algorithme snapshot pour la population en ITT-E).
- +Le critère d'évaluation principal de l'étude ATLAS-2M était la proportion de patients présentant un taux plasmatique d'ARN du VIH-1 ≥50 copies/ml à la semaine 48 (algorithme snapshot pour la population en ITT-E). Dans le tableau 13 et le tableau 14, le critère d'évaluation principal et d'autres résultats de la semaine 48 pour l'étude ATLAS-2M sont présentés, notamment les résultats concernant les caractérisitques initiales centrales des patients (caractéristiques «à l'inclusion»).
-Tableau 12: Résultats virologiques du traitement randomisé dans le cadre de l'étude ATLAS-2M à 48 semaines (analyse snapshot)
-Aucune donnée virologique pendant la fenêtre de la semaine 48, n (%) 21 (4,0) 29 (5,5)
-Sortie de l'étude en raison d'un EI ou du décès, n (%) 9 (1,7) 13 (2,5)
-Sortie de l'étude pour d'autres raisons, n (%) a 12 (2,3) 16 (3,1)
-Dans l'étude, mais données manquantes pendant cette fenêtre 0 0
-
- +Tableau 13: Résultats virologiques du traitement randomisé dans le cadre de l'étude ATLAS-2M à 48 semaines (analyse snapshot)
- N = 522 (%) N = 523 (%)
- + n = 522 (%) n = 523 (%)
-Raisons:
- +Aucune donnée virologique pendant la fenêtre de la semaine 48, n (%) 21 (4,0) 29 (5,5)
- +Raisons:
- +Sortie de l'étude en raison d'un EI ou du décès, n (%) 9 (1,7) 13 (2,5)
- +Sortie de l'étude pour d'autres raisons, n (%) a 12 (2,3) 16 (3,1)
- +Dans l'étude, mais données manquantes pendant cette fenêtre 0 0
-* Ajustée en fonction de facteurs de stratification à l'inclusion † Inclut les participants ayant arrêté le traitement en raison d'un manque d'efficacité ou ayant arrêté alors qu'ils n'étaient pas virologiquement contrôlés.
-N = nombre de participants dans chaque groupe de traitement, IC = intervalle de confiance, TAC = traitement antirétroviral en cours.
-Tableau 13: Proportion de participants présentant un taux plasmatique d'ARN du VIH-1 ≥50 copies/ml à la semaine 48 dans le cadre de l'étude ATLAS-2M selon les caractéristiques initiales principales des patients (facteurs à l'inclusion) (analyse snapshot des résultats).
- Nombre de patients présentant un taux d'ARN du VIH-1 ≥50 copies/ml/nombre total évalué (%)
- +* Ajustée en fonction de facteurs de stratification à l'inclusion
- +† Inclut les participants ayant arrêté le traitement en raison d'un manque d'efficacité ou ayant arrêté alors qu'ils n'étaient pas virologiquement contrôlés.
- +n = nombre de participants dans chaque groupe de traitement, IC = intervalle de confiance, TAC = traitement antirétroviral en cours.
- +Tableau 14: Proportion de participants présentant un taux plasmatique d'ARN du VIH-1 ≥50 copies/ml dans l'analyse des sousgroupes à la semaine 48 dans le cadre de l'étude ATLAS-2M selon les caractéristiques initiales principales des patients (facteurs à l'inclusion) (analyse snapshot des résultats).
- +Nombre de patients présentant un taux d'ARN du VIH-1 ≥50 copies/ml/nombre total évalué (%)
- n/N (%) n/N (%)
- + n/N (%) n/N (%)
- +Semaine 96 ATLAS-2M
- +Les résultats de l'efficacité à la semaine 96 coïncident avec les résultats du critère d'évaluation principal de la semaine 48. L'injection de rilpivirine plus cabotégravir dans le cas d'une administration bimestrielle n'est pas inférieure à l'administration mensuelle de la rilpivirine et du cabotégravir. La proportion de patients ayant un taux plasmatique d'ARN du VIH-1 ≥50 copies/ml à la semaine 96 se situait à respectivement 2,1% et 1,1% pour l'administration bimestrielle de la rilpivirine plus le cabotégravir (n = 522) et pour l'administration mensuelle de la rilpivirine plus le cabotégravir (n = 523) (différence corrigée entre l'administration bimestrielle de la rilpivirine plus le cabotégravir et l'administration mensuelle de la rilpivirine plus le cabotégravir [1,0; IC à 95%: -0,6, 2,5]). La proportion de patients qui présentaient à la semaine 96, un taux plasmatique d'ARN de VIH-1< 50 copies/ml, se situait à respectivement 91,0% et 90,2% pour l'administration bimestrielle de la rilpivirine plus le cabotégravir et pour l'administration mensuelle de la rilpivirine plus le cabotégravir (différence corrigée entre rilpivirine plus cabotégravir tous les deux mois et l'administration mensuelle [0,8; IC à 95%: -2,8, 4,3]).
-Quatre covariables étaient significativement (p < 0,05 pour chaque odds ratio ajusté) associées à un risque accru d'EVC: mutations associées à une résistance (RAM) à la rilpivirine au début de l'étude, identifiées au moyen d'un test génotypique sur l'ADN proviral; sous-type A6/A1 du VIH-1 (associé au polymorphisme L74I de l'intégrase); concentration résiduelle de la rilpivirine 4 semaines après la première injection; IMC d'au moins 30 kg/m2 (associé à la pharmacocinétique du cabotégravir). D'autres covariables, notamment l'administration Q4W ou Q8W, le sexe féminin ou d'autres sous-types viraux (non A6/A1), n'étaient pas significativement associées à un EVC. Aucun facteur initial, lorsqu'il était présent de manière isolée, n'était prédictif d'un échec virologique. Cependant, la combinaison d'au moins 2 des facteurs initiaux suivants, présents à l'inclusion, a été associée à un risque accru d'EVC: mutations associées à une résistance à la rilpivirine, sous-type A6/A1 du VIH-1 ou IMC ≥30 kg/m2 (tableau 14).
-Tableau 14: Résultats à la semaine 48 selon la présence des facteurs initiaux principaux: mutations associées à une résistance à la rilpivirine, sous-type A6/A11 du VIH-1 et IMC ≥30 kg/m2
- +Quatre covariables étaient significativement (p < 0,05 pour chaque odds ratio ajusté) associées à un risque accru d'EVC: mutations associées à une résistance (RAM) à la rilpivirine au début de l'étude, identifiées au moyen d'un test génotypique sur l'ADN proviral; sous-type A6/A1 du VIH-1 (associé au polymorphisme L74I de l'intégrase); concentration résiduelle de la rilpivirine 4 semaines après la première injection; IMC d'au moins 30 kg/m2 (associé à la pharmacocinétique du cabotégravir). D'autres covariables, notamment l'administration Q4W ou Q8W, le sexe féminin ou d'autres sous-types viraux (non A6/A1), n'étaient pas significativement associées à un EVC. Aucun facteur initial, lorsqu'il était présent de manière isolée, n'était prédictif d'un échec virologique. Cependant, la combinaison d'au moins 2 des facteurs initiaux suivants, présents à l'inclusion, a été associée à un risque accru d'EVC: mutations associées à une résistance à la rilpivirine, sous-type A6/A1 du VIH-1 ou IMC ≥30 kg/m2 (tableau 15).
- +Tableau 15: Résultats à la semaine 48 selon la présence des facteurs initiaux principaux: mutations associées à une résistance à la rilpivirine, sous-type A6/A11 du VIH-1 et IMC ≥30 kg/m2
-Chaque emballage contient 1 flacon (600 mg), 1 seringue, 1 adaptateur pour flacon et 1 aiguille pour injection. [A] (actuellement indisponible dans le commerce)
- +Chaque emballage contient 1 flacon (600 mg), 1 seringue, 1 adaptateur pour flacon et 1 aiguille pour injection. [A].
-Chaque emballage contient 1 flacon (900 mg), 1 seringue, 1 adaptateur pour flacon et 1 aiguille pour injection. [A]
- +Chaque emballage contient 1 flacon (900 mg), 1 seringue, 1 adaptateur pour flacon et 1 aiguille pour injection. [A].
-Mai 2021
-Les informations suivantes sont destinées exclusivement aux médecins ou aux professionnels de la santé et ne doivent être lues que par le médecin ou le professionnel de santé conjointement avec l'information professionnelle complète.
- +Juin 2022
- +Les informations suivantes sont destinées exclusivement aux médecins ou aux professionnels de la santé et ne doivent être lues que par le médecin ou le professionnel de santé conjointement avec l'information professionnelle complète
-·Conserver au réfrigérateur (2–8 °C). (image) Ne pas congeler.
- +• Conserver au réfrigérateur (2–8 °C). (image) Ne pas congeler.
-·Conserver au réfrigérateur (2–8 °C). (image) Ne pas congeler.
- +• Conserver au réfrigérateur (2–8 °C). (image) Ne pas congeler.
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